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  • il y a 2 heures
Un homme obligé de porter un gilet pare-balles à l'enterrement de son petit frère. C'est la triste réalité à Marseille. Hier se sont tenues les obsèques de Mehdi Kessaci, avec une présence policière jamais vue auparavant.

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Transcription
00:00Des compagnies de CRS, une brigade motorisée et même des démineurs
00:04pour enterrer le petit frère d'Amin Kessassi à Marseille.
00:09En France, rarement un enterrement aura fait l'objet d'un tel dispositif de sécurité.
00:14Les habitants, consternés, sont toujours choqués par l'assassinat de mes 10-20 ans,
00:19petit frère du militant écologiste Amin Kessassi, engagé contre le narcotrafic.
00:25Selon eux, un cap a été franchi.
00:27« Ça fait longtemps qu'on a franchi ce cap. C'est de pire en pire.
00:32Ça fait 58 ans qu'elle habite là, ma mère, à l'époque. C'était bien maintenant, c'est malheureux. »
00:37« Je suis catastrophée et en même temps désemparée.
00:40C'est quasiment tous les jours qu'on a des trucs de ce genre, des innocents qui meurent. »
00:45Comme un rempart à la barbarie, beaucoup sont venus déposer des fleurs ou des bougies
00:50sur le parking où est mort le jeune homme.
00:52Mais au fond, un sentiment d'impuissance domine parmi les Marseillais.
00:57« Vous voulez qu'on aille après ? Quand on a un certain âge, après, je suis veuve.
01:02Vous voulez qu'on aille ? C'est malheureux pour ce qui arrive. »
01:05« Il ne fallait pas faire une association à Marseille. C'est trop dur. »
01:09« Marseille, c'est la Sicile maintenant. C'est comme la Sicile. C'est pas l'herbe. C'est la mafia. »
01:15« En hommage à Médic et Sassi et pour dire stop au narcotrafic à Marseille,
01:21une marche blanche aura lieu ce week-end. »
01:24« En hommage à Médic et Sassi et pour dire stop au narcotrafic à Marseille. »
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