- il y a 5 mois
Ne manquez pas votre émission Hard Talk, ce mercredi 30 juillet à 17h30 sur TOP FM. Journalisme professionnel et journalisme citoyen : enjeux et responsabilités. Rudy Veeramundar reçoit : 👤 Deepa Bhookhun Rainer • Ancienne rédactrice en chef adjointe – L’Express 👤 Ashok Beeharry • Ancien Director of News – MBC • Ancien président – Media Trust 📞 Exprimez-vous en direct ! Posez vos questions au 213 77 77 📺 Suivez l’émission en live sur : • 📱 L'application TOP FM Mauritius • 📡 Chaîne 10 – Parabole Maurice • 📘 Facebook – Top FM Mauritius • ▶️ YouTube – Top TV Mauritius
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00:00:0624 hours a day
00:00:30Bonsoir à toutes et à tous. Vous êtes en direct sur Top FM, également sur Youtube, sur Facebook ou qu'on parle également, écoutez-nous dans la chaîne 10 de Parable Maurice.
00:00:40Donc voilà, vous êtes de votre émission en temps, comme chaque mercredi, et ce soir nous allons parler d'un thème très très particulier, c'est l'information.
00:00:49L'information aujourd'hui, les partout, pas seulement des journalistes, mais aussi de ceux qui ne le sont pas.
00:00:56Il finit d'avoir un épisode qui finit arrivé récemment, ne pas voir dans les détails, et que finit en exergue un autre type de journalistes, c'est le journaliste citoyen.
00:01:06Alors ce soir, nous pourrons discuter un peu de tout cela, donc chaque jour, qu'il s'en a diffusé de l'actualité, qu'il s'en a commenté, qu'il s'en a dénoncé, qu'il s'en a influencé,
00:01:17mais aussi qu'il s'en a parfois désinformé l'information.
00:01:20Donc le thème initial de notre émission en français, c'est journalistes professionnels et journalistes citoyens, enjeux et responsabilités,
00:01:28parce que ce n'est pas si c'est une licence pour faire ça qu'il vous envie.
00:01:31Alors, un type de l'histoire, en 2000, dans Corée du Sud, il y a un groupe de jeunes qui décident pour lancer une plateforme appelée Oh My News.
00:01:41Et qui fait ce qui fait de faire ça ? Parce que je disais qu'à l'époque, je n'étais pas si satisfait avec l'information qu'il y avait des médias traditionnels,
00:01:48des journalistes qui avaient des autres.
00:01:50Donc j'ai l'impression qu'il y avait des informations qui avaient des journalistes, dans des radios ou dans des télévisions,
00:01:56par reflet des autres réalités, par reflet des autres pensées, ou bien des autres ambitions,
00:02:02et je disais qu'il y avait des informations manquées, des autres créées Oh My News.
00:02:05Mais ça, Banjibuna, ce n'était pas Banjornis. Et c'est là un peu ce qu'il appelle Banjornis, Banfondaté,
00:02:12ce qu'il appelle le journaliste citoyen de façon officielle.
00:02:15Donc, et ça, Banjibuna, je nous vois que l'un a des milliers de contributeurs.
00:02:20C'est ça qui granite de différence, c'est-à-dire que c'est Banjibuna qui n'est pas journaliste,
00:02:24qui commence à écrire, qui commence à voice-out, qui commence à exprimer, etc.
00:02:29Et aujourd'hui, sa façon-là finit démultipliée, il n'a pris beaucoup réseau.
00:02:33Donc, il y a un journaliste, il y a un journaliste historien,
00:02:38il y a aujourd'hui influencers, tiktokers, youtubers, il y a podcasters.
00:02:44Donc, il y a un journaliste qui nous vient de podcasters,
00:02:46nous vous connaissons un type Peter.
00:02:48Donc, il y a un simple utilisateur de smartphone aujourd'hui,
00:02:52qui est le procès de smartphone, donc, il dit, exprime-les.
00:02:58Et est-ce qu'il y a un journaliste qui va lui faire ça?
00:03:01Donc, c'est la question qu'il nous répond aujourd'hui.
00:03:03Et aussi, nous avons aujourd'hui l'intelligence artificielle,
00:03:06qui est période dans le débat,
00:03:07il y a un texte généré, il y a la voix synthétique,
00:03:11il y a une image triquée, il y a aussi l'aspect de fake news.
00:03:15Alors, que vaut encore le journaliste professionnel?
00:03:19Donc, ce l'éthique, ce méthode, ce rôle de chien de garde,
00:03:24donc, dans une démocratie qui arrive-li.
00:03:26Alors, pour en discuter ce soir, nous, il y en a deux invités,
00:03:30qui sont bien connus dans notre carrière, dans le paysage,
00:03:34mais aussi que mauricien.
00:03:36Alors, nous avons le plaisir d'accueillir ce soir,
00:03:38Deepa Boukenrena, ancienne rédactrice en chef, adjointe de l'Express,
00:03:43et mon cas, j'ai dit, c'est la première madame qui s'y succède à sa poste-là,
00:03:48qui est nommée à sa poste-là, rédactrice en chef, adjointe de l'Express.
00:03:51Et le film quitte la presse, il y a neuf ans de cela,
00:03:54n'est-ce pas que ça, Deepa?
00:03:56La presse en général, oui, pas l'Express.
00:03:58Pas l'Express, oui.
00:03:59Et voilà, Deepa, bonsoir et bienvenue sur le plateau de Teufa Femme.
00:04:02Merci beaucoup, thanks for having me.
00:04:04Mon principe est un nostalgique, c'est un peu de l'accueil d'une débutée?
00:04:07Absolument, absolument.
00:04:08Et dans 20 ans de cela, cela ne nous rajeunit pas.
00:04:12Mais it's good to be here, thank you.
00:04:14Très bien, plaisir, merci d'être là, comme on dit.
00:04:16Donc, vous trouvez, Hato, quand même, les rappels de Bandjimoune Kitsila avant,
00:04:21Bandjimoune qui a une carrière, et nous donnez-vous l'occasion aussi de revenir,
00:04:25parce qu'il y a un enjeu qui, dans cette carrière, se fait une témoignée,
00:04:29et que je vous dis, vous pouvez nous poser une question pour gagner l'éclairage.
00:04:32Donc, Hato, il y a la mémoire des choses que les journalistes n'ont plus, nécessairement.
00:04:38Qui n'est pas une chose, d'ailleurs, qui n'est pas un problème, mais nous finissons d'y aller.
00:04:44Qui, moi, nous peut souffrir, la presse peut souffrir, on dit, la mémoire.
00:04:47Voilà, chère auditeur, le ton est donné, on dit ma boucane, voilà.
00:04:52Et notre deuxième invité, c'est Ashok Biary, ancien directeur of news à la MBC,
00:04:57et ancien président de Média Trust.
00:05:00Dis pas, vous m'excusez, aujourd'hui, vous êtes créatrice de contenu à l'MCB,
00:05:07mais aussi à Nîmes Band Podcast.
00:05:09Yes, MCB Talk.
00:05:10Voilà, très bien.
00:05:12Ashok Biary, oui, alors, ancien directeur of news à la MBC,
00:05:15et aussi ancien président du Média Trust, comme on va nous dire.
00:05:18Mais aujourd'hui, vous êtes aussi communicant et consultant en communication.
00:05:21Ashok Biary, bonsoir.
00:05:23Bonsoir, Audi, et merci pour l'invitation sur un sujet bien,
00:05:27topical nous caradien, et bien voilà l'événement dans ce qui peut passer
00:05:30dans nos pays, dans le monde en général.
00:05:33Très bien.
00:05:34Merci à vous d'avoir répondu à notre invitation,
00:05:36donc, parce qu'aujourd'hui, là, quand il y a une confusion,
00:05:40quand il y a une fine line, une frontière,
00:05:42un peu de pareille, comme on va dire,
00:05:43et un peu de bleu, comme on va nous dire,
00:05:45entre l'information qui était et qui s'en vient de faire l'information,
00:05:48alors, il y a une question de courrier dans le Média,
00:05:50c'est intéressant, pour qu'il y a une opinion,
00:05:54pour éclaircir ce qui est auditeur,
00:05:56avec plein de vieux, j'enviens, attendez.
00:05:58Nous prenons également un autre professionnel de courrier,
00:06:00de plein de médias, qui nous peut écouter au cours de l'émission,
00:06:03juste après 18h, c'est Nander Mugum,
00:06:05un nom qui se connaît bien, qui vient de trouver aussi,
00:06:07un nom qui dit à une génération beaucoup de choses,
00:06:11qui accompagne beaucoup de personnes,
00:06:13dans le prime time du journal de l'MBC à 19h30.
00:06:17Alors, ancien directeur à l'information de l'MBC,
00:06:20il est aujourd'hui chargé de cours dans les universités,
00:06:24excusez-moi.
00:06:26Donc, nous vous pouvez écouter un petit peu plus tard dans l'émission,
00:06:28l'eau s'assujina.
00:06:29Donc, voilà, ou aussi, si vous avez envie et partage ou l'opinion,
00:06:35ou bien pose ma question, nous m'inviter,
00:06:37ou qu'on parle au téléphone de nous à partir de 18h15,
00:06:41sur le 213-77-77, 213-77-77.
00:06:45Voilà, les dames d'abord, ne dis pas.
00:06:49On retourne après 23 ans, on va dire.
00:06:5322, yes.
00:06:5322.
00:06:54Et nous, nous sommes nos camarades,
00:06:57pourquoi une vingtaine d'années de cela,
00:06:58quand nous rentrons l'express ?
00:06:59Nous rentrons même l'année l'express, effectivement, en 2004.
00:07:01Oui, exactement.
00:07:02Tu peux attendre un transport au code filling.
00:07:04Et, voilà.
00:07:05Et, voilà.
00:07:07Par exemple, une question de base,
00:07:10une différente génération de journalistes.
00:07:13Mais aussi, c'est quand,
00:07:14où tu rentres dans le journaliste,
00:07:16c'est une grande transition.
00:07:17Ça veut dire, tu as coupé, c'est les fax, par exemple,
00:07:20les disquettes.
00:07:21Le journaliste, tu as coupé,
00:07:22mais aussi, il n'y a pas l'hôtel,
00:07:23le gouvernement,
00:07:24ou bien la police presse.
00:07:27Et, aujourd'hui,
00:07:27transition, quand les monnaies viennent digitales,
00:07:30ils viennent rapides.
