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[#Journal] Le 19H30 du 20 Août 2025

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00:00Mesdames, mesdemoiselles et messieurs, bonsoir, ravi de vous retrouver sur GMT TV.
00:20Que pensent les Gabonais en matière d'insécurité plus de 100 jours après l'entrée en fonction du chef de l'État ?
00:26Nous leur avons donné la parole.
00:27C'était l'une des étapes les plus attendues du processus électoral en cours.
00:32Le ministère de l'Intérieur a en effet rendu publique la liste des candidats aux législatives de septembre prochain.
00:39Sans surprise, le duel de la DOLA aura bien lieu.
00:43C'est un duel fratricide qui se jouera dans la DOLA à l'occasion des élections législatives du 27 septembre 2025.
00:50Le ministère de l'Intérieur et de la Sécurité a rendu publique la liste définitive des candidats retenus pour ce scrutin.
00:57Dans cette circonscription, le siège unique sera disputé entre deux figures majeures de la vie politique gabonaise.
01:04Maïs Mouissi, ministre de l'Environnement et secrétaire général de l'Union démocratique des bâtisseurs.
01:10Et Yves-Fernand Mofumbi, vice-président du Parti démocratique gabonais.
01:14L'affrontement s'annonce tendu tant les enjeux sont élevés.
01:18Si sur plusieurs autres sièges, le PDG et l'UDB ont su privilégier la logique d'alliance,
01:24la DOLA fait exception et devient le théâtre d'une confrontation directe.
01:29La récente démonstration de force d'Yves-Fernand Mofumbi-Andende a rappelé son poids politique local.
01:37Député sortant, l'homme joue sa survie et entend conserver un chef où il bénéficie d'un solide réseau d'appui.
01:44En face, Maïs Mouissi cherche à consolider une implantation territoriale
01:49qu'il travaille patiemment depuis deux ans,
01:52capitalisant sur son rôle de ministre durant la transition et sur son statut de chef du parti.
01:58Particularité de cet affrontement local, les électeurs de Ndende n'auront à départager
02:02que ces deux prétendants sans dispersion des voix entre plusieurs candidats.
02:08Ce face-à-face à tour unique donne à la compétition une intensité particulière.
02:13Chaque camp cherchant à mobiliser au maximum ses bases.
02:16Pour l'heure, les deux adversaires multiplient les rencontres de proximité.
02:20Mais Maïs Mouissi poursuit parallèlement une tournée nationale
02:24afin de soutenir les autres candidats de son parti,
02:28renforçant ainsi son image d'homme d'appareil.
02:31Reste que l'issue du duel demeure incertaine
02:34puisque les populations de la DOLA affichent des avis partagés.
02:37Certains saluent les initiatives de Maïs Mouissi menées durant la transition
02:41mais d'autres soulignent son ancrage encore fragile dans la localité.
02:46A l'inverse, Yves-Fernand Monfumbi conserve une forte popularité personnelle
02:50mais souffre de l'image affaiblie du PDG auprès d'une partie de l'électorat.
02:55C'est donc un scrutin ouvert marqué par de nombreuses incertitudes
02:59dont le verdict ne tombera qu'au soir du 27 septembre
03:03au terme d'un affrontement politique qui s'annonce historique.
03:07Le gouvernement envisage la mise en place d'une centrale d'achat
03:10pour réguler le marché des matériaux de construction.
03:14C'est le ministre de l'économie qui l'a annoncé.
03:17Une mesure qui répond à la nécessité de lutter contre la spéculation
03:21et d'accorder du pouvoir d'achat au Gabonais.
03:24Après la mise en place d'une centrale d'achat alimentaire
03:27chargée de réguler les prix d'une cinquantaine de produits de première nécessité,
03:31le gouvernement gabonais souhaite étendre ce dispositif au secteur matériel de construction.
03:36L'annonce a été faite par le ministre de l'État en charge de l'économie, Henri-Claude Olima.
03:41Cette décision répond à une flambée persistante des prix du sable, du gravier ou encore du ciment,
03:47souvent alimentée par la spéculation entre producteurs et détenteurs de marché.
