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Punchline - Colombes : La préfecture ferme une école coranique
Europe 1
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12/05/2025
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🗞
News
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00:00
Et on est les 18h02, nous sommes sur CNews et sur Europe 1, Louis de Ragnel est là.
00:03
Bonsoir Laurence.
00:04
Bonsoir Joseph Massé-Scaron.
00:05
Bonsoir Cotier-Lebrette, qui arrive de son émission précédente, sur Europe 1, Éric Revelle.
00:10
Bonsoir Aroub, Pierre Vermeurenne, historien, est avec nous.
00:13
Merci beaucoup, professeur d'histoire contemporaine.
00:15
Et on accueille aussi Alexandre Brugère, qui est préfet des Hauts-de-Seine.
00:18
Bonsoir M. le préfet.
00:20
Bonsoir Mme Lebrecht.
00:20
On va commencer par d'abord ce que vous venez de nous dire,
00:24
c'est que vous avez fait fermer un institut à Colombes, dans les Hauts-de-Seine.
00:31
Expliquez-nous l'institut Lyssen, un centre de formation aux langues, normalement, et au numérique,
00:36
qui est suspecté d'être un lieu d'enseignement de l'islam radical.
00:39
Expliquez-nous les indices qui vous ont conduit à fermer cet établissement.
00:43
Conformément aux orientations du ministre d'État, ministre de l'Intérieur,
00:46
nous menons une lutte sans merci contre l'islamisme.
00:49
Et depuis plusieurs mois maintenant, nous avions des doutes sérieux sur cette structure.
00:53
Nous avons réalisé un premier contrôle le 5 mars.
00:57
Ce contrôle nous a permis d'identifier des affichettes présentant des individus,
01:02
des adultes, des enfants sans visage, ce qui est souvent le signe d'une radicalisation.
01:08
Et cette visite nous a également permis de constater que cette structure,
01:11
qui accueille des enfants qui parfois ont 4 ou 5 ans,
01:15
ne présentait aucune garantie suffisante en matière de sécurité,
01:19
notamment de sécurité incendie.
01:21
Et c'est sur la base de ces éléments que j'ai pris, mercredi dernier,
01:24
un arrêté pour fermer cette structure.
01:26
C'est le seul argument que vous avez à votre disposition pour fermer une structure,
01:30
on est d'accord ?
01:31
C'est l'argument qui permet...
01:32
L'argument de la sécurité.
01:33
...immédiate de cette structure, mais ce qui n'empêche pas par ailleurs
01:36
le travail qui est réalisé.
01:38
Je veux vraiment rendre hommage au service de l'État,
01:40
dont je souligne la vigilance à la demande du ministre
01:43
sur des sujets de cette nature.
01:44
En tout cas, nous nous battons.
01:46
Et ce qui compte, je crois, je l'ai aussi démontré dans d'autres dossiers,
01:50
souvenez-vous, la demande d'extension d'une mosquée à Nanterre,
01:53
j'avais porté un projet alternatif de centre épide,
01:57
je crois qu'il est important, même si ce n'est pas facile,
01:59
de se battre sur le terrain.
02:00
En tout cas, ce qui est certain, c'est que ces conditions de sécurité,
02:03
qui étaient absolument inacceptables,
02:04
justifiaient pleinement cette fermeture immédiate.
02:06
Alexandre Brugère, vous êtes préfet des Hauts-de-Seine.
02:09
Le directeur de la structure de cet établissement
02:11
est aussi lié à la mairie de Colombe, c'est bien ça ?
02:14
Alors, j'ai effectivement, au cours des investigations,
02:17
identifié que celui qui dirige cette structure,
02:21
qu'ils appellent Abderrahman,
02:23
est en réalité le directeur de cabinet du maire de Colombe.
02:26
J'ai donc immédiatement appelé le maire de Colombe.
02:29
Qui est écologiste, Europe Écologie Lénaire ?
02:31
Oui, M. Chimovitch, auquel j'ai dit ma très grande préoccupation
02:35
quant au développement de l'islamisme dans sa ville.
02:38
Je le recevrai en préfecture mercredi.
02:41
Nous aurons une explication franche.
02:43
En tout cas, ce qui est certain,
02:45
c'est que la République n'est forte que quand elle se fait respecter.
