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  • il y a 6 jours
Retrouvez l’émission le 19h Eco présentée par Stéphanie Coleau du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.

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Transcription
00:00BFM Business présente
00:01Le 19h éco, Stéphanie Collot
00:07Bonjour BFM Business, soyez les bienvenus dans le 19h éco, 30 minutes de concentré d'actualité économique
00:16avec à la une de ce lundi 25 août la conférence de presse de François Bayrou.
00:20Cet après-midi, le Premier ministre est venu défendre sa feuille de route budgétaire.
00:25L'annonce principale, c'est que François Bayrou va solliciter un vote de confiance le 8 septembre.
00:32Il appelle aussi à faire face au danger immédiat du surendettement sans retard d'aucune sorte.
00:37Analyse avec Guillaume Paul dans le journal.
00:40Le député PS Philippe Brun sera aussi sur ce plateau.
00:43Dans la chronique internationale, on prendra du recul sur la situation de nos finances publiques
00:48et sur les solutions à disposition de l'exécutif car d'autres pays sont passés par là.
00:53Le Canada et la Suède, par exemple. La France peut-elle s'inspirer de ces deux modèles ?
00:58Réponse avec Mathieu Jolivet.
01:00Et puis, sans doute, une bonne nouvelle en vue pour le Rafale.
01:04C'est une information de la tribune.
01:05L'Inde pourrait commander de nombreux appareils supplémentaires.
01:09Jusqu'à 114 Rafales contre 62 aujourd'hui.
01:13Tous les détails à suivre.
01:14Un danger immédiat pèse sur nous, auquel nous devons faire face, non pas demain ou après-demain.
01:26Notre pays est en danger parce que nous sommes au risque du surendettement.
01:32Notre pays est en danger parce que nous sommes au bord du surendettement.
01:40C'est donc ainsi que François Bayrou a commencé sa conférence de presse cet après-midi.
01:45Le Premier ministre est venu défendre sa feuille de route budgétaire
01:49entre risques de censure, menaces de blocage.
01:51Il a rappelé à plusieurs reprises l'urgence de la situation.
01:55Guillaume-Paul, bonsoir.
01:56Vous avez suivi cette intervention.
01:58Et l'annonce majeure, c'est que le Premier ministre va engager la responsabilité de son gouvernement.
02:03Ça sera le 8 septembre prochain, donc un jour à l'Assemblée nationale.
02:07Est-ce que la situation est grave ?
02:08C'est la question simple et basique qu'il va poser aux parlementaires.
02:11Il a repassé une demi-heure à démontrer qu'à ses yeux il l'était.
02:14Il a rappelé les chiffres qu'il avait déjà évoqué au 15 juillet,
02:15c'est-à-dire une dette de 3 300 milliards d'euros,
02:17une charge de la dette qui va atteindre 66 milliards d'euros cette année,
02:21qui devrait aller jusqu'à 107 milliards en 2029 d'ici la Cour des comptes.
02:24Et donc il y a l'idée évidemment pour François Bayrou que s'il n'y a pas de réaction,
02:27on risque de connaître en France ce qu'ont connu les pays du sud de l'Europe dans les années 2010.
02:31Il n'a pas fait explicitement mention de la tutelle du FMI, mais c'était là l'idée.
02:35Ça peut se payer vite et très cher, dit François Bayrou,
02:38qui a évoqué, comme beaucoup d'autres avant, le moment listreuse,
02:41en référence à ce que connut le Royaume-Uni, vous savez,
02:43pour montrer qu'aucune grande puissance n'était écartée.
02:46Il n'y a pas eu de réaction majeure sur les marchés aujourd'hui,
02:48mais attention, parce que peut-être que les marchés vont se rendre compte très prochainement
02:51que le premier crash test qu'on n'attendait peut-être pas avant
02:54le cours de la discussion parlementaire à l'automne prochain,
02:56c'était peut-être dans 15 jours, c'est-à-dire demain finalement.
02:59Le CAC qui a accéléré sa tendance à la baisse en fin de séance,
03:02après l'intervention de François Bayrou, moins 1,6%.
03:05On y reviendra évidemment dans le 19h éco.
03:07Guillaume, sur les grands équilibres du budget qu'avait annoncé François Bayrou mi-juillet,
03:12là-dessus, pas de changement, pas d'annonce ?
03:14Non, pas de signe d'ouverture aux oppositions.
03:16On est toujours solidé d'un effort, entre guillemets, à quasiment 44 milliards d'euros,
03:20réparti entre deux tiers baisse de dépense et un tiers de hausse d'impôts,
03:24mais sans rentrer dans le détail des grandes annonces,
03:27on a l'impression que François Bayrou est parti en mode déminage express
03:30pour faire sortir les partis d'opposition du bois
03:32et aussi pour adresser un nouveau message au marché financier
03:35parce que les agences de notation vont reparler cet automne, évidemment.
03:37Et justement, faire sortir les partis politiques du bois,
03:40le RN, la France Insoumise et le Parti Communiste
03:42ont annoncé qu'ils voteront le 8 septembre
03:44pour faire tomber le gouvernement.
03:46On écoute Mathilde Panot, présidente du groupe LFI à l'Assemblée nationale.
03:51Pour la première fois, nous avons un gouvernement
03:53qui est contraint de demander un vote de confiance,
03:56vote de confiance que l'ensemble des premiers ministres macronistes
03:59depuis cinq ans avaient refusé de demander.
