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SportTranscription
00:00C'est sa façon de travailler, genre, il brille avec nous, et il a beaucoup d'énergie.
00:16J'ai joué ici, c'est une famille pour moi, pour tous ici.
00:25Baseball est universel, donc, je veux dire, à quel langue tu parles,
00:30tu peux jouer le jeu, tu peux être un joueur de major league.
00:35Je j'ai juste apprécié d'avoir des gens, d'être avec eux, et de l'enseignement.
00:44Je pense que si tu n'as pas de plaisir de faire ce que tu es, tu ne devrais pas faire ce que tu es.
00:48Tu sais, des gens jouent le jeu pour faire du monde, des gens jouent le jeu pour être reconnaissé,
00:54des gens jouent le jeu pour avoir fun.
00:57Et je pense que j'ai l'impression que j'ai l'air et que j'ai l'impression que tout le reste tient ensemble.
01:07Si tu vois tous les clips de moi qui jouent le jeu, tu vas toujours voir un grand sourire.
01:12C'est sûr, il va y avoir des moments où tout le monde ne va pas aller,
01:15mais en baseball, c'est pas parfait, personne n'est pas parfait.
01:17Je veux dire, c'est vraiment le seul jeu que tu as fait, et tu vas toujours être un superstar.
01:21Dans la deuxième tranche de la décennie des années 70,
01:36on voyait vraiment le talent qui poussait dans les filiales des expos
01:39et que la physionomie de l'équipe allait changer.
01:42Il manquait certains éléments qui allaient éventuellement faire des expos dans les années 80.
01:49L'une des meilleures, sinon la meilleure équipe de la Ligue nationale.
01:54Autant j'ai entendu parler de Dawson à l'époque, qui est en train de brûler les ligues mineures.
02:00Il passait d'un niveau à l'autre, du A au 2A au 3A.
02:03Écoute, il brûlait la ligue.
02:04C'était un coup de circuit, on surveillait ses coups de circuit.
02:07Autant dans le cas de Rains, on entendait parler comme d'un espoir, mais pas plus qu'il faut.
02:13On savait qu'il était rapide, mais c'était à peu près tout.
02:19Lorsqu'il est arrivé, on a voulu avoir...
02:21... possiblement, mais encore là, ses carences défensives lui nuisaient.
02:28On n'avait pas décidé à ce moment-là de l'envoyer aux gens-gauches.
02:31Lorsqu'on l'utilisait, on le faisait jour au deuxième but.
02:34Lui, il avait commis quelques erreurs.
02:36Sans être dans le secret des yeux, je pense qu'à ce moment-là,
02:39dans l'esprit des dirigeants de l'équipe, il a dit qu'il n'est pas à sa place au deuxième but.
02:44Avant que la décision soit prise en permanence de muter Rains du deuxième but au champ extérieur,
02:51il ne faut pas oublier qu'il y avait un nommé Ron LaFourge qui était là,
02:54qu'il y avait un nommé Rodney Scott aussi qui évoluait avec l'équipe.
02:56Et ces deux-là avaient une réputation de voleur de but incroyable.
03:04Alors cela, bonhomme, c'est Tim Rains qui arrive là au champ gauche.
03:09Les expos ont laissé aller Ron LaFourge après un an parce qu'il y en avait assez.
03:16LaFourge est un beau petit modèle, tu sais.
03:17Un an, tu n'as assez.
03:19Puis il est parti, puis là, il a dit tiens,
03:21le l'ouverture pour Tim Rains, on va le convertir en vol.
03:24Et pour les expos...
03:26Et pour les expos...
03:30Quand j'ai rappelé des expos, je ne savais pas beaucoup d'expos.
03:35Je ne savais pas beaucoup d'expos.
03:37Je ne savais pas beaucoup d'experts sur les joueurs.
03:38Je ne savais même pas qu'ils existaient à l'époque.
03:43Je ne savais pas que Montréal, ils parlent français.
03:46Et donc, je suis arrivé là, et puis une fois que je suis arrivé là,
03:51je me suis en trouble.
03:53Je me suis en train de trouver dans le restaurant,
03:56dans le menu, parce que les menus étaient français et anglais.
04:01Le petit printemps était anglais,
04:03donc je n'étais pas d'habitude de voir ça.
04:06Mais en baseball, il y a des milliers de langues.
04:09Et tu dois toujours avoir de la balle,
04:11et tu dois ne pas se toucher dans le monde extérieur.
04:15En tant que de risques, tu sais, des langues,
04:18ou de qui c'est ce gars.
04:261981, ça a été vraiment là où il a pris son envol avec les expos.
04:30Première saison complète.
04:32Là, on l'a découvert.
04:35Méchant courant d'air.
04:38J'en ai vu des gars rapides,
04:40mais lui, là, c'était l'enfer.
04:42Je me souviens, on nous avait tous dit qu'il était rapide.