03:52Cette flambée a un impact direct non seulement sur le budget de l'État
03:55mais également sur le budget des ménages qui construisent ou rénovent.
04:00La future centrale d'achat servira d'intermédiaire entre producteurs, importateurs et entreprises du BTP
04:05afin de réduire les marges excessives et d'assurer une transparence accrue dans les transactions.
04:11Elle devrait permettre de rendre plus accessibles les prix du mètre cube de béton et de la tonne de ciment,
04:17contribuant ainsi à alléger le coût de projets essentiels tels que les routes, logements sociaux ou écoles.
04:23Si la mesure est saluée par certains comme un moyen de limiter la spéculation,
04:28d'autres redoutent une concentration excessive du pouvoir d'achat public et une marginalisation des distributeurs privés.
04:35Dans un secteur du BTP crucial pour l'emploi et la croissance,
04:39l'efficacité de cette centrale dépendra de sa capacité à concilier régulation, compétitivité et dynamisation du marché.
04:46Près d'un cinquième de la dette publique du Gabon est exposé à des aléas des marchés financiers internationaux.
04:53Une situation délicate qui place le pays dans une situation de vulnérabilité face aux fluctuations des taux d'intérêt.
05:02Près d'un cinquième de la dette publique du Gabon est exposé aux aléas des marchés financiers internationaux.
05:07Selon les données de mars 2025, la dette à taux variable représente 17,1% du portefeuille, soit environ 1 225 milliards de francs CFA.
05:17Un choix risqué dans un contexte mondial marqué par la hausse des taux d'intérêt,
05:21qui menace d'alourdir brutalement la charge budgétaire du pays.
05:25Le coût implicite global de la dette publique gabonaise atteint déjà 4,6%,
05:28mais cette moyenne pourrait être largement dépassée par les instruments à taux variable,
05:33dont les intérêts évoluent au gré des marchés.
05:35Dans sa note de conjoncture de juin 2025, la Banque mondiale a mis en garde l'environnement de taux d'intérêt élevé
05:41pour affecter négativement les pays ayant une part significative de dette à taux variable.
05:47Pour le Gabon, cette configuration signifie aussi une hausse mécanique du service de la dette,
05:52sans possibilité de maîtrise directe.
05:53Le danger est d'autant plus grand que la majorité de ses emprunts sont libellés en devise étrangère
05:59en cas de combinaison entre une nouvelle poussée, des taux mondiaux et une dépréciation du franc CFA.
06:04La facture pourrait littéralement doubler sans qu'aucun nouveau financement ne soit mobilisé.
06:10Aujourd'hui, aucun mécanisme public ne protège le Gabon contre ce double risque.
06:14Ni stratégie active de couverture, ni plafondement réglementaire ne viennent encadrer ses engagements.
06:19Le pays reste donc exposé à des chocs exogènes imprévisibles,
06:22alors même que son budget est déjà étouffé par un service de la dette qui absorbe près de la moitié des recettes.
06:29Face à cette vulnérabilité, les pistes existent.
06:31Le Gabon pourrait convertir progressivement ses instruments en emprunts à taux fixe sur le long terme via des partenaires multilatéraux.
06:38Des financements concessionnels à taux préférentiels offriraient également une meilleure prévisibilité budgétaire
06:43et réduiraient l'exposition aux turbulences des marchés.
06:47En l'absence d'une action rapide, cette part de la dette agit comme une véritable bombe à retardement.
06:51Le moindre choc du taux ou de change pourrait entraîner une spirale de refinancement ruineuse pour l'État.
06:58L'urgence est claire.
06:59Engager un audit complet de ses engagements et mettre en place une politique proactive de gestion du risque.
07:04Car dans un environnement international instable,
07:07continuer à s'endetter à taux variables sans garde-fou revient à jouer la stabilité financière du pays à la roulette des marchés.
07:13Une note de sport dans ce journal dans le cadre des éliminateurs de la Coupe du Monde 2026 au sein du groupe F.
07:21Le Gabon affrontera la Côte d'Ivoire au stade de Franceville le 9 septembre prochain.