04:02Donc nous avons François Bayrou qui décide en quelque sorte
04:06de se soumettre à une motion d'autocensure,
04:08qui a bien compris que le 23 septembre il allait tomber
04:12et qui donc, devant la mobilisation qui s'annonce d'ampleur le 10 septembre,
04:17préfère choisir lui-même sa date de départ.
04:19Bien évidemment, le 8 septembre, nous voterons
04:21pour faire tomber Bayrou et son gouvernement.
04:24Et je crois que nous avons là un appel
04:26pour chacun et chacune à continuer de se mobiliser.
04:29Bonsoir Philippe Brun.
04:30Vous êtes député PS de l'heure
04:32et vice-président de la commission des finances à l'Assemblée nationale.
04:35On vient d'entendre Mathilde Panot pour la France Insoumise
04:37mais également l'ERN et le Parti Communiste
04:40qui ne voteront pas donc la confiance au gouvernement le 8 septembre prochain.
04:45Est-ce que finalement on peut dire que l'avenir de François Bayrou,
04:47l'avenir de son gouvernement,
04:49est entre vos mains, entre les mains du PS ?
04:52Oui, entre les mains de tout le monde à l'Assemblée nationale.
04:55On est en train de se réunir,
04:56on va se réunir dans la soirée pour prendre notre décision.
04:59Maintenant, je ne vais pas ici vous mentir
05:00ou avoir un faux suspense.
05:01Il est très très probable que nous votions aussi
05:04contre la confiance à François Bayrou.
05:07Encore, c'est l'option que je défendrais
05:08dans les instances du parti
05:10parce que nous pensons que ce plan
05:13n'est ni fait ni à faire.
05:14Il faut changer de gouvernement
05:15pour obtenir un meilleur budget
05:16et il est temps de le faire.
05:18Le 8 septembre, ça nous permet
05:19de présenter un budget à la mi-octobre
05:21qui correspond aux attentes que les Français
05:23ont signifiées durant ces derniers mois
05:25et qui permettent surtout de relancer
05:27l'économie qui est en difficulté aujourd'hui.
05:28Mais est-ce que vous ne pensez pas
05:29qu'en ne vantant pas cette confiance au gouvernement,
05:32ça va renforcer l'instabilité politique
05:34et donc le risque sur les marchés financiers ?
05:36Oui, en effet. L'instabilité politique, nous n'en sommes pas totalement responsables.
05:39La vérité, c'est que la dernière fois,
05:41nous avions négocié avec François Bayrou un budget.
05:43On avait réussi à le faire adopter.
05:45François Bayrou n'a pas choisi la même chose.
05:46En vérité, il prépare son départ depuis le mois de juillet.
05:49D'abord un plan d'économie assez irréaliste, en vérité.
05:52Puis succession d'éléments de communication
05:55qui visaient simplement à préparer sa démission.
05:58C'est une démission déguisée, en vérité.
06:00Il prend un témoin à l'Assemblée nationale
06:01pour démissionner et mieux préparer les prochaines échéances.
06:04Mais il va falloir trouver des femmes et des hommes compétents
06:06pour redresser la situation, redresser la barre.
06:09Car les finances publiques sont en difficulté aujourd'hui.
06:11L'économie est en difficulté aujourd'hui.
06:12Alors justement...
06:13Il va falloir le faire très très vite après le départ de François Bayrou.
06:16Alors justement, François Bayrou parle de 44 milliards d'euros d'économie.
06:20Vous, de votre côté, au PS,
06:22vous vous tablez plutôt sur une vingtaine,
06:24une trentaine de milliards d'euros d'économie.
06:25Comment vous décomposez votre projet,
06:29votre contre-projet de budget
06:31que vous allez présenter dans quelques jours ?
06:32Alors on devait le présenter le 9 septembre.
06:33Vous avez compris qu'on va le présenter un peu plus tôt.
06:36Donc sans évidemment vous en dire trop.
06:38On s'est beaucoup inspiré des travaux de l'OFCE,
06:40que vous connaissez,
06:40qui est l'Institut d'économie publique,
06:42qui lui propose une autre trajectoire,
06:44qui est à peu près réduite de moitié.
06:46C'est ce qu'on a annoncé
06:47dans différentes prises de parole qui ont été les nôtres.
06:50De dire qu'on a un problème de finance publique qui est réel,
06:53c'est un problème de crédibilité des annonces.
06:55Je pense que les 43 ans,
06:56on ne serait jamais arrivé en vérité à la fin.
06:58On préfère avoir 25 qu'on fasse vraiment,
07:00et qu'ils soient répartis dans le temps,
07:02et qu'une trajectoire pluriannuelle,
07:04qu'ils soient négociés avec l'ensemble des groupes politiques,
07:07et qu'ils soient donc maintenus dans le temps.
07:09Donc on préfère des vraies économies documentées,
07:11et puis qu'ils soient négociés politiquement
07:13pour tenir dans le temps,
07:14plutôt que des annonces tonitruantes
07:15suivies de censure et d'instabilité politique.
07:19Et je crois d'ailleurs,
07:19je parle sur ici,
07:21première chaîne d'économie en France,
07:22que les marchés attendent davantage de stabilité,
07:25plus la stabilité,
07:26que des mesures tonitruantes
07:29de baisse de dépenses ou d'économies.