00:07:31Et, si tant qu'il y a un sens métier là,
00:07:33drastiquement,
00:07:35et, une question assez difficile,
00:07:38comment on trouve
00:07:40l'évolution du journaliste de Maurice,
00:07:42à Maurice,
00:07:44pendant sa 21e année-là ?
00:07:45Avant, non, là,
00:07:46nous, nous sommes contentes
00:07:47de mettre un place en espèce
00:07:48à sa contexte.
00:07:49C'est l'année-là,
00:07:50nous, nous commençons à travailler l'express.
00:07:52C'était en 2004.
00:07:52Et, quand nous rentrons l'express,
00:07:55il y a un grand rêvé
00:07:56qui datait de quelques années,
00:07:58l'avènement des radios privées.
00:08:00C'était en 2002.
00:08:012002, mais en 2004,
00:08:03à l'express,
00:08:04la conversation était
00:08:05comment nous faire
00:08:06pour intéresser
00:08:07à ce journal grand matin
00:08:09et non pas
00:08:10qu'il y en écoute
00:08:10sur le radio
00:08:12et puis c'est fait.
00:08:13Et, déjà,
00:08:14ça, ça avait changé
00:08:15un petit peu
00:08:15la façon
00:08:16qui pratiquait
00:08:17le journalisme
00:08:18dans la presse écrite.
00:08:19là, nous commençons
00:08:20à mettre beaucoup plus
00:08:21focus
00:08:22sur l'opinion,
00:08:24mise en perspective,
00:08:26baser sur rapporter
00:08:26les faits,
00:08:27donner du sens
00:08:28à l'information,
00:08:29écrire un papier
00:08:30et l'opinion
00:08:30basée sur les faits.
00:08:31Et, je crois que ça,
00:08:32fondamentalement,
00:08:34et ça, il me dirait
00:08:34pendant plusieurs années,
00:08:36en fait,
00:08:36et moi,
00:08:36c'est qualité journaliste
00:08:37m'intipé,
00:08:38qui m'intipé,
00:08:38pratiqué,
00:08:39beaucoup plus,
00:08:40pas juste de rapporter
00:08:40les faits,
00:08:41parce que tout le monde
00:08:41n'écoute pas
00:08:41de l'éveil en matin,
00:08:43tout le monde
00:08:43n'écoute radio,
00:08:44tout le monde
00:08:44n'écoute MBC la veille,
00:08:45tout le monde
00:08:46n'écoute pas
00:08:46de l'éveil.
00:08:47Et, nous,
00:08:47nous, à l'époque,
00:08:48c'est Jean-Claude Délestra
00:08:49qui était le rédacteur en chef
00:08:50et nos rôles,
00:08:51c'était Marie-Claire,
00:08:52c'était,
00:08:52le rôle était
00:08:52de donner du sens
00:08:54à l'information.
00:08:55And to be able
00:08:56to do that.
00:08:57Ou bien,
00:08:57il fait au récès,
00:08:59ou bien,
00:09:00il document tout,
00:09:00ou bien,
00:09:00il cause avec un talé
00:09:01de l'éveil,
00:09:02ou bien,
00:09:02il comprend,
00:09:03pour qu'il est capable,
00:09:05quand il peut écrire
00:09:06le texte,
00:09:07pour qu'il est capable
00:09:07d'expliquer le monde
00:09:08de quoi il s'agit.
00:09:12À l'époque,
00:09:13je crois que
00:09:14sa méthode-là,
00:09:15il m'a aussi,
00:09:15parce qu'il m'a retrouvé
00:09:16moi aujourd'hui,
00:09:17après un ou deux ans,
00:09:19avec mes collègues
00:09:20qui m'ont dit,
00:09:21moi,
00:09:22je suis encore
00:09:23à l'école,
00:09:23je suis encore
00:09:23à l'éveil.
00:09:24Et ça,
00:09:25c'est un aide-moi,
00:09:25beaucoup,
00:09:25c'est un aide-moi
00:09:26à prendre,
00:09:27pas juste moi,
00:09:27forcément,
00:09:28je le disais,
00:09:28les journaux,
00:09:29c'est l'idée
00:09:29à comprendre
00:09:30les enjeux.
00:09:32Et là,
00:09:32il m'a trouvé
00:09:32une autre génération
00:09:33qui a à peu près
00:09:3425 ans,
00:09:3526 ans,
00:09:36il m'a dit,
00:09:38il m'a dit,
00:09:38il m'a dit,
00:09:39il m'a dit,
00:09:39il m'a dit un journal ?
00:09:42Non,
00:09:42beaucoup d'entre eux
00:09:42n'a dit pas un journal,
00:09:43parce qu'il m'a dit,
00:09:44c'est,
00:09:44voilà,
00:09:44Facebook ou social media,
00:09:46je ne sais pas
00:09:46ce que les jeunes
00:09:47utilisent maintenant,
00:09:49mais c'est comme ça
00:09:49qu'ils ont gagné
00:09:50cette information,
00:09:55si c'est vrai
00:09:56ou si c'est pas vrai.
00:09:58Et je crois fondamentalement,
00:09:59je le dis,
00:10:00le plus grand changement
00:10:01depuis qu'il n'a dit
00:10:02l'avènement des réseaux sociaux,
00:10:03justement,
00:10:04tout dit mon,
00:10:05ou père Pelley,
00:10:07citizen journalist,
00:10:09I don't like that term,
00:10:10it rubs me the wrong way,
00:10:11parce que d'abord,
00:10:12je me pensais
00:10:12que le journalisme
00:10:13est un métier
00:10:14et que,
00:10:15ce phénomène-là
00:10:16existait bien évidemment,
00:10:17et nous avons
00:10:18appellé un autre nom,
00:10:19mais,
00:10:19moi,
00:10:20je le dis,
00:10:21tout ça,
00:10:21parce qu'effectivement,
00:10:22je le dis,
00:10:22c'est qu'il n'est arrivé
00:10:22à nous gagner
00:10:23un tas de l'information,
00:10:25mais pas vérifié,
00:10:26nous-mêmes pas connaît
00:10:27qu'il y avait,
00:10:27nous-mêmes pas connaît
00:10:28un toxe ou un faux,
00:10:29nous-mêmes pas connaît
00:10:30et je crois que
00:10:31c'est ça,
00:10:32plus grand changement
00:10:33qui n'arrivait
00:10:33au fil de ces années-là,
00:10:35qui,
00:10:35ou n'est plus,
00:10:36la presse,
00:10:37même pas peut faire sa rôle,
00:10:38pas peut réaliser,
00:10:39to what extent,
00:10:40il y a fausses nouvelles
00:10:41qui peut circuler.
00:10:44Très bien.
00:10:46Achoukoubiyari,
00:10:47vous,
00:10:47personnellement,
00:10:48on travaille
00:10:48dans la station nationale
00:10:50de télévision,
00:10:51où on est retraité
00:10:53récemment,
00:10:54et à un moment,
00:10:55que la télévision
00:10:56finirait,
00:10:56c'est un monopole,
00:10:58mais aussi,
00:10:59une vive,
00:11:00à un moment donné,
00:11:00en 2002,
00:11:01libéralisation des zones,
00:11:03que là,
00:11:03où on a eu un concurrent,
00:11:04l'AMBC,
00:11:05c'est les radios privées.
00:11:08Donc,
00:11:08pendant sa 20 dernières années,
00:11:11comment on trouve
00:11:11l'évolution de la presse ?
00:11:13L'évolution
00:11:14est phénoménale,
00:11:16on ne peut pas dire,
00:11:17parce qu'il a eu
00:11:17une transformation
00:11:19du paysage médiatique
00:11:21de Maurice.
00:11:22On dit,
00:11:22elle est là,
00:11:23sauf en ce qui concerne
00:11:24la télévision,
00:11:24que l'AMBC,
00:11:26il garde ce monopole,
00:11:27et dans sa domaine-là,
00:11:28Maurice nous trouve,
00:11:30nous,
00:11:30dans quart monde
00:11:31de l'audiovisuel,
00:11:32parce qu'il fait
00:11:34une promesse de beaucoup,
00:11:35il fait une promesse de beaucoup,
00:11:36et,
00:11:3820,
00:11:3925 dernières années,
00:11:40mais,
00:11:40personne,
00:11:41pas fin,
00:11:42capable,
00:11:42d'escalaire,
00:11:43pour mannes raisons,
00:11:45diverses raisons,
00:11:46pas fin,
00:11:46capable,
00:11:46amène la télévision
00:11:48privée,
00:11:49locale,
00:11:50ne la mannes télévision privée,
00:11:52bien sûr,
00:11:53étrangère,
00:11:54mais,
00:11:54locale,
00:11:56pas encore,
00:11:56et nous espérez
00:11:57qu'il,
00:11:58bientôt,
00:12:00nous,
00:12:00capable,
00:12:00trouve,
00:12:01sa changement important,
00:12:03parce que,
00:12:04dans le monde,
00:12:04si vous prenez,
00:12:04dans l'Afrique,
00:12:05dans Madagascar,
00:12:06dans les autres pays,
00:12:07télévision privée,
00:12:09il existe,
00:12:09c'est vrai,
00:12:10qu'il est capable,
00:12:12paraître,
00:12:12comme une menace,
00:12:13ou bien une grande concurrence,
00:12:14pour la télévision nationale,
00:12:16mais,
00:12:16il nous a fait,
00:12:16qu'il est inévitable,
00:12:18les business venus,
00:12:18aujourd'hui,
00:12:18la télévision nationale,
00:12:20il déjà,
00:12:21il concurrençait,
00:12:23non seulement,
00:12:23par une radio privée,
00:12:25qui était dans une plateforme numérique,
00:12:27dont Top FM,
00:12:29Top FM,
00:12:29passe même,
00:12:30l'Ouenstein de télé,
00:12:32Parabol,
00:12:32la chaîne 10 de Parabol,
00:12:33oui,
00:12:33et,
00:12:34aussi,
00:12:35par le contenu,
00:12:36en ligne,
00:12:37avec une radio privée,
00:12:39mais le paysage médiatique,
00:12:40en général,
00:12:41il bouleverse,
00:12:42nous ne pouvons pas dire,
00:12:43si nous avons la presse écrite,
00:12:46aujourd'hui,
00:12:47malheureusement,
00:12:47nous avons juste trois quotidiens,
00:12:50nous avons l'Express,
00:12:51nous avons des filles,
00:12:52nous avons le Mauritien,
00:12:55oui,
00:12:55imprimé au paysage,
00:12:56imprimé,
00:12:57écrit,
00:12:58à l'époque,
00:12:59quand moi,
00:12:59nous rentrons dans la presse,
00:13:01ou bien,
00:13:01quand nous sommes jeunes,
00:13:02tous les jours,
00:13:03nous avons cinq,
00:13:03six titres,
00:13:04au moins,
00:13:05juste pour,
00:13:07nous avons une auditeur,
00:13:08bien qu'il y a eu,
00:13:08et nous avons une générale,
00:13:09qui nous allions aussi rentrer dans la presse,
00:13:10nous avons rentrer dans la presse,
00:13:12en 1990,
00:13:14nous avons commencé,
00:13:14nous avons fait un début,
00:13:16dans la presse écrite,
00:13:17notamment,
00:13:18chez 5+,
00:13:19sous la direction,
00:13:21la rédaction en chef,
00:13:22de Finlay Salès,
00:13:24qui a porté dans le jeu,
00:13:25oui,
00:13:26exactement,
00:13:27et puis,
00:13:27là,
00:13:28moi,
00:13:28je décide,
00:13:29pour joindre l'AMBC,
00:13:31moi,
00:13:31je fais,
00:13:31je fais,
00:13:31je fais,
00:13:32je fais,
00:13:33je fais,
00:13:33je fais,
00:13:33je fais,
00:13:33je fais,
00:13:33je fais,
00:13:33je fais,
00:13:34je fais,
00:13:34je fais,
00:13:34je fais,
00:13:34je fais,
00:13:35je fais,
00:13:35je fais,
00:13:35je fais,
00:13:36je fais,
00:13:52je fais,
00:13:52professionnalisme. Parce que
00:13:54le journaliste est un professionnel,
00:13:56il y a l'occasion de vous dire. Donc, mon petit plaisir
00:13:58qui a presécrit, malheureusement,
00:14:00je vous dis, il y a trois titres
00:14:02et
00:14:03il y a une méthode qui ne changeait.
