Amine Kessaci a signé une tribune dans Le Monde où il parle de son deuil mais surtout de sa volonté à continuer d'endiguer le trafic de drogue et les violences liées au narcotrafic à Marseille. Même sous la tristesse et la douleur, il en appelle à la mobilisation de l'État.
00:00On sait que les narcotrafiquants ont l'intention de pénétrer les listes pour les municipales, un peu partout en France, et particulièrement à Marseille.
00:10Les quartiers nord, c'est devenu...
00:11– Vers quelle liste pourrait-il trouver...
00:13Alors attendez, Jean-Michel Verle, quelle liste pourrait leur fournir des alliés, je mets des guillemets ?
00:19– Alors là, évidemment, on ne peut pas se lancer dans des anathèmes contre les uns et les autres.
00:27Mais toutes les listes peuvent être approchées pour aider, entre guillemets, à investir un certain nombre de personnages
00:36qui vont devenir des relais pour la DZMafia ou d'autres organisations.
00:41– Ce qui est intéressant, c'est de voir qui condamne ou qui se tait depuis la mort de Mehdi Kessassi.
00:48Il y a des politiques qui sont montées en première ligne et puis d'autres qui n'ont rien dit à Marseille.
00:53– C'est ça. Et là, on peut se poser des questions.
00:58Il y a des gens qui lorgnent beaucoup ce territoire.
01:03Et aujourd'hui, il est difficile d'accuser X ou Y de connivence avec une organisation criminelle.
01:11Mais on peut au moins se poser la question.
01:14merci d'avoir regardé cette vidéo !
01:23– Sous-titrage ST' 501
01:24– Au moins se poser la question.
01:25Bonjour !
01:25– Il est difficile.
01:26– Au moins se poser la question.
01:28– Je suis sûre que c'est un ou le garçon.
01:28– Mais pour rien, je suis sûr que c'est un ouf.
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