07:32Il vaut mieux avoir des économies sûres,
07:33des recettes sûres,
07:35et puis voilà,
07:37une stabilité dans le temps.
07:38Et je crois qu'il faut qu'on prépare aujourd'hui,
07:40à partir du 8 septembre.
07:41Si vous aviez l'intention,
07:43si vous réussissiez à convaincre François Bayrou
07:45d'un effort entre guillemets limité,
07:47entre 20 et 30 milliards d'euros,
07:48comme vient de le dire Stéphanie à l'instant,
07:50est-ce que le gros porterait sur la taxation des hauts revenus ?
07:53Est-ce que vous pensez qu'il n'est pas un peu illusoire
07:55d'espérer aller chercher plusieurs dizaines de milliards d'euros
07:58parmi les plus riches,
08:00sans à un moment donné rapidement impacter,
08:02je ne dirais pas les classes moyennes,
08:03mais les classes moyennes supérieures,
08:04tout du moins ?
08:04Il y a quand même ce risque très très vite.
08:06Nous ne le pensons pas,
08:07on aura l'occasion évidemment d'en reparler,
08:09mais sur la mise en contribution des très hauts patrimoines,
08:12sur des niches fiscales et sociales très inefficaces aujourd'hui,
08:15nous pensons qu'on peut faire ces économies,
08:18s'agissant des recettes notamment,
08:19puis sur la dépense,
08:20on a aussi des propositions,
08:21vous verrez,
08:22ce sera dans les semaines qui viennent,
08:23sur les agences,
08:25sur l'immobilier de l'État,
08:26sur un tas de choses,
08:27qui correspondent à ce qu'on défend depuis des années.
08:30Nous pensons qu'un autre budget est possible,
08:32et il faut que ce budget,
08:33on le prépare très très vite,
08:34parce que si le gouvernement tombe le 8 septembre,
08:36nous serons attendus au tournant.
08:38Merci beaucoup Philippe Brun,
08:39je rappelle que vous êtes député PS de l'heure,
08:41vice-président de la commission des finances à l'Assemblée nationale.
08:45Le gouvernement est donc pris en quelque sorte en étau
08:47entre l'impératif de réduire le déficit public,
08:50tout en évitant les risques de censure,
08:52de blocage, voire de renversement.
08:54Quand on voit les finances publiques de la France,
08:57on se demande s'il est possible
08:58de redresser un pays dans un tel contexte.
09:02A priori, oui, plusieurs grandes démocraties l'ont fait.
09:05Mathieu Jolivet, c'est le cas de la Suède et du Canada,
09:09c'était dans les années 90.
09:10Exactement.
09:11Et pourquoi est-ce que je prends ces deux exemples,
09:13et pas celui de la Grèce ?
09:14Parce que la Suède et le Canada sont des économies comparables,
09:18ce sont des économies développées,
09:19avec un modèle social qui est très fort.
09:21Ils n'ont pas eu, eux, des décennies de comptes publics falsifiés,
09:25comme l'était la Grèce,
09:27jusqu'à ce qu'elle se retrouve en faillite technique en 2012.
09:29Et donc, le Canada, en 1993,
09:32se retrouve avec un nouveau Premier ministre,
09:34Jean Chrétien,
09:35qui se retrouve à la tête d'un pays en quasi-faillite,
09:37et qui s'est fait élu sur un seul mantra,
09:39celui du redressement des finances publiques.
09:41Il a donc avec lui en poche un mandat politique qui est très clair,
09:44il va pouvoir agir très vite,
09:46et il va d'ailleurs dégainer une thérapie de choc.
09:49Il va tailler à la hache dans toute la sphère publique,
09:51et en parallèle,
09:52eh bien, il ne va pas augmenter les impôts,
09:55les mesures vont être très brutales,
09:57il va opérer un transfert très massif des compétences vers les provinces,
10:02mais tout en leur coupant leur budget.
10:03Il y aura donc une contestation sociale
10:05qui sera très forte dans toute la sphère publique,
10:08mais c'est là que ça devient intéressant,
10:09c'est que cette contestation,
10:10elle ne va pas s'étendre au niveau national,
10:12car vous avez l'ensemble des Canadiens
10:15qui vont adhérer à son projet de transformation.
10:17Et en plus, Jean Chrétien, à l'époque,
10:19va pouvoir s'arrimer à une croissance américaine
10:22qui, elle, connaît un boom formidable dans les années 90.
10:25Du coup, il va engranger des rentrées fiscales,
10:28et il va assainir ses finances publiques
10:30qui se retrouveront équilibrées en moins de 5 ans.
10:34Et aujourd'hui encore, plus de 30 ans plus tard,
10:37vous avez le redressement canadien
10:38qui est cité comme un exemple sur la scène internationale.
10:42Ça fait presque rêver.
10:43Autre exemple, la Suède, à la même époque,
10:44est frappée par une grave crise bancaire
10:46et un endettement record.
10:48Et là aussi, un mandat politique clair
10:50est accordé pour assainir les finances.
10:52Exactement.
10:53Mais Stockholm choisit une autre méthode,
10:54c'est celle du consensus.
10:56À l'époque, toutes les réformes dans les années 90,
10:58qui vont être très douloureuses,
11:00elles vont être négociées pas à pas
11:01avec les oppositions, avec les syndicats.
11:03Il y aura à l'époque plus de 111 audits
11:06pour garantir la cohérence des réformes,
11:08toutes en garantissant leur acceptation sociale.
