- il y a 1 semaine
Avec Céline Imart, députée européenne LR, agricultrice
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NewsTranscription
00:00Midi 14h, Sud Radio, la France dans tous ses états, le fait du jour.
00:06Les fonds de l'Union Européenne servent-ils à financer des associations islamistes ?
00:10On va en discuter avec Céline Imar, députée Les Républicains au Parlement Européen.
00:16Mais en attendant, nous revenons sur cette tragédie de l'île de Léon.
00:20Qu'est-ce qu'on sait exactement à l'heure qu'il est de ce qui est arrivé ?
00:22Vous l'entendiez dans notre journal à midi, ça s'est passé ce matin sur l'île de Léon.
00:26Un homme a foncé volontairement dans la foule, il a blessé 10 piétons et cyclistes, 4 d'entre eux sont en urgence absolue.
00:32Il a crié Allah Akbar au moment de son interpellation, il a 35 ans, il était connu des services de police.
00:37Laurent Nunez, le ministre de l'Intérieur, annonce se rendre sur place.
00:40Pour l'instant, ce sont toutes les informations que nous avons.
00:43Céline Imar, merci d'être avec nous.
00:45On vient évidemment traiter le sujet pour lequel vous venez, qui est le financement des associations islamistes.
00:49Mais bon, l'actualité nous rattrape.
00:51On dirait un remake un peu de ce qui s'est passé à Nice le 14 juillet 2016.
00:55Et le remake ne s'arrête pas là.
00:56Le remake, il continue parce que Bruno Retailleau parle à juste titre d'ensauvagement de la société.
01:01Mais des épisodes d'une extrême violence comme ceux qu'on peut voir,
01:04et toutes mes pensées vont évidemment aux victimes, à leurs proches, à leurs familles,
01:07ainsi qu'aux forces de l'ordre, qui doivent être sur place pour sécuriser.
01:10Mais on a vraiment aujourd'hui une problématique qui est celle de la prise de conscience et de l'action.
01:13Et c'est bien là que le politique aujourd'hui doit démontrer
01:16qu'il peut reprendre la main sur ce genre d'épisode qui touche directement à notre sécurité
01:20et qui est la première de nos libertés.
01:22Vous allez donc déposer un amendement au Parlement européen
01:25pour mettre un terme à une aberration,
01:27qui est le financement qui est avéré, que vous avez constaté,
01:30que vous dénoncez, que vous signalez.
01:33Est-ce qu'il y a une imbrication entre le financement des associations,
01:37des réseaux sociaux qui font circuler certaines idéologies ?
01:41On sait que ça a coûté la vie à Samuel Paty.
01:44Aujourd'hui on a ce nouvel attentat à l'île d'Oléron.
01:47Donc il y a un réseau, il y a un réseau entre guillemets de l'islamisme intégriste
01:52qui s'exprime par différentes façons, associations, sites.
01:56Oui, et puis il y a surtout un problème qui est,
01:59oui, la prise de conscience du réel, notamment à Bruxelles.
02:01C'est-à-dire que cet amendement que j'ai déposé sur le budget 2026 de l'UE,
02:04il est passé.
02:05Pour interdire que l'UE, que l'Union européenne puisse financer
02:08toute entité liée à l'islamisme, au terrorisme ou à l'antisémitisme,
02:12il est passé à 11 voix près.
02:14Et quand on a un amendement comme ça de bon sens,
02:16parce que c'est du bon sens de cesser de financer ceux qui nous détestent
02:19et ceux qui veulent nous détruire,
02:20quand un amendement comme celui-là passe à 11 voix près,
02:23c'est que l'Europe est malade.
02:24Quels sont les groupes qui l'ont voté, madame la députée ?
02:26Surtout les groupes du PPE, donc le mien, la droite,
02:29et aussi les groupes situés encore plus à droite que la droite,
02:32donc les groupes ECR,
02:33donc là où siège les députés mélonistes et des patriotes.
02:37Vous voulez dire qu'il y a des députés européens qui ont voté contre ?
