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  • il y a 3 jours
🌍 Ne manquez pas votre émission Hard Talk ! 📅 Ce mercredi 5 novembre à 17h30 📻 Sur TOP FM Thème : Inde–Maurice : État Océan - Coopération Sud-Sud – Diplomatie 🎙️ Rudy Veeramundar reçoit : Dr Takesh Luckho - Économiste et conseiller au ministère des Finances Balkrishna Kaunhye - CEO & Rédacteur-en-chef de Top FM Bernard Saminaden - Journaliste et Observateur 📡 Suivez l’émission en direct sur : 👉 L’application TOP FM 👉 La chaîne 10 de Parabole Maurice 👉 Facebook : [Top FM Mauritius] 👉 YouTube : [Top TV Mauritius] 📞 Participez à l’émission en appelant au 213 77 77 !

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Éducation
Transcription
00:00:00Hard Talk
00:00:00Bonsoir à toutes et à tous et bienvenue dans cette nouvelle édition de Hard Talk sur Top FM.
00:00:13Alors ce soir, nous nous intéressons à une relation qui dépasse les cadres traditionnels de la diplomatie et du commerce
00:00:19pour s'inscrire dans une véritable vision partagée du développement entre pays du Sud, celle qui unit l'Inde et Maurice.
00:00:27Depuis l'indépendance, cette coopération Sud-Sud n'a cessé de se renforcer et de se réinventer.
00:00:33Elle s'appuie sur des liens historiques et culturels profonds, mais aussi sur une stratégie économique et géopolitique
00:00:39qui place de plus en plus Maurice au cœur de l'océan Indien, en tant qu'état océan pleinement assumé.
00:00:45Dans un monde en mutation rapide, Maurice a aujourd'hui besoin d'un nouvel élan de développement fondé sur l'innovation,
00:00:52la diversification et la coopération internationale.
00:00:56Et c'est précisément dans cette optique que la relation Inde-Maurice prend tout son sens.
00:01:02Elle ouvre la voie à des partenariats plus équitables, à des investissements porteurs et à une diplomatie plus affirmée.
00:01:08Pour en débattre, nous avons le plaisir d'accueillir trois invités.
00:01:12Alors nous avons le Dr Takesh Lecou, économiste et conseiller au ministère des Finances.
00:01:16Dr Lecou, bonsoir.
00:01:17Bonsoir Rudy, et bonsoir ma camarade invité, et bonsoir Tobin auditeur de Top FM.
00:01:21Nous avons aussi Bal Krishna Konay, entrepreneur, CEO et rédacteur en chef de Top FM.
00:01:26Bal Krishna Konay, bonsoir.
00:01:28Bonsoir Rudy, bonsoir à tous les auditeurs et nos amis invités chez le plateau.
00:01:32Et nous avons quelqu'un qu'on ne présente plus, Bernard Samiladine, journaliste et observateur,
00:01:37Aveyati, des relations internationales.
00:01:39Bernard Samiladine, bonsoir.
00:01:40Bonsoir Rudy, bonsoir les auditeurs de Top FM.
00:01:43Très bien.
00:01:43Bonsoir les invités.
00:01:44Merci Bernard.
00:01:46Alors avec eux, nous reviendrons sur les fondements de la coopération Anne-Maurice,
00:01:50sur le rôle de la diplomatie maritime et sur la manière dont cette alliance pourrait contribuer à redynamiser notre économie,
00:01:57tout en renforçant la place de Maurice dans le concert des Nations du Sud.
00:02:02Alors pour ouvrir cette discussion, nous allons revenir d'abord aux origines,
00:02:05comment résumer l'évolution de la coopération Anne-Maurice depuis l'indépendance,
00:02:09mais aussi sur le bien fondé de l'histoire et de la culture ou bien désormais une vision économique et stratégique portagée.
00:02:15Alors pour commencer, nous allons écouter et regarder un reportage de Manisha Dutti.
00:02:20Vidéo.
00:02:20Un package économique spécial de la grande péninsule, 680 millions de dollars à Américains d'aide pour les infrastructures,
00:02:37l'emploi et la santé, 25 millions de dollars à Américains en subventions budgétaires,
00:02:42Anne-Maurice, deux pays avec une vision commune.
00:02:45A l'indépendance, Maurice se tourne naturellement vers l'Inde,
00:02:53puissance régionale partageant une profonde proximité culturelle.
00:02:58Ceci, Sagar Amgoulam pose ainsi les bases d'une relation durable fondée sur la confiance et l'entraide
00:03:04à travers les premiers programmes de coopération technique et le soutien diplomatique indien.
00:03:09Sous son héros de Jognot, les relations indo-mauriciennes se diversifient de 1982 à 1995,
00:03:17puis de 2000 à 2003.
00:03:19Le champ mauricien devient une réalité avec la signature du traité du non-double imposition avec l'Inde.
00:03:27Des projets structurants soutenus par la grande péninsule voit le jour,
00:03:32développement de la Cyber City, investissement de la santé, l'éducation, les TIC et l'innovation.
00:03:37En 2003, l'Inde renforce son statut de partenaire clé avec la première mission officielle de Paul Béranger
00:03:44en tant que premier ministre mauricien.
00:03:46Les discussions alors portent sur la technologie informatique et la sécurité.
00:03:51Pas moins de cinq accords sont signés, portant sur le transfert de prisonniers,
00:03:56la lutte contre le trafic illicite de drogue et la mise en place du World Hindi Secretariat.
00:04:01De 1995 à 2000, puis de 2005 à 2014, le Dr Nevin Ramgoulam donne une nouvelle dimension
00:04:08au partenariat avec l'Inde qui devient un acteur central du développement mauricien.
00:04:14Ses relations étroites avec les premiers ministres indiens, notamment le Dr Manmohan Singh,
00:04:19favorisent une diplomatie fluide et régulière.
00:04:22Puis s'ouvre l'ère Pravin Jognat.
00:04:26Avec l'arrivée de Shwin Rendra Modi comme premier ministre à New Delhi,
00:04:30l'océan indien devient le cœur de la stratégie indienne à travers la doctrine Sagar.
00:04:36Plus d'un milliard de dollars américains sont investis à Maurice,
00:04:39Metro Express, nouvel hôpital INT, projet de cybersécurité et de governance,
00:04:45modernisation des infrastructures maritimes et portuaires.
00:04:49Aghalega connaît un développement sans précédent avec l'inauguration virtuelle
00:04:54des infrastructures par le premier ministre indien lui-même.
00:04:57«Person ».
00:05:02Il n'y a pas de partenaires, mais d'un parten.
00:05:08Friends, Mauritius, Bhaerat's neighborhood first niti
00:05:12et vision de mahasagr'a
00:05:15est un grand stumbe.
00:05:19Marche, je m'ai misé
00:05:20Mauritius, de mahasagr'e,
00:05:24je me suis amissé de mahasagr'e.
00:05:26...
00:05:55Je cite « Maurice et l'Inde sont deux pays, mais avec les mêmes rêves et le même destin »,
00:06:18déclare Srinarendra Modi lors de la visite officielle du Dr. Navin Ramgoulam à Varanasi en septembre.
00:06:24Un nouveau chapitre s'ouvre marqué par un renforcement notable des relations après le retour au pouvoir du Dr. Navin Ramgoulam.
00:06:33Un package économique spécial est annoncé, 680 millions de dollars américains d'aide pour les infrastructures, l'emploi et la santé,
00:06:4125 millions de dollars américains en subventions budgétaires remis lors du 191e anniversaire de l'arrivée des Guernet-Yaz par le haut-commissaire indien Shui Anurag Shvastov.
00:06:53Le Dr. Navin Ramgoulam évoque les retombées de sa visite d'État en Inde du 9 au 16 septembre 2025.
00:06:59Even before independence, we are the High Commissioner of India and Mauritius.
00:07:06Over the years, this has strengthened.
00:07:08We have benefited from India's generous assistance and expertise in key sectors of national development,
00:07:16including but not limited to health, education, capacity building.
00:07:21Prime Minister mentioned many of them, renewable energy, this infrastructure, maritime security.
00:07:29Un India Mauritius Business Conclave organisé à Mumbai a réuni 200 opérateurs indiens et 44 Mauritians.
00:07:36Les projets annoncés incluent la construction d'un hôpital multispécialisé de 200 lits par la Lilaavati Foundation,
00:07:43la signature de 7 accords dans les domaines de la recherche spatiale, des sciences marines, de l'énergie, des énergies renouvelables, de l'éducation et des technologies.
00:07:53Sur la souveraineté des Chagos, l'Inde demeure fidèle à sa position historique, un soutien constant à Maurice.
00:08:00Comme l'a si bien dit le Premier ministre Indien Shrinarendra Modi lors de la visite du Dr. Naveen Ramgoulam à Varanasi,
00:08:09ce package n'est pas une assistance, mais un investissement sur notre avenir commun.
00:08:16Ce package n'est pas une assistance, c'est une investissement dans notre futur.
00:08:30Voilà, c'était un reportage de Manisha Jouti, qui met nous bien en contexte de l'émission, de la thématique.
00:08:40Donc voilà, Anne-Maurice.
00:08:42Alors Dr. Lecou, première question, c'est quand on regarde sa reportage-là,
00:08:47comment on résume l'évolution de la coopération Anne-Maurice depuis l'indépendance?
00:08:52Il y a beaucoup de pensées d'un reportage-là, il a fini de montrer comment sa relation entre l'Inde avec Maurice a changé.
00:08:59Depuis l'indépendance à aujourd'hui, comment elle a changé.
