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00:00Maintenant on va parler de Brigitte Macron.
00:02Il y a Michel qui est en attente, à qui on donnera la parole dans un instant.
00:06La polémique enfle depuis les propos de Brigitte Macron.
00:08Elle a qualifié de salle conne des militantes du collectif Nous Toutes
00:12qui avait la veille interrompu le spectacle d'Arie Habitant.
00:15L'humoriste avait été un temps accusé de viol en 2021
00:19avant d'obtenir un non-lieu.
00:22Malgré le non-lieu, les féministes le poursuivent.
00:24Brigitte Macron a-t-elle tort ou raison d'avoir tenu ses propos ?
00:28Éric Tegner.
00:30Moi j'ai trouvé que c'était des propos de bon sens.
00:32Déjà il faut rappeler quand même que c'est dans un cadre privé.
00:35Ensuite franchement je pense que si on interroge une grande partie des Français
00:38ils vont penser qu'ils sont d'accord avec elle et que ça fait du bien.
00:41Moi j'aimerais bien entendre plus souvent lorsque
00:43on essaye de savoir ce qui se dit à l'Elysée, chez Macron, etc.
00:47des gens qui vont juste dire des choses qui sont normales.
00:50Oui, il n'y a pas à voir des féministes qui se pointent dans un théâtre
00:55pour essayer d'accuser un homme de viol alors qu'il a été blanchi par la justice.
00:59Voilà, ces gens-là qui passent leur temps à expliquer qu'on met en péril l'état de droit
01:04quand on va contester une décision de justice comme Marine Le Pen qui a empêché de se présenter à l'élection présidentielle
01:10mais qui sur tout un tas de sujets n'ont aucun problème de remettre en cause la justice.
01:14Moi je vais vous dire, j'en ai ras-le-bol de ces féministes.
01:17J'en ai ras-le-bol de ces féministes qui à chaque fois troublent les endroits.
01:21Je me rappelle comment Valeurs Actuelles avait fait un événement au Cirque d'hiver il y a plusieurs années.
01:24Déjà, il y avait des féministes qui avaient interrompu.
01:27C'est toujours cette même méthode de l'extrême gauche, vous savez.
01:30Vu que le droit ne passe pas selon eux, il faut boycotter, il faut saboter, il faut insulter, il faut traîner dans la boue.
01:37Et pour ça, je trouve que c'est assez rare, mais on peut défendre Brigitte Macron.
01:40Oui, elle serait peut-être plus audible, les féministes, si on l'entendait, lorsque d'autres femmes se font violer, Claire Gironimi, enfin on en a d'autres, toute une liste.
01:50Gabriel, je vous donne la parole dans un instant.
01:52Je prends d'abord, si vous permettez, Patrick qui nous appelle du centre pour vous.
01:56Quel regard vous portez par rapport à cette vidéo, on peut le dire, un volet de Brigitte Macron qui dit, devant un regard bitant, que les féministes ce sont des sales connes, en rigolant.
02:06On voit que c'était une petite conversation privée.
02:08Quel est votre regard, Patrick ?
02:10Oui, bonjour.
02:12Moi, je suis un peu étonné qu'on fasse tout un plat sur ce qui a été filmé, enregistré, sur l'intervention de Brigitte Macron.
02:22Je suis même étonné qu'Europe 1 fasse une émission là-dessus.
02:25Ce qui est choquant, c'est effectivement l'intervention des féministes qui, une fois de plus, viennent perturber un spectacle.
02:31Ça devient maintenant une mode dans les salles de spectacle, cinéma, enfin un peu partout.
02:37Surtout vis-à-vis de quelqu'un qui a été innocenté.
02:42Bien sûr, il y a eu un non-lieu dont la mise en examen a été retirée, bien sûr.
02:46Il y a eu un non-lieu, bien évidemment.
02:47Maintenant que Mme Macron donne un avis personnel en échange privé avec quelqu'un qu'elle connaît,
02:56je dirais, c'est tout à fait son droit.
