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Crise politique : Emmanuel Macron «va bientôt dissoudre ses propres réformes», ironise un auditeur
Europe 1
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il y a 3 mois
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00:00
Agnès Pannier-Runacher, parce qu'on n'était pas ralé, on était parti quand même d'Agnès Pannier-Runacher, qu'on n'a toujours pas écouté.
00:06
Pannier-Piano.
00:07
Oui, Pannier-Runacher, oui. Elle est ministre de la Transition écologique et elle demande un ministère de gauche.
00:14
Écoutez, je fais un constat, on a essayé la droite, on a essayé le centre, alors pourquoi ne pas essayer la gauche ?
00:19
Et par ailleurs, les faits sont têtus.
00:22
Si on veut effectivement donner la stabilité au pays, il faut qu'on puisse s'accorder sur les quelques points.
00:29
Et il y en a beaucoup en réalité qui nous permettent, avec la gauche, d'avancer.
00:33
Ça ne veut pas dire que la gauche n'est pas un parti, en tout cas que le parti socialiste en réalité,
00:38
parce que moi je me classe à gauche et je suis dans le bloc central,
00:42
mais ça ne veut pas dire que le parti socialiste n'est pas un parti d'opposition,
00:45
que les Républicains ne sont pas un parti d'opposition, mais on sait, on doit pouvoir savoir trouver un chemin.
00:51
Et puis François Hollande aussi a parlé hier.
00:53
Alors l'histoire du chemin, j'en ai un petit peu assez.
00:55
On doit trouver le chemin.
00:57
C'est la prime à l'échec.
00:58
Moi je peux leur dire, au bout du chemin, il y a l'impasse.
01:01
Voilà.
01:02
Calmez-vous.
01:04
Il nous a fait une Jean-Philippe Tanguy.
01:08
Je suis d'accord avec vous, mais bon, vous n'êtes pas à Vignon, en même temps, au Palais des Papes.
01:14
Non, ça c'est sûr.
01:17
François Hollande, d'abord je vous félicite parce qu'hier soir, vous avez bien marché une nouvelle fois sur l'antenne de CNews.
01:22
Trois soirs de suite où effectivement, on arrive à être à un demi-million de téléspectateurs.
01:27
Donc ça montre l'appétence, comme vous dites, des Français pour cette matière politique.
01:32
C'est un débat libre qu'on peut écouter le soir avec effectivement une parole qu'on n'entend pas.
01:39
Vous pensez qu'il a été pour l'émission qui le précède ?
01:41
Je pense que l'émission qui le précède...
01:43
Et il reçoit Jordan Bardella ce soir à 21h.
01:48
Oui, mais c'est pour ça que ça va être extrêmement intéressant de vous écouter.
01:53
François Hollande, lui, il était hier soir sur TMC et il évoque le Premier ministre.
01:58
Alors ça peut être un socialiste, ça peut être une personnalité.
02:00
Une personnalité extérieure au Parlement ?
02:02
Ça peut l'être.
02:03
Technique ?
02:04
Ça peut l'être, même si je ne crois pas que dans le contexte politique que nous connaissons,
02:08
il y ait des personnalités techniques qui puissent être à même de régler les grandes difficultés que nous connaissons.
02:14
Une équipe déconnectée.
02:15
Donc ça va dire l'équipe, vous aurez bien du mal à trouver dans une équipe
02:18
quelqu'un qui ne pense pas à l'élection présidente.
02:19
C'est assez rare, si vous voulez.
02:21
Il a dit ça chez qui ?
02:23
Quotidien.
02:23
Pour la 77ème fois en deux ans.
02:26
C'est-à-dire qu'il a son roue de serviettes.
02:28
Mais non, mais vous avez pas fait Moré.
02:29
Il avait promis de ne pas inviter d'hommes politiques, Ian Barthes.
02:31
Mais vous avez raison.
02:32
C'est-à-dire que ce qui est intéressant dans cette séquence, c'est que les masques tombent également.
02:38
Et pour beaucoup de médias, c'est tout sauf le RN.
02:42
Donc c'est une forme de campagne qui est mise en place.
02:45
17h14, la pause, à tout de suite.
02:48
Il est 17h18 et nous sommes avec Julien.
02:52
Bonjour Julien, vous nous appelez d'où ?
02:55
Bonjour, j'appelle de Savoie, bonjour à tous.
02:57
Il y a longtemps qu'on n'avait pas eu de coup de fil de Savoie.