00:09:02Quand nous tout connaissons, nous avons un gros pourcentage de la diaspora indienne qui est établi à Maurice,
00:09:07qui est sorti de l'Inde, ça veut dire culturellement parlant.
00:09:10Nous avons une relation très très close avec l'Inde, et comment tout dire,
00:09:16ça s'appelle Maurice un petit l'Inde.
00:09:17Mais avec, après l'indépendance, tous les pays ont évolué.
00:09:22Qu'il y ait en termes sociaux, qu'il y ait en termes économiques,
00:09:25et sa relation-là aussi est évoluée pareille.
00:09:27Parce que maintenant, quand nous causons l'Inde, nous ne pas causons l'Inde comme un partenaire culturel,
00:09:33nous commençons à causer l'Inde.
00:09:36Le premier ministre, c'est un jeune, en fait que j'allais.
00:09:38Maurice, ce n'est pas un partenaire, c'est une famille,
00:09:40mais aussi, nous faisons qu'il y ait un peu plus en détail.
00:09:43La vidéo-là montre qu'ils ont dit qu'avec l'Inde, nous avons une relation plus poussée,
00:09:48égale à égale au niveau économique,
00:09:51qu'on a trouvé avec l'Inde durant la visite du premier ministre Dr. Amoulam en Inde.
00:09:56Il y a plusieurs business meetings, business conclaves,
00:10:00et il y a des chances de nous faire comment est-ce qu'on est capable de faire l'investissement indien à Maurice,
00:10:07mais aussi comment faire l'investissement à l'Inde, des côtés du Pécosé.
00:10:12On a entendu que l'investissement, c'est le côté que l'Inde vient d'investissement à Maurice.
00:10:16Maintenant, la porte peut ouvrir qu'il y a une opportunité dans cette secteur,
00:10:19cette place, qu'il y a des mauriciens qui peuvent établir eux-mêmes,
00:10:23comme les tenants, les secteurs leaders dans le domaine de la santé,
00:10:30dans le domaine de la technologie, qui peut travailler, qui peut monter une entreprise en elle.
00:10:34Et aussi, sa partenaire est une partenaire très stratégique,
00:10:37parce que Maurice, sa place, comment il était là, quand il était là,
00:10:41il n'a peut-être qu'il y a une gateway à l'Afrique pour l'Europe,
00:10:45mais maintenant, il peut venir aussi une gateway à l'Afrique pour l'Inde,
00:10:48et ça a montré que sa partenaire est là.
00:10:51Il n'est pas une reste constante, il est évolué,
00:10:54et il est évolué dans une direction très positive pour les deux pays,
00:10:56qui lient pour l'Inde, qui lient pour Maurice aussi.
00:10:58Vous pensez, quand tu peux causer un investissement,
00:11:00je peux faire référence à un début d'offshore,
00:11:02par exemple, Double Tax Advice, qui finit de donner un grand coup de mémorisme.
00:11:06Vous pensez, nous vous revenons là un petit peu plus tard dans l'émission.
00:11:09Bah, que je n'en ai, nous ne tannons pas le premier indien,
00:11:12d'hier, par exemple, c'est deux pays avec les mêmes rêves,
00:11:15mais aussi le même destin.
00:11:17Vous pensez, c'est une bonne base pour nous causer un peu l'évolution
00:11:20de la coopération Inde-Maurice.
00:11:23Certainement, Odi.
00:11:24Mais moi, un petit peu, avant qu'il nous rende, justement,
00:11:28dans cette relation telle qu'il y était,
00:11:30moi, je pensez, nous nous a situé aussi Maurice sur l'importance.
00:11:35Aujourd'hui, moi, je pensez que nous nous sommes allés au-delà
00:11:40de tout simplement une simple relation.
00:11:42Maurice est important.
00:11:44Maurice est important pour le monde.
00:11:46Et pour cela, moi, je peux faire une référence à une citation
00:11:50d'un amiral américain, OK, en 1897.
00:11:58Nous, parce que, bien, pas des décennies, nous, parce que, des siècles avant.
00:12:05OK.
00:12:06Il dit comme ça que, donc, c'est l'amiral Alfred Mahan, OK,
00:12:13M. Crenne pose l'eau, là, les 5 août 2022.
00:12:17Il dit, celui qui contrôle l'océan Indien dominera l'Asie.
00:12:24Cet océan sera clé des sept mers au XXIe siècle.
00:12:29Le destin du monde se décidera sur ces eaux.
00:12:32Très avant-garde, il dit ça.
00:12:35Imaginez, en 1897, cet amiral américain dit ça.
00:12:40Oh, jusqu'à, dans beaucoup de sens,
00:12:43Nupin réalise ce que ce militaire-là disait.
00:12:49Et ça, à l'époque-là, en 1897,
00:12:53la code du monde était différente.
00:12:56Les tracés, les voyages entre les continents étaient différents.
00:12:59OK.
00:13:01Et nous rendons à l'évidence qu'ils trouvent ça, à cette époque.
00:13:06Et, moins plus loin encore,
00:13:09les nouvelles post-indépendances,
00:13:12OK, nous, nous avons une situation
00:13:15que nous hérite de 2,3 millions de kilomètres carrés.
00:13:20Nous sommes pas une île.
00:13:24Nous sommes un continent.
00:13:26Nous sommes un continent,
00:13:27avec beaucoup de ressources,
00:13:30avec une immensité de territoire stratégique.
00:13:36Donc, nous sommes un père fondateur de l'indépendance.
00:13:42Pas pour rien, je t'y mette le star and key
00:13:46of the Indian Ocean.
00:13:48Moi, pensez, je t'y avangardiste.
00:13:51Et moi, croyez que notre relation Inde-Maurice,
00:13:53aujourd'hui, passe à une étape différente.
00:13:56Avec, nous, le premier ministre indien,
00:14:00Moudi a bien dit que c'est pas de l'assistance.
00:14:03Il a parlé des...
00:14:05Il a utilisé des mots importants.
00:14:08Right?
00:14:08Enhance strategic partnership.
00:14:12OK?
00:14:12Un partenariat stratégique.
00:14:15An investment in our shared future.
00:14:18Right?
00:14:19Un investissement dans notre destin commun.
00:14:22Right?
00:14:23Il est aussi utilisé, dans ce discours,
00:14:26taking this to new heights.
00:14:29Donc, moi, je crois que cette relation,
00:14:31aujourd'hui, avec l'Inde,
00:14:32dépasse ce que nous ne connaissons
00:14:34depuis toutes ces décennies,
00:14:36right, de relations.
00:14:37Parce qu'aujourd'hui,
00:14:38nous, on peut traiter avec l'Inde,
00:14:39qui est une superpuissance,
00:14:42le pays le plus peuplé au monde,
00:14:44l'économie, right,
00:14:46qui est en train de grandir rapidement.
00:14:48Right?
00:14:48Aujourd'hui, c'est un...
00:14:51C'est un partenaire solide,
00:14:54respecté mondialement,
00:14:57right,
00:14:58avec qui on a...
00:15:00qui nous a tendu la main,
00:15:01et pas la main d'assistance,
00:15:03la main de partenariat.
00:15:05C'est sur cela
00:15:06qu'il m'en faut concentrer un peu plus,
00:15:08pas ce qui nous peut trouver aujourd'hui,
00:15:10mais ce qui nous réserve demain
00:15:12avec ce partenariat.
00:15:14Et comment on dit,
00:15:15on dit,
00:15:15Balrish Makhonai,
00:15:17alors,
00:15:17le Premier Indien,
00:15:18l'Inde trouve ça
00:15:19comme un investissement.
00:15:20C'est pas si c'est une partenaire,
00:15:21ou bien une assistance.
00:15:23Donc,
00:15:23nous vous développez
00:15:24ce sujet-là
00:15:25au cours de l'émission.
00:15:26Alors,
00:15:27Béna Sanlène,
00:15:28je m'en ai sa guérie,
00:15:29où finit de suivre la question géopolitique,
00:15:32la relation un et moriste,
00:15:33puis,
00:15:34mon cas,
00:15:34il y a eu bien,
00:15:35bien longtemps,
00:15:36et puis,
00:15:36avant l'indépendance,
00:15:37mon camarade.
00:15:37Oui, monsieur,
00:15:37ça,
00:15:38et...
00:15:38Alors,
00:15:39quoi,
00:15:39justement,
00:15:40d'un point de vue
00:15:41de l'expérience médiatique
00:15:42qui est observateur
00:15:43qui occasionne-nous l'os à l'évolution.
00:15:45Enfin,
00:15:46les deux pays,
00:15:48je ne m'en ai pas un peu presque pareil.
00:15:51L'Inde,
00:15:51il y a eu l'indépendance en 1947,
00:15:53il y a eu encore le 15 août,
00:15:55le 15 août,
00:15:56si moi,
00:15:57je ne fais pas de faux,
00:15:58il y a eu l'indépendance,
00:15:59il y a eu l'indépendance,
00:15:59il y a eu l'indépendance,
00:16:00il y a eu l'indépendance en 1968,
00:16:03il y a eu l'indépendance,
00:16:04il y a eu l'indépendance,
00:16:06il y a eu l'indépendance,
00:16:07un peu similaire,
00:16:08et quand l'Inde,
00:16:09il y a eu l'indépendance,
00:16:11il y a eu l'indépendance,
00:16:11je ne fais pas de faux,
00:16:14il y a eu l'intelligence,
00:16:17de mon pouvoir,
00:16:19et il réussit avec 0,
00:16:24une vie aujourd'hui,
00:16:25ce qui était aujourd'hui,
00:16:28il y a eu un progrès d'homme,
00:16:31dans l'espace,
00:16:32dans l'espace,
00:16:33dans l'année,
00:16:34il y a eu l'envie,
00:16:34et je viens de dire,
00:16:37mais c'est ce que je veux dire,
00:16:39au-delà de ça, j'ai la tendance
00:16:41et moi, quand j'ai l'école,
00:16:43quand j'ai le collège, quand on connaît
00:16:45Maurice, c'est un pays multiculturel,
00:16:47j'ai un esprit un peu tronqué
00:16:49dans l'Inde,
00:16:51parce qu'il ne fallait pas oublier
00:16:53qu'il y a une Sybire, c'est l'influence
00:16:54de l'Occident-là, à travers
00:16:56la télévision, à travers
00:16:58l'éducation même, qu'il y a gagné.
