- 17/01/2024
Les Vraies Voix avec Baptiste Imbert, secrétaire général des Jeunes Agriculteurs en Occitanie et Jean-Christophe Gallien, politologue et conseiller en communication
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00:00 Les vraies voix Sud Radio, le code projecteur des vraies voix.
00:04 Oui, je suis élue parisienne.
00:06 Et vous serez candidate à l'amélie de Paris.
00:07 Mais mon objectif c'est Paris.
00:08 Un ministre qui se présente comme ça à une élection aussi importante sans même en parler au chef de l'État.
00:13 Que Rachida Dati soit une femme libre, engagée et d'action.
00:17 On n'est pas en train de découvrir quelque chose.
00:19 Qu'est-ce qu'elle est en train de dire Rachida Dati ? En gros c'est un package.
00:21 C'est-à-dire qu'elle a eu la rue de Valois avec le ministère de la Culture,
00:24 mais aussi la candidature dégagée pour l'amélie de Paris.
00:27 Paris est une ville qui est très attachée à la justice sociale, à l'écologie.
00:31 Et Rachida Dati ne porte rien de tout ça.
00:33 Il y a un côté un peu Trump aussi chez elle.
00:35 C'est-à-dire que je dis de manière assez démagogique des choses un peu fortes, je joue un numéro.
00:40 Moi j'ai une volonté, c'est de rassembler tous ceux qui veulent que ça change à Paris.
00:44 Et à peine nommée au gouvernement, Rachida Dati annonce sa candidature aux prochaines élections municipales.
00:50 Son objectif c'est Paris.
00:52 A-t-elle lancé dernièrement ces dernières années l'ancienne garde des Sceaux de Nicolas Sarkozy ?
00:57 C'est illustré dans une opposition sans concession à l'actuelle maire de la capitale, Annie Dalgo.
01:02 Oui, alors parlons vrai. Est-ce que cette annonce un peu plus de deux ans avant, ce n'est pas un peu tôt ?
01:07 Est-ce qu'en ayant été exclue des LR, Rachida Dati a une chance dans la course à l'hôtel de ville,
01:12 sachant que les LR sont encore très forts dans la capitale ?
01:15 Est-ce que le ministère de la Culture peut être un tremplin pour l'hôtel de ville ?
01:20 Annonce de la candidature de Dati à la mairie de Paris, le timing est-il bien choisi ?
01:24 Eh bien vous dites non, à 76% voulait réagir le 0826 300 300.
01:29 Et pour analyser cette situation, Jean-Christophe Gallien est avec nous, politologue et conseiller en communication.
01:34 Merci d'être avec nous en direct sur Sud Radio avec vous Philippe Bilger.
01:39 Ce choix de Rachida Dati d'annoncer tout de suite sa candidature, est-ce que ce n'est pas un peu tôt ?
01:45 Alors l'excellent Jean-Christophe Gallien nous a dit que ça n'était pas une faute politique.
01:51 Alors avec beaucoup de modestie, pour répondre très directement à la question de Sud Radio,
01:57 je suis tout de même étonné par la stratégie qui est mise en œuvre.
02:03 Parce que j'ai l'impression que le deal ou le marché conclut entre le président et Rachida Dati
02:10 met à mal cette nomination ministérielle, puisqu'on comprend bien qu'elle n'arrive là que parce qu'elle avait,
02:18 elle a l'espoir d'être élue en 2026.
02:22 Et ça met également à mal cette rapidité dans l'annonce de sa candidature pour 2027,
02:33 tout l'ensemble du bloc ministre, candidature, marché.
02:40 Donc j'ai l'impression que les deux processus se cumulant se détruisent
02:47 et qu'il aurait peut-être été plus sain et plus expédient, même pour elle, d'attendre un peu.
02:54 Mais avec modestie.
02:57 - Oui, on est sûr de rien.
03:01 - C'est une lecture.
03:04 Après, Emmanuel Macron réalise un coup politique, je l'ai dit tout à l'heure,
03:09 en fissurant davantage encore LR, après une séquence plutôt réussie sur le plan parlementaire par LR, Ciotti, Marlex.
03:17 C'est quand même un coup très rude pour la Macronie à l'échelle de la capitale.
03:22 On connaît la détestation réciproque entre Emmanuel Macron et la maire de Paris.
03:27 En effet, Emmanuel Macron a fait le choix de la candidature d'Atti pour les prochaines municipales à Paris.
03:33 Alors que des dirigeants macronistes, y compris d'anciens membres du gouvernement,
03:39 s'étaient d'ores et déjà positionnés comme étant des candidats potentiels.
