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Philippe de Villiers passe en revue l'actualité de la semaine dans #FaceAPhilippedeVilliers. Présenté par Eliot Deval

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Transcription
00:00C'est 19h sur CNews et c'est un grand plaisir, c'est un plaisir absolu de retrouver Philippe Devilliers face à Philippe Devilliers de retour.
00:09Cher Philippe, bonjour.
00:11Bonsoir Elliot, bonsoir Geoffroy.
00:14Geoffroy Lejeune nous a retrouvés bien évidemment comme la saison précédente.
00:18C'est la troisième saison de Face à Philippe Devilliers sur CNews en direct de 19h à 20h.
00:24Geoffroy Lejeune, bonjour.
00:25Bonsoir.
00:26Et si vous voulez bonsoir et joyeux anniversaire.
00:28Merci.
00:29C'était mercredi.
00:30Oui, vous aussi Elliot, c'était il n'y a pas longtemps.
00:32Oui, mais vous l'avez oublié.
00:33Oui, oui.
00:34Philippe Devilliers le 22 août.
00:35Maintenant, vous y penserez Philippe Devilliers peut-être.
00:38Surtout que tout l'été, si vous voulez, j'y pensais à vous.
00:42Directement ou indirectement.
00:43Pourquoi ?
00:44Parce que j'ai été interpellé pendant tout l'été et il faut saluer les téléspectateurs qui nous regardent, les Français qui nous regardent et qui n'arrêtaient pas de me parler de vous.
00:53Au bout d'un moment, je leur disais laissez-moi tranquille, je suis en vacances.
00:55Ils ne me parlaient que de vous en disant mais cette émission est formidable.
00:59Et c'est un bonheur.
01:00Et quand est-ce qu'il revient ?
01:01Ça y est, vous êtes de retour Philippe Devilliers.
01:04Vous avez été interpellé par des Français un peu ou pas ?
01:06Non.
01:06Ah bon ? Vous étiez caché ?
01:09Oui.
01:10Vous étiez reclus ?
01:11J'ai fait une tentative, dois-je vous le confesser ?
01:16D'initiation au You-Gi-Oh.
01:24Ah, le jeu de cartes.
01:26Président Macron attendait un représentant pour la France dans le championnat du monde qu'il a présenté à la télévision.
01:37Peut-être qu'on en mentera tout à l'heure.
01:39Et puis je n'étais pas au niveau.
01:43Vous n'aviez pas pu représenter la France.
01:45Mais il y a une autre exemple par laquelle je n'ai pas eu de vie publique.
01:51Laquelle ?
01:52C'est parce que, en fait, j'ai décidé d'écrire.
01:56C'est-à-dire que dans la situation où est notre pays, et dans l'état d'esprit inquiet qui était le mien,
02:05je me suis dit que je devais écrire un livre sacrificiel où je dis tout.
02:15Parce que, et celui qui s'appelle Populicide.
02:19Parce que je ne veux pas que notre pays meure.
02:28Nous sommes face à un crime perpétré par une gendre politicienne qui échappe au jugement de l'instant.
02:35Nous sommes en train de changer de peuplement.
02:38Nous sommes en train de changer d'art de vivre.
02:41Nous sommes en train de changer de civilisation.
02:43Quand on tue un homme, cela s'appelle un homicide.
02:53Et quand on tue un peuple, cela s'appelle un populicide.
02:58Et on a entrevu la couverture de Populicide, qui sera publiée le 8 octobre prochain.
03:07Philippe Devilliers, Populicide.
03:09L'année dernière, c'était Mémoricide.
03:10Cette année, Populicide.
03:12Précommande déjà, on peut déjà le précommander, dans toute la France.
03:16Et donc, le 8 octobre, on pourra le découvrir.
03:20Vous nous donnez l'exclusivité, quand même, Philippe, dans cette émission.
03:25Oui.
03:26Tant mieux !
03:27Mais je suis très content d'être venu avec vous.
03:30Parce que je vous aime beaucoup tous les deux.
03:32Et je pense qu'un des facteurs du succès de cette émission, c'est cette entente, cette amitié, cette affection.
03:40Et c'est un plaisir qui est partagé, Philippe Devilliers.
03:44Et c'est un plaisir aussi qui est partagé avec les téléspectateurs qui nous regardaient.
03:48Et ces Français qui nous regardent.
03:50Plus d'un million de Français, qui, chaque vendredi, l'année dernière, nous suivaient.
03:56Et puis, ils pourront vous retrouver aussi sur Europe 1, de 10h à 11h, tous les samedis matins.
04:02Philippe Devilliers, je vais vous poser la même question que je vous ai posée l'année dernière,
04:06pour votre rentrée sur CNews.
04:08En sachant que vous avez une promesse dans cette émission,
04:12ce que vous entendrez ici, ce que vous nous direz ici, vous ne l'entendrez nulle part ailleurs.
04:18Dans quel état, selon vous, est aujourd'hui la France ?
04:24Si vous voulez, plutôt que de faire une réponse in abstracto,
04:29je vous propose de faire un zoom rétrospectif sur l'été.
04:39Avec quelques grandes dates, moi qui m'ont frappé.
04:42Et qui ont dû vous frapper également, même si on ne s'est pas parlé.
04:46Première date, 31 mai.
04:47Deuxième date, 21 juin.
04:49J'accorde les deux dates.
04:53La finale de la Ligue des Champions, la fête de la musique.
05:01En fait, deux événements, deux ébranlements,
05:06inouiches, l'irruption des hordes,
05:13avec une atmosphère de bacchanal puis de saturnal,
05:20et des expressions qui reviennent dans les rapports de police,
05:23qu'on n'avait jamais vues.
05:25Manifestation de tribalisme, de conquête territoriale,
05:30ou encore djihad de la seringue.
05:36D'ailleurs, le JDD en a fait état.
05:38Djihad de la seringue, des filles picables.
05:40C'est une sémantique qu'on n'avait jamais connue.
05:42En d'autres termes, on découvre cet été
05:44que la France, ubérisée par la Macroniche,
05:49se créolise, comme le veut Mélenchon,
05:53et ça donne une terre qui porte le barbaricum.
05:57Deuxième date, 27 juillet.
05:59Cette date est passée inaperçue.
06:03Sauf par le journal de Figaro,
06:06qui a repris les révélations de l'OFAST,
06:11l'Office de lutte contre la drogue.
06:15Les révélations qui sont absolument saisissantes,
06:17c'est le carden de Medellin en France.
06:21C'est-à-dire qu'on apprend,
06:24dans ce rapport, le rapport annuel de l'OFAST,
06:27que des Français, dans des quartiers,
06:33reçoivent des lettres de plus en plus nombreuses,
06:37très bien écrites,
06:38qui leur proposent des services auxquels ils n'ont pas accès.
06:42Des services sociaux.
06:43C'est-à-dire des aides financières, des fournitures scolaires,
06:47des aides pour faire les emplettes des anciens, etc.
06:54C'est-à-dire qu'en fait, petit à petit,
06:55se met en place, dans les quartiers souverains,
06:59avec l'appui des narcotrafiquants,
07:02qui sont maintenant richissimes,
07:05un service public parallèle,
07:06un service social parallèle,
07:09qui renforce l'appropriation des territoires,
07:13évidemment par les narcotrafiquants.
07:15Je vous rappelle qu'à Medellin,
07:18Pablo Escobar était très populaire,
07:22parce qu'il créait même des hôpitaux,
07:25des écoles et même des églises.
