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N.Sarkozy bientôt libéré ? G.Fenech explique les raisons qui tendent vers cette possibilité
Europe 1
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il y a 4 semaines
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00:00
Europe 1, Pascal Proulx est venu.
00:02
Sarah Salman est avec nous, Georges Fenech et Sarah est avocate, Georges Fenech est ancien magistrat,
00:09
donc vous allez également pouvoir vous exprimer sur l'aspect juridique.
00:12
Gauthier Lebrecht, Olivier Guenegg, Jean-Claude Darmon qui est avec nous bien évidemment.
00:16
Je voulais quand même vous faire écouter quelques éléments avant de poursuivre la conversation.
00:23
Et notamment cette Marseillaise qui a été chantée ce matin à 9h10 devant le domicile de Nicolas Sarkozy.
00:30
Marseillaise spontanée.
00:36
Alors en voyant ces images ce matin, et c'est ça qui est le plus terrible dans cette vie romanesque,
00:40
il y avait comme en miroir le soir de 2007 lorsqu'il est président de la République.
00:46
Et ces vies, parfois, effectivement, ces vies sont surprenantes parce qu'il y avait ce cortège en 2007
00:52
qui avait suivi le président Sarkozy jusqu'à la Concorde avec beaucoup de caméras.
00:57
Et c'était un soir de fête.
00:58
Et là, il y avait aussi un cortège, il y avait aussi des motards, il y avait aussi des caméras.
01:02
Mais elles le suivaient pour aller à la prison de la santé.
01:05
Écoutez, Maître Christophe Ingrin, avocat de Nicolas Sarkozy.
01:09
Au moment où nous parlons, la demande de mise en liberté de Nicolas Sarkozy a été déposée.
01:14
À partir du moment où il a mis un pied en détention,
01:17
les critères qui justifient cette détention ne trouvent pas à s'appliquer.
01:22
Et on pourrait craindre qu'il ne se présente pas, qu'il ne reste pas à la disposition de la justice.
01:26
À 9h35, un peu en avance, il était devant la maison d'arrêt pour être incarcéré.
01:32
Il n'y a pas de risque de renouvellement des faits.
01:35
Pas de risque de destruction de preuves.
01:36
Il n'y a pas de preuves.
01:37
Pas de risque de pression sur les témoins.
01:40
Rien ne justifie la première heure de détention.
01:44
Il y est pour un minimum de trois semaines ou un mois.
01:47
Puisque la Cour d'appel a deux mois pour statuer sur une demande de mise en liberté.
01:52
Et le délai moyen à la Cour d'appel de Paris, c'est un mois.
01:56
Donc, en tout état de cause, même si rien ne justifie cette détention,
02:00
il y est pour un mois.
02:01
C'est un moment qui est très dur.
02:03
À 16h19, sur Europe 1, la parole de Maître Christophe Ingrin,
02:07
avocat de Nicolas Sarkozy.
02:08
Autre avocat de Nicolas Sarkozy, Jean-Michel Darrois.
02:12
C'était ce matin.
02:13
C'est un jour funeste.
02:15
Pour lui, pour la France, et pour nos institutions.
02:21
Car cette incarcération est une honte.
02:25
Et ce que nous espérons, c'est que la Cour d'appel
02:28
rétablira la justice française dans la dignité qu'elle mérite.
02:33
Alors, Sarah Salman, on va ouvrir le sujet de l'exécution provisoire,
02:38
qui a été ouverte d'ailleurs par Emmanuel Macron,
02:40
puisque Emmanuel Macron a dit que c'était un débat légitime.
02:43
Cette exécution provisoire, je crois que ça fait un an ou deux ans que j'entends ce mot-là.
02:47
Pendant 40 ans, 50 ans, je n'ai jamais entendu parler
02:50
dans un jugement d'exécution provisoire.
02:53
Pourquoi ? Parce qu'il y avait la double juridiction.
02:56
Si l'exécution provisoire, c'est d'une certaine manière supprimer l'appel.
02:59
Oui, d'une certaine manière, on pourrait dire ça comme ça,
03:01
mais les juges sont libres de l'appliquer ou non.
