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00:0016h, 18h, Pascal Praud et vous.
00:30Je souhaiterais vraiment qu'on fasse une pause, c'est surtout madame qui souhaiterait faire une pause, franchement c'est ce qu'elle m'a dit de vous dire, arrêtez, vous adorez ça, c'est vous qui avez mis en scène ce mariage, vous remettez une pièce dans la machine, vous avez déjà contacté pour des fausses paparazzazz, je le sais très bien.
01:00Non mais attendez, on est en train de faire votre, tout le monde parle de vous, bon je le dis pour Jean-Claude Darmon, parce que Jean-Claude c'est quand même extraordinaire, voilà notre ami Georges qui a donc rencontré, c'est un amour subit, vous croyez pas, j'ai amené la preuve hier, la preuve, l'élément probatoire, il appelle sa femme la preuve, on en est là, c'est joli.
01:30Jean-Claude, c'est victime d'une grande jalousie, c'est vrai.
01:33Moi je pense aux fils de Georges Fenech qui m'écrivent et qu'ils ont désespéré.
01:37Hier il m'envoie un texto, il dit t'as bu ?
01:40Bon ça va être serré dans le terrier.
01:45Jean-Claude n'écoute pas toutes nos émissions mais un jour il y a eu une journée mondiale du harcèlement scolaire et notre ami Georges nous a expliqué que jeune il a été harcelé par une prof de maths qui lui disait Fenech rentre dans ton terrier.
02:10Jean-Claude est là, Jean-Claude qui publie son livre Destin, on l'a reçu hier sur CNews
02:40qui marche bien mais il est là aussi peut-être pour parler de l'actualité. On a parlé de Brandt tout à l'heure qui ferme, c'est intéressant aussi l'industrie qui périclite en France.
02:49J'imagine que le dossier Brandt il est passé devant plein de repreneurs, il manquait 25 millions d'euros, c'est sans doute pas une somme importante pour des investisseurs.
02:58Ça veut donc dire que des gens n'ont pas voulu investir dans l'électroménager en France, dans l'industrie en France, dans des marques prestigieuses comme Vedette, De Dietrich, c'était les marques du groupe Brandt.
03:11Sans doute parce que c'est trop cher de fabriquer ces produits électroménagers en France. J'imagine, Jean-Claude Darmonc.
03:19Il n'imaginait pas, c'est vrai. C'est vrai mais c'est bien dommage.
03:21Car là encore, on abandonne plein de secteurs.
03:25Mais qu'est-ce qu'on fait ?
03:26On a abandonné la moto, on a abandonné le Wi-Fi, etc. On a abandonné maintenant les frigos, les machines d'arrivée.
03:33On doit aider les entrepreneurs. Les entrepreneurs ce ne sont pas des ennemis. Ils créent l'emploi.
03:39Ce n'est pas la peine de les assassiner.
03:41J'entends Jean-Claude, mais si le coût du travail en Chine, on est concurrencé par un coût du travail qui est moindre en Chine...
03:49Il faut se protéger de l'étranger. Il faut se protéger.
03:52Vous faites des taxes ?
03:54Non, au contraire.
03:56Vous faites des taxes de douane ?
03:58Quand vous dites que vous protégez, vous taxez les produits chinois ?
04:01Oui, mais on n'est pas dans le libre-échange.
04:03On est là sur une façon d'aborder le problème de l'économie qui est capitale pour nous de protéger nos entreprises comme le font les Américains.
04:11Donc, taxes de douane, tarifs douanières, tarifs douaniers.
04:15Pascal, il n'y a pas que les taxes. L'État doit se préoccuper de l'industrie et aider l'industrie.
04:20Ce n'est pas la peine d'assassioner au niveau des impôts nos propres impôts, au niveau des charges données aux entreprises.
04:26Il faut les alléger. Faute de quoi ? Voilà les résultats qu'on a. On a tout perdu.
04:30Il y a des secteurs d'activité qu'on a complètement perdus.
04:33Et ce n'est pas nouveau, ça fait 20 ou 25 ans que l'industrie, que ce soit l'automobile.
04:36Et la dernière grande industrie, c'est l'automobile, avec cette folie de passer à l'électrique,
04:41alors qu'on était plutôt performant avec des voitures au haut de gamme que nous avions.
04:46Tu as raison, Jean-Claude. Il faut véritablement faire que les entreprises ne supportent plus les prestations sociales, les retraites, etc.
04:53Il faut que les entreprises puissent travailler avec moi.
04:55Oui, j'entends bien, chers camarades, mais c'est simple.
04:58Vous allez dire aux gens qu'il y aura moins de protection sociale, qu'il y aura moins de chômage...
05:03Elle sera financée autrement.
05:04Elle sera financée autrement.
05:05Oui. En fait, c'est simple. C'est toujours la même chose.
05:09C'est où tu prends beaucoup et tu redistribues beaucoup, ou tu prends peu et tu redistribues peu.
05:15Voilà. Et on ne sort pas pour un État de ces deux grands axes.