00:14:06Il y a un week-end
00:14:07un peu plus un hebdomadaire.
00:14:10Une méthode
00:14:11journaliste qui ne changeait.
00:14:14La pratique journalistique
00:14:16qui ne changeait. Mais
00:14:17il ne faut pas perdre de vue
00:14:20que le journalisme à la base
00:14:22c'est pareil. Et le rôle du journaliste.
00:14:24Il y a une évoluée,
00:14:26mais les rudiments du journaliste
00:14:28qui est un journaliste. Il y a le rôle de l'information.
00:14:31Il traite l'information là.
00:14:32Après, il donne l'information.
00:14:34Dans certains
00:14:36milieux, il nous dit que le journalisme
00:14:38est une sortie des
00:14:39gatekeepers,
00:14:41des curators. Gatekeepers, c'est-à-dire nous
00:14:44qui nous pouvons donner accès à l'information.
00:14:46Les journalistes, à une certaine époque, nous
00:14:48qui nous pouvons donner accès. Tout le monde,
00:14:49il y a la Gazette, l'NBC,
00:14:52la radio. Mais je dis non.
00:14:55Je dis non.
00:14:56Il y a une source diversifiée.
00:15:06Beaucoup journal,
00:15:07beaucoup radio,
00:15:08dépanne le phénomène
00:15:11de journalisme citoyen.
00:15:13Il y a une blogueuse,
00:15:14il y a une blogueuse,
00:15:14il y a une social media influencers.
00:15:17Je prends l'information là.
00:15:19Mais est-ce qu'il nous peut faire
00:15:20passer par le procédé journalistique ?
00:15:24Ça, c'est un point d'interrogation.
00:15:25Eh bien, nous prends l'anglais,
00:15:26comme ça, nous écrivons une signe.
00:15:28Bon,
00:15:29ne dis pas, par exemple,
00:15:31dans la communication,
00:15:32nous allons dire
00:15:34corporate.
00:15:36Souvent, peut-être,
00:15:37il y a un contenu.
00:15:42Il y a eu la presse.
00:15:43Et souvent,
00:15:44on trouve que la presse
00:15:44reprend sa contenue là,
00:15:46telle qu'elle.
00:15:47Elle communique des presses,
00:15:48elle se...
00:15:48Mais ce n'est pas ça,
00:15:49le travail du journaliste.
00:15:50Nous vous gagnez l'occasion.
00:15:51Très bien.
00:15:52Je ne dis pas,
00:15:53je viens de dire
00:15:53une phrase qui n'interpelle moi
00:15:56juste avant.
00:15:57Par exemple,
00:15:58aujourd'hui,
00:15:59il y a la presse traditionnelle.
00:16:01Ça veut dire
00:16:01la gazette
00:16:02qu'on appelle
00:16:02les bannes,
00:16:03maintenant,
00:16:03l'express,
00:16:04les défis,
00:16:05les morissiens,
00:16:06les parfums,
00:16:06etc.
00:16:07Alors,
00:16:08après,
00:16:08il y a des autres plateformes
00:16:10qui,
00:16:11il y a une autre
00:16:12qui est populaire
00:16:13qui est populaire,
00:16:13il y a une autre
00:16:13qui est populaire.
00:16:16Il y a beaucoup
00:16:17d'informations
00:16:18qui peuvent circuler
00:16:20même dans la presse
00:16:22qui ne peuvent pas vérifier.
00:16:24Donc,
00:16:24jusqu'à ce qu'il y a,
00:16:25le boulot, là ?
00:16:27Ben,
00:16:27on trouve ça
00:16:28à l'époque élection,
00:16:29par exemple.
00:16:29Vous connaissez,
00:16:30on dit,
00:16:30comme tu peux cause
00:16:31de la mémoire
00:16:31plus bonne,
00:16:32beaucoup d'immunes
00:16:34qui astèrent
00:16:34intéressants
00:16:35avec l'actualité
00:16:36parce qu'il y a
00:16:38un réseau social
00:16:39qui n'est pas intéressants
00:16:41à l'époque.
00:16:41Donc,
00:16:42ils ont la mémoire
00:16:42des choses.
00:16:43Donc,
00:16:44une campagne électorale
00:16:45commençait,
00:16:45ben,
00:16:46ils peuvent prendre
00:16:47tous les équipes
00:16:47politiques
00:16:47pour dire
00:16:48pour leurs comptants,
00:16:49puis l'orgue,
00:16:50tous les affaires.
00:16:50Ben,
00:16:51avec l'avènement
00:16:53social media,
00:16:54nous faisons
00:16:54fact-checking.
00:16:55Mais nous faisons
00:16:55fact-checking
00:16:56sur Facebook.
00:16:58Et les politiciens
00:17:00dirent les affaires,
00:17:01ben,
00:17:01c'est lâché là-bas
00:17:03et puis c'est pris
00:17:03pour de l'argent comptant
00:17:04qui vous plaît
00:17:04pour dire la vérité.
00:17:06Et moi,
00:17:07je me trouvais
00:17:07qu'il ne faut pas
00:17:08lire les right newspapers,
00:17:09mais je me trouvais
00:17:09qu'il y a la presse aussi,
00:17:11les papers
00:17:11ou les radios,
00:17:13ne peut faire
00:17:13sa travail
00:17:14de fact-check.
00:17:14C'est-à-dire qu'il y a
00:17:16beaucoup de
00:17:17zen-journalistes
00:17:18qui peuvent travailler,
00:17:19c'est-à-dire qu'il y a
00:17:19des situations,
00:17:22la situation est difficile,
00:17:24je crois que ce n'est pas
00:17:24du tout le même métier,
00:17:25c'est une situation
00:17:26économiquement difficile,
00:17:27tu as l'air
00:17:27nous,
00:17:27le modèle économique
00:17:30de la presse aujourd'hui
00:17:31est en danger
00:17:31et puis ça,
00:17:32c'est une vraie issue,
00:17:33mais c'est-à-dire que
00:17:34c'est la société
00:17:35qui peut perdre.
00:17:36Si,
00:17:37c'est-à-dire que
00:17:38c'est vrai,
00:17:38je suis bien d'accord
00:17:39avec DIPA,
00:17:40c'est-à-dire qu'il y a
00:17:41malheureusement,
00:17:42pour certains médias
00:17:44ou pour certains
00:17:45journalistes,
00:17:47je reprends
00:17:48ce qu'ils ont gagné
00:17:48et nous voulons
00:17:49comme à dire
00:17:49un gobeur
00:17:51de l'information.
00:17:52Ça travaille
00:17:53de mise en perspective,
00:17:55non seulement
00:17:55fact-checking,
00:17:57mise en perspective
00:17:58et relativiser.
00:18:00On prend l'exemple,
00:18:00un policier
00:18:01vient de donner un chiffre,
00:18:02voilà,
00:18:02il finit d'un tel scandale,
00:18:04tel,
00:18:04tel,
00:18:05du monde proche
00:18:06à certains politiques
00:18:07qui ne gagne
00:18:08une quantité d'argent.
00:18:09Si nous prenons
00:18:09l'orglicum,
00:18:11ça ne nous fait
00:18:11un travail
00:18:12de mise en perspective,
00:18:13dire que c'est un système,
00:18:15tout un système.
00:18:16Mais les périodes
00:18:17valent,
00:18:17l'information,
00:18:18nous viennent,
00:18:18comment dire,
00:18:19un consommateur,
00:18:20un gobeur
00:18:22d'information,
00:18:23un consommateur
00:18:24d'information
00:18:24sans mettre
00:18:26dans le contexte
00:18:26ce qu'ils disent.
00:18:27Et surtout,
00:18:28à chaque fois,
00:18:28si mon cas va ajouter,
00:18:29mon rédacteur en CEP,
00:18:31tout le temps,
00:18:31tu peux dire,
00:18:32Jean-Claude Lézra,
00:18:32ça dit,
00:18:33moi,
00:18:33tu peux téléphoner
00:18:34pour donner
00:18:34une information là.
00:18:35Il y a une motivation.
00:18:36Il y a un agenda.
00:18:37Il y a un agenda.
00:18:38It's up to you
00:18:39to find out
00:18:40what the agenda is
00:18:41and then,
00:18:42vérifier si l'information
00:18:43est correcte.
00:18:44Après,
00:18:44rendre le lecteur
00:18:45plus intelligent
00:18:45en expliquant
00:18:46ce que ça veut dire
00:18:48parce qu'il est souvent
00:18:49libéré à contrer
00:18:49des histoires.
00:18:51It's okay,
00:18:51ce agenda is fine,
00:18:52but as a journalist,
00:18:53you need to know
00:18:54tout un aspect
00:18:57de cette information-là
00:18:57avant qu'il nous balance
00:18:58l'eût.
