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Retrouvez l’émission le 19h Eco présentée par Stéphanie Coleau du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.

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00:00En route, le 19h éco, Stéphanie Collot.
00:06Soyez les bienvenus dans le 19h éco, 30 minutes de concentré et d'actualité économique.
00:11Et à la une de ceux, vendredi 19 décembre, il n'y aura pas de budget avant la fin de l'année.
00:17Les députés, les sénateurs échouent à se mettre d'accord en commission mixte paritaire.
00:21En conséquence, le gouvernement prépare une loi spéciale, mais la tâche sera là encore ardue, nous dira Hugo Babé.
00:28L'accord entre l'Union Européenne et les pays du Mercosur est reporté, faute d'aval d'un nombre suffisant d'États membres jusqu'ici, dont la France et l'Italie.
00:38De quoi apaiser un peu la colère des agriculteurs.
00:42Chine échappe à la suspension de sa plateforme en France, aux grands dames de l'État qui souhaitaient une suspension de trois mois.
00:49La justice impose cependant de mettre des mesures de vérification d'âge sur certains produits.
00:55Ce soir, l'État annonce faire appel.
00:58C'était la dernière chance pour adopter un budget avant la fin de l'année et elle a échoué.
01:07Les députés et sénateurs réunis ce matin en commission mixte paritaire n'ont pas réussi à se mettre d'accord sur un texte budgétaire commun.
01:15Hugo Babé, c'est finalement pas vraiment une surprise.
01:17Oui Stéphanie, il n'aura fallu que 35 minutes pour que les 7 députés et 7 sénateurs actent qu'ils ne pourront pas tomber d'accord sur le budget avant la fin de l'année.
01:29Rien ne pouvait être tranché entre l'Assemblée nationale et le Sénat, hormis quelques impôts.
01:35La contribution sur les hauts revenus, l'IFI, l'impôt sur la fortune improductive ou la taxe sur les petits colis par exemple.
01:41Le budget sera donc un strict minimum pour quelques semaines voire quelques mois.
01:46La loi spéciale présentée ce week-end ou début de semaine prochaine est votée la semaine prochaine.
01:52Mais qui dit loi spéciale dit coût 11 milliards d'euros à l'État plus un gel de 70% des crédits.
02:00Pas non plus de subvention, de recrutement et d'investissement tant que les députés et les sénateurs ne se sont pas mis d'accord sur un budget commun.
02:07Et comme l'an dernier, Hugo Babel et députés vont se retrouver dans quelques semaines pour adopter un budget rapidement.
02:14Oui, même déjà lundi, le Premier ministre va réunir les groupes politiques pour parler de la loi spéciale.
02:21Oui, mais aussi des négociations à venir avec un calendrier très serré parce qu'en mars il y a les élections municipales.
02:28Et en attendant, le déficit file de jours, de semaines et de mois en mois.
02:33Il faudra donc en quelques semaines se mettre d'accord, d'abord avec les socialistes qui réclament 10 milliards de recettes supplémentaires par rapport à la copie du gouvernement,
02:43pour s'abstenir, s'abstenir et pas voter pour.
02:46Donc il faudra convaincre aussi le bloc central et les républicains qui eux réclament plus de 20 milliards d'économies.
02:53Ce qui fait dire au patron du Modem que le compromis va être très difficile.
02:57Écoutez Marc Fénaud.
02:58La loi spéciale qui sera délibérée en tout début de semaine sera votée, puisque tout le monde lâchement va dire c'est très bien comme ça.
03:07Mais enfin après, il va falloir qu'on se pose la question de est-ce qu'on veut un projet de loi de finances pour 2026 ou non ?
03:12Or janvier-février, je ne suis pas sûr que les conditions en soient meilleures.
03:15Les conditions qui ne seraient pas meilleures que les conditions qu'on a depuis ces derniers mois.
03:19Marc Fénaud qui évoque déjà depuis plusieurs semaines, lui et même d'autres groupes politiques, le retour du 49-3 pour passer le budget.
03:28C'est-à-dire une adoption sans vote, mais derrière avec un risque de motion de censure déposée forcément.
03:35Mais il faut pour ça que le Premier ministre parvienne à négocier un accord de non-censure avec les socialistes notamment.
03:41– Merci beaucoup Hugo. On se dirige donc tout droit vers une loi spéciale pour reconduire le budget 2025 en 2026.
03:49Une solution de secours qui ne permet pas de réaliser les économies dont la France a besoin.
03:55C'est ce que disait ce matin le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Gallo, était l'invité de France Inter.
04:00– La loi spéciale c'est une solution de très court terme.
04:04Comme nous l'avons d'ailleurs fait l'année dernière.
04:06Il y a eu une loi spéciale adoptée en décembre 2024, mais ça a été pour quelques semaines
04:11parce qu'ensuite il y a eu un budget adopté début février de cette année.
04:17La loi spéciale ne fait aucun choix, or nous avons besoin par exemple de dépenser plus pour la défense.
