- il y a 2 jours
Mondial 2027 : deux ans pour créer un événement inoubliable - En Avant L'Eco du 5 décembre
La chronique de Philippe Spanghero
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SportTranscription
00:00Où est l'argent ? Où est l'argent ?
00:02Sud Radio, la radio du rugby.
00:05Ah oh, d'ailleurs j'étais sûr qu'en France-Jean-Thémane, les questions d'argent ne se faudraient pas.
00:09Ça c'est mon or, c'est mon or, c'est mon argent.
00:12Donner de l'argent à un paresseux, c'est donner de l'absolte à un alcoolique.
00:18Bonsoir Philippe Sponguero.
00:20Bonsoir messieurs.
00:22On va parler de la Coupe du Monde 2027 en Australie.
00:24Deux ans pour créer un événement inoubliable.
00:26Deux ans d'attente pour nous, mais seulement deux ans de travail pour les organisateurs à venir.
00:31Et pour les nations, une grande différence de perception forcément Philippe.
00:35Le compte à rebours est lancé pour les nations et pour l'organisation.
00:40Et ça va arriver très vite.
00:42Ça va arriver très vite, si ce n'est que l'Australie s'est quand même préparée.
00:45Puisque l'annonce de l'accueil de cette compétition, elle a été faite en 2022.
00:50Les Australiens ont quand même eu le temps de se préparer.
00:53Maintenant on connaît les poules, on connaît les affiches.
00:55Et là on va rentrer vraiment dans le money time du côté des organisateurs.
00:59Avec des enjeux forcément économiques et d'images qui sont très importants.
01:04Justement, quand on parle de Coupe du Monde, quels sont les chiffres clés de cette édition 2027 pour l'instant ?
01:12Pour l'instant on a du mal à les connaître.
01:13On va se référer à ce qu'on connaît.
01:15Donc d'abord ça va être la 11e édition avec un nouveau chapitre qui s'ouvre.
01:20La première édition à 24 nations.
01:23Donc le rugby, voilà, petit à petit s'étend.
01:26On espère que sportivement, cette ouverture, elle sera justifiée, cohérente par rapport à ce qu'on verra sur le terrain.
01:32Mais en tous les cas, déjà elle est marquée par un fait assez historique en termes d'ouverture au monde.
01:38Et donc on va se référer à ce qu'on connaît de France 2023.
01:42Mais il y a un enjeu forcément très important pour le pays.
01:45Puisqu'on estime à peu près à 1 milliard d'euros ou de dollars les retombées dans l'économie du pays.
01:52Un peu plus de 600 millions directement liés au tourisme.
01:56En France, c'était 425 000 visiteurs étrangers qui étaient venus visiter la France par cet événement qui était la Coupe du Monde.
02:04On peut estimer qu'en Australie...
02:05Mais l'Australie c'est un peu plus difficile d'accès quand même.
02:07Alors à la fois c'est difficile d'accès.
02:09Mais à la fois c'est une destination qui donne envie aux gens de venir et sur des durées plus longues.
02:15Parce qu'en fait sur ce qui s'est passé en France, c'est qu'on a eu beaucoup de visiteurs qui venaient du continent européen.
02:22Qui est un continent forcément beaucoup plus sensible au rugby.
02:25Et donc c'était des séjours beaucoup plus courts.
02:27Donc là on va avoir affaire à une autre typologie de visiteurs en partie.
02:32Et ça devrait servir l'économie locale.
02:34Donc ça c'est pour ce qui concerne le pays.
02:35Et pour la fédération, c'est forcément un enjeu très important.
02:39Puisqu'on sait que la fédération australienne a été en difficulté.
02:43Qu'elle a du mal à trouver sa place au milieu des autres sports majeurs en Australie.
02:47Le rugby A13, l'Australian Rules.
02:49Et donc c'est un enjeu majeur en termes de recrutement de licenciés et de revenus directs.
02:54Puisque la France, on en a assez parlé avant ces problèmes de gestion qui ont entaché quand même l'organisation de France 2023.
03:02L'ambition affichée était d'un bénéfice net de 45 à 50 millions.
03:07C'est ce qu'en général les pays hautes attendent en termes de revenus.