00:19:00Est-ce que,
00:19:01selon vous,
00:19:02bon,
00:19:02nous faisons que
00:19:02une évolution assez rapide
00:19:03pendant sa 20 dernières années-là,
00:19:05mais pendant sa 20 dernières années-là,
00:19:07jamais la presse maurissienne
00:19:08ne fait autant
00:19:09de mutations,
00:19:10par exemple.
00:19:10où il faut dire,
00:19:11par exemple,
00:19:12il y a un communiqué
00:19:13qui sorti
00:19:13ou bien un policien
00:19:14qui nous retrouve là
00:19:16sans grande vérification.
00:19:18Ça,
00:19:18c'est une chose.
00:19:19Mais il y a un autre phénomène
00:19:21qui nous peut remarquer.
00:19:22Par exemple,
00:19:24il y a un site
00:19:25qui s'appelle journal.
00:19:26par exemple,
00:19:29il présente
00:19:30un journal
00:19:32qui peut donner
00:19:32une information
00:19:33ou pas
00:19:34non rédactérance,
00:19:35ou pas non journaliste,
00:19:36pas toute personne.
00:19:37C'est complètement anonyme.
00:19:38Et il balance
00:19:39une information
00:19:41mais qu'il aujourd'hui
00:19:42nous trouvait
00:19:43qu'il y a beaucoup
00:19:43d'eux
00:19:44quand il balance
00:19:45l'information-là
00:19:46et qu'il prend
00:19:46des boulons
00:19:46encore autant.
00:19:47Absolument.
00:19:48Oui.
00:19:48Donc,
00:19:49par exemple,
00:19:50nous,
00:19:50la semaine dernière,
00:19:51il arrive un épisode
00:19:52qui fait une
00:19:53fausse sale émission
00:19:55par exemple.
00:19:57Andy Moon
00:19:58qui est dans une plateforme
00:20:00alors lit
00:20:02l'idée de crédit
00:20:02ou étant
00:20:03comme un journaliste
00:20:04et
00:20:05il vient
00:20:06pour poser
00:20:06Andy Moon
00:20:07en question
00:20:07qui est une personnalité
00:20:08et dit
00:20:09« Mais toi,
00:20:10qu'est-ce que tu as ? »
00:20:10Par exemple.
00:20:12Mais Andy Moon
00:20:12est très populaire
00:20:13dans ce...
00:20:15Mais quand
00:20:15vous êtes très populaire
00:20:16pas nécessairement
00:20:16qu'il y a déjà connu
00:20:17aussi,
00:20:18nous mettons comme ça.
00:20:19Là, par exemple...
00:20:20Si vous êtes ministre,
00:20:20si vous êtes politicien,
00:20:21vous croyez que vous êtes
00:20:21posé connu.
00:20:22Oui, aussi.
00:20:23Alors, par exemple,
00:20:24là,
00:20:25nous trouvons
00:20:25une situation
00:20:26intéressante
00:20:27dans le sens que
00:20:29il y a des journalistes
00:20:30professionnels
00:20:31qui étaient à côté,
00:20:32là,
00:20:32c'est ça,
00:20:32c'est le métier,
00:20:33mais le Djibout là aussi
00:20:34par rapport à
00:20:35ce qu'il constitue
00:20:36permet de le faire.
00:20:37La liberté d'expression,
00:20:38la constitution garantie,
00:20:39les gains droits,
00:20:40aller poser une question,
00:20:41etc.
00:20:42Comment on trouve ça
00:20:43si je suis à choix ?
00:20:45On trouve le cocasse
00:20:46parce que, bon,
00:20:46c'était...
00:20:47C'était cocasse
00:20:48dans le sens où
00:20:48vous trouvez pas
00:20:49les autres ministres,
00:20:50mais répondez,
00:20:50Chakil Mohamed,
00:20:51excellent dans ce rôle,
00:20:53l'Ipi Al-Moske,
00:20:54qui maniait,
00:20:54mon comptant,
00:20:54mon trône-toi,
00:20:56la santé qui maniait,
00:20:57après vous trouvez
00:20:57les autres ministres,
00:20:57répondez,
00:20:58et là,
00:21:00vous mettez ça,
00:21:00l'autre madame là,
00:21:01qui est pas,
00:21:01et répondez,
00:21:02qui s'en a y été,
00:21:05etc.
00:21:06La situation était cocasse,
00:21:07mais ça en plus,
00:21:07c'est rien de plus grave.
00:21:08Mais après,
00:21:09assez étonnée
00:21:10par la quantité
00:21:11l'insase
00:21:12ça a gagné,
00:21:14après,
00:21:15parce que, bon,
00:21:15pour moi,
00:21:15c'est pas une journaliste,
00:21:16mais bon,
00:21:16pour moi,
00:21:16vous pouvez dire,
00:21:17la constitution
00:21:17permet de lui faire ça,
00:21:19prend une micro,
00:21:19dit mal,
00:21:20dit mal,
00:21:20dit mal,
00:21:20dit mal,
00:21:20parce qu'en réalité,
00:21:22nous trois,
00:21:23c'est pas ça le journalisme,
00:21:24vous parlez,
00:21:24mais le micro,
00:21:25dit mal,
00:21:25dit mal,
00:21:25il n'est pas permis
00:21:26de faire du journalisme,
00:21:28qui ne dit
00:21:30le conseil des ministres
00:21:31plus bonnes,
00:21:32qui est là
00:21:33qui ne prend position
00:21:33pour ou contre,
00:21:34this is what
00:21:35a journalist,
00:21:35les pérodins sont,
00:21:37les pérodins sont
00:21:38pour ce plateforme,
00:21:39moi,
00:21:39on trouve ça comique,
00:21:41mais les réseaux sociaux
00:21:43fonctionnent
00:21:43d'une façon
00:21:44bien spéciale,
00:21:46donc,
00:21:47it becomes a buzz,
00:21:48tu dis mon cause ça,
00:21:49the next day,
00:21:49tu dis mon oubliez,
00:21:50c'est le cycle.
00:21:51Enfin,
00:21:52il est quand même
00:21:53de nous trouver
00:21:53que certains épisodes
00:21:55prennent plus les temps,
00:21:56donc,
00:21:56il donne une peu
00:21:58plus pérennité
00:21:59sur la toile,
00:22:02on va dire.
00:22:03Moi,
00:22:03je peux vous demander
00:22:03où,
00:22:04qui ont une pensée
00:22:04de Lola?
00:22:05Ouais,
00:22:06moi,
00:22:06personnellement,
00:22:07premièrement,
00:22:08on ne peut pas s'attendre
00:22:09qu'il n'y a pas fait
00:22:11pratique de journalistes
00:22:12pour les beaux-là,
00:22:13mais en même temps,
00:22:14c'est toute la magie
00:22:16et le pouvoir
00:22:17des réseaux sociaux.
00:22:18À la base,
00:22:19c'est,
00:22:20mais comment
00:22:20du monde
00:22:20connaît
00:22:21qu'il conseille
00:22:22des ministres
00:22:23et finit
00:22:23de s'aller là?
00:22:25C'est parce qu'il,
00:22:25toutes les semaines,
00:22:26il y a une radio
00:22:27et il balance ça
00:22:28en live
00:22:30et voilà,
00:22:32le conseil des ministres
00:22:32c'est qu'il n'arrive
00:22:33à conféter des ministres
00:22:34aujourd'hui,
00:22:34qu'il n'arrive
00:22:35à conféter des ministres
00:22:35et chaque fois,
00:22:36c'est la même réponse.
00:22:37Bien sûr.
00:22:38Alors,
00:22:40ça,
00:22:40ça,
00:22:41c'est là,
00:22:41mais moi aussi,
00:22:42moi,
00:22:43je n'aurai pas
00:22:44posé une question,
00:22:44moi aussi.
00:22:45Donc,
00:22:45finalement,
00:22:47l'extraordinaire
00:22:48quand même,
00:22:49puisqu'il me pose
00:22:50une question,
00:22:50bien rare,
00:22:50il arrive à poser
00:22:51une question,
00:22:52c'est,
00:22:54je vous dis,
00:22:55les réseaux sociaux
00:22:56n'ont pas
00:22:57une autre dimension
00:22:59et surtout,
00:23:00comme on dit,
00:23:00il ne peut exploiter
00:23:01sa liberté d'expression
00:23:04permettant de la constitution
00:23:06de façon un peu plus large.
00:23:08c'est-à-dire
00:23:09qu'il n'y a pas
00:23:10de blogueurs professionnels,
00:23:12mais il n'y a pas
00:23:13de 10 millions
00:23:13qui sont capables
00:23:14de faire de l'information.
00:23:15Mais la question
00:23:16que moi,
00:23:17je me pose,
00:23:18c'est justement,
00:23:19le danger,
00:23:19c'est la vérification
00:23:22de l'information.
00:23:22est-ce qu'il dit
00:23:33de l'information ?
00:23:33Est-ce qu'il dit vrai ?
00:23:33Nobody cares.
00:23:35C'est un causé,
00:23:37c'est amusant,
00:23:38tout le monde reprend,
00:23:39c'est presque,
00:23:40comme on dit,
00:23:40un passe-temps,
00:23:41tout le monde n'est pas
00:23:41riais,
00:23:42tout le monde n'est pas
00:23:42content.
00:23:43Do people believe it ?
00:23:45Est-ce qu'il dit
00:23:45qu'il croit
00:23:46tout ça fait
00:23:46qu'il y a des liens,
00:23:46qu'il y a des tenders ?
00:23:47I don't know.
00:23:48Mais il y a un phénomène
00:24:10comme un choc.
00:24:12Par exemple,
00:24:12quand on a des élections,
00:24:14on prend le cas
00:24:15de M. Moustace.
00:24:17M. Moustace,
00:24:18il y a un concurrent
00:24:20pour la presse en général
00:24:21qui finalement,
00:24:22je sais que je suis M. Moustace,
00:24:24mais qui est M. Moustace ?
00:24:24Je ne le connais pas,
00:24:26il est anonyme,
00:24:27il peut émettre
00:24:28une certaine
00:24:30une information
00:24:31dans le public,
00:24:34extrêmement grave,
00:24:36et qui personne ne peut
00:24:37avoir une position vérifiée
00:24:39parce qu'il n'y a aucune source,
00:24:39ça ne doit pas vivre
00:24:40ce qui n'est pas livré
00:24:41ou bien il faut.
00:24:42Moi, j'ai dit
00:24:43qu'il y a un député,
00:24:43oui, je vois ça,
00:24:44mais le contenu
00:24:45même personne,
00:24:46c'est scalaire.
