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  • il y a 1 minute
Raphaël Glucksmann, leader de Place publique, était l'invité hier soir de "La Grande confrontation" sur LCI. Le député européen a répondu aux questions des Français et débattu avec Éric Zemmour. Mais très vite le ton est monté de façon hors norme sur le plateau, quand l'homme de gauche a accusé le leader de Reconquête de vouloir un pays à la hongroise. Eric Zemmour a alors haussé le ton et rétorqué :

"En Hongrie, il n'y a pas de petite Lola qui se fait découper par une algérienne, en Hongrie il n'y a pas pas un Thomas qui se fait tuer par un Chaïd, en Hongrie il n'y a pas une petite Philippine qui se fait tuer une algérienne ou une tunisienne, en Hongrie il n'y a pas un Elias qui va jouer au foot et qui se fait tuer par un africain..."

Hors de lui face à ces propos, Raphaël Glucksmann sort de ses gonds en affirmant : "Je ne vous autorise à pas à dire ça ! Vous utilisez ces victimes pour faire votre pub ! Je n'accepte pas que l'on me hurle dessus comme le fait Monsieur Zemmour". Et de contre-attaquer en affirmant qu'en Hongrie le frère de Eric Zemmour serait millionnaire, voulant ainsi sous entendre que le pays est miné par la corruption.

David Pujadas qui présentait l'émission est alors obligé de se lever pour 'interposer entre les eux hommes pour rétablir le calme sur le plateau.

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Transcription
00:00Non, non, vous ne pouvez pas parler tant que je n'ai pas fini.
00:03C'est cette diversité que vous condamnez qui a fait de notre pays une grande nation qui a un destin.
00:10Mais moi, vous voyez, je ne rêve pas pour la France d'un destin à la Hongroise, à la Orban, avec cette corruption, ce néplotisme, cet entre-soi, des milices qui échappent à toute forme de légalité dans la rue.
00:21Monsieur Glucksmann, en Hongrie, il n'y a pas de petite Lola qui se fait découper par une Algérienne.
00:33En Hongrie, il n'y a pas de Thomas qui se fait tuer par un chaïd.
00:37En Hongrie, il n'y a pas une Philippine qui se fait violer et massacrer par un Algérien ou un Tunisien.
00:44En Hongrie, il n'y a pas un petit Elias qui, parce qu'il va jouer au foot, se fait tuer par un Africain.
00:50En Hongrie, votre frère serait milliardaire.
00:54Je ne sais pas, votre beau-fils serait milliardaire.
00:57En Hongrie, vous obéiriez à Xi Jinping.
01:00En Hongrie, vous obéiriez à Vladimir Poutine.
01:03En Hongrie, vous supprimeriez les élections libres.
01:05Mais vous aurez tous les médias à vous le terminer.
01:09Attendez, monsieur Glucksmann, c'est indique, vous vous en moquez de ces gens que j'ai cités.
01:14Vous n'en avez rien à faire, mais ça se voit, ça se voit, monsieur Glucksmann.
01:19– Je ne vous autorise pas à dire ça.
01:21– Vous ne m'autorisez rien du tout.
01:23– Laissez-le répondre, laissez-le répondre.
01:24– Non, non, là, vous ne donnez pas le bon exemple.
01:27– Vous utilisez ce victime pour faire la pub, vous arrêtez, vous ne donnez pas le bon exemple.
01:32Raphaël Glucksmann, la diversité est-elle…
01:34– Raphaël Glucksmann, la diversité…
01:37– Je peux parler sur la diversité.
01:39– Non, non, non, la diversité est-elle toujours heureuse ?
01:43– Mais la diversité, c'est un problème.
01:45– La diversité, c'est une chance.
01:47– Laissez-le parler, laissez-le parler, Raphaël Glucksmann.
01:49– La diversité, c'est tout.
01:51La diversité, c'est un problème, une chance, une opportunité.
01:54– C'est ça, on va venir.
02:00– Attrécnissage.
02:02Poly videogsmann, la diversité est-elle sub 000.
02:06Donc, la diversité est-elle !
02:09–är Eller divor par l'exploitement.
02:11– Arrêtez-elle 6semble.
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