03:46 - Et je vous coupe, il y a quelques jours, les responsables macronistes ont dit que ce serait décidé en 2025.
03:51 - Nous verrons si l'alliance Renaissance-LR tient avec une candidature d'Atti.
03:59 Il y a aussi un élément qui nourrit la crise politique.
04:03 Parce qu'elle arrive rue de Valois, au ministère de la Culture, tout en nous disant que son objectif c'est Paris.
04:09 Et sans que nous ayons le début de commencement de sa feuille de route,
04:13 de sa vision d'une politique culturelle publique à l'échelle du pays.
04:17 - Nadia Saidi.
04:18 - On a bien compris que le combat de Rachida Dati, c'était Paris.
04:21 Et franchement, c'est sans surprise, on le sait, elle ne démissionne pas de la mairie du 7ème.
04:26 Parce que d'abord la loi l'enentourise, mais je pense que c'est aussi pour continuer à nourrir cette opposition.
04:32 Elle est virée de LR, ce qui est logique, mais on n'est pas à l'abri qu'ils la reprennent le moment venu.
04:38 D'autres comme Rachida Dati ont été virées, ont même fait des dissidences.
04:42 Et le moment venu, elles se sont rassemblées parce qu'il fallait gagner.
04:45 Mais c'est sûr que le fait d'être nommée...
04:48 - Surtout s'il y a réussite de Rachida Dati.
04:49 - Absolument.
04:50 Le fait d'être nommée et tout de suite après annoncer que moi mon combat c'est plutôt la mairie de Paris,
04:56 si je suis là c'est pour Paris, c'est vrai qu'en termes de sens politique et de mission politique, c'est quand même pas top.
05:05 - Quand vous avez entendu nos vrais voix, Jean-Christophe Gallien, vous c'est quoi finalement votre idée de ça ?
05:13 Est-ce qu'il n'y a pas de timing spécifique pour cette double candidature en tout cas ?
05:19 - Il y avait un timing potentiel.
05:22 Il y avait la possibilité d'attendre en effet classiquement deux ans auparavant pour Paris, mais en fait elle l'a toujours dit.
05:29 Et je crois, je ne veux pas la défendre en réalité, mais il n'y a pas eu "je fais ça pour ça".
05:34 C'est-à-dire qu'en fait en réalité je suis nommé au ministère de la Culture, je serai ministre de la Culture.
05:38 On comprend bien pourquoi d'ailleurs, en fait en réalité sur le terrain électoral aussi.
05:41 Et en même temps, j'ai toujours dit que je voulais Paris.
05:44 Donc c'est clair qu'avec les LR, je ne pouvais pas la voir.
05:46 Ça c'est aussi un constat qui est dit en creux.
05:49 Et donc ce qui est important de mon point de vue, c'est ce qui a été annoncé par le président de la République, ou en tout cas confirmé hier soir.
05:54 Parce que cette candidature n'est rien, et elle a pratiquement en tout cas moins de chances de réussir si on ne change pas la loi électorale à Paris, à Lyon et à Marseille.
06:03 Donc en réalité ce qui se passe, c'est qu'on change la loi électorale et que pour le coup, cet attelage ne sera pas un attelage d'association électorale.
06:09 Ça c'est clair, il n'y aura pas une alliance LR-Renaissance à Paris en 2026.
06:15 À moins que d'ici là, beaucoup de choses se passent.
06:17 Et là pour le coup, même le président de la République a dit, j'ai appris que beaucoup de choses pouvaient se passer.
06:22 Donc on peut, aujourd'hui il n'y en aura pas.
06:24 Mais voilà, la loi électorale changeant, ça fait sens.
06:28 Vous savez, on fait face à aujourd'hui quelque chose, vous parlez d'un gouvernement, mais en fait c'est une offensive électorale.
06:33 Et Olivier Dertigod a raison, qu'est-ce qui se passe ?
06:35 On finit, presque d'en finir avec les LR, qui ne sont pas étanches, qui courent après, on s'amuse avec eux.
06:42 En plus sur leur terrain, c'est-à-dire leur terrain, c'est le terrain électoral local, régional.
06:47 Et en l'occurrence, là pour le coup, sur le principal combat municipal de 2026, je vous le dis, avec une loi électorale qui va changer,
06:54 et qui sera du coup totalement différente, ce sera une vraie campagne qui favorise la personnalisation,
06:59 beaucoup plus à ce moment-là que les alliances politiques, il n'y aura plus d'arrondissement, ce sera quelque chose de différent.