00:17:00Il y a une fille, une fille.
00:17:03Alors, tout ce qui était Médine-India
00:17:04était considéré comme c'est quelque chose
00:17:06de seconde.
00:17:10Une fille inférieure.
00:17:12Et quand mon corps, ça prend beaucoup plus de l'ampleur
00:17:14que tous les Mauriciens sont d'accord
00:17:16qu'en sont réalisés, et surtout
00:17:18il y a le projet Métro-Express
00:17:20qu'ils ont fait, et qu'ils touchent tout du monde.
00:17:22Tous les Mauriciens profitent de ça.
00:17:24Avant ça, nous gardions le secteur médical,
00:17:27une opération qu'ils ont fait
00:17:28à cœur ouvert, et
00:17:30le professeur Saxena, par exemple,
00:17:33qui vient nous opérer, il n'est pas qu'il était du monde, là,
00:17:34s'il y a un Indien, s'il n'est pas un Indien,
00:17:35tous les Mauriciens bénéficiaient
00:17:37de bons soins.
00:17:39Tous les bons soins médicaux.
00:17:41Saxena, Sarkim.
00:17:42Sarkim, bon, beaucoup,
00:17:43récemment, avant même une émission,
00:17:47et à peu près
00:17:48chaque jour, chaque semaine,
00:17:51il y a deux ou trois Mauriciens qui ont opéré en Inde.
00:17:53Avec le support,
00:17:55bon, avec le ministère de la Santé,
00:17:56mais le support du gouvernement en Inde,
00:17:59et qui n'est pas qu'à faire ça ici.
00:18:00C'est-à-dire que la coopération Inde-Maurice
00:18:02n'est pas bénéficiait seulement
00:18:04d'un groupe du monde,
00:18:06mais de tous les Mauriciens.
00:18:10Et c'est ça qui est important
00:18:11pour que le monde comprenne,
00:18:12parce qu'il y a une tendance,
00:18:14il y a un esprit un peu tronqué,
00:18:18et, par exemple,
00:18:20quand j'ai dit là,
00:18:21s'il ne pertient pas à sa coopération
00:18:22entre l'Inde et Maurice,
00:18:24il n'y a pas de problème
00:18:25dans le paquet secteur,
00:18:26au niveau des produits pétroliers, par exemple.
00:18:28Et si aujourd'hui nous pouvons bénéficier
00:18:31d'un tarif assez intéressant
00:18:33de notre pétrole,
00:18:35c'est grâce à un support
00:18:36qu'il y a avec l'Inde,
00:18:37parce qu'il y a un contrat
00:18:38qui est signé
00:18:40avec une grande raffinerie
00:18:41en Iran,
00:18:43en la Russie,
00:18:45ça permet de nous
00:18:45de gagner un produit
00:18:47de bonne qualité,
00:18:49du riz.
00:18:50L'Inde n'est pas
00:18:51exporté du riz,
00:18:52mais il fait nous
00:18:53une dérogation
00:18:55pour que nous gagne
00:18:56ce produit-là.
00:18:57et tout le monde
00:18:58est en bord,
00:19:01parce que c'est une seule catégorie
00:19:02du monde
00:19:02qui peut gagner ça,
00:19:03tout le mauricien
00:19:04peut gagner ça.
00:19:04C'est la nation mauricienne.
00:19:06C'est la nation mauricienne.
00:19:06C'est ça qu'il ne fallait pas
00:19:07comment dire,
00:19:08nous avons tendance
00:19:09pour le monde de guerre
00:19:10et nous disons
00:19:11non, mais on ne peut faire
00:19:13propagande, etc.
00:19:14Ce n'est pas la propagande,
00:19:16on peut suivre l'évolution
00:19:17et aujourd'hui,
00:19:18la rapidité
00:19:19que l'Inde développait
00:19:20et il se fait respecter
00:19:22dans la cour des grands,
00:19:24sa croissance
00:19:27est assez importante
00:19:29et vous pensez
00:19:31que sa croissance
00:19:31dépasse même
00:19:32la croissance
00:19:32et notre géant
00:19:34c'est la Chine.
00:19:34Un fait intéressant,
00:19:35Béanis Maldène
00:19:36et Christian Nacolène
00:19:38j'ai dit un peu avant,
00:19:39vous savez,
00:19:39depuis longtemps,
00:19:40quand la Chine
00:19:41nous dit
00:19:41la république populaire
00:19:42de Chine
00:19:42parce que c'est
00:19:43la plus grande population
00:19:43mondiale,
00:19:44c'est l'Inde.
00:19:46L'Inde c'est
00:19:46la plus grande population,
00:19:47je me crois
00:19:48qu'il y a 1.4 milliards
00:19:48et aujourd'hui,
00:19:50la Chine
00:19:51rattrape ça
00:19:51parce qu'il y a un problème
00:19:53et sa population
00:19:54peut vieillir.
00:19:55C'est une politique aussi,
00:19:56One Child.
00:19:57Aujourd'hui,
00:19:57il y a trouvé
00:19:58qu'il y a besoin
00:19:58de main d'oeuvre additionnelle
00:20:01et sinon,
00:20:03les caravines
00:20:03comme on connaît,
00:20:04Japon est une population
00:20:05extrêmement vieillissante,
00:20:06il y a besoin
00:20:07de la main d'oeuvre étrangère
00:20:08pour presque
00:20:09toutes les catégories
00:20:10d'emplois.
00:20:11Nous nous rendons
00:20:12un thème
00:20:12qui nous peut développer
00:20:13un peu plus tard,
00:20:14merci pour l'introduction.
00:20:15Alors docteur,
00:20:17le coup,
00:20:17au fin de l'année,
00:20:18au départ,
00:20:19par exemple,
00:20:20quand nous avons
00:20:20l'Inde,
00:20:20Maurice,
00:20:21nous avons une manière
00:20:22culturelle,
00:20:23nous avons une manière
00:20:24historique,
00:20:25mais aujourd'hui,
00:20:26il paraît que sa vision
00:20:28peut développer
00:20:29sur une vision
00:20:29économique et stratégique.
00:20:31Exactement,
00:20:32et pour ça,
00:20:32on est capable
00:20:33de s'encher
00:20:34comme on a bien
00:20:35l'Inde.
00:20:35Quand nous avons l'Inde,
00:20:36aujourd'hui,
00:20:37il y a une puissance
00:20:38mondiale économique
00:20:40parce que l'Inde
00:20:41est une vision
00:20:41en 2030
00:20:42qui est une troisième
00:20:43plus grande
00:20:44l'économie dans le monde
00:20:46avec presque 7 trillions
00:20:48de dollars sur le GDP,
00:20:49ça veut dire
00:20:49qu'il est payé.
00:20:50Pas ce qu'il rentre
00:20:51dans la cour des grands,
00:20:52mais il vit sur les podiums,
00:20:53podiums de banques
00:20:54et pays riches au monde,
00:20:55et ça,
00:20:56c'est un privilège
00:20:56qu'il considère Maurice
00:20:58comme un allié très proche.
00:21:00Tant qu'on nous cause
00:21:00l'Inde aussi,
00:21:01comme Ndiaroudi,
00:21:03apporte sa relation
00:21:05culturelle-là
00:21:05et il a une relation
00:21:07économique,
00:21:08une relation de support
00:21:08économique
00:21:09qu'il bâtit
00:21:10avec le temps,
00:21:11nous cause plusieurs
00:21:12projets qu'il met en place
00:21:13dans le passé,
00:21:14ou l'année 3-6.
00:21:16Par exemple,
00:21:17grâce à l'aide,
00:21:18nous bénéficiais
00:21:19dans les années 2000
00:21:20de une bourse d'études
00:21:22qui est beaucoup
00:21:23professionnelle
00:21:24et beaucoup
00:21:25de personnes
00:21:25qui ont été au pouvoir
00:21:26qui ont bénéficié
00:21:27de cette bourse-là.
00:21:28Et une bourse d'études,
00:21:29c'était
00:21:29India Technical
00:21:31and Economic
00:21:32Corporation,
00:21:33c'est la bourse
00:21:33qui t'y peut gagner.
00:21:34Il y a pas mal
00:21:35d'économistes
00:21:35qui bénéficiaient de cette bourse-là.
00:21:36Et une bourse-là,
00:21:36les économistes
00:21:37qui bénéficiaient
00:21:38de cette bourse-là.
00:21:39avec la récente visite
00:21:42du premier ministre
00:21:43pour montrer
00:21:43ce rapprochement-là,
00:21:45l'honneur
00:21:47est pas mis
00:21:48à une personne
00:21:48qui s'est déplacée
00:21:49dans la délégation.
00:21:50C'est la délégation
00:21:51indienne,
00:21:51mais c'est l'accueil
00:21:53qui nous a gagné,
00:21:54c'est l'accueil
00:21:54le premier ministre
00:21:55qui a gagné
00:21:55quand on trouve
00:21:56l'État en lui-même
00:21:57qui a fermé
00:21:58pour accueillir
00:21:59avec les mondes
00:22:00des milliers de personnes.