04:22Et puis l'autre raison c'est que la loi spéciale nous conduirait à un déficit nettement supérieur à ce qui est souhaitable.
04:29– François Villeroy de Gallo, gouverneur de la Banque de France.
04:32La Banque de France qui confirme par ailleurs les bonnes nouvelles de l'INSEE.
04:34Et elle relève aussi sa prévision de croissance à 0,9% cette année.
04:40Mais l'institution se montre plus prudente pour l'année prochaine.
04:44La croissance reste fragile et soumise à l'incertitude.
04:48Margot Faudéré.
04:50– La Banque de France l'écrit noir sur blanc.
04:52L'économie française risque d'être encore affectée, je cite,
04:55par des chocs exogènes d'origine internationale ou nationale.
04:59D'abord sur les chocs venus de l'étranger,
05:01l'institution se concentre sur les tarifs douaniers et sur l'environnement commercial.
05:06En 2026, les droits de douane américains pourraient affecter l'activité française à hauteur de 0,1 point de PIB.
05:12Prévision similaire à celle formulée en septembre.
05:15L'incertitude liée à la politique commerciale, elle, devrait être un peu moins forte que prévu.
05:20Mais avec un impact mesuré quand même à hauteur de 0,2 point de PIB.
05:24Réan cumulé sur 2025 et sur 2026.
05:27D'ailleurs, les parts de marché de la France à l'international n'ont pas encore retrouvé leur niveau d'avant Covid,
05:32même si les exportations ont beaucoup rebondi ces derniers mois.
05:35Ensuite, sur les chocs d'origine nationale,
05:38la Banque de France étudie évidemment l'impact de l'instabilité économique et budgétaire.
05:42Cette incertitude coûterait un peu plus de 0,2 point de PIB à l'économie tricolore,
05:48avec un impact surtout concentré sur 2025,
05:50mais qui pourrait encore se faire sentir l'année prochaine.
05:53Tout cela risque de peser sur la consommation des ménages.
05:56D'ailleurs, la Banque de France prévient que si l'incertitude budgétaire perdure l'année prochaine,
06:01le taux d'épargne ne diminuera pas beaucoup en 2026.
06:03Et c'est dans ce contexte que la dette publique atteint un nouveau record en valeur
06:08et se rapproche dangereusement des 3 500 milliards d'euros à la fin du troisième trimestre,
06:14soit un peu plus de 117% du PIB.
06:17Elle augmente de près de 66 milliards d'euros sur la période,
06:20après une hausse de près de 71 milliards au trimestre précédent.
06:25Du côté des créations d'entreprises, elle progresse légèrement,
06:27plus 0,4% en novembre, après une baisse de plus de 1% le mois précédent,
06:32tirée comme souvent par les micro-entrepreneurs.
06:36Le report de l'accord UE-Mercosur,
06:40après la mobilisation des agriculteurs à Bruxelles hier,
06:44Ursula von der Leyen a finalement décalé à janvier la signature de cet accord commercial de libre-échange.
06:50De son côté, Sébastien Lecornu a reçu aujourd'hui les syndicats agricoles.
06:55Alexandra Pagé.
06:57Un sursis satisfaisant mais pas suffisant.
07:00La FNSEA demande au Premier ministre des éclaircissements par écrit
07:04sur les intentions du gouvernement en échange d'une trêve de Noël.
07:08Arnaud Rousseau, le président du premier syndicat agricole,
07:11appelle ses adhérents à rester mobilisés pour la rentrée.
07:14Nous voulons dès ce soir ce courrier et nous espérons que sa complétude nous permette
07:18de communiquer auprès de l'ensemble des agriculteurs de nos réseaux
07:22pour leur dire que ce qui s'est passé à Bruxelles donne du fruit en France.
07:26Pour la ministre de l'Agriculture, en déplacement dans les Yvelines,
07:29dans une exploitation cet après-midi,
07:31l'accord du Mercosur tel qu'il est est inacceptable.
07:33Annie Gennevard estime néanmoins que la France,
07:36avec l'Italie, la Pologne, la Hongrie, l'Autriche notamment,
07:39a déjà réussi à obtenir des avancées.
07:42On réussit à faire admettre à la présidente de la commission
07:48que ça exposait des filières sensibles.
07:52Il fallait donc une clause de sauvegarde,
07:54la nécessité de réciproceté des normes,
07:57puis enfin les contrôles.
07:58Mais le compte n'y est pas.
08:00Et tant que le compte n'y sera pas,
08:02la France continuera à livrer ce combat.
08:06Ursula von der Leyen, en tout cas, se dit toujours confiante
08:09sur la possibilité d'aboutir à la signature d'un accord.
08:13Nouvelle échéance visée désormais le 12 janvier au Paraguay.
08:16Et au lendemain du Conseil du Sommet européen,
08:19Vladimir Poutine tenait ce matin sa grande conférence de presse annuelle
08:23pendant plus de 4 heures.
