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  • il y a 4 mois
Avec Clémentine Autain, Députée de Seine Saint-Denis, co-fondatrice de l'Après

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##L_INVITE_POLITIQUE-2025-09-01##

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News
Transcription
00:00Sud Radio, l'invité politique, Jean-François Aquili.
00:06L'invité politique, c'est Clémentine Autain, député de Seine-Saint-Denis.
00:09Votre invité pour démarrer, en quelque sorte, mon cher Jean-François Aquili.
00:13Bonjour Jean-François.
00:14Bonjour à vous Clémentine Autain.
00:16Bonjour Jean-François Aquili.
00:17Soyez la bienvenue.
00:18Je ne dirai sûrement pas au revoir, a déclaré François Bayrou au catch-on d'info hier.
00:24Il pense que ça peut bouger, qu'il y a un trou de fourmi.
00:28Qu'est-ce que vous lui dites ce matin au Premier Ministre ?
00:32Qu'il prend ses rêves pour des réalités.
00:34J'ai écouté le Premier Ministre, c'était fastidieux et j'ai entendu un disque rayé.
00:39Tout le monde sait qu'à partir du 8 septembre, c'est terminé pour François Bayrou.
00:43Donc maintenant, la question qui est devant nous, c'est quelle suite ?
00:47Et je veux me concentrer sur cette suite et pas commenter un Premier Ministre
00:51qui est de toute façon en train de préparer ses cartons.
00:54Terminé, vous dites, la messe est dite.
00:56Il ne vous a convaincu sur rien, même pas sur l'urgence de la dette, François Bayrou ?
01:01Il m'a convaincu sur une phrase.
01:04Si le gouvernement est renversé, on changera de politique.
01:07C'est la phrase d'accord que j'ai avec François Bayrou.
01:10Et je pense que c'est une bonne nouvelle de se dire qu'on peut arrêter la catastrophe
01:17dans laquelle ce gouvernement, après d'autres, nous plonge aujourd'hui.
01:22Et ce n'est pas simplement un chaos budgétaire.
01:25Chaos budgétaire qu'ils ont fabriqué, Jean-François Quilly.
01:28Parce que là, il essaye de nous faire passer un choix politique pour de la fatalité.
01:33Et il essaye de se déresponsabiliser.
01:36Vous contestez tout ce qui est de l'ordre du constat,
01:39la dette, les 44 milliards d'euros d'économie nécessaires pour essayer de rentrer dans les clous ?
01:44Pour vous, ça n'existe pas ?
01:47Si. Je dis que les Français n'ont pas à payer le trou budgétaire qu'ils ont créé
01:53en démultipliant les cadeaux fiscaux aux grandes entreprises et aux ultra-riches.
02:01Il dit que ça date de 1974, que toutes les formations politiques,
02:05tous ceux qui ont gouverné successivement en alternance ont tous creusé le trou en question.
02:09Depuis 2017, le trou est abyssal.
02:12Mais si on pense sur 10 ans, M. Aquilly, sur 10 ans, c'est 450 milliards d'euros.
02:16de recettes fiscales en moins.
02:18Donc, ce que je reproche à ce gouvernement,
02:20c'est sans arrêt d'aller chercher à diminuer les dépenses publiques,
02:24c'est-à-dire moins pour nos hôpitaux, moins pour nos écoles,
02:28moins pour nos transports publics, moins pour la transition écologique,
02:31et de laisser tranquille ceux qui ont le plus, les plus fortunés,
02:36dont non seulement les dividendes explosent quand il s'agit des multinationales,
02:41ou qui s'enrichissent quand ce sont les ultra-riches.
02:43Vous savez, à quel pourcentage se sont enrichis les milliardaires ces dernières années en France ?
02:48C'est de l'ordre de 8 à 10% par an.
02:50Il est là, le scandale, et c'est ce tabou, ce dogme, que François Bayrou ne veut pas faire tourner.