00:22:03Ce chemin,
00:22:03ça a montré
00:22:04sa rapprochement,
00:22:05sa l'importance
00:22:06qui Mauritien a.
00:22:07Le respect aussi.
00:22:08Et c'est ça.
00:22:08Et d'abord,
00:22:09je pense que je dis,
00:22:10Taques,
00:22:11c'est ça que
00:22:11je dis,
00:22:12je dis que
00:22:12je dis que
00:22:12je dis que
00:22:13je dis que
00:22:13un voyage,
00:22:15je dis que
00:22:15je dis que
00:22:16je dis que
00:22:17le premier ministre
00:22:18peut voyager,
00:22:20etc.
00:22:21Là,
00:22:22c'est une preuve
00:22:22concrète
00:22:23comment un voyage
00:22:24finalement
00:22:25ou encore
00:22:26trentaine de milliards.
00:22:27Exactement.
00:22:27Un voyage,
00:22:28bon,
00:22:28je dis que
00:22:29ce n'est pas
00:22:29une résidente,
00:22:30elle le tient,
00:22:30elle ne dépense pas
00:22:31des millions,
00:22:31trois millions.
00:22:32C'est un voyage,
00:22:33c'est un diplomatique
00:22:34et comment ça fait
00:22:35le rapport de Maurice
00:22:36ça continue à l'heure
00:22:37peut-être au cours
00:22:38de l'émission
00:22:38de l'occasion
00:22:39de sa prise.
00:22:40Et c'est ça
00:22:41la diplomatie économique
00:22:42aussi.
00:22:43Qui a amené
00:22:43parce que
00:22:44je dis que
00:22:44je dis que
00:22:44je dis que
00:22:44je dis que
00:22:46c'est un petit break.
00:22:47Si mon cas,
00:22:47permettez-moi
00:22:48de donner un petit détail,
00:22:49ça veut dire
00:22:49que
00:22:49nous prend une question
00:22:52avec Bacchina Kondari
00:22:53justement
00:22:53qui après le break
00:22:54n'est pas une piste
00:22:54d'étail.
00:22:56C'est bien
00:22:57puisque
00:22:57un voyage,
00:22:58c'est une mission
00:22:58économique et diplomatique.
00:23:00Mais revenons
00:23:01sur la question
00:23:01Bacchina Kondari.
00:23:03Pendant beaucoup
00:23:04là, c'était la question
00:23:05culturelle,
00:23:06c'était la question
00:23:06historique.
00:23:07Et où est-ce
00:23:08qu'aujourd'hui,
00:23:09de par l'expérience
00:23:10d'entrepreneur
00:23:10et aussi dans les médias,
00:23:12vous trouvez sa vision
00:23:12peut-être une plus
00:23:13c'est une question
00:23:13économique et stratégique ?
00:23:15Définitivement,
00:23:17écoutez,
00:23:18si nous écoutons
00:23:19des discours politiques
00:23:21ou bien des discours
00:23:23de des groupes
00:23:24qui ont un intérêt
00:23:25spécifique,
00:23:26que ce soit
00:23:27des intérêts
00:23:28des employés,
00:23:31des syndicats
00:23:32ou bien
00:23:32beaucoup plus
00:23:33des politiciens
00:23:34de l'opposition,
00:23:35etc.
00:23:36Donc,
00:23:37quelque part,
00:23:39nous devons
00:23:39dégager nous
00:23:40de cette personne-là
00:23:41cette manière
00:23:42qui partage
00:23:45l'information
00:23:45avec nous
00:23:46et manière
00:23:46qui nous
00:23:47accueille
00:23:48à ces informations.
00:23:50Nous devons
00:23:50comprendre
00:23:51une affaire.
00:23:52Le peuple
00:23:53lui trouvait
00:23:54ce qui peut passer
00:23:55dans le pays.
00:23:56Le peuple
00:23:57nous connaît
00:23:58ce qu'il nous a
00:23:59en vie
00:23:59sur l'économie,
00:24:00mais lui
00:24:01le sentit.
00:24:02l'économie,
00:24:03l'économie,
00:24:03l'économie,
00:24:03l'économie.
00:24:04Aujourd'hui,
00:24:05ce n'est pas un secret
00:24:06qu'il y a beaucoup
00:24:07secteur de nos économies
00:24:09qui finit
00:24:10dépassé,
00:24:12essoufflé
00:24:13et peinant
00:24:15une réinvention.
00:24:17Et cela,
00:24:19nous n'avons pas
00:24:20que nous mentir
00:24:21dessus.
00:24:22Parce que le peuple
00:24:23aujourd'hui,
00:24:23quand il peut
00:24:24être autour de lui,
00:24:25il trouvait
00:24:25l'agriculture
00:24:26comme il était.
00:24:27Il trouvait
00:24:27qu'il ne passait
00:24:28dans l'agriculture
00:24:29pendant 10 bananées.
00:24:32Ce n'est pas
00:24:32d'envoyer
00:24:33une image
00:24:34dans nos télévisions
00:24:35nationales
00:24:36avec un ministre
00:24:37qui n'a assisé
00:24:38une trappe,
00:24:38trois,
00:24:38quatre pommes
00:24:39de terre
00:24:39dans la main.
00:24:40C'est ça
00:24:40qui nous fait
00:24:41le food security
00:24:43qui nous peut produire.
00:24:44Aujourd'hui,
00:24:45il nous peut même
00:24:45importe pommes
00:24:46de terre.
00:24:47Donc,
00:24:48ça,
00:24:48c'en est une
00:24:49façon de chose.
00:24:51L'autre côté,
00:24:52nous guette
00:24:52l'exploitation.
00:24:56Maurice,
00:24:56il y a un gros
00:24:57exportateur
00:24:58d'antirium.
00:24:59Mais c'est la quantité
00:25:00d'immunes
00:25:00qui se fait travailler
00:25:01dans l'antirium,
00:25:02là.
00:25:02Ils n'ont pas trouvé
00:25:02ce qu'autre pays
00:25:03là.
00:25:04Le textile,
00:25:05c'est la même chose.
00:25:07Et aujourd'hui,
00:25:08quand on guette
00:25:08la manière
00:25:09dont certains,
00:25:11même entrepreneurs
00:25:11dans le textile,
00:25:12même ceux qui sont
00:25:14dans des décisions
00:25:16politiques,
00:25:17des organisations,
00:25:20des entrepreneurs,
00:25:21etc.,
00:25:21quand on guette
00:25:23le textile
00:25:23et on guette
00:25:24le textile,
00:25:25comme si,
00:25:26pour eux,
00:25:27c'était une fatalité,
00:25:28que le textile
00:25:29est appelé
00:25:31à disparaître
00:25:32parce qu'il nous
00:25:34peut mettre
00:25:35une chère
00:25:36ou quoi que ce soit.
00:25:37Et dans la réinvention,
00:25:39et dans la façon
00:25:40de faire,
00:25:41aujourd'hui,
00:25:42pareil comment
00:25:43docteur Lecoupe
00:25:44peut-être,
00:25:44peut-être,
00:25:44peut-être,
00:25:44peut-être aller là,
00:25:45nous voulons revoir
00:25:47Maurice N
00:25:48sur l'intérieur,
00:25:50sur la manière
00:25:50que ce GDP,
00:25:53ce produit domestique
00:25:55est en train
00:25:56d'être produit,
00:25:57et deuxièmement,
00:25:58qui manière
00:25:59nous capables
00:25:59d'exporter
00:26:01ce qu'il nous
00:26:01est pour exporter,
00:26:03je vais dire,
00:26:03en termes
00:26:04de la réalisation
00:26:06économique.
00:26:08Vous connaissez,
00:26:08aujourd'hui,
00:26:08nous pouvons
00:26:09la question,
00:26:09c'est pas,
00:26:10est-ce qu'il nous
00:26:10réaliser
00:26:11qu'il nous capables
00:26:12de faire un GDP,
00:26:13en guillemets,
00:26:15tout en produisant
00:26:15ailleurs.
00:26:17Nous faisons
00:26:18le monde
00:26:18pour une place
00:26:20que nous avons
00:26:20à produire.
00:26:22Aujourd'hui,
00:26:22nos zones maritimes
00:26:24sont une place
00:26:25pour produire.
00:26:26Aujourd'hui,
00:26:26c'est énorme.
00:26:28Donc,
00:26:29nous avons tous
00:26:30un constat,
00:26:31nous avons
00:26:31un secteur,
00:26:33aujourd'hui,
00:26:34nous avons
00:26:35besoin de prendre
00:26:36comme,
00:26:37aujourd'hui,
00:26:38l'Inde
00:26:38est une puissance
00:26:39financière.
00:26:39en informatique,
00:26:42aujourd'hui,
00:26:43ou imagine-nous,
00:26:44même la Chine
00:26:45est comme ça,
00:26:46c'est que
00:26:46c'est pratiquement
00:26:47cashless.
00:26:48L'électronique
00:26:49est partout.
00:26:50OK ?
00:26:51Donc,
00:26:51c'est un système
00:26:52qui nous révolutionnait
00:26:53énormément
00:26:54durant les dernières
00:26:564, 5,
00:26:576 dernières années.
00:26:58OK ?
00:26:59Donc,
00:27:00aujourd'hui,
00:27:01ce pays-là
00:27:02est un partenaire
00:27:03pour nous
00:27:04de refaire
00:27:06nous l'économie.