02:39Absolument.
02:40Considérant qu'eux ?
02:41Considérant qu'il ne faut pas stigmatiser la société civile.
02:44Parce qu'on a toujours ces sortes de leçons de morale
02:45ou cette bien-pensance qui est effectivement une bataille culturelle.
02:48Vous parliez des réseaux sociaux,
02:49mais il y a toute une bataille culturelle sur ce sujet
02:51où aujourd'hui, une partie notamment de la gauche
02:54et toute cette bien-pensance de gauche
02:56qui est dans les médias, qui est dans les réseaux,
02:58en fait refuse de voir le réel.
03:00Au nom du fait, il ne faut pas stigmatiser,
03:02il ne faut pas amalgamer,
03:03mais aujourd'hui c'est une réalité.
03:04L'Union Européenne finance des entités liées
03:07qui ont glorifié le martyr du chef du Hamas,
03:09qui n'ont pas condamné les programmes du 7 octobre.
03:12Et on continue à financer ces associations aussi
03:14parce qu'il y a à la Commission Européenne
03:1630 000 fonctionnaires qui sont organisés en 40 directions générales
03:20et qui en fait lancent des appels à projet
03:21avec des mots-clés aussi fantastiques
03:23que lutte contre l'islamophobie, diversité, inclusion.
03:27Et là, en fait, les ONG postulent.
03:29Et sur un PowerPoint et sur une charte de valeur,
03:31bam, le tiroir caisse s'ouvre.
03:33Je suppose, Céline Ismark,
03:34avant de déposer votre amendement,
03:35vous avez fait, entre guillemets, une enquête
03:36avec des faits avérés.
03:39Vous avez déposé, il y a un rapport.
03:41Tout ça est constaté.
03:43Ce n'est pas des rumeurs,
03:44ce n'est pas de la supputation,
03:45ce n'est pas des hypothèses.
03:46Vous avez des faits très concrets pour démontrer
03:48qu'il y a des fonds européens
03:49qui financent des associations
03:50ouvertement islamistes intégristes.
03:53Bien sûr, ça a été un rapport de la Cour des comptes
03:55notamment qui est sorti au printemps,
03:56la Cour des comptes européenne,
03:57qui constate aujourd'hui
03:58qu'il y a un énorme problème d'opacité
04:00dans les financements.
04:02Finalement, on a des entités
04:04qui sont financées.
04:07On ne peut plus continuer comme ça.
04:09Aujourd'hui, l'Europe est malade
04:10de vouloir fermer les yeux sur le sujet.
04:12Nous savons qu'il y a un équivalent
04:13d'une Cour des comptes.
04:14Est-ce qu'en plus de ça,
04:14il y a des organismes ou des institutions
04:16dans le cadre du Parlement européen
04:18qui sont habilités à vérifier
04:19quand on donne de l'argent ?
04:21En France, nous avons des contrôles très stricts,
04:22vous le savez,
04:23même au niveau régional,
04:24même au niveau départemental.
04:25Et là, quand on donne de l'argent,
04:27personne ne vérifie
04:28si cet argent est versé.
04:29Il n'y a pas de données consolidées.
04:30C'est-à-dire qu'aujourd'hui,
04:31on est incapable de dire
04:32combien de fonds européens
04:33vont à quelle entité.
04:34Première victoire qu'on a eue,
04:35c'est la création
04:36d'une commission d'enquête
04:37dans le groupe des parlementaires
04:38du contrôle budgétaire
04:39pour enquêter sur ces faits-là.
04:40Il n'y avait pas de commission d'enquête.
04:42Donc ça, c'est la première victoire
04:43qu'on a obtenue.
04:44Deuxième victoire,
04:44c'est le vote de cet amendement.
04:45Parce qu'aujourd'hui,
04:46il y a un signal extrêmement clair
04:47dans le droit
04:48pour dire à la Commission européenne
04:50vous arrêtez.
04:51Donc ça, ce sont deux premières victoires.
