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Les Vraies Voix avec Fabien di Filippo, député LR de Moselle.

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##LE_GRAND_DEBAT_DES_VRAIES_VOIX-2024-09-27##

Catégorie

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News
Transcription
00:00Les Vrais Voix Sud Radio, le grand débat du jour.
00:03Placé en centre de rétention administrative,
00:06Taha O affirme être né à Oujda, près de la frontière avec l'Algérie.
00:10Le Maroc doit attester de sa nationalité avant son expulsion.
00:14Problème, le royaume ne répond pas.
00:16Le QTF n'est donc pas exécuté.
00:19Il est donc placé en centre de rétention,
00:20ça n'est pas un endroit où je peux vous dire que vous voudriez passer ne serait-ce qu'une journée.
00:23Il se trouve que l'état du droit actuel fait qu'on peut y passer 90 jours.
00:27Pourquoi n'était-il pas en prison, on ne laisse pas sortir ?
00:29Ce genre de prédateurs, on les laisse en prison, point barre.
00:32Ça n'est ni de la responsabilité de la justice,
00:34ni de la responsabilité de la justice administrative,
00:37ni de la responsabilité des magistrats.
00:40Après le meurtre de Philippine,
00:41les députés LR veulent rallonger la durée de rétention des étrangers sous OQTF
00:45afin de faciliter leur expulsion.
00:47135 jours de rétention, voire 210 au lieu de 90 jours prévus actuellement.
00:53Et parlons vrai, est-ce que la bonne méthode,
00:55ce ne serait pas surtout de mettre la pression sur les pays
00:58pour qu'ils délivrent les laissés-passés consulaires ?
01:00Est-ce que vous pensez qu'une majorité au Palais Bourbon peut voter cette réforme ?
01:04Et à cette question, faut-il allonger le délai de rétention des personnes
01:07en situation irrégulière et sous OQTF ?
01:11Vous dites oui à 86%, vous voulez réagir ?
01:13Manu attend vos appels au 0826 300 300.
01:16Et notre invité, Fabien Di Filippo, député LR de Moselle.
01:19Monsieur le député, merci d'avoir accepté notre invitation.
01:22Bonjour.
01:23Philippe Bilger, que dit le magistrat ?
01:27À la suite du crime dont a été victime Philippine,
01:31on ne peut que répondre positivement à la question posée par Sud Radio.
01:36Mais je voudrais tout de même formuler deux observations.
01:41D'abord, que je suis surpris par l'atténuation systématique
01:48des transpositions européennes dans notre droit largement pénal.
01:54Et je ne comprends pas pourquoi la France, à chaque fois qu'elle a ce devoir,
02:00prend la version la plus atténuée, la plus faible,
02:05au regard de ce qu'elle pourrait faire.
02:07Et deuxième élément, il ne faut jamais l'oublier,
02:10même si on met en place le dispositif le plus cohérent,
02:14le plus efficace du monde apparemment,
02:17il y aura toujours, malheureusement, et on le constate à chaque tragédie,
02:22une absence de coordination et d'information entre des services fondamentaux.
02:28Et c'est là-dessus, ces deux observations,
02:31mais je pourrais en avoir d'autres,
02:33mais bien sûr, j'attends avec impatience les propos de M. le député.
02:37– M. le député, excusez Philippe Bilger qui a déjà passé la parole.
02:41Non, parce qu'on a deux députés, un député et un ancien député.
02:45Virginie Calmel.
02:47– Alors, trois petites observations.
02:48La première, ras-le-bol.
02:50Voilà, je crois qu'on n'en peut plus.
02:51On ne va pas continuer à compter nos morts ou à s'habituer à l'horreur.
02:56Ça devient, et je pense que les Français le ressentent profondément,
03:01c'est un cri plus de colère et de se dire mais ce n'est pas possible qu'on n'agisse pas.
03:07Donc ça, c'est la première observation.
03:08La deuxième, Fabien Diffilippo va exposer sa mesure.
