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[#Journal] Le 19H30 du 25 Août 2025

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00:00Lundi 25 août 2025, soyez les bienvenus sur GMT TV.
00:22Au sommaire de ce journal, nous évoquerons la rentrée des classes à venir avec cette question
00:26« Comment se préparent les déguerpis de derrière l'Assemblée nationale ? »
00:31Nous leur avons tendu le micro.
00:33Mesdames et Messieurs, bonsoir.
00:36La présence du Parti démocratique gabonais aux élections législatives et locales de 2025,
00:41une aubaine pour tester le niveau de prise de conscience des Gabonais,
00:46c'est en tout cas l'argument avancé par le député de la transition, Diofra Fombola,
00:50qui est par ailleurs candidat aux législatives dans le troisième arrondissement de Libreville.
00:54À l'approche des élections législatives du 27 août,
00:59Diofra Fombola Libeka Makosso, député de la transition et candidat dans le troisième arrondissement de Libreville,
01:05a lancé une charge aussi paradoxale que savoureuse.
01:08Pour lui, l'existence du PDG n'est pas un problème, mais une solution.
01:12Une solution pour tester le patriotisme et révéler que, finalement,
01:16les Gabonais sont parfois leurs propres complices.
01:19Devant ses partisans, Fombola Libeka a d'abord surpris son monde.
01:22L'existence du PDG est tellement nécessaire et on va voir, par l'existence du PDG,
01:27qui sont les vrais patriotes au Gabon.
01:29Une phrase qui, sortie de sa bouche, sonne comme une confession ironique.
01:33Oui, le vieux parti ONI est encore utile, mais pas pour gouverner.
01:37Seulement pour mesurer jusqu'où va la naïveté collective.
01:40Car, à l'entendre, le problème n'est pas seulement au PDG.
01:43Le problème, ce sont aussi les Gabonais qui crient au scandale le matin,
01:46mais acceptent le t-shirt jaune et la canette le soir,
01:50avant de se retrouver dans les gymnases à danser sur des slogans recyclés.
01:54Pour Geoffroy Fombola, le constat est limpide.
01:56Vous pensez que même les militaires eux-mêmes qui y mettent la plus grande volonté du monde,
02:00qu'est-ce qu'ils peuvent face à cette mentalité ?
02:02On va où ?
02:03Derrière la pique, une vérité.
02:05Le PDG n'a pas besoin de stratégie.
02:06Il lui suffit de profiter d'une mentalité de dépendance,
02:09de merci patron et de qui m'a trouvé le travail,
02:12qui m'a payé la facture.
02:13Et c'est là que le député se fait cinglant.
02:16Est-ce qu'on vote des gens pour ça ?
02:17Une question qui sonne comme une gifle à l'adresse des électeurs,
02:20parfois prompte à troquer leur dignité politique,
02:23contre un dépannage de fin de mois.
02:24Se posant en modèle de courage civique,
02:26Geoffroy Fombola rappelle son propre combat,
02:28« Je suis parlementaire de la transition,
02:30mais je ne me départis pas de ma mission.
02:32Je continue mon combat,
02:33et j'ai assumé ce combat contre le PDG en faisant sa déclaration.
02:37Que chaque citoyen en fasse autant. »
02:39Le message est clair,
02:40pas besoin d'attendre un messie ou un général,
02:42chaque Gabonais doit prendre sa responsabilité
02:44au lieu de se contenter de pleurer tous les jours.
02:47En somme, le PDG reste,
02:49parce que les Gabonais le laissent rester.
02:51Ainsi, selon Geoffroy Fombola-Libéca,
02:53le PDG serait en fait une sorte de test de personnalité nationale.
02:56Chacun est accepté,
02:57chaque t-shirt porté,
02:59chaque vote tribal ou clientéliste
03:00devient une démonstration de fidélité.
03:02Non pas à la République,
03:03mais à une mentalité de survie immédiate.
03:06C'est ça, avoir de la personnalité,
03:08martèle-t-il.
03:09Mais, ironie du sort,
03:10le PDG n'a même plus besoin de convaincre.