04:53Et je peux vous dire
04:53qu'on ne va pas les lâcher.
04:55Le gros problème,
04:55c'est qu'en Europe,
04:56en fait,
04:56ils ont toujours,
04:57au niveau de la Commission
04:58et notamment de Kajakalas,
05:00qui est du groupe centriste,
05:01qui est vice-président de la Commission,
05:02des idées lumineuses
05:03les unes après les autres.
05:05Donc trois jours
05:05après le vote de cet amendement,
05:07Kajakalas nous explique
05:08qu'on va étendre
05:08le programme Erasmus,
05:10qui est un programme
05:10à visée pédagogique
05:11d'échange
05:12entre les étudiants européens
05:13et les chercheurs,
05:14qu'on va étendre Erasmus
05:15à des pays
05:16pour faire un pacte méditerranéen,
05:21territoire palestinien.
05:22Donc, voyez,
05:22c'est ça qui est fou
05:23avec la Commission.
05:24On va leur amener
05:25notre culture,
05:27notre savoir,
05:27nos enseignements.
05:28Le self-power,
05:29la bataille culturelle,
05:30il faut porter nos valeurs.
05:31Simplement,
05:31on ne peut pas faire
05:32cohabiter les valeurs
05:33de liberté,
05:34de démocratie
05:35qui sont fondatrices
05:36de notre identité
05:37et de l'Union européenne
05:38avec la censure.
05:39Il n'y a pas de cohabitation possible.
05:41On ne peut pas,
05:41si vous voulez,
05:42exclure les universités hongroises
05:44des programmes Erasmus
05:45sous prétexte de l'État de droit
05:46et en même temps
05:47ouvrir Erasmus à l'Algérie.
05:48Ça frise le ridicule.
05:50Dans des pays
05:50où les libertés sont bafouées,
05:52où la condition féminine
05:53est absolument,
05:54j'allais dire...
05:55Bien sûr.
05:55Et comment pourra-t-on garantir
05:57que nos étudiants
05:58ou nos chercheurs
05:59qui iront en Algérie
06:00iront dans des conditions
06:01de sécurité acceptables
06:02alors même que l'Algérie
06:03détient aujourd'hui
06:04Boalem Sansal
06:05et Christophe Gleiz
06:05simplement parce qu'ils ont eu
06:07le tort ou le malheur
06:08d'exercer leur droit
06:09le plus fondamental
06:10qui est celui
06:11de la liberté de penser
06:12et de la liberté d'écrire
06:13dans cette pause
06:14de vrais sujets.
06:14Alors,
06:15association islamiste
06:16financée par des fonds européens,
06:17est-ce qu'on peut penser
06:18qu'il y a aussi
06:18des associations islamistes
06:20qui sont subventionnées
06:21en France
06:22par des entités territoriales
06:24ou des régions
06:25ou même au niveau national ?
06:27Alors,
06:27on peut penser
06:27beaucoup de choses
06:28mais c'est moins documenté
06:30mais ce qu'on observe aujourd'hui
06:31c'est qu'il y a une certaine
06:32convergence des luttes
06:33dans l'antrisme.
06:34Je pense que le rapport
06:34déclassifié par Bruno Retailleau
06:36l'a très très bien montré aussi.
06:37On a une convergence des luttes
06:38entre les extrémismes
06:39et les radicaux militants écologistes.
06:42Moi,
06:43quand je vois des manifestations
06:44sur la 69,
06:45on voit des personnes
06:46venir râler
06:47contre cette autoroute
06:48avec le drapeau arc-en-ciel
06:49des droits LGBT
06:50et le coucheur de la Palestine.
06:51Tout se casse dans le table
06:52qui est votre député
06:52qui est votre département d'origine.
06:55Absolument.
06:55Donc,
06:56il y a,
06:56je pense,
06:57vous l'avez dit au début,
06:58c'est une bataille culturelle.
