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  • il y a 2 jours
La vie devant nous avec Krys Mondet, Journaliste, communicante, entrepreneure, aidante, Frédéric Labrosse, ancien commandant des forces de l’ordre et relai de l’opération tranquillité seniors, Jean-Baptiste Bullet, Notaire


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##LA_VIE_DEVANT_NOUS-2025-11-16##

Catégorie

🏖
Voyages
Transcription
00:00Sofinko, pensez votre logement pour demain. Travaux, domotique, sécurité, bien-être.
00:06Sofinko présente Sud Radio, la vie devant nous.
00:11Bonjour à tous, je suis ravi de vous retrouver pour un nouvel épisode de La Vie Devant Nous.
00:16Chaque dimanche avec nos invités, ils sont là, on va vous donner envie de bien vivre votre âge avec le sourire.
00:23Alors on a gagné plus de 30 ans d'expérience de vie en un siècle et en France,
00:27quatre générations cohabitent aujourd'hui, les enfants, les parents, les grands-parents et parfois même les arrières-grands-parents.
00:32Donc cette émission, elle est faite pour vous, que vous soyez justement, enfants, grands-parents,
00:39parce que oui, c'est une première dans l'histoire.
00:42Quatre générations, en fait, cohabitent aujourd'hui et il faut le dire, on a gagné plus de 30 ans d'espérance de vie en un siècle
00:48et puis si les envies changent à tous les âges, le lien entre les générations reste fort malgré nos vies qui filent
00:55et on est très occupés, quel que soit notre âge.
00:58Alors on va parler justement d'histoire de vie, de témoignages, de conseils concrets pour mieux vivre ensemble à tous les âges de la vie
01:05et justement aujourd'hui, on va parler de la légende urbaine liée au SCI familial.
01:10Dans notre chronique Transmettre son patrimoine, nous serons pour cela accompagnés de la Chambre des notaires de Paris
01:14et d'un porte-parole et puis notre grande invitée de la semaine est Chris Mondet, une femme courageuse, sensible et lucide
01:22sur un sujet qui touche de plus en plus de Français, le rôle d'aidant, on en a déjà parlé.
01:28Et puis enfin, nous serons avec Frédéric Labrosse, ancien commandant des forces de l'ordre et relais de l'opération Tranquillité Senior.
01:34Ça sera notre chronique Vivre Ensemble et avec lui, on parlera justement des dangers de cacher de l'argent chez nous.
01:42Ça, ce n'est pas forcément une très bonne idée. Alors cette émission est la vôtre, n'oubliez pas de nous appeler,
01:47de poser des questions au 0 826 300 300 parce que Transmettre, ce n'est pas seulement une question d'argent
01:53mais aussi d'histoire et de lien familial. On parle aujourd'hui de la transmission du patrimoine.
01:59Sud Radio, la vie devant nous.
02:02Quand on parle justement de transmission, un mot revient souvent, la SCI familiale.
02:07Alors on la présente parfois comme une solution magique pour éviter les impôts, les droits de succession.
02:13Mais qu'en est-il vraiment ? Alors on fait justement le point avec notre invité, Jean-Baptiste Bullet, maître.
02:19Vous êtes notaire, porte-parole de la Chambre d'adacteur de Paris pour justement démêler un peu le vrai du faux de la SCI familiale.
02:27Alors la SCI familiale, c'est un peu comme avoir sa Rolex à 50 ans, ça fait bien dans nos vides, dans nos dîners.
02:34Alors qu'est-ce que c'est une SCI familiale concrètement ?
02:37Bonjour Laurent, bonjour à tous les auditeurs de Sud Radio.
02:40Effectivement, la SCI, la Société Civile Immobilière, c'est tout simplement une société qui est constituée par plusieurs personnes
02:46pour détenir un bien immobilier ensemble.
02:49Alors effectivement, c'est une très belle image, la Rolex à 50 ans.
02:53J'ai ma SCI, mais j'ai beaucoup d'appels à l'office notarial.
02:56Bonjour maître, je voudrais faire une SCI.
02:59Très bien madame, vous êtes chez un notaire, ça tombe bien, on sait faire.
03:01Mais quels sont vos objectifs ? Et là, la réponse est un peu plus floue.
03:05Souvent, c'est, j'avoue que je ne sais pas trop, j'ai vu sur Internet que c'était bien, mon voisin en a une.
03:11Donc il y a effectivement une sorte de légende urbaine autour de la SCI.
03:15On évite les impôts, on a une succession qui est moins taxée.
03:20C'est quoi concrètement le vrai du faux là-dedans ?
03:23Il y a plusieurs fausses idées qui circulent.
03:26Il y a une légende urbaine, une sorte de fantasme un petit peu dans l'inconscient collectif de la SCI.
03:30Alors non, la SCI n'efface pas les impôts sur les loyers, ni les impôts sur la succession.