03:04
Là, il faut croire qu'ils prennent de plus en plus la latitude de l'appliquer.
03:07
Est-ce que si ça avait été quelqu'un d'autre que Nicolas Sarkozy,
03:10
est-ce qu'il l'aurait appliqué ? Peut-être pas.
03:12
Qu'est-ce qui se passe ?
03:13
J'ai un souci.
03:14
C'est-à-dire le micro. Qu'est-ce que ça veut dire, le micro ?
03:16
Il faut que Sarah se rapproche un petit peu plus de son micro.
03:18
Parlez clairement.
03:21
Sarah, parlez dans le micro.
03:23
On me dit le micro. Je vous en prie.
03:24
Je ne sais plus où j'en étais.
03:26
Non, je disais, l'exécution provisoire, si ça n'avait pas été Nicolas Sarkozy,
03:30
peut-être que les juges, dans leur appréciation souveraine,
03:32
ne l'auraient pas appliqué.
03:34
C'est ça aussi.
03:34
Mais si vraiment c'est si injuste que ça,
03:36
et on peut en débattre, il faudrait changer les choses.
03:39
Oui, mais ce qui est tout à fait sidérant,
03:41
et là aussi, moi je découvre ça,
03:44
cette exécution provisoire,
03:46
elle n'est pas contestable.
03:47
Non, elle est insusceptible d'appel.
03:49
Oui, mais alors, c'est...
03:51
C'est la loi Sapin.
03:52
C'est la loi Sapin, j'entends cela,
03:55
mais c'est quand même extraordinaire
03:56
pour un justicial
03:58
de subir une peine
04:01
qu'il ne peut pas contester.
04:03
Je vais vous dire, tout est scandaleux dans ce dossier.
04:05
Oui, c'est pas une peine.
04:06
C'est pas une peine, vous appelez ça comment ?
04:09
C'est une mesure provisoire.
04:10
Oui, mais on joue sur les mots.
04:12
Moi, je vais vous envoyer en prison et je vais vous dire que c'est pas une peine.
04:14
En attendant, si Nicolas Sarkozy est relaxé en appel,
04:16
ce qui est une issue tout à fait possible,
04:18
le préjudice ne sera jamais réparé.
04:20
Parce que là, il va les passer,
04:21
ces quelques semaines en prison.
04:22
On nous dit, ces quelques semaines, ces quelques mois.
04:24
Il faut quand même les passer, les quelques mois.
04:26
Il va arriver, il va être fouillé,
04:27
on va prendre ses empreintes,
04:29
il va être traité de façon dure.
04:31
Il ne faut pas croire que parce qu'il est dans le quartier vulnérable,
04:34
ça sera facile.
04:35
Oui, ce sera difficile.
04:36
Et le taux d'occupation de la santé,
04:38
c'est 188%, à peu près.
04:40
180-188%.
04:41
Le taux national d'occupation, c'est 130%.
04:44
Pourtant, moi, je pense qu'on doit mettre les individus les plus dangereux
04:48
s'il y a un taux d'occupation extrême.
04:50
Et on choisit de laisser certaines personnes extrêmement dangereuses
04:53
sous contrôle judiciaire, sans garantie de représentation.
04:56
On en parle tous les jours sur les plateaux.
04:58
Mais Nicolas Sarkozy, on se dit, on va le mettre derrière les barreaux
05:02
alors qu'il a des garanties de représentation,
05:04
alors que ce n'est pas un danger pour la société.
05:05
Il s'est présenté à toutes ses convocations.
05:08
La seule possibilité d'interprétation, c'est qu'il y a la volonté de l'humilier.
05:12
C'est la seule analyse que je peux faire.
05:14
Georges Fenech ?
05:15
Moi, j'attire votre attention, parce que j'entends depuis et depuis ce matin,
05:20
comme si on voulait se rassurer, Nicolas Sarkozy,
05:23
dans trois semaines, un mois, il sera dehors.
05:27
Il a au-dessus de la tête cinq ans à faire.
