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Quels sont les secrets du nouveau spectacle d'Ary Abittan «Authentique» sur scène ?
Europe 1
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il y a 2 heures
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00:00
Dès il est 17h03, Europe 1, 16h-18h, Pascal Praud et vous.
00:07
Sarah Salman, Fabien Anténienne, Théjard Schoenek, Gauthier Lebrete, Olivier Guénèque sont avec nous
00:12
au moment où entre dans ce studio l'exceptionnel, le remarquable, le drôle, l'intelligent, le merveilleux
00:18
Harry Habitant.
00:20
Bonjour, bonjour, quel plaisir !
00:23
Quel plaisir, quel plaisir de vous voir.
00:25
qui est là et qui sera le 6, 7 et 9 décembre dans une salle formidable d'ailleurs
00:31
qui est la salle des Folies Bergères à Paris dans le 9e arrondissement qui est une salle,
00:37
il y a des salles j'imagine qu'on préfère, bonjour Harry.
00:39
Bonjour Pascal Praud et je serai demain en Bretagne.
00:42
Où cela ?
00:42
À Pleineuf-Vallandré.
00:43
Encore ?
00:44
Vous connaissez Fabien ?
00:45
Très très bien.
00:46
Et là, alors c'est une salle par exemple, vous savez de combien de places demain ?
00:49
Demain c'est une salle de 500 places à Pleineuf-Vallandré et dimanche à Toulouse.
00:53
Casino Barrière de Toulouse, ils ont des théâtres les casinos maintenant, vous le savez ça Pascal ?
00:57
Oui, bien sûr.
00:58
J'ai vu votre écharpe formidable, Christophe Barbier, mon dieu.
01:02
Je n'en peux plus.
01:03
Bon, la folie, mon dieu, cette écharpe.
01:06
Quel est ?
01:07
C'est un bras ?
01:08
Quel est ?
01:09
C'est un bras.
01:10
Mais regardez-moi ça.
01:11
C'est une toge.
01:12
Mais c'est une toge.
01:13
Quelle est la salle la plus importante devant laquelle vous avez joué ?
01:20
La salle la plus importante, ça dépend.
01:22
Là où il y avait le plus de monde, c'est ça.
01:25
Là où il y a le plus de monde, c'est au Dôme, au Dôme de Paris.
01:27
Et vous avez devant 4500 personnes ?
01:30
Oui, après on a fait des galas devant 4000.
01:31
Mais c'est plus fatigant par exemple ?
01:32
Absolument pas.
01:33
C'est pareil ?
01:34
Non, c'est pareil.
01:34
D'abord parce que quand vous jouez devant 100 personnes, ils devaient être extrêmement concentrés.
01:38
Parce que vous n'avez pas le droit à l'erreur.
01:40
Devant 4000, tu auras toujours 300-400 qui vont rigoler, il y aura toujours une ambiance.
01:44
Mais ça ne change pas le nombre en fait, pas du tout.
01:47
Au contraire, là par exemple, c'est plus difficile, il faut vous capter, il faut...
01:51
Là il y a 7 personnes, je ne suis pas en train de faire un spectacle, mais vous avez compris
01:53
que quand je jouais au petit Palais des Glaces au début, c'était mon salon.
01:56
On était 25-30 personnes, j'arrivais, on me disait alors ce soir il y a 12, je vous parle de ça il y a 25 ans,
02:01
c'était formidable.
02:02
On n'avait pas de problème à l'époque, c'était tellement bien.
02:04
Et lorsqu'on dit que les salles sont différentes d'un soir à l'autre,
02:08
et souvent je pose cette question aux acteurs, alors que nous on a le sentiment que la salle est toujours la même.
02:13
C'est une réalité ou c'est quelque chose ?
02:16
En fait ce qu'il faut, il ne faut pas chercher la sensation de la veille.