02:48
Et je crois, pour ma part, au dialogue franc et clair avec les élus,
02:51
notamment à un an des élections municipales,
02:54
où nous allons avoir, nous le savons,
02:56
des phénomènes d'antrisme islamistes
02:58
contre lesquels nous devons lutter avec une absolue fermeté.
03:02
Goutier-Lebrette, on a là un exemple de fermeté
03:04
par le profet qui est sur notre plateau.
03:06
Et sur, évidemment, des structures qui ont des têtes d'affiches.
03:13
Enfin, je dirais, un cadre a priori légal.
03:16
Mais ce que je retiens de ce que nous dit M. le Préfet,
03:17
c'est que ce n'est pas simple.
03:18
Et que pour faire fermer une structure
03:21
où on craint que l'islamisme y soit enseigné,
03:23
il faut se servir de la réglementation sur la sécurité,
03:27
sur le risque incendie, pour la faire fermer.
03:29
Quand un autre préfet dans le Nord, cette fois-ci,
03:33
qui est devenu ensuite directeur de cabinet de Mme Vautrin,
03:37
le préfet Leclerc, avait fait perdre son contrat au lycée Averroès,
03:42
il y a eu une décision de justice pour remettre sous contrat ce lycée.
03:46
Et ensuite, Elisabeth Borne, ministre de l'Éducation nationale,
03:49
a annoncé faire appel.
03:50
Donc, c'est évidemment formidable ce que nous dit le préfet à l'instant.
03:55
C'est formidable d'avoir des hommes et des femmes qui se battent sur le terrain,
03:58
d'avoir un ministre de l'Intérieur qui dit
04:00
« il ne faut rien laisser passer ».
04:01
Mais ce qu'on retient surtout, c'est que c'est très compliqué
04:04
et qu'on s'est mis nous-mêmes des barrières
04:07
pour empêcher que tout ça soit plus simple et aille plus rapidement.
04:11
Louis Dragnel.
04:12
J'avais deux petites questions, M. le Préfet.
04:14
La première, c'est combien est-ce qu'il y a d'établissements de cette nature
04:17
dans votre département pour lesquels vous avez des doutes ?
04:19
Parce que vous dites qu'au début, ce qui a déclenché le contrôle,
04:23
eh bien, c'est des doutes.
04:24
Ça, c'était ma première question.
04:25
Et ma seconde question, qui rejoint un peu celle de Gauthier Lebrecht,
04:28
on a l'impression que la loi séparatisme,
04:30
qui devait justement permettre au préfet
04:32
de fermer plus facilement ces établissements,
04:35
eh bien, ne produit peut-être pas les effets espérés,
04:38
en tout cas tels qu'ils avaient été présentés
04:40
au moment du vote de la loi.
04:41
Je vais répondre très clairement à vos deux questions.
04:43
D'abord, sur le premier point,
04:44
il y a aujourd'hui identifié une soixantaine de structures de tous types,
04:48
que cela soit à des associations,
04:49
notamment des associations sportives,
04:51
mais également des commerces,
04:53
sur lesquels nous avons des doutes sérieux
04:55
en matière de radicalisation.
04:56
Je crois pour ma part que ce chiffre est très clairement sous-estimé.
04:59
Et j'ai donc choisi d'écrire à l'ensemble des maires du département
05:02
pour leur demander de se mobiliser
05:04
pour m'aider à identifier les structures en question.
05:07
Et puis, le deuxième point,
05:08
et j'entends ce que me dit M. Lebray,
05:10
c'est très intéressant,
05:11
mais il ne vous a pas échappé que nous vivons dans un État de droit
05:15
et une société libérale.
05:17
Nous avons fait un choix,
05:19
qui est un choix de société,
05:21
qui est de vivre dans une démocratie,
05:22
avec des règles, un Parlement,
05:24
des institutions.
05:25
Évidemment, ça rend tout beaucoup plus compliqué.
05:28
Et que je préférerais,
05:29
d'un coup de baguette magique,
05:31
sur la base, éventuellement, d'un soupçon,
05:33
pouvoir dire, c'est très simple,
05:35
on va fermer, puis on va attendre de voir ensuite.
05:37
Mais ça ne marche pas comme ça aujourd'hui.
