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Les Vraies Voix avec Benoît Perrin, directeur de Contribuables associés

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##LE_GRAND_DEBAT_DES_VRAIES_VOIX-2025-07-09##

Catégorie

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News
Transcription
00:00Les Vraies Voix Sud Radio, le grand débat du jour.
00:04François Bayrou a présenté hier son projet de refonte de l'administration territoriale de l'État.
00:08Au centre de cette réforme, un renforcement du rôle des préfets et une proposition choc qui suscite la controverse.
00:13Instaurer une année de blanche pour les dépenses publiques avec notamment un gel partiel des prestations sociales,
00:18l'ambition est claire, gagner en efficacité et limiter le gaspillage.
00:22Mais à quel coup ? Est-ce une réponse lucide à l'urgence budgétaire ou une pression supplémentaire sur les plus vulnérables ?
00:28Il faut faire 50 milliards d'économies.
00:30Certains parlementaires proposent de toucher les grandes fortunes.
00:34Pour d'autres, il faut geler les aides sociales.
00:37Faites vos jeux, la question sur le compte X de Sud Radio.
00:41Et pour notre débat, la voici.
00:43Projet de réforme Bayrou, faut-il geler les dépenses publiques pendant un an ?
00:48Pour l'instant, vous dites oui à 66%.
00:51Donc non à 34%.
00:53C'est intéressant.
00:54Voilà, donc vous êtes plutôt...
00:56Oui, mais il faut le préciser parce que des fois, il y a des nœuds qui ne se prononcent pas, etc.
00:59Donc plutôt option serrer la ceinture.
01:02Mais si vous avez envie d'enlever un cran, vous continuez de voter sur le compte X.
01:07Ou si vous les resserrez aussi, les deux, ça marche.
01:09Oui, chacun son truc.
01:10Alors Benoît Perrin, je vais vous reposer la question pour que vous étayiez un petit peu ce que vous nous avez dit juste avant la coupure.
01:15Pour vous, c'est tant une mesure de bon sens, pardonnez-moi, qu'une stratégie à haut risque social, cette histoire.
01:21Alors oui, stratégie de bon sens, pourquoi ?
01:24Le sujet est assez simple, c'est qu'on a, tout le monde le sait, des gros problèmes budgétaires.
01:29Et on sait de l'autre côté qu'on a de gros problèmes politiques.
01:31C'est-à-dire qu'on peut finalement, on ne peut pas faire voter grand-chose.
01:33Donc du coup, il faut se tourner vers les solutions avec le plus d'impact.
01:36C'est-à-dire celles qui permettent de réduire considérablement les dépenses de l'État.
01:40Et en même temps, des mesures qui soient les plus acceptables possibles pour finalement quasiment tous les Français.
01:45Donc l'année blanche, c'est quoi ?
01:46C'est très simple, c'est qu'on se dit, voilà, on a 1700 milliards de dépenses en 2025.
01:50Eh bien, on en aura exactement autant en 2026.
01:53Alors pourquoi on dit que c'est un effort budgétaire ?
01:55C'est un effort budgétaire parce qu'en fait, la dépense publique, si vous ne faites rien, en fait, elle augmente tous les ans.
01:59Avec l'inflation, pas seulement ?
02:00Avec l'inflation, vous avez totalement raison.
02:02Deux, avec un certain nombre de prestations sociales qui sont indexées automatiquement sur l'inflation.
02:06Vous avez les retraites qui sont indexées sur l'inflation.
02:11Vous avez aussi, naturellement, la revalorisation des traitements des fonctionnaires.
02:15Comme vous le savez, il y a une part de la rémunération des fonctionnaires qui est basée sur l'ancienneté.
02:19Donc par définition, ça monte mécaniquement.
02:21Et enfin, vous avez ce qu'on appelle des plans pluriannuels de dépenses, typiquement sur le ministère de la Défense,
02:27où on s'engage chaque année à dépenser un peu plus.
02:29Donc autrement dit, si on ne fait rien, la dépense publique augmente naturellement.
