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Affaire Cohen-Legrand : des sénateurs appellent l’Arcom à des «sanctions claires»
Europe 1
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il y a 2 mois
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00:00
Europe 1 Soir, 19h21, Pierre de Villeneuve.
00:04
Toujours avec Gilles Boutin et Alexandre Malafaille pour commenter l'actualité.
00:07
Et l'actualité, c'est Lecornu à Matignon, nouveau Premier ministre de la France.
00:11
Sébastien Lecornu jusqu'à présent, ministre de la Défense.
00:14
Bonsoir, Roger Carucci.
00:16
Bonsoir.
00:17
Merci d'être avec toi, sénateur LR.
00:19
On va parler bien sûr de votre appel avec une cinquantaine d'autres sénateurs
00:23
à saisir l'Arcom après l'affaire Le Grand Cohen.
00:26
Mais d'abord, votre réaction à cette nomination de Sébastien Lecornu, Roger Carucci ?
00:32
Si vous disiez que c'est une surprise, vous seriez le premier à être étonné.
00:36
Je crois que le nom de Sébastien Lecornu, qui circule quand même depuis un an,
00:39
puisqu'on a bien compris qu'il y a un an, François Bayrou avait un peu forcé la porte du président de la République
00:44
pour que ce soit lui au lieu de Sébastien.
00:48
Cette nomination, elle est logique.
00:50
Un, le bloc central plus les LR, par exemple, 215 sièges à l'Assemblée.
00:54
Aucun autre bloc politique à l'Assemblée n'a autant de sièges.
00:58
Alors, ce n'est pas une majorité absolue, loin de là.
01:01
C'est une Assemblée très fracturée, mais il n'y a pas de majorité alternative.
01:04
Donc, c'est forcément dans ce bloc-là qu'on doit nommer le Premier ministre.
01:08
Ensuite, comme le président de la République avait dit qu'il ne voulait pas de présidentiable,
01:13
ça éliminait par définition un certain nombre de gens qui auraient pu potentiellement être Premier ministre.
01:17
Et la logique en est autour de quelqu'un de très fidèle au président de la République.
01:23
Et je pense qu'il a choisi Sébastien Lecornu, au-delà de la fidélité,
01:27
parce qu'il se dit que Sébastien Lecornu est probablement plus diplomate,
01:31
plus politiquement habile, plus manœuvrier d'ailleurs,
01:36
que ses prédécesseurs pour obtenir des majorités de projet, sinon des majorités de manière plus large.
01:42
Question de Gilles Boutin du Figaro pour vous, Roger Carucci.
01:44
Bonsoir, M. Carucci.
01:46
Lorsqu'Emmanuel Macron a nommé Michel Barnier,
01:50
à l'époque, il y avait une ligne directrice qui était celle du parfum de cohabitation,
01:54
c'est-à-dire qu'il fallait prendre acte des élections législatives.
02:00
On a complètement oublié ça maintenant.
02:01
C'est-à-dire qu'entre-temps, François Bayrou, qui était son principal allié, a été Premier ministre.
02:06
Et maintenant, c'est Sébastien Lecornu qui est un de ses proches.
02:09
Quel regard portez-vous sur cette promesse reniée de prendre en compte la reconfiguration de l'Assemblée nationale ?
02:18
Alors, pour les Républicains, François Bayrou, c'était quand même, pardon de le dire comme ça aussi,
02:25
une pilule plus difficile à avaler que Sébastien Lecornu, qui est un ancien du Parti des Républicains.
02:33
Non, je crois qu'effectivement, le président de la République est, comme nous tous, dans un corner.
02:39
Il n'y a pas de majorité à l'Assemblée. On vient de le voir, cinq premiers ministres en deux ans.
02:44
Le problème maintenant n'est plus de savoir, d'ailleurs, qu'elle serait ou pas la capacité à faire autre chose.
02:52
Ou bien il y a des solutions et une nouvelle élection.