02:56Je reviens, je ne suis pas l'avocat de François Bayrou,
02:58mais je reviens sur ce qu'il a dit devant la C...
03:00Quant à la dette, je veux bien qu'on en parle, Jean-François Bayrou.
03:01On va parler tout ça, on rentre dans le détail.
03:02Ce qu'il a dit devant la CFDT mardi dernier,
03:05il a dit un effort spécifique pour les hauts revenus,
03:07je veux bien qu'on en discute.
03:08Il parle aussi de suppression de certaines niches fiscales
03:11et il veut rééquilibrer les aides aux entreprises,
03:13les fameux 211 milliards d'euros qui sont versés tous les ans.
03:17Il est prêt à discuter là-dessus.
03:18Il est même prêt à n'avoir qu'un seul jour férié,
03:21voire même discuter sur tout.
03:22Pourquoi ne pas y aller et essayer de discuter avec lui ?
03:24C'est ma question.
03:25D'où ma proposition.
03:27Je propose au Président de la République
03:28de faire un référendum
03:30de sortie de crise
03:31et de soumettre aux Français trois mesures
03:34pour remettre notre budget
03:36à flot et pour arrêter
03:38de faire payer à ceux qui ont le moins
03:40leur choix politique.
03:42Trois mesures.
03:43Un référendum simple.
03:44Sur les recettes
03:45et des recettes fondées sur la justice fiscale.
03:49Vous savez, c'est ce que les Français attendent.
03:51De la justice fiscale.
03:53Trois mesures.
03:53C'est un référendum, les gens seront d'accord.
03:55De toute façon, pour faire payer les hauts revenus,
03:57tout le monde est d'accord là-dessus.
03:58Alors, on a un problème budgétaire,
03:59on n'a pas de problème budgétaire.
04:00On veut le résoudre pour 2026,
04:02on ne veut pas le résoudre.
04:02Moi, je vous dis qu'avec la taxe Zuckman,
04:04sur les multinationales,
04:08l'idée toute simple
04:09que les multinationales paient en France
04:12autant d'impôts
04:13que les entreprises françaises
04:15en rapport avec leur chiffre d'affaires en France.
04:18Et troisièmement,
04:19la fin des aides aux entreprises
04:21sans aucune contrepartie
04:23ni sociale ni environnementale.
04:24Vous serez peut-être d'accord avec moi
04:25que quand nous donnons
04:27298 millions d'euros d'aides publiques
04:29en 2023 à ArcelorMittal
04:31et qu'en 2025,
04:33ils ferment des usines,
04:35ce n'est pas acceptable.
04:36Monsieur Jean-François Achilly,
04:37vous serez d'accord avec moi ?
04:38C'est ce qu'il faut réformer,
04:39un suivi des aides aux entreprises.
04:41Et vous serez aussi d'accord avec moi
04:43qu'il n'est pas acceptable
04:45que François Pinault,
04:47d'accord,
04:48ou Bernard Arnault
04:49paient en proportion de leur revenu
04:51deux fois moins d'impôts,
04:54de taxes et de cotisations sociales
04:55que la majorité des Français.
04:57Ce n'est pas acceptable,
04:58il faut que ça cesse.
04:59Donc la justice fiscale,
05:00il faut l'inviter dans ce débat
05:02et je regrette d'ailleurs
05:03qu'hier eu plus d'une heure d'interview
05:05une seule question
05:06sur les mesures de recettes
05:08fondées sur la justice fiscale.
05:10Faisons ce référendum.
05:11Les Français,
05:12demandons aux Français
05:13s'ils sont d'accord
05:14pour faire face
05:16à la difficulté budgétaire
05:18et au chaos social
05:19qu'ils ont organisé
05:20par de la justice fiscale.
05:21La taxe que Zuckman,
05:23le rendement c'est quoi ?
05:2415 milliards ?
05:25Entre 15 et 25 milliards.
05:26La dette française,
05:28c'est 3 345 milliards.
05:30C'est presque...
05:30Je presque ai envie de vous dire...