00:27:07Donc,
00:27:08il ne faut pas
00:27:09qu'on regarde
00:27:10uniquement
00:27:10seulement
00:27:12à une question
00:27:12de mission.
00:27:13Moi,
00:27:14pour moi,
00:27:14les mots
00:27:15utilisés
00:27:15par le premier
00:27:16ministre
00:27:16Narendra Modi
00:27:17sont extrêmement
00:27:18importants.
00:27:19Et il faut
00:27:20voir dessus
00:27:21que,
00:27:22moi,
00:27:23pour moi,
00:27:23je pense
00:27:24qu'on lui dit
00:27:25que c'est
00:27:26un investissement
00:27:27in our shared
00:27:28future.
00:27:31Dans nos futurs,
00:27:33dans nos destins futurs,
00:27:34c'est un investissement.
00:27:35Il ne peut pas
00:27:36dire que c'est
00:27:37un investissement
00:27:38indien.
00:27:39Comment ?
00:27:40Il est en train
00:27:41de dire que c'est
00:27:41un investissement
00:27:42donc commun.
00:27:45OK ?
00:27:46Et quand il nous
00:27:46fait cause
00:27:47de stratégie
00:27:47de partnerships,
00:27:48on dit,
00:27:48aujourd'hui,
00:27:49l'Inde n'est pas
00:27:50ce pays
00:27:51qui n'est pas capable
00:27:53éventuellement
00:27:54de nous accompagner.
00:27:55Vous pouvez nous
00:27:55donner un détail
00:27:56éventuellement après.
00:27:58Parce que l'efficience
00:27:59de l'économie
00:28:00mauricienne
00:28:01aujourd'hui,
00:28:02OK ?
00:28:03dans beaucoup
00:28:05de secteurs,
00:28:06que ce soit
00:28:06dans le transport,
00:28:08que ce soit
00:28:08dans le port
00:28:09et dans d'autres secteurs,
00:28:11cette efficience-là
00:28:12a complètement disparu.
00:28:14Nous ne gagnez
00:28:14un gouvernement
00:28:15pendant dix ans
00:28:16qui ne fait nous
00:28:17galop derrière
00:28:17casse,
00:28:18sans que nous ne réalisez
00:28:20qu'il ne peut pas
00:28:21derrière nous
00:28:21appauvrir nous-mêmes.
00:28:23OK ?
00:28:23Voilà.
00:28:24Donc,
00:28:24on peut développer
00:28:25un petit peu ça,
00:28:26surtout sur le futur,
00:28:27dans les prochaines minutes.
00:28:29Très bien.
00:28:29Et un terrain aussi
00:28:30pour éviter
00:28:31une délégation
00:28:31qui s'allait en Inde
00:28:32composée de beaucoup
00:28:33d'entrepreneurs
00:28:34et d'opérateurs économiques.
00:28:35Nous retrouvons juste après
00:28:36ceci.
00:28:41Hard talk.
00:28:42Hard talk.
00:28:43Craving saivre
00:28:58without compromise ?
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00:29:03your favourite haven
00:29:04for pure vegan delights.
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00:29:37je t'ai servi,
00:29:38pour business,
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00:29:40pour apprendre,
00:29:40je t'ai servi,
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00:29:48je t'ai servi,
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00:29:50je t'ai servi,
00:29:51je t'ai servi.
00:29:52Kili 4G,
00:29:535G au Fib,
00:29:54bliski 1 million
00:29:55maurichien
00:29:56fait nous confiance.
00:29:57Allô,
00:29:57ce qui peut atteindre
00:29:58besoin d'un réseau
00:29:59plus grand,
00:29:59plus fiable,
00:30:00plus rapide,
00:30:00pour vivre l'expérience.
00:30:02Mighty C.A.
00:30:03Mighty?
00:30:04Mighty C.A.
00:30:05ça!
00:30:05T.A.
00:30:11M.A.
00:30:23Hello Mauritias, I am Kailash Kher.
00:30:26Et puis-suivi, en ma s'il y a safe.
00:30:29La Suisse, dans la Suisseuse de Gênes,
00:30:31en la Suisseuse de Gênes,
00:30:33dans la Suisseuse de Gênes.
00:30:35En cette Suisseuse de Gênes,
00:30:38en la Suisseuse de Gênes.
00:30:41La Suisseuse de Gênes sur la Suisseuse de Gênes.
00:30:43Il y a Fisseuse de Gênesseuse.
00:30:46Alors surtout, je peux vous donner un petit à quoi,
00:30:48un petit...
00:30:50et ongelu peut ce que l'on mangeait,
00:30:52parce qu'il y a beaucoup d'événements qui sont en train de faire.
00:31:22Il y a une délégation en Inde.
00:31:23Bacchus Nakhon a fait une cause sur l'efficience,
00:31:26une cause de la transition de sa part culturelle,
00:31:32pour une économie,
00:31:32et qu'on a un acte très important.
00:31:36Et plus qu'important, c'est un investissement du Béziens.
00:31:39Alors, mon revient sur sa délégation.
00:31:41Docteur Lecou, il paraît qu'il y a quand même une grande délégation
00:31:44composée d'une part de manes décideurs,
00:31:47mais aussi de manes opérateurs.
00:31:49Exactement, de manes opérateurs privés.
00:31:50Et il y a plusieurs manes fonctions durant la visite,
00:31:54qui n'amènent beaucoup manes retombées, très positifs.
00:31:57Donc, maintenant, là, je peux dire,
00:31:58permettez-moi de donner un exemple qui m'a donné vraiment.
00:32:00Ça veut dire qu'avec sa mission-là,
00:32:04c'est qu'on gagne presque 30 milliards,
00:32:0830 milliards de roupies pour un projet d'investissement.
00:32:12Là aussi, il y a 30 milliards là,
00:32:13et nous sommes capables qu'on a cassé en deux parties,
00:32:15une partie, c'est une grande.
00:32:16Ça veut dire que l'État indien peut donner,
00:32:19d'Île-Maurice, une grande, de presque 10 milliards de roupies
00:32:22pour plusieurs investissements stratégiques dans le pays,
00:32:25comme un nouveau l'hôpital,
00:32:27un nouveau l'hôpital national,
00:32:29un l'hôpital ayurvédique,
00:32:31un l'hôpital vétérinaire.
00:32:34Il y a des affaires séparés là, l'hôpital national.
00:32:36L'hôpital national, c'est à l'entour de 4 milliards de roupies.
00:32:40L'hôpital ayurvédique, ça veut dire,
00:32:42nous prend, ça nous prend un know-how ayurvédique
00:32:43qui est dans l'ennemps.
00:32:44Il y a un centre, un centre d'excellence,
00:32:46que là-bas, on a une recherche ayurvédique
00:32:48de presque 2 milliards de roupies.
00:32:51Mais il y a, dans le projet gouvernemental,
00:32:53c'est annoncé que le gouvernement pouvait venir de l'avant
00:32:57avec un nouveau l'hôpital pour les animaux.
00:33:00Ça aussi, nous avons le support de l'État indien,
00:33:03d'alentour de 2 milliards de roupies.
00:33:04Ça, c'est un grand, mais là-bas aussi,
00:33:06à part ça, il y a un fonds qu'il a dans le variable
00:33:13pour l'île Maurice.
00:33:14Ce n'est pas une dette, c'est une ligne de crédit.
00:33:15C'est quoi une ligne de crédit?
00:33:16C'est quand nous faisons la zone à nous servir,
00:33:18il met à la disposition de l'État mauricien
00:33:20pour plusieurs développements très importants
00:33:22comme une moto OEM4 qui nous faisons
00:33:25pour décongestionner un petit peu le trafic de tous les jours.
00:33:28Il y a une série de mémorandums
00:33:31qui sont signés, une série de mémorandums
00:33:33qui sont signés dans un secteur
00:33:35qui est un peu en difficulté énergétique
00:33:37parce que nous connaissons
00:33:38qu'il nous a bien mis un support technique
00:33:41spécialement avec l'énergie renouvelable
00:33:44et aussi l'électricité même
00:33:46parce qu'il y a une période festive l'été.
00:33:49Il y a une grosse capacité.
00:33:53Il y a une petite capacité.
00:33:54Il y a fini de commencer.
00:33:56Là, je pensais qu'il pouvait développer
00:33:59dans l'émission un mémorandum
00:34:01que l'État indien pouvait être là
00:34:03pour aider Maurice
00:34:04pour être capable de surveiller
00:34:05cette zone économique maritime
00:34:07parce que Christola Indien,
00:34:10une zone économique maritime
00:34:11est extrêmement grande,
00:34:12presque 2,3 millions de kilomètres carrés
00:34:15et l'île Maurice, tout seul,
00:34:17le PNA,
00:34:19sa know-how technique
00:34:19et la logistique pour qu'elle
00:34:21puisse surveiller sa région.
00:34:24C'est une région très importante
00:34:25parce que, vous l'avez dit,
00:34:26le GDP mauricien,
00:34:28dans le futur présent,
00:34:29que c'est une bien-dialiste,
00:34:30ce n'est pas juste les produits
00:34:31qui vont être produits
00:34:31dans le pays, dans la terre.
00:34:34La zone économique maritime,
00:34:35là, elle vous forme partie
00:34:36de l'État mauricien
00:34:36et quand nous calculons le GDP,
00:34:38quand nous calculons le produit
00:34:39d'interview,
00:34:40tout ça, c'est une ressource
00:34:41très importante pour Maurice.
00:34:42Mais l'open-air,
00:34:44ça veut dire que nous,
00:34:45nous, nous devons sécuriser
00:34:46et tout seul,
00:34:47nous devons avoir les moyens
00:34:48pour le moment,
00:34:49nous devons avoir une lettre
00:34:50qui peut venir de l'État indien
00:34:51qui est très intéressante.