02:54
Et on n'est pas sûr que ça change la composition de l'Assemblée nationale de manière très, très forte.
02:59
Ou bien il faut attendre l'élection du président de la République en 2027.
03:03
Mais dans le cadre actuel et avec la situation de l'Assemblée actuelle,
03:09
il faut surtout préserver les intérêts généraux de la France en obtenant un budget très rapidement,
03:16
en trouvant des équilibres pour ne pas effectivement devoir par la suite augmenter périmement les impôts des Français
03:22
ou être sous la tutelle du FMI.
03:24
Dans la situation dans laquelle on est, 3 400 milliards d'euros de dette,
03:30
un déficit colossal, une espèce d'incapacité à trouver des consensus,
03:34
et on le voit encore avec la journée de demain ou la journée du 18 de grève,
03:38
il faut aller à l'essentiel.
03:41
Je ne dis pas qu'on sera d'accord sur tout avec Sébastien Lecornu,
03:44
mais il faut préserver l'essentiel.
03:46
Monsieur le sénateur, je reprends votre point sur l'intérêt général de la France.
03:50
Vous ne croyez pas que pour mieux servir cet intérêt général,
03:53
il lui fallut choisir une personnalité moins marquée politiquement,
03:56
moins suspecte de connivence avec le chef de l'État,
03:59
et peut-être un peu plus au-dessus, on dirait, de la mêlée politique traditionnelle,
04:03
quelqu'un qui n'aurait pas eu une carte politique,
04:04
quelqu'un qui aurait pu mieux peut-être rassembler et trouver le chemin
04:08
qui lui risque d'être miné par tous ceux qui ont peut-être envie d'engager le bras de faire avec le président
04:12
pour faire à nouveau tomber le gouvernement et peut-être convoquer des législatives ?
04:15
Sans doute, sauf que chaque fois qu'on dit ça, et on s'est déjà dit ça parfois précédemment,
04:21
on se dit, ah, si on avait quelqu'un de la société civile capable d'assurer le rassemblement,
04:27
ce serait parfait.
04:28
Mais moi qui fût ministre chargé des relations avec le Parlement,
04:31
je peux vous dire que quand vous avez une assemblée nationale telle que celle que nous avons,
04:37
il faut, pardon de le dire comme ça, même s'il ne s'appelait pas,
04:39
il faut un vrai pro qui sache à l'intérieur de cette assemblée réussir les majorités de projets.
04:48
Un responsable de la société civile aussi compétent soit-il,
04:53
quand vous avez un Parlement pareil, c'est très compliqué.
04:56
Et puis on peut se le dire, le président de la République pourrait dire,
05:00
comme certains le demandent,
05:02
je démissionne, je provoque une nouvelle élection présidentielle,
05:05
ça remet les compteurs à zéro, mais ils ne le souhaitent pas.
05:08
Donc voilà, le président de la République sera l'âge qu'en 2027.
05:12
L'Assemblée nationale sera-t-elle dissoute si jamais il y a une motion de censure en novembre ?
05:16
Bien sûr que oui, parce que là, on n'y arriverait plus,
05:19
il faudrait retourner aux urnes,
05:20
mais je crois qu'aujourd'hui, il faut plutôt quelqu'un qui ait un sens politique élu,
05:28
qui sache faire des majorités de projets,
05:30
qui sache négocier, on l'a vu pour Sébastien Lecornu,
05:34
sur la loi de programmation militaire,
05:36
où il a quand même obtenu, sur bien des sujets,
05:39
un accord aussi bien à gauche qu'avec le RN.
05:42
Et donc, voilà, s'il parvient à un semblant de consensus,
05:47
au moins pour élaborer le budget et nous sortir de la NAS,
05:50
ce sera toujours cette pointe.
05:51
Après, je ne vous garantis rien,
05:53
parce que les réactions de l'Assemblée nationale sont imprévisibles.
05:56
Roger Carucci, ou en tout cas, plus imprévisible que celle du Sénat, bien sûr.