03:35Ce n'est pas parce qu'on met un bien immobilier dans sa SCI qu'il sera transmis gratuitement ou à moins cher à nos enfants.
03:40Ce n'est pas une baguette magique.
03:41Si on a un bien qui vaut 100 000 euros, si on le met dans sa SCI et qu'on décède, on retrouvera des parts de SCI qui valent 100 000 euros.
03:48D'accord. Alors, à quoi ça sert concrètement ?
03:50Est-ce que je suis avec mes enfants, peut-être mes parents ?
03:56Je monte une SCI sur un bien que l'on partage pour partir tous en vacances.
04:00On se retrouve au mois de juillet, par exemple.
04:03Quel est l'intérêt de monter une SCI ?
04:05Alors, le véritable intérêt, il ne va pas résider dans le fait, par exemple, de créer une SCI avec ses enfants
04:12et puis de leur mettre des pourcentages très élevés et puis nous mettre des tout petits pourcentages.
04:16Parce que, imaginons, on vend notre résidence principale.
04:19On a un couple, on a deux enfants, on vend notre résidence principale.
04:22On va racheter un bien.
04:23On se dit, tiens, on va en profiter, on va faire une SCI.
04:26La difficulté qu'on va rencontrer à ce moment-là, c'est que si jamais on crée une SCI 40% chacun des deux enfants
04:31et puis nous, on prend 5% chacun les parents, voilà.
04:34C'est que, eh bien, si on achète le bien, on se dit, c'est super.
04:36On a sorti 90% de notre patrimoine qui va être transmis gratuitement aux enfants
04:41parce que nous, on n'a que 5% chacun.
04:42Eh bien, parce que ce qu'on...
04:44C'est dommage, hein.
04:44C'est que ce qu'on fait, ça s'appelle...
04:47Je suis en train de rêver, là.
04:48Ah bah oui, ça s'appelle un apport en compte courant d'associés.
04:51Et si on n'en tient pas à la comptabilité et que cela ne ressort pas à notre succession,
04:56eh bien, tel un M. Jourdain qui faisait de la prose sans le savoir,
04:59on vient de commettre, sans le vouloir, une fraude fiscale.
05:02Parce que cet apport en compte courant d'associés, c'est un actif.
05:05Et c'est un actif, on a prêté de l'argent à la SCI, cette SCI, nous le doit.
05:09Et cette créance, elle ne disparaît pas comme ça, par magie.
05:12Donc, on retombe sur nos pattes, on n'économise guère que l'inflation,
05:15c'est-à-dire que l'augmentation de la valeur du bien immobilier.
05:19La SCI, voilà, il va y avoir aussi, dans les fausses bonnes idées,
05:23une gestion qui est lourde, c'est une société, donc il faut la constituer.
05:26Il faut rédiger des statuts avec son notaire, bien sûr.
05:29Il faut y matriculer.
05:30Il faut organiser des assemblées générales.
05:32Il y a une laisse fiscale à établir, à déposer,
05:34surtout si on a une SCI à l'impôt sur les sociétés, on en parlera tout à l'heure.
05:37Donc, pourquoi faire une SCI ?
05:39Il y a quand même deux bonnes raisons.
05:41Ah, alors, on y va.
05:42Des bonnes raisons qui sont valables.
05:43Alors, on peut y aller.
05:45La première, ça va être d'éviter le régime de l'indivision.
05:48Le régime de l'indivision, c'est ce qui se passe
05:50quand on est plusieurs propriétaires sur un bien immobilier.
05:52C'est régi par le Code civil, aux articles 815 et suivants.
05:55Et cet article-là, il nous dit
05:57que nul ne peut demeurer prisonnier dans l'indivision.
06:00Le partage peut toujours être provoqué.
06:02Donc, si on est plusieurs à détenir un bien,
06:04c'est quand même assez précaire,
06:05puisque n'importe lequel des personnes,
06:08des co-indivisaires, peut demander à sortir de l'indivision.
06:11Or, dans la SCI, on peut établir des statuts
06:16qui vont régir la détention du bien.
06:19Donc, ça évite ce régime de l'indivision.
06:21Et surtout, on peut organiser la détention du bien immobilier
06:26un peu comme un club.
06:27D'accord.
06:27Donc, en fait, on peut avoir des parts que l'on souhaite.
06:30Voilà.
06:30On peut les céder ?
06:32On peut.
06:33Très bien.
06:33Mais l'avantage, par rapport à l'indivision, encore une fois,
06:37c'est qu'on va retrouver dans ce club
06:39des gens qu'on aura choisis.
06:41Parce qu'on peut délimiter dans nos statuts
06:44qui a le droit d'entrer ou pas,
06:47qui a le droit d'acheter des parts
06:48ou qui a le droit d'en hériter.
06:49C'est ce qu'on appelle la clause d'agrément.
06:51Parfait.
