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13 Novembre : dix ans après, la France a-t-elle suffisamment musclé sa législation antiterroriste ?
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00:00
Europe 1 Soir, 19h21, Pierre de Villeneuve.
00:04
Avec Catherine Ney, Antoine André pour commenter l'actualité,
00:07
cette cérémonie de clôture dans le Jardin Mémoriel,
00:11
juste derrière l'hôtel de ville avec la Marseillaise en ce moment,
00:13
entamée par Axel Saint-Cyrel.
00:16
Écoutez le chef de l'État, Emmanuel Macron,
00:18
qui s'est exprimé tout à l'heure sur la douleur injuste qu'a connue le pays en 2015.
00:23
Pourquoi ? On voudrait trouver du sens à ce qui s'est passé.
00:26
Mais chacune de vos douleurs est insensée, injuste, insupportable.
00:32
On vous a dit parfois de retourner à la vie normale.
00:34
Mais rien de normal dans une vie fauchée dans la fleur de l'âge,
00:37
dans un enfant qui meurt avant ses parents, dans un bébé qui n'est orphelin.
00:42
Rien de normal dans cette douleur larvée, lancinante,
00:46
ressurgit chaque fois qu'un autre attentat frappait notre sol.
00:50
Des enfants, des adultes, des forces de l'ordre, des professeurs.
00:55
De Nice à Strasbourg, victime à nouveau du terrorisme.
00:59
Et nous pensons à eux tous, ce soir, le cœur serré.
01:03
Emmanuel Macron qui a rajouté que la France a tenu et que la République est là.
01:08
Les terroristes ont trouvé beaucoup plus courageux qu'eux.
01:11
Paris a tenu.
01:12
Vous avez tenu.
01:14
La France a tenu.
01:17
La République a tenu.
01:19
Dans l'urgence, par la fraternité, par la justice, par la vérité, par l'amour de la vie, nous avons tenu.
01:29
Ces terroristes islamistes ne vous en voulaient pas à vous, individuellement.
01:33
Ils n'en voulaient pas à vos enfants, ils n'en voulaient pas à vos proches.
01:36
Ils en voulaient à la France.
01:38
Ils nous en voulaient d'être français.
01:39
Voilà donc des extraits du discours d'Emmanuel Macron qui nomme les choses.
01:45
Terrorisme, islamiste, on n'a pas peur des mots.
01:47
C'est ce qui s'est passé, c'est la réalité.
01:49
Mais j'ai l'impression, ou alors c'est peut-être moi qui me trompe,
01:51
Antonin André et Catherine Ney,
01:53
que cet adjectif-là n'a pas forcément été mis bout à bout tout de suite, tout de suite.
01:59
quand même assez rapidement, parce qu'il y avait quand même eu le précédent Charlie Hebdo aussi,
02:03
qui était quand même clairement une revendication islamiste identifiée.
02:08
Il n'y a jamais eu vraiment de doute sur les motivations de ces terroristes
02:12
qui se réclamaient de l'islamisme radical.
02:16
Peut-être ce qui a changé dix ans plus tard, c'est qu'aujourd'hui,
02:19
il n'y a que du terrorisme islamiste, ou presque.
02:21
Oui, alors, aujourd'hui, surtout, la forme de l'agression de ces groupuscules islamistes est différente.
02:28
C'est-à-dire qu'évidemment, il y a toujours des attaques terroristes,
02:32
mais qui sont davantage, parfois, l'œuvre d'individus radicalisés.
02:36
On est moins face à un terrorisme de commando, jusqu'à ce que tout ça se reproduise.
02:41
Radicalisé, ça veut dire qu'il y a un terreau islamiste.
02:44
Non, mais il y a, beaucoup plus dangereuse et insidieuse,
02:48
une forme d'entrisme et de grignotage, comme ça,
02:52
d'infusion de l'islamisme dans la société.
02:55
Il y a des associations sportives, il y a des...
02:57
Et donc, c'est un islamisme qu'on voit moins,
03:00
mais qui est tout aussi dangereux, à mon avis, et perdition pour notre société.
03:03
Et pour revenir d'un mot sur l'intervention d'Emmanuel Macron,
03:06
il dit qu'il n'y a pas de sens à ce que les terroristes avaient fait
03:09
sur la mort des Français, et que nous étions...
03:12
En fait, il y avait un sens, c'est-à-dire qu'il s'agissait
03:14
d'attaquer notre mode de vie,
03:18
notre civilisation, notre mode de vie,
03:21
notre liberté à s'aimer les uns les autres,
03:25
à promouvoir l'égalité des sexes,
03:27
à promouvoir une forme d'enthousiasme et d'optimisme,
03:31
de partage,
03:33
et c'était bien ça qui était attaqué.
