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##LES_PERLES_DU_JOUR-2025-11-26##

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00La France dans tous ses états, les perles du jour.
00:04Revoilà Président !
00:05Qu'est-ce que c'est que ce truc Corine ?
00:07Mon Perico, si vous croisez Patrick Roger, le directeur de Sud Radio, on est entre nous,
00:11et que pour une raison ou pour une autre, vous vous disputez,
00:14sachez que vous avez désormais le droit d'insulter votre patron sans être licencié.
00:18Ma chère Maud, je ne profiterai pas de votre suggestion pour vérifier l'information.
00:23C'est pas une suggestion !
00:23Voilà, le respect que nous inspire Patrick Roger éloigne de nous toute tentation
00:28de le traiter de quoi que ce soit.
00:30Mais pourtant, il y a eu un cas traité, voilà, c'est un entraîneur de football
00:36qui était affecté à un centre de formation,
00:39et puis son directeur lui dit, finalement, tu ne seras pas ou vous ne serez pas affecté au centre de formation,
00:45vous serez mis dans une fonction subsidiaire, vous ne serez pas avec l'équipe première,
00:48mais avec une formation secondaire.
00:51Donc il s'est élervé, ça s'est mal passé, ça ne lui a pas plu du tout,
00:53et dans la conversation, il a dit, voilà, il a utilisé du terme, voilà,
00:59c'est un comportement de salopard, voilà.
01:02Le directeur général avait enregistré à l'insu du salarié cette expression,
01:08il s'en est suivi une procédure de licenciement,
01:11ils ont accusé de faute grave, il a accusé de faute grave,
01:14il a mis un terme au CDD qui a été dénoncé,
01:18et donc le collaborateur, l'entraîneur, a été mis à pied.
01:21Comme vous pouvez l'imaginer, il ne s'est pas laissé faire, prud'homme, tribunal, cour d'appel,
01:26et la cour d'appel donne partiellement raison aux salariés en disant,
01:31oui, il n'y a pas faute grave, puisque l'expression telle qu'elle n'a pas été diffusée sur le public,
01:36c'était une conversation privée, qu'en plus qui a été enregistrée à son insu,
01:39donc on considère qu'il n'y a pas faute grave.
01:41Donc ça monte à la cour de cassation, parce qu'évidemment, la direction générale de l'équipe de foot
01:46considère qu'elle veut quand même se débarrasser du salarié,
01:48ça monte à la cour de cassation, et la cour de cassation confirme
01:52que l'appréciation de la cour d'appel est fondée,
01:55dans la mesure où c'était resté confidentiel et enregistré à son insu,
01:59et bien il n'y a pas faute grave.
02:00Attention, ça ne veut pas dire que vous avez le droit de traiter votre patron de salopard ou de connard,
02:05de l'injurier, l'injurier est quand même sanctionné,
02:08mais c'est une faute réelle, j'allais dire c'est une faute simple.
02:11Et si les dirigeants de cette société avaient mis un terme au CDD de cet entraîneur pour faute réelle,
02:18vous voyez les subtilités du droit français,
02:20et bien la rigueur s'est passée,
02:21mais ils ont invoqué une formule qui ne correspond pas à la réalité,
02:25la faute grave, et donc, et bien, le CDD n'a pas été annulé,
02:29et donc on peut donc traiter,
02:30alors il ne faut pas traiter son patron de salopard,
02:32ni de connard,
02:33voilà, c'est pas bien,
02:35et si ça se passe, il faut que ce soit évidemment tout à fait confidentiel, n'est-ce pas ?
02:38Quand vous me traitez de vieux schnock, de temps en temps, quelquefois,
02:41mais ça reste entre nous, je ne vous dis rien,
02:43voilà, enfin voilà, on en est, ça c'est fini comme ça,
02:45donc attention aux subtilités du droit français.
02:48Une histoire moins drôle cette fois, Perico,
02:50on vous parlait des églises détruites, vandalisées,
02:52mais on parle si peu des églises à vendre.
02:55Oui, ça se passe à Grenoble,
02:57c'est l'église Saint-Luc,
02:59qui a été mise en vente par le diocèse pour des raisons financières,
03:02alors rappelons quelque chose de très important pour comprendre,
03:05en 1905, il y a eu, après la loi de séparation de l'église et de l'État,
03:10une confiscation par l'État des biens du clergé,
03:13donc tout ce qui est avant 1905,
03:15et grâce au ciel, ce sont nos cathédrales et tous les monuments historiques
03:18qui coûtent très cher à entretenir,
03:19c'est au frais de l'État,
03:20en revanche, tous les bâtiments qui ont été construits par l'église,
03:23par les églises en général,
03:24ça peut être un temple, une mosquée, une synagogue,
03:28mais enfin tout ce qui a été construit après 1905,
03:29pour ce qui est des églises, appartient à l'église catholique.
