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Budget 2026 : adoption rime-t-elle avec hausse d'impôts ?
Europe 1
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il y a 10 heures
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00:00
C'est qu'Adrien Matou, bonsoir.
00:02
Directeur adjoint de la rédaction de Marianne.
00:03
Bonsoir Louis-Ausalter.
00:04
Bonsoir Pierre.
00:05
Journaliste politique au Figaro.
00:07
Notre invité Thierry Breton.
00:08
Bonsoir Thierry Breton.
00:09
Bonsoir.
00:09
Ancien commissaire européen au marché antérieur,
00:11
ancien ministre de l'économie,
00:12
auteur des dix renoncements qui ont fait la France.
00:16
C'est coédité par Plon et Bûcher Chastel.
00:19
Ce matin, François Villeroy de Gallo,
00:21
le gouverneur de la Banque de France,
00:23
était l'invité d'Europe 1 et de CNews.
00:26
Il a voulu rassurer.
00:28
L'État ne touchera pas à l'épargne des Français.
00:31
Il n'est pas question d'aller se servir dans l'épargne des Français.
00:34
L'épargne, elle est libre.
00:35
C'est les Français qui l'affectent librement
00:37
vers le livret A, vers l'assurance vie,
00:40
vers aussi des produits d'action,
00:42
le PEA, le plan d'épargne en tête,
00:45
qui servent d'ailleurs les fonds propres
00:46
et l'investissement des entreprises.
00:49
Donc l'épargne, évidemment, doit rester libre.
00:52
Je relève simplement, quand je dis
00:54
qu'on peut croire encore en la France,
00:56
parmi nos atouts, il y a une épargne qui est élevée.
00:59
C'est vrai pour la France,
01:00
c'est vrai pour nos voisins européens.
01:02
Et le paradoxe de la situation actuelle,
01:04
c'est que cette épargne, elle sert en partie
01:06
à financer l'investissement et l'innovation ailleurs,
01:08
notamment aux États-Unis.
01:09
Alors, M. Trump veut mobiliser les ressources américaines
01:12
pour l'Amérique, c'est son droit,
01:14
mais nous, on va mobiliser des ressources européennes
01:16
pour l'Europe, pour sa croissance et pour son innovation.
01:19
– C'est une question légitime qu'a soulevé Romain Desarbres
01:21
ce matin sur Europe 1 et sur CNews, Thierry Breton,
01:23
parce que dans ce vote interminable
01:26
du budget de la sécurité sociale,
01:28
dans l'incertitude du budget général
01:30
qui doit intervenir théoriquement avant le 31 décembre,
01:32
en tout cas on l'espère,
01:34
les Français se disent, mais est-ce que,
01:36
voilà, je touche mes poches pour ceux qui ne me voient pas,
01:38
est-ce qu'on va en prendre encore plus
01:42
avec les impôts déjà qu'on paye ?
01:44
– Les Français, hélas, bien devine-nous,
01:48
ont raison de se poser cette question,
01:49
parce que ce qu'on vient d'assister
01:51
au cours des 5-6 dernières semaines
01:54
démontre qu'on est à nouveau prêt à tout,
01:58
y compris, pardon, je ne veux surtout pas
02:00
interférer avec les propos du gouverneur de la Banque de France.
02:03
– Ah, vous faites ce que vous voulez.
02:04
– Mais pardon, mais souvenez-vous qu'il n'y a pas longtemps,
02:08
j'avais cru voir passer,
02:10
et ça a été très soutenu par l'Assemblée,
02:12
le fait qu'on allait taxer, il me semble, l'assurance-vie.
02:18
Or, c'est quoi l'assurance-vie ?
02:20
C'est l'épargne des Français.
02:21
– L'épargne préférée des Français.
02:22
– Pardon, mais, pardon, encore une fois,
02:23
je ne veux pas contester,
02:24
mais juste rappeler à nos auditeurs
02:25
qu'il me semble qu'on a augmenté,
02:28
vous savez la flat tax,
02:29
qui fait que lorsque vous avez une épargne...
02:31
– Une entreprise ?
02:32
– Non, non, non, lorsque vous avez une épargne en actions,
02:35
puis que vous vendez les produits financiers,
02:36
vous vendez ces actions pour leur investir,
02:38
c'est l'épargne qu'on fait tourner,
02:41
il me semble que ça a augmenté.
02:43
Donc, malheureusement,
02:45
c'est vrai que nous avons 6 000 milliards d'euros d'épargne,
02:48
c'est-à-dire qu'on est presque à 19% aujourd'hui de taux d'épargne,
02:51
qui est un taux très important,
02:52
qui démontre quoi ?
02:53
Que les Français,
02:54
les Français voient ce qui se passe,
02:56
et se disent,
02:57
un tiens vaut mieux que deux tu l'auras,
03:00
et malheureusement,
03:01
je dis malheureusement,
03:02
ils gardent cette épargne,
03:04
qui du coup n'est plus productive.