03:13Je crois qu'il est fondamental que les politiques effectivement
03:16se saisissent de ce problème en étant constructifs et en force de proposition.
03:21Parce qu'on ne peut pas dire, faire des constats,
03:25se dire que ce n'est pas appliqué et rester les bras ballants.
03:28Donc moi, je soutiendrai toute mesure, toute proposition
03:32qui serait de nature à améliorer l'application des EQTF.
03:39Et troisième point, on y reviendra peut-être après,
03:42il faut quand même, non seulement il y a ce sujet de délai,
03:45mais il y a un sujet aussi qui est majeur,
03:48c'est ces fameux centres de rétention administrative.
03:51Parce que le problème, c'est qu'aujourd'hui,
03:53on n'a pas assez de centres de rétention administrative.
03:56On n'a pas assez de places.
03:58Et donc, même si on allongeait les délais, je crains que malheureusement,
04:02ce soit de la même façon que les prisons,
04:04des peines qui ne sont pas exécutées, faute de place.
04:07Jean-Michel Fauvergue.
04:09Oui, alors plusieurs choses aussi.
04:12Avant 2018, le délai de rétention était de 45 jours.
04:16En 2018, il y a eu la loi Asile et Immigration que j'ai votée.
04:19On est passé à 90 jours.
04:21A l'époque déjà, certains d'entre nous voulaient s'aligner sur l'Allemagne.
04:26C'était de 6 mois jusqu'à 18 mois.
04:28Ça n'a pas été possible, sous peine de faire exploser la majorité de l'époque.
04:32Donc, ça a été difficile.
04:33On est quand même passé 90 jours.
04:36Je suis effectivement favorable à faire...
04:38Rallonger.
04:40Je ne suis pas persuadé qu'il fasse...
04:42Alors, il y a des crades nouveaux qui ont été construits,
04:43des centres de rétention administrative, pardon,
04:45qui ont été construits...
04:52...d'autres...
04:56...est important pour un certain nombre de...
04:58assez restreint de personnes
05:00pour lesquelles on n'obtient pas le laissé-passer consulaire.
05:03Et donc, ça pourrait se mettre en route assez rapidement.
05:06La problématique que je vois, moi,
05:08c'est qu'il faut faire ça, c'est clair, il faut le faire.
05:11Mais il ne faut pas, une fois qu'on aura fait ça,
05:14si ça se fait, et je souhaite que ça se fasse,
05:17dire ça y est, le problème est réglé.
05:18Parce qu'il ne vient pas de là, le problème.
05:20Le problème, il vient du fait qu'il faut absolument
05:24que l'on arrive à expulser les gens qui n'ont rien à faire
05:28sur notre territoire national.
05:30Et ça, il faut s'y atteler, avec l'administration,
05:33avec la diplomatie pour les pays qui refusent, etc.
05:38– Fabien Di Filippo, vous êtes un des signataires
05:41de cette proposition de loi.
05:42Vous avez entendu Jean-Michel Fauvert qui a dit
05:44que pour passer à 90 jours au sein de la majorité,
05:47il était député macroniste, ça avait été compliqué.
05:50Est-ce que vous pensez, vu l'atomisation
05:52de l'Assemblée nationale, que vous pouvez faire passer
05:54votre proposition de loi ?
05:56– Oui, bonsoir.
05:58Cette proposition, elle unit, vous savez,
05:59tous les députés de la droite républicaine.
06:01Je salue les propos des trois intervenants
06:02qui sont tout à fait justes, et c'est une question
06:05que j'aborde avec beaucoup d'humilité.
06:07Et M. Fauvert a eu l'honnêteté de rappeler
06:09comment s'étaient passés les débats.
06:11On était tous les deux très investis sur la loi
06:14asile-immigration, chacun d'un côté à l'époque,
06:17avec Gérard Collomb qui était ministre.