05:31Ça ne marche pas comme ça,
05:32M. Aquil.
05:33D'accord,
05:33mais ce qu'a dit François Bayrou hier soir,
05:36c'est
05:36vous allez faire fuir tout le monde.
05:38C'est faux.
05:38C'est la phrase qu'il a dit hier soir.
05:39Bien sûr.
05:40Par rapport à ça.
05:40C'est faux.
05:41D'abord, c'est faux.
05:43Et je dois dire
05:44que les mensonges
05:46de M. Bayrou
05:46répétés en boucle
05:48me fatiguent
05:50et sont
05:51une insulte
05:52d'abord
05:53à ce moment
05:54que nous traversons
05:55nous avons besoin
05:56d'un débat fondé
05:57sur des vérités.
05:58Et deuxièmement,
06:00ça contribue
06:01à masquer
06:02des choix politiques
06:03pour les transformer
06:04en inéluctabilité.
06:05Mais sur la taxe Zuxman,
06:06vous avez également
06:06un risque d'inconstitutionnalité.
06:08Vous le savez.
06:09Les deux sont faux.
06:10Sur l'exil fiscal...
06:12Le prélèvement
06:13sur les patrimoines
06:14est trop bas
06:15considéré comme confiscatoire.
06:17C'est faux.
06:18Absolument faux.
06:18Mais non.
06:19La taxe foncière,
06:19elle est confiscatoire ?
06:21Non, elle n'est pas confiscatoire.
06:23Et vous savez
06:23qu'il y a dans notre constitution
06:25l'égalité devant l'impôt.
06:27Quand vous avez
06:29des ultra-riches
06:31qui paient moins d'impôts
06:32que ceux qui ont le moins,
06:34vous avez un problème
06:35d'égalité devant l'impôt.
06:36Donc, la constitutionnalité
06:38est un argument
06:39qui est un argument
06:39idéologique
06:41pour rejeter cette taxe
06:42qui est une taxe
06:43qui permet
06:43d'empêcher
06:45que les ultra-riches
06:46contournent l'impôt.
06:47Quant à l'exil,
06:48je le redis,
06:49les études en sciences sociales
06:50sont claires et nettes.
06:52Il y a une étude
06:52qui a été faite
06:53et elle a été publiée
06:54par Gabriel Zuckman
06:55encore hier
06:56en répondant
06:57à M. Bayrou.
06:59L'étude,
07:00elle a été faite
07:00sur la taxe Zuckman.
07:01Si elle est à 1%,
07:02mettons,
07:03moi je la souhaite
07:04bien plus haute,
07:04mais même à 1%,
07:05vous savez combien
07:08disent qu'il pourrait partir ?
07:10C'est moins de 2%
07:11des milliardaires.
07:13Donc, c'est résiduel.
07:14Donc, arrêtons
07:15de raconter n'importe quoi.
07:17Clémentine Autain,
07:18le 8 septembre au soir,
07:21qu'est-ce qu'il faut
07:21un Premier ministre ?
07:23Quel Premier ministre ?
07:24Si Emmanuel Macron
07:26nomme, je ne sais pas moi,
07:27Gérald Darmanin
07:28puisqu'il y en a beaucoup
07:28de questions,
07:29il a fait des appels
07:29du pied hier à Tourcoing,
07:31qu'est-ce que ça change ?
07:33Ça ne change pas de politique.
07:34Qu'est-ce qu'il faut ?
07:35Il faut un Premier ministre ?
07:35Si c'est M. Darmanin,
07:37au moins les choses sont claires,
07:37ça ne change pas de politique.
07:38Olivier Faure ?
07:40Olivier Faure,
07:41un candidat,
07:43enfin en tout cas,
07:43un Premier ministre
07:44issu des rangs
07:45du Nouveau Front Populaire,
07:46c'est ce qu'aurait dû faire
07:47le Président de la République
07:48depuis juillet 2024
07:50où le Nouveau Front Populaire
07:52est arrivé en tête
07:53rassemblant 9 millions
07:55d'électeurs et d'électrices
07:56contre toute attente.