03:34
C'est-à-dire, c'est l'obscurantisme contre la liberté.
03:37
C'est ça, c'est ça qu'il ne supportait pas.
03:40
Et Emmanuel Macron est toujours,
03:47
comment dirais-je, très bon dans ces discours.
03:50
Alors, il est bon, oui et non.
03:51
Je me permets juste, avant de passer la parole à Catherine,
03:53
je trouve qu'il y a un surjeu quand même de la dramaturgie.
03:57
On a l'impression qu'il joue une tragédie grecque,
03:59
en allant chercher une sémantique toujours plus grandiloquente.
04:03
C'est intéressant.
04:03
Et je trouve qu'il y a de la grandiloquence,
04:05
mais du coup, il y a moins de sincérité.
04:07
C'est intéressant.
04:08
Est-ce que ce n'est pas nous, les journalistes,
04:09
qui le connaissons,
04:11
qui avons l'habitude de l'écouter,
04:13
qui avons l'habitude de disséquer,
04:15
de décrypter, d'analyser les discours
04:17
de chacun des responsables politiques,
04:20
qui savons qu'il a cette appétence pour les discours ?
04:24
Oui, parce que depuis qu'il est élu,
04:26
les hommages aux défunts,
04:27
à leur cours des Invalides,
04:30
c'est d'abord ce qu'il réussit le mieux comme spectacle.
04:33
Mais au début, on est très impressionné,
04:35
on dit comme c'est formidable,
04:37
quel acteur ?
04:38
Et puis là, vous savez, il a une façon...
04:40
Bon, mais quand il parle à l'intérieur de Notre-Dame,
04:44
d'ailleurs, c'est ce qu'il voulait,
04:45
au moment de l'inauguration,
04:46
il parlait comme un prélat.
04:47
Il y avait ce ton, on ne voit pas ça.
04:49
Alors, tantôt, c'est Louis Jouvet dans certaines conférences,
04:52
tantôt, c'est l'archiprès de la chapelle Sixtine.
04:55
Et on est agacé par avance,
04:58
quand il va parler,
04:59
alors que le texte est bon.
05:00
C'est nous, parce qu'on l'a trop entendu.
05:02
Il y a une forme...
05:04
Et alors que si on regarde le texte,
05:06
ce qu'il est écrit, c'est bien,
05:07
mais Antonin a tout à fait raison
05:10
de dire que cette façon de surjouer,
05:12
regardez-moi, comme je lis bien mon texte,
05:15
comme j'ai fait du théâtre avec Brigitte,
05:17
comme ça se voit et tout ça,
05:18
et c'est agaçant,
05:19
alors qu'on devrait le féliciter,
05:21
parce qu'on se dit que peu d'hommes politiques
05:23
sont capables de parler comme lui aussi,
05:25
et d'avoir cette rhétorique habile,
05:27
voilà, cette grandiloquence,
05:30
mais je crois qu'on a une telle overdose
05:33
de ces discours,
05:35
que là, on est un peu saturé.
05:37
Voilà.
05:37
Mais là, on attendait son discours,
05:39
moi j'attendais son discours,
05:40
vous voyez, par exemple,
05:41
j'ai écouté celui d'Arthur Desnouveaux,
05:44
qu'on a interviewé,
05:45
que vous avez interviewé tout à l'heure,
05:47
je l'ai entendu tout à l'heure,
05:48
c'était un discours court,
05:51
avec une profondeur,
05:52
qui était extraordinaire,
05:54
et c'est sans emphase,
05:57
et c'est quelque chose qui marquait,
05:58
et qui, d'ailleurs,
05:59
moi je trouve que c'est un homme absolument extraordinaire.
06:03
Mais là, on appréhende toujours,
06:05
on appréhende toujours de dire,
06:08
et on n'a pas d'appétence,
06:09
on se dit, mais mon Dieu, il va encore nous faire.
06:10
Oui, mais je pense que les Français
06:11
n'ont pas cette distinction.
06:14
Je pense que si, moi.
06:15
Quand on regarde les grands discours,
06:17
les discours de Malraux,
06:18
les discours de Badinter,
06:20
le discours de Jacques Chirac,
06:21
Mais Malraux était théâtrale aussi.
06:23
Oui, mais sauf qu'il y avait une incarnation
06:25
de leur trip, j'allais vous dire.
06:29
Mais c'est parce que vous êtes dans le C'était mieux avant.
06:31
Non, pas du tout.