11:12La Suède va alors se mettre à nationaliser les banques,
11:14à laisser tomber les actionnaires,
11:15à plafonner les dépenses publiques,
11:17à ouvrir la concurrence à plein de secteurs
11:19comme la poste, les taxis, les écoles
11:21ou encore les agences pour l'emploi.
11:23En moins de 10 ans,
11:24le déficit de la Suède va se réduire de 10 à 5%.
11:27Vous voyez donc deux écoles, deux méthodes.
11:29Le Canada qui est plus passé par la force,
11:31la Suède un peu plus par le consensus,
11:33mais les deux qui ont pu compter chacun
11:35sur le soutien d'une grande partie
11:36de leur opinion publique.
11:37Alors Mathieu Jolivet, je vais vous poser la question.
11:39Est-ce que la France peut s'inspirer
11:40d'un des deux modèles
11:41ou piocher dans ces deux modèles ?
11:43Idéalement, oui, mais vous le voyez très bien,
11:44le contexte n'est vraiment pas le même.
11:46Déjà, contrairement au Canada
11:47qui tirait pleinement profit
11:48de la croissance de son voisin américain,
11:50aujourd'hui, on a du mal à imaginer
11:51une France qui s'arrimerait
11:52à son voisin allemand
11:54qui, lui, enchaîne les déficits.
11:56Et puis, François Bayrou ne peut pas
11:57s'appuyer sur un mandat politique
11:59aussi clair qu'avaient ses anciens homologues
12:01suédois et canadiens
12:02dans les années 90.
12:04C'est même l'inverse.
12:04Vous les entendez tous,
12:05les oppositions qui font tout
12:07pour torpiller François Bayrou,
12:09pour faire tomber son gouvernement.
12:11Et vu la tonalité politique actuelle,
12:13un vote de confiance favorable
12:15le 8 septembre prochain
12:16relèverait presque du miracle.
12:18Le miracle, ce serait finalement
12:19qu'il réussisse, François Bayrou,
12:21dans un laps de temps record,
12:23le tour de force des Canadiens
12:24et des Suédois dans les années 86,
12:26mais aussi celui des Portugais
12:28dans les années 2010.
12:30Ces trois pays qui ont réussi
12:31à faire passer l'idée
12:32auprès de leur opinion publique
12:34que durcir, c'est aussi reconstruire.
12:37Merci beaucoup Mathieu Jolivet.
12:39On vous retrouve tous les soirs
12:40pour votre chronique internationale
12:42dans le 19h éco.
12:44Voilà donc pour le défi
12:45qui attend François Bayrou.
12:47Malgré tout, si on regarde
12:48les derniers indicateurs économiques,
12:50la tendance est en fait
12:51plutôt encourageante
12:53du côté des entreprises.
12:54Mathilde Chaminade.
12:57La croissance était en hausse
12:58de 0,3% au deuxième trimestre,
13:01dépassant les attentes.
13:02Les indices PMI du mois d'août
13:03s'améliorent aussi plus que prévu
13:05pour les services et l'industrie manufacturière.
13:08Des nouvelles encourageantes
13:09selon Anthony Morley-Lavidali,
13:10économiste chez Rexecode.
13:12On a notamment des services
13:13qui résistent toujours bien en France,
13:15qui continuent de générer de la croissance
13:16et qui portent le PIB jusqu'alors.
13:18Donc une croissance modeste,
13:20mais qu'il ne faut pas bouder
13:20et qui va rester a priori présente.
13:22Et on s'attend probablement
13:24à ce que l'année 2026
13:25soit même un peu meilleure que 2025.
13:27Parmi les tendances encourageantes
13:28pour cette fin d'année,
13:29la baisse du prix du pétrole,
13:31la stabilisation du marché du travail
13:33et des signaux de reprise
13:34de l'investissement des entreprises
13:36et de la consommation.
13:37Mais les effets des droits
13:38de douanes américains
13:39devraient commencer à se matérialiser
13:40dans les mois qui viennent.
13:42Autre inconnu, le budget 2026.
13:44On a un budget qui au fond
13:45est assez équilibré.
13:47Et des premières mesures d'économie
13:49qu'on a pu observer sur le début d'année,
13:50puisqu'on a déjà traversé un semestre
13:52où il y a des économies qui ont été faites,
13:54ça n'a pas eu d'impact très négatif
13:55sur l'économie française.
13:56Donc il serait assez sain
13:57que ce budget, en tout cas proche
13:59de ce qu'il a été proposé,
14:00soit adopté.
14:01Si en revanche, le gouvernement
14:03venait carrément à être censuré,
14:05on aurait probablement
14:06un regain très important d'incertitude.
14:08L'insétable sur 0,6% de croissance
14:10pour l'année
14:11et le gouvernement 0,7%.
14:1419h13 sur BFM Business Cloud
14:16de faire un point sur les marchés.
14:21Les marchés avec Antoine Larigauderie
14:23et Antoine, la conférence de presse
14:24de François Bayrou a pesé
14:26en fin de séance.
14:27Le CAC 40 a glissé,
14:30moins 1,6% en clôture,
14:317 843 points.
14:34Alors sur des volumes d'échanges
14:34qui n'étaient pas très importants
14:36à 2,5 milliards d'euros
14:36d'actions négociées,
14:38il faut noter que la tech
14:38s'en est mieux sorti
14:39à plus 0,02%
14:40pour l'Euronext Tech Leaders.
