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  • il y a 4 mois
Le vote de confiance annoncé par François Bayrou vient agiter une fois de plus le risque, aujourd'hui faible mais pas improbable, d'une crise financière et de défiance des marchés. Tout comme les oppositions, plus de la moitié des Français ne souhaitent pas son obtention.

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Transcription
00:00Si la confiance n'est pas votée au Premier ministre de Beyrouth,
00:03dans ces cas-là, il faudra toujours un budget pour la France
00:05et il faudra toujours rétablir les comptes publics.
00:06La situation ne sera pas améliorée par l'opération du Saint-Esprit.
00:10Et donc, encore une fois, à partir des propositions
00:12qui auront été faites dans l'intervalle par les partis,
00:15il s'agira de prendre tout ce qui fait le minimum commun pour dégager,
00:18parce que je pense qu'il y a quand même des gens qui sont assez soucieux
00:21du fait que, oui, on a un problème de dette,
00:23oui, on a un problème de remboursement,
00:25oui, on a un problème d'effort à faire,
00:26pour dégager quelques idées phares qui permettent d'établir un budget,
00:29comme nous l'avons fait en février.
00:31Et ça, quelle que soit l'identité du Premier ministre,
00:33il faudra quand même un budget à la France.
00:34La destitution vers son Mélenchon ?
00:36Non mais, enfin, encore une fois,
00:37que les extrêmes se réjouissent et se frottent les mains aujourd'hui
00:40de la pagaille qui a provoqué François Beyrouth.
00:42Et je le redis, la pagaille qui a provoqué François Beyrouth, oui.
00:46Et c'est là où le piège de François Beyrouth est absolument,
00:48à mon avis, indigne, c'est que finalement,
00:51les seuls qui peuvent être ses partenaires,
00:53les socialistes, la gauche modérée, etc.,
00:55ceux qui acceptent de faire des compromis avec lui,
00:57les a piégés, il a cherché à les piéger.
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