02:59
C'est la filière Olivier Guénèque.
03:02
Vous êtes ami avec Olivier Guénèque peut-être ?
03:04
Non, mais arrêtez.
03:05
Pas du tout, pas du tout.
03:06
Vous habitez où en Savoie ?
03:08
Dans une petite ville qui s'appelle Chal-les-Eaux.
03:10
Chal-les-Eaux.
03:11
À côté de Chambéry.
03:12
Et vous êtes chargé d'émission, mais je me demande si vous ne nous aviez pas déjà appelé il y a quelques mois de cela.
03:17
Oui, il y a quelques mois, oui.
03:18
Je me souviens, effectivement.
03:20
Vous êtes plutôt un électeur de droite ou du centre ou de gauche ?
03:23
Plutôt un électeur de droite, oui, depuis tout le temps.
03:27
Comment vous vivez cette situation et quelle est votre analyse ?
03:31
Moi, je suis député, mais c'est vrai qu'il faut dire qu'Emmanuel Macron a dissous l'Assemblée nationale.
03:36
Bon, ce n'était pas le premier.
03:37
Là, il est en train de dissoudre son parti, parce que je pense que dans cinq ans, ils se retrouveront tous dans une famille téléphonique.
03:42
Bientôt, je pense qu'il va dissoudre ses propres réformes, ce qui est un peu inédit.
03:47
Donc moi, j'espère juste une chose, c'est qu'il ne dissolve pas la France, parce que c'est à peu près la seule chose qui nous reste.
03:52
Moi, pour tout vous dire, est-ce que je l'aime ou est-ce que je ne l'aime pas ?
03:54
En fait, j'ai dépassé ce stade, c'est complètement du mépris, parce qu'en fait, sa parole ne vaut pas grand-chose.
04:00
Il parle des océans, il parle de politique étrangère.
04:04
Moi, j'attends juste une chose, c'est qu'il parle de la France et des Français.
04:07
Je suis désespéré par ce qui se passe.
04:09
Je pense qu'ils sont là, en fait, les ministres, en fait, ils ne sont là pas pour la France,
04:14
mais ils sont là pour garder un peu leur petit Marocain, leur petite place.
04:18
Après, dissolution ou pas, moi, ce n'est pas moi, moi, je ne suis rien,
04:21
mais je pense qu'il va falloir quand même dissoudre, parce que la solution, elle est inexplicable.
04:26
Et si la dissolution donne le même résultat, à savoir une chambre ingouvernable,
04:30
je pense qu'Emmanuel Macron va devoir partir, comme le général de Gaulle l'a fait,
04:35
mais par contre, je ne suis pas sûr qu'il ait la grandeur d'âme du général de Gaulle.
04:38
Donc, si c'est pour avoir un président, pour avoir un président, j'ai envie de dire qu'il le dise,
04:43
et qu'il nous dise, moi, je suis là pour la place, ce qui m'intéresse, c'est l'international,
04:47
et puis débrouillez-vous.
04:48
Mais je pense qu'on va perdre 10 ans à l'issue du mandat de Macron,
04:52
et c'est très grave, parce qu'on a crié de la dette.
04:54
On n'a pas un seul service qui fonctionne.
04:56
J'entends tout ce que vous dites, mais quand j'entends ça, je rappelle quand même que c'est les Français qui votent.
05:06
Et que les Français, depuis des années, ils votent pour ceux qui leur disent ce qu'ils veulent entendre.
05:13
C'est-à-dire que les réformes, il faut les faire, et les réformes, les Français, parfois, ne veulent pas les faire.
05:18
On l'a vu avec la retraite.
05:20
C'est-à-dire que toute l'Europe travaille jusqu'à 65, 66 ans.
05:24
Nous, on a voulu imposer, je crois, 62 ou 63 ans, et on a vu de nombreux Français dans la rue.
05:30
Pour tout vous dire, moi-même, sur ce sujet-là, j'avais le sentiment que tout le monde ne doit pas être traité de la même manière.
05:38
Et c'est vrai que les professions difficiles, je citais souvent l'exemple du plaquiste ou du peintre,
05:42
je n'ai pas envie de quelqu'un de 64 ou 65 ans, sur un toit ou en train de travailler.
05:48
Toujours, je pense qu'ils méritent peut-être que c'est des métiers difficiles physiquement,
05:53
donc peut-être faut-il trouver des solutions.