07:04 Et bien ça fait sens.
07:06 En même temps, Philippe Bidjard, il y a peut-être une légitimité, le ministère de la Culture, capital de la Culture, Paris,
07:13 on est à peu près dans le... voilà, c'est pas très éloigné non plus, peut-être ?
07:16 Oui, alors qu'elle veuille être maire de Paris par rapport à la catastrophe qu'est Anne Hidalgo aujourd'hui,
07:24 même si c'est le premier adjoint qui se présente en 2027, je n'y vois rien à redire.
07:30 Ce que je me permettais de discuter, c'était le processus, puisqu'il semble qu'il y a quelque temps,
07:37 c'est Brigitte Macron qui avait questionné Rachida Dati en lui demandant "Est-ce que ça t'intéresse ?"
07:44 Elle avait répondu "Moi, il n'y a que la mairie de Paris qui me plaît."
07:47 Donc tout ça est mis en branle.
07:50 En fond, ce que je n'aime pas, c'est l'écouture d'une opération politique qui se révèle dans une plénitude un peu perverse.
08:00 Il faut croire que j'ai encore un coin de paradis et de naïveté en moi, ça m'agace, mais c'est comme ça.
08:11 Vous voulez réagir à cette élection à Paris dont on parle déjà un peu plus de deux ans à l'avance ?
08:16 Vous pensez qu'il y a eu bienfait Rachida Dati d'annoncer sa candidature ?
08:20 Ou vous pensez que non, c'est beaucoup trop tôt ?
08:22 On attend vos appels au 0826 300 300 Madi Seidi.
08:25 Et n'oublions pas que Rachida Dati, pour elle, c'est une vraie opportunité.
08:28 D'abord d'être ministre là pendant les deux ans, parce que ça va jouer dans deux ans.
08:32 Ensuite, elle va avoir ce mode de scrutin.
08:34 Et il ne faut pas oublier qu'en 2020, Rachida Dati a fait campagne avec des vents contraires.
08:40 Parce que la réalité, c'est que les LR n'ont pas tant aidé que ça.
08:43 Donc évidemment, là, c'est une femme qui a de l'ambition, elle ne s'en est jamais cachée.
08:47 Elle se dit opportunité, banco, j'y vais.
08:49 Il peut se passer des choses, pardon, durant les deux ans.
08:52 Oui, absolument.
08:53 Mais elles n'ont pas aucun avantage.
08:55 Je me permets de peindre un autre scénario, qui est celui d'un échec du gouvernement Attal.
09:01 D'un score difficile pour la Macronie le 9 juin prochain.
09:10 De colère française, de crise, de fracture française, qui sont là.
09:16 Et qui ne sont pas traités et réglés.
09:18 D'autant plus que Emmanuel Macron dit qu'il fallait sortir de Paris, sortir la culture d'un monde parisien.
09:27 Tout en chargeant Rachida Dati de le faire.
09:32 Je ne sais pas si c'est le meilleur profil pour le faire.
09:35 Elle qui dit que mon objectif, il y a une contradiction là, reste Paris.
09:39 Tout ça me paraît d'abord un coup politique.
09:42 La suite, personne ne peut l'écrire, soit miens, ça va se passer.
09:47 Jean-Christophe Gallien, est-ce qu'elle peut redynamiser ce gouvernement
09:51 qui aujourd'hui est un peu fragilisé par les polémiques, par les affaires, avec ses coups d'éclat par exemple ?
09:58 Oui, je pense, je redis, c'est une offensive électorale ce gouvernement.
10:02 Et Olivier Dardigaud a raison de dire que le premier rendez-vous et ce pourquoi il est là,
10:08 ce pourquoi on a choisi Gabriel Attal, ce pourquoi Rachida Dati est réellement là au départ,
10:13 c'est 2024, juin 2024, Jordan Bardella, le Rassemblement National,
10:19 et aujourd'hui 10 points d'avance sur Renaissance.
10:21 Et ils ne peuvent pas s'en sortir s'ils demeurent à 10 points d'avance.
10:25 Pour deux raisons.
10:26 1. 30 points pour le Rassemblement National, c'est la réalité d'être en finale en 2027.
10:30 Mais de pouvoir jouer la gagne.
10:32 En dessous, ça devient plus délicat.
10:34 Et donc en réalité pour Emmanuel Macron et son gouvernement aujourd'hui, c'est la suite du mandat,
10:39 mais c'est aussi cette perspective, voilà, les Jeux Olympiques, voyez ce qui se passe derrière,
10:44 ce n'est pas les mêmes, ça ne se passera pas de la même manière s'il y a cet échec électoral.