03:11Donc à l'échelle de l'Australie, c'est énorme.
03:13Donc il y a des revenus directs très importants qui vont servir la fédération et le développement du rugby.
03:19Et on attend forcément un afflux important de licenciés qui va venir donner un coup de boost à ce rugby A15.
03:25Un peu en souffrance en Australie ces dernières années.
03:28Alors on sait qu'une coupe du monde, c'est aussi pour marquer l'histoire.
03:32Alors dans l'organisation, on voit comment ça se passe.
03:34On sent que l'Australie est en train de travailler fortement.
03:38Mais justement, quels seront les défis que doivent relever la fédération australienne pour marquer l'histoire ?
03:43Est-ce seulement sportif, Philippe ?
03:46Non, ça ne peut pas être que sportif.
03:48C'est un événement mondial majeur.
03:50Je regardais les chiffres un peu globaux qui concernent les Coupes du Monde.
03:53Et il y a un chiffre qui m'a beaucoup marqué.
03:55C'est que l'édition en France en 2023,
03:57c'est le quatrième événement sportif dans l'histoire de la télé et du monde médiatique
04:04en termes de retombées médiatiques.
04:06Après la Coupe du Monde de foot en Russie,
04:08après les Jeux Olympiques de Tokyo et les Jeux Olympiques de Paris.
04:12Donc pour faire cette étude, on combine à la fois les audiences télé
04:15et toutes les interactions sur les réseaux sociaux.
04:18Donc France 2023 se place comme le quatrième plus gros événement de l'histoire du monde du sport.
04:23Donc vous voyez un peu ce que représente l'enjeu,
04:26le challenge pour l'Australie de recevoir cette Coupe du Monde 2027
04:29qui va se placer a priori dans le top 10 des événements sportifs de tous les temps
04:34en termes de couverture médiatique.
04:36Donc forcément pour qu'il y ait l'impact de la couverture médiatique,
04:40elle se passe aujourd'hui non pas seulement sur les droits télé et puis les audiences,
04:44mais sur toute la vie autour en termes de médiatisation
04:47et notamment la vie sur les réseaux sociaux.
04:49Et donc l'enjeu, c'est la qualité d'accueil, c'est le spectacle,
04:52c'est la cérémonie d'ouverture, la cérémonie de clôture,
04:55c'est la capacité à bien accueillir les visiteurs
04:58et à leur faire vivre une expérience un peu exceptionnelle
05:02qui donne envie aux gens de parler de l'événement
05:04à travers leur découverte ou leur redécouverte de l'Australie.
05:08Donc forcément les enjeux dépassent très largement le cadre sportif.
05:12Et on parlait justement des nations qui sont rarement présentes
05:15dans ces Coupes du Monde, on parle de l'Espagne,
05:18on parle de Zimbabwe, de Hong Kong
05:20qui va participer à cette Coupe du Monde.
05:23On parlait de l'attente puisqu'on a un peu moins de deux ans
05:25de la Coupe du Monde 2027.
05:28C'est deux ans aussi pour ces nations pour monter en pression
05:31dans leurs pays respectifs, de la recherche d'autres sponsors
05:33à la création d'un allant qui serait historique.
05:37Il faut enclencher quelque chose pour ces nations.
05:39C'est aussi pour ça que le tirage au sort est si tôt.
05:44Est-ce que deux ans d'ailleurs c'est suffisant pour ces nations
05:47pour créer quelque chose et surtout pour surfer sur l'après-Coupe du Monde ?
05:52Alors j'ai envie de dire que c'est un faux débat
05:55parce que ces nations, les dernières qualifiées,
05:58on sait que de toute façon sur le papier, dans les poules,
06:01au ranking World Rugby, elles partent de loin.
06:04Donc elles sont considérées comme les petites nations
06:06et elles vont affronter dans les poules que des plus grosses nations qu'elles.
06:10Donc qu'elles le sachent deux ans avant ou un an avant,
06:14sportivement dans la préparation, ça ne change pas grand-chose.
06:17Là, World Rugby a voulu être très en amont
06:20parce qu'il a été reproché lors de la dernière Coupe du Monde,
06:23un tirage au sort trop tardif.