02:20
C'est-à-dire quand on a fait une bonne représentation,
02:22
oui j'ai compris, attendez Pascal, laissez-moi finir, et après vous direz votre vanne.
02:26
Mais parfois, comme disait Sacha Guitry, le public n'a pas de talent.
02:29
Ah ouais ?
02:30
Parfois.
02:31
Mais ce n'est pas le public en fait.
02:33
C'est que parfois il y a des régions, hier j'étais à Aix-en-Provence, c'était extraordinaire.
02:37
Vous le sentez déjà dès la rumeur.
02:39
Vous savez ce que c'est la rumeur ?
02:40
C'est avant que le rideau s'ouvre, vous entendez déjà les gens parler entre eux.
02:44
Vous entendez cette ferveur, ces gens qui ont envie de rire.
02:48
Donc tout de suite ça vous donne l'élan.
02:49
Parfois c'est un peu plus calme.
02:50
Vous arrivez devant une bibliothèque, mon choix.
02:54
Qui vient vous voir ?
02:55
C'est tous les âges ?
02:57
C'est des garçons ?
02:58
C'est des hommes ?
02:59
C'est des femmes ou il y a un public ?
03:01
J'ai cette fierté vraiment à chaque fois que je rentre et je vois mon public.
03:05
D'abord il est multiculturel.
03:06
Ça c'est extraordinaire.
03:07
Vous savez je viens de Sarcelles donc pour moi c'est ma Madeleine de Proust de voir tous ces gens,
03:11
de toutes les cultures, de tous les horizons.
03:13
Et vraiment de 7 à 77 ans il vient de me voir.
03:16
Vous savez moi j'ai commencé...
03:17
Fabien Anthony Mt.
03:17
Et Fabien pourquoi vous feriez tourner Harry ?
03:20
Ah oui moi j'adore Harry.
03:21
Parce qu'il y a un souci avec Harry puisque le cinéma ne le fait pas tourner.
03:24
Mais Harry il l'a bien dit, ils sont prudents mais le temps viendra.
03:28
Ah ils ne sont pas prudents, le temps viendra.
03:29
C'est plus de la prudence, ils sont lâches.
03:31
Une fois que la décision de justice a été rendue et même avant,
03:33
en tant qu'il n'y a pas de condamnation, je ne vois pas pourquoi on est prudents.
03:36
Mais ce que je voulais dire c'est que j'ai une admiration pour les sans-borne,
03:39
pour les gens qui montent sur scène.
03:41
Moi j'ai travaillé au départ avec Smaïn, on écrivait des sketchs pour Smaïn.
03:44
Et un jour il m'a...
03:45
Fabien.
03:45
Il était au Casino de Paris, puis après à l'Olympia, il m'a montré ce qu'il y avait derrière le rideau.
03:50
Je vais vous dire, quand vous voyez cette salle, que vous êtes tout seul, qu'il faut y aller.
03:53
Et Harry en plus il a quelque chose d'exceptionnel parce qu'il rassemble un public très très large.
03:59
Moi je me retrouve, parce que moi je viens de la banlieue parisienne aussi,
04:03
il s'adresse aussi bien à votre maman qu'à votre copain, qu'à votre cousin, etc.
04:08
Il est d'une générosité incroyable et d'une énergie, et on rit d'une manière communicative.
04:15
Moi j'avais adoré son spectacle, là on va y aller samedi prochain,
04:20
et ça au Folies Berger, parce qu'il y a une certaine folie.
04:24
Et donc ça lui va très bien, ça lui va comme un corps.
04:25
Merci Fabien, merci beaucoup.
04:27
C'est formidable, c'est vrai.
04:29
Oui, les salles parisiennes en général...
04:31
C'est combien de personnes les Folies Berger ?
04:32
C'est 1 500.
04:33
1 500, disons 1 300 parce qu'il y a des places là-haut, au quatrième rang,
04:37
ils ne sont pas vendables véritablement, donc voilà, c'est 1 300 places, à peu près.