00:24:48we are in the dark.
00:24:50Mais absolument,
00:24:50and I'm glad you bring it up
00:24:52parce que c'est,
00:24:53pour moi,
00:24:53c'est un exemple extraordinaire.
00:24:55M. Moustace,
00:24:55il y a lé,
00:24:56tout dit moun,
00:24:57il...
00:24:57Pendant trois semaines,
00:24:58pendant trois semaines,
00:24:59personne n'est pas
00:25:00qu'on écoute ça sorti,
00:25:01personne n'est pas
00:25:01capable de vérifier source,
00:25:04et we have no idea.
00:25:05il y a un petit peu,
00:25:05il y a un petit peu,
00:25:05pour moi,
00:25:06moi,
00:25:06je pense que c'est un petit peu
00:25:07pas to the same extent,
00:25:08obviously,
00:25:09Julian Assange,
00:25:10quand il nous dit
00:25:10« dump l'information »,
00:25:12il y a une whistleblower,
00:25:13il n'est pas une journaliste.
00:25:14Oui, oui.
00:25:15La question fait toujours débat,
00:25:17mais je veux dire,
00:25:17pareil que moi,
00:25:18M. Moustace,
00:25:19une whistleblower,
00:25:20mais sans mettre
00:25:21une bonne affaire en perspective,
00:25:22il nous dit « slagé »
00:25:22et puis ça,
00:25:23il est dans l'effet
00:25:23qu'il nous connaît,
00:25:25mais c'est quand même
00:25:25une affaire assez denserée.
00:25:27Ou permettez-moi de réagir
00:25:30d'abord l'eau,
00:25:31cet incident,
00:25:32qui « blow out of proportion »
00:25:34concernant sa,
00:25:36quoi nous qu'a dit,
00:25:37un animateur
00:25:38d'une plateforme numérique,
00:25:40un influencer,
00:25:41moi,
00:25:41je ne sais pas si il y a
00:25:42un influencer,
00:25:43qui ne prend ce micro,
00:25:45il prend une réaction
00:25:48à la sortie,
00:25:49le ministre,
00:25:49le conseil des ministres.
00:25:50Vous pensez,
00:25:51nous avons des soucis
00:25:51qui ont un réflexe
00:25:53corporatiste,
00:25:55ça veut dire
00:25:55qu'on est dans le territoire,
00:25:57ça,
00:25:57nous n'avons pas
00:25:58pour les semanes
00:25:59les autres,
00:25:59ça veut dire.
00:25:59Bon,
00:26:00ça,
00:26:00ça,
00:26:01ça,
00:26:01c'est un monsieur là,
00:26:01il y en a sur le droit
00:26:02constitutionnel,
00:26:03il fait dire,
00:26:03mais,
00:26:04nous,
00:26:06journalistes,
00:26:06nous connaît qui nous rôlent,
00:26:07nous connaît qui nous pratiquent,
00:26:09dans qui cadre nous fonctionnait,
00:26:11et ça,
00:26:11il y en a sur la plateforme numérique.
00:26:13Ce qui nous bise,
00:26:13par contre,
00:26:14c'est que...
00:26:15Les messieurs,
00:26:15vous ne pas si ce soit un monsieur.
00:26:16Oui,
00:26:17vous pouvez prendre ça
00:26:18comme l'exemple.
00:26:19Ce qui nous bise,
00:26:19par contre,
00:26:20c'est une cause,
00:26:21pendant longtemps,
00:26:23media literacy.
00:26:27Nous,
00:26:28c'est là-bas,
00:26:28c'est une media literacy,
00:26:29mais dans beaucoup de pays,
00:26:30il y a des.
00:26:30Mais aujourd'hui,
00:26:31plus qu'il y a media literacy,
00:26:32nous bisez,
00:26:32nous bisez la digital literacy.
00:26:35Comment tu peux dire,
00:26:36beaucoup,
00:26:37dis-moi,
00:26:37dans ma famille,
00:26:38dans ma famille immédiate,
00:26:39comment tu trouves une affaire,
00:26:40le TikTok,
00:26:40le Facebook,
00:26:42ou bien,
00:26:42le social media,
00:26:45il y a tendance
00:26:46pour gober,
00:26:46pour accepter,
00:26:47pour avaler.
00:26:48Nous,
00:26:48nous,
00:26:48nous bisez,
00:26:49rappelons,
00:26:49on te bisez,
00:26:50fais attention,
00:26:50te connaît ça,
00:26:51et te connaît si pas l'information,
00:26:53et te connaît si pas l'ivraie,
00:26:55et te connaît si pas l'information,
00:26:56et te connaît si pas l'information,
00:26:56et le deuxième,
00:26:57donc,
00:26:58pour révéler cet incident-là,
00:26:59il y a des affaires,
00:27:00il y a des affaires,
00:27:02effectivement,
00:27:02le monsieur en question,
00:27:03qui nous fait l'information,
00:27:04mais il y a aussi,
00:27:05manière,
00:27:05comment on dit,
00:27:06manière,
00:27:07qui va nous répondre,
00:27:09certains ministres,
00:27:10ils nous font l'information,
00:27:12parce qu'il dit,
00:27:13autant qu'il y a,
00:27:15il y a un monsieur en question,
00:27:17il y a aussi,
00:27:18il y a un ministre,
00:27:20une madame ministre,
00:27:21qui nous dit,
00:27:22ce ton,
00:27:22etc.,
00:27:23qui s'a aussi une vie naine.
00:27:24Les deux se sont finis.
00:27:25Oui, les deux,
00:27:26les deux,
00:27:26absolument,
00:27:26depending on where you stand.
00:27:28Maintenant,
00:27:28nous voulons,
00:27:29monsieur Moustas.
00:27:31Achok,
00:27:32nous ne faisons aucun pouce pub,
00:27:33un impératif commercial oblige,
00:27:35on se retrouve juste après ceci.
00:27:41Hard talk,
00:27:42hard talk.
00:27:52top fm.
00:27:58Une foule en dédiate dans la capitale.
00:28:01Approchons-nous pour en savoir plus.
00:28:04Bien,
00:28:04arrive.
00:28:099 990 rupis,
00:28:10et où là ?
00:28:11Elle réfléchira à 1338 litres West Point,
00:28:1318 990 rupis.
00:28:15Pas possible,
00:28:16ça vous eut.
00:28:21Explique-moi.
00:28:21Et oui,
00:28:22moins chère dans Maurice,
00:28:23c'est dans mon magasin 3 6N,
00:28:25éclos3 6N.mu.
00:28:263 6N,
00:28:27bien plus encore.
00:28:30Et cette fois,
00:28:35elle n'est pas toute seule.
00:28:36Le prince de mer sera là aussi.
00:28:38Wow !
00:28:41Oui !
00:28:42La sirène du 18 juillet au 10 août
00:28:44et le prince de mer du 22 juillet au 6 août.
00:28:47Bien vivre l'aventure à Odisseo !
00:28:51Odisseo est accessible par le pont du Codan.
00:28:55Connaître, aimer et protéger.
00:29:00Chez Intermart.
00:29:30Nous à la drogue.
00:29:51Moi, c'est Ranini Kandasoumi.
00:29:59La drogue détruire, sourire et cliquer,
00:30:02les gens qui comptent en toi.
00:30:03La drogue prend la vie.
00:30:05Mais chaque jour qui est passé,
00:30:07c'est un sens pour qu'ils te sortent là-dedans.
00:30:09Moi, Ranini,
00:30:10ensemble avec Top FM,
00:30:12annule la guerre contre la drogue.
00:30:13Ensemble avec Top FM,
00:30:20à nous dire non à la drogue.
00:30:21Pour une meilleure, l'île mauvaise.
00:30:24La drogue anche.
00:30:25Non à la drogue,
00:30:25les gens ação.
00:30:25Sanslyn,
00:30:26allez-vous !
00:30:27Alors,
00:30:27on les gens qui appreciate shoulders.
00:30:31Alors,
00:30:32mon Thomas,
00:30:32ça초,
00:30:32Sous-titrage Société Radio-Canada
00:31:02Sous-titrage Société Radio-Canada
00:31:32Sous-titrage Société Radio-Canada
00:32:02Sous-titrage Société Radio-Canada
00:32:32Sous-titrage Société Radio-Canada
00:33:02Sous-titrage Société Radio-Canada
00:33:32Sous-titrage Société Radio-Canada
00:34:32Sous-titrage Société Radio-Canada
00:35:02Sous-titrage Société Radio-Canada
00:35:32Sous-titrage Société Radio-Canada
00:36:02Sous-titrage Société Radio-Canada
00:36:04Sous-titrage Société Radio-Canada
00:36:06Sous-titrage Société Radio-Canada
00:38:06dans les médias
00:38:36Sous-titrage Société Radio-Canada
00:40:36Sous-titrage Société Radio-Canada
00:40:38Sous-titrage Société Radio-Canada
00:40:42Sous-titrage Société Radio-Canada
00:40:44Sous-titrage Société Radio-Canada
00:40:46Sous-titrage Société Radio-Canada
00:40:48Sous-titrage Société Radio-Canada
00:40:50Sous-titrage Société Radio-Canada
00:40:59Sous-titrage Société Radio-Canada
00:41:21dire que le journalisme reste un grand métier, mais il demande beaucoup de maîtrise. D'abord,
00:41:28faire des études universitaires dans n'importe qui matière, comme journalisme, communication,
00:41:33relations internationales, langue, anglais, français, l'économie, la sociologie, entre
00:41:38autres, vous aurez une plus grande perspective. Mais il y a aussi maîtrise technique de base,
00:41:43comme la photographie et la vidéographie. On prend des réseaux sociaux et autres sites
00:41:49d'informations comme un blog ou un vlog. On prend des concepts comme l'indépendance,
00:41:53l'objectivité, l'impartialité, les documents d'autres, les règles des anthologies.
00:41:57Apprendre à vérifier les sources d'informations. Apprendre des techniques essentielles du reportage.
00:42:03Lire beaucoup de journal à Maurice et à l'étranger, online, bien sûr. Regarde beaucoup de chaînes
00:42:07de télévision locale et étrangère. Développe la voix et la technique pour faire ça. Développe
00:42:13et l'esprit critique. Finalement, don't take things for granted. Always think out of the box.
