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Le débrief de l'actu : Fed et BCE en sens inverse - 12/12
BFM Business
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il y a 2 jours
Retrouvez le débrief de l'actu du vendredi 12 décembre dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
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Afficher la transcription complète de la vidéo
00:00
BFM Business et RMC Live présente la matinale de l'économie.
00:05
Good morning business.
00:08
8h42 sur BFM Business et sur RMC Live.
00:10
Bonjour Laurent.
00:11
Marc Ferrentino est là et il est ravi d'être là pour débriefer l'actualité de la semaine.
00:15
On commence avec l'actualité de la journée.
00:16
Le dossier Brandt qui raconte quand même tous les problèmes de l'économie française.
00:20
Le gouvernement annonce à l'instant qu'il ne veut pas lâcher le dossier
00:22
et qu'il veut regarder s'il y a quelque chose qu'on peut faire avec cette marque.
00:26
Est-ce que c'est une bonne décision de l'avoir liquidée ?
00:29
Je ne sais pas si c'est une bonne décision de l'avoir liquidée
00:31
mais je sais que c'est une décision qui est liée à la situation économique de l'entreprise.
00:35
Je pense que mener des combats d'arrière-garde pour aller défendre Brandt
00:39
alors que vous êtes il y a quelques minutes en train d'annoncer
00:42
qu'OpenAI lance un nouveau modèle.
00:44
C'est tout le problème aujourd'hui de la réflexion économique en France.
00:49
C'est le problème du fantasme de la réindustrialisation.
00:53
C'est le problème de vouloir revenir à la machine à vapeur
00:58
et à la calèche alors qu'on n'est plus là-dedans.
01:02
Vous répondez à la question, est-ce qu'il faut liquider la réponse ?
01:04
Je ne sais pas parce que moi je n'ai pas les données sur l'entreprise.
01:08
Donc vous dire que c'est une décision du tribunal,
01:10
est-ce qu'il faut liquider ou pas ?
01:11
Quelles sont les offres de reprise ?
01:13
Il n'y en a pas.
01:14
Je ne suis pas capable de juger mais je dis qu'aujourd'hui s'accrocher à des vestiges du passé
01:20
alors qu'on a des TGV de l'IA et l'économie de demain qui est en train de se créer,
01:27
ça fait partie du mal français, c'est-à-dire de s'accrocher à des vestiges du passé
01:31
et je trouve que ça fait partie de ce fantasme délirant de réindustrialisation.
01:37
Il faut faire de la réindustrialisation, vous parliez tout à l'heure du succès du fonds défense,
01:41
là où on a des avantages compétitifs, on a des avantages compétitifs dans le luxe,
01:44
on a des avantages compétitifs dans l'agroalimentaire,
01:47
on a des avantages compétitifs dans la défense.
01:49
Mais pas dans la machine à laver.
01:50
Mais bon, ça y est quoi, je veux dire, on ne va pas revenir en arrière.
01:54
La Chine qui était l'usine du monde aujourd'hui est à la tête d'une technologie mondiale
01:58
dont on a tous besoin, il faut faire notre révolution, on ne l'a pas faite.
02:02
En tout cas en France, on ne l'a pas faite.
02:03
Alors, les entrepreneurs, à l'enfant, les entrepreneurs, eux, sont sur les nouvelles thématiques,
02:09
se battent, les dirigeants d'entreprises vont sur les nouvelles tendances,
02:13
mais on ne va pas défendre des vestiges du passé, ça ne sert vraiment à rien.
02:16
Parmi l'actualité de la semaine, cette réserve fédérale qui a donc baissé les taux d'un quart de point,
02:23
c'était mercredi soir, pas assez pour Donald Trump.
02:25
Est-ce que pour vous le job est fait ?
02:27
Non, pas du tout, le job n'est pas fait du tout.
02:28
Alors, je suis très surpris parce que vous avez remarqué que cette semaine, les taux d'intérêt à long terme mondiaux
02:33
étaient au plus haut depuis 16 ans.
02:35
Donc, pourquoi ? Parce qu'il y a eu d'abord ce tsunami, on ne va pas revenir dessus, qui vient du Japon,
02:40
avec un changement de paradigme complet du Japon.
02:42
Ok, on va pas revenir dessus.
02:43
Donc, moins d'investisseurs japonais globalement sur l'ensemble des taux obligataires.