03:00Je suis plus choqué le fait que ça ait été, encore une fois, quelque chose de volé.
03:05Donc, au bout d'un moment, j'ai l'impression que s'il ne faut pas qu'elle dise ça, c'est encore une censure.
03:10Et je ne suis pas quelqu'un qui... Je ne suis pas du tout Macronien.
03:14Non, vous avez le droit de l'être. Il n'y a aucun souci. On aime toutes les opinions, non ?
03:21Tout à fait. Voilà un petit peu. Donc, je pense que ce ne serait pas la peine d'en rajouter.
03:28Merci beaucoup pour votre regard.
03:31Et vous savez, mon cher Patrick, moi, j'ai choisi de parler de ce sujet.
03:35On ne va en parler malheureusement que 8 minutes, mais j'aurais pu en parler pendant une heure.
03:39Vous savez pourquoi, Patrick ? Parce que pour moi, c'est révélateur du basculement de notre société.
03:44C'est révélateur de moi, en tant que femme, je suis une femme et je pense à ma fille
03:48et j'aurais aimé que ces féministes puissent défendre ma fille demain.
03:51Je trouve que c'est révélateur de ces vidéos volées dans le dos d'une femme
03:55qui est en train de parler et qu'on lâche comme ça en pâture sur les réseaux sociaux.
03:59C'est révélateur d'une société de haine, alors qu'on a besoin d'une société d'humanité, d'écoute de l'autre.
04:04C'est révélateur d'une justice qui se bascule, cette justice qui a dit déclarer un non-lieu
04:10et certains veulent aller outre cette justice.
04:13Pour moi, ce qui se passe avec Brigitte Macron est révélateur d'une société qui part en cacahuète,
04:20si vous permettez l'expression.
04:22Merci pour votre appel, mon cher Patrick.
04:23Je l'ai justifié et donné un peu mon regard et pourquoi je voulais absolument parler de ce sujet.
04:29Gabriel, je vous joigne la parole dans un instant, mais je vais prendre Ilona qui nous appelle d'Île-de-France.
04:34Quel est votre regard, Ilona, sur ce sujet ?
04:37Oui, bonjour Ilona.
04:38Tout d'abord, vous dire combien j'adore votre émission
04:41et la manière dont vous vous exprimez avec justesse.
04:46Pour vous, les moins ont un sens et je tenais à le dire.
04:49Merci.
04:49Et j'adore, je vous suis.
04:51Oh, merci ma belle, merci pour vos encouragements, c'est adorable.
04:54Voilà, également ceux qui se trouvent à l'antenne et Europe 1.
04:56Pour la justesse de ces mots et la manière dont vous tissez l'information.
05:02Merci infiniment.
05:03Avec réalité, vérité, authenticité.
05:05Merci.
05:05Alors, ne bougez pas Ilona, vous savez quoi ?
05:07Juste avant de marquer une pause, je voudrais rester avec nous.
05:09Je voudrais entendre Gabriel Cluzel avant de lancer la pause de 12h27 sur ce sujet.
05:14Restez avec nous ma chère Ilona, j'ai envie de vous entendre aussi.
05:17Gabriel Cluzel.
05:18Alors, je ne sais pas s'il me suffira de quelques secondes,
05:20parce que j'ai peut-être une opinion un tout petit peu différente de la vôtre.
05:25Ne bougez pas, alors vous savez quoi ?
05:27Voilà, j'ai mis très un petit bémol.
05:29Alors, de la vôtre, c'est à qui ?
05:31Ilona ?
05:31Non, de général, exprimé depuis le début de l'émission.
05:34Bon, bien, très bien.
05:35Alors, on marque une pause et on revient avec Gabriel Cluzel, Ilona sur les propos de Brigitte Macron.
05:45A telle raison ou tort d'avoir qualifié de s'alconne les militantes du collectif Noto ?
05:51On en parle tout de suite sur Europe 1.
05:52Avec vous aussi au 01 80 20 39 21 12h27.