06:19Et le texte originel prévoyait ces 135 jours,
06:22et il a raison, ça a été ramené à 90 jours
06:24parce qu'à l'époque, ça tirait très fort à gauche,
06:26y compris dans la majorité macroniste de l'époque.
06:31Alors aujourd'hui, vous savez, ce texte,
06:34j'ai bien conscience par rapport à ce que vous disiez,
06:35que c'est qu'une première pierre.
06:37C'est-à-dire que derrière, il y a la question
06:38effectivement des laissés-passés consulaires,
06:40il y a la question de la double peine.
06:42Mais ça, ça me paraît essentiel pour faciliter
06:44le travail des magistrats.
06:45J'ai eu un débat sur une antenne concurrente
06:48avec un juge des Libertés qui,
06:50même s'il trouve ces délais excessifs,
06:53a reconnu que ça pourrait être utile.
06:54Il y a trois choses dans cette proposition de loi.
06:56La première, effectivement, pour ce que j'appellerais
06:58entre guillemets le droit commun,
06:59on passe le délai de 90 à 135 jours,
07:02ce qui laisse davantage de temps pour obtenir
07:04les laissés-passés consulaires qui sont nécessaires.
07:06Et vous savez, on peut se payer de mots
07:09et voir beaucoup de choses sur les réseaux
07:10ou dans certains partis politiques en disant
07:12on les remet dans l'avion, pourquoi il y a à discuter ?
07:14Vous ne reconduirez jamais quelqu'un dans un pays tiers,
07:17même si c'est son pays d'origine,
07:18sans qu'il y ait de laissés-passés consulaires ou de visa.
07:21Donc il y a un principe de réalité qui s'impose à nous tous.
07:24Et ce qu'on recherche, c'est l'efficacité maximum.
07:26La deuxième chose, c'est que vous savez,
07:28dans ces procédures, ce qui est très complexe pour le juge,
07:31c'est que vous devez revenir dessus.
07:32Au bout de quatre jours, au bout de 30 jours,
07:35au bout de 60 jours, au bout de 75 jours, au bout de 90 jours,
07:38il faut à chaque fois que le juge, jusqu'au délai maximal,
07:41justifie pourquoi encore on prolonge le délai.
07:44Donc la deuxième étape de cette proposition de loi,
07:46c'est de dire qu'il n'aura plus besoin, avant les 90 jours,
07:49de revenir dessus et d'apporter des éléments nouveaux
07:51pour maintenir la personne en détention.
07:53Et puis troisièmement, le plus important,
07:55aujourd'hui, le seul délai dérogatoire,
07:56c'est 210 jours pour les personnes qui ont commis des actes terroristes.
08:00Je souhaite que ce délai s'applique
08:02pour tous les criminels et tous les délinquants.
08:04Monsieur le député, il y a un volet financier quand même.
08:07Est-ce qu'on a les moyens de ça ?
08:09Parce que quand je regarde, le coût,
08:11chaque OQTF coûte 602 euros par jour
08:15dans les centres de rétention administratives d'aujourd'hui.
08:18Est-ce que financièrement,
08:20on est capable d'assumer ce surcoût financier ?
08:25Alors, ce qu'on souhaite avec cette proposition de loi,
08:28c'est que ce que j'appellerais les droits fondamentaux
08:30des criminels clandestins ne passent plus
08:32avant la sécurité de nos concitoyens.
08:34C'est des gens qui souvent,
08:35tout en étant en situation irrégulière en France,
08:38alors là, en l'occurrence, ont commis le plus atroce des crimes,
08:40mais certains aussi se livrent au trafic de drogue
08:43ou à d'autres choses qui a un coût également
08:44et y compris en termes de sécurité.
08:46Comme l'a dit M. Fauberg,
08:48finalement, le nombre de places qui compte, c'est la rotation.
08:52Mais aujourd'hui, par rapport à l'augmentation,
08:54et elle va continuer, il faut être réaliste là-dessus,
08:56du nombre d'OQTF délivrés,
08:58ce qu'il faut, c'est cibler les profils les plus dangereux
09:01et les plus problématiques de manière prioritaire.