06:32
Il y avait une incarnation de leur texte,
06:34
et qui était André Malraux himself,
06:36
et non pas André Malraux qui singe
06:38
un grand comédien de la comédie française,
06:40
ou Jacques Chirac sur le Veldiv,
06:42
qui sont des discours marquants,
06:43
parce qu'ils sont habités
06:45
de la sincérité de l'orateur.
06:46
Chirac sur le Veldiv.
06:47
Ils sont habités de la sincérité de l'orateur.
06:49
Emmanuel Macron, il joue,
06:51
à être un président blessé
06:52
qui porte la grande éloquence
06:54
de la douleur de la nation.
06:55
Et donc, il y a quelque chose
06:57
de désincarné,
06:58
et qui résonne, moi je crois,
06:59
aux oreilles des Français.
07:00
Encore un extrait
07:01
sur la réponse en cas de nouvelle attaque.
07:04
Ce djihadisme projeté,
07:07
nous avons tout fait
07:08
pour l'endiguer,
07:10
le juguler,
07:11
mais il renaît sous une autre forme,
07:13
intérieure,
07:14
insidieuse,
07:16
moins détectable,
07:17
moins prévisible.
07:18
Face à cela,
07:19
notre nation est garante
07:20
du combat perpétuel,
07:22
menée sans jamais renier
07:24
nos valeurs de justice
07:25
et de liberté.
07:27
Elle se porte garante
07:28
que tout sera fait
07:29
pour empêcher toute nouvelle attaque,
07:31
et pour punir de manière implacable
07:33
ce qui s'y risquerait.
07:34
Et dans cette décennie écoulée,
07:36
la nation s'est fortifiée.
07:38
C'est étonnant ça,
07:38
comme phrase,
07:40
on n'a surtout pas envie
07:41
de nouvelle attaque,
07:41
en fait.
07:42
On comprend bien que...
07:43
Là, il est dans un exercice
07:45
un peu imposé,
07:45
c'est-à-dire qu'encore heureux
07:48
que la France fasse tout
07:49
pour nous prévenir
07:50
de ce genre d'attaques.
07:51
C'est-à-dire que...
07:52
Mais pourquoi même l'envisager ?
07:55
Parce que c'est vrai
07:56
qu'on s'est habitué
07:58
à vivre dans un monde
07:59
où la liberté de circulation,
08:01
les réseaux sociaux,
08:03
les cyberattaques,
08:06
les modes de communication
08:06
qui échappent parfois
08:08
aux radars simples
08:11
et généraux des services
08:13
font qu'on n'est pas
08:14
à l'abri d'attaques.
08:15
Et c'est vrai qu'on doit vivre.
08:16
Et c'est d'ailleurs intéressant
08:18
de voir que générationnellement,
08:20
on a intégré...
08:21
Alors, ça peut paraître anecdotique,
08:23
mais en fait,
08:23
ça ne l'est pas totalement.
08:25
Nos enfants,
08:26
qui sont à l'école tous les ans,
08:27
ils font un exercice
08:28
en cas d'intrusion dans une école.
08:30
Et donc, on s'habitue,
08:31
on est dans une société
08:32
qui s'habitue aussi,
08:34
et on le voit aussi
08:35
quand une personne
08:36
est agressée dans le métro
08:37
et qu'on voit quelqu'un
08:37
qui est capable
08:38
de réagir aujourd'hui.
08:40
Imaginez-vous
08:40
dans la société israélienne,
08:41
alors évidemment,
08:42
on ne voit pas raison,
08:44
on ne voit pas raison,
08:44
mais quand j'ai été en Israël,
08:46
moi j'étais frappé de voir
08:47
que, eh bien oui,
08:48
vous avez des hommes
08:48
qui se promènent
08:49
avec un pistolet à la ceinture.
08:50
Oui, vous avez des gardes armés
08:52
devant les bars.
08:52
Et quand vous allez...
08:53
Oui, on se prépare,
08:55
le cas échéant,
08:56
quand on en prend le bus,
08:57
à dégager son arme
08:58
pour se prémunir
08:58
d'une attaque d'un terroriste.
08:59
Et quand vous allez
09:00
prendre un pot dans un bar,
09:01
on vous demande
09:01
est-ce que vous avez une arme ?
09:02
Et puis on les garde
09:03
dans un endroit sécurisé.
09:04
Et la société évolue aussi
09:05
en fonction des risques
09:06
auxquels elle est confrontée.
09:07
Il y a une chose
09:08
que vous avez mentionnée
09:09
tout à l'heure,
09:10
Antoine et André,
09:11
vous avez parlé
09:12
de l'antrisme islamiste.