07:28Et donc, on est sur cette voie-là,
07:30c'est-à-dire la voie de la mexicanisation,
07:34et j'ajouterai même de la tropicalisation,
07:36puisqu'on voit maintenant qu'il y a des couteaux et des machettes.
07:40Troisième date,
07:41qui est passée inaperçue,
07:42parce que c'était au cœur de l'été,
07:43c'était le 7 août dernier,
07:46et je vais vous dire pourquoi cette date m'a marqué.
07:49Le 7 août dernier,
07:50le Conseil constitutionnel
07:51censure la loi sur l'allongement
07:53du temps de rétention
07:56des individus étrangers dangereux.
08:01Ça veut dire que, en fait,
08:02les juges ont pris le pouvoir,
08:05c'est plus la loi qui commande,
08:08et ensuite, ça veut dire que
08:09les Français ne sont plus protégés.
08:12Est-ce qu'on peut avoir un mot, quand même,
08:15au cours de l'été,
08:16pour les victimes ?
08:18Il se trouve que j'ai rencontré
08:20la famille de Philippines.
08:24Toute la famille.
08:25Une famille debout,
08:30digne,
08:31inconsolable,
08:32dévastée,
08:33chevalresque.
08:39Simplement,
08:41la maman
08:41s'est penchée vers moi,
08:43à un moment donné,
08:44elle m'a dit,
08:44vous vous rendez compte,
08:45les juges,
08:47ils ont pulvérisé la loi.
08:48si le délai
08:51avait été
08:52légal,
08:54le délai supplémentaire
08:55prévu par la loi,
08:55et si le Conseil constitutionnel
08:57n'était pas passé par là,
08:58Philippines serait encore en vie.
09:01Quand vous pensez que
09:02il y a 130 000
09:05OQTF prononcés en France,
09:07obligation de quitter le territoire,
09:10c'est simple à comprendre.
09:12Et il y en a moins de 10%
09:13qui sont impliqués,
09:14depuis un an.
09:15Donc,
09:18on fait de la com',
09:19mais il ne se passe rien.
09:21C'est une honte.
09:24Et puis après,
09:24on passe au 17 août.
09:28Peut-être que vous avez oublié,
09:29moi pas.
09:31La télé-réalité diplomatique,
09:34dans le bureau ovale.
09:35On voit le maître du monde,
09:37et en face de lui,
09:38assis en rendouignon
09:39les tyrannicules européens,
09:41autour de l'impératrice
09:42de l'Empire de la Norme,
09:44et de son toutou du touquet.
09:50Tiens, c'est pas mal, ça.
09:51Toutou du touquet.
09:52Ça va lui rester.
09:55Vous la gardez ?
09:55Et alors,
09:57chacun des tyrannicules
09:58implore,
09:59supplie,
10:00un geste,
10:02un mot,
10:03juste un clin d'œil,
10:04un sourire.
10:06Bon.
10:06Et en fait,
10:07qu'est-ce qui se passe ?
10:08Il est en train de leur expliquer.
10:09Bon, l'Ukraine,
10:10je vois ça avec Poutine,
10:12vous êtes coupeur de citron.
10:16Et quelques jours avant,
10:20sur un terrain de golf,
10:24il a convoqué l'impératrice.
10:27Nous, la France,
10:28on n'avait rien eu à dire.
10:29Et il lui a dit, voilà,
10:3015% de droits de douane
10:32contre 0% pour les produits américains
10:34qui arrivent en Europe.
10:36C'est un contraste inalagmatique
10:38un peu le haut de nain.
10:40Ensuite,
10:42vous allez apporter
10:44200 milliards par an
10:45pour la prospérité américaine.
10:47Et vous allez,
10:48plutôt que de prendre le gaz russe,
10:52prendre notre énergie à nous,
10:54qui coûte trois fois plus cher
10:55et qui est trois fois plus polluante.
10:57En d'autres termes,
10:58l'Europe est sous curatelle.
11:01Les historiens de demain,
11:02les Franck Ferrand de demain,
11:04écriront,
11:05ce jour-là,
11:06l'Europe est sortie de l'histoire.
11:09Et puis,
11:10le 25 août.
11:13Le 25 août,
11:16on apprend que
11:17le premier violon
11:19de l'orchestre du Titanic
11:22pour des raisons inconnues
11:25qui échappent à tout l'orchestre,
11:28au moment où
11:29ils sont en train d'exécuter
11:31ce n'est qu'un au revoir,
11:33mes frères,
11:33mes frères démocrates chrétiens,
11:34s'entendent,
11:36ils plongent
11:37tout seuls,
11:40sans explication,
11:41sans avoir prévenu
11:42les solistes.
11:44Et puis,
11:44tout à coup,
11:45au bout de quelques brasses,
11:48ils se retournent
11:48parce qu'il est en train de couler,
11:49en train de se noyer
11:50et là,
11:50ils réclament
11:51aux solistes du bord
11:53une chambre à air.
11:57C'est hallucinant.
12:01D'ailleurs,
12:01ça fait partie de la loi
12:03Votrin,
12:04le suicide assisté.
12:08Et en fait,
12:09là,
12:09je me suis dit,
12:10bon ben voilà,
12:11en fait,
12:11on vit,
12:11c'est pas une crise.
12:12Alors,
12:12je me suis dit,
12:13une crise parlementaire,
12:14oui, certes,
12:14une crise financière,
12:15oui, bien sûr,
12:16une crise économique,
12:17oui,
12:17une crise politique,
12:19oui,
12:19mais en fait,
12:20on est en train de vivre
12:21une crise existentielle.
12:24Le pouvoir
12:24se légifie.
12:26Et justement,
12:30puisque vous parlez du Titanic,
12:33je voudrais qu'on revienne
12:34sur l'émission de dimanche dernier.
12:35François Bayrou,
12:37dans l'émission de dimanche dernier,
12:39diffusée par les quatre chaînes d'info,
12:41François Bayrou a redit
12:42qu'il considérait que c'était d'abord
12:44les Français qui étaient responsables
12:46de cette dette,
12:47cette dette abyssale,
12:49ce qui a donné un échange,
12:51on l'appelle un moment de télévision,
12:52entre Sonia Mabrouk,
12:54qu'on salue,
12:55qui est extraordinaire,
12:56et le Premier ministre,
12:58François Bayrou.
12:59Regardez.
13:01Il y a une question importante
13:02que vous évitez
13:03depuis le début
13:03de cet entretien,
13:04c'est celle,
13:05pardonnez-moi,
13:05j'insiste,
13:05c'est celle de la responsabilité.
13:07Vous avez parlé des députés,
13:08vos députés modem,
13:10M. Bayrou,
13:10ont voté
13:11tous les budgets déficitaires
13:12depuis 2017.
13:14Vous-même,
13:15vous avez porté au pouvoir
13:16et accompagné,
13:17et vous avez eu un rôle actif,
13:19un président de la République
13:20qui a aujourd'hui précipité la dette,
13:221300 milliards depuis 7 ans.
13:25Si je remonte à une autre époque,
13:26M. le Premier ministre,
13:28à une époque pas si ancienne,
13:29un ancien président de la République,
13:30Nicolas Sarkozy,
13:31a bataillé pour le non-remplacement
13:33d'un fonctionnaire
13:34sur deux parts en la retraite
13:35et à l'époque,
13:35je me souviens très bien,
13:36vous y aviez dit,
13:37ce n'est pas comme ça
13:38qu'on va trouver des économies.