09:03Et ce Marocain, même s'il savait coûter 1200
09:06au lieu de 600 euros par jour de le maintenir en détention,
09:09tout le monde aurait préféré qu'il reste trois jours de plus
09:12au centre de rétention jusqu'à ce qu'on obtienne l'OQTF.
09:14Donc, je parle avec beaucoup d'humilité encore une fois,
09:17et je ne prétends pas pouvoir régler avec ma proposition
09:19et avec celle de la droite républicaine
09:21l'ensemble des situations dans un premier temps.
09:24Mais sur les profils les plus problématiques et les plus dangereux,
09:27je pense qu'on peut avoir un meilleur ciblage
09:29et une meilleure efficacité grâce à ça.
09:30Philippe Billet, rapidement, parce qu'après,
09:32on va au 0,826, 300, 300.
09:34Monsieur le député, est-ce qu'il ne faudrait pas un jour
09:36se pencher au-delà de l'application de la mise en oeuvre des la...
09:42...mise en oeuvre du monde...
09:45...sciences...
09:47...des services...
09:49...des solutions...
09:51...appliquées et qui, à chaque fois, commettent de graves erreurs,
09:57aussi bien dans la coordination, dans l'information.
10:00À chaque fois, c'est une défaillance fautive.
10:03Est-ce qu'il ne faudrait pas induire un vrai système de responsabilité ?
10:09C'est difficile à dire, parce que, vous savez, la justice,
10:12c'est l'équilibre de notre Constitution.
10:14On doit garder un minimum d'indépendance.
10:16Mais là, en l'occurrence, si le juge n'avait pas eu à statuer encore
10:19pour les 15 derniers jours une énième fois sur ce cas-là,
10:22il n'aurait pas été amené, avec aucune perspective donnée
10:25pour la délivrance de l'OQTF,
10:27il n'aurait pas été amené à restatuer.
10:29Je ne pensais pas qu'au juge...
10:31Par contre, oui, il y a eu la problématique des services
10:35qui se sont faits dans la sollicitation
10:38des services diplomatiques marocains.
10:40Voilà. Bien entendu, il y a parfois des erreurs qui sont gravissimes
10:44et des erreurs d'appréciation qui, à postériori, se révèlent dramatiques.
10:48Et ce n'est pas parce qu'on a la garantie de l'emploi vif
10:50qu'on ne doit pas rendre compte de ces décisions-là.
10:52Là-dessus, je suis entièrement d'accord.
10:54Mais mettons le point aussi sur les activités coupables
10:58de certaines associations qui prétendument défendent
11:02les droits des migrants, mais qui les poussent aussi
11:04de plus en plus à des détournements...
11:06...
11:11...
11:15...
11:18On part au 0826-300-300. Bonsoir Luc.
11:22Bonsoir Philippe, bonsoir à tous.
11:24Est-ce que vous êtes favorable, comme le député dit Philippot,
11:28à l'allongement du délai de rétention des personnes sous OQTF
11:31et en situation irrégulière ?
11:33Philippe, c'est une évidence, une nécessité impérieuse
11:37et une obligation que nos gouvernants ont à assumer.
11:41Si l'on avait besoin d'une preuve que les Français
11:43n'acceptent plus l'incurie de nos gouvernants successifs
11:45pour lutter contre la barbarie,
11:47qu'elle soit importée ou élevée sur place,
11:50il suffisait de constater l'immense foule
11:52communiant aux obsèques de Philippines.
11:54Mais ces bonnes âmes seront déçues et flouées encore une fois.
11:59Avez-vous entendu ce matin, sur France Inter, M. Migon,
12:04qui, parce qu'il avait bien évidemment un interlocuteur,
12:09je dirais relativement conciliant,
12:12qui commençait à nous dire que l'émotion est telle
12:15qu'elle submerge tous les discours objectifs, textaux.