08:25L'occasion pour le président russe de réagir à l'adoption par l'Union européenne
08:29la nuit dernière d'un prêt de 90 milliards d'euros pour l'Ukraine.
08:33Si les Européens n'ont pas réussi à s'accorder sur l'usage des avois russes gelés,
08:38la possibilité est toujours sur la table.
08:41Et Vladimir Poutine s'est montré particulièrement menaçant.
08:44Clarisse Marion.
08:45C'est un refus catégorique de la part du président russe.
08:50Selon lui, les Européens ne doivent pas utiliser les avois russes gelés
08:53sous peine de représailles.
08:55Le vol, c'est la soustraction surtive d'un bien.
09:00Mais dans ce cas, ils essaient de le faire au grand jour.
09:02C'est un braquage.
09:03Mais pourquoi ce n'est pas possible de commettre ce braquage ?
09:06Parce que les conséquences pour les braqueurs peuvent être très lourdes.
09:10Car si les Européens ont abandonné l'usage des avois russes gelés
09:13pour financer l'Ukraine aujourd'hui,
09:15les travaux se poursuivent pour une éventuelle utilisation
09:18des revenus générés par les avois russes à la fin de la guerre
09:21pour rembourser cet emprunt sur le front diplomatique,
09:25Vladimir Poutine n'a montré aucun signe d'ouverture.
09:31La balle est entièrement dans le camp de nos adversaires occidentaux,
09:34les dirigeants du régime de Kiev et leurs sponsors européens en premier lieu.
09:41Un Vladimir Poutine inflexible, car selon lui,
09:44la Russie est en train de gagner sur le terrain.
09:45Nos troupes avancent sur toute la ligne de contact des combats
09:52par certains endroits, à un rythme plus soutenu,
09:54ailleurs, plus lentement.
09:55Mais l'ennemi recule dans toutes les directions.
10:00Les tractations vont se poursuivre ce week-end à Miami
10:02entre émissaires américains et russes.
10:05Toujours sur la table, des concessions territoriales,
10:08mais aussi des garanties de sécurité pour l'Ukraine.
10:11De son côté, Donald Trump peut se targuer d'un nouveau succès
10:14face à Toyota.
10:15Le constructeur va exporter au Japon
10:17trois de ses modèles fabriqués aux Etats-Unis.
10:21Une première pour le groupe,
10:23après avoir annoncé des investissements massifs dans le pays,
10:27dans un contexte de fortes tensions commerciales,
10:30avec Washington.
10:31Nathan Cocampo.
10:33Deuxième marque automobile aux Etats-Unis,
10:35Toyota réalise un quart de ses ventes mondiales dans le pays,
10:37soit plus de 2,3 millions de véhicules l'an dernier.
10:40Une hérésie pour Donald Trump
10:41qui pointe du doigt depuis plusieurs mois
10:43l'excédent commercial japonais.
10:44Exemple frappant,
10:45le leader américain General Motors
10:47n'a vendu que 587 Chevrolet
10:49et 449 Cadillac au Japon.
10:51Des micro-ventes expliquées surtout
10:53car ces voitures sont trop grandes pour les routes japonaises
10:55avec un volant du mauvais côté.
10:57En conséquence,
10:58Toyota avait subi de plein fouet
10:59les droits de douane américains
11:00avec une surtaxe de 25%
11:02sur les exportations automobiles japonaises.
11:04Résultat,
11:05un impact attendu de 8 milliards d'euros
11:06sur son exercice en cours.
11:08Le constructeur a donc tout fait
11:09pour apaiser la situation
11:10avec une nouvelle usine de batterie
11:12en Caroline du Nord
11:13pour 14 milliards de dollars
11:14et une annonce de 10 milliards de dollars
11:16d'investissement dans le pays
11:17dans les 5 prochaines années.
11:18Et ça a payé.
11:19Cet été,
11:19les droits de douane
11:20sont finalement descendus à 15%
11:21à la suite d'un accord conclu
11:22entre les deux pays.
11:24Si Toyota dispose déjà
11:25de 11 usines dans le pays
11:26et emploie 50 000 américains,
11:28sa participation à l'économie américaine
11:30va aller encore plus loin
11:30avec cette nouvelle décision.
11:32Et l'exportation,
11:33l'an prochain,
11:33de sa berline Camry,
11:34son SUV Highlander
11:35et sa camionnette Tundra
11:37au Japon.
11:38Un attaque au Campo,
11:3919h12 sur BFM Business,
11:40les marchés.
11:43On revient sur cette séance
11:46du vendredi à 19 décembre
11:47avec Antoine Larigauderie.
11:48Antoine, le cas qui termine
11:49à l'équilibre ce soir.
11:51Oui, c'était une séance
11:53à 4 sorcières,
11:544 types de contrats et d'options
11:56qui tombaient à échéance aujourd'hui.
11:57C'était la dernière de l'année.
11:58Autant dire que les volumes
11:59étaient au rendez-vous.