03:32Cette église Saint-Luc a nécessité des frais d'entretien
03:36qui n'étaient pas compatibles avec les deniers du culte,
03:40et donc le diocèse de Grenoble a décidé de s'en séparer.
03:43La dernière messe a eu lieu dimanche dernier, 23 novembre,
03:46célébrée par le père Francis Verstraet,
03:49cent ans, un prêtre centenaire.
03:51Tous les fidèles pleuraient, ils sont venus autour de lui,
03:54ils riaient, ils disaient, bon voilà, c'est triste,
03:56c'est un sanctuaire, une église, c'est un endroit de rassemblement,
03:59c'est là où ils se réunissaient à l'instant de civilisation,
04:01pour ces chrétiens qui aimaient retrouver ce prêtre centenaire
04:04dans une figure, un sanctuaire avec un vénérable prêtre,
04:07au bout de 100 ans de dévotion à l'église,
04:11eh bien il n'y aura plus de messe à l'église Saint-Luc à Grenoble,
04:14et le prêtre certainement va rejoindre une retraite
04:17dans un autre forme de sanctuaire.
04:20C'est triste comme histoire,
04:21parce que dans le Loiret,
04:23une communique s'appelle La Chapelle-sur-Aveyron,
04:25eh bien, même problème, il y avait une église
04:27qui devait être détruite et vendue,
04:31eh bien grâce à la donation de M. Raymond Landy,
04:34non-agénaire, 91 ans,
04:36il a fait donc d'un million à la paroisse et aux diocèses,
04:39et ils ont pu sauver l'église de La Chapelle-sur-Aveyron.
04:42Donc voyez,
04:43eh bien, un million d'euros pour sauver un saint-édifice,
04:47c'est une somme conséquente,
04:48les vieux du Seigneur sont respectables,
04:50le curé centenaire et le non-agénaire donateur,
04:53eh bien, on voit bien que quelquefois, la Providence est là
04:55pour sauver les monuments du culte
04:57et on s'en réjouit dans une France
04:59où les valeurs religieuses ne sont pas toujours respectées.
05:03Foutez-moi le camp !
05:05Alors, Maude, vous nous avez trouvé un héros.
05:09Et notre héros a 78 ans.
05:11Son histoire a été relayée par le Parisien
05:13qui ne donne pas son nom pour le protéger,
05:14alors appelons-le Robert.
05:16Depuis quelques temps, Robert met sa résidence principale
05:18en location sur Airbnb
05:19pour financer ses travaux de rénovation.
05:21Sa maison est située à Romainville, en Seine-Saint-Denis
05:23et cet été, une femme, Amandine,
05:26décide de la louer pour trois nuits.
05:28Jusque-là, tout est normal.
05:30Dix jours plus tard, Amandine et son compagnon
05:31débarquent sur une moto rutilante,
05:33très bien habillée, aimable, bref, rien de suspect.
05:35Mais trois jours plus tard, au moment de quitter les lieux,
05:38le couple appelle Robert et il lui dit texto
05:40« Écoutez, ça ne va pas vous plaire,
05:42ce n'est pas contre vous,
05:42on a changé toutes les serrures,
05:44pris un abonnement énergie à notre nom,
05:46on va rester. »
05:47C'est quand même assez particulier
05:48de prévenir le propriétaire de cette façon.
05:50C'est d'autant que Robert, qui je le rappelle a 78 ans,
05:53vient immédiatement constater que les serrures de la maison
05:55ont bel et bien été changées.
05:56Alors il file porter plainte contre X
05:58pour dégradation ou détérioration d'un bien appartenant à autrui
06:01et de retour devant sa maison,
06:03il profite du passage d'un des squatteurs
06:04pour coincer le portail
06:06et le confronter jusqu'à l'arrivée de la police.
06:08C'est grâce à sa carte d'identité
06:09que Robert a pu prouver qu'il s'agissait de sa maison.
06:12Il a donc été autorisé à y entrer
06:14pour constater que ses papiers et effets personnels
06:16avaient disparu.
06:17Quant aux squatteurs, ils roulaient dans une voiture volée,
06:19ils ont été interpellés.