13:39Ma question est simple,
13:40vous nous dites aujourd'hui
13:41en sincérité et en vérité
13:42que vous avez lutté contre la dette,
13:43mais vous avez voté pour la dette.
13:45Alors, n'êtes-vous pas responsable
13:47de la situation
13:47en tant que les autres ?
13:48Nicolas Sarkozy a bataillé.
13:50C'est un exemple ?
13:50Nicolas,
13:51non, ce n'est pas un exemple.
13:53C'est le président de la République
13:55qui a conduit une politique
13:57qui a créé plus de 1000 milliards
13:59de dettes en 5 ans.
14:00Comme les autres,
14:01tous ceux qui ont été au pouvoir
14:02et vous-même,
14:03à la tribune de l'Assemblée,
14:04l'avez dit.
14:04Vous avez le droit de dire
14:05comme les autres,
14:07mais vous...
14:08Vous contestez que M. Hollande
14:09et M. Macron
14:09n'ont pas augmenté la dette ?
14:11M. Hollande,
14:12parce qu'il a eu la chance...
14:13Vous-même l'avez dit
14:13à la tribune de l'Assemblée,
14:14M. Bayou.
14:15Tout depuis...
14:16Écoutez-moi bien
14:17parce que je l'ai déjà...
14:18Depuis 1974...
14:21Pourquoi vous avez voté
14:22alors que vous êtes déficitaire ?
14:23Tous les gouvernants.
14:24Pourquoi vous avez voté ?
14:25Pourquoi...
14:26Je n'étais pas
14:26à l'Assemblée nationale
14:27depuis 15 ans.
14:28Je crois qu'ils vous obéissent
14:29au doigt à l'œil,
14:30si je me permette.
14:30Non, je crois pas qu'ils m'obéissent
14:31au doigt à l'œil.
14:32Je reprends le jeûne.
14:33Beaucoup de Français
14:34ont été choqués par cet échange.
14:35Et vous,
14:36qu'est-ce que vous en avez pensé ?
14:38Qu'il y avait une différence
14:39entre le Premier ministre
14:40et la journaliste,
14:42Sonia Mabouk,
14:43parce qu'elle connaît ses dossiers.
14:46Et lui,
14:48il dit beaucoup de bêtises.
14:52Et surtout,
14:53il contourne la vérité
14:54que je voudrais rétablir.
14:57Alors,
14:58en quelques mots
14:58et sans aucune polémique.
15:00La situation financière
15:04de la France,
15:04qui est dramatique,
15:06elle est due
15:06à des raisons
15:08conjoncturelles.
15:10Je reviens par là-dessus.
15:11On les connaît.
15:12Chacun les exprime
15:13à son tour.
15:14Les émeutes,
15:15les gilets jaunes,
15:16le quoi qu'il en coûte,
15:17etc.
15:18Un chapelet d'erreurs
15:20qui s'ajoute
15:21aux erreurs précédentes.
15:24Mais je voudrais
15:25revenir sur les raisons
15:26structurelles.
15:27parce que c'est sur elles
15:30qu'on peut agir demain
15:31si on veut revenir
15:32à l'équilibre des comptes.
15:35Il y a trois raisons
15:37structurelles.
15:40D'abord,
15:42un changement
15:43de modèle économique.
15:46Deuxièmement,
15:47un changement
15:48de peuplement.
15:49Et troisièmement,
15:50un changement
15:50de souverain.
15:53Un changement
15:53de modèle économique.
15:55L'État profond.
15:56Il y a 30 ans,
15:58avec le traité
15:59de Marrakech,
16:00qui est le frère
16:01juillot du traité
16:01de Maastricht,
16:03a décidé
16:04de tout passer
16:05au libre-échangisme.
16:07L'État profond
16:08a imposé
16:09à toutes les majorités
16:10politiques
16:10qui se sont succédées
16:11de droite
16:11et de gauche
16:12un nouveau paradigme,
16:13comme ils disent.
16:15Un nouveau modèle économique
16:16qu'on a appelé
16:18le New Deal français.
16:20Ce New Deal
16:21était établi
16:21sur deux principes.
16:23Premier principe,
16:24l'extension
16:27indéfinie
16:28de la sphère publique
16:29et donc
16:30de la dépense
16:31improductive.
16:34Et deuxième principe,
16:36le primat
16:36de la consommation
16:37comme moteur
16:38de la croissance
16:38par rapport
16:39à la production.
16:41Résultat,
16:42ce nouveau modèle
16:43économique
16:43a favorisé,
16:47entraîné,
16:48généré
16:48la spirale
16:50de la dette,
16:51la spirale
16:52du déficit,
16:54la spirale
16:54de la désindustrialisation
16:57et la spirale
16:58de la métropolisation.
17:02Deuxième
17:03changement,
17:07après le changement
17:07de modèle économique,
17:08c'est-à-dire
17:08qui fait qu'on n'est plus
17:09un pays producteur,
17:10donc il n'y a plus
17:11de travail,
17:11donc il n'y a plus
17:12de cotisation.
17:13C'est une grande partie
17:14de nos difficultés
17:15qui s'explique ainsi.
17:17Sommes un pays
17:17du consumérisme
17:19hédoniste.
17:20vivent les grandes surfaces
17:21qui importent
17:23et on a un déficit
17:24commercial abyssal.
17:26Deuxième changement,
17:28le changement
17:28de peuplement.
17:30En fait,
17:31c'est simple,
17:33selon
17:33les observatoires
17:35sérieux,
17:37c'est 40 milliards,
17:38à peu près,
17:3940-60 milliards.
17:41Si on regarde,
17:42si on réservait
17:44les prestations
17:48sociales
17:48non-contributives
17:51aux Français,
17:53c'est une économie
17:53de 15 à 20 milliards.
17:55Si on supprime
17:56la politique de la ville,
17:57c'est une économie
17:57de 8 milliards.
17:58Si on supprime
17:59l'AME,
18:00c'est une économie
18:01de 1 milliard,
18:02etc.
18:04Il y a des coûts directs
18:05et des coûts indirects
18:06parce que,
18:07par exemple,
18:07quand l'école fabrique
18:08des crétins numériques,
18:09ça ne se voit pas
18:11mais ça pèse.
18:12quand on veut avoir
18:14des ingénieurs,
18:15des cadres,
18:16des responsables,
18:16etc.
18:19Et puis,
18:20troisièmement,
18:20le changement
18:21de souverain.
18:23Accrocher la ceinture.
18:24Nous ne sommes plus souverains.
18:34Le souverain,
18:34c'est l'impératrice
18:36de l'Empire de la Norme.
18:38Barroso disait
18:39l'Empire non-impérial.
18:41On y est.
18:43L'Empire non-impérial,
18:45il a tout aspiré.
18:47Donc,
18:47nous,
18:48on obéit.
18:51Alors,
18:52il y a une chose,
18:53il y a une question
18:54que Sonia a posée
18:55au Premier ministre.
18:58La réponse m'a sidéré.
19:00Je suis tombé
19:00de l'armoire.
19:02Il ne connaît pas
19:03le chiffre
19:03de la contribution nette
19:05de la France.
19:06Or,
19:07la contribution nette
19:08de la France,
19:08elle est de 15 milliards
19:09d'euros.
19:11Je dis bien
19:11la contribution nette,
19:13c'est-à-dire
19:13entre ce qu'on reçoit
19:15de l'Europe
19:15et ce qu'on donne
19:17à l'Europe,
19:17il y a une différence
19:18de 15 milliards d'euros,
19:19s'il vous plaît.