06:28Et donc ça avait été reproché à World Rugby.
06:31Donc on est quand même très en amont là pour travailler.
06:34Donc est-ce que c'est trop tôt ? Je ne crois pas.
06:37En tous les cas, aujourd'hui...
06:39Mais tu vois que ces nations-là, elles ont envie d'être le Portugal de France 2023
06:42parce que le Portugal nous a tous surpris.
06:45Ils ont réussi à construire quelque chose avec Patrice Lagisquet et David Gérard.
06:49Et ce qui fait qu'aujourd'hui, le Portugal est une nation qui compte dans le rugby.
06:53J'imagine que pour l'Espagne, qui est déjà un petit peu dans cette mouvance-là,
06:56elle est déjà bien avancée, mais pour le Zimbabwe, pour Hong Kong,
06:59est-ce qu'il peut y avoir l'ambition d'être le Portugal de 2023 ?
07:06De toute façon, elle doit aborder cette compétition avec cette ambition-là.
07:09Sinon, ça ne sert à rien parce qu'il ne faut pas que ce soit un coup d'épée dans l'eau.
07:13Elle est attendue, cette édition.
07:15Et World Rugby est attendue avec cette nouvelle formule de 24 équipes
07:17parce que je le disais en préambule.
07:19Mais l'enjeu, il est sportif aussi et avant tout.
07:22Et donc, si ces équipes-là, si ces pays-là veulent amorcer quelque chose,
07:27trouver une fanbase dans leur pays et susciter des vocations,
07:32donner envie à des gamins de jouer au rugby,
07:34ça passe par une forme de fierté sur le terrain.
07:38Si ces équipes, elles prennent 60 points par toutes les équipes de leur poule,
07:41ce sera très dur d'amorcer quelque chose.
07:43Donc forcément, il faut que sportivement, il y ait du répondant et qu'elles existent.
07:47Et que le fait qu'elles participent à cette compétition, sportivement,
07:52ne soit pas remis en question.
07:54Et c'est un enjeu majeur parce que la finalité, je le dis souvent,
07:57mais le rugby en termes d'économie est un des sports importants quand même dans le monde.
08:01Alors, c'est très diffus sur le globe,
08:04mais il y a quand même des zones économiquement riches
08:07dans lesquelles le rugby est très fort.
08:09Mais malgré tout, quand vous regardez les grands sports collectifs majeurs,
08:13le basket, le foot, le volley, le hand,
08:15vous avez un potentiel de pays qui peuvent participer à ce genre d'événement
08:20qui est beaucoup plus important,
08:22qui est de 35 à 40, voire 50 nations.
08:25Et donc, au rugby, on est la nation,
08:28on est le sport qui est le plus en difficulté par rapport à ça.
08:30Donc, si on veut se développer à l'échelle du monde,
08:33de toute façon, 24 nations, c'est une première étape.
08:36Et il faudra arriver dans le temps à 28, voire à 32.
08:40Parce que c'est comme ça qu'on montrera que le rugby s'implante
08:43dans des territoires sur lesquels il n'était pas jusqu'à présent
08:46et consoliderait...
08:47On sent que ça, un enjeu très important pour World Rugby,
08:49l'implantation, l'internationalisation du rugby.
08:52Majeur, en quelques chiffres pour World Rugby,
08:54l'attente financière d'une Coupe du Monde,
08:58celle qui était celle de World Rugby en 2023
09:00et qui sera celle de World Rugby pour l'Australie,
09:03c'est à peu près 400 millions de bénéfices.
09:06400 millions de bénéfices, c'est 90%
09:08des recettes de fonctionnement de World Rugby sur 4 ans.
09:12Donc, c'est 400 millions pour réussir à développer le rugby
09:15dans le monde sur 4 ans.
09:17C'est beaucoup et ce n'est pas beaucoup.
09:19Donc, à l'échelle du monde sportif et des enjeux financiers,
09:25ce n'est finalement pas beaucoup.
09:26100 millions par an renvoyés dans le monde
09:29pour développer la pratique.
09:30Et donc, World Rugby a besoin d'être accompagné
09:32par des pays qui deviendront autonomes dans le temps.