05:56Vous écoutez Christine Kelly et vous sur Europe 1.
05:59Europe 1.
06:0111h30, 13h.
06:02Christine Kelly et vous.
06:03Nous sommes en ligne avec Ilona pour parler de ses propos tenus par Brigitte Macron
06:11à propos du spectacle de Harry Habiton.
06:15La polémique a enflé depuis les propos de Brigitte Macron.
06:18Elle a qualifié de s'alconne les militantes du collectif Noto ?
06:20Qui avaient la veille interrompu le spectacle d'Harry Habiton.
06:23L'humoriste avait été un temps accusé de viol en 2021 avant d'obtenir un non-lieu.
06:28Malgré le long lieu, les féministes le poursuivent.
06:30Brigitte Macron a-t-elle eu raison ou tort d'avoir tenu ses propos ?
06:34Appelez-nous.
06:35Au 01 80 20 39 21.
06:39Ilona est avec nous en ligne.
06:4011h30, 13h.
06:41Christine Kelly sur Europe 1.
06:43Avant de donner la parole à Gabrielle Cluzel, Ilona, vous êtes avec nous en ligne.
06:50Et vous voulez réagir surtout aux propos de François Hollande qui a déclaré ce matin
06:55que même si on peut critiquer la forme quand il s'agit de femmes qui luttent contre les violences faites aux femmes,
07:01on ne prononce pas ces mots de cette façon.
07:03C'est pour vous que vous choque les propos de François Hollande, Ilona, c'est cela ?
07:06Il m'a fait rire.
07:12Je n'ai jamais autant ri, Madame Kelly, que ce matin, lorsque je l'ai entendu.
07:17Alors pourquoi ?
07:17Pourquoi ?
07:18Je vais quand même devoir m'expliquer auprès des Françaises et des Français qui m'écoutent,
07:22parce qu'il lui fallut quand même qu'ils comprennent le sens de mes propos,
07:25si tant qu'il soit peu, que mes propos soient intéressants.
07:27Et ça, à chacune et chacun d'en juger.
07:32La question que Thomas Soto, dans une radio concurrente, lui a posée,
07:37une première dame, est-ce qu'elle ne devrait pas dire ça ?
07:40Je crois qu'il a répondu.
07:41Lorsqu'il s'agit de femmes qui protestent ou de femmes qui luttent contre les violences faites aux femmes,
07:46je pense qu'il y a un problème de vulgarité.
07:49Monsieur le Président François Hollande, je pense que vous n'êtes pas ou très peu,
07:54ou je dirais très mal placé pour parler de vulgarité.
07:57Là, il y a un problème d'une femme à l'égard d'une femme qui dit
08:01« On est dans un climat où l'apaisement est nécessaire. On peut être heurté. »
08:06Et là, ce qui m'a frappée, ce qui m'a glacée, Mme Kelly,
08:11c'est lorsque Thomas Soto a dit de sa voix chauve-rotante,
08:15enfin de sa jolie voix, parce que moi, j'apprécie beaucoup en qualité de journaliste,
08:19il est exceptionnel, mais Harry Habitant a eu un bon lieu.
08:24Et il l'a dit comme s'il avait dit à voix basse.
08:27Et là, on a senti l'ancien chef de l'État reprendre effectivement le non-lieu,
08:32mais il l'a renchéri en disant « Quand on a une fonction de responsabilité ou une présence,
08:36il faut chercher l'apaisement et non pas poursuivre sur une escalade verbale. »
08:41Ça, ce sont les propos de M. François Hollande.
08:43Écoutez, tout le monde se souviens, je crois de mémoire, en 2014,
08:48combien la vie privée de ce cher même M. François Hollande,
08:54elle était sur le devant de la scène publique,
08:56et il n'en a pas fini d'effrayer la chronique avec son histoire,
09:01que tout le monde connaît, et sa rupture, avec son histoire personnelle,
09:07qui normalement ne regardait pas.
09:09– L'histoire des croissants, du scooter, de Valérie Trierweller et tout cela.