03:05
Et ça impacte sur la croissance ?
03:08
Elle sert à acheter de la dette.
03:09
Alors ça, on est champion du monde.
03:11
Elle sert à acheter de la dette,
03:12
c'est-à-dire à financer l'État impecunieux.
03:14
Mais ce que vous voulez dire,
03:15
c'est que là où François Villeroy de Gallo
03:16
a l'air non pas satisfait,
03:18
mais en tout cas,
03:19
il se rassure sur cette épargne des Français,
03:22
vous, vous en êtes plutôt inquiet.
03:24
Non, je ne suis pas inquiet,
03:25
il est là,
03:25
et les Français font ce qu'ils veulent,
03:26
et heureusement,
03:27
encore une fois,
03:27
qu'ils gèrent aussi,
03:28
je dirais,
03:30
l'épargne,
03:32
comme ils l'entendent,
03:33
et également,
03:34
ils voient bien,
03:34
parce que les Français comprennent bien
03:36
ce qui se passe,
03:36
et on peut dire un mot sur les retraites,
03:38
ils voient bien que de toute façon,
03:40
cette situation,
03:42
dans laquelle on continue à vivre
03:43
totalement au-dessus de nos moyens,
03:45
et je parle en particulier,
03:47
en ce qui concerne notre État-providence,
03:49
et dans l'État-providence,
03:50
on met évidemment les retraites.
03:51
ils voient bien que tous les autres pays du monde,
03:55
et en particulier tous les pays européens,
03:57
allongent la durée de rentrée,
04:00
précisément dans la retraite,
04:01
tous, sans exception,
04:03
et que nous,
04:04
et que nous,
04:05
eh bien,
04:05
on ne tient pas compte,
04:07
ni de l'allongement de la durée de la vie,
04:08
ni de la baisse de la démographie,
04:10
qui sont deux facteurs absolument clés,
04:12
pour pouvoir continuer à financer
04:13
notre régime de retraite,
04:14
comme il se fait.
04:16
Alors, on avait réussi,
04:17
bien devine-nous,
04:19
c'était au forceps,
04:20
j'allais presque dire,
04:21
si vous me pardonnez l'expression,
04:22
de faire enfin comprendre
04:23
à nos compatriotes,
04:25
qu'il fallait juste commencer
04:26
à se radapter un tout petit peu
04:27
à cette réalité
04:28
que je viens de décrire rapidement,
04:31
et finalement,
04:31
qu'il fallait passer
04:32
de 62 à 63,9 années
04:35
de travail,
04:37
pour commencer à aller
04:38
dans cette...
04:40
Pardon,
04:40
le départ de la retraite,
04:41
excusez-moi.
04:43
Excusez-moi,
04:44
vous avez raison.
04:45
Peut-être qu'on y sera un jour.
04:47
Et c'est la sagacité
04:48
de Pierre de Villeneuve légendaire
04:49
qui vient de s'exercer
04:50
à nouveau à notre micro.
04:51
Merci.
04:52
Mais évidemment,
04:53
on avait réussi précisément
04:55
à faire comprendre,
04:56
ça avait été compliqué,
04:57
ça avait été utilisé
04:57
du reste par le 49.3,
04:59
qui a été voulu,
04:59
encore une fois,
05:00
par notre Constitution,
05:02
pour lorsque l'intérêt général prime,
05:04
eh bien,
05:04
qu'on l'utilise,
05:05
parce que c'est l'intérêt général
05:06
dont il s'agissait.
05:07
Et puis voyez-vous,
05:08
patatras,
05:09
après huit ans de discussion,
05:11
pour remettre un tout petit peu
05:12
la voiture France à l'endroit,
05:13
on vient de dire
05:14
que finalement,
05:15
non,
05:15
c'était pas grave,
05:15
qu'on pouvait effectivement
05:17
revenir au statut couranté
05:19
contre quoi ?
05:21
Contre peut-être une stabilité,
05:23
on verra ce que sera cette stabilité,
05:25
il semble,
05:26
d'après les observateurs,
05:27
qu'il sera extrêmement difficile
05:27
de faire voter le PLF.
05:29
Loi aux alters,
05:30
on a entendu des cris de joie
05:31
ou de soulagement
05:32
dans la classe politique,
05:33
en disant,
05:34
formidable,
05:34
on a un budget
05:35
de la sécurité sociale,
05:35
en tout cas,
05:36
une étape a été franchie
05:37
à l'Assemblée
05:37
avec ce vote
05:39
pour ce budget
05:41
de la sécurité sociale.
