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Jordan Bardella agressé : la violence est-elle le symptôme d'un rejet de la politique française ?
Europe 1
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il y a 9 heures
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00:00
Doit-on craindre une campagne présidentielle violente ?
00:05
Jordan Bardella a été agressé hier lors d'une séance de dédicaces à Moissac dans le Tarn-et-Garonne.
00:11
Un homme s'est brusquement jeté sur lui, sur le président du RN, en lui cassant un oeuf sur la tête.
00:17
Alors c'était un rédécidiviste, manifestement ce monsieur, un homme de 74 ans, ancien agriculteur.
00:24
Il s'en était déjà pris à Éric Zemmour.
00:26
Mais c'est vrai qu'il y a de plus en plus de violence et moi je crains sincèrement, Jean-Michel Savator, la prochaine campagne présidentielle.
00:35
Quand on voit un petit peu la teneur des échanges, aussi bien sur les réseaux sociaux, ça reste des échanges verbaux.
00:42
Mais voilà, avec des agressions parfois même physiques, on le voit avec les maires tous les jours, les maires des communes de France.
00:48
Oui, c'est vrai que les maires sont en première ligne, on le voit.
00:50
Mais moi j'hésite un petit peu dans le cadre de l'agression de Jordan Bardella parce que, bon, est-ce que c'est de la violence politique,
00:58
comme on a pu la voir par exemple lorsque Emmanuel Macron avait reçu une gifle lors d'un déplacement ?
01:04
Est-ce qu'on est dans la violence politique ou est-ce qu'on est dans la violence un peu nihiliste,
01:09
comme on la connaît depuis une trentaine d'années avec les entarteurs ?
01:12
Je ne sais pas si vous vous souvenez de ce Noël Godin qui était un Belge qui était complètement dingue.
01:18
Et son grand jeu, c'était d'entarter.
01:21
Alors il avait entarté beaucoup d'intellectuels, BHL, Alamac, Jean-Édard Nallier et puis des politiques.
01:27
Il avait entarté Jean-Pierre Chevènement, Claude Allègre, Sarkozy, Strauss-Kahn.
01:33
Donc moi j'hésite un petit peu. Dans le cas précis, je ne sais pas où ça se situe,
01:37
mais globalement c'est vrai que la violence à l'Assemblée, la logique c'est qu'elle déborde de l'Assemblée
01:46
et qu'elle se retrouve dans la vie publique et dans la campagne électorale.
01:49
Ça me semble assez évident.
01:51
Alexandre Malafaille.
01:52
Ce qui est frappant, c'est qu'en fait on assiste depuis maintenant une dizaine d'années,
01:56
je ne remonte pas à 30 ans, mais en fait à une évolution du vocabulaire
01:59
que les Français mettent sur leur appréciation de la vie politique.
02:03
Et c'est notamment le baromètre qui est fait chaque année par le Cevipov sur la confiance.
02:07
Et très régulièrement, les mots sont vraiment forts.
02:09
Pour un quart des Français, c'est du dégoût.
02:12
Quand on interroge les Français, on se rend compte que maintenant le mot « haine » fait son apparition.
02:17
Et on a des hommes politiques comme ça qui cristallisent beaucoup sur eux.
02:20
Le fait qu'Emmanuel Macron ait été giflé, ça en dit très long.
02:22
Et c'est vrai qu'il a beaucoup polarisé sur sa personne sa façon de faire de la politique,
02:25
de désigner finalement d'une certaine façon qui sont ceux qui sont bien,
02:29
ceux qui ne sont rien, etc.
02:30
Et donc je pense qu'on est rentré dans une période où il y a une polarisation
02:33
des positions politiques,
02:35
il y a une accentuation des fractures,
02:37
comme en plus tout ça est accompagné par une absence de fabrication de résultats.
02:42
On voit bien que l'État ne fait pas le travail,
02:44
donc on continue à accumuler les problèmes.