12:00On est à 7 milliards et demi
12:01d'euros d'actions négociées,
12:02quasiment le double
12:04d'une séance normale.
12:05Et on termine,
12:06mais quasi inchangé,
12:07en plus 0,01%
12:08à 8151 points
12:10alors qu'on était en hausse
12:11sur la majeure partie
12:12de l'après-midi.
12:14L'Eurostock 50,
12:14un peu plus décidé,
12:15plus 0,32%.
12:16La plus forte hausse du CAC 40,
12:18elle est pour Accor
12:18qui gagne à 1,95%
12:20à 48,06%.
12:21Safran,
12:22plus 1,63%
12:23à 306,30%.
12:24Et Renault,
12:25plus 1,6%
12:26à 36,26%.
12:28À la baisse,
12:28et ça pesait sur la tendance
12:29Kering,
12:30moins 2,5%
12:30à 302,55€.
12:32Hermès,
12:33moins 1,96%
12:34à 2,102%,
12:35un des dégagements
12:36sur le secteur du luxe.
12:37Et puis du côté de Saint-Gobain,
12:38on a perdu 2%
12:39à 86,08€.
12:41Worldline,
12:41sinue la plus forte baisse
12:42du SBF 120,
12:43moins 8,
12:441,47€.
12:45Et Emelis,
12:46la plus forte hausse,
12:47plus 6,7%
12:48à 13,36€.
12:49Donc un CAC
12:50qui termine
12:51cette séance
12:52à l'équilibre,
12:52plus 0,01%.
12:53Merci beaucoup Antoine.
12:55Est-ce qu'on est à Wall Street ?
12:56Oui, on regarde à la mission,
12:57ce qui se passe sur le marché.
12:58Dites-nous, Thierry.
12:59Oui, bien sûr.
12:59On est en hausse marquée,
13:01le Nasdaq en forme,
13:02plus 1%,
13:03plus 0,57%
13:04pour le Dow Jones,
13:06plus 0,57%,
13:07plus 0,83%
13:08pour le S&P 500.
13:10La seule fausse note,
13:11ce sont les résultats
13:12de Nike
13:12qui sont sanctionnés
13:14à moins 9,7%
13:16pour le titre.
13:16Dans l'actualité,
13:17entreprise en France,
13:19Eden Red
13:19quitte le CAC 40,
13:21remplacé dès lundi
13:22par Eiffage.
13:23La capitalisation boursière
13:24du groupe de BTP
13:25atteint 15 milliards d'euros
13:27alors que celle d'Eden Red
13:28est tombée
13:28à moins de 5 milliards seulement.
13:31Le business model du groupe
13:32est menacé
13:32sur plusieurs marchés clés.
13:35Hélène Cornet.
13:372025,
13:38une année à oublier
13:39pour Eden Red.
13:40Le groupe
13:41qui possède
13:41les tickets restaurants
13:42signe la plus mauvaise
13:44performance du CAC 40
13:45avec une chute
13:46du titre
13:46de près de 40%.
13:48Le champion français
13:49des titres restaurants
13:50est mis sous pression.
13:52Plusieurs gouvernements
13:53menacent
13:53de plafonner
13:54les commissions
13:55qu'il impose aux commerçants.
13:56En Italie,
13:57c'est déjà fait.
13:58Bientôt au Brésil,
13:59son deuxième marché.
14:00Et même en France,
14:01l'environnement
14:02devient incertain.
14:03Les députés
14:04ont failli adopter
14:05un abonnement
14:05du projet de loi
14:06de financement
14:07de la Sécurité sociale
14:08pour faire passer
14:09une taxe de 8%
14:10sur les titres restaurants.
14:12Des incertitudes réglementaires
14:14qui inquiètent
14:15les investisseurs.
14:16Pourtant,
14:17le groupe
14:17n'a pas démérité.
14:18Présent dans 44 pays,
14:21ses revenus
14:21sont en hausse
14:21de 8%
14:22au troisième trimestre,
14:23de 4%
14:24depuis le début
14:25de l'année.
14:26Il a confirmé
14:26ses objectifs
14:27pour l'année
14:28et espère toujours
14:29doubler son chiffre
14:30d'affaires
14:30à l'horizon 2030.
14:31Chine échappe
14:33à la suspension
14:34en France.
14:35Décision du tribunal
14:37judiciaire de Paris
14:38en fin de journée.
14:39L'État qui dénonçait
14:40la vente
14:41de produits illégaux
14:43par des vendeurs tiers
14:44espérait une sanction
14:45plus sévère.
14:47Clara Bido.
14:48Dans sa décision,
14:50le tribunal judiciaire
14:51de Paris
14:51reconnaît l'existence
14:52d'un dommage grave
14:53à l'ordre public.
14:55En cause,
14:55la vente sur Chine
14:56de produits illicites
14:57comme des poupées sexuelles
14:58à l'apparence de fillettes,
15:00des armes
15:00ou des médicaments.
15:02Mais pour les juges,
15:03ces ventes sont restées
15:03ponctuelles
15:04et les produits
15:04ont été retirés
15:05dès leur signalement.