06:52Alors, peut-être juste un dernier point,
06:53parce qu'il y a deux types de fiscalité.
06:55C'est la SCI qui est aux impôts, à l'IR,
06:58à l'imposition sur le revenu,
07:01et une SCI à l'IS.
07:04Juste, en deux phrases, la différence ?
07:07Alors, il est vrai qu'on peut le faire en SCI.
07:10Là, on devient technique.
07:11Je vais être très, très bref.
07:12On peut le faire en SCI.
07:14On n'a plus trop de temps.
07:14On peut opter à l'impôt sur les sociétés.
07:16Quand on a une SCI,
07:17on ne peut pas le faire quand on est une personne physique.
07:19Donc, quand on a un certain niveau de revenu,
07:21opter pour l'impôt sur les sociétés
07:22peut permettre de reporter, si on veut, l'imposition.
07:24Je ne rentre pas en détail,
07:25mais pour résumer, on paye moins d'impôts au quotidien.
07:27En revanche, une SCI à l'IS,
07:29le jour où on revend, ça fera mal.
07:31Très bien.
07:31Écoutez, merci, maître.
07:33En tout cas, il faut aller voir un notaire.
07:34Ça, c'est le bon conseil.
07:37Et si on souhaite justement créer une SCI,
07:39et puis si on résume,
07:40la SCI, ce n'est pas une baguette magique,
07:42mais un outil utile,
07:43à condition de bien l'utiliser.
07:45Et n'hésitez pas à forcer la porte
07:47et à toquer auprès d'un notaire.
07:49Merci beaucoup, Jean-Baptiste,
07:51pour cet éclairage.
07:54Eh bien, ce que je vous propose,
07:56c'est tout de suite l'heure de recevoir
07:57notre grand invité.
07:59Sud Radio, la vie devant nous.
08:03Chris Mondé, bonjour.
08:05Bonjour, Laurent.
08:06Alors, journaliste, communicante, entrepreneur,
08:09vous êtes également fille, mère,
08:11et depuis quelques années aidante, en tout cas.
08:14Et puis, votre vie bascule.
08:1523 décembre 2020.
08:18Pouvez-vous nous replonger
08:19dans ce moment précis ?
08:21Alors, ce moment précis, en plus,
08:22on vit entre les deux Covid.
08:25Je remets le contexte,
08:26parce que ça, en plus, ajoute un côté anxiogène.
08:30Et ma mère m'appelle,
08:32et en fait, avec difficulté,
08:35et ça faisait 48 heures qu'elle était au sol.
08:38Elle s'est écroulée.
08:39Ça a été vraiment une véritable chute.
08:41Donc, on ouvre la porte
08:43avec mon conjoint un peu comme un MacGyver,
08:45parce qu'évidemment,
08:46ma mère avait mis le loquet de sécurité,
08:48sinon, c'était pas drôle.
08:49On se rappelle le contexte.
08:50Nous sommes en fête de fin d'année,
08:51donc je n'allais pas défoncer la porte,
08:53parce qu'on ne savait pas ce qui s'y passait.
08:54Donc, évidemment, vu son état,
08:55elle n'a pas pu bouger pendant 48 heures.
08:58Urgence, pompier, etc.
09:00Et là, le coup fatal,
09:01je vois le médecin
09:02qui, à travers son masque,
09:05vu mon regard, me dit
09:06« Votre mère fait un cancer de stade 3-4.
09:10Il y a Parkinson.
09:11Et elle a fait un déni de maladie.
09:13Son sein est nécrosé. »
09:15Alors là, vous parlez d'un triple choc,
09:18ce jour-là.
09:19Ah oui, c'est un triple choc.
09:20Elle est hospitalisée.
09:21Votre fille qui fête ses 11 ans
09:23et vous, vous devenez aidante,
09:25en fait, du jour au lendemain.
09:26En 24 heures.
09:26Comment on encaisse une telle honte de choc ?
09:29Alors, en fait, j'ai envie de vous dire,
09:31c'est l'amour qui vous porte.
09:33Mais par contre, il y a une angoisse.
09:36J'ai perdu 8 kilos en une semaine.
09:37Pourtant, je mangeais, etc.
09:40Mais tellement l'angoisse et le stress
09:42parce qu'effectivement, il y a un tsunami.
09:44Votre mère, qui était mon roc, tombe.
09:48Et en plus, j'ai la responsabilité
09:50de l'idée, de l'accompagner
09:52et d'être sa mère, en fait.
09:55C'est pas mal de choses.
09:55C'est ce que vous dites.
09:56Je suis devenue la mère de ma mère
09:58en 24 heures chrono.
09:59Qu'est-ce que ça change, en fait,
10:01concrètement, intérieurement,
10:02dans le lien que vous aviez
10:03entre fille mère ?
10:05Alors, l'amour est là.
10:07Mais ça change tout.