14:42Mais alors attention
14:42aux fortes tensions
14:44sur le bon à 10 ans français
14:46sur le marché obligataire.
14:48On a commencé la journée
14:49à 3,41% de rendement,
14:51on termine à 3,49%.
14:52Vraiment, on porte des 3,5%
14:53et on sent que c'est très clairement
14:55le risque politique.
14:57À nouveau,
14:57il y a un risque budgétaire
14:58conjugué
14:58qui pèse sur la dette française.
15:02À noter que ce sont
15:02les titres les plus réactifs
15:03justement à ces instabilités politiques
15:06qui ont signé
15:08les plus fortes baisses du CAC.
15:09Un 26,
15:09moins 5,8%,
15:10121,50€.
15:11Bouygues,
15:12moins 4,5%
15:13à 36,97€.
15:16La plus forte hausse
15:17est pour ST Microelectronics
15:19qui gagne 0,41%
15:20à 23,53€.
15:21À noter ArcelorMittor
15:23qui s'en sort bien aussi
15:24à plus 0,24€.
15:2629,23€.
15:27Plus forte baisse
15:28du SBF 120,
15:29c'est Valneva
15:29alors que son autorisation
15:31d'un vaccin
15:32contre le chikungunya
15:33a été aboli
15:35du côté des Etats-Unis.
15:36Le titre dégringole
15:37de 22%
15:38à 3,93€.
15:39Le CAC,
15:39donc,
15:40moins 1,59€.
15:417,843€.
15:42Merci Antoine.
15:43La rigauderie
15:44du côté des marchés américains.
15:46On va voir la tendance.
15:47Le Dow Jones
15:47est dans le rouge,
15:48moins 0,4%,
15:5045 000€.
15:51411 points.
15:53Et puis,
15:53du côté des valeurs technologiques,
15:54du côté du Nasdaq,
15:56on est en hausse,
15:57on est dans le vert,
15:57plus 0,26%
15:58à 21,551 points.
16:02On en parlait
16:03il y a un instant
16:03avec Antoine Larigauderie.
16:04Valneva a chuté
16:06en bourse aujourd'hui.
16:07Le titre a perdu
16:08plus de 22%
16:09depuis l'ouverture
16:10ce matin.
16:11Les investisseurs
16:12paniquent
16:13car le laboratoire
16:14franco-autrichien
16:15n'est plus autorisé
16:16à vendre son vaccin
16:18contre le chikungunya.
16:20Ça se passe
16:20aux Etats-Unis.
16:21Astrid Olivier.
16:22La licence du vaccin
16:24Ixchik
16:25est suspendue
16:26outre-Atlantique.
16:27Les Etats-Unis
16:27considèrent
16:28les effets secondaires
16:29du médicament
16:29comme trop néfastes
16:31provoquant
16:31autant de dégâts
16:32que le chikungunya.
16:34Le vaccin de Valneva
16:35avait été suspendu
16:36pour les plus de 65 ans
16:37en France
16:38puis en Europe.
16:39Mais après
16:39de nouvelles études cliniques,
16:41l'Agence européenne
16:41du médicament
16:42l'a réintroduit
16:43cet été.
16:44Et plus récemment encore,
16:45le Canada
16:46l'a autorisé
16:46la semaine dernière.
16:47raison pour laquelle
16:48des chercheurs américains
16:50s'inquiètent
16:50des politiques de santé
16:51de l'administration Trump
16:53de plus en plus
16:54vaccino-sceptiques.
16:55D'autant que
16:55la décision
16:56de l'Agence américaine
16:57du médicament
16:58intervient quelques semaines
16:59après l'annonce
17:00de la fin des subventions
17:01pour les vaccins
17:02à ARN messagers.
17:04Pour le moment,
17:04Valneva ne modifie pas
17:05ses prévisions de croissance
17:06pour l'année.
17:07Après un premier semestre
17:09porté par son vaccin
17:10Ixchik,
17:11il pesait pour plus
17:12de 8% de ses ventes,
17:137,5 millions d'euros
17:14de chiffre d'affaires.
17:16C'est le troisième vaccin
17:17le plus vendu
17:18de Valneva
17:18derrière celui
17:19contre le choléra
17:20et l'encéphalite japonaise,
17:22une autre maladie
17:23transmise par les moustiques.
17:24Astré-Olivier,
17:25on continue le 19h éco
17:27avec cette possible
17:28commande record
17:29pour le Rafale
17:30selon les informations
17:31de la tribune.
17:33L'armée indienne
17:33serait partante
17:34pour une commande
17:35de 114 avions
17:38de combat supplémentaires,
17:39une commande massive
17:40qui pourrait faire l'objet
17:41d'une procédure accélérée.
17:44Alexandra Paget.
17:44Le carnet de commande
17:47du Rafale
17:47déjà plus fourni
17:48que jamais
17:49avec 220 appareils
17:50pourrait bien s'enrichir
17:51encore avec la commande
17:52indienne.
17:53Des avions supplémentaires
17:54pour combler
17:55le déficit croissant
17:56de la flotte de combat
17:57accentué par le retrait
17:59imminent des derniers
18:00MiG-21 russes.
18:01Ce qui confirme
18:02la confiance de New Delhi
18:03dans le Rafale
18:04et fait taire
18:05les rumeurs de déception
18:06lors de l'usage opérationnel
18:07des avions
18:08lors des derniers raids
18:09aériens sur le Pakistan.