05:55
Mais revenons quand même à cette capacité qu'ont les Français à ne pas vouloir de réformes.
06:01
Ils ne veulent pas de réformes.
06:03
Je pense que l'on écoute toujours ceux qui ne veulent pas de réformes,
06:06
c'est-à-dire toujours les mêmes, les corps intermédiaires,
06:08
les médias qui empêchent toutes avancées...
06:11
Ah là, ce n'est pas les médias, les Français, les Français, ils ne veulent pas travailler.
06:15
Non, non, non, les syndicats, excusez-moi, excusez-moi.
06:17
Les syndicats qui vont dans la rue, excusez-moi.
06:19
Oui, je suis d'accord avec vous, les syndicats, j'entends bien,
06:21
mais même les Français, par exemple sur la réforme des retraites,
06:23
je crois que, on ne croit pas au sondage,
06:27
il y a 80 ou 90% des gens qui étaient opposés à cette réforme-là.
06:29
Ah bien sûr, il y a le train minoritaire.
06:32
Mais c'est ennuyeux que les Français n'aient pas la responsabilité de savoir qu'il faut sans doute travailler plus.
06:37
Non, mais je ne pense pas que ce soit ça le problème.
06:40
Le problème, c'est qu'on nous a vendu la réforme des retraites avec un problème budgétaire,
06:44
et tous les Français ont compris qu'ils auraient fait marre d'être des vaches à lait,
06:46
et que l'argent peut être trouvé ailleurs.
06:49
Et quand je vous dis ailleurs, c'est les milliards qui sont dilapidés,
06:52
par exemple pour l'aide internationale, pour l'AME,
06:55
pour des choses qui ne servent strictement à rien pour les Français qui cotisent,
06:59
et quand on leur dit vous allez travailler plus, ils en ont ras-le-bol.
07:02
On est le pays le plus taxé au monde, on va dire qu'on n'arrive pas à trouver quelques milliards
07:06
pour une réforme des retraites, qui en plus il paraît qu'il coûte plus cher qu'elle ne rapporte pas.
07:10
Enfin, rapporte-moi qu'est-ce que ça devrait.
07:12
Donc je pense qu'on en a ras-le-bol.
07:14
On a le sentiment...
07:16
Oui, je vous en prie.
07:18
Excusez-moi, c'est pour vous dire, quand vous prenez votre voiture, vous payez.
07:22
Vous êtes propriétaire de votre offrement, vous payez.
07:24
Vous achetez votre paquet de clavres, vous payez.
07:26
Vous faites vos courses, vous payez la TVA.
07:27
On en a ras-le-bol.
07:29
Et après on nous dit, vous allez travailler deux ans de plus.
07:32
Moi je travaille dans un bureau, ça ne va pas forcément me déranger.
07:34
Mon papa a travaillé toute sa vie comme chef de chantier.
07:38
Je ne vois pas quel maçon ou quel plaquiste va pouvoir travailler jusqu'à 64 ans.
07:42
Vous voyez, vous-même, vous ne voulez pas qu'on travaille plus.
07:45
Donc dès qu'on arrête sur un sujet...
07:46
Mais moi ça ne me gêne pas.
07:47
Moi ça ne me pose pas.
07:49
Mais qu'on dise la vérité.
07:50
Et qu'on dise la vérité parce que vous savez très bien que les personnes de ma génération qui ont 40 ans,
07:54
on ne leur a jamais notre traite.
07:55
La vérité, c'est jamais facile à dire.
07:56
Autrement tout le monde la dirait.
07:58
Et qu'on arrête.
08:02
Monsieur Proulx, si je peux me permettre,
08:04
j'ai été élu local pendant 15 ans, dans une petite ville.
08:08
Et ce qu'ils font là-haut, ça jette le discrédit sur tous les élus locaux
08:11
qui sont dévoués, les maires, les conseillers municipaux.
08:15
Et franchement, ça donne une très mauvaise image de la politique française.
08:18
Et nous avons des personnes au local, j'ai entendu M. Ménard ce matin,
08:22
qui sont dévoués et talentueux.
08:24
Je pense que c'est ces gens-là qu'il faut qu'on entende.
08:27
Et pas des ministres qui n'ont jamais été maires de leur vie.
08:29
Julien, vous avez dit que vous travaillez dans un bureau,
08:31
et il y a une information importante que nous a donnée Laurent Tessier tout à l'heure
08:35
dans les infos dites non essentielles.