09:13
Et il y a quelque chose
09:14
qui, bien sûr,
09:15
rejoint le président
09:15
de la République
09:16
qui est en ce moment
09:17
à ses cérémonies.
09:19
C'est le fameux rapport
09:21
sur l'antrisme islamiste
09:23
qu'avait fait déclassifier
09:24
Bruno Retailleau
09:25
quand il était à l'intérieur.
09:26
Chose qui était arrivée
09:28
devant le Conseil des ministres.
09:31
Il y avait eu ce recadrage,
09:33
on se souvient,
09:33
d'Emmanuel Macron
09:34
à Bruno Retailleau,
09:35
comme quoi il y avait
09:36
des choses qui étaient incomplètes.
09:38
Puis après,
09:38
il s'était revenu.
09:40
Et pardonnez-moi,
09:41
mais où il est ce rapport ?
09:42
Qu'est-ce qu'on en fait ?
09:43
Il y a à l'égard
09:44
de ce rapport,
09:46
tous les tourments,
09:46
j'allais dire,
09:47
d'Emmanuel Macron
09:48
vis-à-vis
09:48
justement de la menace terroriste
09:50
et de nommer
09:51
le danger islamiste.
09:52
Oui, c'est ça.
09:53
Parce que dans un premier temps,
09:54
l'Élysée ne voulait pas
09:55
que ce rapport soit publié.
09:57
Finalement,
09:57
c'est sur l'insistance
09:58
de Bruno Retailleau
09:59
qu'il a été publié.
10:00
Et rappelez-vous,
10:01
il y a eu une communication
10:02
en deux temps
10:02
du président de la République.
10:03
Une première communication
10:04
très alarmiste
10:05
en disant
10:06
il faut réveiller les consciences,
10:08
il y a un entrisme insidieux
10:09
qu'on ne voit pas
10:10
et qui concerne
10:11
chaque citoyen
10:12
dans son quotidien
10:12
et c'est très difficile
10:13
de le combattre.
10:14
On n'a d'ailleurs
10:15
pas forcément
10:16
l'arsenal juridique
10:16
pour le combattre
10:17
ce qui est très compliqué.
10:18
Et deux semaines après,
10:19
il était au Vietnam,
10:20
je crois, en Asie
10:21
et il disait
10:21
attention,
10:22
ne surjouons pas non plus
10:23
la menace terroriste,
10:24
elle n'est pas si élevée.
10:25
Mais ça c'est Macron,
10:26
on a tout craché,
10:27
il dit tout,
10:28
c'est sur contraire
10:28
en l'espace de deux semaines.
10:29
Ça, vous voyez,
10:30
ça,
10:30
pour des Français
10:32
qui redoutent
10:33
la menace terroriste,
10:33
c'est très inquiétant.
10:35
C'est incompréhensible.
10:36
C'est ce que comprennent
10:36
les Français.
10:36
C'est extraordinaire,
10:38
cette impermanence.
10:41
C'est joli comme mot,
10:41
Macron est quelqu'un
10:44
qui est de caractère
10:47
très équanime,
10:49
toujours de bonne humeur,
10:50
même quand c'est dur,
10:51
alors peut-être
10:51
qu'il a eu un coup
10:52
après la dissolution
10:53
et qu'il s'est senti
10:54
moins bien
10:55
mais sans rien montrer,
10:56
mais ça va de pair
10:58
avec, oui,
10:59
cette impermanence
11:00
des idées,
11:01
de la posture.
11:02
Et regardez
11:02
sur l'Algérie,
11:04
parce que Rotaillot
11:06
disait qu'il faut agir,
11:07
lui-même avait écrit
11:08
une lettre
11:08
début août
11:09
au Premier ministre
11:11
Bayrou pour lui dire
11:13
que maintenant
11:13
il fallait frapper fort
11:14
avec l'Algérie.
11:15
Et puis maintenant
11:16
il dit le contraire,
11:17
bien sûr,
11:18
et tout est la faute
11:19
de Rotaillot
11:20
si on écoute
11:21
de l'entourage élyséen
11:22
parce que si Boilem Sansa
11:24
n'est pas sorti plus tôt,
11:25
Laurent Nunez
11:26
se dit que très forte
11:27
portabilité
11:28
pour qu'il se rende
11:28
en Algérie,
11:29
mais ça va coûter quoi
11:30
quand on sera en Algérie
11:32
maintenant ?
11:32
Quel prix ?
11:33
Les Algériens vont vous demander
11:34
peut-être
11:35
en entendant du renseignement
11:36
mais ça va,
11:38
en termes de visa,
11:39
ça va coûter combien ?
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