05:30
Quand l'appel viendra, je crois que c'est mois de mars,
05:33
c'est fixé, il me semble déjà.
05:35
Il sera fixé à ce moment-là, est-ce que ces cinq ans vont tomber ou pas ?
05:40
C'est cinq ans qu'ils risquent, en réalité.
05:43
Là, on est sur une mesure provisoire, la détention provisoire,
05:46
et effectivement, elle sera levée, parce que les deux critères,
05:49
le critère essentiel tombe.
05:50
Donc, vous pensez qu'il sera sorti dans trois semaines à un mois ?
05:52
Ils ne peuvent pas faire autrement de libérer.
05:53
Ils ne peuvent pas faire autrement.
05:54
Oui, mais vous dites ça, ils ne peuvent pas faire autrement.
05:56
Ils ne le mettront pas en prison.
05:57
Il n'a plus de 70 ans.
05:58
Je vous explique pourquoi.
06:00
Vous avez trois critères,
06:02
sauf que c'est à l'attitude du juge,
06:03
et qu'il peut considérer l'ordre public.
06:05
L'ordre public, c'est très large.
06:06
Oui, mais il ne peut plus se référer à l'ordre public,
06:10
puisque ça tombe maintenant, l'ordre public, c'est fini.
06:12
Au moment de la demande de mise en liberté,
06:15
ce critère qui est valable au moment de la mise en détention,
06:17
n'est plus valable.
06:18
Pourquoi ?
06:19
Parce que la loi est mal foutue.
06:21
La loi est mal foutue.
06:21
Il y a une disparité entre...
06:23
C'est-à-dire qu'il n'y a plus d'ordre public,
06:24
il n'y a plus de troubles à l'ordre public.
06:25
Le critère à l'ordre public, il est tombé.
06:26
C'est fini, on n'en parle plus.
06:28
Il ne reste plus que là.
06:28
Vous confirmez ?
06:29
Oui, je confirme, il est en détention.
06:30
Il y a des critères pour la demande de mise en liberté,
06:35
vous avez des critères pour la détention provisoire.
06:36
Donc, quels sont les critères pour la remise en liberté ?
06:39
Il y a trois critères pour la mise en détention.
06:41
Il y a l'ordre public, il tombe.
06:43
Celui-ci n'existe plus dans le cadre de cette procédure.
06:45
Et les deux autres critères, c'est les garanties de représentation.
06:48
Est-ce qu'il peut s'enfuir ou pas ?
06:49
Et est-ce qu'il peut récidiver ou pas ?
06:51
Que je sache, Kadhafi est mort, il ne va pas récidiver avec Kadhafi.
06:54
Et il a toujours répondu aux convocations.
06:55
Donc, il n'y a plus aucun critère objectif
06:57
pour pouvoir le maintenir en détention.
06:59
Donc, il sera libéré, effectivement, dans trois semaines, un mois.
07:03
Mais ça ne veut pas dire pour autant
07:04
qu'il en aura fini avec cette affaire.
07:06
Mais Georges, vous parliez de l'appel.
07:08
Il ne faut pas sous-estimer la volonté du PNF
07:10
de se venger en appel.
07:11
Parce que ça a été un camouflet terrible pour...
07:14
J'ai cité Rémiès tout à l'heure à tort.
07:17
C'est le patron du PNF qui avait
07:18
contre-attaqué sur une radio
07:20
juste après le jugement, en disant le contraire
07:22
du jugement, en disant le contraire de la vérité.
07:24
En disant, il y a eu argent libyen,
07:26
il y a eu pacte de corruption, alors que le jugement venait
07:28
de dire l'inverse. Donc, le PNF, pour eux,
07:31
si Nicolas Sarkozy n'était pas envoyé en prison,
07:33
c'était terminé.
07:34
À midi, quand on a eu les premiers chefs d'inculpation,
07:36
les trois qui sont tombés, tout le monde a dit
07:37
le PNF va fermer, ils vont mettre la clé sous la porte.
07:40
C'était un camouflet aussi terrible pour Mediapart,
07:42
avec ce document qui était probablement un faux.
07:44
Je cite la juge.