05:42
Il y a dedans
05:43
ce que vous décriviez,
05:44
c'est-à-dire la suspension
05:45
de la réforme des retraites,
05:46
donc l'inverse
05:46
de ce que nous commanderait,
05:48
ce qui se passe
05:49
au niveau démographique,
05:50
au niveau économique,
05:51
au niveau international.
05:53
Est-ce que,
05:53
pour vous,
05:54
ça veut dire
05:54
qu'il vaudrait mieux
05:55
qu'il n'y ait pas de budget
05:56
en cette fin d'année
05:57
plutôt que des budgets
05:58
avec ce type de mesures
06:00
plus les hausses d'impôts
06:01
qu'on vient d'évoquer ?
06:02
Thierry Routon.
06:03
Je comprends
06:03
qu'on pose la question
06:04
en ces termes,
06:05
mais en ce qui me concerne,
06:06
je ne la pose pas
06:07
en ces termes.
06:08
Je pense qu'il y a des priorités
06:09
dans la vie politique.
06:11
Lorsqu'on est un homme politique,
06:13
je ne vais pas faire
06:14
de leçon à quiconque,
06:15
vous me comprendrez,
06:17
mais il n'en demande pas moins
06:17
que lorsqu'on est
06:18
un homme politique
06:18
et qu'on porte précisément
06:21
une vision,
06:23
qu'on a porté,
06:23
je le redis,
06:24
parce que c'est très important
06:25
pour moi,
06:25
c'est ce qu'il y a
06:25
de plus important.
06:26
Ce jour du 9 décembre 2025,
06:29
c'est-à-dire hier,
06:30
pour moi,
06:30
est un jour funeste.
06:31
Je n'ai pas peur
06:32
de vous le dire.
06:33
Et si je le dis,
06:34
c'est parce que,
06:35
dans la vie politique...
06:36
Vous avez même mis
06:36
une cravate noire aujourd'hui.
06:37
Vous êtes en deuil.
06:38
Oui, je vois que vous êtes
06:40
décidément non seulement
06:41
attentif,
06:43
mais également observateur.
06:45
Mais oui,
06:46
c'est exact.
06:47
Pour moi,
06:48
c'est un jour funeste
06:48
parce que c'est le jour
06:49
où précisément,
06:52
on a décidé,
06:53
vous vous rendez compte,
06:53
de dire à nos compatriotes
06:54
non, finalement,
06:55
on ne sait pas
06:57
ce qui va se passer,
06:58
donc on a donné,
06:59
parce que c'est bien
06:59
ça dont il s'agit,
07:00
on a donné ce totem
07:01
à qui ?
07:02
Au Parti Socialiste,
07:03
parce que c'est ça
07:03
dont il s'agit.
07:04
Le Parti Socialiste
07:05
voulait ce totem.
07:06
Donc on lui a donné,
07:07
on lui a offert ce totem.
07:08
En contrepartie,
07:10
plus après ça,
07:10
tout le reste,
07:11
parce que quand on commence
07:11
à lâcher,
07:12
on lâche.
07:12
Plus l'augmentation
07:13
de la CAG,
07:14
plus renoncer,
07:15
enfin plus en fait,
07:16
on est parti.
07:16
Ce sont les négociations politiques.
07:17
Ça, c'est pas des négociations,
07:19
ça.
07:19
On est parti de 17 milliards
07:20
de déficit de la Sécurité Sociale
07:23
à désormais 24.
07:24
Non, mais c'est pour s'assurer
07:25
le vote de certains partis politiques.
07:26
Oui, mais Pierre De Villeneau,
07:27
ça veut donc dire que...
07:29
C'est juste factuel.
07:30
Non, mais c'est factuel
07:31
et je vais essayer de l'accrocier.
07:32
Je sais que vous ne prenez pas parti,
07:34
mais je veux dire,
07:36
moi, ce que je souhaite vous dire,
07:37
c'est que comment j'ai ressenti ça ?
07:39
J'ai ressenti ça comme un nouveau renoncement.
07:43
Et au fond, vous me dites,
07:45
mais fallait-il mieux avoir de budget
07:46
ou pas avoir de budget ?
07:48
Encore une fois, derrière,
07:50
vous savez, je vois des pays
07:53
comme par exemple la Belgique,
07:57
comme les Pays-Bas,
07:58
comme l'Espagne.
07:59
Tenez, prenez l'Espagne.
08:00
Je ne veux pas dire
08:01
qu'il ne faut pas avoir de budget.
08:02
Mais j'ai dit qu'il y a un moment
08:02
où l'intérêt général prime
08:05
par rapport à l'instant.
08:06
C'est ce que j'ai voulu vraiment
08:07
essayer de travailler,
08:08
puis démontrer dans mon livre
08:10
les 10 renoncements
08:10
qui ont fait la France.
08:12
Et là, on est au 11e.
08:13
Là, on est vraiment au 11e.
08:15
Et je vais vous dire pourquoi.
