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00:00Et on a maintenant, qui nous a rejoints dans le studio, Géraud Verny, député UDR, et on est à des Bouches-du-Rhône, et on est très content de vous avoir.
00:08Oula, d'être là.
00:09On est encore en vie, tout va bien, vous êtes en direct sur Europe 1, on va peut-être bientôt mourir, mais moi je prends au paradis.
00:16Alors, ce matin, le projet de budget de 2026 dévoilé par le gouvernement affiche des objectifs ambitieux,
00:23une hausse de la taxation des grandes entreprises, près de 4000 amendements déposés à l'Assemblée nationale,
00:27des doutes sérieux de la part du Haut Conseil, des finances publiques sur la solidité des hypothèses retenues,
00:33beaucoup de débats, peu de certitudes.
00:35Est-ce que vous pensez que ce budget protecteur bénéficiera réellement aux citoyens,
00:39ou bien est-ce qu'il privilégie d'abord les comptes de l'État ?
00:42Est-ce qu'on va vers trop de taxes ?
00:43Beaucoup de questions à se poser ce matin.
00:45Appelez-nous au Standard Europe 1.
00:470, 1, 80, 20, 39, 21.
00:49Alors, Géraud Verny, député UDR, qu'est-ce que vous pensez déjà de ce budget ?
00:56A quel point croyez-vous que cette hausse d'impôts sur les grandes entreprises,
01:00là, dont on a parlé, va vraiment profiter aux citoyens,
01:02puisqu'on va déjà vers ça ?
01:04Toujours des taxes, des taxes, des taxes.
01:06Oui, bonjour Christine Kelly, merci de me recevoir.
01:09Écoutez, ce qu'il faut regarder...
01:11D'abord, vous n'avez pas peur de mourir, si jamais il se passe quelque chose,
01:14nous avons une alarme en direct.
01:16La mort fait partie de la vie.
01:17La mort, j'adore !
01:18Quand on habite au bord de la Méditerranée, on est habitué à avoir des sirènes.
01:22Oui, c'est vrai.
01:24Non, toujours brillant, la mort fait partie de la vie, je dis ça tous les jours à ma fille.
01:28Alors, pardonnez-moi, on parlait du budget et du fait que,
01:31de cette hausse d'impôts sur les grandes entreprises, est-ce qu'elle va profiter aux citoyens ?
01:36Oui, alors j'ai beaucoup plus peur de ce budget que de l'alarme incendie qui s'est déclenchée,
01:41parce qu'en réalité, on nous parle de hausse de fiscalité massive,
01:4619 milliards d'euros, quand même, c'est pas rien,
01:49mais dans le pays le plus taxé du monde, d'ores et déjà.
01:53Le pays le plus taxé du monde, le pays qui a la dépense publique...
01:55Alors, excusez-moi, on apprend, je vous dis tout en direct,
01:59qu'il y a un départ de feu dans la loge maquillage.
02:02Petite surchauffe, oui, dans la loge maquillage à côté.
02:04Petite surchauffe, oui, dans la loge maquillage à côté.
02:06Fabrice Laffitte, le réalisateur, mais maîtrisé.
02:09Vous pouvez respirer, vous qui êtes au volant de votre voiture,
02:11vous qui êtes en train de cuisiner, etc.
02:13On va encore vivre quelques jours de plus.
02:15Un invité tout feu tout flamme.
02:18Voilà.
02:18Alors, je vous prie de bien vouloir, mais excusez,
02:20on parle du budget et de cette folie budgétaire,
02:23cette folie des taxes, Géraud Verny, pardon.
02:26Bah oui, parce qu'en fait, on connaît le problème en France,
02:28le problème c'est la dépense publique.
02:30On a le pays qui a la dépense publique la plus élevée du monde.
02:32Non mais on parle que de taxes, c'est un tout de un de fou.
02:34Oui, mais pour alimenter ces dépenses, il faut des taxes.
02:38Le gouvernement, enfin les gouvernements successifs,
02:41avaient le choix depuis des années de faire le choix du courage,
02:44de l'audace et de réduire justement ces dépenses,
02:47de remettre de l'efficacité au service des Français.
02:50Et en fait, ils choisissent systématiquement la facilité.
02:52Si vous voulez, on va corneriser les grandes entreprises,
02:56les riches, les étrangers, etc.
02:58Mais en fait, les vrais responsables de cette situation,
03:01ce sont les parlementaires.