00:34:52Mais aussi,
00:34:53parce que ça partit
00:34:54que tu as mentionné
00:34:55et le secteur privé
00:34:58qui est là-dedans,
00:34:59tu as une réunion,
00:35:00tu as une affaire
00:35:00que tu as appelé
00:35:01le business conclave,
00:35:02parce que plusieurs...
00:35:03C'est une considération
00:35:04quand même,
00:35:05un directeur privé.
00:35:06Exactement,
00:35:06une grosse délégation
00:35:07et tu as une réunion
00:35:09avec des investisseurs indiens,
00:35:11avec le secteur privé
00:35:13et nous avons fini
00:35:14trop à nous retomber.
00:35:16L'île Aouté Hospital,
00:35:18c'est un grand
00:35:18l'hôpital dans l'État,
00:35:20il a fini étudiant
00:35:21comme ça
00:35:22qui l'intéressait
00:35:23à ouvrir un bronze
00:35:24à Maurice
00:35:24et nous avons
00:35:25le premier ministre
00:35:25et nous avons
00:35:26un mémorandum
00:35:27qui est signé
00:35:27avec l'Enscope mauriceuse
00:35:28et nous avons fini
00:35:28d'identifier
00:35:29un pelot de la terre
00:35:31dans la côte d'eau
00:35:32et ça peut venir très vite.
00:35:34Nous avons pu dire aussi
00:35:35qu'après
00:35:36ce voyage-là,
00:35:38ce n'est pas un voyage
00:35:38qui reste un voyage
00:35:40en lui-même
00:35:41et il y a un suivi
00:35:41qui peut faire.
00:35:42L'exemple,
00:35:43c'est IDB
00:35:43qui est ouvert
00:35:45ce qu'il nous appelle
00:35:45un India Gateway Desk.
00:35:47Et ce India Gateway Desk,
00:35:49c'est une plateforme
00:35:51qui peut faire
00:35:52un suivi quotidien
00:35:53pour que tout ça
00:35:53des réunions
00:35:55de business meeting
00:35:57qui est déjà amené
00:35:59et il y a un objectif
00:36:02long terme,
00:36:02ça veut dire
00:36:02qu'il matérialise
00:36:04beaucoup
00:36:04des discussions
00:36:05qui est là.
00:36:07C'est-à-dire
00:36:07un petit cause
00:36:08du riz.
00:36:08On connaît
00:36:09que le Mauritien
00:36:10est un grand consommateur
00:36:11du riz
00:36:11mais ça qui suit
00:36:12un petit peu
00:36:13l'évolution
00:36:14du marché du riz.
00:36:15Qui l'est du riz ?
00:36:15Rasson,
00:36:16Qui l'est du riz ?
00:36:16Basmaté ?
00:36:17Je pense que là
00:36:19je porte mon chapeau
00:36:19de la STC.
00:36:20On connaît
00:36:21qui généralement
00:36:22est le Basmaté 1121
00:36:24qui est très aimé par les Mauriciens pour faire ce Briani, de plus en plus en Inde, sa variété là peut diminuer, parce que sa variété là, ils l'ont à planter et ils l'ont à maturité.
00:36:36Il faut garder le vin et il est plus bon. Il faut avoir le marché durant le voyage, beaucoup de plantés, ils peuvent commencer par une autre variété, mais c'est important pour Maurici, qu'il est capable de garder le stock stratégique, parce que si nous voulons faire un open market purchase, ça veut dire le marché, mais plus, c'est de plus l'économie, plus supply, ça veut dire l'offre diminuée,
00:37:06le prix pour flamber sur les marchés, si nous gagnons un partenaire stratégique, et nous connaissons qu'il est la troisième puissance mondiale, mais le premier producteur du riz sur le marché, nous gagnons l'un comme un partenaire stratégique, mais ça capable, et nous, smooth out the price, quand on veut dire, smooth out the price, faire lever une prix constante, et ça, pour bénéficier d'un consommateur de maturité mauricien sur le court terme, le moyen terme et le long terme en même temps.
00:37:29Très bien, merci, M. Lecour, qu'est-ce qu'on aille ?
00:37:32Oui, il faut juste des affaires, c'est-à-dire que M. Lecour, tu as question de l'agriculture ?
00:37:37Non, non, pas l'agriculture, l'investissement, il y a des affaires qui sont très importantes, il y a une cimenterie qui peut ouvrir, qui peut implanter à Maurice, ça c'est un breakthrough, parce qu'actuellement il y a deux cimenteries,
00:37:49mais c'est une cimenterie qu'il pourrait planter à Port-Lula, il pourrait être une cimenterie un peu spéciale, et je peux, un participant pour M. Maurice, un participant pour le marché régional.
00:38:00Et l'autre affaire qui est encore très importante de sa mission en Inde-là, c'est la modernisation du port.
00:38:07Il y a une grosse somme d'argent qui n'y a marre, parce que le port de Maurice, pendant sa dix dernières années-là, il n'a pas fait qu'il y a un bel investissement, il y a une crène qui est en panne,
00:38:17et il y a une crène qui est en panne, ça a impacté le fret, il y a impacté sur le coût de la mochandise qui nous fait venir,
00:38:26et ça, il y a un impact, aussi, il y a un indien intéressé à servir nos fruits potes, pour être comme un hub pour être dans l'Afrique.
00:38:32Ça, c'est une parenthèse, mais ce qu'on a, c'est parce que l'Inde, il y a différents secteurs que Maurice sont capables d'aider, c'est le secteur de l'agriculture,
00:38:44qu'effectivement, c'est que l'agriculture, à Maurice, a été très, très négligée, il y a seulement deux tracteurs,
00:38:55juste des tracteurs pour tout ça que planté qu'il y a à Maurice-là, et si vous réussissez, soit un tracteur en panne,
00:39:02si vous réussissez un tracteur pour une labo roussant, plusieurs repas, les profs, oui, les plantes plantés attendent des mois, trois mois, quatre mois, cinq mois.
00:39:10Et nous faisons la main-d'oeuvre pour nous capables de cultiver, et là, la main-d'oeuvre indienne, c'est une planche de salut pour Maurice.
00:39:20Il y a aussi des pesticides bio, qui, l'Inde, est un très grand producteur dans de nombreux pays, comme l'Arabie saoudite,
00:39:31des pays golfe, le Japon, importent des fumiers vastes en vrac, des vraquiers de 30 000, 40 000 tonnes,
00:39:39et qui, Maurice, jamais ne pense pas à ça.
00:39:43C'est ça qui nous, parce que nous, la terre, est relativement pauvre par rapport à l'Inde sur la terre.
00:39:50Ça, c'est une planche de plus pour nos secteurs agricoles, pour la canne à sucre, pour les légumes, etc.
00:39:58Et éventuellement, même, nous ne sommes pas capables d'export de nos produits.
00:40:02Ça, c'est une affaire qui est concrète, qui est capable de réaliser, grâce à sa mission qui finit dans le lieu,
00:40:10et de concrète, n'est pas, comment dire, juste le slogan, le cause causé, après, tout est important.
00:40:15Et EDB peut suivre à la lettre, et tout le monde...
00:40:21Le monde suivit, comme le docteur Lecouf.
00:40:23Le monde suivit. Après, il y a aussi un autre secteur, encore dans les chiffres,
00:40:27il y a le secteur bancaire, le NPNU, au niveau du monde électronique.
00:40:32Nous vous gavons dans le chapitre de l'innovation et technologie, peut-être nous vous gavons dans le secteur bancaire.
00:40:37Juste au-delà, c'est-à-dire qu'il est très connu pour être complètement cashless.
00:40:41Et je pense que c'est un concept qui n'a pas amené à mourir, spécialement avec le blueprint qui est actuellement du ministère de l'ICT,
00:40:49qui a envie de réduire un petit peu la dépendance à cash.
00:40:55Et ça, c'est un exemple à suivre, c'est un exemple à suivre, parce que là-bas, même, cela rit,
00:41:00il y a un petit peu de dépenses à payer avec UPI.
00:41:03Oui, très bien.
00:41:04Je n'ai pas une langue très imagée, un peu plus tôt,
00:41:08c'est pas quand un ministre a des sassiers pour me dire sur l'armée,
00:41:12ça veut dire qu'il ne peut pas aller vers la sécurité alimentaire.
00:41:16Et il faut également l'efficience, l'efficacité.
00:41:20Il faut dire, par exemple, qu'il faut que le premier ministre indien dit,
00:41:24il est quand même capable d'aider à un autre chapitre de nos développements,
00:41:27parce qu'il y a quand même des secteurs qui sont essoufflés,
00:41:32comme le pot et le transport.
00:41:35Peut-être, où est la bordeaux-là ?
00:41:36Donc, les causes de new heights,
00:41:40donc des nouveaux heights sommés éventuellement.
00:41:44Donc, moi, ce qui me fait regarder dans tout ça aujourd'hui,
00:41:48manière qui tout ça fait développer,
00:41:50moi, pour moi, me concerner avec le pays, OK ?
00:41:55Où le pays est, où le pays va.
00:42:00N, l'affaire plus importante, d'ailleurs,
00:42:02c'est-à-dire que la Chine pousse dans sa direction-là, lui aussi.
00:42:06Population de l'Inde, c'est la population,
00:42:08la plus grosse population dans le monde.
00:42:10Aujourd'hui, quand nos problèmes étaient à Maurice,
00:42:14nos problèmes, c'est nos populations.
00:42:16nous pouvons atteindre 300 000 personnes
00:42:20au-dessus de l'âge de 60 ans,
00:42:22là, là, OK ?