05:38
Et je crois aussi,
05:39
je veux positiver cet élément-là.
05:41
Ça donne du coup à nos victoires,
05:43
et elles sont nombreuses, elles sont là,
05:45
une dimension relativement inattaquable.
05:48
Ça leur donne une force.
05:49
Et sur une matière,
05:50
qui est une matière aussi sensible que celle-ci,
05:53
nous parlons de la question de la radicalisation religieuse.
05:56
D'enfants.
05:57
Et là, d'enfants.
05:57
Et d'enfants.
05:58
Avoir la possibilité qu'il y ait des recours,
06:00
qu'il y ait des tribunaux.
06:01
Vous savez, j'ai été pendant deux ans
06:02
directeur de cabinet du précédent ministre
06:04
de l'Intérieur et des Outre-mergères.
06:06
Qui a fait baisser le nombre de recours
06:08
dans les catégories migratoires.
06:09
De 2020 à 2024,
06:11
nous avons expulsé cinq imams.
06:12
Parmi les imams qui ont été expulsés,
06:14
c'est une grande fierté l'imam Iqouissène.
06:16
Il y en a eu des recours.
06:17
Il y en a eu des débats.
06:18
Mais au final,
06:19
l'imam Iqouissène a été expulsé.
06:20
Alors certes, ça a pris du temps.
06:22
Certes, ça a été difficile.
06:23
Mais l'énergie que nous avons mis
06:25
et notre engagement a permis une décision.
06:27
Il a fallu de l'énergie
06:28
pour expulser l'imam Iqouissène.
06:30
C'est un bon exemple,
06:31
qui est parti en Belgique,
06:32
qu'il a fallu retrouver.
06:33
Mais justement,
06:34
puisque vous parlez de Gérald Darmanin,
06:35
mais on peut aussi parler de Bruno Rotaillot,
06:37
on leur met des bâtons dans les roues
06:39
quand Gérald Darmanin n'arrive pas
06:40
à dissoudre à la fin
06:42
les soulèvements de la terre.
06:43
Quand Bruno Rotaillot vient sur ce plateau
06:45
chez Pascal Praud dire
06:46
je fais tout ce que je peux aujourd'hui
06:47
en tant que ministre de l'Intérieur.
06:49
Mais demain,
06:50
si on arrive à l'Elysée,
06:51
il faudra changer la constitution
06:53
sur les questions migratoires
06:54
pour faire sauter tel ou tel verrou.
06:56
Donc, c'est bien qu'il y a des verrous
06:58
à faire sauter,
06:59
qu'on peut faire sauter
06:59
dans le cadre de l'État de droit
07:01
et de l'État du droit,
07:03
mais qu'il y a sans doute
07:04
des réformes à faire
07:05
pour que ça aille plus vite.
07:06
Et tant Gérald Darmanin
07:06
que vous avez servi
07:07
que Bruno Rotaillot
07:08
aujourd'hui place Beauvau
07:09
peuvent se plaindre
07:10
de tous ces verrous
07:11
qui leur sont mis
07:13
et de tous ces bâtons
07:14
dans les roues
07:14
qui leur sont mis.
07:15
Mon devoir de réserve
07:16
m'oblige à me tourner
07:17
vers le législateur
07:17
pour que la loi évolue.
07:19
Mais la réalité m'oblige aussi
07:20
à vous dire que
07:21
dans ce cadre-là,
07:22
c'est un cadre
07:23
dont on connaît les contraintes,
07:24
un cadre de juridiction,
07:25
des juridictions administratives supérieures
07:26
sur lesquelles il y a des recours,
07:28
il y a quand même des victoires.
07:29
Et ce message,
07:30
je veux aussi le faire passer
07:31
à toutes celles et ceux
07:32
qui au fond désespèrent.
07:34
Se disent,
07:34
il y a une augmentation
07:35
de l'islamisme
07:36
et c'est une fatalité.
07:38
Je ne crois pas.
07:38
Et je crois que
07:39
vous avez évoqué
07:40
la loi séparatisme.
07:41
Elle contient des avancées
07:42
exceptionnelles
07:43
qu'il faut évidemment
07:44
mettre en œuvre.
07:45
C'est le sens du travail
07:46
qui est le mien aujourd'hui.