06:59Il y a la problématique
07:00de la classe politique
07:01qui doit retrouver
07:02le pouvoir d'agir
07:03notamment face aux juges,
07:04face à la CEDH,
07:05face à différents organismes
07:07juridiques,
07:08judiciaires.
07:09Il y a aussi
07:09la bataille culturelle
07:10à mener dans les médias
07:11et puis il faut cesser,
07:13il faut cesser
07:13de fermer les yeux.
07:15Le rapport,
07:15Céline Imar,
07:16le rapport de la Cour des Comptes
07:17européenne indiquait
07:18que 7,4 milliards d'euros
07:19avaient été distribués
07:21sans contrôle suffisant
07:22à des organisations
07:23qui ne respectaient pas
07:23les valeurs de l'Union.
07:25Donc là,
07:25vous nous avez déjà donné
07:26quelques plus en détail
07:27de quelles associations
07:29ou de quelles organisations
07:30il s'agit.
07:31Et le mois dernier,
07:32le 21 octobre,
07:32la France,
07:33l'Autriche
07:33et les Pays-Bas
07:34ont demandé au Conseil
07:35des Affaires Générales
07:36de l'Union Européenne
07:37de renforcer le contrôle
07:38sur les financements
07:39alloués aux NG.
07:39Trois pays,
07:40c'est quand même pas beaucoup.
07:41Non, c'est pas beaucoup.
07:42Mais il y a un vrai sujet
07:44de contrôle
07:44et il faut faire monter
07:45la pression.
07:46Aujourd'hui,
07:46la Commission n'écoute
07:47qu'elle-même
07:48et elle déroule
07:49son agenda.
07:49Et les fonctionnaires
07:50de la Commission
07:50qui fonctionnent
07:51par appel à projet
07:52déroulent aussi
07:52leurs agendas.
07:53Vous voyez,
07:54par exemple,
07:54sur Erasmus,
07:55sur l'extension
07:55à l'Algérie,
07:56à la Syrie,
07:57à la Libye,
07:57etc.,
07:58nous avons lancé
07:58une pétition
07:59avec François-Xavier Bellamy
08:00parce qu'il y a deux choses
08:01qui peuvent faire reculer
08:01la Commission.
08:02C'est effectivement
08:03des mécanismes
08:04de contrôle stricts
08:05et les amendements
08:05que je fais passer
08:06dans le cadre du budget
08:07vont dans ce sens
08:08mais aussi la pression
08:09des citoyens.
08:11Donc si on n'a pas
08:12aujourd'hui
08:12des pétitions,
08:14des alertes,
08:15des choses qui disent
08:16à la Commission
08:16stop, arrêtez,
08:17vous n'allez pas
08:18dans le bon sens
08:18et vous ne prenez pas
08:19ces décisions
08:20dans le sens
08:20de l'intérêt des peuples,
08:21la Commission déroule.
08:22Donc notre rôle
08:23de parlementaire,
08:24c'est vraiment
08:24de les stopper
08:26et on a aussi besoin
08:27de la pression
08:28des citoyens pour ça.
08:29Et d'alerter les peuples.
08:30Absolument.
08:31Quels sont vos collègues
08:32parlementaires
08:33au Parlement européen
08:34qui s'inquiètent
08:35alors d'autres nationalités
08:36que la vôtre
08:37qui s'inquiètent
08:37de ce phénomène
08:38du financement
08:39des associations islamistes ?
08:40Beaucoup.
08:41On a des Italiens,
08:41des Polonais,
08:42on a des Allemands aussi.
08:43Après, la fracture
08:44sur ce sujet
08:45se fait vraiment par groupe
08:46plus que par nationalité.
08:48On a vraiment aujourd'hui...
08:49C'est très inquiétant
08:50de voir que des groupes
08:51comme les Verts,
08:52la gauche,
08:53les socialistes
08:53ou l'extrême gauche
08:54s'opposent comme ça
08:55à des mesures de bon sens.
08:56Là, ils nous disent
08:58vous trumpisez,
09:00Céline Imar est en train
09:00d'attaquer la société civile,
09:01Céline Imar se trumpise,
09:02mais pas du tout.