02:33Donc le fait de geler la dépense publique, c'est simplement de dire,
02:35voilà, on arrête cette espèce de mécanique infernale,
02:38et on se dit, voilà, on stoppe la dépense, et pour ce faire, il y a plusieurs leviers.
02:42Pardon, sauf s'il y a le Covid, ou sauf s'il y a la guerre, mais enfin, c'est une autre histoire.
02:45Ouais.
02:46Alors si on a le Covid de la guerre, c'est le problème, en fait, du couple qui a un problème de chaudière.
02:50C'est-à-dire que le problème, c'est qu'un couple qui a un problème de chaudière,
02:54normalement, il fait des économies pour justement mettre de côté au cas où il y a une crise.
02:57Le problème de la France, c'est qu'on ne met jamais de côté,
02:59on ne passe son temps, en fait, à payer le train de vie de l'État,
03:01et du coup, on n'a pas un COPEC si jamais il y a un événement inattendu.
03:05Alors, il y a Jean-Philippe Tanguy du RN qui dit,
03:07c'est le degré zéro de la gestion politique.
03:09Si c'est pour faire cela, autant remplacer le ministre des Finances par Tchad GPT,
03:12qui gérera tout assimilement les comptes de la nation.
03:15Qu'est-ce que vous en pensez, vous, Anne Lorraine ?
03:19En fait, c'est ça la question, c'est où est-ce qu'on va geler,
03:22qu'est-ce qu'on va geler, qui va en pâtir,
03:24et est-ce que c'est vraiment stratégique de geler tout le monde à la même échelle,
03:27alors qu'il y a évidemment des secteurs dans lesquels la dépense est essentielle.
03:31On parlait justement du ministère de la Défense,
03:34on ne peut pas lesigner là-dessus dans le contexte actuel.
03:37Je pense aussi que ça va avoir...
03:38La santé aussi, par exemple.
03:39La santé, évidemment.
03:40On l'a vu aussi, on parlait du Covid tout à l'heure.
03:42On s'est retrouvé bien face au mur au moment où c'est arrivé.
03:46On est un peu les cigales dans tout ça.
03:50Et donc, évidemment, il ne faut pas se laisser avoir
03:53par ces belles formules d'année blanche.
03:55Parce qu'en fait, le constat, tout le monde le fait.
03:57Les Français ont bien compris.
03:58Déjà, on parle de se serrer la ceinture.
04:00Ils le font déjà tous.
04:00En fait, on le fait déjà tous.
04:02Donc, voilà.
04:03C'est juste une stratégie de com'.
04:05On va se serrer la ceinture, ça va aller mieux.
04:06Tout le monde sait qu'on va passer par là.
04:08Mais après, voilà, il faut voir.
04:09Il faut voir, parce que les dépenses de santé,
04:11on ne peut pas faire autrement avec le vieillissement de la population.
04:13Est-ce que ça ne va pas aussi avoir un impact sur la consommation derrière ?
04:16Est-ce que derrière, on va aussi alléger les impôts sur les entreprises
04:19pour qu'elles puissent produire plus ?
04:21Il y a plein de scies dans cette année blanche.
04:24Alors, Rosy Bordet, vous êtes élue en ruralité.
04:27Donc, vous allez pouvoir nous parler justement de l'impact
04:29que ça pourrait avoir, ce gel, par exemple,
04:32de certaines prestations sociales sur le peuple, objectivement.
04:35Ou les gueux, comme les appellerait Alexandre Jardin.
04:39D'abord, pardonnez-moi, la dépense, je pense qu'il faudrait peut-être
04:43revoir déjà au sein de l'État.
04:45Parce qu'aujourd'hui, il y a une dépense extraordinaire
04:47concernant les fonctionnaires, les millefeuilles administratives.
04:50Enfin, donc, je peux dérouler.
04:52On en a pour un moment.
04:52Donc, je pense déjà qu'il faudrait peut-être regarder par là.
04:55L'année blanche, oui, je pense que c'est utile.
05:00Compte tenu de la situation au sein de nos instances,
05:03la débandade totale de nos élus.
05:05Donc, pour voter quelque chose, effectivement,
05:07je pense que le Premier ministre a peut-être raison.
05:10C'est plus sage de mettre une année blanche.