00:42:25Je me rappelle l'année dernière,
00:42:26tu peux causer 270 000,
00:42:28dis-moi, au-dessus de l'âge de 60 ans.
00:42:30Ça ne veut dire qu'au-dessus de l'âge de 60 ans,
00:42:32il dit, oui, oui, oui, non.
00:42:33Il y en a beaucoup qui peuvent travailler.
00:42:37Maintenant, le truc, ce n'est pas là.
00:42:40C'est que dans 30 ans encore, 40 ans encore,
00:42:43nous peuvent risquer de descendre à moins d'un million
00:42:46de citoyens mauriciens résidant à Maurice.
00:42:51Oui, nous pouvons descendre.
00:42:52OK, nous pouvons descendre.
00:42:52C'est prévu.
00:42:53C'est prévu, ça.
00:42:53OK ?
00:42:54Imaginons aujourd'hui, nous sommes de Singapour.
00:42:58Singapour est dans une population de 6 millions.
00:43:02Dans 6 millions,
00:43:04ce propre habitant est 3,6 millions.
00:43:09L'OEN Superfici qui est 2 districts de Maurice.
00:43:14Mon gars, tout le temps nous disait,
00:43:15si par exemple, il n'y a pas un mot cas ensemble,
00:43:16tous les défaits finis de Singapour.
00:43:19Il y en a des résidents permanents, 500 000.
00:43:22Il y en a non-résidents qui sont des foreign workers,
00:43:26dépendants, dépendants, students, etc., 1,9 millions.
00:43:31Et dites-vous bien, l'année dernière,
00:43:33Singapour a accueilli 16,5 millions de visiteurs.
00:43:37Mais imaginez aujourd'hui,
00:43:42l'île Maurice,
00:43:44tout ça, la terre qui nous n'est pas cultivée,
00:43:48qui nous manquait.
00:43:49Nous manquait une première main-d'oeuvre.
00:43:52Deuxième, nous manquait technologie.
00:43:55Ce n'est pas ça.
00:43:56Vous connaissez, nous sommes de l'agriculture.
00:44:00Est-ce que nous sommes de l'agriculture,
00:44:02nous sommes de planteurs,
00:44:03nous sommes de subsides de l'eau fertilisante.
00:44:07Non.
00:44:09Les Israéliens, à un moment donné,
00:44:10ont dit à un moment que 90% de l'agriculture,
00:44:18c'est la science, c'est la technologie,
00:44:2010% c'est le main-d'oeuvre.
00:44:22Aujourd'hui, l'Aine nous donne une opportunité extraordinaire.
00:44:26Nous arrivons, nous sommes pas capables,
00:44:28nous faisons compétitivité.
00:44:29Nous sommes pas capables d'aller ou d'aller travailler à Népalais,
00:44:32ou n'importe qui côté,
00:44:36Bangladesh ou whatever.
00:44:38Aujourd'hui, le salaire minimum au Népal est 5000 roupies népalais,
00:44:42qui veut 3500 roupies indiens.
00:44:45Non, Mauritien.
00:44:46Pardon.
00:44:46Donc, Bangladesh, à un certain moment donné,
00:44:50c'était pareil.
00:44:5210 ans de cela, 20 ans de cela,
00:44:55donc je connais comment ça a été.
00:44:57Nous sommes pas capables de continuer avec sa formule
00:45:01d'aller prendre,
00:45:03nous vous disons qu'on tient en partie, oui,
00:45:05d'aller prendre des travailleurs à salaire bas,
00:45:10vin, Maurice,
00:45:11et compiter avec ce même pays-là.
00:45:14Ça veut dire, Bangladesh peut prendre avec un salaire plus bas que Maurice,
00:45:17les mêmes produits sur le même marché,
00:45:20qui nous.
00:45:22Donc, aujourd'hui, nous devons revoir sa politique-là.
00:45:25Et on a un gros besoin au niveau des industries, etc.
00:45:28Mais nous devons être un petit coup aujourd'hui un agriculteur.
00:45:32S'il y en vient de travailler,
00:45:33nous ne sommes pas capables d'essayer de faire l'application.
00:45:36Donc, mon pensée, nous devons revoir nos systèmes
00:45:39et l'aide de nous une opportunité.
00:45:41Nous devons revoir nos systèmes,
00:45:42nous devons essayer de faire la migration.
00:45:45Mais à cela, nous avons beaucoup quelque chose
00:45:46qui nous avons pour gérer par rapport à la citoyenneté
00:45:48et toutes ces manques d'affaires-là.
00:45:50Donc, regarde Singapour.
00:45:52Singapour, il y a seulement 3,6 millions,
00:45:57de ces citoyens,
00:46:00de ces choses,
00:46:03et que la grosse majorité,
00:46:05c'est touristes,
00:46:06et la grosse majorité,
00:46:07c'est 10 morts qui n'est autorisés pour vivre un travail.
00:46:09Donc, nous devons ouvrir dans notre secteur,
00:46:12comme l'agriculture, par exemple,
00:46:14comme dans l'industrie,
00:46:15certains types d'industries,
00:46:16pour notre PME,
00:46:18pour notre PME,
00:46:19laisse notre personne à venir,
00:46:21trouve ce travail.
00:46:22Et contrairement avec une personne
00:46:25qui nous récrutait en masse aujourd'hui,
00:46:27qui nous logeait, nourrit, blanchit,
00:46:30qui nous payait même salaire qu'il y a de mauritien,
00:46:32alors que le mauritien, lui,
00:46:35l'Ibiza paye sur 150 roupies MBC,
00:46:38l'Ibiza paye sur l'école,
00:46:40l'Ibiza achetait sur propre manger,
00:46:42l'Ibiza paye sur location,
00:46:44dans majeure partie des cas,
00:46:45et nous payons,
00:46:46nous traiterons les pareil,
00:46:48nous traiterons les travailleurs étrangers,
00:46:50donnent les mêmes salaires,
00:46:51mais seulement l'Ibiza prend tout ce salaire,
00:46:53il y a eu des hauts.
00:46:54C'est une politique complètement couillon,
00:46:57nous sommes parmi les premiers pays
00:47:00qui nous signent une convention,
00:47:02nous.
00:47:04La Chine ne signent pas une convention,
00:47:06le copyright,
00:47:07nous ne signons pas il y a longtemps.
00:47:09L'Amérique ne signent pas l'environnement,
00:47:12toujours les discussions au niveau de pollution
00:47:14de la planète,
00:47:15nous ne signons pas depuis très longtemps.
00:47:18Nous avons un frigidérateur,
00:47:19c'est CFC Free, etc.
00:47:21Donc, nous faisons qu'on fait une balance,
00:47:24tout ça là.
00:47:25Aujourd'hui, le pays peut de manière à grandir
00:47:29au niveau de la population,
00:47:32mais au niveau de personnes
00:47:34qui tournaient la masse critique
00:47:37de la population
00:47:38qui nous faisons dans un pays là.
00:47:40Nous, par exemple,
00:47:41aujourd'hui,
00:47:41tous les shopping centers,
00:47:42tous les affaires là.
00:47:44Aujourd'hui, tout ça là,
00:47:45peut brasser dans un seul panier.
00:47:50C'est un seul panier qui nous paye.
00:47:52Ce panier-là, il n'est pas inépuisable,
00:47:55ça, il est épuisable.
00:47:56Mais l'autre côté,
00:47:57pour que l'agriculture a aussi augmenté,
00:48:00la taille critique a augmenté,
00:48:02nous faisons qu'on peut accueillir
00:48:04un travailleur éventuellement
00:48:06qui nous donne l'autorisation
00:48:08pour vivre le travail,
00:48:09mais nous pouvons payer.
00:48:10Pareil qu'on m'aurait jamais payé,
00:48:12mais je peux acheter des légumes,
00:48:15je peux acheter des choses,
00:48:16je peux louer des choses de la case,
00:48:18tout ça dans l'affaire là.
00:48:19Donc, aujourd'hui,
00:48:20nous faisons grandir nos populations.
00:48:22Si nous n'avons pas grandir nos populations,
00:48:24nous n'avons pas payé à ceux qui sont là
00:48:29pour venir voter.
00:48:30Sinon, demain,
00:48:30on peut trouver,
00:48:32si nous n'avons pas régler
00:48:32ce problème constitutionnel
00:48:34qui nous est dans,
00:48:35qu'un étranger qui reste des ans
00:48:36dans un pays là,
00:48:37il y a le droit à voter.
00:48:38On peut trouver un étranger
00:48:40pour voter un premier ministre
00:48:41étranger dans sa pays.
00:48:43Il arrive à un moment donné.
00:48:44S'il n'a pas fait attention.
00:48:46C'est pourquoi l'amendement constitutionnel
00:48:48devient extrêmement important.
00:48:49Mais nous,
00:48:50qui est dans un pays comme ça,
00:48:50Dubaï,
00:48:51même affaire,
00:48:53ceux qui sont des personnes
00:48:55qui ont la citoyenneté qui est restée,
00:48:58sont très peu.
00:49:00La majeure partie,
00:49:01c'est des personnes
00:49:01qui sont à l'étranger.
00:49:03Donc, la question d'efficience
00:49:05découle de ça.
00:49:07Aujourd'hui,
00:49:07nous pouvons essouffler,
00:49:09nous pouvons continuer
00:49:09et essouffler
00:49:10s'il ne nous pas
00:49:11adresser à ce problème
00:49:12de ressources humaines.
00:49:15Ressources humaines,
00:49:16c'est une question
00:49:16de compétitivité,
00:49:18pas d'une industrie.