09:13Et ce que vous dites, voilà.
09:14Merci beaucoup, ma chérie Leona, ce que vous dites, c'est que vous êtes choquée.
09:18– Je suis choquée, et pardonnez-moi de vous couper la parole,
09:21d'être écoutant, mais une phrase de Victor Hugo m'est revenue,
09:26et je disais à ma fille, « Quand une femme te parle, écoute ce que disent ses yeux. »
09:32Alors, M. le Président François Hollande, étiez-vous vous-même une exemplarité
09:37en d'autres temps et en d'autres lieux ?
09:40Et comme l'a bien écrit Albert Schweitzer,
09:43« L'exemplarité n'est pas une façon d'influencer les autres, c'est la seule. »
09:48– Voilà la réponse du berger à la bergère.
09:50Merci beaucoup, Ilona, d'avoir répondu aux propos de François Hollande
09:53après s'être exprimé en disant qu'effectivement,
09:58les propos de Brigitte Macron étaient plutôt familiers.
10:01Gabrielle Cluzel, avant d'avoir Michel et Yannick qui nous appellent.
10:05– Oui, je voulais revenir sur ces faits.
10:08Vous avez raison, c'est assez choquant, c'est même très choquant,
10:11et c'est toujours les mêmes méthodes du reste,
10:13de voir ces féministes faire irruption sur la scène
10:17pour agresser un homme qui, par ailleurs, a été innocenté.
10:22Donc on se dit, mais en fait, la justice sert à quoi ?
10:24Et puis ça, c'est effrayant parce qu'on se dit qu'aujourd'hui,
10:26les femmes, et ce n'est pas normal, ce n'est pas normal,
10:29peuvent jeter l'opprobre sur un homme,
10:31et lui peut en être durablement marqué.
10:34Ça peut arriver à une mort sociale, je pense par exemple à Julien Bayou,
10:37vous vous souvenez de cette affaire ?
10:38Simplement parce qu'elles ont décidé de l'accuser,
10:43et cette opprobre reste même après que la justice soit passée.
10:46Alors c'est quand même assez problématique, ça vous avez raison.
10:49Et par ailleurs, vous avez infiniment raison de dire que ces féministes,
10:52on ne les voit pas quand il s'agit d'autres viols,
10:54visiblement les Philippines,
10:58voilà, là, ou bien d'autres,
11:01alors là, il n'y a plus personne, exactement.
11:03Il y a les bonnes victimes et les mauvaises victimes.
11:06Donc ça, c'est certain.
11:07Simplement deux points.
11:08Il faut quand même rappeler que nous toutes,
11:11et peut-être un retour de balancier d'une société ultra-libertaire des années 60,
11:16vous savez, celle qui est un peu décrite dans Familia Grande,
11:19et vous vous souvenez de ce livre de Camille Kouchner,
11:24je crois que c'est son prénom,
11:25et c'est vrai qu'il faut quand même se rendre compte
11:28qu'il y a eu une période où tout a été permis,
11:32et peut-être qu'il faut quand même entendre ça,
11:34et se dire, oui, il était anormal que tout ait été permis dans les années 60,
11:39on a laissé faire tout et n'importe quoi,
11:41même à l'endroit de toute jeune fille.
11:43Moi, c'est pour ça que leur parole,
11:44quand elle est mesurée et quand elle est juste,
11:46ne me dérange pas et doit être écoutée.
11:49Deuxième point,
11:51des propos privés,
11:53s'agissant de Mme Macron,
11:55moi, je vais vous dire mon opinion,
11:57je trouve que ce n'est pas la peine de porter des très jolies robes
11:59qui coûtent très serre pour avoir une inélégance langazière,
12:02et dire que c'est des propos privés,
12:05non, ce ne sont pas des propos privés,
12:06c'est des propos semi-privés,
12:08c'est privé quand elle est dans sa salle de bain,
12:09elle a droit de traiter, d'insulter qui elle veut à ce moment-là,
12:12ou vraiment dans l'intimité personnelle de son appartement.