10:07C'est-à-dire que celle qui me guidait,
10:09c'est moi qui devais la guider
10:10du jour au lendemain.
10:11Donc, ça a été très déstabilisant
10:13pour elle aussi.
10:15Parce qu'en plus, c'était une femme d'affaires,
10:18une femme indépendante.
10:20Donc, ça a été aussi compliqué pour elle.
10:23Et puis, moi, je suis quand même
10:24aussi mère également.
10:26Donc, en fait, je me retrouvais
10:27mère d'une jeune ado
10:29et mère de ma maman.
10:31Et ça, c'est pas simple à gérer.
10:32Et ça ressemble à quoi,
10:34votre quotidien,
10:36les premières semaines
10:37après ce choc ?
10:37Alors, charge mentale
10:39XXXXL.
10:41Je crois que là,
10:41puis on peut rajouter des X.
10:43C'est ça.
10:44C'est effectivement,
10:46là, pendant un an,
10:46ma mère reste hospitalisée
10:47parce que c'est quand même
10:48assez grave,
10:49tout ce qui lui arrive.
10:51Donc, il y a un moment,
10:52il faut,
10:53je suis entre l'hôpital
10:54et la maison de convalescence.
10:55Donc, c'est changé
10:56à chaque fois
10:57de chambre,
10:59d'affaires.
10:59Et puis,
11:00étant donné que malheureusement,
11:01à cause du choc,
11:02ma mère est devenue,
11:04elle ne sait plus marcher,
11:05j'ai la grande mission
11:06de réaménager
11:07son appartement.
11:08Parce qu'elle se retrouve
11:10handicapée du jour au lendemain
11:11et on me fait comprendre
11:13au fil des mois
11:14que si je n'aménage pas
11:17l'appartement de ma maman,
11:19elle part en EHPAD.
11:19Chris, justement,
11:21et puis vous, auditeurs,
11:22qui nous écoutez,
11:23ne bougez pas,
11:24vous êtes sur Sud Radio.
11:25On se retrouve après
11:26une courte pause
11:27avec notre invité
11:28et la suite de ce programme.
11:30Sauf un co,
11:31pensez votre logement
11:32pour demain.
11:33Travaux,
11:33domotique,
11:34sécurité,
11:35bien-être.
11:36Sauf un co présente
11:37Sud Radio,
11:39la vie devant nous.
11:41De retour sur Sud Radio,
11:43vous êtes toujours
11:44dans la vie devant nous.
11:45Votre émission
11:45qui casse les clichés
11:47sur les seniors,
11:48mais pas que.
11:48Dans quelques minutes,
11:50nous verrons
11:50si c'est une bonne idée
11:51de conserver chez vous
11:52de l'argent liquide,
11:53caché ou dans un coffre.
11:54Mais d'abord,
11:55notre seconde partie
11:57de notre entretien
11:58avec Chris Mondet.
12:00Merci Chris
12:01d'être resté avec nous.
12:02Alors après le choc
12:03du 23 décembre,
12:04il y a rapidement
12:04de l'action.
12:06Vous allez littéralement
12:07transformer l'appartement
12:08de votre mère
12:09en hôpital de luxe
12:10avec style et sécurité.
12:12Alors justement,
12:13comment avez-vous imaginé
12:14ce nouveau lieu de vie ?
12:16Alors,
12:16j'ai effectivement supprimé
12:18des meubles
12:19parce qu'effectivement
12:20avec un fauteuil roulant,
12:20on ne pouvait pas déambuler
12:21comme on est debout en fait,
12:24quand on est valide.
12:25Et je voulais
12:26que ça soit chic
12:27et qu'elle soit bien,
12:28évidemment conforme
12:29et sécurité.
12:30Et je ne voulais pas
12:31que ça soit anxiogène.
12:32Je ne voulais pas
12:33qu'on voit la maladie
12:34en permanence.
12:35Voilà.
12:35Et même pour moi
12:36parce que j'allais régulièrement
12:38la voir.
12:39Donc,
12:40j'ai fait plein de petites astuces.
12:42Par exemple,
12:42les toilettes,
12:43je les ai rehaussées.
12:44Mais c'était des toilettes noires
12:47avec une barre d'appui noire
12:49et un petit peu
12:49les couleurs de sud radio.
12:51Ce n'est pas prévu.
12:52C'est un signe.
12:53C'est un signe.
12:54Et j'ai fait effectivement
12:55des toilettes rouges.
12:56Donc,
12:56quand on rentrait
12:57dans ces toilettes,
12:58on ne voyait pas
12:59qu'on était dans
12:59des toilettes d'une malade.
13:01On voyait la barre d'appui.
13:03On était dans...
13:04Ça, c'est très important.
13:05Ça, c'est hyper important.
13:06Ça, c'est une ambiance.
13:06Personne ne veut ressembler
13:07à une chambre d'hôpital.
13:09Voilà.