02:45
Voilà, des investisseurs japonais qui d'un coup ont la possibilité d'avoir des rendements importants chez eux,
02:50
qui rapatrient une partie de l'argent, comme ce sont les créanciers du monde entier.
02:53
Et bien, évidemment, ça a des impacts sur les taux d'intérêt mondiaux.
02:56
Et puis, cette nouvelle tendance que j'entends un peu partout, notamment chez les prévisionnistes,
03:00
comme quoi, un peu ce que vous dites, le job serait fait, la baisse des taux serait terminée,
03:04
ce serait la fin du cycle de baisse des taux.
03:06
Et évidemment, évidemment, en pointe de ce monde absurde.
03:11
Ce n'est pas les prévisionnistes, c'est Isabelle Schnabel, en fait, qui dit qu'on voit ça...
03:15
Non, non, parce qu'il y a une ambiance globale.
03:17
Moi, je lis un peu toutes les notes des banques d'affaires américaines,
03:20
des banques d'affaires internationales, et partout, j'entends dire, ça y est, c'est fini,
03:24
le cycle de baisse des taux est terminé, on commence à avoir des hausses des taux au Japon,
03:28
on a des hausses des taux en Australie, les États-Unis, le job est fait.
03:33
Et la Banque Centrale Européenne, toujours, mais toujours à contre-courant,
03:38
alors je sais que je fais une fixation, mais ce n'est pas possible de se planter autant
03:42
et de ne pas se remettre en question, c'est-à-dire que le track record de la Banque Centrale Européenne
03:47
sur les dix dernières années est dramatique, et là, qu'est-ce qu'on entend du côté de la Banque Centrale Européenne ?
03:53
On entend le prochain mouvement, bon, c'est Schnabel, mais on va revenir sur Christine Lagarde.
03:59
Schnabel dit, le prochain mouvement sera peut-être la hausse des taux,
04:02
et Christine Lagarde dit, vous allez voir, on va avoir des bonnes surprises sur la croissance économique.
04:06
Mais j'ai envie de leur dire, mais dans quel monde vous vivez ?
04:09
C'est-à-dire, baladez-vous, allez voir les entreprises, où est la croissance économique ?
04:13
Qu'est-ce qui fait qu'on maintient des taux d'intérêt aussi élevés ?
04:16
Alors qu'il n'y a plus d'inflation, il n'y en a pas d'inflation en Europe.
04:18
Il y a zéro inflation en Europe.
04:20
Et on a une croissance économique mondiale qui est au tapis, européenne qui est au tapis.
04:26
L'Allemagne qui va redémarrer, mais en 2026 et surtout en 2027,
04:30
et encore, elle ne va pas tirer toute la zone euro.
04:32
Mais donc, vous êtes d'accord avec Emmanuel Macron quand il dit que la BCE ne joue pas toujours dans le camp européen ?
04:37
Où il remet en cause ?
04:38
Moi, je pense que la BCE, ce n'est pas une question de savoir si elle joue dans le camp européen ou pas.
04:42
Il dit qu'il faut arrêter de réduire le bilan, il faut arrêter avec les taux, il faut continuer à les baisser.
04:47
Je n'écoute plus depuis longtemps Emmanuel Macron en matière économique,
04:50
mais la question, c'est de savoir pourquoi une banque centrale européenne qui s'est autant plantée
04:55
ne fait pas son mea culpa sur plein de mouvements et continue à plomber l'économie européenne.
05:01
On doit avoir des taux d'intérêt qui reviennent presque à zéro.
05:05
C'est-à-dire qu'aujourd'hui, nos taux en zone euro, le taux de l'euro, doit être à 1%, voire 0,5%.
05:13
On est toujours à 2%.
05:14
Alors, vous allez me dire 2%, non, mais ça va, c'est bien, on a déjà quand même beaucoup baissé.
05:19
Mais non, on n'a pas suffisamment baissé.
05:21
Aux Etats-Unis, contrairement à tout ce qu'on lit partout, les taux d'intérêt vont continuer à baisser.
05:26
Le job n'est absolument pas fait.
05:28
Il y a un ralentissement de l'emploi aux Etats-Unis.
05:32
Il y a des éléments qui nous ont fait croire que l'économie américaine était plus résiliente,
05:37
mais il y a des facteurs, des signaux faibles de ralentissement.
05:40
Et donc, la baisse des taux va continuer en 2026.