08:37
Faire du sport ne suffit pas, il faut se lever et marcher toutes les 30 minutes.
08:40
Donc qu'est-ce que vous faites ça, Julien ?
08:42
Parce que nous, ça fait plus de 30 minutes qu'on est assis,
08:45
donc moi je vais me lever.
08:45
Allez-y.
08:46
Et il faut se lever, il faut se lever.
08:48
Alors, est-ce que je peux marcher ?
08:49
Je ne sais pas.
08:50
Il finit sur place.
08:50
Mais je suis obligé de marcher.
08:52
Ben oui, c'est une information importante.
08:55
Je me fais non.
08:56
Regarde Gautier, si tu veux arrêter une belle séquence.
08:58
J'ai vu, j'ai vu.
08:59
Non mais il faut marcher.
09:00
Ça vous a fait du bien ?
09:01
Ben bien sûr, marchez.
09:02
Vous avez une montre connectée ?
09:03
Vous avez une montre connectée ?
09:04
Toutes les 30 minutes, lève-toi.
09:06
Alors je me lève.
09:07
Et maintenant, je me rassais et je me dis, mission accomplie.
09:11
Non.
09:11
Si.
09:12
Mais c'est vrai.
09:12
Vous l'avez pas fait là pendant le direct.
09:13
Vous l'avez pas fait.
09:15
Quand même, là.
09:16
Non mais elle parle vraiment.
09:18
Elle vous dit, lève-toi.
09:19
Elle vibre, elle me met, lève-toi.
09:20
Lève-toi et marche.
09:21
C'est la montre Lazare.
09:24
Bon, j'ai une chanson pour vous parce que vous nous avez beaucoup émus tout à l'heure.
09:28
Merci Julien.
09:29
Bonne journée.
09:30
Monsieur Pro.
09:30
Oui, alors on se reprend après la pub.
09:32
Restez avec nous.
09:33
On se dira au revoir après la pub.
09:34
Ne me passez pas le café des délices.
09:36
Ah ben pourquoi ?
09:37
Parce que c'est pas possible.
09:39
Ben on le passe quand même.
09:43
Il y a beaucoup de pieds noirs pour qui c'est une chanson.
09:59
C'est un hymne, cette chanson de Patrick Bruel.
10:02
C'est vrai que Georges est très ému.
10:06
Mais j'ai envie de dire que c'est une belle émotion.
10:08
C'est une émotion qu'on aime.
10:09
Parce que ces souvenirs que vous avez au fond, vous les aimez bien sûr.
10:14
Et vous nous avez beaucoup émus tout à l'heure en parlant de votre jeunesse du côté de Sousse.
10:19
Qui était une des villes à Sousse.
10:21
Sfax.
10:21
C'était la ville des présidents.
10:23
Exactement.
10:23
Sfax, c'est en Tunisie également.
10:25
C'était la ville de Bourguiba.
10:25
Sfax, c'est en Tunisie également.
10:27
Sfax, oui.
10:27
Sfax, c'était la ville des commerçants.
10:30
Sfax.
10:30
Sfax, c'était à l'époque où la France allait de Dunkerque à Tamadraset, l'Empire.
10:37
Mais on vivait bien ensemble.
10:39
Vivre ensemble, il existait.
10:40
Alors, c'est là que la discussion commence.
10:41
Entre juifs, musulmans, chrétiens.
10:43
Parce que vous dites que tout le monde n'avait pas les mêmes droits, disons-le.
10:47
Et il y a eu quelques erreurs.
10:49
Il y a eu, j'ose le dire, permettez-moi de le dire, des aspects positifs de la colonisation.
10:55
Je sais que je ne vais pas faire plaisir à beaucoup de monde en disant cela.
10:58
Mais je sais, qu'est-ce qui a été fait comme hôpital, construction, route, école, université, c'est la France qui l'a fait.
11:05
Mais d'abord, vous avez raison.
11:07
Simplement, le principe même de la colonisation, il est évidemment contestable.
11:13
Et puis, Charles de Gaulle avait compris qu'il fallait se désengager.
11:19
Et quand il me l'a dit, je vous ai compris, on pense au Harki.
11:24
Non, mais on peut faire une émission complète.
11:26
On peut faire une émission complète.
11:27
On peut la sacrifier.
11:28
Il faudra la faire.
11:28
Oui, bien sûr.
11:29
On peut faire une émission complète là-dessus.
11:32
Et c'est un sujet où les plaies sont encore vives.
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