15:07Le blocage provisoire
15:07du site est donc
15:08considéré comme disproportionné.
15:10Chine salue la décision
15:11et affirme renforcer
15:12ses processus
15:13de collaboration
15:14avec les autorités françaises
15:15avec comme objectif
15:16de respecter
15:17la protection
15:18des consommateurs français.
15:20La justice fixe
15:20toutefois une ligne rouge.
15:22Pas question de remettre
15:23en vente
15:23des poupées sexuelles
15:24mais uniquement
15:25des produits pour adultes
15:26avec vérification
15:27d'âge des internautes.
15:28Dans les faits,
15:29le retour du marketplace
15:30sera progressif
15:32et la catégorie adulte
15:33restera fermée.
15:34Pour autant,
15:35la plateforme
15:35n'est pas tirée d'affaires.
15:37Chine est toujours visée
15:37par une enquête pénale
15:38ouverte par le parquet de Paris
15:40et confiée à l'Office des mineurs
15:42sur ses ventes
15:42de produits illicites.
15:43Et ce soir,
15:44l'État annonce
15:45faire appel
15:46de cette décision.
15:48Le procès Lafarge,
15:49le tribunal correctionnel
15:50de Paris
15:51rendra sa décision
15:53le 13 avril prochain.
15:54Le groupe ainsi que
15:558 hauts responsables
15:57dont l'ancien PDG
15:58Bruno Laffont
15:59sont accusés
16:00de financement
16:01du terrorisme.
16:02Ils sont soupçonnés
16:02d'avoir payé
16:03des groupes djihadistes
16:05en Syrie
16:05jusqu'en 2014
16:06pour y maintenir
16:08l'activité
16:09d'une cimenterie.
16:10Perrier
16:11peut continuer
16:12à vendre de l'eau
16:12sous l'appellation
16:13eau minérale naturelle.
16:15décision des autorités
16:16a pris un avis
16:18favorable
16:19sous réserve.
16:20L'arrêté impose
16:21que les contrôles sanitaires
16:22soient renforcés.
16:24L'année dernière,
16:24la maison mère
16:25Nestlé Waters
16:26avait admis
16:27avoir utilisé
16:28par le passé
16:29des traitements
16:30interdits
16:31pour ses eaux.
16:33Le groupe industriel
16:34ACI
16:34placé en redressement
16:36judiciaire
16:36toujours à la recherche
16:37d'un repreneur.
16:38Le fondateur
16:39Philippe Rivière
16:40est accusé
16:41par les syndicats
16:42d'avoir
16:42siphonné
16:43leur fonds.
16:44Invité de BFM Business
16:45ce matin,
16:46l'entrepreneur
16:47s'en défend
16:48et il estime
16:48que son groupe
16:49a été escroqué
16:50par un fonds américain.
16:52Philippe Rivière
16:53affirme avoir
16:54des pistes
16:54pour sauver le groupe.
16:57Nous avons des pistes
16:58et effectivement
16:58des pistes sérieuses
16:59évidemment.
17:00Vu la rapidité
17:02de l'ensemble
17:03de notre redressement
17:03on a quand même
17:04continué à livrer.
17:05Donc aujourd'hui
17:06évidemment
17:07que l'ensemble
17:08des parties prenantes
17:09que ce soit
17:10le pouvoir public
17:11que ce soit
17:11les organes
17:12de la procédure
17:13et évidemment
17:13nous on travaille
17:14de concert.
17:16Il y a aujourd'hui
17:16une sérénité
17:17qui a été remise
17:18au sein du tribunal
17:19et c'est pour ça
17:19d'ailleurs
17:20qu'on a ces prolongations.
17:21Donc aujourd'hui
17:21on est en capacité
17:22à aller chercher
17:23sereinement
17:24des gens
17:25qui vont nous accompagner
17:26pour sortir par le haut
17:27parce que le désastre
17:28serait de sortir par le bas.
17:30Philippe Rivière
17:31le fondateur
17:31du groupe industriel
17:33ACI
17:33qui était donc
17:34l'invité de Laure Closier
17:35ce matin
17:35sur BFM Business.
17:37Des remous
17:38chez Aldi
17:38en France
17:39selon nos informations
17:40un droit d'alerte économique
17:41est à l'ordre du jour
17:43du CSE.
17:44Des réductions de capitaux
17:45ont été appliquées
17:46sur plusieurs magasins
17:48et la centrale
17:49d'achat de Villepinte
17:49à fin octobre
17:51suscitant
17:51des inquiétudes
17:52en interne
17:53sur les projets
17:54du groupe en France.
17:55Pauline Dadevin
17:55A Damartin, Toulouse
17:58ou Beaune
17:59fin octobre
17:59plusieurs centrales
18:00régionales
18:01Aldi
18:01ont opéré
18:02des réductions
18:02de capitaux
18:03motivées par des pertes
18:05de façon significative.