05:44
Surtout, là aussi, je ne comprends pas, c'est évident,
05:47
il y a un nouveau patron de la Banque Centrale Européenne, américaine, qui va être nommé en mai.
05:53
Ça va être un gars qui va être totalement aux ordres de Donald Trump.
05:56
Donc, qui va baisser les taux ?
05:58
Oui, on est aujourd'hui à entre 3,50 et 3,75.
06:02
Les taux d'intérêt court terme américains vont descendre, je prends le pari ici, à 2,5% l'année prochaine.
06:09
Les taux européens doivent descendre au moins de encore 1%.
06:12
Et puis, en attendant, les erreurs de la BCE nous coûtent très cher,
06:16
parce que vous avez vu l'euro ce matin, il est au plus haut, on est au-dessus d'un 17.
06:20
Mais c'est dramatique, c'est-à-dire qu'on est déjà les dindons de la farce de la réorganisation mondiale commerciale.
06:29
Vous avez vu, quand même, en une semaine, on a appris deux choses importantes.
06:33
Hier, on a appris que le déficit américain commercial était au plus bas depuis cinq ans.
06:39
Donc, ça veut dire que pour eux, les droits de douane, ça marche.
06:42
Et puis, on a appris parallèlement à ça que le surplus économique, vous l'avez commenté,
06:46
le chinois était au plus haut.
06:48
Et on s'aperçoit, quand on regarde tout ça, qu'il y a un seul pigeon dans tout ça.
06:53
Le seul qui joue le jeu du libre-échange, mais un libre-échange à sens unique,
06:59
c'est la zone euro et l'Union européenne.
07:02
Et franchement, il y a des jours où ce n'est pas simplement pour polémiquer,
07:05
mais je me dis, mais je ne sais pas, comment ces gens jugent de la qualité de l'économie
07:11
et comment ils peuvent continuer à nous asphyxier avec des taux d'intérêt qui sont trop élevés,
07:17
avec maintenant un euro qui va être trop fort
07:20
et qui va plomber ce qui nous reste en exportation.
07:23
Franchement, c'est désastreux.
07:24
Donc, finalement, vous êtes bien d'accord avec Emmanuel Macron
07:26
et tout ce qu'il a dit dans les échos ?
07:28
Non, non, non, je ne sais pas.
07:29
Si sur la BCE, c'est à peu près le...
07:32
Non, parce que je ne suis pas d'accord avec ce qu'il dit,
07:35
dans le sens où il dit, aujourd'hui, elle n'est pas tout à fait dans son rôle.
07:38
Ce que je dis, moi, c'est qu'elle se plante et que, moi, je me rappelle très bien
07:42
de ce qu'avait dit le patron de la Banque d'Angleterre,
07:44
qui avait dit, on a fait des erreurs,
07:47
il faut qu'on fasse l'audit de nos erreurs, ce qu'ils ont fait.
07:49
Nous, on ne fait pas l'audit de nos erreurs.
07:52
La Banque centrale européenne a une lourde responsabilité
07:55
dans la crise que traverse la zone euro
07:57
et je pense qu'on n'en parle pas assez.
07:59
Vous parlez de la faiblesse de l'Europe,
08:02
faiblesse qui a été remontée par les Américains dans leur note stratégique.
08:06
Là, carrément, ils parlent d'effacement.
08:08
On est un ennemi désormais pour eux.
08:10
Pour moi, c'est probablement...
08:12
Vous voyez, si vous me posiez la question,
08:13
je vous dirais que c'est peut-être l'événement le plus important de l'année de 2025.
08:18
C'est-à-dire qu'aujourd'hui, très clairement,
08:20
on voit que Donald Trump, on est devenu l'ennemi.
08:24
Alors, on est l'ennemi économique,
08:26
on est l'ennemi culturel,
08:28
on est l'ennemi politique.
08:29
On représente tout ce qu'il déteste.
08:32
À juste titre, pour certaines choses,
08:34
trop de réglementations,
08:36
trop de contraintes,
08:36
pas assez de décisions rapides,
08:39
pas de flexibilité.
08:40
Lui, ce qu'il aime,
08:41
c'est pouvoir passer un coup de fil à Xi Jinping
08:42
ou un chèque du Golfe
08:46
et lui dire
08:47
« Est-ce que tu veux faire ci, faire ça ? »
08:48
Et il y a une seule personne qui répond.
08:49
Il ne comprend rien à l'Union européenne.
08:51
Je pense qu'on ne peut pas dire ça.