13:09J'ai trouvé des fauteuils aussi
13:12au pas des chaises,
13:13mais des fauteuils avec
13:14des réhausseurs,
13:15pas des réhausseurs,
13:16enfin,
13:16oui,
13:17des réhausseurs,
13:17effectivement,
13:18qui permettaient aussi
13:19à un moment,
13:19quand elle reprenait
13:20un petit peu la forme,
13:21de pouvoir se relever
13:22toute seule.
13:23Mais c'était Cosi.
13:24C'est une marque
13:25qu'on connaît tous.
13:27Donc, voilà,
13:27j'ai trouvé ça.
13:28J'ai trouvé aussi,
13:29effectivement,
13:29j'ai bien évidemment
13:30retiré tous les tapis.
13:31J'ai mis des sols
13:33antidérapants
13:34et j'ai pris aussi
13:34des carrelages
13:35antidérapants,
13:36mais gris clair.
13:37Vous êtes débrouillée
13:38toute seule.
13:38En fait,
13:39on sent notamment dans,
13:40enfin,
13:41en tout cas,
13:41moi,
13:41je l'ai lu dans votre récit,
13:42une phrase clé,
13:43on a le droit à la beauté,
13:44même malade.
13:45Et alors,
13:46justement,
13:46pour vous,
13:47cette dimension esthétique,
13:49elle est indispensable,
13:50peut-être pour vous deux,
13:51en fait,
13:51à la fois pour votre maman
13:53et aussi pour vous,
13:54pour ne pas rentrer
13:55dans une chambre d'hôpital.
13:56Exactement,
13:57pour les auxiliaires de vie
13:58et les personnes
13:58qui accompagnaient ma maman
14:00et puis pour les proches aussi.
14:01On n'avait pas l'impression,
14:02déjà,
14:03c'est quand même
14:03très très dur,
14:04surtout les dernières années,
14:06ma mère était très faible,
14:07donc elle était très affaiblie
14:09et du coup,
14:10de voir son proche
14:10ou la maladie
14:11prendre le dessus,
14:12malheureusement,
14:13c'est très compliqué.
14:14Donc si en plus,
14:15on se retrouvait
14:16avec tous les éléments
14:18qui montraient sa maladie
14:19et son mal-être,
14:20enfin,
14:20ça,
14:20ce n'était pas possible.
14:21Donc là,
14:22j'ai fait extrêmement attention
14:23et même,
14:24je l'ai poussé
14:25à faire du sport.
14:27Alors,
14:27du sport,
14:27vous allez me dire,
14:28en fauteuil roulant,
14:29elle n'est pas sympa,
14:30cette fille,
14:31mais j'ai trouvé
14:32un vélo à bras,
14:32évidemment,
14:33j'étais accompagnée
14:33de ses kinés
14:34pour qu'elle reste en forme,
14:36pour pas qu'on se retrouve,
14:37effectivement,
14:38oui,
14:38tu ne peux pas marcher,
14:39mais tu as tes bras,
14:40donc tu vas reprendre
14:41un petit peu d'énergie
14:41et comme ça,
14:42on ne se laisse pas aller.
14:44Et en fait,
14:44vous avez tout coordonné
14:45parce que vous parlez du kiné,
14:47vous avez coordonné
14:47les infirmières,
14:48les auxiliaires,
14:49les médecins,
14:49on a l'impression
14:50que vous êtes venue
14:50la DRH de la santé,
14:53vous étiez préparée à ça ?
14:54Pas du tout,
14:55je n'ai pas signé ça
14:56dans mon contrat de fille,
14:58mais non,
14:59c'est en fait,
15:00c'est la vie
15:01de plus de 11 millions d'idées
15:02en France,
15:03je ne suis pas la seule,
15:04mais effectivement,
15:05vous gérez
15:06toute cette masse salariale
15:07qui accompagne votre,
15:10enfin moi,
15:10qui accompagnait ma maman,
15:11c'était primordial,
15:12mais effectivement,
15:14et aussi,
15:14pour les exiliaires de vie,
15:16parce qu'à la fin de sa vie,
15:17il fallait avoir
15:18une assistance
15:1824 heures sur 24,
15:20il y a ménager
15:21un coin exprès
15:22pour elle,
15:23avec un lit confortable,
15:26avec une salle de bain
15:27personnalisée
15:28pour qu'effectivement,
15:29les dames
15:31qui accompagnaient ma maman,
15:32elles se sentent bien également,
15:33c'est important ça aussi,
15:33que le même...
15:35Il y a une relation intime
15:36en plus,
15:36qui s'installe.
15:37Il y a une relation intime,
15:39enfin voilà,
15:39il y avait des choses
15:40très dures
15:40et même à la fin de sa vie,
15:42parce que l'aménagement
15:43est assez important
15:44parce que ma mère
15:46voulait partir chez elle,
15:47donc j'invite à tous
15:49les auditeurs,
15:49ça existe,
15:50et on est en France
15:51et on a une chance absolue,
15:52c'est qu'on peut avoir
15:53des soins palliatifs
15:54à la maison
15:54et partir,
15:56de ne pas avoir
15:57sur les lumières d'hôpital,
15:59ces ambiances, etc.