06:00
Vous êtes sédateur, je le rappelle, pour ceux qui nous rejoignent,
06:06
Roger Carucci, sédateur LR,
06:07
et avec 50 autres collègues, vous saisissez l'ARCOM sur l'affaire Thomas Legrand,
06:12
Patrick Cohen, expliquez-nous votre démarche.
06:16
Alors, le problème n'est pas de dire l'affaire Thomas Legrand, Patrick Cohen,
06:21
j'ai vu que Thomas Legrand, de lui-même, d'ailleurs,
06:23
a renoncé à son émission sur France Inter.
06:26
Alors, pas totalement, parce qu'il participera de temps en temps, a-t-il dit.
06:29
Oui, oui, oui, c'est dégant.
06:32
Mais, quel est le problème ?
06:34
Le problème, ce n'est pas que des hommes politiques rencontrent des journalistes,
06:37
ou des journalistes rencontrent des hommes politiques,
06:39
on l'a tous fait, depuis que la politique existe,
06:41
depuis que le journalisme existe,
06:42
il y a par définition des échanges, des débats.
06:44
Le seul problème qui se pose,
06:47
c'est comment des gens qui sont dans le service public de l'audiovisuel,
06:52
payés par définition par l'ensemble des Français, l'ensemble de l'impôt,
06:55
comment est-ce qu'on peut, même au travers d'une conversation,
06:59
dire, je m'occupe de tel ou tel candidat de droite,
07:03
pour dire, on va vous aider à gagner une élection,
07:08
qu'elle soit municipale, qu'elle soit nationale, tout un peu.
07:10
Je veux simplement dire, quelle serait la réaction ?
07:14
Quelle serait la réaction ?
07:16
De la gauche, si les journalistes du service public,
07:19
parce que je ne veux pas qu'on me renvoie aux journalistes qui sont sur des chaînes privées,
07:22
parce que ceux-là, par définition, moi je ne les paye pas,
07:25
ils ne sont pas payés par les impôts des Français,
07:27
c'est autre chose.
07:28
Mais ceux qui sont payés par l'ensemble des impôts des Français
07:30
se doivent d'une certaine neutralité,
07:33
c'est d'ailleurs dans la charte du service public.
07:35
Or, clairement, certains journalistes,
07:39
non seulement l'affichent dans les orientations qu'ils ont dans leurs émissions,
07:43
mais maintenant disent clairement à des responsables socialistes,
07:46
en l'occurrence, que ça pourrait être un autre à gauche,
07:48
on va s'occuper d'un tel ou d'un tel.
07:50
Ça n'est pas acceptable.
07:52
Je le dis avec, vraiment, moi je n'ai rien contre ni Thomas Legrand,
07:55
ni Patrick Oune, ce n'est pas le sujet d'ailleurs,
07:57
mais je pense que ce que nous demandons,
08:00
c'est plutôt, et moi j'avais déjà demandé il y a quelques mois
08:03
une mission d'information au Sénat
08:05
sur la neutralité du service public de l'audiovisuel,
08:08
je considère que tous les Français
08:11
ont le droit d'avoir sur le service public de l'audiovisuel,
08:15
radio ou télévision,
08:17
une information neutre,
08:19
des journalistes qui peuvent avoir leurs opinions,
08:21
mais qui ne les imposent pas,
08:23
et en tout cas qui ne disent pas clairement
08:25
qu'ils vont dénoner tel ou tel candidat de droite.
08:28
Ça n'a pas de sens,
08:29
et ça n'a même pas de sens,
08:32
si je puis dire, global,
08:33
parce qu'en fait, en disant cela,
08:36
ils nuisent au service public de l'audiovisuel,
08:38
et ils donnent raison à ceux qui disent
08:40
être privatisés.