02:45
Et ceux qui arrivent et qui proposent quelque chose de façon très alternative,
02:49
ce qui est le cas de Jordan Bardella,
02:50
le RN a une vision très alternative de ce qu'il veut le faire,
02:52
on peut être d'accord ou pas d'accord,
02:54
mais forcément compte tenu de tout ce contexte,
02:56
avec toute cette espèce de polarisation extrême des positions des uns et des autres,
02:59
oui il ne faut pas s'étonner qu'on en arrive à des actes comme ça.
03:01
Alors c'est peut-être anecdotique, il faut le souhaiter,
03:03
et si c'est ça tant mieux,
03:04
mais c'est vrai que ce qui s'est passé aux Etats-Unis avec Charlie Kirk
03:06
n'est pas anecdotique du tout.
03:08
C'est vrai que de temps en temps il y a des fous qui passent à l'acte en Israël,
03:12
Israël Krabin s'est effectivement fait tuer par quelqu'un qui était plutôt de ça.
03:16
Alors ça c'est vrai que ça a toujours existé.
03:18
Mais si j'étais effectivement ceux qui s'occupent de la sécurité des hommes politiques,
03:21
et en particulier de ceux qui sont, on va dire,
03:24
positionnés non pas au centre de l'échiquier et encore,
03:27
je serais attentif à faire vraiment, vraiment prendre en charge leur sécurité extrêmement bien.
03:32
En tout cas, Jordan Bardella a réagi,
03:34
il est l'invité en ce moment sur ces news d'Eliott Deval,
03:37
il a réagi à cette agression, écoutez-le.
03:39
Un individu qui est effectivement connu des services de police,
03:43
qui est un récidiviste puisqu'il s'en était déjà pris,
03:46
au bus de Marine Le Pen en 2022,
03:48
il s'en était déjà pris à Éric Zemmour,
03:50
il a été condamné par la justice et il a récidivé.
03:53
Je vais vous dire, d'abord je m'attends à tout quand on fait de la politique,
03:56
je sais que quand on est engagé en première ligne,
04:00
on en assume les conséquences,
04:02
et c'est vrai que faire de la politique aujourd'hui c'est extrêmement violent,
04:04
il y a des gens qui vous apprécient, il y a des gens qui ne vous apprécient pas,
04:07
et par définition quand vous êtes exposé et que vous êtes en première ligne de la bataille,
04:11
eh bien il vous faut être extrêmement solide.
04:14
Mais moi je suis extrêmement inquiet de voir un climat de plus en plus violent s'installer dans notre pays,
04:19
et c'est vrai que la violence vient bien souvent toujours du même côté,
04:23
et elle est bien souvent toujours subie par le même camp politique.
04:28
Oui, je ne l'avais pas entendu, mais par définition,
04:30
puisqu'il était sur une autre antenne en même temps que cette émission,
04:33
et d'où l'envie de faire un débat sur est-ce qu'on doit craindre cette campagne présidentielle future violente,
04:40
et il a raison, je suis assez d'accord avec Jordan Bardet,
04:42
là ça n'existait pas avant cette violence Jean-Michel Sabaton.
04:45
Oui, surtout que le mauvais exemple, il vient d'en haut, il vient en fait de l'Assemblée nationale,
04:50
et moi ce qui me frappe le plus à l'Assemblée...
04:52
Avec l'arrivée des élus, elle est fiste, c'est l'absence de respect.
04:56
L'absence de respect des institutions d'abord, c'est-à-dire qu'on n'en a plus rien à foutre,
05:00
on arrive en séance, en t-shirt...
05:01
Et vous dites ça avec un gros mot ?
05:02
Oui, non mais non, mais voilà ce que je veux dire, on arrive en t-shirt, on arrive...
05:05
Il n'y a plus ce respect des institutions, et il n'y a plus le respect des personnes.
05:09
Quand vous voyez comment les députés de la France Insoumise s'adressent aux ministres,
05:14
il y a une espèce de... il y a une absence de respect, une absence de correction la plus élémentaire,
05:23
à force de vouloir cliver absolument et expliquer qu'ils ne font pas partie de ce monde-là,
05:27
ils en deviennent totalement injurieux, et c'est vrai qu'il n'y a aucune raison que ce mot de respect...