00:42:21Voilà, de retour en studio. Et ne dis pas à Bougoune, à Choc Biary, Nanda, en Bougoune,
00:42:27quand même, c'est une référence de la presse mauricienne. Et cette dernière phrase, c'est
00:42:31don't take things for granted. Elle existe avant la pause et Nanda, Nusipéqueuse, le monsieur
00:42:38Moustache. La question, par exemple, dans le contexte d'aujourd'hui, qui est la monsieur
00:42:43Moustache ? Vous êtes un journaliste ? C'est un journaliste citoyen ? Parce qu'il y a
00:42:48l'information du BDN fonctionnaire, du BVN exprimé, du BDN de l'information ? Ou bien
00:42:53c'est juste un profil anonyme qui n'est pas précapable, catégoriser ? Pour moi,
00:42:59tu peux rentrer dans la catégorie Whistleblower, si nous pouvons mettre un label, c'est certainement
00:43:08pas un journaliste, mais un journaliste citoyen, we have no idea, well, we have some idea,
00:43:13but we don't know who the guy is. Donc pour moi, si nous faisons un label, tu peux rentrer
00:43:17dans le label de Whistleblower. Mais cela dit, la facilité déconcertante avec laquelle
00:43:24nous tout, moi compris, nous n'acceptons, nous prenons ce qui est typé, l'argué pour
00:43:30leurs en comptant. Tous les jours, on est décisif, on écoutait. Absolument, et là,
00:43:35pour les camarades, on écoutait, et surtout avec les répercussions. Pour moi, monsieur
00:43:41Moustache, l'INFER NTP, encore une fois, ce n'est pas du tout la même mesure, c'est qu'il
00:43:47n'est pas du tout la même mesure, c'est qu'il faut prendre l'information à voyer. Mais
00:43:50ça n'est pas là, avec un but, Assange, at least, ce motivation, c'est pour la liberté,
00:43:56pour la liberté, pour la liberté de l'expression, pour savoir les choses. Ça n'est pas là,
00:44:01c'était avec un but très précis pour faire basculer les élections et effectivement
00:44:05l'inarrivée. Maintenant, je crois qu'il nous connaît. Qui ça n'est pas, monsieur
00:44:11Moustache ?
00:44:12Donc, pour vous, l'objectif, c'était de faire basculer l'élection, pas pour faire
00:44:19bonne information au public qui passe les élections.
00:44:21Je ne pense pas, je ne peux pas croire. C'était pour faire basculer les élections,
00:44:25et puis ça a été accompli.
00:44:28Oui, je crois que monsieur Moustache, il n'y a un journaliste, il n'y a un journaliste
00:44:33citoyen, il n'y a raison pour dire, il n'y a pas. C'est vrai. Ou même pas pour
00:44:36vous dire, il y a un whistleblower, parce qu'il est quelqu'un qui ne vit ni dans un cadre
00:44:41bien précis, qui ne calcule ce coup. C'est un agenda bien clair, un agenda politique,
00:44:47un agenda calculé politique. C'est vrai qu'il révèle certaines pratiques choquantes,
00:44:53néfastes sous l'ancien gouvernement, qui, beaucoup du monde, population incondamnée,
00:44:59mais il a raison, il ne vit ni comme pour influence les élections. Et donc, qui mesure
00:45:04une récit faire basculer les élections, peut-être un jour, il faut faire un an l'étude
00:45:10pour connaître, effectivement, qui est le rôle de monsieur Moustache. Mais pour beaucoup
00:45:14d'immunes, effectivement, une récit faire sa transition vis-à-vis d'un indécis,
00:45:23qui les ont influencé. Mais quand nous étions avec recul, nous trouvons qu'il
00:45:29est une série quand même, une méthode pas acceptable. Pas acceptable à l'écoute
00:45:37du bureau premier ministre, etc., à l'écoute de l'immunes, révèle une conversation
00:45:42privée à un juge, révèle une conversation privée à un diplomate. Mais malheureusement,
00:45:49dans cette période de campagne électorale, nous ne perdons plus le sens. Même la presse,
00:45:57mon pape blâme la presse, il y a une radio. Monsieur Moustache, il est un contributeur.
00:46:03Je ne servis beaucoup, monsieur Moustache, je ne commande beaucoup, monsieur Moustache.
00:46:06Il félicite monsieur Moustache, pour une raison politique, chacun. Il y a un dîmes qui
00:46:10mettent un tricot, monsieur, un t-shirt, monsieur Moustache. Donc, c'est un phénomène
00:46:16qui nous pouvons espérer, à un certain moment, nous sommes un politologue, si j'ai existé,
00:46:22nous sommes un sociologue, etc., capable de faire une étude de ce phénomène, monsieur Moustache.
00:46:26Mais la question, parlons du contenu, nous nous causons beaucoup de monsieur Moustache.
00:46:32Parlons du contenu. Le contenu, c'est l'information.
00:46:35Absolument.
00:46:36Par exemple, où, par exemple, où je donne la presse,
00:46:39whistleblower, l'indon, ça a un million dix mois à travers les réseaux sociaux,
00:46:43il y a également un t-pre-coding à l'époque de 1000D,
00:46:46avouez-vous, ça dit pas beaucoup, on écoute toute sa conversation-là.
00:46:48Qu'est-ce que vous faites avec ça?
00:46:49Ah, good question. Mais avant de répondre aux questions,
00:46:52je ne peux répondre ni. Moi, je crois qu'il y a des affaires par rapport à monsieur Moustache.
00:46:56Oui, il y a des méthodes complètement inacceptables,
00:47:00I 100% agree with you,
00:47:02mais je crois qu'il y a quand même des informations bien importantes
00:47:05qui ne sont aussi sur des pratiques complètement inacceptables
00:47:10et qui, moi, espérez que ça va en dimanche au pouvoir,
00:47:14je dis là, ben je te pourrais appeler que
00:47:17il y a une bonne information qui peut sortir.
00:47:21Just be careful.
00:47:22I think pour moi, ça, c'est un des affaires très positifs qui n'est arrivé.
00:47:25You can't hide.
00:47:27You can't hide.
00:47:28Cela dit, il me disait ça,
00:47:29mais il me répétait que
00:47:30l'être dans la vie privée,
00:47:33c'est complètement inacceptable.
00:47:35Deuxième affaire que je n'ai pas envie de dire,
00:47:37c'est que quand c'est une sortie,
00:47:38moi, je ne suis pas pratiquée comme journaliste anymore.
00:47:41You don't anymore.
00:47:43Nous, je n'écoute pas, je suis content.
00:47:45Mais si je suis un journaliste,
00:47:47je ne suis pas beaucoup plus récule.
00:47:49Ce qui nous peut dire,
00:47:50je dis que les méthodes ne sont pas acceptables,
00:47:53etc., faire la part des choses,
00:47:54analyser ces affaires-là,
00:47:56écrire et dire,
00:47:57attention, ça n'a pas été fait.
00:47:58À moins qu'ils ne me trouvent pas un journal là,
00:48:01mais je ne me trouve aucun journal,
00:48:04aucun radio qui ne dit,
00:48:06attention, au contraire.
00:48:07Radio indien,
00:48:08hé, monsieur Moustache.
00:48:09Et là, je crois, franchement,
00:48:10les journalistes,
00:48:11ils faillent à se dévoire
00:48:13100% dans ces affaires.
00:48:15Les journalistes ne connaissent pas les journalistes,
00:48:16pas les politiciens,
00:48:17pas les agents politiques.
00:48:19Et je crois que c'était assez grave.
00:48:20C'était un peu l'euphorie.
00:48:22C'était l'euphorie,
00:48:23mais c'est inacceptable.
00:48:24Mais ça, qui dit à où ?
00:48:25Il dit à où ?
00:48:25Pénal leadership.
00:48:27Pénal leadership dans la presse.
00:48:28Je me saurais.
00:48:29Mais c'était l'euphorie.
00:48:31Laisse, dis-moi,
00:48:32laisse l'euphorie,
00:48:32gagne la population.
00:48:34Mais en tant que journaliste,
00:48:36je pense que la presse établie,
00:48:38pas les citoyens,
00:48:39je ne sais pas quoi.
00:48:41Nous avons une responsabilité.
00:48:43Et je ne trouve personne
00:48:44à ce qui est de la responsabilité.
00:48:45Unless je suis wrong,
00:48:46et si je suis wrong,
00:48:46je suis un peu content.
00:48:47If they point it out.
00:48:49À ce moment-là,
00:48:49en 2005,
00:48:50moi, je gagne des gens.
00:48:52Oui, je suis un peu préconné.
00:48:54Je suis un peu réacteur.
00:48:56Je suis un peu discuté.
00:48:57Je veux dire,
00:48:57certainement pas,
00:48:59tu peux prendre ça à la légère.
00:49:01Certainement pas,
00:49:02tu peux prendre ça à la légère.
00:49:03La presse fonctionne quand même
00:49:05dans un cadre légal.
00:49:07Nous avons une tendance à oublier.
00:49:10On ne peut pas tout publier,
00:49:12on ne peut pas tout dire.
00:49:12Il y a une résidence de diffamation terrible.
00:49:14Mais comment dire,
00:49:15il y a une règle,
00:49:15il ne faut pas s'appliquer
00:49:16dans cette période-là.
00:49:18Et comment dire,
00:49:19dans les trois derniers,
00:49:19nous pourrons look back on this,
00:49:21peut-être tirer les conclusions.
00:49:22mais oui,
00:49:23je crois que c'était grave,
00:49:26mais en même temps,
00:49:27il y a des affaires positives,
00:49:28là-dedans,
00:49:29qui nous sortent.
00:49:30Très bien.
00:49:31Oui,
00:49:31il y a des affaires positives.
00:49:34Il y a des journalistes,
00:49:35c'est important que les journalistes
00:49:37développent ça à l'esprit critique.
00:49:39Effectivement,
00:49:40dans beaucoup de manes d'affaires,
00:49:41dont dans le cas de M. Moustace,
00:49:44où il y a raison pour souligner
00:49:45qu'il y a quand même
00:49:46à nu certaines pratiques choquantes
00:49:49et qui, d'ailleurs,
00:49:50à l'électorat,
00:49:51il sanctionne l'alliance
00:49:53qui est responsable de ça,
00:49:56le dirigeant qui est responsable de ça.
00:49:58Mais sa remise en question n'a pas fini.
00:50:00C'est vrai qu'il n'y a pas été dans l'État,
00:50:03il y a une campagne électorale,
00:50:04mais est-ce qu'il,
00:50:05si nous gâchons avec recul,
00:50:09nous n'adopterons les best practices
00:50:12en termes de journaliste.
00:50:13Je ne suis pas trop à dire,
00:50:13alors là,
00:50:14mais on a raison.