16:00On a vraiment pu
16:01accompagner ma maman
16:01jusqu'à son dernier souffle
16:02chez elle.
16:03C'est important,
16:04c'est respecter en fait
16:05le choix.
16:07Et puis justement,
16:08vient ce moment
16:09de silence
16:10quand tout s'arrête
16:11et puis c'est le décès
16:12de votre mère.
16:13Comment on apprend
16:14à revivre
16:15après cinq ans
16:16de vigilance permanente,
16:18de suractivité ?
16:19Ce n'est pas facile
16:20parce qu'en fait,
16:22pendant cinq ans,
16:24j'ai été effectivement
16:24scotché à mon portable
16:26parce que s'il y avait
16:27quoi que ce soit,
16:28il fallait que je sois
16:28joignable.
16:29Je n'avais pas non plus
16:30des nuits sereines,
16:31je ne vous cache pas,
16:31parce qu'effectivement,
16:32des fois quand je quittais
16:33ma maman,
16:34je voyais qu'il y avait
16:35des états
16:35qui n'étaient pas terribles.
16:37Donc psychologiquement,
16:38physiquement,
16:39vous aussi,
16:40ça vous fait quelque chose.
16:41et là, du jour au lendemain,
16:43en fait,
16:43vous avez l'impression
16:44d'être plus utile.
16:46Et de prendre là,
16:48ça fait neuf mois
16:48que ma maman est partie,
16:50c'est de prendre
16:51des moments à moi.
16:52Et ça,
16:53j'avais oublié
16:53de le faire.
16:54Oui, parce que c'est ce que
16:54vous dites,
16:55je ne suis plus aidante,
16:56mais je reste mère-fille.
16:58En fait,
16:58vous avez,
16:59je pense,
17:00beaucoup appris aussi
17:00sur vous.
17:02Complètement.
17:02Et peut-être transformé
17:03votre vision de la vie.
17:06Paradoxalement,
17:07vous voyez,
17:07je n'ai plus peur
17:08de la mort aujourd'hui.
17:09Alors que ça m'effrayait.
17:11Maintenant,
17:12aujourd'hui,
17:12au-delà d'avoir été aidante
17:15pendant cinq ans,
17:16un travail à temps plein,
17:18aujourd'hui,
17:18ma fille va avoir 16 ans
17:20dans quelques semaines.
17:21je fais tout
17:22pour éviter
17:23qu'elle soit aidante.
17:25Oui, oui.
17:26Alors,
17:27vous avez tout fait
17:28et vous avez créé
17:30un média.
17:30Un média
17:30qui s'appelle
17:31Dwich.
17:32Dwich.
17:33J'ai eu du mal
17:33à le prononcer.
17:34Donc,
17:34D-W-I-C-H-S.
17:37C'est la construction
17:38de Sandwich.
17:39Sandwich,
17:39parce que ceux
17:40qui sont nés
17:40dans les années 70-80
17:41comme moi,
17:42nous sommes la génération
17:43Sandwich.
17:44C'est-à-dire que nous avons
17:45fait nos enfants
17:46plus tard que nos parents.
17:47Donc,
17:47on a fait nos enfants
17:47après 30 ans.
17:49Et on s'occupe
17:50de nos parents vieillissants.
17:52Donc,
17:52en même temps,
17:52contrairement à nos parents,
17:54parce qu'eux,
17:54ils s'occupaient
17:54de leurs parents aussi,
17:55mais ils étaient partis
17:56depuis...
17:57En fait,
17:58ils étaient partis
17:58plus de belle durée.
17:59Donc là,
18:00du coup,
18:00on se retrouve
18:00avec nos parents vieillissants
18:01et nos ados.
18:02C'est les danses
18:03et la crise d'ado
18:04en même temps.
18:04C'est divin.
18:06C'est des générations
18:07qui vont rentrer.
18:07Alors justement,
18:09ce média,
18:10j'invite les auditeurs
18:11à le découvrir.
18:13C'est un peu
18:13le Marie-Claire
18:15sans faire de pub.
18:16En tout cas,
18:17c'est très moderne.
18:17C'est fait pour les hommes,
18:19les femmes.
18:20Complètement.
18:21Quel que soit leur âge,
18:23en fait,
18:23pour justement
18:23accompagner
18:24tous les sujets
18:26qu'on veut évoquer
18:27sur les dents.
18:28Donc,
18:28c'est...
18:29C'est twitch.com.
18:31Et surtout,
18:32c'est donner aussi des tips
18:33parce que psychologiquement,
18:34ce n'est pas facile.