00:49:20C'est la compétitivité
00:49:21d'un pays
00:49:22dans un monde
00:49:25qui est globalisé
00:49:26et qui est dans un mouvement
00:49:28de capitaux
00:49:29et mouvements d'humains.
00:49:30Parce que tout le monde
00:49:31dit qu'il est compétent,
00:49:33aujourd'hui,
00:49:34il n'y a pas d'aller.
00:49:35Mais imaginez-nous
00:49:36à un moment donné,
00:49:37nous faisons renverser la vapeur
00:49:39pour que le pays
00:49:40devienne plus intéressant
00:49:42pour ses propres citoyens
00:49:43d'abord.
00:49:44Donc,
00:49:45l'économie
00:49:45met un boom
00:49:46d'une façon,
00:49:47la croissance
00:49:48met un boom
00:49:48d'une façon,
00:49:50qu'il est intéressant
00:49:51pour ses propres citoyens.
00:49:52À ce moment-là,
00:49:53à un moment donné,
00:49:54on rappelle ça,
00:49:56si on rappelle bien,
00:49:57sur un niveau de la
00:49:59de la croissance,
00:49:59à un moment donné,
00:50:00il y a un statement
00:50:01quelque part,
00:50:02vous vous rappelez ça,
00:50:03je suis très très jeune,
00:50:04il y a beaucoup de monde
00:50:05quand il y a un boom
00:50:06économique,
00:50:07il peut retourner.
00:50:08Beaucoup de citoyens
00:50:09mauriciens
00:50:09qui sont établis ailleurs,
00:50:11Australie,
00:50:12l'autre,
00:50:12un certain moment donné,
00:50:14vous avez fini,
00:50:15relinquish le passeport
00:50:16mauriciens,
00:50:17etc.,
00:50:17qui disent,
00:50:19non,
00:50:20d'abord,
00:50:21le fruit
00:50:23de développement économique,
00:50:25il faut bénéficier
00:50:26à ceux qui sont là.
00:50:28Ils même refusent,
00:50:30à un moment donné,
00:50:31si on comprends bien,
00:50:32refusent,
00:50:33redonnent la citoyenneté,
00:50:36etc.
00:50:39Alors,
00:50:40ce qui fait qu'aujourd'hui,
00:50:41pour nous,
00:50:43n'importe qui est là,
00:50:44qui peut vivre,
00:50:45dirige ce pays-là,
00:50:46ce gouvernement
00:50:47ou n'importe qui gouvernement,
00:50:48Biza a dans sa direction
00:50:50de revoir
00:50:51ce qui va mal
00:50:53dans l'économie.
00:50:54Aujourd'hui,
00:50:55nous capaciter
00:50:56de produire
00:50:59et nous capaciter
00:51:01de subvenir
00:51:02à nos propres besoins,
00:51:04ils complètement
00:51:05diminuent.
00:51:07C'est ça
00:51:07qui nous bise à adresser
00:51:08et l'efficience
00:51:10dans ce pays
00:51:11lie éventuellement
00:51:14attachée
00:51:16avec tout ce qui suit.
00:51:17Par exemple,
00:51:18si nous venons,
00:51:18nous venons dire,
00:51:19par exemple,
00:51:19mon solde de coca,
00:51:20l'âne,
00:51:20nous venons dire comme ça,
00:51:21mais qui fait
00:51:22nous mettre métro ?
00:51:23C'est un projet
00:51:24qui ne discutait
00:51:25pendant 20 ans,
00:51:2630 ans,
00:51:27ne mettait pas,
00:51:27ne mettait pas,
00:51:28ne mettait pas,
00:51:28ne mettait finalement,
00:51:29c'est une partie
00:51:30en don,
00:51:31etc.,
00:51:32qui négociait,
00:51:3319 milliards,
00:51:35whatever,
00:51:35donc ne finit pas
00:51:36l'ancien gouvernement
00:51:37et notre métro.
00:51:38Métro est important
00:51:40pour le pays
00:51:40parce que c'est
00:51:41le seul moyen
00:51:43qui donne nous
00:51:44une certitude
00:51:45le point de départ
00:51:47et le point d'arrivée
00:51:48exact.
00:51:49Combien de temps
00:51:50ont pas arrivé ?
00:51:50Combien ont passé ?
00:51:51Beaucoup de démons
00:51:52ne bénéficiaient pas
00:51:52par rapport à ça,
00:51:53mais seulement,
00:51:54nous ne touillons
00:51:54beaucoup les autres affaires.
00:51:56Aujourd'hui,
00:51:57moi,
00:51:57mon pensée,
00:51:57nous accourez avec l'Inde,
00:51:59qui va développer
00:52:00et qui va développer
00:52:01dans le futur,
00:52:02c'est que
00:52:02sa tracée de métro
00:52:04qui nous peut trouver,
00:52:05qui nous connaît,
00:52:06aujourd'hui,
00:52:07depuis
00:52:07Mont-Galcan,
00:52:09Floréal,
00:52:10Dessane,
00:52:11Vinska,
00:52:12Chebel,
00:52:13éventuellement,
00:52:15mais tout ça,
00:52:16il est vraiment
00:52:16en dehors
00:52:18de la surface
00:52:18de la Terre,
00:52:19il est en l'air.
00:52:21Moi,
00:52:21je comprends,
00:52:22par exemple,
00:52:23une place comme
00:52:23un Jumbo,
00:52:24il change le tracé
00:52:26de métro
00:52:26qu'il est supposé
00:52:28arrêter
00:52:28avec le Fénix-Léal,
00:52:30il n'amène
00:52:31avec le Jumbo.
00:52:31Fair enough.
00:52:32Mais moi,
00:52:33je comprends,
00:52:33ce qui fait,
00:52:34quand il peut démarrer
00:52:34avec le Jumbo,
00:52:35il part à l'11 là-haut,
00:52:37sa pont,
00:52:38l'autopont
00:52:38qu'il nous fait là,
00:52:39et que tous les
00:52:40trafics en bas
00:52:41restent fluides.
00:52:43Donc,
00:52:43nous arrêtons
00:52:44complètement
00:52:44le trafic
00:52:45comme le métro
00:52:45pour passer.
00:52:46Donc,
00:52:47c'est là
00:52:47qu'il nous pétue
00:52:48l'efficience
00:52:49au niveau
00:52:50macroéconomique.
00:52:52Donc,
00:52:52si nous ne pas
00:52:53adressons
00:52:53un problème là,
00:52:56automatiquement,
00:52:57nous sommes
00:52:58complètement
00:52:59en dehors
00:53:00de tous
00:53:01nos véhicules.
00:53:01Nous,
00:53:01nous pétons
00:53:03M4,
00:53:04il n'y a un problème.
00:53:05Mettre la route,
00:53:06mettre les changeurs,
00:53:07mettre ce qu'il nous a envie.
00:53:07Mais si nous ne pas
00:53:08adressons
00:53:08le problème immédiat
00:53:10qui sont
00:53:11des inefficiences,
00:53:12vous connaissez longtemps,
00:53:13nous t'en avons un problème
00:53:14qui nous paie
00:53:14dans la capacité financière.
00:53:17Mais aujourd'hui,
00:53:17nous avons un partenaire
00:53:18qui nous paie
00:53:19de dire
00:53:19qu'il est dans
00:53:21une situation
00:53:22qui ne peut pas
00:53:24nous faire
00:53:24dans le passé,
00:53:25mais maintenant,
00:53:26nous sommes
00:53:27capables
00:53:27de faire
00:53:27le livre,
00:53:27nous sommes
00:53:28aidés là-dedans,
00:53:29nous sommes
00:53:29coups de main là-dedans,
00:53:30nous sommes
00:53:30révois
00:53:31parce qu'il est important
00:53:32pour les 50,
00:53:33100 prochaines années.
00:53:34voilà un petit peu
00:53:36ce qu'il me disait,
00:53:37c'est que d'abord,
00:53:38nous avons adressé
00:53:38le problème
00:53:39de ressources humaines,
00:53:40nous avons adressé
00:53:41le problème de migration,
00:53:42nous avons augmente
00:53:43la population
00:53:43pour qu'il nous
00:53:44ait un agriculteur
00:53:45et dans la masse
00:53:46critique pour produire,
00:53:47pour vender.
00:53:48Et quand nous produisons
00:53:49beaucoup,
00:53:50le prix,
00:53:51éventuellement,
00:53:52devient plus abordable aussi.
00:53:53Très bien,
00:53:54alors,
00:53:55le chapitre
00:53:55qui nous peut
00:53:56aborder,
00:53:56c'est que,
00:53:57par exemple,
00:53:58comment nous capitalisons
00:53:59dans nos zones économiques
00:54:00exclusives
00:54:01et par rapport
00:54:02à l'Inde,
00:54:02parce que nous aussi,
00:54:04nous positionnons
00:54:04par rapport
00:54:05à un géant
00:54:06pour l'Inde,
00:54:07justement,
00:54:07à part égale,
00:54:08qui dit aussi,
00:54:09il peut décider
00:54:10pour guider à part égale
00:54:11pour un développement commun.
00:54:12Et nous,
00:54:13nous allons voir
00:54:13juste après cette pause.
00:54:53et nous,
00:55:23on le car a rire à l'homme qui est
00:55:27n'a pas de ne bien-être
00:55:28donc au cas que ça seennen
00:55:31une moment qui me amène
00:55:33membre moment create
00:55:34s'oci on 23 rd
00:55:36novembre Sunday
00:55:38svi i sissi men
00:55:40et au gars
00:55:41ont dit qu'ils n'a
00:55:42n'a pas de
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