05:12Maintenant, pour revenir à votre question, Judith,
05:14concernant la ruralité, élu dans la ruralité.
05:17Oui, forcément qu'il va y avoir une répercussion sur nous, sur le terrain.
05:23Donc, il va falloir gérer.
05:25On gère déjà, nous, les cantines.
05:27Le quotidien, oui.
05:28Plus précisément, les ruralités, c'est plus les localités, en fait.
05:34Exactement.
05:37On voit déjà que les subventions sont en train de diminuer
05:39et que ça va aller encore plus dans ce sens-là.
05:43Moins de subventions.
05:45Donc, les entreprises pour s'installer, pareil.
05:48Il faut alléger les charges pour que les entreprises puissent s'installer
05:51et embaucher pour le développement économique.
05:53Donc, je pense qu'on peut énumérer comme ça beaucoup de choses.
05:56Mais moi, je partirais vraiment sur cette millefeuille administrative
05:59et surtout sur le nombre de fonctionnaires aujourd'hui et l'utilité.
06:03Peut-être qu'il faut avoir une vraie réflexion sur la situation de la France
06:07avec des gens qu'on paye, les anciens présidents de la République,
06:12les anciens ministres.
06:13Tout ça, ça coûte énormément d'argent.
06:15Ça coûte énormément d'argent, mais ça doit être quelque chose d'un peu plus global.
06:19Plus global, mais c'est toujours les mêmes qui vont payer.
06:21C'est toujours les mêmes.
06:22Benoît Perrin, est-ce que dans cette option, on l'a compris,
06:27alors appelons-le à nez blanche, gel des dépenses, etc.
06:31Est-ce que forcément, il y a une obligation de faire un choix politique ?
06:37Est-ce que finalement, vous ne dites pas vous, il y a une réalité
06:42et il n'est pas question de dire je privilégie ça ou ne privilégie pas ?
06:46Oui, quand même, c'est un choix politique avant tout.
06:49Alors, c'est un choix politique avant tout.
06:50Maintenant, il faut reconnaître quand même que c'est une solution de facilité.
06:53Mais c'est une solution de facilité.
06:54Qu'est-ce que la solution de facilité ?
06:55La solution de facilité, c'est à nez blanche.
06:56C'est-à-dire qu'en fait, on ne décide rien.
06:57Il n'y a pas de choix politique.
06:59Au sens où, par définition, on laisse les choses en l'État.
07:01D'où le choix politique à la baille roue.
07:03Exactement.
07:04Donc ça, ce n'est pas faux.
07:05Mais la difficulté de cette solution, c'est qu'on sait qu'elle est temporaire
07:09et surtout, elle permet à peu près, parce qu'il faut parler chiffres,
07:13d'économiser à peu près 20 milliards sur l'effort budgétaire qui est demandé de 40 milliards.
07:17Donc c'est à peu près 50% de l'effort peut être fait quasiment en une seconde
07:21en gélant, encore une fois, toutes les dépenses de l'État.
07:24Donc c'est quand même très efficace.
07:25Mais il ne faut pas se contenter de ça parce qu'effectivement, si vous contentez de ça,
07:29un, vous n'arrivez pas à ces fameux 40 milliards, et deux, de toute façon, ce ne sont pas des économies structurelles.
07:33Madame a raison.
07:34Les économies structurelles, c'est quoi ?
07:36Rosy Bordet.
07:37Rosy Bordet a raison.
07:39Les économies structurelles, c'est quoi ?
07:41C'est évidemment regarder les retraites, c'est évidemment regarder la santé,
07:43c'est évidemment regarder le budget des collectivités locales,
07:46c'est de regarder le budget de la sphère sociale,
07:48parce que la sphère sociale, c'est quand même 50% de la dépense publique,
07:50l'État, c'est 30% de la dépense publique,
07:52les collectivités locales, c'est 20% de la dépense publique.
07:55Donc autrement dit, on ne peut pas se contenter de ça,
07:58et je vais même aller plus loin,
07:59le drame, c'est que surtout, on ne peut pas se contenter de ça sur les années à venir.