04:45Tu sais, on me souviens, mais ça, il est rapide, puis rapide, là.
04:47Un coup de vent.
04:50On parle beaucoup de lire le geste du lanceur,
04:55mais il y a un instinct dans tout ça.
04:56Il y a un instinct de savoir quand il y aller,
04:58quel moment il y aller.
04:59Parce que les bons voleurs de but,
05:01c'est lorsqu'il y a une situation de vol de but,
05:03et 50 000...
05:05qu'il faut qu'il y ait un vol de but.
05:08Ça, c'est exceptionnel.
05:09C'est exceptionnel.
05:11Dans le cas de Reins, il observait,
05:13et c'est la clé.
05:16Voici le geste qu'il pose
05:18et qui me permet, moi, d'avoir...
05:20Parce que c'est pas tout d'être rapide.
05:22Tu peux être très, très rapide,
05:23mais être un très mauvais voleur de but
05:25ou un mauvais coureur.
05:26Écoute, plus de 800 buts volés,
05:28un taux de réussite qui est au-delà de n'importe qui.
05:31Et Reins l'avait déjà dit, d'ailleurs.
05:33Il disait, écoute, moi, si on m'avait dit,
05:34je vais voler des buts pour voler des buts,
05:35j'en aurais volé pas mal de plus.
05:37Et Reins avait une fierté de, non,
05:39moi, je vole des buts pour aider mon équipe,
05:41pour aider un Dawson qui va frapper derrière moi
05:43ou un Carter à produire un point pour mon équipe.
05:46C'est comme ça que Reins pensait.
05:53J'ai quatre frères, deux soeurs,
05:56donc les enfants vont sortir et ils vont faire ça.
05:59Mon père va venir de la maison
06:00après travailler 8, 9, 10 heures,
06:03et si il s'est appuyé à ce sujet,
06:07nous devions aller,
06:08nous devions aller dans la rue
06:09et nous devions aller dans notre maison
06:11et nous devions aller et nous essayons
06:13de essayer de battre lui.
06:15Nous nous sommes tous regardés
06:17parce que nous ne pouvons jamais battre lui.
06:18Il était assez rapide.
06:20Je pense que je suis environ 13 ans
06:22et il était encore défi.
06:24Et on a ce jour,
06:26j'étais déterminé à finalement battre lui.
06:30Et il disait,
06:30il était à l'espérance,
06:33il était à l'espérance,
06:34il était à l'espérance,
06:35il devait amour et vous sommes
06:35à l'espérance.
06:36Il vaut nous un à l'espérance,
06:37il était à l'espérance.
06:38et je dis OK. I said I know y'all
06:41can't run me and neither one of y'all can beat me.
06:44He said, I'm the fastest thing him in Simonao County.
06:47We got out there telling you that
06:50Tim, he got out the gate
06:53and I tried to walk him down and try and try
06:56but I just couldn't do it and he
06:58outrun me that time and I told him
07:01that evening I said, this is it boy.
07:04You all done beat me. I'm not going to race you anymore.
07:08Pour moi, même si j'étais à l'âge de 13, c'était comme un joueur de la World Series.
07:14Parce que, vous savez, vous devriez être là.
07:18Mon mère était le meilleur.
07:20Elle s'occupe de nous depuis que j'ai commencé à jouer à 5 ans.
07:24Je ne pense pas qu'elle ait jamais eu un jeu.
07:26Elle connaît plus de mon jeu que je connaissais moi-même.
07:29Parce que j'ai regardé la TV, j'ai regardé la TV, et j'ai dit,
07:33«J'ai touché la balle où il est pitche, ne t'inquiète pas où il est, j'ai touché.
07:38J'ai touché la balle.
08:06J'ai touché la balle, j'ai touché la balle.
08:08Rains est un bonhomme jovial.
08:13C'est un gars qui rayonnait par sa joie de vivre.
08:16D'ailleurs, j'ai souvent comparé Tim Rains à Gary Carter
08:20parce que les deux avaient un sourire omniprésent dans le visage
08:24et eux, le fait d'endosser l'uniforme, c'était comme des enfants.
08:29Carter, on l'avait souvent mis le kid.
08:31Je lui avais demandé pourquoi le kid.
08:33Et Carter m'avait dit, bien, le baseball, c'est un jeu
08:35et les enfants doivent s'amuser, donc je suis un enfant, je m'amuse.
08:38Et on l'avait hérité du sobriquet kid.
08:41Et dans le cas de Rains, bien, lui, il a hérité du nom Rock, surnom Rock,
08:45parce qu'il était solide comme le Rock, tu sais, il était bâti, il était trapu.
08:49Et c'est un gars qui allait prouver au fil des années
08:53que c'est pas un gars qui est longiline,
08:58qui va durer 23 ans dans le baseball majeur,
09:01surtout pas en volant des buts comme il l'a fait.
09:02Il brought the excitement, you know.