09:03Ce n'est pas une question
09:04de trumpisation.
09:05Ils ont les faits
09:05sous les yeux
09:06que vous leur apportez.
09:07C'est une question
09:08de bon sens
09:08et il faut que le bon sens
09:09arrive à battre l'idéologie
09:10parce que l'idéologie
09:12et la bataille culturelle
09:12sont des vrais sujets
09:13dans nos sociétés.
09:14Donc, c'est extrêmement important
09:15aujourd'hui
09:16de reprendre la main
09:17sur ces sujets.
09:17À la Commission européenne,
09:19alors bon,
09:19Thierry Breton n'y est plus,
09:20mais je pense qu'il y a
09:21quand même des commissaires
09:21européens
09:22qui sont sensibles
09:23à la thématique.
09:24Oui, absolument,
09:25le commissaire autrichien
09:26notamment.
09:27Bien sûr qu'il y a des personnes
09:28qui sont sensibles
09:29à la thématique,
09:29mais aujourd'hui,
09:30il faut continuer ce combat
09:31pour faire en sorte
09:32que les fonds,
09:34l'impôt des personnes
09:36qui nous écoutent
09:37ne soient plus utilisés
09:38pour financer des gens
09:38qui nous haïssent
09:39et qui veulent saper
09:40les fonds de vente
09:40de notre société.
09:41Est-ce qu'on peut parler,
09:42on sait que Bruxelles
09:43est trop fait de lobby,
09:44il y a des immeubles
09:45où ils sont d'ailleurs
09:45officiellement installés,
09:46est-ce qu'il y aurait
09:47d'une certaine façon
09:48un lobby islamiste
09:49par différents biais,
09:51financiers, économiques
09:52ou diplomatiques,
09:55non pas du tout,
09:56ces associations sont très gentilles,
09:58continuer alors de verser
09:58des fonds,
09:59ça permet d'avoir
10:00une bonne coopération
10:01quelque part.
10:01Bien sûr, par exemple,
10:02on a des associations
10:03qui ont pignon sur rue
10:03comme la Fémiso
10:04qui sont couverts de lutte
10:05contre l'islamophobie,
10:07c'est un peu
10:07les musulmans
10:08en costume cravate.
10:10Donc ce sont des groupes
10:11tout à fait répertoriés,
10:12ouverts.
10:13Bon, après,
10:13il y a eu des financements
10:14attribués à la Fémiso,
10:16attribués à des associations
10:17comme Islami Grilif
10:18qui, je l'ai déjà dit,
10:20ont qualifié il y a
10:21deux ou trois ans
10:21les juifs de petits-enfants
10:23de singes et de porcs.
10:24Bon, voilà,
10:24là, il y a quand même
10:25des cas sur lesquels
10:26on alerte assez facilement.
10:28Et puis, il y a des programmes
10:29qui doivent aller
10:30sur la recherche.
10:31Horizon Europe,
10:32c'est un programme
10:32qui doit financer la recherche,
10:33la physique quantique,
10:34l'intelligence artificielle,
10:35le retard que nous prenons
10:36face à d'autres zones du monde.
10:38Et sur ce programme-là,
10:39on a découvert, par exemple,
10:40qu'il y avait, je crois,
10:418 millions d'euros
10:42qui ont été donnés
10:42à une association
10:43qui monte des pièces de théâtre
10:45pour lutter contre
10:45la masculinité toxique.
10:48Voyez ?
10:48Pour autant,
10:50vous ne fermez pas la porte
10:51à des financements
10:51d'associations respectables
10:53qui peuvent être
10:54sur l'Orient,
10:55sur une ouverture,
10:56j'allais dire, culturelle
10:57à d'autres valeurs
10:59civilisationnelles
11:00que la nôtre.
11:00Là, vous n'avez pas d'opposition.