00:50:16Si, par exemple,
00:50:17moi, si un journaliste
00:50:19est un journaliste,
00:50:20il y a des journalistes,
00:50:22c'est un registre,
00:50:24il n'y a pas un peu
00:50:25divulgué tel quel,
00:50:27il n'y a pas un peu publié,
00:50:28il n'y a pas un peu.
00:50:29Il faut faire recherche,
00:50:32ce qui est besoin,
00:50:33il faut faire un type
00:50:34investigatif journalisme,
00:50:36il faut le vérifier,
00:50:37faire le travail en journaliste,
00:50:38vérifier contre vérifier.
00:50:39Peut-être une phrase,
00:50:40un choix qui ne dit pas,
00:50:40c'est prendre la version de l'autre.
00:50:43Oui,
00:50:43prendre la version de l'autre,
00:50:44mais peut-être dans sa campagne électorale,
00:50:46vous connaissez comment
00:50:46il y a un politicien,
00:50:47il y a un peu difficile.
00:50:49Il y a un journaliste,
00:50:50il y a un téléphone,
00:50:51il y a un téléphone.
00:50:51C'est vrai,
00:50:51c'est Tchénassa,
00:50:52c'est Tchénassa.
00:50:53C'est vrai qu'il n'y a pas de réponse.
00:50:54Et la faute aussi,
00:50:55il y a un qui est accusé de ça là aussi,
00:50:58qu'il n'y a pas une réponse.
00:51:00C'est-à-dire qu'il n'y a pas une réponse.
00:51:01Il n'y a pas une réponse,
00:51:02il n'y a pas une réponse.
00:51:03C'est ça, absolument.
00:51:04Il n'y a pas une réponse,
00:51:05il n'y a pas de satisfaire la population,
00:51:07évidemment.
00:51:09Et ça,
00:51:10il n'y a pas une décision condamnable,
00:51:13c'est qu'il ne bloque le réseau social
00:51:14pendant un certain temps.
00:51:15C'est-à-dire qu'il n'y a pas une réponse.
00:51:16C'est-à-dire qu'il n'y a pas une réponse.
00:51:17C'est-à-dire qu'il n'y a pas une réponse,
00:51:17parce qu'il y a beaucoup d'affaires.
00:51:19Par exemple,
00:51:21ok,
00:51:22on a fait un moment donné
00:51:23à apparaître
00:51:24grâce aux réseaux sociaux.
00:51:26Il y a une news,
00:51:28il y a une buzz.
00:51:29Il influence un épisode crucial
00:51:32de la vie de Mme Mauritia,
00:51:33c'est une élection.
00:51:34Jusqu'à arriver ici comme ailleurs.
00:51:36Et après,
00:51:37il y a un autre aspect,
00:51:39c'est qu'il y a un épisode
00:51:40où l'État décide pour
00:51:42coupe les réseaux sociaux
00:51:44pendant une journée à peu près.
00:51:46Deux jours.
00:51:46Deux jours, voilà.
00:51:48Et ça,
00:51:49quand on voit
00:51:49que ça fait que
00:51:50il y a des spécialistes,
00:51:51comme on a,
00:51:52il y a un nouveau même,
00:51:52qui nous a donné l'occasion
00:51:53de poser,
00:51:54vous savez,
00:51:55il y a un citoyen
00:51:56qui est fatale
00:51:58quand on coupe
00:51:58sa réseau social.
00:52:00Donc,
00:52:00l'autorité,
00:52:01il y a un récou
00:52:02parce qu'il y a pensé
00:52:03qu'il y a un fonctionnement
00:52:03pas correct,
00:52:04ou bien c'est un adversaire
00:52:05qui n'est pas capable de contrer
00:52:07parce qu'il n'y a pas connu
00:52:07que ça a l'air avec son méthode.
00:52:09Et d'autre part,
00:52:11il y a un citoyen,
00:52:13un citoyen en général
00:52:14qui périlla
00:52:15et nos réseaux sociaux
00:52:16et de tous les beaux.
00:52:20Moi,
00:52:20ce qui m'aurait tenu
00:52:21là-dedans,
00:52:21moi,
00:52:21je ne sais pas
00:52:22qu'ils ont fait
00:52:22tout le monde
00:52:23quand on dit
00:52:23ces réseaux sociaux
00:52:24qui ne font pas
00:52:25ce qu'ils résident à l'élection,
00:52:26je ne sais pas.
00:52:27Ce qui m'aurait tenu
00:52:28là-dedans,
00:52:28c'est qu'il nous a dit
00:52:30un électorat
00:52:32fait de jeunes
00:52:33qui est complètement différent
00:52:35avec sa lectorat
00:52:36qui moi,
00:52:37m'a tenu
00:52:37comme un petit journaliste
00:52:38et nous faisons
00:52:39quelque part
00:52:40de nous autres
00:52:40ce qu'ils ont
00:52:41faisons.
00:52:41c'est qu'ils ont
00:52:43les.
00:52:43Si ils ont dit
00:52:44nous révin
00:52:46à nos questions
00:52:47qui nous sont
00:52:47plus bonnes
00:52:48qui font la différence
00:52:50entre les journalistes
00:52:51et les autres,
00:52:51les facts.
00:52:52Ils ont dit
00:52:52nous,
00:52:53ils trouvent
00:52:53une manière
00:52:54à pile
00:52:55à ça.
00:52:57Comment vous appelez
00:52:57les gens
00:52:58qui ont
00:52:58les médias ?
00:52:59C'est pas un électorat.
00:53:00À ça,
00:53:00l'audience là,
00:53:01les viewers,
00:53:03ça m'a dit
00:53:03qu'ils ont intéressé
00:53:04avec l'actualité.
00:53:06Mais ils ne sont pas
00:53:06liaisonnables.
00:53:07Ils ne sont pas
00:53:08mais ils consomment
00:53:10dans une période
00:53:11qu'ils consomment
00:53:12l'information
00:53:13de plus en plus.
00:53:14Mais seulement
00:53:14quand ils ont
00:53:15le Google
00:53:16et le search engine
00:53:17ils posent une question
00:53:18c'est là où il y a
00:53:19l'AI.
00:53:20L'AI
00:53:20leur répondent
00:53:21et écrivent
00:53:22la réponse
00:53:22pour eux.
00:53:23Donc ils ne sentent
00:53:24la nécessité
00:53:24de aller.
00:53:24Et ça,
00:53:25c'est un problème
00:53:25aussi pour un site
00:53:26de journée
00:53:27d'information.
00:53:28Juste après,
00:53:30parce qu'il y a
00:53:31une question,
00:53:31il y a un épisode
00:53:32qui est arrivé
00:53:33dans le procédé
00:53:36de vérification
00:53:37d'information
00:53:38ou bien
00:53:38dans le campagne
00:53:41de communication.
00:53:43Normalement,
00:53:44quand on nous prend
00:53:45un président français
00:53:46ou ailleurs
00:53:47ou même à Maurice
00:53:49à l'époque,
00:53:49d'époque,
00:53:50c'est-à-dire
00:53:50ça,
00:53:50c'est-à-dire
00:53:50ça,
00:53:51c'est-à-dire
00:53:51même
00:53:52d'avoir une rame
00:53:53ou d'avoir une rame
00:53:53arrive un issue
00:53:55et les besoins
00:53:56communiqués
00:53:56pour faire comprendre
00:53:57qui s'opposition
00:53:58ou bien
00:53:58si ça est vrai
00:53:59ou bien pas vrai
00:54:00ils appellent la presse.
00:54:02D'accord?
00:54:03Ils donnent
00:54:04une opposition
00:54:05par rapport à ça.
00:54:06Ou bien,
00:54:06ils font une déclaration
00:54:07qui a envoyé la presse
00:54:08s'ils n'ont pas
00:54:09fait une conférence.
00:54:10Mais c'est-à-dire
00:54:10qu'il arrive un épisode.
00:54:11Par exemple,
00:54:12nous avons fait
00:54:12un influencer
00:54:13qui paraît.
00:54:16Ils ont dit
00:54:17comme ça
00:54:18qui,
00:54:18par exemple,
00:54:18moi,
00:54:19je vous dis
00:54:19ce que c'est
00:54:20AI
00:54:21et je n'ai pas
00:54:24pas fait le nom
00:54:24pour ne pas
00:54:25faire de la publicité.
00:54:26Et ils donnent
00:54:27une démonstration
00:54:28et je dis
00:54:28que là,
00:54:29je dis
00:54:29que c'est
00:54:29un exemple
00:54:30qui répond
00:54:31moi-là,
00:54:31etc.
00:54:31Donc c'est
00:54:32moi,
00:54:33mon compte
00:54:33en mode
00:54:33Alpourri,
00:54:34moi,
00:54:34mon compte
00:54:34en mode
00:54:34Briani,
00:54:35etc.
00:54:36Alors,
00:54:37la méthode
00:54:37intéressante
00:54:38est parce qu'il
00:54:38a lié
00:54:39la réaction
00:54:40par la presse
00:54:42traditionnelle,
00:54:43il a fait
00:54:44par un influencer.
00:54:45dans le roi
00:54:45dans le roi
00:54:45de l'influencer.
00:54:47Bon,
00:54:48alors,
00:54:49sans qu'il nous
00:54:49focalise sur
00:54:50l'épisode
00:54:51en question,
00:54:52est-ce que vous
00:54:52dites,
00:54:52par exemple,
00:54:52que la presse
00:54:53traditionnelle
00:54:54peut payer
00:54:54ce pouvoir ?
00:54:55Par exemple,
00:54:56on ne peut pas
00:54:56pas au lit
00:54:57pour remettre
00:54:58les pendules
00:54:58à l'heure
00:54:59ou bien
00:54:59pour,
00:55:00comment dire,
00:55:02amener une balance,
00:55:03il n'y a un recours
00:55:05à un influencer.
00:55:06Donc,
00:55:06l'influencer
00:55:06paraît aujourd'hui
00:55:07dans une stratégie
00:55:09plus efficace
00:55:10que la presse
00:55:11traditionnelle.
00:55:12Donc,
00:55:12ça,
00:55:12c'est un cas,
00:55:13mais dans les autres
00:55:13cas aussi.
00:55:14Qu'est-ce que
00:55:14vous en pensez ?
00:55:15Oui,
00:55:15vous pensez,
00:55:16vous avez raison,
00:55:16mais vous espérez
00:55:17que c'est temporaire
00:55:18et qu'il n'arrive
00:55:21à un moment
00:55:21que la presse
00:55:23écrite,
00:55:23nous ne sais pas
00:55:24qu'aux trois
00:55:24groupes de presse
00:55:25ont dit,
00:55:26quand il fait
00:55:27l'information,
00:55:28comment il s'est fait ?