10:49 Et donc Rachida Dati, oui, pour répondre à votre question directement,
10:52 c'est une forme de tueuse politique qui est assez forte sur les plateaux, dans les médias,
10:58 qui envoie sa phrase, qui n'a pas peur, qui s'est déjà coltinée, évidemment le Rassemblement National.
11:03 On l'a vu hier soir à qui il a parlé Emmanuel Macron ? Il a parlé à qui ?
11:06 Même quand il parlait de la jeunesse, il ne parlait pas aux jeunes, il parlait à son électorat âgé,
11:10 celui qui veut voter pour lui et être mobilisé pour les européennes,
11:13 celui dont il a besoin, qui l'a toujours sauvé.
11:15 Et donc quand on parle d'uniforme, quand on parle de Marseillaise, quand on parle de service national,
11:20 on ne parle pas aux jeunes, excusez-moi, on parle à des personnes qui voudraient bien que ça puisse se réaliser.
11:24 Et c'est plutôt ceux qui regardent ça depuis un autre âge.
11:27 Donc on a une offensive électorale qui d'ailleurs perturbe les oppositions à l'instant.
11:31 On aura dans dix jours encore Gabriel Attal.
11:33 Vous voyez, Emmanuel Macron a parlé pendant sept heures depuis la période des voeux à la télévision aux Français.
11:40 C'est énorme.
11:41 Ça sature l'espace.
11:42 Après, pour quel résultat on verra, mais c'est déjà une offensive électorale.
11:45 Mais oui, Philippe Bigert ?
11:47 Je veux dire, jusqu'en 2026, Jean-Christophe, il y a des aléas qui peuvent rendre le projet Rachida Dati,
11:57 pour aller au plus simple, très discutable.
12:01 Je parle de la procédure judiciaire.
12:03 Je parle même, comme vient de le dire Olivier, d'un échec du gouvernement Attal,
12:08 d'une déconfiture aux européennes.
12:11 Tout cela pourrait mettre à mal une stratégie apparemment bien huilée.
12:17 Non, ce n'est pas huilée.
12:19 C'est simplement que la campagne elle-même, on la sent déjà, elle est présente.
12:23 Et l'objectif, c'est juin 2024.
12:25 Ce n'est pas 2026, c'est par Rachida Dati à Paris.
12:28 Donc ça, ça passe par ces étapes-là.
12:29 Vous avez tout à fait raison.
12:30 Il n'empêche qu'il y a un point aussi supplémentaire.
12:33 Rachida Dati, elle va gérer un espace.
12:35 Un espace et un budget.
12:37 Ça veut dire que les gens qui travaillent dans la culture en face d'elle, à Paris ou ailleurs d'ailleurs,
12:41 ils vont devoir faire avec Rachida Dati.
12:44 Ils vont devoir faire avec elle.
12:45 Elle tient les cordons de la bourse.
12:47 Après, les épisodes politiques qui auront lieu au mois de juin prochain, très important.
12:52 Après, il peut se passer encore plein de choses effectivement.
12:54 Mais aujourd'hui, l'offensive électorale est plutôt bien menée.
12:59 Et en tout cas, ça change de la période qui les a amenés à finir l'année avec la loi immigration
13:04 et cette espèce de vague à tout qui se passait dans le même temps et je ne sais quoi encore.
13:10 Olivier Dardigo.
13:11 Vous venez de rajouter une dimension importante qu'on n'avait pas évoquée.
13:13 C'est qu'elle tient les cordons de la bourse du financement public pour ce ministère
13:19 avec des dossiers brûlants concernant la ville de Paris.
13:24 Sur certains arbitrages qui seront rendus ou pas.
13:27 Première chose.
13:28 Deuxième chose, il y a un membre du gouvernement qui a donné la véritable timing.
13:32 C'est Gérald Darmanin en disant "Mumbai à Beauvau s'arrêtera après les JO".
13:39 C'est-à-dire qu'il a d'ores et déjà, lui, qui est un politique, donné à voir que c'est un agenda très court.
13:46 Gabriel Attal est un Premier ministre présenté comme une arme anti-Bardella.
13:53 Donc le 9 juin est d'ores et déjà inscrit comme la date prioritaire pour l'agenda de ce gouvernement.
14:04 Merci beaucoup Jean-Christophe Galliard d'avoir été avec nous, un politologue et conseiller en communication.
14:10 J'espère. A très bientôt.
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