05:32
Vous m'emmenez de Sébastien Delogu, qui n'avait pas voulu serrer la main aux plus jeunes députés de l'Assemblée nationale,
05:36
parce qu'il était Rassemblement National, ça veut dire beaucoup, Alexandre Malafaille.
05:40
Oui, ça veut dire beaucoup, et là où il faut vraiment que la classe politique, à un moment donné, reprenne raison,
05:44
c'est que jouer avec les mots, souvent, c'est jouer avec le feu.
05:47
Quand vous décidez de systématiquement considérer que ceux qui sont des représentants du RN sont des fascistes ou des fachos,
05:55
vous mettez dans la tête d'un certain nombre de Français, ou de personnes qui sont dans leur territoire,
06:02
l'envie peut-être de passer à l'acte.
06:04
De fait, parce que si on fait un peu de référence à l'histoire,
06:08
c'est vrai qu'imaginez que des fascistes arrivent à la tête de l'État, il y a de quoi faire peur.
06:12
Donc cet amalgame-là, qui est volontairement fait par une certaine partie de l'échiquier politique,
06:17
et parfois même avec une forme de complaisance du centre politique...
06:21
Vous avez entendu cette journaliste, pardonnez-moi, sur BFM, Nesrine Slaoui,
06:24
qui dit, bon, on ne justifie pas la violence physique dont il a été victime,
06:29
mais quand même, d'ailleurs, on va l'écouter, cette journaliste.
06:32
Non, mais tendez bien l'oreille, tendez bien l'oreille, parce que c'est intéressant ce qu'elle raconte.
06:37
Moi, je pense qu'il faut distinguer, dans ce genre de situation,
06:39
c'est les violences individuelles qui sont très facilement condamnables,
06:42
il y a la violence politique, c'est-à-dire que Jordan Bardella mène quand même,
06:45
dans le débat public, dans ses propositions médiatiques, dans son programme,
06:48
une forme de violence politique envers une certaine partie de la population.
06:51
Envers qui, par exemple ?
06:52
Il a souvent des propos qui sont islamophobes,
06:54
il a des propos qui sont très caricaturaux quand il parle d'immigration,
06:57
il a un propos qui est aussi violent pour beaucoup de personnes en France,
07:00
dans lesquelles, par exemple, les islamophobes,
07:03
c'est un homme qui fait des abagales et qui se stigmatise.
07:05
Et néanmoins, la violence physique, on ne devrait jamais arriver,
07:07
c'est-à-dire qu'on ne devrait jamais arriver à jeter un oeuf de la partie.
07:10
Mais c'est pour ça qu'il faut distinguer la violence physique individuelle
07:12
et la violence politique qui, elle aussi, cible des millions de personnes.
07:15
C'est-à-dire, je ne mets pas à équivalent,
07:16
je dis juste que condamner les propos de Jordan Bardella,
07:18
ça ne veut pas dire que ça justifie une violence physique,
07:20
ça dit juste qu'il est aussi lui-même vecteur d'une violence politique.
07:24
Mais je voulais vous le faire écouter,
07:25
parce que ça illustrait votre propos à Alexandre Manafaye,
07:27
et vous aviez cité tout à l'heure Charlie Kerk,
07:30
combien de commentateurs, on dit dans le fond,
07:34
bon, il l'avait un petit peu cherché Jean-Michel Salvatore.
07:36
Et là, je trouve que sur Bardella, franchement, c'est totalement injuste.
07:41
C'est un pur procès d'intention.
07:42
C'est un pur procès d'intention.
07:44
Que je sache, Bardella n'a jamais été pris en flagrant délit de propos racistes.
07:50
Donc là, si vous voulez, il y a une espèce de fantasmagorie
07:52
qui assimile le Rassemblement National d'aujourd'hui
07:56
au Front National d'il y a 20 ou 30 ans, au fascisme.
07:58
Et donc, au nom de ça, on finit par dire absolument n'importe quoi.