00:55:29Il y en a 20 ans,
00:55:29il y en a 30 ans.
00:55:31Mais sur l'audience,
00:55:33il ne s'en est.
00:55:33La façon
00:55:34qu'il l'audience
00:55:34consomme l'information,
00:55:36ils ont dit,
00:55:36complètement différent.
00:55:38Et pourtant,
00:55:38il est intéressé
00:55:39de l'information.
00:55:39Donc,
00:55:40ils doivent assurer
00:55:41qu'ils sont capables
00:55:42de donner
00:55:43cette information,
00:55:43de la façon
00:55:44qu'ils vont
00:55:45la consommer
00:55:46pour qu'ils commencent
00:55:46à gagner en crédibilité.
00:55:48Moi,
00:55:48mon croix,
00:55:49je ne peux pas
00:55:50ce n'est pas
00:55:50un moment mou
00:55:50en ce moment,
00:55:52mais c'est bien grave
00:55:52la presse mauricienne
00:55:54en général,
00:55:54les mon croix,
00:55:55c'est bien grave
00:55:56pour le pays
00:55:57parce qu'il est
00:56:00marie-marie important
00:56:01qu'il a un rôle
00:56:03de...
00:56:04Vous connaissez ?
00:56:05Nous,
00:56:05les gens
00:56:05sont des influences
00:56:06plus bonnes.
00:56:06Je pense que c'est
00:56:07glamour.
00:56:08Ce n'est pas un métier
00:56:09glamour,
00:56:10la presse.
00:56:10C'est long
00:56:11hours.
00:56:12C'est pas
00:56:13très bien payé.
00:56:14Mais c'est un rôle
00:56:15marie-marie important
00:56:16qu'ils font
00:56:17de l'information,
00:56:18de la documentation,
00:56:19de vérifier leurs affaires,
00:56:20de faire un travail
00:56:21extrêmement ingrat
00:56:22pour la mémoire.
00:56:24Le Parlement
00:56:25a fait un report
00:56:26sur le Parlement,
00:56:27la Cour,
00:56:27tout ça,
00:56:28les affaires
00:56:28sur Facebook,
00:56:30ils ne peuvent pas
00:56:30gagner un clic.
00:56:31Mais pour le pays,
00:56:32c'est un rôle
00:56:33extrêmement,
00:56:34extrêmement important.
00:56:35Malheureusement,
00:56:35mon croix aujourd'hui
00:56:36avec moi,
00:56:36ils ont un problème
00:56:37de staffing aussi.
00:56:38Je ne sais pas si
00:56:39il est encore
00:56:39being done,
00:56:40mais c'est un rôle
00:56:40fondamental.
00:56:42Et qui me croient,
00:56:42les maries importants
00:56:43qu'ils ont investi.
00:56:44Et après,
00:56:45nous faisons
00:56:45le problème
00:56:47du modèle économique.
00:56:50Dis-moi,
00:56:50nous intéresser
00:56:50avec nouvelles.
00:56:51Je vous relance
00:56:52à choc.
00:56:52Est-ce qu'ils vous disent,
00:56:53par exemple,
00:56:54ce n'est pas une question
00:56:55de l'offre de la demande.
00:56:56Par exemple,
00:56:57à un moment donné,
00:56:57nous,
00:56:57c'est dans ça
00:56:58qu'on appelle
00:56:58le mainstream press,
00:56:59la presse qui se dit
00:57:00sérieux,
00:57:01etc.
00:57:01À un moment donné,
00:57:02comme vous savez,
00:57:03il n'y a pas d'égoûter.
00:57:04Il n'est pas pour qu'à
00:57:04continuer avec la presse
00:57:06trop technique,
00:57:06trop sérieux,
00:57:07etc.
00:57:07Trop sévère.
00:57:09On doit raconter une histoire,
00:57:11rendre les choses
00:57:12plus humaines,
00:57:12human stories,
00:57:13etc.
00:57:14Parce qu'il y a
00:57:14une évolution,
00:57:15à un moment donné,
00:57:15dans l'année 2000,
00:57:17entre la presse
00:57:18qu'on appelle populaire
00:57:19et la presse
00:57:20un peu plus
00:57:21informative,
00:57:22on va dire comme ça.
00:57:23Mais aujourd'hui,
00:57:24quand vous avez
00:57:25un influenceur,
00:57:27un journaliste citoyen
00:57:28ou des autres plateformes
00:57:29qui font de la concurrence
00:57:30à la presse traditionnelle,
00:57:32à la fin de la journée,
00:57:34je ne dis pas beaucoup
00:57:34en Indien,
00:57:35par exemple,
00:57:35un rajeunissement,
00:57:36mais par exemple,
00:57:38si vous avez
00:57:38des gens qui likent
00:57:39un poste sur Facebook,
00:57:42vous trouvez,
00:57:42vous trouvez,
00:57:43vous trouvez
00:57:43un like,
00:57:44mon voisin
00:57:46à 50 ans,
00:57:47il n'y a pas.
00:57:48Donc,
00:57:49l'IPVNAP est homogène,
00:57:50quelque part.
00:57:51Est-ce que vous pensez
00:57:52que ça,
00:57:52l'offre est la demande,
00:57:53il ne peut pas basculer?
00:57:54Oui,
00:57:55certainement,
00:57:56l'offre est la demande,
00:57:58il ne peut basculer.
00:57:59Il y a une raison
00:58:00pour dire
00:58:00qu'il y a des internautes
00:58:02aujourd'hui,
00:58:03il ne peut pas
00:58:04ce qu'il y a des jeunes.
00:58:05Bien qu'il y a des études
00:58:06qui montrent
00:58:06qu'il y a des jeunes,
00:58:10il y a des autres
00:58:10dans la catégorie jeunes,
00:58:11vous connaissez,
00:58:1280%
00:58:13ça va des jeunes.
00:58:13Qui est-ce qui source
00:58:15l'information?
00:58:16Ce n'est pas radio,
00:58:18ce n'est pas télé traditionnel,
00:58:20ni radio traditionnel,
00:58:22ni journal traditionnel,
00:58:24mais c'est une plateforme numérique.
00:58:26Alors,
00:58:26la radio-là,
00:58:26il n'y a pas une plateforme numérique,
00:58:28la télévision-là,
00:58:28il n'y a une plateforme numérique,
00:58:30ou bien journal-là,
00:58:31mais c'est à travers
00:58:33la plateforme numérique
00:58:35qui 80% des jeunes
00:58:37source d'information,
00:58:39qui lit à travers
00:58:41une page Facebook,
00:58:43TikTok,
00:58:44ou bien une podcast,
00:58:45etc.
00:58:46Mais c'est vrai aussi
00:58:48qu'il y a de plus en plus,
00:58:50on a raison pour dire,
00:58:51beaucoup de gens
00:58:51nous donnent l'exemple,
00:58:53mon belle-mère,
00:58:53par exemple,
00:58:54qui est là,
00:58:55aux 70 ans,
00:58:57ils like le Facebook
00:59:00tous les jours.
00:59:00donc c'est de plus en plus,
00:59:02moins jeunes,
00:59:04pour rentrer le réseau social,
00:59:07pour avoir un contenu numérique là,
00:59:12mais c'est vrai qu'il y a aussi,
00:59:17le contenu en ligne,
00:59:19il pose une menace sérieuse
00:59:21à le mainstream media,
00:59:23une menace,
00:59:24une défi,
00:59:25et aussi une opportunité,
00:59:26une menace,
00:59:28si vous voulez.
00:59:28Première menace,
00:59:29nous trouvons,
00:59:30le journal n'est plus,
00:59:31il n'y a pas de monopole
00:59:32de l'information là,
00:59:34la presse,
00:59:34les médias,
00:59:35je le dis,
00:59:35il n'y a pas de monopole
00:59:36de l'information,
00:59:37nous disons que ça est là,
00:59:38printemps arabe en 2012,
00:59:40quand c'est des social media users
00:59:43qui peut break the news,
00:59:44exactement,
00:59:46plutôt qu'il n'y a pas
00:59:47de traditional outlets.
00:59:50Il y a un media pendant
00:59:52des consultants
00:59:53qui s'appelle Kleshki.
00:59:55Il dit,
00:59:56et ça peut être vrai,
00:59:57et si nous faisons attention,
00:59:58nous faisons bien
00:59:59« The public has become the press ».
01:00:02« The public has become the press »,
01:00:04c'est pour ça qu'il n'y a pas de cause
01:00:05le journalisme citoyen,
01:00:08qui pour moi est misnommé,
01:00:09vloggers,
01:00:10bloggers,
01:00:11influencers,
01:00:12social media,
01:00:12etc.
01:00:14Deuxième menace,
01:00:15et moi pensez,
01:00:16ça ne dit pas une touche l'eau là,
01:00:18c'est « decline »
01:00:19dans le modèle revenu.
01:00:22C'est pour ça que certains médias
01:00:25disparaissent,
01:00:27d'autres médias,
01:00:27ils transforment les autres,
01:00:30puis réduire,
01:00:30aujourd'hui,
01:00:30il y a un tirage.
01:00:31Vous connaissez,
01:00:32à l'époque,
01:00:33un journal de l'après-midi,
01:00:35qui nous tout connaît,
01:00:36il y a 25 à 30 000 copies.
01:00:39Tu veux mettre la queue,
01:00:40là, c'est-à-dire ?
01:00:40Oui, il met la queue,
01:00:41il sortit le matin,
01:00:43il disait,
01:00:44vous connaissez combien de copies
01:00:45il tirait ?
01:00:46Quelques milliers,
01:00:47moins de semaines.
01:00:48Même le journal du matin,
01:00:51quelques milliers,
01:00:51alors qu'à l'époque,
01:00:52il y a 30 000,
01:00:5340 000,
01:00:53dans le dimanche,
01:00:55nous dit « ali,
01:00:56week-end,
01:00:56il y a 90 000 copies.
01:00:59Aujourd'hui,
01:00:59combien il est tiré ?
01:01:01Moins qu'il a moitié. »
01:01:02Nous continuons avec
01:01:02le modèle économique
01:01:03juste après ceci.
01:01:23Sous-titrage Société Radio-Canada
01:01:53Sous-titrage Société Radio-Canada
01:02:03Sous-titrage Société Radio-Canada
01:02:05Sous-titrage Société Radio-Canada
01:02:07Sous-titrage Société Radio-Canada
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