03:02C'est systématiquement le Parlement qui vote ses budgets
03:05et aujourd'hui, on a un gouvernement et un Parlement qui dit aux Français,
03:11écoutez, il va falloir encore payer pour notre lâcheté politique.
03:14Encore payer pour notre lâcheté politique.
03:16Et c'est vrai que...
03:17Bon, ça, il y a l'alarme, c'est arrêté.
03:19Payer pour notre lâcheté politique.
03:20Et c'est vrai qu'on ne parle pas de cette réduction des dépenses.
03:23Il y a eu plusieurs contre-budgets, du Rassemblement National,
03:27de reconquête, personne ne parle de ces...
03:29Je ne sais pas, on parlait...
03:31Hier, par exemple, j'avais un invité sur CNews
03:33qui disait que ne serait-ce que le coût de la délinquance,
03:36c'est 150 milliards d'euros par an.
03:38Je veux dire, on ne voit pas justement des propositions de ce sens-là,
03:41mais on va vers les taxes.
03:42Est-ce qu'un budget, surtout axé sur la taxation
03:45et non sur la dépense publique,
03:46vous semble efficace ou bien trop risqué, mon cher Géraud Verny ?
03:49Écoutez, le risque, ça serait de satisfaire les Français, je pense.
03:53Parce que, en fait, pourquoi les Français sont défiants vis-à-vis des politiques ?
03:57Pour une raison très simple.
03:58En fait, les politiques, aujourd'hui, ne répondent plus aux problématiques des Français.
04:02Les Français en ont globalement marre de se faire tondre.
04:06C'est une espèce de sacrifice perpétuel.
04:10Tout le monde est capable de comprendre
04:11que quand on augmente l'impôt sur revenu,
04:14c'est de l'argent en moins dans la poche pour la consommation.
04:16Quand on augmente les taxes sur les entreprises,
04:18c'est les entreprises qui ne peuvent pas augmenter les salaires, etc.
04:20On marque une pause, on revient tout de suite sur ce budget rempli de taxes,
04:25cette folie fiscale selon Bruno Rotaillot.
04:29Restez avec nous sur Europe 1.
04:30Et vous pouvez interroger, échanger avec notre invité Jérôme Vernier au 01-80-20-39-21,
04:3512h14.
04:35A tout de suite avec Christine Kelly sur Europe 1.
04:40Merci de nous rejoindre sur Europe 1.
04:4112h17, Christine Kelly et vous.
04:43La suite avec vous, chers auditeurs,
04:45au 01-80-20-39-21.
04:47Nous revenons sur le budget 2026
04:49avec notre invité, chère Christine Jérôme Vernier,
04:51députée UDR des Boucherounes.
04:52Oui, Jérôme Vernier, je vous donne la parole dans un instant.
04:55Tout de suite, je vais prendre peut-être François qui nous appelle des Yvelines
04:58et vous dites que c'est un budget socialiste, François ?
05:02C'est tout à fait...
05:03Bonjour madame et bonjour monsieur le député.
05:06Oui, c'est tout à fait un budget socialiste.
05:10Vous savez, je pense qu'il faut vraiment que nos concitoyens,
05:12les Français comprennent que la gauche leur ment depuis toujours sur ces sujets-là
05:16parce que son but, c'est d'entretenir et de faire perdurer un système
05:20dans lequel elle peut vivre très confortablement.
05:24Mais quand on regarde le discours économique qui est tenu
05:28par la plupart des politiques, et particulièrement la gauche,
05:32c'est quand même intérant.
05:33Je dis très juste un simple exemple.
05:35On accuse souvent les grands dirigeants d'entreprises
05:38et les Français qui ont un peu d'argent
05:40d'encaisser les dividendes.
05:43On entend souvent, elle est finie ou particulièrement dire
05:45que les dividendes ont flambé en France
05:49et que c'est les grands riches qui se moivent de dividendes.
05:52Mais quand vous regardez les statistiques de l'INSEE,
05:54vous apercevez que quand une entreprise crée 100 de richesses,
05:58en fait, elle distribue près de 30 en taxes, cotisations sociales
06:03et autres CSG, CRBS.
06:05Elle distribue près de 40% en salaire
06:09et elle ne distribue que 5% de dividendes.
06:12Et ça, c'est constant depuis les années 90.
06:15Très intéressant, comme remarque.
06:16Voilà, on raconte n'importe quoi aux gens.
06:18Oui, et puis Taggibman, etc.
06:21Tout à fait.