18:10Officiellement,
18:12Boeing,
18:12Lockheed Martin,
18:13Saab,
18:13Sukhoi sont toujours en lice
18:15mais le Rafale F4
18:16serait toutefois
18:17le grand favori
18:18pour deux raisons
18:19le temps et l'argent.
18:20New Delhi pourrait en effet
18:21passer un accord direct
18:22de gouvernement
18:23à gouvernement
18:24avec Paris.
18:25La décision pourrait intervenir
18:26dans ce cas très rapidement
18:27et permettrait de gagner
18:29plusieurs années
18:29par rapport à un appel
18:30d'offres internationales.
18:32L'acquisition
18:33de nouveaux Rafales
18:33limiterait par ailleurs
18:34les coûts logistiques
18:35alors que les bases
18:36d'Ambala et Asimar
18:37abritent déjà
18:38les 36 avions livrés
18:40depuis 2020
18:41et alors que Dassault Aviation
18:42vient de signer
18:43un accord avec Tata
18:44pour produire une partie
18:46du fuselage
18:47de son avion de combat
18:48en Inde.
18:49Et notez qu'Éric Trappier,
18:50le PDG de Dassault Aviation
18:52également président
18:52de l'UIMM
18:53sera l'invité
18:54d'Edwige Chevrillon
18:56ce mercredi soir
18:58à partir de 18h
18:59sur BFM Business
19:00depuis les rencontres
19:02des entrepreneurs
19:02de France.
19:03Toujours à propos
19:05de l'Inde
19:05il ne reste plus que
19:06deux jours
19:07à New Delhi
19:08pour changer d'avis
19:09sur ses importations
19:11de pétrole russe.
19:13Le pays
19:13déjà puni
19:14par Donald Trump
19:15d'une taxe
19:16de 25%
19:17sur l'ensemble
19:18de ses importations
19:18risque à présent
19:20d'être taxé
19:20à hauteur
19:21de 50%
19:23s'il ne revoit pas
19:24ses alliances énergétiques
19:26une menace
19:27qui ne semble pas
19:28faire bouger l'Inde
19:29sur sa position.
19:30Eline Nefao
19:31Après une brève pause
19:33de leurs achats
19:34début août
19:34face aux menaces
19:35de Washington
19:36les raffineurs
19:37indiens se tournent
19:37de nouveau vers Moscou
19:38avec un prix du pétrole
19:39encore plus bas.
19:40C'est encore une fois
19:41par opportunisme
19:42que l'Inde se tourne
19:43vers la Russie
19:43souligne Jean-Pierre Favnek
19:45professeur à Paris-Dauphine.
19:46Le pétrole russe
19:47est acheté par l'Inde
19:48avec un discount
19:50avec un rabais
19:51très important
19:52et la consommation
19:53de pétrole de l'Inde
19:54est très importante
19:54donc remplacer du pétrole
19:56venant par exemple
19:57du Moyen-Orient
19:57permet de faire
19:58des économies substantielles
19:59il doit y avoir des écarts
20:00de peut-être 15-20 dollars.
20:02La pression américaine
20:03a tout de même touché
20:04les importations indiennes
20:05qui sont tombées
20:06à 400 000 barils par jour
20:08contre 1,7 million
20:09l'année dernière
20:09soit près de 37%
20:11des achats totaux
20:12de bruit de l'Inde
20:13une aubaine
20:14pour la Chine
20:14qui a doublé en août
20:15ses importations
20:16de pétrole russe.
20:17La Chine doit consommer
20:18de l'ordre de 15 à 16 millions
20:19de barils par jour
20:21mais n'en produit que 4
20:22donc la Chine a tout intérêt
20:24à maximiser
20:25ses importations
20:25de pétrole russe.
20:26Loin d'être déstabilisé
20:28par Donald Trump
20:29l'Inde entend approfondir
20:30son partenariat commercial
20:31avec la Russie.
20:32Les deux pays
20:33se sont notamment
20:33mis d'accord
20:34sur une augmentation
20:35des exportations indiennes
20:36de produits pharmaceutiques
20:37et textiles
20:38en contrepartie
20:39de l'envoi de travailleurs indiens
20:40face à la pénurie
20:41de main-d'oeuvre russe.
20:42Dans l'actualité
20:43entreprise
20:44la famille Pinault
20:45réfléchit
20:46à l'avenir
20:47de sa participation
20:48dans Puma
20:49c'est une information
20:50de Bloomberg
20:50elle possède
20:51un peu plus de 29%
20:53de la marque allemande
20:54des discussions
20:55seraient en cours
20:57et ce n'est peut-être
20:58pas une mauvaise nouvelle
20:59pour Puma
21:01c'est en tout cas
21:01le point de vue
21:02de Marc Giraud
21:03le cofondateur
21:04de HMG.
21:06Puma a eu
21:07pas mal de soucis
21:08cet été
21:08ils ont lancé
21:09une baisse
21:10de leur rentabilité
21:12les prévisions
21:13sont un petit peu
21:14à la casse
21:15ils ont des problèmes
21:16manifestement
21:16de positionnement
21:17sur le marché
21:18de circuit distribution
21:19etc.
