00:00Personne ne mérite ce que ces personnes-là vivent aujourd'hui
00:03et ça pouvait nous arriver à nous tous.
00:05C'est là qu'il faut savoir.
00:06Il n'y a pas quelqu'un qui est à l'abri d'une situation malheureuse
00:09ou d'une situation de déplacement.
00:30C'est là qu'il faut savoir.
00:59Il y a des choses qui ne sont pas maîtrisées
01:08parce que pendant le spectacle, on donne la place aussi au spectateur.
01:12Il y a des temps où le spectateur prend la parole pour s'exprimer.
01:16Et vous ne savez pas ce qu'il va vous dire.
01:18Et vous ne savez pas le temps qu'il va prendre.
01:20Et nous, on ne coupe pas les gens.
01:21On ne les laisse s'exprimer.
01:22Puisque c'est fait pour ça, la personne déjà donne son accord
01:26pour participer à cette thérapie du groupe.
01:29Et puis, au fur et à mesure, la personne s'implique dans le spectacle.
01:35Mais pas en jouant comme acteur parce que ce n'est pas un spectacle où on joue sa vie.
01:39Non, on ne l'expose pas.
01:40Mais la personne s'explique en faisant des choses pour se libérer,
01:44en participant à des exercices.
01:46Et la personne voit aussi des scènes et peut réagir en fonction des scènes.
01:50Et au fur et à mesure, la personne essaie au-delà simplement d'exprimer les douleurs,
01:56mais aussi d'aller chercher ce qui lui reste pour aller de l'avant.
02:00Il y a, il y a exploding des scènes.
02:09Je suis entrainé de me faire un morceau.
02:12Je suis allé à la maison de Dieu.
02:14Je suis allé à la maison de Dieu.
02:18J'ai vu que le 부모 soit un morceau.
02:23Il y a des gens qui sont incroyables.
02:27Il y a des gens qui ont été prêts.
02:30Il y a des gens qui ont été prêts.
02:32Ainsi, il y a des gens qui ont été prêts.
02:34Il y a des gens qui ont été prêts.
02:37Oui c'est pour moi aussi le plus dans la piscine de la piscine de terre.
02:41Mais je ne furia pas en train de faire trop longtemps.
02:46Elle passe dans le piscine du côté, le risen il s'est passé.
02:51C'est un état en cours comme une furie,
02:56une petite empreinte là,
02:59et elle me fait une courte,
03:00mais je suis en train de passer à cette piscine.
03:04Il n'y a pas d'autres personnes qui se sont en train de se déplacer.
03:10Ces déplacés internes ont actuellement le sourire après le projet,
03:15puisque cette prise en charge psychosociale les a rassurés.
03:21Ils ont retrouvé leurs esprits, ça c'est très important.
03:26Et cette méfiance qu'ils avaient et la stigmatisation d'une certaine ethnie,
03:35ils ont laissé tomber tout ça.
03:38Il y a le vivre ensemble qui a été renforcé.
03:44Il y a un climat de paix qui règne entre eux déplacés et les personnes qui les ont accueillis.
03:54Leurs parents.
03:57Il y a une certaine harmonie, une certaine cohésion sociale entre ces personnes-là.
04:04Les personnes déplacées internes qui sont venues ici,
04:06ils n'ont pas demandé à se trouver dans la situation dans laquelle se trouvent.
04:11Ici à Gogo, nous avons vécu la situation, un début d'inclusion terroriste en 2023.
04:19Et nous savons c'est qui ça vaut.
04:21Ils n'ont pas demandé à se trouver dans cette situation.
04:23Il fallait d'abord les rassurer et créer un climat de cohésion sociale entre la population haute et ces PDI qui sont arrivés.
04:32Le Gogo, c'est assez particulier.
04:34Il y a quand même une belle expérience de Gogo que je trouve qui peut servir à tout le Burkina.
04:40C'est qu'à Gogo, il n'y a pas de camps de personnes déplacées internes.
04:43En tout cas, dans le centre-sud, ils ne reçoivent pas les gens dans des camps comme dans certaines régions.
04:49Ils ont essayé d'accueillir les personnes déplacées là, chez l'habitat.
04:53Donc, ils sont intégrés dans les villages.
04:57Donc, même pour avoir accès à elles, il faut avoir accès même au village, avoir accès au président CVD.