18:07Le capital
18:07de la centrale
18:08de Damartin-Anguel
18:09a été réduit
18:10de 216 millions d'euros.
18:12En tout cela fait
18:13moins 844 millions d'euros
18:15d'après un représentant
18:16des salariés
18:16qui s'inquiète
18:17de l'absence
18:17de communication
18:18de la direction
18:19face à ces mouvements
18:20d'ampleur.
18:21Il se demande
18:22si le groupe
18:22n'est pas en train
18:23d'appliquer
18:23un coup d'accordéon
18:24qui consiste à réduire
18:26le capital
18:26d'une société
18:27avant de l'augmenter
18:28à nouveau
18:28pour apurer les pertes.
18:30Avec quel objectif ?
18:31Ici, la direction
18:32ne commande pas.
18:34En France,
18:34l'enseigne stagne
18:35à 3% de part de marché
18:36quand Lidl est à 8%.
18:38Aldi n'a pas encore réussi
18:39à capitaliser
18:40sur le rachat
18:41de Leader Price
18:41il y a 5 ans.
18:43Les rumeurs fusent
18:43notamment sur un retrait
18:45du marché français
18:46ce que dément la direction.
18:47Aldi a plutôt envie
18:48de se donner
18:49une deuxième chance
18:50en France
18:50croit savoir
18:51un dirigeant du secteur.
18:52Certains évoquent
18:53même la possibilité
18:54que les Allemands
18:54réinjectent
18:55un milliard d'euros
18:56pour relancer la machine.
18:58La période
18:59de négociations annuelles
19:00sur les salaires
19:01s'achève
19:01dans le secteur bancaire
19:03après BNP Paribas
19:04et le crédit mutuel.
19:06Un accord
19:06doit être signé
19:07à la Société Générale
19:08excepté
19:08au crédit agricole.
19:10Les négociations
19:10n'ont pas été
19:11particulièrement tendues
19:13même si les banques
19:14resserrent les vannes.
19:15Caroline Morisseau.
19:17Fini les 3%
19:18d'augmentation générale
19:19qu'on a pu observer
19:20au pic de l'inflation.
19:21BNP Paribas
19:22ou la Société Générale
19:23ont privilégié
19:24des gestes ciblés.
19:26Chez BNP,
19:26ce sera une prime
19:27de partage
19:28de la valeur
19:28de 1 000 à 1 300 euros
19:30et 2% de la masse salariale
19:31consacrée
19:32à des augmentations
19:33individuelles.
19:34La Société Générale,
19:35déjà confrontée
19:36à des tensions
19:37liées à la baisse
19:37du télétravail,
19:38a accepté
19:39de lâcher du lest
19:40avec une prime
19:41sous forme
19:41d'intéressement
19:42supplémentaire
19:43de 1 400 euros
19:44au lieu des 900
19:44initialement prévus.
19:46Seuls les mutualistes
19:47continuent d'accorder
19:48des augmentations
19:49collectives,
19:501% pour la caisse
19:51d'épargne
19:51ou le crédit mutuel.
19:52Cette année,
19:53les banques
19:53ont plutôt joué
19:54le jeu,
19:55admett un responsable
19:55syndical,
19:56excepté à la Fédération
19:57du Crédit Agricole
19:59où la négociation
20:00sur les salaires
20:00a viré au bras de fer.
20:02La direction
20:03a acté
20:03une augmentation
20:04collective
20:04d'un peu moins
20:05de 0,5%.
20:07Invoquant le contexte
20:08économique compliqué,
20:09la concurrence
20:10des néobanques
20:11depuis le dialogue
20:12est totalement rompu
20:13avec la plupart
20:14des syndicats
20:14qui exigent
20:15que la direction
20:16revienne
20:17sur cet accord.
20:18Après le ministère
20:19de l'Intérieur,
20:20c'est au tour
20:20du ministère
20:21des Sports
20:22d'être victime
20:23d'une cyberattaque.
20:24Les données
20:24de 3,5 millions
20:26de foyers
20:26sont concernées.
20:27L'origine
20:27de cette cyberattaque
20:28n'est pas encore
20:29précisée.
20:31La France durcit
20:32le ton
20:32sur l'usage
20:33des contenus
20:33culturels
20:34par l'IA.
20:35Une proposition
20:36de loi
20:36du parti UDI
20:38déposée cette semaine
20:39au Sénat
20:39veut obliger
20:41les acteurs
20:41de l'intelligence
20:42artificielle
20:43à prouver
20:43qu'ils n'ont pas
20:44utilisé
20:45de contenu culturel
20:46soumis
20:47aux droits
20:47d'auteur.
20:48Objectif,
20:49mieux protéger
20:50les ayants droit.
20:51Mais les acteurs
20:52de la tech
20:52y voient
20:52un risque
20:53juridique
20:54majeur.
20:55Clara Bido.
20:57Ce texte
20:58veut imposer
20:58plus de transparence
20:59aux IA,
21:00accusée de pillage
21:01culturel.