21:19Ce que j'observe quand même
21:20c'est que la dernière fois
21:21que la famille Pinault
21:22a sorti
21:22un élément important
21:24de son empire
21:26c'était Fnac Darty
21:27ils l'ont sorti
21:28au plus bas
21:29ils l'ont distribué
21:30gratuitement
21:31à tous les actionnaires
21:32de Pinault
21:33et ensuite
21:35ça n'a pas arrêté
21:36de monter derrière
21:36donc il va falloir
21:38regarder l'opération
21:38de près
21:39oui c'est une stick
21:41il y a des problèmes
21:41mais si elle tombe
21:42dans de bonnes mains
21:43il est possible
21:44que ce soit
21:45une très belle recovery
21:46dans la durée.
21:47Marc Giraud
21:48cofondateur de HMG
21:50était l'invité
21:51de BFM Bourse
21:52cet après-midi
21:53aux côtés
21:54de Guillaume Saumoraire
21:55dans le secteur bancaire
21:56Unicrédit
21:57se rapproche
21:58d'un rachat hostile
21:59de Commerzbank
22:00la banque italienne
22:01porte à 26%
22:02sa participation directe
22:04dans sa rivale allemande
22:05ce qui renforce
22:06sa position
22:07de premier actionnaire
22:08individuel
22:09malgré l'opposition
22:10de l'Allemagne
22:11à un rachat complet
22:12Unicrédit
22:13se rapproche ainsi
22:14du seuil de 30%
22:15qui déclencherait
22:16une obligation
22:17de lancer
22:17une offre publique
22:18d'achat.
22:20Ça bouge aussi
22:20dans l'agroalimentaire
22:22l'américain
22:22Dr Pepper
22:23qui possède notamment
22:24les marques
22:25Canada Drive
22:26et Schweppes
22:26va racheter
22:27la maison mère
22:28des cafés
22:29Grand-mère
22:30et Jacques Vabre
22:31montant de l'opération
22:3215,7 milliards d'euros
22:34en cash
22:35un rachat
22:36qui va lui permettre
22:37de se réorganiser
22:38Pauline Tadevin
22:39Après le rachat
22:41de Kélanova
22:42par Mars
22:43ou celui des céréales
22:44de Kellogg
22:44par Ferrero
22:45c'est une nouvelle opération
22:46de taille
22:47dans l'agroalimentaire
22:48L'américain
22:49Keurig Dr Pepper
22:50est un géant du secteur
22:51avec des marques
22:52de soda
22:53comme Schweppes
22:54Dr Pepper
22:54et Canada Drive
22:55mais aussi des marques
22:56de capsules
22:57et des machines à café
22:58Il affiche un peu plus
23:00de 15 milliards de dollars
23:01de chiffre d'affaires
23:02l'an dernier
23:03en avalant le néerlandais
23:04J.D. E. Peats
23:05spécialisé dans le thé
23:07et le café
23:07avec des marques
23:08comme Grand-mère
23:09Jacques Vabre
23:09et Senseo
23:10il se renforce
23:11dans un secteur
23:12de plus en plus compétitif
23:13Dans un deuxième temps
23:15il prévoit d'ailleurs
23:16de se scinder en deux
23:17pour être plus fort
23:18sur chaque secteur d'activité
23:20les sodas d'un côté
23:21et les cafés de l'autre
23:22La branche café
23:24affichera un chiffre d'affaires
23:25d'environ 16 milliards de dollars
23:27celle centrée
23:28sur les boissons fraîches
23:2911 milliards de dollars
23:30de quoi peser
23:31sur un marché nord-américain
23:33qui représente
23:33pour cette seule activité
23:35quelques 300 milliards de dollars
23:37Pauline Tadevin
23:38C'est à Paris
23:39plus que réussi
23:40pour Netflix
23:41après un carton en streaming
23:42Son film d'animation
23:44K-pop Démon Hunter
23:46bat aussi
23:46tous les records
23:47en salle
23:48Il a enregistré
23:49plus de 18 millions
23:51de dollars
23:51de recettes
23:52pour son week-end
23:53de sortie aux Etats-Unis
23:53et c'est une première
23:55pour la plateforme
23:56Nathan Cocampo
23:57Combattre des démons
24:00en dansant sur de la K-pop
24:01c'est le phénomène
24:02de cet été
24:02Le film d'animation
24:04qui met en scène
24:04trois jeunes stars
24:05de la pop coréenne
24:06Chasseuse de démons la nuit
24:07culmine déjà
24:08à plus de 210 millions de vues
24:09et devrait dépasser
24:10les 270 millions
24:11selon Netflix
24:12bien devant son champion
24:13toute catégorie
24:14le film d'action
24:15Red Notice
24:16La comédie musicale
24:17qui se déroule en Corée du Sud
24:18est avant tout portée
24:19par le bouche à oreille
24:20depuis sa mise en ligne
24:21le 20 juin
24:22Une large communauté de fans
24:23partout dans le monde
24:24s'amuse à reprendre
24:25la bande originale du film
24:26sur les réseaux sociaux
24:27des chansons devenues des hits
24:29inarrêtables
24:30dans le top monde
24:30sur Spotify
24:31Si d'habitude
24:32la plateforme
24:33prend la décision
24:33de sortir une production
24:34en salle
24:35pour se positionner
24:36dans une compétition
24:36comme les Oscars
24:37ou pour convaincre
24:38un réalisateur prestigieux
24:39sur un projet