04:41
Bon, demain effectivement, c'est le 29 novembre, vous êtes à Pleueneuve-Val-André,
04:45
le 30 vous êtes à Toulouse, vous serez à Poitiers le 12 décembre,
04:49
à Cannes le 14 décembre, au théâtre Claude Debussy,
04:53
vous serez à Lyon également, alors le 10 janvier, vous serez à Hier,
04:56
dans le Var, à la Grande Motte, à Lille, à Bruxelles.
04:59
Bon, vous êtes évidemment parti.
05:00
Et pour le rythme, vous changez de ville tous les jours, en fait.
05:02
Pour le rythme, c'est-à-dire ?
05:03
Dans une tournée, vous changez de ville tous les jours.
05:05
C'est le principe de la tournée.
05:06
Non, mais ce n'est pas tous les jours, là, les dates que je donne s'étalent jusqu'au 27 janvier.
05:11
Ce n'est pas tous les jours, mais après, j'ai eu des périodes où j'ai fait des tournées,
05:14
où effectivement, tous les jours...
05:15
Est-ce que les rires sont différents dans le Nord, dans le Sud, dans l'Ouest ?
05:19
Ah, mais sérieusement ?
05:20
Mais complètement.
05:21
Moi, par exemple, je sais que j'enregistre mes DVD là où il y a un public extraordinaire.
05:25
Et je vais à chaque fois dans le Nord.
05:26
Le Nord.
05:27
À chaque fois, c'est dans le Nord.
05:29
Et parfois, je vais dans le Nord très haut, c'est-à-dire que j'ai capté mon spectacle à Bruxelles.
05:32
Dans le Nord, à Lille, au Théâtre Sébastopol, ils sont extraordinaires.
05:36
Ils ont envie de rire, vraiment, comme disait Mathias.
05:38
Et tu dois le savoir.
05:39
Ils ont dans leur cœur, je ne sais plus.
05:41
C'était quoi déjà ?
05:42
Les gens du Nord.
05:42
Les gens du Nord.
05:43
Merci, Jean-Éric.
05:44
Et est-ce qu'il y a des villes qui sont horribles pour jouer ?
05:46
Est-ce qu'il y a...
05:47
Non.
05:48
La liste.
05:48
Non, mais des villes, par exemple, qui sont plus froides.
05:50
Non, ce n'est pas plus froides, c'est autre chose.
05:52
Et puis, quand ils sont comme ça, et c'est là, en fait, où il y a cette différence.
05:58
C'est-à-dire que souvent, on dit, on a joué au théâtre.
06:01
Et là, quand ils sont un peu plus difficiles, tu dis, j'ai travaillé.
06:03
J'ai travaillé parce que tu as été les chercher.
06:05
Et là, c'est autre chose.
06:07
C'est-à-dire qu'il faut commencer à leur parler.
06:08
Il faut tout de suite ralentir la cadence.
06:10
Il faut balancer le récit plus proprement.
06:14
Il faut leur adresser à eux un petit mot sur la ville.
06:17
Voilà, c'est des petites choses qu'on a, nous, en tant qu'humoristes, en tant que comédiens, sûrement.
06:21
Bon, et puis, parfois, vous êtes moins en forme que d'autres soirs.
06:23
Ça demande une énergie.
06:25
Est-ce que vous êtes parfois malade quand vous êtes sur scène ?
06:28
Et vous m'avez raison.
06:29
Si vous avez 39,5...
06:32
Alors, ne m'angoissez pas, parce que c'est exactement mon angoisse avant de monter sur scène.
06:36
C'est-à-dire, là, j'arrive à Paris.
06:38
Je vois les gens, la grippe et tout, mais c'est mon angoisse absolue.
06:42
Je suis tombé il n'y a pas longtemps et je me suis fait une côte.
06:44
Donc, j'ai eu du mal.
06:45
D'ailleurs, c'est très drôle.