19:21Qui le dit
19:21sur les autres médias
19:23et qui sont les hommes politiques
19:24qui osent dire ça ?
19:25Personne.
19:26On est sur un tabou.
19:27On est sur un territoire sacré.
19:29Mais allons plus loin,
19:30puisque je parle
19:31de territoire sacré.
19:32L'euro.
19:34L'euro était censé
19:35nous protéger,
19:38protéger
19:40les hommes politiques
19:41d'eux-mêmes.
19:42L'euro était censé
19:43nous pousser
19:44à la vertu
19:45d'économie.
19:46Il y a un journaliste
19:47qui s'appelle
19:49François Langlais
19:49qui a très bien
19:50dit les choses,
19:51qui a dit en fait
19:51l'euro c'est l'oreiller
19:53qu'on met sur
19:54l'alarme
19:56pour ne pas entendre
19:57la sirène.
20:00Et donc
20:00avec l'euro
20:01tout va bien.
20:02Les hommes politiques
20:03n'ont plus de problème.
20:04Quand vous avez
20:05une monnaie nationale,
20:06vous êtes rappelé
20:07à vos erreurs
20:09par les marchés financiers
20:11nationaux.
20:13Et donc
20:13vous êtes obligé
20:13de faire des plans
20:14d'austérité,
20:15de dévaluer,
20:15etc.
20:16Et ça se voit,
20:17le peuple français
20:18le voit.
20:19Mais avec une monnaie
20:20confortable
20:22qui est extérieure,
20:24il n'y a plus
20:25aucun système
20:26d'alarme,
20:27il n'y a plus
20:27d'alerte.
20:29C'est-à-dire
20:30que la France
20:30est devenue
20:31la rentière
20:32de l'euro.
20:33Si vous me permettez
20:34une métaphore,
20:35je le dirais.
20:37Le franc,
20:39c'est la monnaie
20:40des fourmis,
20:42l'euro,
20:42c'est la monnaie
20:43des cigales.
20:47Mais il n'y a pas
20:48que l'euro,
20:49il y a quand même
20:49la capitulation
20:50douanière aussi.
20:51Et là,
20:51moi j'ai une pensée
20:52ce soir
20:53pour tous
20:53les paysans
20:54de France
20:54qui sont dans
20:56la tristesse,
20:57qui sont dans
20:57la détresse.
20:59Parce que ça y est,
21:00ils ont signé
21:00le Mercosur,
21:01c'est dans le sillon,
21:07c'est semé.
21:08Alors ils vont
21:09nous expliquer,
21:10il y aura des compensations,
21:11il y aura des clauses
21:11de sauvegarde,
21:12je t'en foutrai
21:12des clauses de sauvegarde.
21:13Ils mentent tous.
21:18Vous vous rendez compte
21:18qu'il y avait
21:192 millions de paysans,
21:21il n'y en a plus
21:21400 000,
21:23et le nombre
21:23des fonctionnaires
21:24du ministère
21:25de l'Agriculture
21:25a doublé
21:26de 18 000 à 36 000,
21:27donc ils se foutent
21:28de notre gueule.
21:31Donc en fait,
21:32on nous prépare
21:32une France sans paysans,
21:34c'est ça qu'on veut,
21:35c'est ça qu'ils veulent,
21:36parce qu'ils préfèrent
21:37déléguer notre alimentation
21:38au marché mondial
21:39pour faire plaisir
21:40aux Allemands,
21:41puisque de toute façon
21:41on est dans la route
21:42des Allemands,
21:43le couple franco-allemand,
21:44c'est l'Allemand
21:46qui porte la culotte.
21:47Et puis il y a
21:51le marché de l'électricité.
21:53On n'a pas le temps
21:54d'en parler,
21:54mais le marché de l'électricité
21:55c'est en train de tuer
21:56tous nos artisans,
21:57nos boulangers,
21:58etc.
21:59Et puis il y a
21:59le pacte vert
22:00qui est en train de tuer
22:01notre industrie automobile.
22:05Et donc en fait,
22:07avec ce changement
22:10de souverain,
22:12on meurt
22:13à petit feu.
22:15Les Français sont encore
22:17européistes.
22:19Pourquoi ?
22:20Parce qu'ils vivent
22:21avec ce principe
22:22l'union fait la force,
22:23mais l'union des faibles
22:24fait la faiblesse.
22:26Et c'est la raison
22:27pour laquelle je vous dis
22:27ce soir,
22:29il faut partir.
22:31Il faut quitter
22:32cette broyeuse,
22:35retrouver notre souveraineté.
22:37Sinon on ne pourra
22:38résoudre aucun
22:39de nos problèmes.
22:40Je le dis avec gravité,
22:42mais avec certitude,
22:44avec toute ma conviction.
22:45Peut-être que je suis
22:45un peu en avance
22:46de quelques années
22:47ou de quelques mois,
22:48comme d'habitude.
22:50Mais je ne m'en voudrais
22:51de ne pas vous l'avoir dit.
22:53Pendant toutes les vacances,
22:55chaque matin,
22:55chaque soir,
22:56je me suis dit
22:56il faut quelque chose
22:57leur dire.
22:59Il faut partir.
23:02On va approfondir
23:03cette analyse
23:05que vous faites
23:06dans les prochaines semaines
23:07parce que j'imagine
23:08que c'est là aussi
23:09une réaction
23:11qui va faire
23:12une analyse
23:14qui va faire
23:14beaucoup de réactions,
23:15bien sûr.
23:15On revient dans un instant
23:16après la publicité
23:18et on se retrouve
23:18pour la suite
23:19de Face à Philippe de Villiers.
23:21A tout de suite.
23:25Nous sommes de retour
23:27pour la suite
23:27de Face à Philippe de Villiers,
23:29toujours avec Philippe,
23:30bien sûr,
23:30et Geoffroy,
23:30le jeune Philippe de Villiers
23:31qui est en pleine forme
23:33pour le grand retour
23:34de l'émission.
23:35Philippe de Villiers,
23:36juste avant la publicité,
23:37on revenait sur cet entretien
23:40de François Bayrou,
23:41le Premier ministre,
23:42donc dont l'avenir
23:43sera peut-être scellé lundi
23:45avec le fameux vote de confiance.
23:48Geoffroy le jeune
23:48a une question pour vous.
23:49Retour sur terre,
23:50donc qu'est-ce qui va se passer
23:51lundi si le gouvernement tombe ?
23:52Quelle sera la suite
23:53des événements ?
23:55Alors vous savez,
23:55Geoffroy,
23:56Elliot,
23:57la politique
23:58c'est une machine crantée.
24:01C'est une roue à cran.
24:02Il n'y a pas de cran arrière.
24:05Il ne faut pas commettre
24:06l'erreur du général Gamelin
24:07qui avait en 40
24:09voulu refaire la guerre de 14.
24:12Donc ce qui est devant nous,
24:13c'est de l'inédit en fait.
24:15Donc personne ne peut savoir
24:16ce qui va se passer.
24:17On peut simplement
24:18mentionner l'écran.
24:23Premier cran,
24:24à partir de lundi,
24:25soir,
24:27il y aura un nouveau gouvernement.
24:29En tout cas,
24:30c'est ce que
24:31Emmanuel Macron va tenter.