05:20Donc, on est plutôt dans un État qui prend beaucoup et qui redistribue beaucoup.
05:26Je ne vous parle même pas du train de vie de l'État, effectivement...
05:29Après, je crois qu'on fait une grave erreur.
05:34Le budget de la France, c'est un que nous connaissons,
05:39sa dépense incroyable pour des secteurs où nous ne sommes pas en première ligne est gravissime.
05:47C'est gravissime.
05:49Moi, l'Ukraine, je pense que c'est important de défendre l'Ukraine.
05:53Mais défendre l'Ukraine aux conditions qui sont les nôtres,
05:56c'est-à-dire qu'avec des dettes abyssales, il faut s'arrêter, avoir des presse...
06:01Bon, je suis assez d'accord avec vous, même si je prends toujours la même statistique.
06:06Sur 1000 euros d'argent public dépensé en France, 1000 euros,
06:11vous en avez plus de 550 qui partent pour le social.
06:14Il y a 250 euros qui partent pour la retraite.
06:17Je crois qu'il y a 270 euros qui partent pour le social en règle générale.
06:22Vous pensez que c'est trop ?
06:23Je pense que c'est beaucoup trop.
06:24C'est mal réparti, il n'y a rien pour la justice.
06:26Par exemple, sur 1000 euros d'argent public dépensé en France,
06:30je crois qu'il y a 4 euros pour la justice.
06:32En fait, pour le régalien, ce qu'on appelle le régalien,
06:35c'est-à-dire que vous entrez dans une administration...
06:36C'est deux fois moins que l'Allemagne, par exemple.
06:37Voilà.
06:38Donc, il y a effectivement...
06:39Mais c'est 40 ans d'histoire socialiste française
06:41qui ont été mises en place par, parfois en plus, des gouvernements de droite.
06:46Donc, c'est ainsi, nous croulons sous la redistribution sociale
06:51et sans doute, faudrait-il alléger tout cela.
06:54Mais c'est un changement de mentalité, ça ne va pas être simple.
06:56Bon, il est 16h10, on va marquer une première page de publicité.
07:00On salue évidemment Fabrice Laffitte.
07:01Bonjour Pascal, bonjour à tous.
07:02Bonjour chère Fabrice, tout va bien ?
07:04Tout va très bien, en plus que le week-end approche à grands pas, là.
07:06Mais le week-end, c'est un moment où on s'ennuie.
07:08Le plaisir, c'est de travailler ensemble.
07:10C'est exactement.
07:11Pour vous, c'est vrai.
07:11Pour lui, c'est vrai.
07:12Quand on vous connaît...
07:14Non, mais les week-ends, c'est même pas ça.
07:15Ne dites pas ça, ma fiancée à l'écoute.
07:18Je pense qu'elle le sait.
07:19Mais elle le sait pas du tout.
07:22Vous venez le dimanche.
07:24Mais je viens le dimanche soir pour préparer l'émission le lendemain.
07:30Cher ami, je veux dire, j'ai un peu de conscience professionnelle.
07:34C'est-à-dire quoi, vous vous asseyez à votre bureau,
07:35vous allumez votre ordinateur, vous prenez des notes.
07:38C'est fou ça, il bosse.
07:39Je n'ai jamais fait noter des choses.
07:40Je vais vous dire une anecdote qui est vraie.
07:42Léon Zitrone a raconté qu'à chaque fois qu'il revenait d'un reportage,
07:48quoi qu'il arrive, il passait par la rue Cognac-Jay.
07:51C'était important pour lui de venir sentir l'air de la rue Cognac-Jay
07:55et après, il rentrait chez lui.
07:56C'est vrai que vous, jeunes, avez un rapport au travail assez différent d'une autre.
08:00C'est-à-dire que vous compartimentez les choses.
08:03Par exemple, il y a une chose qui m'étonne toujours.
08:04Quand je revois, par exemple, des gens au mois de septembre,
08:09et je leur dis, ça va, t'as passé un bon été.
08:12Ah, j'ai tout coupé !
08:13Ça veut dire quoi, tout coupé ?
08:14Alors, tu ne dis pas les journaux, tes journalistes, ça ne t'intéresse plus.
08:16Ah, j'ai tout coupé !
08:17J'ai tout coupé !
08:18Moi, je ne coupe rien.
08:18Excuse-moi.
08:19Au contraire, tu dis un peu plus.
08:20Et vous allez même dire que vous lisez beaucoup plus pendant les vacances.
08:23Et t'as plus de temps pour lire l'actu.
08:26Tout coupé pour un journaliste.
08:28Ça voudrait dire que le travail est une corvée quand on voit ça comme ça.
08:31Mais oui, pour certains, je pense que c'est un plaisir.
08:34Bien sûr.
08:35Parce qu'on a la chance, c'est un métier passion.
08:37C'est un métier passion, c'est pas un métier passion.
08:38Vous savez, on a la chance parfois de faire des métiers dont on a rêvé quand on était petit.
08:42Mais bien sûr, c'est une chance.
08:44Mais oui, c'est une chance.