07:45
Donc, on a vu se mettre en place
07:46
une contre-attaque, à la fois de Mediapart
07:49
et du PNF,
07:50
pendant plusieurs jours.
07:51
Et le PNF, au début, a dit tout de suite,
07:54
on va faire appel. Puis après, ils ont joué l'ambiguïté.
07:55
Et au final, ils ont fait appel.
07:57
Donc, il y a une volonté du parquet national financier
07:59
de voir ces trois chefs d'inculpation
08:01
qui sont tombés en première instance
08:03
retenus à l'appel.
08:05
Donc, il ne faut pas sous-estimer
08:06
la volonté du PNF de se venger aussi en appel.
08:09
Et puis, le PNF qui voit cette séquence
08:11
qui ne lui convient pas, sans doute,
08:14
qui voit un Nicolas Sarkozy offensif,
08:16
qui voit un...
08:16
Ils sont bien contents de le voir en prison.
08:19
Oui, mais...
08:20
Il n'y est pas allé comme il le voulait.
08:21
Oui, mais ils sont...
08:22
Il est allé la tête aux hôtes, comme disait Jean-Betard.
08:23
Oui, mais ils sont bien contents
08:24
que ce soit un risque derrière les barreaux.
08:25
Georges Fenech, là aussi,
08:27
aujourd'hui, on est dans un rapport de défiance
08:30
à la justice.
08:31
Et vraiment, je regrette de le lire.
08:33
Mais les citoyens qui nous écoutent
08:35
se disent pourvu qu'on ne ait jamais
08:38
affaire à la justice.
08:40
Et que se disent-ils, les citoyens ?
08:43
Ils se disent qu'il y a une forme
08:44
de corporatisme qui existe dans la justice.
08:47
À partir du moment où il a été condamné
08:49
dans un premier jugement,
08:51
qu'il passe quelque temps en prison,
08:54
vous imaginez un jugement derrière
08:55
qui le relaxerait ?
08:57
C'est-à-dire que tout ce cirque-là
08:59
aurait été fait pour rien ?
09:00
Ça ne posera aucun problème au juge.
09:02
Mais vous...
09:03
Georges...
09:03
Non, non, non, non.
09:05
Vous ne les connaissez pas.
09:06
Regardez la jurisprudence François Bayrou.
09:07
Il n'engage aucune responsabilité.
09:10
Georges, vous pensez vraiment...
09:11
Qu'est-ce qu'il est devenu le juge Burgon ?
09:16
Il a eu un blâme.
09:16
Qui est passé à la commission d'outreau.
09:18
J'en faisais partie de la commission.
09:19
Mais ils s'en foutent.
09:20
Vous imaginez...
09:22
Vous imaginez...
09:23
Un tribunal d'appel
09:25
relaxé sur tous les sujets.
09:27
Nicolas Sarkozy.
09:28
Alors que Nicolas Sarkozy
09:30
a passé trois semaines en prison.
09:31
Les juges du tribunal.
09:32
Je l'espère.
09:33
Ils continueront leur brillante carrière.
09:35
Vous inquiétez pas.
09:36
Je peux vous citer des tas d'exemples.
09:37
Il y a une telle irresponsabilité
09:38
quand vous êtes avocat,
09:39
vous faites une connerie,
09:40
vous allez devant le conseil de l'ordre.
09:41
Quand vous êtes médecin,
09:41
vous allez devant le conseil de l'ordre.
09:43
Quand vous êtes juge,
09:44
vous pouvez faire absolument ce que vous voulez.
09:46
Vous avez quasiment aucune sanction.
09:48
Au nom de l'indépendance.
09:49
Exactement.
09:49
Le juge Burgon,
09:50
c'était quand même la plus grave erreur judiciaire.
09:53
Il a eu un blâme.
09:54
Un blâme.
09:55
C'est rien.
09:56
Exactement.
09:56
Il avait été plutôt parqué de Paris.
09:59
Côte cassation maintenant,
10:00
je crois qu'il est là.
10:01
Exactement.
10:01
Mais il n'y a aucun problème.
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