18:35Et c'est aussi
18:36d'avoir des tips
18:37pour accompagner
18:37sa deuxième tranche de vie.
18:39Parce qu'en fait,
18:39entre 45 et 50 ans,
18:40malheureusement,
18:41nos parents vieillissent,
18:42nos enfants grandissent
18:43et puis nous aussi,
18:44on a aussi quelques mots.
18:45Il y a l'andropose,
18:46il y a la ménopo,
18:48donc hormonalement parlant,
18:49plus la psy.
18:50C'est dit...
18:51Ouais, c'est la totale.
18:53Merci.
18:53On pourrait passer
18:54beaucoup plus de temps.
18:55Merci, Chris Mondé,
18:56pour ce témoignage
18:57qui est bouleversant
18:58et lumineux.
18:59Vous rappelez
19:00qu'être aidant,
19:00c'est un rôle invisible.
19:02Il y en a 11 millions,
19:03mais c'est essentiel
19:04et c'est un acte d'amour,
19:05de courage
19:05et souvent d'épuisement.
19:07Pour retrouver votre parcours,
19:08vos ressources,
19:09rendez-vous sur twitch.com.
19:11Allez-y tout de suite
19:12et puis apprendre
19:13à vous protéger
19:14parce que parfois,
19:15les mauvaises habitudes
19:16peuvent nous coûter très cher.
19:18Placement en temps,
19:19maintenant,
19:19à notre séquence
19:20Vivre Ensemble.
19:22Sud Radio,
19:24la vie devant nous.
19:25Cette semaine,
19:27on parle d'un réflexe
19:28encore très présent,
19:29surtout chez les seniors,
19:30cacher de l'argent chez soi
19:32ou garder ses bijoux
19:33dans un coffre à domicile.
19:35Est-ce que c'est vraiment
19:36une bonne idée ?
19:36Quels sont les risques ?
19:37Nous voici avec Frédéric Labrosse,
19:39ancien commandant
19:40des Forces de l'Or,
19:41des relais de l'opération
19:42Tranquillité Senior.
19:43Bonjour Frédéric.
19:45Bonjour Laurent
19:46et bonjour à tous vos auditeurs.
19:48Frédéric,
19:49Écoutez,
19:49j'ai bien entendu votre question,
19:51mon cher Laurent.
19:53Formidable.
19:54Pourquoi tant de personnes
19:54gardent-elles encore
19:55de l'argent liquide
19:56ou des objets de valeur
19:57chez elles ?
19:58C'est un problème générationnel,
20:00Laurent.
20:00Et si vous me permettez,
20:01je voudrais juste revenir
20:02sur un détail
20:03qu'on avait abordé ensemble
20:04lors de votre précédente émission.
20:06C'était au sujet
20:07du cambriolage en lui-même.
20:09C'est-à-dire que vous revenez
20:10où et le pire,
20:11malheureusement,
20:12c'est passé.
20:13Et vous expliquiez
20:14à juste titre
20:14qu'il ne faut surtout
20:15pas entrer chez soi
20:16parce que le ou les cambrioleurs
20:18sont peut-être encore sur site.
20:20Donc ça,
20:20c'est la première chose.
20:21Il faut tout de suite
20:22se réfugier chez un voisin
20:23et puis faire appel
20:24aux forces de l'ordre.
20:25Et puis le deuxième élément
20:26sur lequel je veux insister,
20:28par pitié,
20:29ne toucher à rien.
20:30Il faut préserver
20:31les traces exploitables
20:32que l'exemple du laboratoire
20:34de police technique
20:35et scientifique
20:35ou de la gendarmerie
20:36arrive et puisse essayer
20:38de remonter
20:38l'auteur du cambriolage.
20:41Je voulais insister là-dessus,
20:42Laurent,
20:42parce que c'est vraiment
20:43un élément pour nous
20:43qui est capital.
20:44Non, mais vous avez raison alors.
20:47Est-ce qu'il y a
20:48des bonnes cachettes
20:49chez soi
20:51qu'on ne trouve jamais
20:52pour mettre du liquide
20:54ou des lingots ?
20:54Parce que c'est vrai
20:55qu'il y a de moins en moins
20:56de confiance
20:56auprès de nos institutions bancaires
20:58et puis il y a la peur
20:59de la guerre.
21:01Quelle est votre expérience
21:03là-dessus ?
21:04Alors écoutez,
21:06Laurent,
21:06très sincèrement,
21:07je déconseille aux gens
21:08de garder des valeurs
21:09chez eux.
21:10Il ne faut absolument pas
21:11garder des valeurs
21:12chez vous.
21:13Vous avez deux types
21:14de cambriolage.
21:15Le cambriolage basique,
21:16si il y a 90% des cas,
21:18il dure moins de 3 minutes.
21:19Donc là,
21:19les cambrioleurs
21:20vont passer très rapidement,
21:21etc.