08:02
Moi, j'ai quand même le sentiment qu'aujourd'hui,
08:04
la violence politique, elle est plutôt portée par des élus de l'autre côté,
08:09
avec une violence sans frein,
08:11
à la fois sur les personnes, sur les idées et sur les institutions.
08:14
Le bruit et la fureur, ça a été parfaitement théorisé,
08:18
et c'est assumé notamment par Jean-Luc Mélenchon.
08:21
Et après, quand on entend cette dame faire ce commentaire,
08:23
c'est honteux, parce que ça veut dire qu'il y a des circonstances
08:26
et elles sont atténuantes.
08:27
Donc, quelque part, c'est un peu l'arroseur arrosé.
08:30
Il parle de sécurité, il parle d'immigration,
08:33
il pointe du doigt des responsables,
08:36
il dit que ce n'est pas bien d'être au QTF
08:37
et de commettre un certain acte sur notre territoire.
08:40
Mais de fait, en disant ça, bien sûr, il cible des gens.
08:42
Donc, de fait, en retour, il ne faut pas qu'ils se tannent d'être ciblés.
08:44
C'est absolument inaudible comme propos, c'est inexcusable.
08:47
Ce n'est même pas un propos de prétoire,
08:48
quand je vais vraiment vous donner,
08:49
on n'a pas le droit de porter la main sur son prochain point barre.
08:53
C'est comme ça, et il n'y a pas de circonstances
08:54
qui peuvent l'expliquer parce qu'on dit des choses
08:56
qui ne vous plaisent pas.
08:57
Il y a une violence qu'on retrouve aussi dans le débat public,
09:01
on l'a dit, et vous avez vu cette dernière séquence
09:05
entre maintenant France Télévisions, CNews,
09:09
CNews, il y a beaucoup de polarité,
09:13
il y a beaucoup de violence dans certains propos,
09:16
beaucoup d'intolérance.
09:17
On a vu cette séquence de compléments d'enquête,
09:20
notamment Jean-Michel Salatoire, vous en avez pensé quoi ?
09:22
On n'avait pas eu l'occasion d'échanger sur ce point.
09:25
Moi, je trouve que là, RSF,
09:29
les reporters sans frontières,
09:31
ils ont fait la preuve du fait que c'est devenu
09:33
un mouvement de gauche, voire d'extrême gauche,
09:36
qu'ils sont de parti pris, qu'ils ont voulu absolument tordre.
09:40
Ah oui, mais à l'origine, ce n'était pas ça.
09:42
À l'origine, RSF, c'était une organisation
09:45
pour sortir les journalistes de prison
09:47
lorsqu'ils allaient dans des pays dangereux, etc.
09:51
Christophe Glez est encore en prison
09:53
et RSF s'occupe de dénigrer CNews
09:56
et les médias bollorés.
09:58
Donc à l'origine, RSF, c'était fait pour ça.
10:00
Aujourd'hui, on voit bien qu'ils sont dans un combat
10:03
qui est un combat politique.
10:06
Leur premier combat, n'oubliez pas,
10:08
avec Christophe Deloire qui malheureusement est mort,
10:10
mais le premier combat, ça avait été de faire interdire C8.
10:13
Et souvenez-vous qu'ils avaient été à l'origine de plaintes
10:15
auprès de l'Arcom pour faire interdire C8.
10:18
Donc là, ils étaient vraiment dans un combat
10:20
contre la liberté d'expression, d'une certaine façon.
10:23
Quand on est journaliste, c'est quand même incroyable
10:24
de demander la fermeture d'une chaîne.
10:26
Et puis là, ils continuent
10:27
avec une offensive très anti CNews.
10:31
Mais là, ils se sont fait prendre un petit peu les mains
10:33
dans le coup de confiture
10:34
puisque l'Arcom, qui a fait son boulot,
10:37
a dit « non, on est désolé,
10:38
mais les chiffres qui sont donnés par RSF
10:40
sont des chiffres qui sont erronés,
10:41
qui sont faux, qui sont biaisés
10:43
et que nous ne retrouvons pas nous à l'Arcom
10:46
lorsque nous regardons CNews. »
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