07:26Le mardi 9 septembre 2025, le stade de rénovation de Franceville va accueillir la rencontre au sommet entre les Panthères du Gabon
07:32et les éléphants de Côte d'Ivoire dans le cadre des éliminateurs de la Coupe du Monde 2026 au sein du groupe F.
07:38Ce duel prévu à 21h heure locale promet une soirée électrique pour les supporters des deux pays.
07:44Un vrai combat entre Félin et Pachyderme.
07:47Sans un match qui va assurer mon déqualification pour la Coupe du Monde 2026,
07:51organisé conjointement par les États-Unis, le Canada et le Mexique,
07:55le Gabon porté par son ambition de briller sur la scène internationale,
07:57aura fort à faire face à une équipe ivoirienne redoutable, championne d'Afrique en titre 2023.
08:04Les Panthères, sous la houlette de Thierry Mouyama,
08:06misent sur un mélange de talents locaux et joueurs évoluant à l'étranger pour créer la surprise à domicile.
08:12Le public de Franceville connu pour sa ferveur sera un atout précieux pour galvaniser l'équipe.
08:17De leur côté, les éléphants de Côte d'Ivoire emmenés par des stars confirmées et une solidité collective
08:22abordent ce match avec l'objectif de consolider leur position dans le groupe.
08:25Leur expérience et leur puissance offensive feront d'eux des adversaires redoutables.
08:30Ce choc entre les deux nations phares du football africain s'annonce comme un véritable test.
08:36Les deux sélections chacune visant une qualification pour le tournoi mondial.
08:40Le stade de Franceville, longtemps sujet à discussion, sera opérationnel pour offrir un cadre idéal pour cette rencontre.
08:47Avec une capacité d'accueil importante, l'enceinte devrait être comble pour soutenir les Panthères dans cette bataille cruciale.
08:53Les supporters attendent un spectacle de haut niveau où tactiques, engagements physiques et talents individuels seront au rendez-vous.
09:01Ce Gabon-Côte d'Ivoire est bien plus qu'un simple match de qualification.
09:04Il s'agit d'une affiche qui cristallise les ambitions des deux nations.
09:08Les Panthères parviendront-elles à rugir face aux éléphants ?
09:11Réponse le 9 septembre à 21h.
09:13Les amoureux du football africain sont invités à suivre cette rencontre en direct sur Eurosport ou Footmercato pour ne rien manquer de cet événement majeur.
09:24Plus de 100 jours après l'entrée en fonction de Brice Clottero Ligue en Gémar,
09:27les Gabonais se sentent-ils davantage en sécurité ?
09:30Nous leur avons posé la question. Je vous laisse regarder.
09:33A mon avis, il n'y en a pas parce qu'il y a beaucoup de choses.
09:38Lorsqu'on parle de la sécurité, madame, c'est profond, c'est profond, c'est profond.
09:42La voix, la voix, la voix.
09:43Vous savez, le tout, ce n'est pas prendre des mesures.
09:47On le voit à la télévision, bon oui, le secondement, il y a des mesures telles.
09:51Le tout, c'est d'aller à la source.
09:53De savoir réellement quels sont ceux-là qui font venir, par exemple, les stupéfiants, vous voyez.
09:59Et pour qui ? Parce que c'est très important.
10:04Et puis, voilà, d'abord, à résonner ceux-là qui sont pour tout convenir, tout ce qui se passe.
10:12Pas d'amélioration.
10:14Pas d'amélioration.
10:15Ce qui me concerne, pas d'amélioration.
10:17Les forces de sécurité aussi, ce doivent de faire beaucoup.
10:20Parce que quand ils arrivent, bon, mais c'est l'enfant des tels.
10:23Vous voyez, hein, ils se...
10:25Non, on doit faire le travail.
10:27Tous doivent faire le travail comme il le faut.
10:29Très, très, très, très sécèrement.
10:30La majorité même de ceux qui organisent d'abord les deux ordres de l'insécurité dans le pays,
10:35ce sont nos étrangères.
10:36Vous n'allez pas comprendre que, au sein de nos forces de sécurité,
10:41parmi eux, surtout avec le recrutement qu'ils ont eu à faire,
10:45il y a beaucoup de droits là-dedans.