24:33Alors on ne sait pas avec qui,
24:34parce que
24:35pour l'instant,
24:36il y a un premier ministre
24:36introuvable.
24:38Il y a
24:38Dupont de Ligonès,
24:41Aya Nakamura,
24:43on peut imaginer tout.
24:45Finalement,
24:46ce sera peut-être
24:47M. Fort,
24:48vous voyez ?
24:49Bon.
24:51Donc on ne sait pas.
24:52Ça va être un sale
24:53migondi.
24:55Ça va vraiment,
24:55c'est ce que disait
24:57De Gaulle,
24:57les petites soupes
24:58sur les petits réchauds,
25:00chacun dans son petit coin.
25:01quel spectacle.
25:05Deuxième cran,
25:06la dissolution.
25:08Pourquoi ?
25:08Parce que ça ne va pas tenir,
25:09ça.
25:10Que ce soit le cornu
25:11d'Armanin,
25:11etc.
25:13Ça tient le temps
25:15qu'ils ont à gripper
25:16les mains sur le Marocain,
25:17mais ça ne tient pas.
25:19Parce que ce sera censuré.
25:21Et puis les Français,
25:22ça monte.
25:23Le dégagisme.
25:24On n'imagine pas
25:25le dégagisme.
25:26Les gens qui nous regardent
25:27en ce moment,
25:28ils sont en train de dire
25:28« Ah, enfin quelqu'un
25:29qui parle du dégagisme.
25:31Dégagé. »
25:34Et puis le dernier cran,
25:37c'est le départ du Président.
25:41Et justement,
25:41Philippe Devilliers,
25:42en pleine crise politique,
25:43le week-end dernier,
25:44vous en avez parlé,
25:46une séquence du Président
25:48de la République
25:48a fait beaucoup réagir.
25:51On y voit le chef de l'État
25:52carte à la main
25:52d'un jeu célèbre
25:53pour enfants et adolescents.
25:55Visiblement ce jeu,
25:57vous l'affectionnez
25:57puisque vous vous envisagez
25:59de participer
26:00à cette fameuse
26:01Coupe du Monde
26:01puisque la France
26:03accueillait pour la première fois
26:04les championnats du monde
26:06de Yu-Gi-Oh à Paris.
26:09Et le Président de la République
26:11a adressé un message
26:12à tous ces joueurs.
26:14Regardez.
26:15Je voulais remercier
26:16les équipes de Konami
26:17et notre rencontre
26:18à la Japan Expo.
26:20J'ai toujours ma carte.
26:22Et je voulais vous dire
26:24simplement,
26:25comme je m'y étais engagé,
26:26je suis là
26:28dans un sommet franco-allemand
26:29donc je ne pourrais pas
26:30être avec vous
26:31mais je pense bien
26:32à vous tous
26:33et je sais que c'est
26:34un jour important
26:35pour Yu-Gi-Oh
26:37et l'ensemble du monde
26:38du TCG
26:39qui se retrouvent en France
26:41et c'est pour nous
26:41une très grande fierté
26:42d'avoir les championnats
26:44du monde
26:44de votre discipline,
26:45d'avoir tous les passionnés
26:46du monde entier
26:46qui vont se réunir en France
26:48et faire vivre leur passion.
26:51Et donc j'imagine
26:51que vous connaissez la carte
26:52qu'il avait dans la main.
26:53le dragon blanc
26:55aux yeux bleus.
26:56J'ignorais l'existence
26:58du Yu-Gi-Oh.
27:02C'est comme Gouge.
27:03Oui, mais je dirais
27:05simplement une chose
27:06qui tombe sous le sens
27:07en pensant à
27:08notre ami
27:09Boilem Sansal.
27:11Il n'a pas de temps
27:12pour répondre
27:13à la lettre
27:14de la fille
27:14de Boilem Sansal
27:15mais il a du temps
27:16pour sortir
27:16du sommet franco-allemand
27:18et pour adresser
27:20un mot
27:20aux joueurs japonais
27:23et ça ne va pas
27:26il y a un problème.
27:28Voilà.
27:29Et en fait
27:29il y a trois hommes
27:32en lui.
27:35Il y a l'homme
27:36du déclassement.
27:42La France
27:43est un pays déclassé
27:44endetté
27:46smicardisé,
27:48thermondisé.
27:50Ensuite
27:50c'est l'homme
27:51je dirais
27:54l'homme du grand déclassement
27:55l'homme du grand emplacement
27:56pour parler
27:57comme Eric Zemmour.
28:00Vous avez peut-être
28:01vu cet été
28:02la Fondapol
28:04a repris
28:04une étude
28:05des chiffres
28:07de l'INSEE
28:071000 Afghans
28:09en 2007
28:11et en 2025
28:13100 000.
28:15Et on nous dit
28:15non non
28:16il n'y a pas d'augmentation.
28:18Migration
28:18est une chance
28:19pour la France.
28:20Donc l'homme
28:21du grand emplacement
28:21il aura été
28:22l'homme du grand emplacement
28:23500 000
28:24entrées chaque année.
28:26C'est une ville
28:26de Toulouse
28:26tous les ans
28:27depuis 7 ans.
28:29Et enfin
28:30il est l'homme
28:30du grand effacement
28:31avec une diplomatie
28:33de l'allégeance.
28:35Allégeance
28:36américaine
28:37allégeance
28:38européenne
28:38allégeance islamique
28:39parce que
28:40par exemple
28:40la position de la France
28:41sur le Proche-Orient
28:42elle est dictée
28:43par la rue arabe.
28:44C'est-à-dire qu'en fait
28:45l'État
28:46est devenu
28:46le vassal
28:47des banlieues.