21:02Si les créateurs
21:03y voient un moyen
21:03de négocier
21:04des licences,
21:05le secteur
21:06de la tech
21:06juge cette loi
21:07dangereuse
21:08selon Clotilde
21:08Dockard
21:09de France Digitale.
21:10Finalement,
21:10c'est une espèce
21:11d'usine
21:11à contentieux
21:12et je ne suis pas
21:13bien certaine
21:14que ça donne
21:14quoi que ce soit,
21:15d'autant plus
21:15si demain,
21:17on n'a plus
21:17de développeurs
21:17d'IA
21:18qui osent opérer
21:19en France
21:19parce que ce marché
21:20est vu comme
21:21interdit
21:22par les investisseurs.
21:23Cette proposition
21:23veut obliger
21:24les entreprises
21:24d'IA
21:25à prouver
21:25qu'elles n'ont
21:26pas utilisé
21:26une œuvre
21:27pour les forcer
21:28à respecter
21:28les droits
21:29d'auteurs,
21:30une inversion
21:30de la charge
21:31de la preuve
21:31alors que c'est
21:32aux auteurs
21:33de prouver
21:33habituellement
21:34l'usage
21:34de leurs œuvres.
21:35Mais pour les acteurs
21:36du numérique,
21:37cette proposition
21:37risque surtout
21:38de freiner
21:38les investissements
21:39et de pénaliser
21:40les développeurs
21:41d'IA français.
21:42Une grosse inquiétude
21:42c'est à qui
21:43le texte s'applique ?
21:45Aux Français,
21:45aux acteurs étrangers,
21:46à ceux qui entraînent
21:47en Europe ?
21:48C'est vraiment pas clair.
21:49Et ça,
21:50l'incertitude
21:50pour les entreprises,
21:54c'est le pire risque
21:55qui puisse arriver
21:56et je pense que
21:56c'est pour les investissements.
21:57Aujourd'hui,
21:58plus personne
21:59ne mettra de l'argent
22:00dans l'IA en France
22:02avec un texte
22:02rédigé comme tel.
22:04Pour autant,
22:04cette proposition
22:05se heurte
22:05au cadre européen
22:06existant
22:07et risque de compromettre
22:08les négociations
22:09en cours
22:09entre les plateformes
22:10et les ayants droit.
22:11Elle inquiète même
22:12le ministère du numérique
22:13qui se dit vigilant
22:14à ce qu'aucune mesure
22:15ne soit prise
22:16qui pénalise
22:17la filière IA française.
22:18C'est ce soir
22:19le début des vacances
22:20de Noël.
22:21Elle s'annonce excellente
22:22pour les professionnels
22:23du tourisme.
22:24Les Français ont besoin
22:25d'un bol d'air
22:26pour échapper
22:26à la morosité politique
22:28et économique.
22:29Hélène Cornet.
22:30La moitié des Français
22:32partira pour ses congés
22:33de fin d'année,
22:34essentiellement
22:34chez des amis
22:35ou la famille,
22:36mais ils sont
22:37de plus en plus nombreux
22:38à s'offrir
22:39une escapade au soleil
22:40ou sur les pistes.
22:41D'après les chiffres
22:42d'Atout France,
22:43les stations font le plein
22:44avec un taux de réservation
22:45de 81%
22:47pour les vacances
22:48de Noël,
22:49une excellente performance
22:50selon l'association
22:51des stations de montagne
22:52et un début
22:53de saison prometteur.
22:55Une tendance
22:55confirmée
22:56par la compagnie
22:57des Alpes
22:57et les résidences
22:58de tourisme,
22:59Pierre et Vacances,
23:00Odalis
23:00ou encore Vacanciole.
23:02On note aussi
23:03un réel engouement
23:04cette année
23:04pour les destinations
23:06ensoleillées,
23:06moyen et long courrier.
23:08Le Maroc fait la course
23:08en tête,
23:09Marrakech,
23:10les portes du désert
23:11ou les villes balnéaires.
23:12Parmi les séjours
23:13les plus vendus
23:14chez Selectour,
23:15les Canaries,
23:16la Tunisie,
23:17l'Egypte
23:17et le Mexique,
23:19le syndicat
23:19des tours opérateurs
23:20observe que les voyages
23:21organisés à forfait
23:22connaissent un attrait
23:23de plus en plus important
23:24pour les fêtes
23:25de fin d'année.
23:26C'est la fin
23:27des négociations
23:28entre Nokia
23:28et les syndicats français.
23:29Le groupe
23:30qui avait repris
23:31les activités
23:32d'Alcatel
23:32va supprimer
23:33jusqu'à 427 emplois
23:35en France
23:36dont un quart
23:37sur leur site
23:38en Bretagne.
23:39Les activités
23:40du groupe finlandais
23:40sont en fait
23:41en train de se resserrer
23:43autour des Etats-Unis
23:44au désespoir
23:45de la filière bretonne
23:46pourtant installée
23:47à l'Agnon
23:48une ville berceau
23:49des télécoms.