10:46On passe...
10:46On passe...
10:47On passe...
10:47On passe...
10:48On se trouve pas à comprendre que quelqu'un qui est militaire
10:51va se lui permettre de brater les civils.
10:55Lui qui est censé protéger les civils,
10:57le droit de...
10:58On se rend compte que c'est un corps habillé qui se met à braquer,
11:02ou violer les inférences, c'est sûr, à soupe.
11:04Mais à soupe, à soupe, à soupe, à soupe, à soupe, à soupe, à soupe, à soupe, à soupe, à soupe, à soupe, à soupe, à soupe de sa société, oui, bien sûr.
11:07Donc, moi, je dirais tout simplement que, du côté de la seconde, le président de l'arrivée, il n'a pas encore réussi.
11:15Là-dessus, il ne faut pas connaître le monde, il n'a pas, parce que...
11:18Et vous avez aussi un certain nombre d'artistes gabonais, qui ont une influence sur un peu le jeu.
11:25Comment vous allez comprendre, nous, un artiste, il va chanter, et il va venir me dire...
11:29Forcément, le son a l'influence sur le jeune et l'enfant au quartier.
11:36Des paroles comme ça, je ne sais pas pourquoi la Haute Autorité de la Communication n'est censurée pas ce type de son.
11:43Parce que ça, c'est déjà un artiste qui incite déjà certains jeunes à faire du banditisme.
11:51« Oh, moi, je filme mon chambre, je n'ai pas le temps de quelqu'un. »
11:54Bon, vous pensez que celui qui est aussi au quartier, là-bas,
11:56quand il s'est mis à écouter ce genre de son comme ça, lui, il va dire...
12:01Forcément, là aussi, dans sa tête, je n'ai plus eu mon chambre, je n'ai pas le temps de quelqu'un.
12:05Donc, lui-là a sorti de l'influence comme ça.
12:07C'est raison à censurer.
12:10Rien n'a changé.
12:12Parce que nous constatons une violence en milieu scolaire.
12:19Les jeunes dans les lycées se poignardent,
12:22les jeunes dans les lycées se baladent avec les drogues,
12:24parce qu'un pays, c'est la jeunesse.
12:26Quand sa jeunesse est pervertie, rien ne peut aller.
12:31On ne sait pas comment ces stupéfiants font pour rentrer dans ce pays.
12:35Donc, on se demande qui amène cette drogue dans ce pays.
12:40Maintenant, nous avons des jeunes dans les quartiers.
12:45Je ne sais pas si c'est l'éducation nationale aussi qui ne fait pas son travail,
12:48parce qu'il y a un problème de formation.
12:50On ne donne pas aux jeunes les jugements de valeurs.
12:56Les jeunes, ça donne aux basses besoines.
13:00Regardez un peu les diplômés gabonais de maintenant.
13:03Un petit qui a le BPC, mais il s'exprime comme si c'était un délinquant.
13:06On ne peut plus faire la différence entre celui qui est à la rue et celui qui va à l'école.
13:11La plupart des jeunes ont le même français, le Largo.
13:14Alors qu'à notre époque, on voyait que celui-là va à l'école,
13:17il s'exprimait quand même bien.
13:19Et l'autre qui n'allait pas à l'école, qui était à la rue,
13:21on arrivait à les dissocier.
13:23Mais aujourd'hui, ils sont pratiquement tous confondus.
13:25Donc il faut vraiment que le chef de l'État essaye un peu de taper du poing sur la table.
13:33Pour l'instant, tu peux dire non, parce qu'on est toujours dans la même situation.
13:40Les viols d'enfants, c'est toujours là.
13:44On n'a pas de sécurité au niveau des quartiers.
13:48Par exemple, juste au niveau des deux,
13:54on a vraiment un manque de sécurité là-bas.
13:56Parce qu'il y a un problème de vol, de vol, de l'électricité, on n'a pas.
14:05Des fois, les lampadaires prennent.
14:07Je crois que tu vas avoir un mois, deux mois, trois mois, un an même.