08:44Je trouve qu'on a eu beaucoup de chance.
08:46Et je le pense aussi.
08:47Je vous assure.
08:48Mais on ne travaille pas, nous.
08:49Et bien, on n'a pas en tout cas ce sentiment de travailler.
08:51C'est un beau témoignement.
08:52Bon, c'est vrai que vous, particulièrement, d'ailleurs, votre...
08:56Il se livre, hein ?
08:57Qu'il le reconnaisse, c'est du bien, je trouve.
08:58Franchement, d'ailleurs, c'est ce qu'on m'a dit dans votre entretien à Noël avec votre N plus 12,
09:05qui vous a écouté.
09:07Croyez-moi, c'est ce que j'ai appris.
09:09Non, mais c'est une chance.
09:10C'est une chance.
09:10Jean-Claude n'a jamais eu le sentiment de travailler de sa vie.
09:13D'ailleurs, je viens de regarder sur Wikipédia votre âge, Jean-Claude.
09:15Est-ce que c'est le vrai ?
09:16Encore ?
09:17Non, mais c'est exceptionnel.
09:19Changez-moi, changez-moi.
09:20Changez-moi, nous sommes des exemples.
09:23C'est de cesser de parler de notre âge.
09:25Nous ramener de notre âge, c'est de nous ramener au temps, etc.
09:31Le Moyen-Âge, c'est pas vrai.
09:32C'est un exemple.
09:34L'exemple, c'est de s'entretenir.
09:36J'ai jamais vu de ma vie, jamais filmé de ma vie.
09:38Je fais l'amour une fois par an.
09:40Tiens, ça tombe ce soir.
09:40Comme Georges.
09:49Il serait beau, mais mon beau, non.
09:52Je salue Fabrice Lapite.
09:54C'est tous les jours que...
09:56Tous les jours, vous avez un rapport sexuel.
10:00Non, Georges.
10:01Un rapport intime.
10:01Georges.
10:02Mais ça fait que 6 jours.
10:04Arrêtez.
10:04Mais vous voulez que je porte la preuve ?
10:07Ah oui.
10:09On passe du renard au lapin.
10:17Bon, je salue Jean-Bréciard.
10:20S'il vous plaît, on est nombreux, parlez pas tous ensemble,
10:23parce que les gens qui nous écoutent, après ils disent
10:24on n'entend pas, on n'entend que des rires et des cris.
10:26Il n'y a que des rires.
10:27Ce qui n'est pas faux.
10:29Laurent Tessier est là.
10:30Bonjour à tous.
10:30Comment ça va Laurent ?
10:31Je suis en pleine forme, même si vous allez tous me manquer pendant le week-end.
10:34Bah, évidemment.
10:35Mais le faillon !
10:36Qu'est-ce que vous avez prévu ce soir ?
10:38Vous avez prévu avec...
10:39Parce que Laurent, je le dis pour Jean-Claude Darmon,
10:41Laurent a des nouveaux amis qu'on a généralement,
10:44d'ailleurs lorsqu'on a des enfants,
10:45c'est-à-dire que ce sont les parents des enfants de la classe.
10:52C'est des gens...
10:53Moi, j'ai adoré cette période-là,
10:54parce que voilà, c'est sympa comment vont tous les enfants, tout ça.
10:57Et tous les vendredis soirs...
10:59Nous nous retrouvons autour d'un magnifique apéro.
11:01Chacun amène des bons produits, des bonnes bouteilles.
11:02Et généralement, ça se termine à 2h du matin.
11:04Et c'est le même week-end chaque week-end.
11:06Tous les vendredis soirs et le samedi pour les survivants.
11:13Exactement.
11:16Malheureusement, nous sommes occupés ce soir,
11:18mais on viendra le prochain week-end.
11:19On n'était pas en p'ture.
11:21Et puis, notre ami Alexandre Romart est là.
11:24Bonjour Pascal.
11:25Tout va bien Alexandre ?
11:26Tout roule, tout va bien.
11:26Pour vous, ça sera quoi ce week-end ?
11:28Ça sera calme comme d'habitude ?
11:28Alors, ça sera padelle dimanche et samedi soir soirée.
11:31Padelle ?
11:32On fait un padelle.
11:33Ah oui, je crois qu'il y a des padelles pour vous.
11:36Et dimanche, vous faites quoi, vous dites ?
11:38Eh bien, un padelle.
11:39D'accord.
11:41Samedi soir, une soirée avec des amis.
11:43Ah !
11:43Ce sera avec Olivier Guénèque.
11:47Oui, c'est vrai.
11:47Avec Olivier, nous sortons en soirée.
11:48L'anniversaire d'Alice Sommerer, de CNews.
11:50Que vous connaissez.
11:51Mais moi, je ne suis même pas invité, rien du tout.
11:53Ah, vous voulez être invité ?
11:54On peut peut-être vous pistonner.
11:58Non, mais je ne sais pas si vous serez adapté à la soirée.
12:00C'est Western Cowboy.
12:02Il est 16h15, à tout de suite.
12:04À tout de suite, à tout de suite.
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