11:01C'est vraiment,
11:02vous mettez le point
11:02sur des associations
11:04qui sont dans un litige
11:05très précis
11:05par rapport à nos...
11:06Absolument,
11:07qui ne respectent tout simplement
11:08pas nos valeurs
11:08et qui veulent nous détruire.
11:09Le problème, le sujet,
11:11mon but n'est pas
11:12de détruire la société civile
11:13ni ses représentants,
11:14mais simplement
11:15d'être rationnel,
11:16d'être sérieux
11:16avec l'utilisation
11:17des fonds européens
11:18qui ne peuvent pas financer
11:21de l'Europe, de la France
11:22et de notre peuple.
11:23Bon, à Paris,
11:24il y a un leader politique,
11:25autre que vous,
11:26vous représentez la France
11:27en Europe.
11:28Est-ce qu'il y a un leader politique
11:29qui se distingue
11:30sur cette question ?
11:31Moi, je pense que Bruno Retailleau
11:32a été extrêmement clair.
11:33Contre l'avis du président Macron,
11:35il a déclassifié le rapport
11:36sur l'antrisme
11:37des frères musulmans en France,
11:38mettant à jour
11:39des antrismes
11:40sur les salles de sport,
11:41sur le tissu associatif,
11:43etc.
11:43Je pense que c'est quelqu'un
11:44qui n'a pas peur
11:45de nommer les choses
11:45et qui est très en pointe
11:47sur ce combat.
11:48Céline Meurs,
11:48ce que vous nous apprenez
11:49en fait aujourd'hui
11:50pour résumer grosso modo,
11:51c'est que le système
11:52de subvention de l'Union Européenne
11:53est un énorme fourre-tout.
11:55Absolument.
11:55Est-ce qu'on ne contrôle
11:56absolument rien ?
11:56Absolument.
11:57Et il n'y a pas de fonds consolidés,
11:58c'est-à-dire qu'on ne peut pas
11:59contrôler ce qu'on ne peut pas quantifier.
12:01À partir du moment
12:01où vous avez 40 directions générales
12:03et seulement 27 commissaires,
12:04chaque direction générale
12:05de la commission
12:06avec ses 30 000 fonctionnaires
12:07gère un petit peu
12:08ses appels à projets
12:09et ses lignes budgétaires
12:10en fonction de ses propres priorités
12:12ou de ses propres lignes.
12:13Et donc,
12:18analyser, chercher, prouver
12:20et finalement arrêter la machine.
12:22Mais là, on envoie quand même
12:23des signaux politiques
12:24extrêmement forts.
12:24La présidente de la commission
12:25est là,
12:26c'est chivieux, je suppose.
12:27Je ne suis pas sûre.
12:28Même pas ?
12:28Non, je ne suis même pas sûre.
12:29C'est l'usine à gaz,
12:30si je comprends bien.
12:30Oui, oui, tout à fait.
12:31Absolument.
12:32Mais l'Europe,
12:32de manière générale,
12:33est beaucoup trop technocratique.
12:35Et ça, c'est quelque chose
12:36qu'on a dit et qu'on répète.
12:37Et il faut absolument aujourd'hui
12:38qu'elle se remette
12:39au service des peuples
12:40et au service de l'intérêt général,
12:42au service de ceux qui bossent,
12:43au service de ceux
12:43qui produisent chez nous,
12:44au lieu de leur mettre
12:45des bâtons dans les roues
12:46et de réglementer des choses
12:47qui n'existent pas encore
12:48comme les innovations variétales,
12:50comme l'intelligence artificielle.
12:52C'est ça, la maladie de l'Europe.
12:53C'est qu'aujourd'hui,
12:54on réglemente des choses
12:55qu'on n'est pas capable de produire.
12:57Céline Ismar,
12:57on vous souhaite tout simplement
12:58bon courage.
12:59Merci à vous.
12:59Et cette antenne est à votre écoute
13:01si des nouveaux interviennent
13:03dans votre, j'allais dire,
13:04courageux combat.
13:05Merci.
13:05Merci à vous.
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