03:12Il se contente de tendre la main
03:13pendant que le citoyen se charge lui-même
03:15de la glisser dans l'urne.
03:17Au Gabon,
03:18la politique n'est peut-être pas un projet,
03:20c'est un miroir.
03:21Et le PDG,
03:22ce miroir qui ne flatte jamais,
03:24mais que beaucoup continuent de regarder.
03:25En économie,
03:27la vente des véhicules neufs au Gabon
03:29a connu une croissance entre 2023 et 2024,
03:33consolidant ainsi une position de leader
03:35en Afrique subsaharienne,
03:37proportionnellement à la population.
03:39Entre 2023 et 2024,
03:41le marché gabonais des véhicules neufs
03:43a retrouvé ses standards
03:44avec 9 716 unités écoulées,
03:47selon les chiffres du ministère de l'Économie.
03:49Cette performance consolide la position du pays
03:51parmi les marchés leaders d'Afrique subsaharienne,
03:54francophone, en proportion de sa population.
03:57Avec 5 360 voitures neuves vendues en 2023
04:00et 4 316 en 2024,
04:02ce segment a généré un chiffre d'affaires global
04:04de 310 milliards de francs CFA
04:06sous les deux dernières années.
04:08Une dynamique qui témoigne de l'attractivité persistante
04:10du marché gabonais,
04:11malgré un ralentissement enregistré l'an dernier.
04:14Selon la Direction générale de l'économie
04:16et de la politique fiscale,
04:17l'année 2024 a marqué un reflux de 19,5%
04:20des ventes de véhicules neufs par rapport à 2023.
04:23Une baisse expliquée par le repis de la commande publique
04:26et le recentrage des ménages sur les véhicules d'occasion,
04:28jugé plus abordable dans un contexte de pouvoir d'achat contraint.
04:32Paradoxalement, le chiffre d'affaires du secteur
04:34a progressé de 2,6% en 2024.
04:36Cette hausse résulte de l'augmentation des prix,
04:39conséquence directe des perturbations
04:40de la chaîne logistique internationale
04:42liées au conflit en Ukraine
04:43et à l'instabilité persistante en mer Rouge.
04:46Avec près de 10 000 véhicules neufs immatriculés en deux ans,
04:49le Gabon conserve une place privilégiée
04:51dans le paysage automobile d'Afrique subsaharienne francophone.
04:54Ce dynamisme s'explique par une demande soutenue
04:56des administrations, des entreprises
04:58et d'une frange de ménages urbains.
05:01Toutefois, le ralentissement observé en 2024
05:03pose la question de la résilience du secteur automobile
05:06face aux chocs exogènes
05:07et aux arbitrages budgétaires de l'État.
05:10À terme, l'évolution de ce marché
05:11dépendra autant de la stabilité macroéconomique
05:14que de la capacité des acteurs
05:15à adapter leurs offres aux contraintes financières
05:17des consommateurs.
05:19Ce 25 août, la rentrée administrative
05:21a été effective au lycée Nelson Mandela
05:24et à l'école primaire publique de l'N7A.
05:27Enseignants personnels et parents d'élèves
05:29s'activent pour que tout soit fin prêt
05:32d'ici au 1er septembre,
05:34date de la rentrée des classes.
05:37Reportage signé Mariska Ikapi.
05:39Ici, à l'N7A, comme à Nelson Mandela,
05:44la rentrée administrative a bien été effective
05:46ce 25 août 2025.
05:48Personnels et enseignants s'activent
05:50pour l'accueil des élèves.
05:51Les parents, quant à eux,
05:52arrivent progressivement pour finaliser les inscriptions.
05:55Une rentrée qui se prépare ici, sous nos yeux.
06:00Au programme, la répartition des emplois du temps,
06:03les derniers ajustements pédagogiques
06:04et l'organisation de la vie scolaire
06:06afin que tout soit fin prêt le 1er septembre.
06:09date officielle de la rentrée des classes.
06:11Nous sommes arrivés pour la rentrée administrative,
06:13donc mettre les noms sur les listes,
06:16montrer qu'effectivement,
06:17nous sommes sur le territoire national,
06:19effectivement, nous sommes à Libreville,
06:22effectivement, nous sommes venus
06:23à notre établissement d'affectation.