28:49Et puis
28:49l'effacement aussi
28:50des repères
28:51c'est quand même
28:51un homme
28:52Emmanuel Macron
28:54qui joue
28:56triture
28:58la société
28:59joue avec la vie
29:00avec la mort
29:01avec la filiation
29:01il se fait à la fois
29:04faussetien
29:04il cherche à dérober
29:07la vie
29:09et promettéen
29:11il cherche à dérober
29:12le feu
29:13ce qui coûte
29:14des héritices
29:15disait le serpent
29:16il a quelque chose
29:17de l'alchimiste
29:21qui cherche
29:24à transformer
29:24le pays
29:25et à le faire
29:27disparaître
29:27Geoffroy Lejeune
29:31vous êtes en train
29:32Philippe de poser
29:32un diagnostic
29:33très lucide
29:34mais très lourd
29:35sur l'état
29:36du pays
29:36que faudrait-il
29:37selon vous
29:37puisque vous aimez
29:38bien apporter
29:39de l'espérance
29:40aussi dans cette émission
29:41que faudrait-il
29:42selon vous
29:42pour sauver la France
29:44pour sauver la France
29:46il faut
29:46sauver la clé de voûte
29:49la clé de voûte
29:50c'est le chef de l'état
29:51il n'y a plus de chef
29:52il n'y a plus d'état
29:52donc il faut vite
29:55une élection anticipée
29:56vite
29:58parce que s'il n'y a pas
29:59la clé de voûte
30:00c'est pas la peine
30:00de reconstruire les murs
30:01une élection anticipée
30:06et il faut trouver
30:07ce que j'appelle
30:08un marin de gros temps
30:10il peut faire
30:12du cabotage
30:13cabotage ça consiste
30:15à prolonger
30:15des problèmes
30:16qu'on ne peut pas résoudre
30:17il vaut mieux
30:19qu'il fasse
30:19de la haute mer
30:20la haute mer
30:21c'est les cinquantièmes
30:22rugissants
30:23les quarantièmes
30:23hurlants
30:24pour mettre le cap
30:28sur le relèvement
30:29du bâtiment
30:30dont les oeuvres vives
30:33sont passées
30:34sous la ligne
30:34de flottaison
30:35ça veut dire
30:38un homme
30:38qui a
30:40la lucidité
30:41de courage
30:41la lucidité
30:42la blessure
30:43la plus proche du soleil
30:44la lucidité
30:46de comprendre
30:46qu'il n'a plus les manettes
30:47qu'on n'a plus les manettes
30:48j'y reviens
30:50que la France
30:51a perdu le contrôle
30:52de ses frontières
30:53de ses lois
30:54de ses finances
30:55et le courage
30:58le courage d'affronter
30:59le courage d'escalader
31:03les murs d'eau
31:04et d'affronter
31:04les trois féodalités
31:07donc ça veut dire
31:10accepter d'être mis
31:10au banc
31:11d'un famille
31:13par avance
31:14les trois états confédérés
31:17qui empêchent d'agir
31:19premier état confédéré
31:21il faut rapatrier le pouvoir
31:24c'est l'état profond
31:26c'est le super état profond
31:27de Bruxelles
31:27donc il faut dire à Bruxelles
31:30maintenant c'est nous
31:30qui commandons
31:31chez nous
31:31c'est le peuple français
31:32qui reprend les manettes
31:34et donc qui reprend
31:37la potestasse
31:38ensuite
31:38il faut reprendre
31:39le premier banc d'un famille
31:40parce que vous allez voir
31:41l'écrit
31:41il y a eu le mort
31:42rien qu'après à cette émission
31:44qu'est-ce qu'on va entendre
31:45parce que là
31:45on touche au tabou
31:46deuxième tabou
31:49la deuxième féodalité
31:50c'est la république des juges
31:51c'est la toche qui commande
31:53c'est la toche qui commande
31:54parce qu'en fait
31:55elle commande à partir
31:56d'une double préférence
31:57notez bien
31:59la préférence
32:00de l'étranger
32:02sur le national
32:03je n'ai pas le temps
32:04de développer
32:04mais ça serait important
32:05de développer
32:06et la préférence
32:08du criminel
32:10sur la victime
32:11donc deuxième banc d'un famille
32:13si on touche au juge
32:14à la jurisprudence
32:16renverser la jurisprudence
32:18et troisième banc d'un famille
32:20il faut s'attaquer
32:22à la féodalité
32:23des élites mondialisées
32:24qui rêvent de faire
32:26de la France
32:27un laboratoire
32:28planétaire
32:30du paradis diversitaire
32:33pour reprendre l'expression
32:34heureuse
32:35du talentue
32:35Mathieu Bocoté
32:36et donc
32:39pour faire tout cela
32:42il faut avoir
32:44beaucoup de courage
32:47et avoir l'idée
32:50de se sacrifier
32:51premier banc d'un famille
32:53l'Europe
32:54deuxième banc d'un famille
32:56les juges
32:58troisième banc d'un famille
32:59les élites
33:00si on retire le pouvoir
33:02à l'Europe
33:02si on retire le pouvoir
33:03aux juges
33:04si on retire le pouvoir
33:05aux élites
33:05qu'on les affronte
33:08malgré ce triple banc
33:10d'un famille
33:10alors la France
33:12renaîtra
33:14et je suis convaincu
33:16que c'est possible
33:17il nous reste encore
33:19un peu de temps
33:20avant évidemment
33:20l'un des temps forts
33:23de cette émission
33:24qui est l'apologue
33:25je voudrais
33:26parce que vous avez pris
33:27beaucoup de hauteur
33:27et vous êtes revenu
33:29en longueur
33:30sur la situation
33:31et la crise
33:32dans laquelle était plongée
33:33la France
33:33vous avez parlé
33:34d'une crise existentielle
33:35je voudrais qu'on revienne
33:36sur un fait majeur
33:37de la semaine
33:37Philippe de Villiers
33:38si vous me le permettez
33:39puisqu'on va parler
33:40de Marseille
33:41vous savez que la Tunisie
33:42a qualifié cette semaine
33:43de meurtre injustifié
33:45la mort de l'assaillant
33:46qui a attaqué au couteau
33:47et laissé 5 personnes
33:48avant d'être mis
33:49hors d'état de nuire
33:50par les policiers
33:52sur place
33:53Abdelkader
33:54qui dit
33:54connu de la police
33:55et de la justice
33:56condamné pour violence
33:57avec arme
33:58contre son neveu
34:00notamment
34:00quel regard
34:01Philippe de Villiers
34:02portez-vous
34:03sur ce fait
34:04majeur
34:06qui est arrivé
34:06cette semaine
34:07en fait
34:08c'est le carré magique
34:09de la faillite
34:11de la Macronie
34:12un carré
34:13ça a 4 côtés
34:14premier côté
34:15c'est la faillite
34:17migratoire
34:18vous le noterez bien
34:20que
34:21cet étranger
34:23tunisien
34:23est entré en France
34:25par l'Italie
34:26grâce à un visa
34:28Schengen
34:29que personne ne dit
34:30le ministre de l'Intérieur
34:31a commis
34:31une petite omission
34:32pourquoi ?