07:48
Évidemment,
07:48
il y a des difficultés
07:49
mais encore une fois,
07:50
je crois qu'on se bat
07:50
et on démontre
07:51
avec des décisions comme celle-ci
07:52
l'efficacité sur le terrain.
07:55
Vous savez,
07:56
c'est vrai que ce serait plus simple
07:57
d'avoir dans la loi
07:59
l'inscription
08:00
de je ne sais quelle mention
08:01
expliquant ce qu'est l'islamisme
08:03
et disant
08:03
toute forme d'islamisme
08:04
est interdit.
08:05
Mais même s'il y avait
08:05
cette mention dans la loi,
08:07
ça ne changerait absolument rien
08:08
sur le fait que
08:09
toute forme d'État de droit
08:10
de société libérale
08:12
dans laquelle nous vivons
08:12
impose forcément
08:14
d'avoir sur le terrain
08:15
des gens engagés
08:16
qui se battent
08:17
pour mettre en œuvre
08:18
un certain nombre.
08:18
Dernière question,
08:19
Récrevelle, rapidement.
08:19
Je vais vous poser
08:20
le problème à l'envers,
08:21
M. le Préfet.
08:22
Le respect des règles de droit,
08:25
de l'État de droit.
08:26
Vous avez été obligé
08:27
de biaiser un peu
08:28
et de prendre des règles
08:28
sur un non-respect
08:31
de sécurité
08:31
pour pouvoir fermer
08:32
ce centre à Colombes.
08:34
Est-ce qu'à contrario,
08:36
vous avez été empêché
08:37
de fermer un centre
08:39
qui enseignerait l'islamisme
08:41
dans les Hauts-de-Seine
08:42
récemment
08:43
parce que précisément
08:44
vous n'avez pas trouvé
08:45
le bon biais de droit
08:46
qui vous permettent
08:47
de fermer la structure
08:48
et si oui,
08:50
combien de centres
08:51
de ce type
08:52
exercent
08:53
dans votre département
08:54
et que vous n'arrivez pas
08:55
à fermer ?
08:56
Pour vous répondre
08:56
très clairement,
08:57
je n'ai pas biaisé.
08:58
J'ai détecté
08:59
deux grandes anomalies.
09:00
Je me permets de préciser
09:03
deux grandes anomalies.
09:03
D'abord,
09:04
un sujet de sécurité.
09:05
Ce qui compte au fond
09:06
avant de savoir
09:07
ce qu'on enseigne,
09:07
c'est de savoir
09:08
si les gamins
09:08
auxquels on enseigne
09:09
sont en sécurité.
09:10
Ce n'était pas le cas,
09:11
c'est scandaleux.
09:12
Nous avons procédé
09:13
à la fermeture.
09:14
Ensuite,
09:14
un deuxième sujet
09:15
qui est celui
09:15
effectivement de la radicalisation
09:17
qui est un sujet
09:18
qui, pour la puissance publique,
09:19
est beaucoup plus dur
09:20
à documenter.
09:21
Jusqu'encore une fois,
09:22
on rentre dans ces cas-là
09:23
dans une logique
09:24
de police des consciences.
09:25
Et c'est pour ça
09:26
que notre travail,
09:27
je crois,
09:28
par rapport au projet politique
09:29
des frères musulmans,
09:31
par rapport au projet politique
09:32
islamiste,
09:33
c'est face à une situation
09:34
de mobiliser tous les lois.
09:36
La réponse, c'est non.
09:37
Aujourd'hui,
09:37
je n'ai pas été empêché
09:38
sur la base d'éléments factuels
09:40
dont je dispose
09:41
de procéder
09:42
à des actions administratives
09:43
qui permettent,
09:45
au fond,
09:45
de mettre les islamistes
09:47
hors d'état de nuire
09:47
parce que c'est cela
09:48
la feuille de route
09:49
qui nous est fixée
09:50
par le ministre d'État,
09:51
ministre de l'Intérieur.
09:52
Merci beaucoup,
09:52
Alexandre Brugère,
09:53
préfet des Hauts-de-Seine,
09:54
d'être venu dans
09:55
Pulsein,
09:56
pour expliquer
09:57
cette décision
09:58
de fermeture
09:59
de ce lieu
10:00
à Colombes.
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