06:25Je suis venu, comme tous les autres collègues,
06:27me faire enregistrer,
06:29parter ma présence déjà sur Libreville
06:33et dans l'établissement,
06:35puisque c'est la rentrée administrative.
06:37Mais on s'est juste fait enregistrer
06:39sur la liste de présence.
06:41C'est tout ce qu'on a pu faire aujourd'hui,
06:43puisque les emplois du temps
06:45n'ont pas encore été,
06:46nous ne sommes pas encore prêts.
06:48Donc, nous allons revenir certainement
06:50demain ou après-demain
06:51pour voir la suite.
06:52À la mi-journée, nous avons assisté
06:54à un autre balai,
06:55celui des parents d'élèves.
06:57Progressivement, ils arrivent
06:58pour finaliser les inscriptions
06:59et s'assurer que leurs enfants,
07:01notamment ceux qui entrent en sixième,
07:02soient bien orientés
07:03et accueillis dans de bonnes conditions.
07:05Je suis là pour l'inscription,
07:07la réinscription de mon neveu.
07:10Dans les bureaux,
07:11le corps administratif n'est pas en reste.
07:13Entre accueil des parents,
07:14finalisation des emplois du temps
07:16et organisation de la discipline scolaire,
07:18tout est mis en œuvre
07:19pour fixer le cap d'une année
07:20que l'on veut performante.
07:22Nous ouvrons l'établissement
07:24aux usagers, à nos clients
07:26que sont les élèves, les parents,
07:28pour préparer la reprise effective
07:31le lundi prochain,
07:33comme arrêté par les plus hautes autorités
07:36du pays en Conseil des ministres.
07:37Nos emplois du temps sont prêts.
07:39Il nous reste à convoquer
07:42la grande réunion,
07:43parce que les textes nous font obligation
07:45de tenir une réunion de pré-rentrée.
07:48afin d'analyser les faiblesses,
07:51de fixer le nouveau cap,
07:54de recevoir correctement
07:56nos élèves qui sont restés
07:59pratiquement deux mois en jachère.
08:03Autre signe de cette rentrée administrative,
08:06la vente d'uniformes scolaires
08:07qui est déjà lancée.
08:09Nous allons aller vers une commerçante
08:11pour qu'elle nous explique
08:12comment ça se passe.
08:14Allons-y.
08:15Les parents vont d'abord
08:17au niveau de l'administration
08:19pour l'inscription de leurs enfants.
08:21Une fois l'inscription réadressée,
08:23ils vont les envoie ici
08:25pour pouvoir acheter et tenir.
08:26Même ambiance à l'école primaire
08:28de l'N7A.
08:29Ici, les bâtiments vides
08:30attendent l'arrivée prochaine
08:31des élèves.
08:32En attendant,
08:33enseignants et responsables
08:34s'informent, échangent
08:36et peaufinent les derniers détails.
08:39Ce que je dirais en définitif,
08:41c'est que tout le monde
08:42se mette du jour au travail,
08:44que les parents n'attendent pas
08:45la dernière minute,
08:46parce que dès le lundi 1er septembre,
08:49mes collaborateurs et moi,
08:51nous allons lancer
08:52les débuts des apprentissages.
08:55Venez inscrire vos enfants
08:57et préparez une rentrée
08:58effective pour le 1er septembre 2025.
09:03De Nelson Mandela
09:04à l'école primaire publique
09:05de l'N7A,
09:07le constat est identique.
09:08L'enjeu majeur reste
09:09l'organisation et la réussite
09:10de l'année scolaire.
09:12Les objectifs sont clairs.
09:13Offrir un cadre propice
09:15à la performance
09:15et à la réussite des élèves
09:17reste désormais à voir
09:18si l'élan de mobilisation
09:19de ces premiers jours
09:20se traduira concrètement
09:22dans les salles de classe.
09:24Que prévoit l'État
09:25pour accompagner les familles
09:27des déguerpies de Plain-Noriti ?