08:53
On ne peut pas dire qu'il ne comprend rien.
08:54
Au contraire, il comprend très bien l'Union européenne
08:57
et il ne l'aime pas du tout.
08:58
D'abord parce qu'on représente un vrai processus démocratique.
09:03
Et ça, c'est bien.
09:04
Ça, c'est bien.
09:05
Et d'autre part,
09:07
parce qu'il considère que
09:08
bon, on est sur...
09:10
Là, ce n'est pas mon domaine,
09:11
mais on est dans un déclin culturel
09:13
et que globalement,
09:15
on a laissé passer trop d'immigration
09:17
et que c'est en train d'atteindre.
09:19
Là-dessus, je ne suis pas tout à fait d'accord avec lui,
09:21
même s'il y a des éléments
09:23
qui sont rationnels
09:25
et qu'on peut chiffrer.
09:27
Mais c'est vrai qu'aujourd'hui,
09:29
ce qui me frappe, c'est de se dire
09:30
« Bon, en 1949, on a l'OTAN,
09:33
l'ennemi, c'est l'URSS
09:35
et le communisme. »
09:36
Et puis aujourd'hui,
09:37
les États-Unis nous disent
09:39
« Mais en fait, c'est vous l'ennemi.
09:40
En fait, vous représentez un modèle
09:42
économique, politique et social
09:44
et culturel
09:46
qui ne nous correspond plus du tout. »
09:48
Ça veut dire quand même que,
09:49
pour nous,
09:50
on doit se réinventer tout seul maintenant.
09:53
Je pense que c'est une très mauvaise nouvelle
09:54
et une très bonne nouvelle.
09:56
Une très mauvaise nouvelle
09:56
parce que perdre l'alliance
09:58
avec les États-Unis,
10:00
c'est quand même un élément
10:01
qui va reconfigurer le monde
10:02
qu'on a connu
10:04
et que j'ai connu moi
10:05
depuis des dizaines d'années.
10:08
Et d'un autre côté,
10:08
c'est une très bonne nouvelle
10:09
parce que c'est l'occasion
10:10
de nous réinventer.
10:12
Il faut qu'on nous réinvente.
10:13
Je suis très positif.
10:14
Je suis très positif
10:15
sur le fait que l'Europe
10:16
a la capacité
10:17
de renouer avec...
10:20
C'est quoi ?
10:20
C'est nos industries créatives ?
10:21
On l'a vu,
10:22
on a eu deux démonstrations
10:22
cette nuit.
10:23
C'est notre luxe ?
10:24
C'est plein de choses.
10:26
D'abord,
10:27
on est,
10:28
je reprendrai les termes
10:29
de Jean-Marc Daniel,
10:29
on est une puissance
10:30
en matière d'épargne.
10:31
C'est-à-dire qu'il faut
10:32
qu'on devienne un Japon bis.
10:34
Le Japon est puissant,
10:35
on en parlait tout à l'heure.
10:35
Il faut investir beaucoup
10:36
à l'étranger.
10:36
Ah oui, voilà,
10:37
on faisait la boucle...
10:38
C'est Mumbai de Jean-Marc Daniel.
10:39
Ouais, Mumbai,
10:40
son obsession,
10:42
mais il n'a pas totalement tort.
10:44
C'est-à-dire qu'aujourd'hui,
10:45
l'élément qui est très positif
10:47
sur l'Europe,
10:48
c'est que, bon,
10:49
certes, on vieillit,
10:50
certes, on fait moins d'enfants,
10:51
mais on a énormément d'épargne
10:53
et on a une capacité aujourd'hui
10:55
de peser sur le monde.
10:57
L'idée, c'est de ne plus recréer
10:58
des usines brantes.
11:00
Ça, c'est terminé.
11:01
Mais par contre, d'investir...
11:02
Non, vous voulez terminer ?
11:03
Parce qu'il me reste 4 secondes.
11:04
Mais c'est d'investir
11:05
dans des gens
11:06
qui avancent très vite.
11:07
Vous n'avez pas fini de parler,
11:08
vous pourrez continuer ce soir
11:09
danser votre argent
11:09
à partir de 20h.
11:10
Vous pourrez parler pendant...
11:11
Et là, on me laissera parler.
11:12
Absolument.
11:13
Parce que moi,
11:13
je vous ai énormément
11:14
inquiétés ce matin.
11:16
Alors, donc...
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