09:35On n'a pas le choix.
09:36Aujourd'hui, on voit que l'économie du rugby,
09:38elle reste fragile et que pour son développement,
09:41World Rugby ne pourra pas le porter seul.
09:43Il faudra que des nations deviennent autonomes
09:45et rayonnent autour d'elles
09:46pour attirer un maximum d'enfants
09:49à jouer au rugby et à créer des licenciés
09:52et à créer un effet boule de neige.
09:56Alors, non seulement on a deux ans d'attente,
09:57mais en plus, l'attente, elle a changé,
09:59Philippe Spanguero,
09:59parce qu'il y a un nouveau calendrier international,
10:01excite les tournées,
10:02bienvenue à la Coupe des Nations.
10:04À quel point cette période
10:06entre le tirage et le début de la Coupe du Monde
10:10sera stratégique ?
10:13D'abord, ce qui est stratégique,
10:14c'est cette première Coupe des Nations,
10:16parce qu'on en a parlé et c'est un vrai débat.
10:18On a besoin d'avoir des Coupes du Monde
10:21qui soient des spectacles magnifiques,
10:24sportifs et extrasportifs.
10:26Parce que si on a des Coupes du Monde
10:28qui sont un peu indigestes
10:30avec ces nations qu'on a fait rentrer,
10:33qui ne trouvent pas leur place,
10:35le risque, c'est que la Coupe des Nations
10:36cannibalise les Coupes du Monde.
10:38Parce que là, on va être avec le top 12 mondial.
10:41Si World Rugby anime très bien ça
10:44d'un point de vue de l'entertainment,
10:46de l'événementiel,
10:47on va se dire,
10:48est-ce qu'il vaut mieux finalement
10:49regarder tous les deux ans
10:50cette Coupe des Nations
10:52avec les 12 meilleures équipes du monde
10:54en deux périodes bien définies
10:55dans le calendrier international,
10:57où est-ce qu'il faut continuer
10:59à regarder les Coupes du Monde ?
11:00C'est ça la question qui peut se poser
11:01si on n'a pas de grandes Coupes du Monde
11:03de demain.
11:04C'est de réussir à faire cohabiter
11:06ces deux compétitions
11:07parce que cette Coupe des Nations,
11:09encore une fois,
11:09si elle est très bien portée
11:11et bien vendue,
11:12et je ne doute pas que ce soit le cas,
11:13elle peut venir concurrencer demain
11:15l'économie des Coupes du Monde.
11:19Je vais vous rappeler évidemment
11:20dans un instant le tirage au sort
11:21de la Coupe du Monde,
11:21mais quel enjeu spécifique
11:22pour la Fédération française de rugby
11:25pour cette Coupe du Monde ?
11:27Évidemment,
11:27au-delà du sportif,
11:28parce que le sportif,
11:29on connaît un peu le...
11:31On va dire,
11:31on connaît un petit peu l'objectif,
11:32mais la situation
11:34de la Fédération française du rugby
11:35semble un petit peu se bonifier
11:37quand même, Philippe.
11:38On voit que des sponsors affluent.
11:40Alors,
11:40comment on peut avancer,
11:43continuer,
11:43poursuivre cette embellie
11:45jusqu'à 2027 ?
11:47L'enjeu,
11:48il se situe à plusieurs niveaux.
11:51Il y a un enjeu,
11:51bien sûr, sportif,
11:53mais ça,
11:54Fabien Galtier a été clair.
11:55L'ambition,
11:55c'est d'être champion du monde
11:56et c'est l'ambition
11:58que le rugby français a.
12:00Il y a un enjeu économique derrière
12:01parce qu'en effet,
12:02la période est plutôt bonne
12:03pour le rugby français
12:04en termes d'image,
12:06en termes de dynamique,
12:07d'audience,
12:07etc.
12:08Donc,
12:08ça permet d'attirer des sponsors.
12:10Mais ce qui permet d'attirer des sponsors,
12:12c'est les valeurs
12:12et c'est la performance.
12:14On a eu une équipe de France
12:15performante
12:15ces dernières saisons,
12:16donc on coche un peu
12:17toutes les cases
12:18de bonnes audiences,
12:19des valeurs retrouvées
12:20auxquelles le grand public
12:21aime s'associer
12:22et la performance sportive
12:23et des têtes d'affiches.