09:29À quelques jours
09:30de la rentrée des classes,
09:32nous sommes allés
09:32leur donner la parole
09:33afin de comprendre
09:35comment ils se préparent.
09:37À quelques jours
09:39de la rentrée scolaire
09:402025-2026,
09:42une frange de la population
09:43s'attelle à l'achat
09:44des fournitures
09:45et autres préparatifs
09:46y afférents,
09:47alors qu'une autre
09:48est dans l'inquiétude.
09:49Ici, derrière
09:50l'Assemblée nationale,
09:52des familles déguerpies
09:53depuis le mois de juin
09:54n'ont pas encore eu
09:55de solution de relogement
09:56et sont dans l'inquiétude
09:58quant à l'avenir
09:59de leur progéniture
10:00cette année.
10:01Pour beaucoup,
10:02anciens propriétaires de maisons
10:03qui vivent désormais
10:04dans les abris de fortune,
10:06le problème est entier.
10:07Pour faire les selles,
10:09il faut mettre ça dans les sachets
10:09et aller balancer l'autre côté.
10:11Il faut attendre
10:13que la nuit tombe
10:13pour qu'on aille
10:14prendre au moins une douche
10:15parce que la journée,
10:17nous sommes à la portée
10:17de tout le monde.
10:19Nous sommes à la risée
10:20de tout le monde.
10:20C'est comme si on avait
10:21commis un crime
10:22pour qu'on se trouve
10:23dans une situation pareille.
10:25Je ne sais même pas
10:26quoi vous dire
10:26parce qu'en Pouestibou,
10:27nous avions des maisons
10:28qui étaient en location.
10:29Les locataires sont partis.
10:31On fait comment ?
10:31Peut-être que moi,
10:32j'ai 63 ans maintenant.
10:35J'ai 63 ans.
10:37J'ai 3 petits-fils.
10:39Comment les inscrire ?
10:41Et au fur et à mesure
10:42que les jours passent,
10:44il y aura probablement
10:44de plus de classe
10:45parce qu'en Pouestibou,
10:47ils diront qu'il n'y a plus
10:47suffisamment de place.
10:48Nous connaissons
10:49comment ça se passe au Bavreau.
10:52Il n'y a que le gouvernement
10:53qui peut trouver
10:53une solution au problème.
10:55L'as de cette situation,
10:57ces derniers espèrent
10:57que les autorités
10:58leur viendront en aide.
11:00Nous nous débouillons
11:01comme nous pouvons.
11:02Seulement,
11:02comme vous pouvez l'observer,
11:03nous sommes là,
11:05dans une impasse.
11:07Nous n'avons pas de sortie,
11:08pas d'issue
11:08depuis que nous avons été cassés.
11:10Il n'y a même plus
11:10de bureau de vote
11:11puisque tout a été cassé.
11:12Où allons-nous d'abord voter ?
11:13Ça, c'est une première question.
11:14Nous allons voter maintenant où ?
11:16Un, deux ?
11:17Et la rentrée des classes,
11:19c'est pour quelques jours.
11:20Comment allons-nous faire ?
11:21Est-ce qu'il n'y aura pas
11:21une mesure
11:22de la part du gouvernement
11:23par rapport à la rentrée
11:24pour nos enfants,
11:26pour ceux-là qui apprennent,
11:27pour ceux-là qui travaillent même,
11:28pour des fonctionnaires et autres ?
11:30Comment allons-nous faire ?
11:31Je crois que le gouvernement
11:32a certainement une réponse.
11:33Pour rappel,
11:35c'était au mois de juin
11:36que ses compatriotes
11:37avaient été déguerpis
11:38manu militari
11:39en pleine période d'examen.
11:41Seuls les apprenants
11:42devant composer
11:43avaient été provisoirement
11:44relogés
11:44dans des internats.
11:46La nouvelle année approchant,
11:48cette vague d'apprenants
11:49sera-t-elle accueillie
11:50dans des internats ?
11:52Comment vont-ils entamer
11:53cette année ?
11:54Les interrogations
11:55demeurent entières.