08:03Comme vous le savez, simplement pour stabiliser la dette aux alentours de 110% du PIB,
08:08on doit faire à peu près 120 milliards d'économies sur les années qui viennent.
08:11Donc de toute façon, cette année blanche,
08:14elle va très probablement de toute façon se renouveler année après année,
08:17parce qu'on a des efforts considérables à faire,
08:20simplement pour encore une fois maintenir le niveau de la dette par rapport à notre PIB à 110%.
08:25Donc effectivement, il faut bien avoir conscience qu'on est presque au début des efforts,
08:29simplement pour atteindre nos objectifs à la fois de dette et de déficit.
08:33On peut se reposer la question que posait Rosy Bordeau au départ.
08:35Anne Lorraine, par exemple, comment ça se fait qu'on ne va pas couper directement dans les dépenses,
08:40sur les salaires qu'on verse encore aux anciens ministres,
08:44ou le nombre de députés, ou je ne sais quelle administration,
08:48très lourde finalement, beaucoup de fonctionnaires, on le sait aussi,
08:51qui coûtent très cher à l'État. Pourquoi est-ce que ça serait toujours les mêmes qui trinquent ?
08:55On parlait de solutions de facilité, c'est clairement ça.
08:58C'est sûr que c'est plus facile de dire on va couper pour tout le monde,
09:01alors que ça va avoir un effet peanut sur la dette globale, sur le déficit global.
09:08Donc oui, c'est plus facile que de s'attaquer aux vrais problèmes.
09:11Il y a un sujet dont on n'a pas parlé, on parlait de dépenses sociales,
09:13mais aussi un gros sujet sur l'immigration, encore une fois.
09:16On va dire encore que Valeur Actuelle aura d'autres sur l'immigration,
09:18mais c'est un vrai sujet, il y a beaucoup de dépenses inutiles aussi là-dedans,
09:23et on s'inflige quelque chose un peu gratuitement.
09:25C'est souvent évoqué d'ailleurs, on parlait des dépenses sociales,
09:28mais c'est souvent évoqué sur les protections sociales offertes aux personnes d'autres pays.
09:35On parle de la CMU.
09:35Voilà, et ça fait partie des débats en tout cas.
09:37À un moment donné, il faut arrêter, parce qu'aujourd'hui, tout est relié à l'immigration.
09:42Dès qu'il y a un problème...
09:43Après, on a évoqué plein de sujets d'autres que l'immigration.
09:44Mais on ramène quand même le sujet sur l'immigration.
09:47Donc, je pense qu'il faut arrêter un moment et se poser aussi les bonnes questions.
09:51Donc, l'immigration, moi je vais aller plus loin.
09:54C'est vrai qu'on accueille, les gens arrivent illégalement, etc.
09:57On accueille les gens, mais si on essayait de maintenir ces gens-là,
10:02bien sûr qu'il y a les guerres, bien sûr qu'il y a beaucoup de choses qui se passent sur les continents.
10:07Je parle plutôt du continent africain que je connais un peu.
10:09Donc, si on arrivait à développer ce pays pour que les migrants restent chez eux,
10:13moi, dans ma commune, on accueille des migrants mineurs, non accompagnés.
10:18Donc, vous croyez que ces petits jeunes-là, il y en a 12, de 9 ans à, on va dire 17 ans,
10:25parce que quand ils sont majeurs, ils ne restent plus là.
10:27Vous croyez que ça leur fait plaisir de vivre encadrés tout le temps
10:31et d'être toujours de l'autre côté de la barrière,
10:33regardant ce qui se passe de l'autre côté, justement, dans le village,
10:36lorsqu'il y a une fête, etc., on essaie de les inclure.
10:41Donc, moi, je vais vous dire une chose.
10:42Je ne sais pas, une maman africaine, quand elle est enceinte,
10:45est-ce qu'elle se dit, je fais à manger pour les poissons qui sont dans la Méditerranée ?
10:49Non, à un moment, il faut arrêter.
10:51Je pense qu'il faut vraiment mettre le problème.
10:53Réglons les problèmes et arrêtons, aujourd'hui, avec l'immigration.
10:56Aujourd'hui, il n'y a pas d'immigrés, les restaurants ne fonctionnent pas.