06:22Quand on parle de la fortune des Bernard Arnault, des Bolloré, etc.,
06:25qui sont des gens qui ont entrepris, qui ont pris des risques,
06:27qui ont créé des emplois, qui ont créé de la richesse,
06:29mais leur fortune, elle est essentiellement constituée
06:31des actions de leur groupe.
06:33Et imaginez-vous que si un jour,
06:35on apprend que M. Arnault ou M. Bolloré
06:38commencent à vendre des actions de leur groupe,
06:40mais le cours de leurs actions va s'effondrer.
06:43En fait, c'est une fortune.
06:44En dehors des dividendes, c'est une fortune
06:46qu'ils ne peuvent certainement pas appréhender comme ça.
06:48Merci beaucoup, François.
06:51Merci, très très bonne remarque.
06:52Si vous voulez rester en ligne avec nous,
06:54Saména Medjibur, votre regard.
06:55Ensuite, Marc Menand, et je reviens avec vous,
06:57parce que vous, député Géraud Vernier,
07:00vous opposez fermement, par exemple, à la taxe d'Ukman.
07:02Non, non, pas dans un instant.
07:02Oui, alors, je suis entièrement d'accord avec M. François.
07:06Évidemment, M. François, tout à fait.
07:08C'est un budget socialiste,
07:09mais en même temps, faussement socialiste, vous savez.
07:11Parce que quand on regarde, par exemple,
07:12qu'ils ont voté maintenant l'imposition
07:15des frais de scolarité.
07:17Donc, ce ne sont pas les super-riches
07:18qui seront impactés par cette imposition.
07:21Typiquement, les grandes fortunes,
07:22elles ont la possibilité de pouvoir vivre à l'étranger.
07:25Ce sont évidemment les classes moyennes
07:26qui vont subir de plein fouet
07:28les 200 à 300 euros qui vont leur manquer
07:30à ce titre-là.
07:31Quand on voit que la gauche est prête à voter,
07:34pardon, pour la fiscalisation,
07:37mais entendez-moi bien,
07:38des ALD, c'est-à-dire les indemnités journalières
07:41des personnes qui souffrent d'une maladie chronique
07:44qui désormais seront fiscalisées.
07:45Absolument, une ALD à l'affection longue durée
07:47qui seront désormais fiscalisées.
07:49Moi, je n'appelle pas du tout ça un budget de gauche,
07:51j'appelle ça un budget inhumain.
07:52Alors, si la gauche ou les socialistes
07:54veulent s'en prendre au TPE-PME,
07:56elles n'ont absolument pas compris
07:58ce qu'est l'économie réelle,
08:00la façon dont les entreprises font vivre
08:02notre économie,
08:03ce sont eux le poumon économique de notre pays
08:05et vouloir taxer davantage les entreprises,
08:07c'est encore une fois priver notre pays
08:09de sa compétitivité économique,
08:11c'est encore une fois angoisser
08:13les chefs d'entreprise
08:14pour leurs fournisseurs, leurs prestataires
08:15et leurs salariés éventuellement
08:17et les classes moyennes seront encore une fois
08:19frappées de plein fouet
08:20par cette injustice fiscale et sociale
08:22qui visiblement semble ravir les socialistes.
08:24Moi, j'ai l'impression que Sabrina Medjieva,
08:26je suis tellement d'accord avec vous
08:27que tout le monde est d'accord avec vous
08:28mais les députés, on va voir ce qu'ils font
08:29parce que je vais vous poser la question,
08:30mon cher Géraud Vernier.
08:32Marc Menand.
08:33Il y a les grignoteurs,
08:35vous savez, les petits rongeurs,
08:37alors il y en a beaucoup dans le métro à Paris
08:38et puis là, vous en avez
08:40qui cherchent simplement le petit bifeton
08:43pour pouvoir se l'accaparer.
08:45il y a, dans tout ce que vous venez de développer
08:48de taxes inimaginables,
08:51vous avez maintenant le père de famille
08:54qui doit payer, lors du divorce,
08:57il doit payer pour la pension alimentaire,
09:01et bien en plus de la pension alimentaire,
09:04il devra payer un impôt sur cet argent
09:07qu'il verse à son ex-femme et à ses enfants.
09:11Là, on n'entre, ce n'est même plus de l'aberration,
09:13c'est-à-dire qu'on est dans une sorte de folie,
09:16on se demande si ces gens
09:18ont véritablement leur esprit
09:21quand ils se retrouvent dans l'Assemblée.