12:16Mais là, non, il y avait une caméra,
12:18je ne crois pas,
12:19je crois quand même qu'elle est responsable de ses propos,
12:22et on a le droit de trouver ça un peu vulgaire, disons-le.
12:24Gabriel Cusel sur Europe 1,
12:26bonjour à Yannick qui nous appelle de Nantes.
12:29Vous dites que ses propos de Brigitte Macron sont déplacés.
12:34Oui, bonjour Christine.
12:36Bonjour Yannick, dites-nous tout.
12:38Et bonjour à toute votre équipe.
12:40Merci mon cher Yannick.
12:42Oui, les propos de la première dame, pour moi, sont déplacés.
12:47Brigitte Macron, on ne dit pas première dame en France,
12:50mais bon, ce n'est pas grave.
12:53Brigitte Macron, ses propos sont déplacés.
12:56Qu'elle les pense, c'est une chose.
12:58Mais qu'elle les dise à voix haute,
13:00c'est inadmissible.
13:02Le mot sale, déjà, je trouve ça complètement déplacé.
13:07Et le mot conne, c'est une insulte.
13:11C'est une insulte.
13:12Elle pouvait employer d'autres mots,
13:13car les féministes qui sont,
13:15les soi-disant féministes qui sont rentrés,
13:18perturber le spectacle,
13:19ça c'est inadmissible.
13:21Comment il s'appelle, monsieur ?
13:23Un réhabitant.
13:25Un réhabitant, oui.
13:26Et comment les présumés innocents,
13:30si je ne me trompe pas.
13:32Donc, dès lors qu'on est présumé...
13:34Tu n'es même pas présumé innocent,
13:35il a été disculpé.
13:36Il y a eu un non-vieux.
13:37Donc, il est complètement blanchi,
13:39si vous permettez l'expression.
13:40Autant pour moi.
13:41Non, non, non, tout va bien.
13:44Donc, il est innocent.
13:45Donc, à ce moment-là,
13:46on n'a pas à aller le traiter de tous les noms.
13:49On n'a pas à perturber un spectacle
13:51et le traiter de violeur et autres.
13:54Parce qu'on n'entend pas tout à la télévision.
13:56Merci, en tout cas, mon cher Yannick.
13:59On ne peut pas rester très longtemps.
14:00Je sais que vous avez encore des choses à dire,
14:02mais on va bientôt changer de sujet.
14:04Je vais prendre juste Michel après vous.
14:06Donc, j'ai bien retenu, Yannick,
14:07ce que vous avez dit.
14:08C'est-à-dire qu'on ne peut pas tenir ce genre de propos,
14:11même si elle a raison sur le fond.
14:13Le mot « sale » vous gêne,
14:14le mot « conne » vous gêne,
14:15et « sale conne » vous gêne,
14:16tout simplement, mon cher Yannick.
14:18Merci pour votre appel infiniment sur...
14:19Enfin, Michel, vous nous appelez de haute loi.
14:21Que pensez-vous, vous, des propos ici de Brigitte Macron ?
14:26Oui, bonjour, Christine et Gabriel.
14:28Eh bien, écoutez, effectivement,
14:30ils sont légèrement déplacés,
14:31mais je pense qu'ils ont un effet amplificateur.
14:34Parce que c'est très bien de montrer
14:37que ces prétendus féministes,
14:40en fait, ne font n'importe quoi.
14:42Donc, pour vous, ce sont des propos utiles.
14:44On marque une pause, on revient vers vous, Michel,
14:46pour que vous puissiez préciser votre idée.
14:49Restez avec nous sur Europe 1.
14:50Et comme Michel, vous pouvez nous appeler au 01 80 20 39 21 12h42.
14:55A tout de suite avec Christine Kelly sur Europe 1.
15:01Dernière partie sur Europe 1.
15:03Dans un instant, chère Christine,
15:04nous accueillerons notre invitée Elisabeth Caillemere,
15:07journaliste au journal du dimanche.