10:58Donc, à un moment...
10:59Mais c'est un coup quand même, Rosé.
11:00Oui, bien sûr qu'il y a un coup.
11:01Mais mettons les Français au travail, pardon.
11:03Peut-être là, je ne suis pas du bon côté, mais mettons les Français au travail.
11:06Payons les gens, payons les gens, avec leur vraie valeur du travail,
11:11donnez-leur la façon...
11:12Moi, je ne supporte pas de voir les Français qui travaillent,
11:16les travailleurs pauvres qui dorment dans leur voiture.
11:18Vous trouvez ça normal ?
11:20Là, je parle pas d'immigration.
11:21Ils dorment dans leur voiture, précisément parce que le travail ne paie pas.
11:24Mais voilà, le salaire ne paie pas.
11:25Pourquoi le salaire ne paie pas ?
11:26Il faut aller au bout du raisonnement.
11:27Parce que vous avez beaucoup de charges sociales
11:29qui servent justement à financer un certain nombre de prestations sociales
11:32presque sans limite.
11:33Pardonnez-moi, je vous coupe les amis, mais...
11:34Pas forcément les migrants.
11:35C'est mon village, il n'y a pas de migrants.
11:37Je dis juste qu'on ne peut pas écarter l'immigration comme ça.
11:39Oui, non.
11:40C'est un problème parmi d'autres.
11:41Messieurs, monsieur, merci.
11:43Nous avons une auditrice qui est en ligne au 0826 300 300.
11:46On rejoint Marie-Christine, qui nous appelle de nos gens le roi
11:49et qui est avec nous pendant toute l'émission.
11:51Marie-Christine, voilà, c'est à vous.
11:54Bon, vous en pensez quoi ?
11:56Vous êtes plutôt du genre à dire
11:57il faut quand même qu'on se serre la ceinture
11:59ou alors, arrêtez, c'est toujours les mêmes
12:02nous qui faisons les efforts ?
12:05Allô, est-ce que vous nous entendez ?
12:06Allô, vous m'entendez ?
12:08Oui, parfait.
12:09Alors vous êtes plutôt du genre, oui,
12:10à vous serrer la ceinture ou à dire
12:12c'est toujours les mêmes qui sont obligés de faire des efforts ?
12:17Écoutez, vous avez, monsieur Perrin,
12:21de Contrélables Associés,
12:23que je salue parce que je suis adhérante de cette association de Cucut.
12:27Merci madame.
12:28Vous voyez, monsieur Perrin.
12:30Merci beaucoup.
12:30C'était donc elle.
12:31Merci, je plaisante.
12:32Je plaisante.
12:33Je plaisante.
12:36Est-ce que je vous dis que c'était elle,
12:37le district de Sud Radio ?
12:38Non, bon bah alors.
12:38Attendez, pour qu'on l'écoute, excusez-moi.
12:40Marie-Christine, on ne vous entend pas.
12:41Allez-y, parlez plus fort.
12:42Oui, ça fait des années que Contribuables Associés
12:46donnent des réponses extrêmement argumentées
12:50à ce genre de questions
12:52et personne, aucun politique n'en tient compte.
12:56C'est absolument scandaleux.
12:58Parce que là, il y a vraiment des points d'économie
13:04tout à fait substantiels, intéressants, utiles et nécessaires.
13:08Merci beaucoup pour votre témoignage, Marie-Christine.
13:12C'est le témoignage du bon sens.
13:13Mais vous restez là, Marie-Christine.
13:15Vous restez avec nous parce qu'il y a encore des trucs qui se passent.
13:17Alors, on va remercier notre invité, Benoît Perrin,
13:21qui est directeur de Contribuables Associés.
13:23Merci d'être venu partager avec nous aujourd'hui.
13:23Merci pour votre invitation.
13:24Et qui vient avec ses administrés.
13:27Merci beaucoup.
13:28Qui est bien organisée.
13:28Voilà, puis on reste avec Anne-Lauren Rousseau et Rosie Bordet.
13:31Tout de suite, ça va être la suite de l'émission.
13:35Le Tour de France.
13:36Tout à fait.
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