09:24Peut-être que l'hémicycle devrait fermer plus tôt
09:26pour qu'ils aient une lucidité,
09:28car apparemment, ils ne l'ont plus trop
09:30quand ils passent au vote.
09:31Marc Menand et la pension alimentaire,
09:33en direct sur Europe 1.
09:35Géraud Vernier, vous êtes député UDR.
09:37Vous, on parle tout le temps de la taxe Zuckman,
09:40surtout le service public.
09:41Comment peut-on être dans un pays
09:43où la taxe Zuckman peut être ainsi,
09:45devant de la scène ?
09:45Le pays le plus taxé au monde,
09:46le pays le plus endetté au monde,
09:48le pays où on est à la limite
09:50du consentement à l'impôt,
09:51on n'en peut plus.
09:52Vous vous y opposez fermement,
09:53mais comment est-ce qu'on peut parler
09:55de la taxe Zuckman comme ça, en France ?
09:58Écoutez, chère Christine,
09:59c'est une excellente question.
10:00Merci beaucoup.
10:01Bonne journée.
10:02Si on réfléchit bien.
10:04La taxe Zuckman, c'est quoi ?
10:05Déjà, il faut parler de M. Zuckman, je pense.
10:06M. Zuckman, on nous le présente
10:08comme un prix Nobel d'économie.
10:10Je vous rappelle que le prix Nobel d'économie
10:12n'existe pas.
10:13Déjà, il y a une première escroquerie.
10:15Deuxième escroquerie,
10:16la taxe Zuckman, ça s'appuie
10:18sur un rapport de l'Institut des politiques publiques,
10:21mais le rapport sur lequel s'appuie cette taxe
10:23a été écrit par M. Zuckman.
10:25C'est un peu comme si les automobilistes
10:27se contrôlaient eux-mêmes la vitesse.
10:30Je pense que ce ne serait pas très efficace.
10:32La taxe Zuckman, c'est quoi ?
10:33C'est de dire qu'on est le pays le plus taxé du monde,
10:35effectivement, mais en fait,
10:37on va aller plus loin que ça.
10:38On va collectiviser les entreprises.
10:39Et moi, je ne suis pas d'accord avec vous.
10:41On n'est pas face à un budget socialiste.
10:45On est face à un budget collectiviste.
10:46Oui, bien sûr.
10:47Ça fait très longtemps que la France est dans le socialisme.
10:49Mais aujourd'hui, le projet de la gauche,
10:51c'est de tout prendre.
10:52Oui, tout à fait.
10:52De tout prendre.
10:53De tout prendre.
10:53De tout prendre.
10:53De tout prendre.
10:54Je fais une parenthèse sur M. Zuckman.
10:57Vous parliez de son profil tout à l'heure.
11:00Rappelons aussi qu'il a signé une tribune
11:01pour le NFP,
11:02le dernier jour des législatives.
11:04Bien sûr, mais leur projet,
11:06en fait, quel est le projet de la gauche,
11:08de cette gauche-là,
11:08de la France insoumise ?
11:10C'est la collectivisation de tous les biens.
11:12En fait, plus rien.
11:13La propriété n'existe plus.
11:15Les entreprises n'existent plus.
11:17Tout doit être géré par l'État.
11:19Ça s'appelle l'URSS.
11:20Absolument.
11:20On a vu ce que ça pouvait engendrer.
11:22Ça s'appelle le Venezuela.
11:23Ça s'appelle Cuba.
11:24Ça s'appelle la Corée du Nord.
11:26On a vu ce que ça donnait.
11:27Et il faut se battre farouchement.
11:29Donc, ce sont les Français moyens
11:30qui vont passer à la caisse ?
11:31Ce sont tous les Français.
11:32Tous les Français.
11:33Les Français moyens.
11:33Tous les Français.
11:35Jérôme Verny, vous êtes député.
11:36Vous souriez parce que vous sentez
11:38le scud arriver.
11:39Qu'est-ce que vous faites ?
11:40Qu'est-ce que vous faites pour nous ?
11:41Aidez-nous.
11:42Aidez-nous à faire entendre
11:43la voix du peuple.
11:45Alors, écoutez,
11:46chère Christiane,
11:46c'est ce que je fais au quotidien.
11:48Et je vous remercie
11:49pour votre soutien.
11:50Que faites-vous ?
11:51Des heures et des heures
11:52et des heures à écouter
11:53et à se battre
11:55contre cette gauche
11:55et contre la lâcheté.
11:57Parce qu'en fait,
11:57le problème,
11:58c'est pas tant qu'il y ait
11:58des députés de gauche
11:59libres à eux.