34:33parce qu'on est sur un tabou
34:34touche pas
34:35à Schengen
34:36or un pays
34:38qui n'a plus de frontières
34:38c'est comme un immeuble
34:40où on dit
34:42il n'y a plus de concierge
34:42et en plus
34:43vous laisserez les clés
34:44sur vos portes
34:46et on mettra des caméras
34:47on mettra des caméras
34:48voilà
34:49c'est ça la France
34:50bon
34:51ensuite
34:52il est rentré
34:53de manière
34:53irrégulière
34:55il a été régularisé
34:56donc
34:56en fait
34:57deux conclusions
34:59premièrement
35:00on ne fera rien
35:01si on ne réforme pas
35:02Schengen
35:02si on ne supprime pas
35:04Schengen
35:04on sort de Schengen
35:06et deuxièmement
35:06quand on compte l'immigration
35:08il faut compter
35:08l'immigration régulière
35:10et irrégulière
35:11mais l'immigration régulière
35:12ça compte
35:13autant que l'immigration
35:14irrégulière
35:15deuxièmement
35:16c'est une faillite judiciaire
35:17il a été condamné
35:18à 4 ans
35:19il devait faire
35:20un an ferme
35:21il n'a rien fait
35:22normalement
35:23il aurait dû être expulsé
35:25laxisme judiciaire total
35:27et laxisme politique
35:29troisième coin du carré
35:32c'est la faillite
35:32de l'intégration
35:33alors là
35:33il y a quelque chose
35:33qui est intéressant
35:34c'est qu'on entend
35:35sur les bandes
35:36on entend
35:37Allah Akbar
35:38et le ministre de l'intérieur
35:40quand il a interrogé
35:41il dit
35:41ah c'est pas à moi
35:42de dire ce qu'il criait
35:43et parce que là
35:46et alors après
35:48les autorités
35:49ont trouvé
35:50une sémantique nouvelle
35:52je ne sais pas
35:52si j'ai déjà noté ça
35:54c'est
35:55un
35:57comment
35:58un délit
35:59ou un crime
36:00hybride
36:02ah c'est hybride
36:05donc il n'y a pas
36:06le parquet national
36:07et puis
36:08ensuite
36:09ils ont fait mieux
36:10ils ont dit
36:11c'est un
36:11un fait divers
36:14infra djihadiste
36:17sont forts les mecs
36:19les funambules
36:22de la sémantique
36:23voilà
36:23donc en fait
36:25voilà
36:26ça veut dire que
36:27l'islamisation
36:27ça ne marche pas
36:28parce que quand on arrive
36:30avec des codes
36:30et une culture différente
36:32on pratique les codes
36:34et sa culture
36:34voilà
36:35on ne peut pas
36:35l'en vouloir
36:36c'est comme ça
36:37bon
36:37et enfin
36:39enfin c'est
36:40la faillite
36:41sécuritaire
36:42parce que dans le même
36:42moment
36:43on a un boulanger
36:44qui est poignardé
36:46pour une baguette
36:46et on a
36:47dans l'aude
36:49cette phrase
36:50du maire
36:51magnifique
36:52ou d'un restaurateur
36:53plutôt
36:54ils ont dansé
36:55son ossande
36:56en d'autres termes
36:57on a
36:58une rêve partie
36:59qui dure 4 jours
37:005 jours
37:01qui n'en finit pas
37:02tout le monde a peur
37:03c'est à cause de quoi
37:04moi j'ai vécu
37:05Malikousekine
37:06le syndrome
37:06oulala si jamais
37:07il y a un problème
37:08tout le monde
37:08va nous tomber dessus
37:09donc on ne bouge pas
37:11on les laisse faire
37:12et on a donc
37:13une rêve partie
37:14de 2000 toughers
37:15qui sont des
37:16qui appartiennent
37:18à un tiers état
37:19intellectuel
37:20d'un télo
37:21à bac plus 7
37:22c'est nos futurs ingénieurs
37:24c'est nos
37:25c'est nos
37:25sociologues
37:26c'est l'éducation nationale
37:28les universités
37:29ils sont là
37:30à danser
37:31pendant 15 jours
37:32je me demande
37:32comment ils font
37:32droguer
37:33voilà
37:34et nous on regarde
37:35autour
37:35et on dit
37:36aux gendarmes
37:36surtout vous ne touchez
37:37à rien
37:37vous ne bougez pas
37:38etc
37:39et dessous
37:40il y a quoi
37:40des cendres
37:41des cendres
37:41des cendres
37:42des vignes
37:43des vignes
37:44arrachées
37:44sur l'ordre
37:45de Bruxelles
37:45non mais
37:48il y a de quoi
37:48devenir fou
37:49parce que la vigne
37:52c'est la tradition
37:53française
37:53c'est le vin
37:54français
37:55le vin
37:55c'est l'esprit
37:56français
37:56et donc là
37:58il y a un empilement
37:59de faits
38:01de société
38:01qui montre
38:03une très grave
38:04dérive
38:04vers la barbarie
38:06et nous en parlerons
38:08évidemment
38:09dans les prochaines semaines
38:10quand vous parlez
38:12de dérive
38:12vers la barbarie
38:13Philippe De Villiers
38:14vous nous avez réservé
38:16une surprise
38:17avec Geoffroy Lejeune
38:18la première surprise
38:18c'est qu'il a parlé en verlan
38:19il a dit teufeur
38:20il a dit teufeur
38:21c'est vrai
38:21et il est fan de Yu-Gi-Oh
38:23aussi
38:24c'est un nouveau
38:26Philippe De Villiers
38:26il aime beaucoup
38:28Djouj
38:28également
38:29Philippe De Villiers
38:30vous nous avez
38:31plus sérieusement
38:32réservé une surprise
38:33parce que
38:33c'est vrai qu'on s'appelle
38:34toute la semaine
38:35on travaille
38:36cette émission
38:36ensemble
38:37mais vous avez refusé
38:39de nous dire
38:39quel sera
38:40l'apologue
38:42ce dont
38:42vous allez nous parler
38:44dans un instant
38:45donc je ne sais même pas
38:46comment vous lancer
38:47à part
38:47je vous écoute
38:49comme peut-être
38:50un million de français
38:51à 19h46
38:52écoutez bien
38:55voilà
38:58je vais vous parler
38:59de l'histoire
38:59d'un
39:00d'un prince
39:02isolé
39:04lointain
39:06distant
39:06coupé du peuple
39:08qui visiblement
39:14a plus de considération
39:15pour son caprice personnel
39:17que pour le dessin
39:18de l'empire
39:18en tout cas
39:20c'est ce qu'on dit
39:21ce prince isolé
39:24c'est un empereur
39:25qui s'appelle
39:25Commode
39:26il a régné
39:28de 182
39:29à 192
39:3110 ans
39:32on dirait aujourd'hui
39:332 fois 5 ans
39:352 quinquennats
39:36tiens tiens
39:38coïncidence
39:40à Rome
39:43on l'appelle
39:44le
39:45princeps
39:46clausus
39:48ce qui veut dire
39:49en fait
39:49le prince
39:51enfermé
39:52dans son palais
39:53isolé
39:54dans sa citadelle
39:55qui
39:57gère
39:59sa cour
40:00et ses lubies
40:01il a une favorite
40:04une compagne
40:05qui s'appelle
40:07Marcia
40:08et visiblement
40:09le couple
40:09mal appareillé
40:10il l'agace
40:14par ses enchantillages
40:15et un soir
40:16elle le gifle
40:19et cette gifle
40:21va faire le tour
40:23de l'empire
40:23elle va
40:26courir
40:27chez toutes
40:31les élites
40:31romanisées
40:33il est entouré
40:35aussi de favoris
40:36de courtisans
40:38auxquels
40:39selon les historiens
40:40latins
40:40il témoigne
40:42une faveur
40:42particulière
40:43il les mène
40:44au capitole
40:45il les mène
40:46au jeu
40:46il leur distribue
40:48les prébandes
40:49et les courbes
40:51d'honneur
40:51en fait
40:52la personnalisation
40:53du pouvoir
40:54de l'empereur
40:55commode
40:55est telle
40:57qu'elle favorise
40:58le trafic
40:59des places
40:59le trafic
41:01des honneurs
41:02on prolonge
41:06les postes
41:07on récompense
41:09ceux qui rendent
41:10service
41:10en fait
41:12le caractère
41:13de l'empereur
41:13commode
41:14le conduit
41:16le porte
41:17à des actes
41:18insensés
41:19une nuit
41:20après un dîner
41:21avec les mignons
41:22du palais
41:22il jette
41:24dans une piscine
41:25son préfet
41:28du prétoire