24:40cette fois-ci Netflix
24:41choisit de surfer
24:42sur un succès en ligne
24:43pour tenter ensuite
24:44une percée
24:45au box-office
24:46avec 18 millions de dollars
24:47de recettes
24:47en un week-end
24:48aux Etats-Unis
24:49et dans 4 autres pays
24:50le succès est total
24:51de quoi donner
24:52des idées de franchise
24:53à la plateforme
24:5419h24
24:55le clic du jour
24:56on va faire un tour
24:57sur le site
24:57de BFM Business
24:59tous les soirs
24:59avec cet article
25:00ce soir consacré
25:01aux chefs d'entreprise
25:02ils vont désormais
25:04pouvoir supprimer
25:05leur adresse personnelle
25:06du registre du commerce
25:07et des sociétés
25:08un décret a été adopté
25:11hier en ce sens
25:12l'objectif c'est de mieux
25:13protéger leur vie privée
25:14et garantir ainsi
25:16leur sécurité
25:16on se souvient notamment
25:18au printemps dernier
25:19cette série d'enlèvement
25:20de dirigeants d'entreprise
25:21dans la crypto-monnaie
25:23la Minute Tech
25:24dans quelques minutes
25:25vous allez retrouver
25:26Tech & Co
25:27présenté par François Sorel
25:28nouveaux horaires
25:29cette année
25:29à 19h30, 21h
25:31Léa Benahim
25:33bonsoir
25:35vous allez revenir
25:36ce soir sur
25:36l'actualité tech
25:38qui a marqué l'été
25:39et il y a notamment
25:41Intel évidemment
25:42et oui c'est le premier
25:43gros dossier
25:44de la rentrée
25:45on a appris la semaine
25:46dernière que l'état
25:47américain
25:47allait entrer
25:49au capital
25:49de l'entreprise
25:51une nationalisation
25:52partielle
25:5310%
25:53en échange
25:54des aides
25:55que l'entreprise
25:56a perçues
25:56depuis 2019
25:58et la question
25:59qu'on se posera
25:59ce soir Stéphanie
26:00quel est l'intérêt
26:02du gouvernement
26:02de faire partie
26:03d'Intel
26:04entreprise
26:05qui va mal
26:05très mal
26:06contrairement
26:07à ses concurrents
26:08comme TSMC
26:09comme Nvidia
26:10ou comme AMD
26:10Intel n'a pas
26:12gagné d'argent
26:12depuis 2021
26:14et surtout
26:15est-ce que ça suffira
26:16pour sauver Intel
26:17qui pour appel
26:18risque le démantèlement
26:20et à noter
26:21qu'après Intel
26:21le gouvernement américain
26:22serait prêt aussi
26:23à entrer au capital
26:24d'autres entreprises
26:26c'est ce qu'a déclaré
26:26le principal conseiller
26:27économique de Donald Trump
26:28autre sujet
26:30dans l'actualité
26:31de cet été
26:32c'est la sortie
26:32de GPT-5
26:34le nouveau modèle
26:35de langage
26:35d'OpenAI
26:36et oui
26:36une sortie mal orchestrée
26:38un fiasco même
26:39selon les analystes
26:40en fait les utilisateurs
26:41reprochent à OpenAI
26:42d'avoir supprimé
26:43trop vite
26:44l'accès
26:44aux anciens modèles
26:45et surtout
26:46GPT-5
26:47n'est visiblement
26:48pas aussi performant
26:49qu'OpenAI
26:50le dit
26:50ce sera
26:51notre deuxième sujet
26:52ce soir
26:53on l'a testé
26:53et on vous dira
26:54ce qu'on en pense
26:55avec nos experts
26:56et enfin pour finir
26:57pour terminer l'émission
26:58on vous dira aussi
26:59un mot d'Apple
27:00qui selon Bloomberg
27:01serait en ce moment même
27:03en train de négocier
27:04avec Google
27:05pour sauver Syrie
27:06un partenariat
27:07surprenant
27:08quand on connaît
27:09la rivalité historique
27:10entre ces deux géants
27:11de la tech
27:12donc voilà
27:13rendez-vous
27:13dans quelques minutes
27:14à 19h30
27:15avec François Sorel
27:17pour un grand débrief
27:18de la tech
27:19d'une heure et demie
27:19et juste avant
27:20noter l'agenda
27:22de demain
27:22on attend le moral des ménages
27:24pour le mois d'août
27:25il sera publié par l'INSEE
27:26à 8h45
27:27la CFDT
27:28fait aussi
27:29sa rentrée demain
27:30la bourse du travail
27:31à partir de 14h
27:32en présence
27:33de François Bayrou
27:34aux Etats-Unis
27:35on attend la confiance
27:36des consommateurs
27:37pour le mois d'août
27:38ce sera à 16h
27:38et ce sera à suivre
27:39sur BFM Business
27:41dans BFM Bourse
27:42présenté par Guillaume Sommerer
27:43et puis
27:43sur l'antenne
27:44de BFM Business
27:467h45
27:46le grand entretien
27:48leur closier
27:49reçoit Laurent Milchior
27:50le co-géant des TAM
27:51la parole au patron
27:52sera donnée demain matin
27:54à 8h40
27:54à Dominique Carlac
27:57voilà pour le programme
27:58du mardi 26 août
28:00en attendant
28:01vous avez rendez-vous
28:02avec Léa Benahim
28:04François Sorel
28:05pour Tech & Co
28:0619h éco
28:10sur BFM Business
28:11Sous-titrage Société Radio-Canada

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À suivre