06:46
J'ai été voir le médecin, Pascal, et il m'a dit, est-ce que je vous fasse un arrêt de travail pour les tournages ?
06:52
Je lui dis, non, franchement, là, ça va, je n'ai pas besoin.
06:55
Ça fait quatre ans que je suis en arrêt de travail.
06:58
Donc, ça va aller, docteur, merci.
07:01
Je ne voudrais pas trop goûter à la sécurité sociale.
07:05
Bon, ça vous est arrivé que j'ai eu avec 39,5 ?
07:08
Oui, ça m'est arrivé.
07:09
Mais c'est horrible, parce qu'on est par terre quand on a une...
07:12
Moi, je sais, par exemple, quand j'avais le Covid, c'est la seule fois où je me suis arrêté.
07:16
Dans nos métiers, il y a un point commun, sans doute, c'est qu'il faut de l'énergie.
07:19
Gauthier le sait, pour être à l'antenne, il faut de l'énergie.
07:21
Voilà.
07:22
Et d'ailleurs, oui, mais Georges, il est...
07:25
Mais Georges, il est pareil avec 39,5 ou pas ?
07:27
Il est tout le temps de 39,5.
07:31
Georges, il est mieux avec 39,5.
07:33
C'est différent.
07:34
Et tu as remarqué, quand même, Harry, que quand on réalise un film...
07:37
On l'a dit sur l'énergie.
07:38
On l'a dit sur l'énergie.
07:38
On l'a dit sur l'énergie.
07:39
Notre question, tu n'en as rien à faire.
07:42
Alors, je vais répondre à votre question, monsieur Pro.
07:45
Il y a une chose incroyable.
07:48
À partir du moment où vous mettez les pieds sur scène,
07:50
ou à partir du moment où vous êtes devant un micro,
07:53
l'adrénaline, elle monte, et vous oubliez tout.
07:57
Je vous dis, je suis tombé, je me suis cassé une côte,
07:59
je me dis comment je vais faire.
08:00
Je suis monté sur scène, j'ai oublié.
08:03
J'ai oublié cette adrénaline nous tient, en fait.
08:06
C'est ça qui est extraordinaire.
08:07
Il y a une anecdote très célèbre.
08:10
C'était Claude Brasseur qui jouait Georges Dandin sur scène.
08:14
Il était pieds nus.
08:15
Et il a pris, je ne sais plus si c'est un clou,
08:19
dans le pied.
08:21
Il a joué jusqu'au bout.
08:22
Et évidemment, il était le lendemain...
08:25
C'est ce que je vous dis.
08:26
C'est vrai aussi parfois pour les sportifs de haut niveau,
08:29
qui jouent de temps en temps avec une jambe cassée
08:31
pendant tout le match.
08:33
C'est plus rare.
08:34
Enfin, plus rare.
08:35
Ça, c'est plus rare.
08:36
Les voix sortiraient quand même.
08:40
Qu'est-ce que vous pensez du pull de Georges Dandin ?
08:43
Et moi, j'aime beaucoup...
08:44
Monsieur Fenech...
08:45
Défendez-moi.
08:46
Non, écoutez, il a un pull très beau.
08:48
Non, en fait, il s'est habillé dans le noir.
08:50
Pas du tout, je trouve ça très beau.
08:52
Il est juste un peu serré.
08:53
Oui, je suis un peu...
08:54
Donc, si vous voulez, on dirait que vous avez un body.
08:57
Oui, oui.
08:58
Donc, c'est un truc qui peut se délaisser.
09:01
Il ne vous a pas accouché.
09:02
Est-ce qu'il peut...
09:03
Heureusement qu'il n'est pas rouge.
09:04
Vous nous écoutez pas tous les jours,
09:07
mais il nous a raconté un jour un traumatisme enfantin
09:10
parce qu'il a été harcelé lorsqu'il était enfin.