07:57Donc la logique institutionnelle
07:59depuis lors,
08:01c'était de nommer
08:02à l'époque Lucie Casté
08:04et aujourd'hui encore
08:05de nommer
08:05une personnalité
08:07du Nouveau Front Populaire.
08:08Vous dites 9 millions d'électeurs
08:09mais si je regarde les chiffres
08:11au premier tour
08:11des législatives de 2024,
08:14le Rassemblement National
08:15c'est 10 millions et demi
08:16donc c'est au-dessus
08:17des 9 millions
08:18et si vous additionnez
08:19le socle commun
08:20des électeurs
08:21d'Emmanuel Macron
08:22et de la droite
08:23dite traditionnelle,
08:24vous êtes aussi
08:25à 9 millions et demi.
08:26Nous avons les trois blocs
08:27en quoi vous êtes plus légitime
08:28que d'autres ?
08:29Non mais c'est une question
08:30que je vous pose.
08:31Vous mettez l'arithmétique
08:32en avant.
08:32L'arithmétique de l'Assemblée Nationale.
08:34En quoi vous êtes plus légitime ?
08:36Attendez,
08:38l'arithmétique
08:39c'est le fait
08:40que notre coalition
08:42est la plus importante
08:43des trois blocs
08:44dont vous parliez
08:45à l'Assemblée Nationale.
08:47D'accord ?
08:47Je parle des nombres
08:48d'électeurs.
08:49Clémentine Autain,
08:49pourquoi ce ne serait pas vous
08:50qui seriez
08:51Premier ministre de la France ?
08:52Pourquoi aller chercher
08:53un homme ?
08:54Pourquoi pas une femme
08:55aujourd'hui ?
08:56Pourquoi pas une femme ?
08:57C'est Emmanuel Macron
08:59qui va choisir
09:00qui est Premier
09:01ou Premier ministre.
09:02Vous y pensez ou pas ?
09:04Je pense surtout
09:05à comment nous trouvons
09:06des solutions au plus vite
09:07pour les Français.
09:08À comment nous sommes capables
09:09à gauche
09:10de cesser
09:11les invectives
09:13entre les uns
09:13et les autres
09:14pour nous remettre
09:14en ordre de marche
09:15et être
09:16l'issue progressiste
09:19au chaos
09:19qu'ils ont constitué.
09:20Voilà mon engagement.
09:23Voilà ce pour quoi
09:24je me bats.
09:24Vous avez vu le résultat
09:25de notre enquête
09:25de rentrée.
09:26IFOP fiduciale
09:27pour Sud Radio.
09:287 Français sur 10.
09:2969% pessimistes
09:31face à l'avenir.
09:32Ils en ont marre.
09:34Ça concerne aussi
09:34désormais les catégories aisées.
09:36Les électeurs
09:37d'Emmanuel Macron,
09:38les jeunes.
09:38Tout le monde déprime
09:39dans ce pays.
09:41Notamment du fait
09:41du spectacle
09:42de la politique
09:43aujourd'hui.
09:45Au fond,
09:45vous ne pensez
09:46que les politiques
09:48en général,
09:48tous bords confondus
09:49à l'élection présidentielle.
09:51Il n'y a que ça
09:51aujourd'hui.
09:53C'est le seul moteur.
09:53L'élection présidentielle
09:55C'est ce qui bloque tout.
09:56Oui,
09:57alors ça je suis bien d'accord.
09:58Et moi je me bats
09:59contre l'hyperprésidentialisme
10:00et je suis d'ailleurs
10:01pour une sixième république
10:02qui nous sorte
10:03de ce système institutionnel
10:05où l'élection
10:07d'un seul
10:08à la tête de l'État
10:09qui a un pouvoir
10:10disproportionné
10:11et qui d'ailleurs
10:12peut écraser
10:14la volonté populaire,
10:15écraser la majorité
10:17du Parlement,
10:17ça je pense
10:18qu'en effet
10:19il est temps
10:20d'en finir.