23:50Le reportage
23:51d'Astré-Olivier.
23:53De longs bâtiments
23:54coincés
23:55entre Ericsson
23:56et Orange.
23:57L'immense site
23:58de Nokia
23:58à l'Agnon
23:59comptait 3000 salariés
24:00à l'origine
24:01mais n'en emploie
24:02plus que 500.
24:04Jean-François Schmitt
24:04délégué CFE-CGC
24:06a vu les activités
24:07s'arrêter peu à peu.
24:08Ils se sont engagés
24:09en 2016
24:10en fait
24:11sur le fait
24:12de maintenir
24:12de la R&D en France
24:13ça faisait partie
24:14de leurs engagements
24:15ils n'ont quasiment
24:18jamais été tenus
24:19et où il y a
24:20une stratégie
24:21en fait
24:21de délocalisation
24:22vers des pays
24:24à bas coût
24:25les gens en fait
24:26sont un peu désabusés
24:27parce qu'on n'a plus
24:28vraiment
24:29on va dire
24:29d'activité stratégique
24:31en perspective
24:31sur le site.
24:32A l'Agnon
24:33les télécoms
24:33sont le poumon
24:34économique
24:35de la ville
24:35depuis les années 60
24:36marqué par l'installation
24:38du premier centre national
24:40de recherche du secteur
24:41et de grands groupes
24:42de télécoms
24:43désormais
24:44il faut penser
24:45à l'après
24:45selon le député
24:46des Côtes d'Armor
24:47Eric Bottorel
24:48il faudra envisager
24:50le territoire
24:50sans Nokia
24:51il faudra penser
24:52le développement
24:53de ce territoire
24:53avec d'autres activités
24:54et pas uniquement
24:55se centrer autour
24:56des télécommunications
24:57si aujourd'hui Nokia tous
24:58tout le monde ne s'enrume pas
24:59et c'est tant mieux
24:59par exemple
25:00le site industriel
25:02d'Equinops
25:02tourne à plein régime
25:04créé par d'anciens salariés
25:05de Nokia
25:06l'entreprise
25:07est spécialisée
25:07dans les infrastructures
25:08de fibre optique
25:09avec un chiffre d'affaires
25:11de 117 millions d'euros
25:12l'année dernière
25:13Equinops réalise
25:15plus de la moitié
25:15de ses ventes
25:16à l'international
25:17et si la société
25:18a choisi l'Agnon
25:19ce n'est pas par hasard
25:21affirme Patrice Guégan
25:22directeur du site
25:24donc on a l'IUT
25:25juste à côté
25:25il y a aussi l'ENSAT
25:27qui est une école
25:27d'ingénieurs
25:28d'application de télécom
25:29dans laquelle
25:30nous recrutons beaucoup
25:31nous sommes partenaires
25:32c'est toutes ces raisons
25:33qui font que
25:34quand je parle
25:35du berceau des télécoms
25:37c'est le berceau
25:37qui fait qu'aujourd'hui
25:39on a à la fois
25:40les entreprises
25:40à la fois
25:41le système universitaire
25:42on a tout
25:43à disposition
25:44raison pour laquelle
25:46d'ailleurs
25:46Orange va renforcer
25:47ses effectifs
25:48à l'Agnon
25:49avec l'ouverture prochaine
25:50d'un centre de recherche
25:51de 1800 personnes
25:53pour travailler
25:54sur la 5G
25:55les objets connectés
25:56et la cybersécurité
25:58le reportage
25:58d'Astrey Olivier
25:59le clic du jour
26:00avec cette bonne nouvelle
26:01pour les futurs parents
26:03pour ceux dont le bébé
26:04va naître
26:05à partir du 1er janvier
26:06ils vont pouvoir bénéficier
26:07du nouveau congé de naissance
26:08prévu
26:09par le budget de la sécu
26:10même s'ils devront attendre
26:11ils devront attendre
26:13l'entrée en vigueur technique
26:14du dispositif
26:14dans le courant
26:15de l'année
26:15ce congé supplémentaire
26:16d'un à deux mois
26:17par an
26:18s'ajoute au congé
26:20maternité
26:20de 16 semaines
26:21et paternité
26:23de 28 jours
26:23avec un niveau
26:25d'indemnisation
26:25plus élevé
26:26aussi que le congé
26:27parental actuel
26:29tous les détails
26:30à retrouver
26:30sur notre site
26:31bfmbusiness.com
26:33notez lundi
26:34la matinale
26:35de bfmbusiness
26:36présentée par
26:37Laure Closier
26:38l'invité du grand entretien
26:397h45
26:40sera
26:41Xavier Hoch
26:42le directeur général délégué
26:43de
26:44Groupama AM
26:46tout de suite
26:46c'est Kulturia
26:47présenté par
26:48Anthony Morel
26:49très bonne soirée
26:50et très bon week-end
26:51sur bfmbusiness
26:5219h éco
26:55sur bfmbusiness
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