05:03Et ça permet déjà même d'apaiser ces personnes-là parce qu'elles sont accueillies dans des familles.
05:09Et souvent, les familles déjà les accompagnent.
05:11Souvent même, il y a certains besoins qui vont être pris en compte.
05:13Donc, ça, c'est une démarche de solidarité que je salue, que je trouve qui est à multiplier dans les autres régions.
05:21Parce que si entre frères et soeurs, fils et filles du pays, on peut s'accueillir, s'accepter comme ça,
05:27c'est déjà un symbole de solidarité et de résilience.
05:35Nous avons un certain nombre d'exercices que nous pouvons proposer.
05:39Et nous avons aussi des jeux que nous pouvons proposer.
05:42Mais il y a des choses qui ne sont pas maîtrisées.
05:45Parce que pendant le spectacle, on donne la place aussi au spectateur.
05:48Il y a des temps où le spectateur prend la parole pour s'exprimer.
05:52Et vous ne savez pas ce qu'il va vous dire.
05:54Et vous ne savez pas le temps qu'il va prendre.
05:56Et nous, on ne coupe pas les gens.
05:58On les laisse s'exprimer.
05:59Puisque c'est fait pour ça, la personne déjà donne son accord pour participer à cette thérapie du groupe.
06:06Et puis, au fur et à mesure, la personne s'implique dans le spectacle.
06:11Mais pas en jouant comme acteur.
06:13Parce que ce n'est pas un spectacle où on joue sa vie.
06:15Non, on ne l'expose pas.
06:17Mais la personne s'explique en faisant des choses pour se libérer, en participant à des exercices.
06:22Et la personne voit aussi des scènes et peut réagir en fonction des scènes.
06:27Et au fur et à mesure, la personne essaie au-delà simplement d'exprimer les douleurs.
06:32Mais aussi d'aller chercher ce qu'il lui reste pour aller de l'avant.
06:37Musique
06:49Musique
06:50Musique
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07:07Quand je l'ai dit, j'étais l'un des enfants.
07:13Ils n'ont pas caché et ils n'ont pas caché.
07:17Il n'y aurait jamais eut l'un des enfants.
07:20Il n'y a pas que les enfants m'avaient les enfants.
07:27Parce que je leur ai tous acheté un enfant.
07:31Donc, ils ont le droit de faire leur téléphone.
07:35Quand j'ai appris la vie, j'ai rencontré des enfants.
07:42J'ai rencontré des enfants.
07:44Les enfants n'ont pas de la vie.
07:48Quand j'ai rencontré des enfants, j'ai rencontré des enfants.
07:59Ainsi, je suis allé en train de se battre en train de se battre.
08:05Il s'agit que j'ai oublié de faire un grand-père.
08:09Je lui ai dit que j'ai oublié de ne pas faire son grand-père.
08:14Je lui ai dit que j'ai oublié de ne pas se battre.
08:18Mais j'ai eu laissé, je lui ai oublié de ne pas se battre.
08:22Je lui ai oublié de ne pas se battre.
08:27Il n'y a pas d'argent, il n'y a pas d'argent, il n'y a pas d'argent, il n'y a pas d'argent, il n'y a pas d'argent, il n'y a pas d'argent.
08:40Il y en a qui continuent de me contacter, puisque quand elles ont fait le perlage, on les a dotées de matières premières, elles ont fini de faire tout, tout, tout, et puis je pense qu'il y a au moins 3 à 4 qui sont revenus vers moi
08:56pour prendre des perles pour aller refaire, voilà. Il y en a aussi qui ne sont plus ici, qui sont partis, donc c'est ainsi quoi.
09:06En tout cas, celles qui ont repris et qui continuent dans le domaine-là, elles apprécient vraiment, voilà.
09:11Je pense que dans les jours à venir, le jeudi prochain, nous allons organiser la journée de communauté.
09:27Et la journée de communauté, nous voulons que la majorité des participants, la moitié des participants soient les personnes déplacées internes.
09:33Voilà, ils vont montrer, ils vont montrer leur savoir-faire. Tout ça là, c'est pour quand même promouvoir la culture, la cohésion sociale.
09:42Et aussi, il y a un festival que nous devons faire, le festival de Remgogo.
09:47On va voir parmi ces PDI, les populations, ceux qui peuvent nous faire des démonstrations, voilà, c'est ce que nous voulons.
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