15:09Mais d'abord, nous continuons de parler de cette polémique
15:11autour de la prise de position de Brigitte Macron
15:13lors d'un spectacle de Harry Habitant.
15:14avec Michel qui nous a appelé au 01 80 20 39 21.
15:18Oui, quelques minutes rapides pour terminer
15:20avec Michel qui nous a appelé, effectivement,
15:23et sur les propos de Brigitte Macron.
15:26Et Michel était en train de nous expliquer
15:28que Brigitte Macron a eu raison.
15:31Oui, elle a eu raison, certes, c'était très vulgaire.
15:34Je crois qu'aucune précédente première dame
15:36aurait dit ce genre de choses.
15:37Mais dans le contexte actuel,
15:39à l'époque où il faut faire le buse,
15:42il faut que l'expression soit forte
15:46pour justement avoir un effet amplificateur
15:48et qu'on en parle.
15:49Je pense que de ce point de vue,
15:50elle n'a pas eu tort.
15:51Maintenant, on peut discuter effectivement de la forme,
15:54mais encore une fois,
15:54je crois que c'est une femme de caractère,
15:57c'est bien.
15:58Elle est un peu cachée,
16:00mais là, elle est sortie de ses gonds
16:01et c'est parfait.
16:02Moi, j'apprends beaucoup cette prise de position.
16:04Tout le monde en parle, d'ailleurs.
16:06Merci beaucoup, mon cher Michel.
16:07On peut être une femme de caractère
16:08sans être vulgaire.
16:09Bon, alors, restez en ligne.
16:11Regardez Christine.
16:12Moi ?
16:13Moi, je vais vous dire quelque chose.
16:15Jamais à l'antenne.
16:16Non, mais Gabrielle,
16:19si vous me filmez dans le dos,
16:21même si c'est dans un endroit public,
16:22je peux dire des gros mots.
16:23Non.
16:26Écoutez quelqu'un qui a dit des gros mots.
16:28Gérard Larcher.
16:29Pour moi, Jean-Luc Mélenchon
16:30s'est mis en dehors de l'arc républicain.
16:33Vous lui dites quoi ce matin ?
16:34Tais-toi.
16:34Oui.
16:35Ferme ta gueule.
16:37Bon, ça me fait rien, pardon.
16:38Écoutez, Jean-Luc Mélenchon lui-même.
16:41Du tout, il n'y a plus de frontières.
16:42Sur la frontière et les frontières européennes.
16:43Allez, d'accord, d'accord.
16:44Juste, il y a quand même un...
16:45Il y a Chien Nguyen aussi.
16:46Et vous ne parlez pas comme ça.
16:48Eh bien, je parle comme je veux.
16:48Vous ne parlez pas comme ça.
16:49Alors, vous ne parlez pas comme un chien.
16:51Ok, Mélenchon.
16:52Écoutez, ça suffit.
16:53Oui, mais c'est vous.
16:54Ça suffit de parler des gens comme ça.
16:55S'il vous plaît.
16:55Si vous n'êtes pas content, vous pouvez partir.
16:57Ce n'est pas vous qui faites le pot.
16:59Oui, c'est ça.
17:00Il suffit de mélanger.
17:02Oh là là, toute cette vulgarité.
17:04On n'en peut plus.
17:05Merci Michel pour votre appel.
17:06Merci à tous.
17:07Non, mais ça fait partie du déclassement de la France.
17:09J'avoue.
17:09Quand les élites commencent à parler vulgairement.
17:11Exactement.
17:12Ça tire tout le monde vers le bas.
17:14Je suis d'accord.
17:14Je suis d'accord.
17:15Un rabelais, on ne l'a pas inventé.
17:16Merci infiniment.
17:18En tout cas, Eric Tegna, Gabriel Fusel.
17:19Ça, ce n'était pas gargant, tu as hier soir.
17:21Non, mais pardon.
17:21Ça, c'est vrai.
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