14:10On est dans le noir, toujours dans notre sécurité.
14:14La sécurité, après les 100 jours du chef de l'État,
14:18on ne va pas faire la critique ici,
14:22mais on fait la critique que l'insécurité soit augmentée.
14:25Parce que de plus en plus, on parle de braquage,
14:28on parle de stupéfie, on parle de vente de drogue.
14:31Il y a toujours l'insécurité.
14:33Il y a toujours des agents qui ne font pas bien leur travail.
14:36Et donc pour moi, l'insécurité augmentée, ça devient encore plus.
14:39Il y a des viols.
14:41Il y a des viols, il y a le vol, la dégravation, les drogues, tout ça.
14:46Ces choses-là, il n'y avait pas ça avant.
14:48Tout le monde filme la drogue.
14:50Aujourd'hui, c'est maintenant une histoire du café.
14:51Tu viens à tel endroit, tu connais où on vend la drogue.
14:54Ce n'est pas bon, il y a un problème.
14:56Normalement, c'est qu'il doit être fait.
14:57La première chose, moi, on en a vu.
14:59On doit se sensibiliser d'abord nos forces de l'ordre.
15:02On doit les ressensibiliser.
15:03Chacun doit connaître pourquoi il a porté la tenue,
15:06pourquoi il est agent.
15:08Et pourquoi aujourd'hui, il est agent.
15:11Parce qu'il doit servir son pays, il doit aider.
15:12Parce que les agents, ils doivent aussi amener la jeunesse à comprendre.
15:17Aujourd'hui, on voyait aussi, conscient, tout ça.
15:19Et puis, il y a un problème, on n'a plus de loisirs.
15:21Il y a un coin qu'on appelle la Baie des Rois.
15:23Mais pour aller là-bas, ce n'est pas tout le monde, c'est cher.
15:26Voilà.
15:26Et tout le monde ne peut pas aller là-bas.
15:27Il n'y a plus de stade.
15:28Il n'y a plus de championnats pour les jeunes.
15:30Il n'y a plus de concerts.
15:30Il n'y a plus de concerts.
15:31Comme avant, on avait les championnats au quartier.
15:34Il n'y a plus ça.
15:36Donc, vous voyez que les jeunes, ils ont l'objet d'aller fumer.
15:38Mais si, avant, quoi ça ?
15:39Ça devait amener en sorte que nos frères et soeurs ne puissent pas se donner.
15:42Vous voyez aussi, les femmes aussi sont encore dans la consommation de stupéfiants.
15:46Il y a un problème.
15:47Il y a un problème.
15:48Mais, les 100 jours du chef d'État, il n'y a rien à réduire.
15:51C'est un bâtisseur, il bâti.
15:53Mais, pour l'insécurité, le ministère de l'Intérieur,
15:57il doit revoir, le ministère aussi de la Justice,
15:59qu'on doit revoir les agents corrompus.
16:02On doit les priser correctement.
16:04Quand ces agents, c'est là pour mettre l'ordre, pas pour mettre le désordre.
16:08Passons à présent au chiffre du jour.
16:10Il s'agit de 3 434 milliards de francs CFA.
16:13C'est le montant des crédits accordés à sa clientèle par le groupe BGFI Holding
16:18au premier semestre de l'année 2025.
16:22Les critiques adressées à notre formation politique
16:24s'apparentent désormais à un véritable chantage.
16:27Nous affirmons avec force.
16:28Il est temps de nous laisser travailler en paix.
16:31Le PDG n'est pas la vache à lait de la scène politique nationale.
16:35Nous ne sommes nullement des adversaires
16:37ou encore en guerre avec qui que ce soit.
16:40Patrice Mundunga Muiti, membre du bureau politique du PDG,
16:44c'était le verbatim du soir.
16:46Fin de votre journal.
16:47Merci de nous avoir suivis.
16:49Bonne soirée chez vous.
16:50Retrouvez JMT TV sur vos différents réseaux sociaux.
17:00Sous-titrage Société Radio-Canada
17:01Sous-titrage Société Radio-Canada
17:03Sous-titrage Société Radio-Canada
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