08:42
Parce que si vous dites que le service public de l'audiovisuel
08:45
n'est consacré que de manière très orientée,
08:48
très organisée, très méthodique,
08:50
au détriment de la droite et tout,
08:52
pourquoi voulez-vous que les gens de droite se disent
08:54
« Bon, on va garder un service public de l'audiovisuel
08:56
qui nous tape dessus ».
08:58
Ça n'a pas de sens.
08:59
Roger Carucci, il y a deux éléments.
09:02
Le premier, c'est
09:03
« Que pensez-vous de l'ARCOM et de son travail
09:06
et pourquoi vous la saisissez ? »
09:07
Ça, c'est la première question.
09:09
Et la deuxième,
09:10
et je vous demanderai de répondre en une minute dans tout ça,
09:12
ça va être difficile.
09:13
Et la deuxième, c'est
09:14
« Vous savez, le service public,
09:16
j'ai l'impression qu'il y a une inertie.
09:18
On sait depuis des années
09:19
que les journalistes du service public,
09:21
notamment de la radio publique,
09:23
qui sont de gauche. »
09:24
Et on ne fait rien contre ça.
09:26
Alors qu'on voudrait, idéalement,
09:27
dans un monde idéal
09:28
qui a été écrit dans beaucoup de romans d'anticipation,
09:31
on voudrait qu'il soit neutre,
09:32
qu'il y ait juste l'effet.
09:34
Sujet vert, complément.
09:35
Voilà ce qui s'est passé aujourd'hui.
09:36
Point.
09:37
Ben non, ça n'existe pas.
09:38
Quel est votre avis là-dessus ?
09:39
Et on commençait par l'ARCOM.
09:40
Bon, très clairement.
09:43
Je dois voir, d'ailleurs, prochainement,
09:44
le président de l'ARCOM.
09:45
Mais très clairement,
09:47
on va demander à l'ARCOM
09:48
quelle est sa capacité réelle,
09:51
quelle est sa compétence réelle,
09:53
et quelle est son envie
09:55
d'assurer cet équilibre.
09:57
On a vu l'ARCOM sur C8,
09:59
on a moins vu l'ARCOM sur le service public.
10:02
Donc, ce que je demanderai au président de l'ARCOM,
10:03
c'est de me dire très sincèrement
10:05
s'il a une capacité,
10:07
une volonté,
10:07
de faire en sorte que l'équilibre
10:08
soit respecté par tout le monde.
10:10
Deuxième élément,
10:11
oui, on sait depuis des années
10:13
que les chaînes du service public
10:15
vont plutôt avec des journalistes orientés à gauche.
10:18
Mais à la limite,
10:19
qu'ils aient leurs opinions,
10:20
c'est leur problème.
10:21
Qu'ils l'imposent,
10:22
ça n'est plus leur problème,
10:23
c'est notre problème,
10:24
et celui de l'ARCOM.
10:25
Et qu'en plus,
10:26
ils se vantent de dégager
10:28
ou de dégommer des candidats,
10:30
ça, c'est pas admissible.
10:31
Il y a une ligne rouge
10:32
qui est celle d'un minimum,
10:34
un minimum de respect
10:36
de l'ensemble des citoyens
10:38
qui peuvent être de gauche,
10:39
qui peuvent être de droite
10:40
et qui écoutent,
10:41
qui voient le service public
10:42
et qui ont besoin de se dire
10:44
« ça me représente ».
10:45
Moi, je ne partage pas l'opinion
10:47
de madame la présidente
10:48
de France Télévisions
10:49
qui dit
10:50
« on voudrait que la télévision,
10:52
ça ne représente pas
10:53
la France qui existe,
10:54
mais la France que l'on souhaiterait. »
10:55
Non.
10:56
Non.
10:56
Voilà.
10:57
Il y a une France.
10:58
Et c'est la raison pour laquelle
10:59
vous allez notamment
11:00
rencontrer le président de l'ARCOM.
11:01
Merci beaucoup,
11:02
Roger Carucci,
11:03
d'avoir été en direct
11:04
sur Europe 1 ce soir.
11:06
Au revoir.
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