21:22Par contre,
21:23avoir un coffre-fort
21:24chez vous,
21:25si c'est des cambrioleurs
21:26expérimentés,
21:28ils vous le feront ouvrir.
21:29Je vais reprendre un parallèle.
21:30Vous vous rappelez
21:31cette série
21:31des brigades du Tigre
21:32sous Clémenceau
21:33avec la bande
21:33des charbonnés ?
21:34Ben oui,
21:35ils torturaient
21:36les possesseurs
21:38de biens
21:39pour leur faire avouer
21:39que vous les avez cachés.
21:40Mais ici,
21:41en 2025,
21:42on appelle ça
21:42un saucissonnage.
21:43Si vous avez
21:44un coffre-fort chez vous,
21:45les malfrats
21:46vous le feront ouvrir.
21:47Ils commettront
21:48des actes de torture
21:48et de barbarie
21:49sur vos proches
21:50et croyez-moi,
21:51donc c'est pour ça
21:52que je vous le déconseille.
21:53Je dis aux gens,
21:54déposez vos biens
21:55dans un coffre
21:56à la banque.
21:57Mais bien sûr.
21:57On n'est plus à l'époque
21:58du gang des égoutiers,
21:59Laurent,
21:59vous le savez comme moi,
22:01les établissements bancaires,
22:02maintenant eux aussi
22:03ont évolué
22:03et bénéficient
22:04de sûreté
22:04absolument extraordinaire.
22:07Vraiment,
22:08très sincèrement,
22:09moi je dis aux gens,
22:10ne gardez pas de...
22:11Il n'y a aucune cachette
22:12chez vous.
22:13Vous savez,
22:14il y a une publicité,
22:15on en a parlé
22:15avec les gens
22:16qui font voir...
22:17Vous savez,
22:17les bijoux sont cachés ici
22:18dans la table de visite
22:19de la baignoire.
22:20Mais je crois
22:20que c'est le premier endroit
22:21où les gens s'amusaient
22:22à cacher des bijoux
22:24ou du mérère
22:25en croyant
22:25que c'est un endroit sécure.
22:27Mais non,
22:27c'est le premier endroit
22:28où les commoïoleurs
22:29vont aller regarder.
22:29Nous,
22:30quand on fait une descente
22:31avec le chien stup,
22:32on regarde même
22:33dans la cuvette d'eau
22:34des toulettes,
22:35on regarde dans les faux plafonds,
22:37on tient le chien à un bras.
22:37Mais oui,
22:38il n'y a aucune cachette
22:39dans le seul endroit.
22:41C'est vraiment très important
22:42de le rappeler,
22:44il n'y a pas de cachette.
22:45Absolument.
22:46Peut-être juste
22:47un dernier conseil,
22:49Frédéric Labrosse.
22:51Oui.
22:52Le coffre-fort,
22:54bonne idée
22:54ou mauvaise idée
22:55chez soi ?
22:56Mauvaise idée ?
22:57Écoutez,
22:57alors à moins
22:58d'en avoir un,
22:59mais très dissimulé
23:00qui relève un petit peu
23:02des films américains
23:03que les commoïoleurs
23:04ne pourront jamais déceler,
23:06je déconseille.
23:07Sincèrement,
23:09je vous dis,
23:09l'endroit sécure,
23:11c'est le coffre à la banque.
23:12Il faut s'en souvenir.
23:13Très bien.
23:13Merci beaucoup Frédéric Labrosse
23:15pour ces précieux coups.
23:17Je rappelle,
23:18on l'a entendu,
23:19le vrai réflexe sécurité,
23:21c'est la prévention.
23:22On parlait,
23:22s'informer,
23:22pas hésiter à solliciter
23:23la gendarmerie ou la police
23:24avant de partir
23:25ou de changer
23:26ses habitudes.
23:28Et puis,
23:28juste avant de nous quitter,
23:29on souhaite un très bon anniversaire
23:31ce dimanche
23:32à Chris Mondet.
23:34Voilà,
23:34c'est fait.
23:35Merci à vous tous
23:38de nous avoir écoutés.
23:39Je vous laisse en compagnie
23:40de Christophe Debiens
23:40pour La Planète de Demain
23:42sur Sud Radio.
23:43Rendez-vous dimanche prochain
23:44de midi à midi trente
23:46toujours sur Sud Radio.
23:47Et puis,
23:47pour ceux qui veulent écouter
23:49ou partager l'émission
23:50La Vie Devant Nous
23:51en podcast
23:51ou en replay
23:52sur l'application Sud Radio
23:54et le site surradio.fr,
23:56ne vous gênez pas.
23:57Bon dimanche,
23:58bon appétit,
23:59portez-vous bien.
24:00Sud Radio,
24:02La Vie Devant Nous.
24:03Avec Sofinko,
24:05pensez votre logement
24:06pour demain.
24:06Travaux,
24:07domotiques,
24:08sécurité,
24:09bien-être.
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