09:13
Harcelé par son professeur de mathématiques
09:15
qui, à chaque fois, lui disait
09:17
« Fenech, rentre dans ton taille ! »
09:20
Sérieux, mais c'est incroyable, ça.
09:22
Oui, c'est remonté à la surface, ça.
09:23
Mais c'est M. Fenech qui est un grand magistrat, M. Fenech.
09:26
Attends, vous avez oublié quand même.
09:27
Il a fait de grandes études.
09:28
Dites-lui, mais c'est une école norme.
09:30
Et l'école normale.
09:31
Non, non, non.
09:32
La magistrature.
09:33
La magistrature.
09:33
Non, non, il n'y a pas de magistrature.
09:34
Oui, bien sûr.
09:35
Juge d'instruction.
09:36
Pendant que des années.
09:36
Mais il y a des études de ma carrière.
09:37
Mais enfin, vous rigolez, quoi.
09:39
Je comprends pas si vous rappelez sa carrière
09:40
parce que lui aussi, il l'avait oublié.
09:50
Les gens qui ont fait normal,
09:52
qu'est-ce qu'ils font après ?
09:53
Nathan Devers, il a fini sur Europe.
09:55
Non, il est chez France Info maintenant.
09:57
Quand vous faites normal,
09:59
après, vous pouvez être professeur agrégé de philosophie.
10:03
Vous pouvez être chercheur.
10:04
Mais comme vous le savez,
10:05
des chercheurs qui cherchent, on en trouve.
10:08
Mais des chercheurs qui trouvent, on en cherche.
10:11
Mais l'école de la magistrature,
10:13
c'est un des concours les plus difficiles.
10:15
Pour Sarah Salman n'était pas là ces derniers jours.
10:17
Elle nous avait manqué.
10:18
Alors, qu'est-ce qui s'est passé ?
10:19
Vous êtes en col roulé,
10:21
il vous manque le forfait.
10:24
Il se col roulé.
10:24
Qu'est-ce qui s'est passé ?
10:25
C'est un vendredi.
10:27
Je vois ça, Gauthier.
10:29
C'est Europe, il n'y a que des cols roulés.
10:30
Il n'y a quoi ?
10:30
Il n'y a qu'un silence du vendredi.
10:32
En fait, on nous les fournit.
10:33
Mais je vois ça.
10:34
Mais Saussi, il est un peu serré,
10:35
avec des petites peluches.
10:37
Oui, il est serré.
10:38
Il est un peu serré.
10:38
Oui, mais ça vous va bien.
10:39
Moi, ce n'est pas pareil.
10:40
Ça vous va bien.
10:41
Quel bel tol.
10:42
Et puis, monsieur Info,
10:44
Dieu, c'est le tol.
10:49
Bon, on marque une pause.
10:51
Et l'étiquette.
10:52
Il y a l'étiquette, oui.
10:53
Non, ce n'est pas l'étiquette.
10:55
Si, c'est l'étiquette.
10:56
Il a quand même eu le bon goût
10:57
de retirer le prix.
10:59
Ils ne sont pas choqués les gens.
11:02
C'est de leur plaisanterie favori
11:04
de me faire passer pour un...
11:05
Ça y est, c'est votre dernière heure,
11:06
jusqu'à lundi.
11:08
Oui.
11:08
Ça y est, vous ne parlez plus jusqu'à lundi.
11:09
Non, je ne parle plus.
11:10
Je n'ai jamais vu ça.
11:12
Hier, je me suis dit, ça suffit.
11:13
Le matin, le soir et tout ça.
11:14
J'ai dit, je vais changer de chaîne.
11:16
Je vais voir la 2.
11:16
Vous écoutez Pascal Praud et vous
11:24
sur Europe 1,
11:25
notamment à Narbonne
11:26
sur le 94.1
11:28
et nous vous en revérions.
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Cinéma : «Il n'a pas voulu nous voir pour qu'on ait peur», Ary Abittan raconte la méthode impitoyable de Christian Clavier
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