11:56Toujours sur cette thématique,
11:59l'archidiocèse de Libreville
12:00dirigée par Mgr Jean-Patrick Ibaba
12:03a sorti une note officielle
12:05invitant les parents d'élèves
12:07à payer intégralement
12:08les frais de scolarité
12:10de leurs enfants
12:11pour la rentrée académique
12:122025-2026.
12:15Une mesure qui s'applique
12:16à tous les apprenants,
12:17y compris ceux bénéficiaires
12:19de l'allocation
12:20versée par l'État.
12:22Dans une note officielle,
12:23l'archidiocèse de Libreville
12:24dirigée par Mgr Jean-Patrick Ibaba
12:27a réaffirmé une mesure stricte
12:29pour la rentrée scolaire
12:302025-2026.
12:32Les parents devront régler
12:34intégralement et à l'avance
12:35les frais de scolarité
12:36de leurs enfants inscrits
12:38dans les établissements catholiques.
12:40Une obligation qui s'applique
12:42même aux enfants
12:43dits et en droit,
12:44c'est-à-dire ceux dont la scolarité
12:45est théoriquement prise en charge
12:47par l'État.
12:49Le communiqué est clair,
12:50le règlement des frais de scolarité
12:52est exigé pour tous les élèves
12:54inscrits dans les établissements
12:55catholiques sans exception.
12:57Et l'archevêque d'ajouter
12:58les parents dont les enfants
13:00bénéficient de la location
13:01de l'État doivent pré-financer
13:03leur scolarité avant d'accéder
13:05en classe.
13:06Derrière cette décision
13:07se cache une réalité persistante,
13:10les retards chroniques de l'État
13:11dans le paiement de sa dette
13:13aux écoles catholiques.
13:14Bien qu'elles bénéficient
13:15d'enseignants envoyés
13:16par le ministère
13:17de l'Éducation nationale,
13:19ces écoles financent leur fonctionnement
13:21par leurs propres ressources.
13:22Sans ce système de pré-financement,
13:25les charges liées aux vacataires
13:26et aux frais courants
13:28deviendraient intenables,
13:29confie une source proche
13:31de la gestion d'un lycée catholique.
13:34Mais cette mesure pèse lourdement
13:36sur les parents déjà éprouvés
13:38par la hausse du coût de la vie.
13:40Les frais pratiqués
13:41dans ces établissements
13:42réputés pour leur discipline
13:43et la qualité de l'enseignement
13:45augmentent chaque année
13:46et dépassent souvent ceux du public.
13:48L'État doit assumer ses responsabilités
13:51et investir davantage
13:52dans les établissements publics
13:54pour soulager les familles,
13:56s'indigne un parent interrogé.
13:58En imposant ce pré-financement,
14:00l'archidiocèse met en lumière
14:02le paradoxe d'un système éducatif
14:05où l'État peine à honorer
14:06ses engagements financiers.
14:08Au-delà d'une question de scolarité,
14:10ce rappel relance un débat crucial.
14:13L'avenir de l'éducation au Gabon
14:14est la place des écoles confessionnelles
14:17dans une mission régalienne.
14:18de plus en plus fragilisée.
14:2142 000, c'est le chiffre du jour.
14:22Il représente le nombre
14:23de tables banques
14:24à réceptionner par le gouvernement
14:26pour l'année scolaire 2025-2026.
14:29La source n'est autre que
14:30le ministère de l'Éducation nationale.
14:32Le verbatim.
14:33La mission de la commission
14:35d'égal accès aux médias publics est claire.
14:37Garantir l'expression du pluralisme d'opinion,
14:40assurer l'égal accès aux médias
14:42du service public et veiller au traitement équitable
14:45de tous les candidats et partis politiques
14:47pendant la période électorale.
14:50La source n'est autre que le discours
14:51prononcé par le président
14:53de la Haute Autorité de la Communication,
14:55Germain Goyou Moussavou.
14:58C'est la fin de vos journales.
14:59Merci de nous avoir suivis.
15:01Je vous donne rendez-vous demain à la même heure.
15:03Bon début de semaine à tous.
15:04Retrouvez GMT TV
15:09sur vos différents réseaux sociaux.
15:14Merci.
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