10:21Les invectives
10:22quand vous entendez
10:23votre ancien mentor
10:25Jean-Luc Mélenchon
10:26dans le genre
10:27invectives
10:27il se pose là aussi.
10:29Il fait partie
10:29de ce que vous dénoncez
10:31aujourd'hui.
10:32Cesser les invectives
10:33vous dites.
10:33Oui,
10:34je pense qu'il faut
10:34cesser les invectives
10:35de toute part.
10:36Bien sûr,
10:37aujourd'hui à gauche
10:38et je me mets
10:39dans la tête
10:39d'un électeur
10:40ou d'une électrice
10:41du peuple de gauche
10:42quand il allume sa télévision
10:44il a envie de voir
10:44autre chose.
10:45Un espoir est né
10:46avec le nouveau
10:47Front Populaire
10:48et depuis un an
10:49nous n'avons pas été
10:49à la hauteur.
10:50Mais maintenant
10:50il n'est pas temps
10:51de se lamenter
10:52il est temps
10:52de se ressaisir.
10:54Et c'est pourquoi
10:54j'appelle
10:55avec mon mouvement
10:56l'après
10:57à ce que toutes les forces
10:58du nouveau Front Populaire
10:59se retrouvent
11:00autour d'une table
11:00pour dessiner
11:03ce chemin
11:04pour les françaises
11:05et les français.
11:06Pour conclure
11:06Clémentine Autain
11:07je vous pose une question
11:07très personnelle
11:08je mets tout ça de côté
11:09Clémentine Autain
11:11je vous parlais de Matignon
11:12pourquoi est-ce que
11:12vous ne seriez pas vous
11:13candidate à l'élection
11:14présidentielle ?
11:15C'est bien que c'est trop tôt
11:16mais les gens regardent ça
11:18de façon un petit peu effrayée
11:20et si on changeait
11:21de logiciel
11:22pourquoi pas une femme
11:23candidate à l'élection
11:24présidentielle ?
11:24Il n'y a quasiment pas
11:25de candidature féminine
11:26aujourd'hui
11:26il n'y a que des messieurs.
11:28C'est évident que la place
11:29des femmes en politique
11:30est un sujet sérieux
11:31et qui doit être
11:32pris à bras-le-corps
11:33à gauche.
11:33Vous pourriez vous engager
11:35vous-même ?
11:35Je l'ai dit
11:36je m'engagerais
11:37si nous arrivons
11:39à mettre sur pied
11:39une primaire
11:40des gauches
11:41et des écologistes
11:41je serais dans ce cadre
11:42candidate.
11:43Allez merci à vous
11:44Clémentine Autain
11:45Patrick Roger
11:46Merci à vous
11:47Jean-François Aquilly
11:48et Clémentine Autain
11:50on va débriefer
11:50tiens
11:51je voudrais savoir
11:51ce que pensent
11:52les auditeurs
11:52qui vous ont entendu
11:53tout à l'heure
11:54enfin à l'instant
11:55sur ce choix
11:57et puis sur le pessimisme
11:59ambiant
11:59des français
12:007 sur 10
12:01qui sont pessimistes
12:02pour l'avenir
12:03de leurs enfants
12:04notamment avec
12:05les préoccupations
12:05autour des prix
12:06autour de la santé
12:07la délinquance aussi
12:09nous y reviendrons
12:10et puis cette menace
12:12du chaos
12:13je voudrais bien savoir
12:13aussi comment c'est perçu
12:15de l'étranger
12:16quand la France
12:17les plus hauts responsables
12:18qui vous parlent
12:19d'un chaos
12:19en France
12:21qui était un grand pays
12:22où en est-il
12:23ce grand pays
12:24nous allons voir ça
12:24dans un instant
12:25Françoise Degoy
12:26Robert Ménard
12:27et puis vous
12:270826 300 300
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