12:00Le problème,
12:01c'est la lâcheté
12:01des députés du centre
12:02qui sont dans le fond
12:04tout à fait conscients
12:05des dangers
12:06que représentent
12:07toutes ces mesures
12:08qui sont portées par la gauche
12:09mais qui ne font rien
12:10pour les combattre.
12:11Il faut être capable
12:12de dire
12:13jour après jour
12:14vous êtes dans l'erreur,
12:16ce que vous faites
12:17est dangereux,
12:17vous êtes en train
12:18de détruire la France
12:19et de l'affirmer haut et fort
12:20et de porter cette voix
12:21dans l'hémicycle
12:22et c'est ce que font
12:23tous les députés de l'UDR.
12:24D'ailleurs,
12:24sur la taxation des héritages,
12:26vous parlez même
12:26de l'impôt sur la mort.
12:27Bien sûr.
12:28Bien sûr.
12:29Bien sûr,
12:30parce qu'on a
12:31la présidente de l'Assemblée nationale
12:32qui nous explique
12:33que l'héritage
12:36aujourd'hui
12:37est quelque chose
12:38qui tombe du ciel,
12:39je crois que ce sont ces termes.
12:41On est le pays,
12:43là-dessus encore,
12:44qui taxe le plus
12:45l'héritage dans le monde.
12:46Or,
12:48curieusement,
12:48on se retrouve
12:48dans une situation
12:49où on n'a pas
12:50d'entreprise
12:50de taille intermédiaire.
12:52Cherchez le rapport.
12:53Géraud Verny,
12:54très en colère
12:55par rapport à ce budget
12:57en ce moment.
12:57D'ailleurs,
12:58vous nous avez dit en off
12:58qu'il ne va pas arriver au bout,
12:59selon vous.
13:01Effectivement,
13:02et je crois que ça arrangera
13:02tout le monde
13:03parce qu'il y a
13:03des telles hérésies
13:04dans ce budget
13:05que la probabilité
13:06soit forte
13:07que finalement,
13:08on passe directement
13:09au Sénat,
13:10que la partie initiale
13:12bascule au Sénat
13:13et que ça se règle
13:14dans le cadre
13:15d'une commission
13:15paritaire.
13:16Géraud Verny,
13:17député UDR de la gauche du Ronde,
13:18restée avec nous.
13:18La politique va gagner
13:19en crédibilité.
13:20Exactement.
13:20Elle va devoir travailler
13:22pour ça.
13:23Alors,
13:24Anthony,
13:24vous nous appelez de Ronald.
13:26Bonjour Anthony.
13:27Vous êtes un peu d'accord
13:28avec nous ?
13:29On se dit qu'on cherche
13:30toujours à taxer,
13:30c'est ça ?
13:31Bonjour,
13:32oui.
13:32Merci déjà de me recevoir.
13:34Effectivement,
13:35je suis d'accord avec vous
13:37puisque aujourd'hui,
13:39moi,
13:39j'ai un vrai problème
13:40avec ces taxes.
13:42C'est qu'on ne parle pas
13:43du sujet de fonds
13:44qui est la réindustrialisation
13:45de la France.
13:45Ah, bien sûr.
13:46On est d'accord.
13:47On parle de Zuckman.
13:49Dans ces cas-là,
13:51très bien,
13:51on n'a qu'à aller plus loin.
13:52On n'a qu'à taxer aussi
13:53l'immobilier,
13:54valoriser un million d'euros
13:55de certains politiques
13:56dont je ne citerai pas de nom.
13:58Tout à fait.
13:58On n'a qu'à leur dire
13:59vous donnez 3%,
14:00donc 30 000 euros par an
14:01sur de l'argent
14:02que peut-être loin
14:04et non pas.
14:05Voilà.
14:05Oui,
14:06voilà.
14:06Donc,
14:07aujourd'hui,
14:07le vrai problème,
14:08c'est l'industrialisation.
14:10Si on industrialise le pays,
14:11on va payer du foncier
14:12à travers les entreprises.
14:14On va rétablir
14:14une partie
14:16de l'emploi en France
14:17qui fait qu'il y aura
14:18quand même plus de taxes
14:19et il est là,
14:20le sujet de son.
14:20Il est à l'innovation.
14:21Ce n'est pas ce que vous dites
14:22exactement.
14:22Anthony,
14:23restez avec nous.
14:23m'envoyer.
14:25M'envoyer.
14:26M'envoyer.
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