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  • il y a 3 minutes
Elisabeth Lévy : «Aujourd'hui, les menaces de la Russie, ce n'est pas seulement l'Ukraine. Il y a des incursions sur l'Europe, des visées évidentes sur les pays baltes. C'est logique de dire qu'on doit se préparer.»

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Transcription
00:00On n'entre pas dans un processus de guerre en en parlant, excusez-moi c'est tout le contraire, enfin le vieil adage qu'on connaît tous est quand même assez clair, on n'entre pas en guerre parce qu'on dit qu'on s'y prépare, moi je suis frappée par les réactions capitulardes, on ne va pas mourir, d'ailleurs pourquoi on va mourir ? Pour notre retraite ? C'est-à-dire on est dans l'OTAN, aujourd'hui on ne nous dit pas...
00:20Non mais vous voulez aller vous battre pour l'Ukraine ? Non mais sérieusement, vous avez des enfants ?
00:24Non mais pardonnez-moi, ah mais si parce que c'est la question essentielle en fait.
00:27Donc à ce moment-là les gens qui ne payent pas d'impôts n'ont pas le droit de parler des impôts ?
00:30Ah non mais allez dire, allez dire aux maires de famille ce soir qui ont des enfants de 20 ans qu'il va falloir aller se battre peut-être pour une guerre.
00:36Parce que j'ai le droit au désaccord, je suis désolée, alors moi vous préférez un pays qui ne se prépare à rien, moi je dis aujourd'hui les menaces de la Russie c'est pas seulement l'Ukraine, excusez-moi, il y a un pari sur la Russie peut-être qu'ils s'arrêteront après l'Ukraine, il y a aujourd'hui des incursions sur l'Europe, il y a des visées évidentes sur les pays baltes,
00:57on est dans l'OTAN, ça me semble logique de dire qu'on doit se préparer, c'est comme ça qu'on évite les guerres.
01:03Sous-titrage Société Radio-Canada
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