08:16
Parce qu'au fond,
08:17
lorsque Emmanuel Macron
08:19
a fait sa campagne électorale,
08:20
c'était en 2016,
08:22
il avait annoncé,
08:23
il avait raison,
08:24
qu'il allait s'attaquer,
08:25
que c'était dans son programme,
08:26
précisément,
08:27
à ce problème
08:29
de financement des retraites.
08:30
On sait qu'il n'est plus financé
08:31
en tant que tel,
08:32
et plus finançable non plus,
08:33
tel quel.
08:34
Et donc,
08:34
qu'il allait proposer
08:36
une réforme des retraites.
08:38
Et il le fait
08:40
au bout de 8 ans.
08:42
On vient d'abroger,
08:43
c'est-à-dire,
08:44
on vient de repousser,
08:45
ça veut dire abroger,
08:46
ça veut dire,
08:47
ça ne trompe personne.
08:48
Donc, jusqu'en 2021,
08:50
donc ça veut dire
08:51
que vous allez avoir
08:52
les élections,
08:54
vous allez avoir ensuite,
08:55
parce que qu'est-ce qu'il va se passer ?
08:56
Vous allez avoir ensuite
08:57
un nouveau gouvernement
08:58
qui va être créé.
08:59
Il va falloir faire campagne
09:00
en disant,
09:01
je vais remettre la réforme des retraites.
09:02
Alors ça,
09:02
c'est un autre point,
09:03
vous avez raison de le mentionner.
09:04
Mais ce que je veux dire,
09:05
c'est juste pour donner
09:05
la temporalité à nos auditeurs.
09:07
Donc ça veut dire
09:08
qu'on va au mieux
09:09
commencer à discuter
09:09
de ce sujet en 2028.
09:11
Ça veut dire
09:12
qu'on va reprendre
09:13
tout à zéro.
09:13
Ce sera un débat
09:14
de la présidentielle,
09:15
comme on peut l'imaginer.
09:16
Ce sera dans la présidentielle,
09:19
vous imaginez,
09:20
pardon,
09:20
je sais que je ne veux pas
09:21
vous interpeller
09:22
à titre personnel,
09:22
mais vous imaginez,
09:23
on va dire,
09:24
à vous général,
09:25
vous imaginez qu'un candidat
09:26
ou une candidate
09:27
veut dire,
09:28
alors moi vous allez m'élire
09:29
parce que moi d'abord,
09:30
on va rallonger évidemment
09:31
assez significativement
09:33
l'âge où on pourra
09:36
prendre sa retraite.
09:37
Par exemple,
09:37
à 64 ans,
09:38
puis bientôt 65,
09:39
on doit aller vers 67,
09:40
peut-être comme les Danois
09:41
le font jusqu'à 70
09:42
et qu'on va se faire élire.
09:44
Donc je pense que,
09:44
malheureusement,
09:45
le discours sera un peu plus flou
09:47
si vous le permettez.
09:48
Ce qui veut donc dire
09:48
qu'à partir de 2028,
09:50
on va commencer à discuter,
09:52
il va falloir discuter,
09:52
y compris avec l'ensemble
09:53
des forces de la nation,
09:56
y compris les forces sociales.
09:58
Donc combien de temps
09:58
il va falloir ?
09:59
Un an ?
09:59
Deux ans ?
09:59
Trois ans ?
10:00
Donc ça veut dire
10:00
qu'au mieux,
10:01
on aura peut-être
10:03
une nouvelle réforme
10:04
des retraites en 2030,
10:06
on a démarré en 2016,
10:08
et c'est ça
10:08
ce qui s'est passé hier.
10:09
Et ça, voyez-vous...
10:10
Donc on va perdre du temps,
10:11
on va perdre de l'argent.
10:12
Mais surtout,
10:13
on va perdre de la crédibilité
10:14
de la crédibilité.
10:15
Parce que souvenez-vous
10:16
qu'on a dit,
10:17
on a dit,
10:17
à l'ensemble de ceux
10:18
qui nous prêtent.
10:19
On est le premier pays
10:20
émetteur en euros au monde.
10:22
330 milliards l'année prochaine,
10:23
on leur a dit,
10:23
ne vous inquiétez pas,
10:25
ne nous mettez pas
10:25
des taux d'intérêt trop élevés,
10:26
on fait les réformes.
10:27
On a dit à nos partenaires également,
10:29
à nos partenaires européens,
10:31
et à tous ceux
10:31
avec lesquels nous travaillons,
10:32
notamment pour la stabilité
10:33
de l'euro,
10:33
qu'on allait faire
10:34
les réformes structurelles,
10:35
on les fait,
10:36
et patatras,
10:37
on les renie.
10:37
Vous imaginez l'image
10:38
de la France ?
10:39
Thierry Breton
10:39
est l'invité de Rampinsoir.
10:40
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