12:18Ça veut dire qu'il va encore nous pondre des conneries,
12:21en veux-tu, en voilà.
12:23Il ne faut pas légiférer sous le coup de cette émotion.
12:25Où était M. Migon depuis l'assassinat de Lola,
12:28depuis l'assassinat de toutes ses filles,
12:30de toutes ses femmes de 5, de 7 à 91 ans,
12:33violées dans la rue, à l'hôpital, chez elles ?
12:35Il était où, M. Migon ?
12:37Voilà ce qui va se passer, il ne va rien se passer.
12:41Et moi, je suis un petit peu effaré,
12:43je fais d'entendre nos deux députés ex et actuels,
12:48quand j'entends que, depuis longtemps,
12:52la sécurité des Français a été bradée
12:54au bien-être d'une majorité parlementaire.
12:57C'est ce que nous a dit M. Fauvergue.
13:00Et quand j'entends aussi M. Di Filippo
13:03me parler des droits fondamentaux des criminels,
13:05à moins que j'aie mal entendu,
13:07là, je bondis sur ma chaise.
13:09Alors, on va faire réagir avec ce que nous devrions voir.
13:11Très courte, Virginie Calmels et Jean-Michel Fauvergue.
13:16Je crois que Fabien Di Filippo s'est bien exprimé
13:18en rappelant justement qu'il fallait inverser les valeurs
13:21et qu'on en a marre d'avoir un dispositif législatif
13:25qui privilégie les droits fondamentaux des criminels
13:29et qu'il faut revenir aux droits fondamentaux des victimes.
13:32Et c'est ça, en fait, dans la proposition de loi,
13:35mais plus généralement dans ce qu'il faut modifier aujourd'hui
13:39dans notre perspective,
13:41c'est que ça devient ahurissant, insupportable,
13:44et tous les pères et mères de famille aujourd'hui sont en deuil,
13:46de se dire qu'au fond,
13:48eh bien, parce que la loi a précisé
13:51qu'il fallait revenir, que le juge devait encore émettre...
13:54En fait, on met trop de protections...
13:56En fait...
13:58...
14:00...
14:02...
14:04...
14:06C'est ce qui est en train d'être proposé là.
14:09Et je ne le savais pas,
14:11mais j'ai appris avec satisfaction
14:13que dans cette proposition-là,
14:15on demande à ce que le JLD soit moins sollicité.
14:18Et ça, à mon avis,
14:20c'est une chose très, très importante.
14:23Et j'en félicite le rédacteur de cette proposition.
14:26– Merci beaucoup Fabien-Luc Philippot.
14:29– Je ne vois pas.
14:30– Merci beaucoup, député LR de Moselle.
14:33Vous nous tiendrez au courant, bien entendu.
14:35Si cette loi venait à passer,
14:37on vous accueillerait, bien sûr, avec grand plaisir.
14:40Merci beaucoup d'avoir été avec nous.
14:42Luc, dans un instant, vous allez pouvoir tenter
14:45le tout pour le tout,
14:47c'est-à-dire le chamboule-tout.
14:49– L'Everest de l'intellect.
14:51– Faire renverser nos vrais voies ou pas.
14:53Ou faire renverser, je ne sais pas.
14:55On verra. Luc, vous êtes prêt ou pas ?
14:57– Je suis prêt.
14:58– Eh bien, on fait une petite pause.
15:00Réfléchissez, regardez un petit peu sur la presse.
15:03Et puis, on revient dans un instant pour cette victoire.
15:05En tout cas, on vous la souhaite. À tout de suite.
15:07– À tout de suite.
15:08Sud Radio, votre avis fait la différence.
15:10– Vous êtes auditrice de Sud Radio depuis longtemps ou pas ?
15:13– Depuis plusieurs années.
15:15Depuis que je me suis rendue compte
15:17qu'on ne nous disait pas tout à la télévision.
15:19– Sud Radio, parlons vrai.
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