06:21Pour se protéger d'un nouveau squat,
06:22Robert a dépensé 3500 euros
06:24pour changer ses serrures,
06:25une somme en partie remboursée par Airbnb.
06:27Il a également fait installer un système d'alarme.
06:30Mais il faut savoir que ce genre d'histoire,
06:31d'abord, est loin d'être isolé
06:32et que la plupart des propriétaires
06:34ne parviennent jamais à récupérer leurs biens.
06:36Là, on peut dire que Robert a eu du cran
06:37et de la chance
06:38parce que ça aurait pu mal finir.
06:39Oui, c'est quand même ces problèmes de squat.
06:41Alors, on n'est pas sur l'échelle du narcotrafic
06:44qui est une véritable féo nationale.
06:45Mais enfin, le squat provoque aujourd'hui
06:48des tragédies épouvantables,
06:49en général, au détriment de personnes âgées
06:51qui ne sont pas au courant de la loi.
06:53Si vous tombez sur quelqu'un d'un petit peu énergique
06:56qui décide de faire de la justice lui-même,
06:58il tombe tout de suite sous le coup de la loi.
06:59La fonction est immédiate.
07:01Mais on ne compte plus les situations
07:02où c'est le squatteur qui est victime.
07:05On a vu des émissions de télévision,
07:06des documentaires.
07:07L'appartement est ravagé.
07:09La maison est en désordre d'élabrement total.
07:11En plus, comme ils savent qu'ils ne sont pas chez eux
07:12et que les squatteurs se doutent
07:13qu'à un moment donné, ils vont être expulsés.
07:15Donc, ils cassent tout.
07:16Et que le jour où ils partent, évidemment,
07:17c'est d'élabrement total.
07:19Je ne vous parle pas des frais de procédure,
07:21de l'énergie, du stress,
07:23des gens qui ont besoin de cet argent pour vivre.
07:25Vous avez des retraités
07:26qui ont travaillé toute leur vie
07:28pour économiser,
07:28pour avoir une petite bicoque
07:30qui est en la campagne.
07:32Surtout que la législation
07:34est quand même très particulière.
07:35Si le squatteur s'introduit chez vous,
07:37qu'il peut au bout de 5-6 jours,
07:39je crois qu'il y a un délai précis,
07:41et qu'il arrive à faire mettre
07:42la facture d'électricité
07:43parce que les organismes électriques,
07:45il suffit de leur envoyer un courrier recommandé.
07:47Ils vous mettent à votre nom.
07:48Vous arrivez en disant non.
07:49Ou même, j'ai vu pire,
07:50un bon de livraison.
07:52Vous faites livrer un matelas
07:54ou des bouteilles d'eau minérale
07:57à votre nom,
07:58dans une adresse que vous avez squatteur.
08:00Vous pouvez produire ce document
08:01pour dire, je suis chez moi.
08:03Et là, on rentre dans une situation.
08:05Alors, le mois d'hiver,
08:06il ne se passe rien.
08:07Et le temps que la procédure
08:08se met en place.
08:09Donc, effectivement,
08:09je suis désolé de dire
08:10à nos législateurs
08:11et au pouvoir public,
08:13à un moment donné,
08:14quand on est coincé,
08:15je ne dis pas que c'est bien.
08:16Je dis, mais je comprends
08:17qu'à un moment donné,
08:17on soit exaspéré,
08:18qu'on soit harassé
08:19et qu'on fasse la police soi-même.
08:21Je connais beaucoup de cas
08:22où ça s'est passé
08:23de façon efficace,
08:24un petit peu brutale.
08:25Les squatteurs n'ont pas porté plainte
08:27parce qu'on leur fait comprendre
08:27parce qu'ils pensent
08:28que ça serait pire.
08:29Je n'encourage pas du tout
08:29à cette procédure.
08:30Ce qu'on voudrait,
08:31c'est que les procédures légales,
08:33que la police,
08:34que les autorités,
08:35tout simplement,
08:36que l'autorité républicaine
08:37s'applique pour tout le monde.
08:38Et lorsqu'on est propriétaire
08:39de sa maison
08:40et qu'elle est squattée,
08:41qu'elle est détournée,
08:41c'est un vol,
08:42c'est un vol provisoire,
08:43eh bien, on puisse avoir
08:44droit à une justice
08:46qui rétablisse l'ordre.
08:48Ma chère Maud,
08:50on va parler,
08:50vous voyez,
08:51c'est un peu triste,
08:52on termine avec un classique
08:53de nos soirées en Diablé.