12:25Donc,
12:25tout ça,
12:26c'est parfait.
12:27Donc,
12:27il faut quand même figurer en 2027
12:29parce qu'il va y avoir
12:30un problème potentiellement
12:31sous-jacent à ça
12:32si l'équipe de France
12:33ne fait pas une grande coupe du monde.
12:34C'est qu'on va revenir
12:36dans une discussion
12:37certainement complexe
12:38entre la Ligue et la Fédé
12:39parce que les clubs diront
12:41écoutez,
12:42on a fait l'effort en 2023
12:44parce que c'était chez nous.
12:45On considère
12:46que l'équipe de France
12:47a du potentiel.
12:48On veut accompagner
12:49l'équipe de France
12:50à performer en 2027.
12:52On refait des efforts
12:53jusqu'en 2027.
12:54Mais si en 2027,
12:55ça ne sourit pas
12:56et que l'équipe de France
12:57sort en quart de finale,
12:59bien certainement
13:00que les clubs diront
13:01écoutez,
13:02on a trop fait d'efforts
13:03au service de l'équipe nationale.
13:05Et c'est ça
13:05le problème de fond
13:06du rugby français.
13:07C'est qu'on réussit
13:09à aligner les points de vue
13:11à certaines périodes
13:12mais ça peut être
13:13régulièrement remis en question.
13:15Et donc,
13:16l'enjeu,
13:17c'est que les clubs
13:18se disent
13:19qu'ils ont intérêt
13:20à jouer le jeu
13:22de l'équipe nationale
13:23parce que l'équipe nationale
13:24performe
13:25et parce que par ricochet,
13:27ça sert les clubs.
13:28Si l'équipe nationale
13:29ne performe pas
13:29et ne rayonne pas
13:30comme elle a rayonné
13:31ces dernières saisons,
13:32les clubs
13:33verront moins d'intérêt
13:34et auront moins envie
13:35d'être bienveillants
13:37vis-à-vis des besoins
13:38de la FED
13:38et de l'équipe nationale.
13:40Encore une fois,
13:41une chronique absolument passionnante,
13:43Phyllis Panguero.
13:44Tous les enjeux,
13:45vous les avez à deux ans
13:46de la Coupe du Monde
13:462027
13:48en Australie.
13:50Je vous rappelle d'ailleurs
13:51le tirage au sort
13:51de la Coupe du Monde,
13:52les six groupes...
13:52C'est émouvant
13:53quand tu vois un sens comme ça.
13:55Je sais.
13:56Le groupe A,
13:56Nouvelle-Zélande,
13:57Australie,
13:57Chili,
13:58Hong Kong.
13:58Le groupe B,
13:59Afrique du Sud,
14:00Italie,
14:01Georgie,
14:01Roumanie.
14:02Le groupe C,
14:03Argentine,
14:03Fidji,
14:03Espagne,
14:04Canada.
14:05Le groupe D,
14:05Irlande,
14:06Écosse,
14:06Uruguay,
14:07Portugal.
14:07Le groupe E,
14:08on a été bien servi.
14:10Japon,
14:10Etats-Unis,
14:11Samoa,
14:11France.
14:12Et puis le groupe F,
14:13Angleterre,
14:14Pays de Galles,
14:15Tonga et Zimbabwe.
14:17On rappelle que d'ailleurs,
14:18il y aura des troisièmes
14:19qui se qualifieront
14:20pour les huitièmes de finale
14:22parce que oui,
14:22désormais,
14:23il y aura des huitièmes de finale
14:24dans cette Coupe du Monde
14:242027.
14:26Merci,
14:27Philippe Spanguero,
14:27on te retrouve dimanche
14:28pour au cœur de la mêlée
14:30pour tout simplement
14:31clôturer
14:32le premier week-end
14:34de Champions Cup
14:35et de Challenge Cup.
14:35Ce sera avec Cyprien Béthou
14:37et toute l'équipe
14:37sur Sud Radio.
14:39Merci beaucoup,
14:40Philippe Spanguero.
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