41:28en présence
41:31de ses conseillers
41:32et puis surtout
41:34une chose
41:35qui va vous intéresser
41:36il parle
41:37il parle
41:37il parle
41:38il aime parler
41:39il
41:41il
41:43il
41:44saoule
41:45les romains
41:46de sa faconde
41:47et il souffle
41:48de ce que les historiens
41:49appellent
41:49une logorie chronique
41:50et il n'applique pas
41:52du tout
41:52le principe
41:53le précepte
41:55impérial
41:55le prudence
41:57impératoria
41:59brevitas
42:00le prince
42:03est économe
42:04de son verbe
42:05lui
42:06c'est le contraire
42:07il veut qu'on parle
42:09de lui
42:09il veut qu'on
42:10l'applaudisse
42:11il descend
42:14dans l'amphithéâtre
42:15lui-même
42:16il se prête
42:16lui-même
42:17au jeu
42:17avec des animaux
42:18apprivoisés
42:19et il organise
42:22des jeux
42:22et il trône
42:24pour la cérémonie
42:26inaugurale
42:27pour sa propre image
42:30mais très vite
42:30les reproches
42:33pleuvent
42:33les critiques
42:34s'amoncèlent
42:37première critique
42:38la plus grave
42:39il est accusé
42:41de
42:43bâcler la paix
42:44et d'abandonner
42:46les frontières
42:47et d'ailleurs
42:49il a une formule
42:49pour justifier
42:50cette abandon
42:51des frontières
42:51il n'y a pas
42:52de culture romaine
42:53ensuite
42:56il est accusé
42:57d'augmenter
42:59l'arrivée
43:00du blé
43:00africain
43:01alors que les petits
43:03paysans romains
43:04crèvent de faim
43:04à cause
43:07de cette concurrence
43:08injuste
43:09ensuite
43:09il est accusé
43:10de dépenser
43:11des sommes
43:11considérables
43:12pour des donations
43:14et des distributions
43:15frumentaires
43:16comme on dit à Rome
43:17en d'autres termes
43:19l'empereur commode
43:20flatte le peuple
43:23il épuise
43:25le trésor impérial
43:26il accroît
43:28la pression fiscale
43:30sur les provinces
43:31les finances
43:33de l'état
43:33sont hors de contrôle
43:35et la dette
43:36devient abyssale
43:38et puis
43:38il lui est reproché
43:39d'avoir mal géré
43:42une maladie
43:42pestilentielle
43:43qui s'abat
43:45sur l'empire
43:46sans doute
43:48un retour
43:48de la peste
43:48Antonine
43:49et il donne l'ordre
43:50aux patriciens
43:51de ne plus descendre
43:52se réunir
43:53sur le forum
43:53les patriciens
43:55lui en voudront
43:55beaucoup
43:56mais il fait plus
43:57que ça
43:57il veut changer
43:58la souveraineté
43:59de Rome
44:00il rebaptise Rome
44:01comodia
44:02colonia
44:05comandiana
44:05il veut changer
44:07la structure
44:08institutionnelle
44:09de Rome
44:09et ça
44:09les patriciens
44:10ne lui pardonneront pas
44:11il finira mal
44:12il finira
44:13très mal
44:15considéré comme cruel
44:18et autoritaire
44:19à l'instar
44:21de Néron
44:21il sera condamné
44:22à la
44:23danatio
44:24mémoriae
44:26l'apologue
44:29de Philippe
44:30de Villiers
44:30toute
44:30coïncidence
44:33toute
44:35ressemblance
44:36avec une situation
44:38à laquelle
44:39on peut avoir
44:40accès
44:41par l'intermédiaire
44:42de ces news
44:42est purement
44:44fortuite
44:45rassurez-moi
44:46son prénom
44:48à Commode
44:48pas Emmanuel Commode
44:50l'empereur
44:52Commode
44:53Philippe de Villiers
44:56de retour
44:57Philippe de Villiers
44:58merci beaucoup
44:58parce que c'est
45:00je le sais
45:00un plaisir
45:01pour tous les téléspectateurs
45:03parmi toutes les informations
45:04que nous avons traitées
45:06ce soir
45:07peut-être
45:08l'information majeure
45:09c'est votre livre
45:10qui paraîtra
45:12le 8 octobre prochain
45:13actuellement
45:14en précommande
45:15dans toute la France
45:17déjà en précommande
45:18et qui sortira
45:19le 8 octobre prochain
45:21l'année dernière
45:22vous avez quand même
45:22publié un livre
45:23qui a été un best-seller
45:25en bon français
45:26plus de 250 000
45:29c'est le best-seller
45:29politique de l'année
45:30c'est le best-seller
45:31politique de l'année
45:32et je pense aux téléspectateurs
45:34qui doivent se dire
45:35mais pourquoi
45:35un nouveau livre
45:37et qu'est-ce qui est différent
45:39dans Populicide
45:40que dans Mémoricide
45:41il nous reste
45:42quelques minutes encore
45:44non mais ça je ne vous le dirai pas
45:45parce que
45:45ah on n'a pas le droit
45:46oui
45:47mais simplement
45:48la situation s'aggrave
45:51et à mon avis
45:51change de nature
45:52on est tout près
45:55du gouffre là
45:56moi j'ai eu des échos
45:57cet été
45:58on m'a dit que Philippe
45:59disait que c'était son meilleur livre
46:00et peut-être même le dernier
46:02d'ailleurs
46:03je dis simplement
46:05c'est mon livre testament
46:06ouais
46:07bah écoutez
46:09espérons qu'il y en ait d'autres
46:10dans ma famille
46:11une famille de guerriers
46:13en fait
46:13les officiers
46:15qui sont succédés
46:15faisaient plusieurs testaments
46:16je peux vous dire
46:20une chose
46:21c'est qu'on a travaillé
46:23un peu cette semaine
46:24Philippe sera dans le JDD
46:25dimanche
46:26et pour le coup
46:26avec une annonce fracassante
46:28je pèse mes mots
46:30on découvrira ça dimanche
46:31on en parlera dès demain
46:32si vous voulez
46:32on en parlera peut-être
46:33dès demain
46:34dès demain soir
46:35en revanche
46:36il faut dire aussi
46:36aux téléspectateurs
46:37Philippe Devilliers
46:38que normalement
46:39votre rentrée médiatique
46:40était prévue
46:41le 12 septembre
46:42pourquoi être venu
46:44le 5
46:45une semaine plus tôt
46:46parce que je voulais arriver
46:49je voulais pas être
46:50un carabinier italien
46:51qui arrive
46:52après la bataille
46:53là je voulais arriver
46:55je voulais pas arriver
46:58après la sépulture
47:00mais avant
47:01voilà
47:03et non non mais
47:04je voulais arriver
47:06pour dire aux français
47:08une chose
47:09que
47:10que je dis souvent
47:12à mon entourage
47:14tout est sauf
47:17parce que tout n'est pas perdu
47:19on croit que tout est perdu
47:20et moi
47:21tout l'été en fait
47:22c'est ce qui m'a incité
47:23à écrire
47:24tout l'été
47:25j'ai entendu des gens
47:27autour de moi
47:27qui disaient
47:27c'est foutu
47:29hein
47:30c'est foutu
47:31vous qui connaissez
47:32c'est foutu
47:33je dis quoi
47:34oui c'est foutu
47:35non
47:38c'est pas foutu
47:39t'es jamais foutu
47:41la France
47:43peut renaître
47:45elle va renaître
47:47c'est une question
47:48de volonté
47:49il faut renouer
47:52avec l'âme de la France
47:53Philippe de Villiers
47:54merci
47:55et à la semaine prochaine
47:57c'est parti
47:58c'est lancé
47:58Geoffroy Lejeune
47:59un grand merci également
48:00on se retrouve
48:02la semaine prochaine
48:03sur CNews
48:04en direct
48:04de 19h
48:05à 20h
48:06bien sûr
48:06votre rendez-vous
48:07du vendredi
48:08et puis
48:08c'est sur Europe 1
48:10également
48:10le samedi matin
48:11de 10h
48:12à 11h
48:13dans un instant
48:14c'est l'heure des Pro 2
48:15à tout de suite
48:16c'est l'heure des Pro 2
Commentaires
1
  • sensor.mmil y a 4 mois
    Je souhaiterai que Mr. Philippe De Villiers soit président de la France. C est un homme que je trouve honnête.
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