08:55Mais vous n'étiez pas nés,
08:56vous n'étiez pas nés.
08:58Et pourtant.
08:58Mais oui,
08:59Albert Cassabi nous a quittés.
09:01Julien,
09:02est-ce qu'on peut
09:02nous envoyer un petit son
09:03à Albert Cassabi ?
09:03C'est ça,
09:04tu verras,
09:05viens,
09:05surtout,
09:06je ne dis pas,
09:07vas-y,
09:07remets-toi,
09:08vous demandez chez moi.
09:09On était obligés d'en parler.
09:11On était obligés.
09:12C'est intemporel.
09:12C'est intemporel.
09:14Je ne sais pas
09:14si la configuration du studio
09:16le permet.
09:17Je ne suis pas sûre.
09:18Julien,
09:19tu nous organises ça
09:19la prochaine fois.
09:20Ce qui est génial,
09:21d'abord,
09:22c'est bien d'en parler
09:22parce qu'honnêtement,
09:23c'est quand même
09:23une figure de la chanson française,
09:25quoi qu'on en pense.
09:26Et puis,
09:27parce qu'en fait,
09:27aujourd'hui encore,
09:28on écoute ces chansons.
09:29Celles-là en particulier.
09:31Érico.
09:32Est-ce que vous pouvez me dire,
09:34je vais demander
09:35à Jean-Marie Bourdery
09:35qui est spécialiste,
09:37s'il m'entend,
09:38c'est quoi comme danse ?
09:39Est-ce que vous pouvez me dire
09:40ce que c'est comme danse ?
09:40C'est un rock.
09:41C'est un rock, là.
09:42Julien ?
09:43On est sur un rock ?
09:44Qu'est-ce que c'est comme danse ?
09:45Je ne suis vraiment pas
09:46le mieux placé pour vous donner ça.
09:48Écoutez,
09:48chers auditeurs de Radio Classique,
09:52de Sud Radio,
09:54vous appelez Emmanuel Galasso
09:56qui va vous prendre votre appel
09:57au 0826 300 300.
09:59Alors,
09:59je ne sais pas
10:00si je peux vous donner
10:00quelque chose en récompense.
10:02Si vous me donnez,
10:02moi,
10:03je le connais,
10:03le nom de cette danse,
10:04mais je voudrais savoir
10:04si on la connaît.
10:06Est-ce qu'à notre direction,
10:07est-ce que M. Patrick Roger,
10:09qui est un top très très bien
10:10que je respecte profondément,
10:11est-ce que Jean-Marie Bourdery
10:12peut venir dans le studio
10:13où tous nos collaborateurs
10:14de Sud Radio
10:15nous dire
10:15quel est le nom
10:16de cette danse
10:17que chantait
10:18avec entrain Albert Cassavie.
10:19C'est toute mon enfance.
10:20Vous voyez,
10:21j'étais...
10:21C'est toute votre enfance ?
10:22Oui,
10:22c'est toute mon enfance.
10:23La fin de mon enfance,
10:24début de mon adolescence.
10:25Mais je me souviens
10:25quand j'avais 5-6 ans,
10:26c'est ce qu'on entend.
10:27Mais oui,
10:28moi,
10:28je suis né en 59,
10:29ma chère Maud.
10:29Qu'est-ce que vous voulez ?
10:30Je commence à dater.
10:31Je suis d'un grand millésime,
10:3259.
10:34Voilà.
10:34Jean-Marie Bourdery,
10:35est-ce que vous pouvez nous dire
10:35quelle est cette danse ?
10:36Jean-Marie Bourdery
10:37qui est pris sur le vif,
10:38qui entre dans le studio,
10:39qui va s'asseoir
10:40avec son ballon de rugby.
10:41Quel est le type de danse ?
10:43Le twist ?
10:43J'y pense.
10:44Bravo.
10:45On n'a pas un buzzer ?
10:45Merci à vous.
10:47Merci Jean-Marie Bourdery
10:48d'être passé par là.
10:48Avec plaisir.
10:50Merci beaucoup
10:50pour cette période de décembre.
10:52Vous restez bien avec nous.
10:53Dans un instant,
10:54on parlera d'Albert.
10:55Albert est un lave-vaisselle
10:56et c'est un lave-vaisselle
10:57qui peut durer des décennies.
10:59On en parle dans un instant
10:59avec son fondateur,
11:01Martin Acpil.
11:01Et si vous souhaitez nous appeler
11:030826 300 300
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