09:06Il easait la tension dans le clubhouse
09:08parce que vous n'avez jamais vu lui angri.
09:10Vous n'avez jamais vu lui être froid sur quelque chose.
09:14Et vous pouvez être en train d'avoir un jour
09:17par vos standards et falle dans votre petit chale.
09:23Et il va vous faire de ça.
09:25Tout était funny pour lui, comique.
09:29Il ne vous permettrait pas de rentrer, il ne vous permettrait pas de doux moments.
09:34Il était comme la vie de la clubhouse.
09:36Rains, beau temps, mauvais temps, quand il était devant son casier, tu pouvais y aller.
09:41Tu sais, je ne l'ai jamais vu, moi, honnêtement, refuser une entrevue
09:45ou envoyer promener un journaliste, parce que ça arrivait quand même,
09:50de temps en temps, même une question liéseuse, il trouvait le temps d'y répondre.
09:53D'une gentillesse exemplaire.
09:56Tu sais, on dit souvent que Gary Carter était populaire auprès des fans,
09:59mais moins auprès des joueurs parce qu'il prenait beaucoup de place.
10:03Tim Rains était probablement moins populaire que Carter auprès des fans,
10:08mais certainement plus populaire auprès de ses coéquipiers.
10:11De voir ça à un très jeune âge, c'était imposant.
10:16Et je l'ai apporté à lui directement, parce que c'était quelqu'un que j'ai identifié avec.
10:23Et il voulait, ou je dois dire, je l'ai apporté dans mon espace personnalisme.
10:27Et nous, vous savez, nous devenions les meilleurs amis,
10:29parce qu'on a juste naturellement élevé.
10:33Mon amie, comme Anger, est comme clou.
10:36Je veux dire, il n'est pas que tu ne pouvais jamais casser la part.
10:38Il me enseignait comment jouer la part.
10:41Il me enseignait, pas en mots, mais la façon dont il se enjeitait sur le field.
10:46J'ai regardé à lui, regardé à lui, regardé à lui, regardé à lui,
10:51regardé à Andre Dawson, regardé à Gary Carter.
10:54Peut-être, arguably, les meilleurs joueurs qui ont joué à Montréal.
10:59Tu peux seulement essayer de faire les mêmes choses,
11:02être le type de joueurs qu'ils étaient.
11:04Et c'est comme ça que je me suis prouvé.
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11:41Année.
11:44Après année.
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11:58Et que c'est beau ici.
12:01C'est tellement chaleureux, le bois.
12:03Ouais.
12:03Mais couper une forêt pour faire un resto, c'est un drôle de choix.
12:07Euh, excusez.
12:08C'est vrai qu'il faut récolter des arbres,
12:10mais aujourd'hui, c'est fait de façon éco-responsable.
12:12Tout est planifié bien avant la récolte jusqu'au reboisement.
12:15Ce qui fait qu'au Québec, il n'y en a pas de déforestation.
12:17Donc, le bois, c'est un très bon choix.
12:20Ta chemise.
12:21Ça, c'est un drôle de choix.
12:22Choisir le bois, c'est opter pour une ressource durable, renouvelable et écologique.
12:29Voici le nouveau King Bacon de Burger King.
12:32Deux délicieuses galettes de bœuf grillé sur le feu,
12:34du fromage fondu et six, oui, six belles tranches de bacon épaisses.
12:37Le tout servis sur un pain aux graines de sésame.
12:39Le King Bacon.
12:40Trop de bacon?
12:41Ça se peut tout simplement pas.
12:42Seulement chez Burger King.
12:44Psst, psst, Mathieu.
12:46Ben oui, toi.
12:47Tu sais qu'il y a peut-être plus que du petit chanvre caché dans ton sofa.
12:49S'il a été fabriqué au Canada entre 1999 et 2012,
12:53tu pourrais recevoir 20 piastres.
12:55Tu sais peut-être pas, là,
12:56mais un recours collectif a permis de récolter 38 millions de dollars
12:59auprès des fabricants de mousse de pliurétane
13:01à qui on reprochait d'avoir gonflé leur prix.
13:03Pis ça, mon cher Mathieu, c'est vrai pour les canapés,
13:04les matelas, les fauteuils ou les chaises de bureaux rembourrés
13:07et les sous-tapis.
13:08Tu pourrais recevoir 20 piastres
13:09en prenant une photo de l'étiquette ou de la facture
13:11et en visitant moussespayantes.com.
13:13Pour une deuxième année consécutive,
13:31Kia s'est classé au premier rang de la qualité initiale selon J.D. Power
13:34et a reçu plus de prix que n'importe quel autre constructeur.
13:37Évidemment qualité au sommet de Kia.
13:39Passez chez votre concessionnaire
13:41faire l'essai de modèles au sommet de la qualité.
13:43Détails sur Kia.ca
13:44After the 81 season,
13:50I had a very good season.
13:52I mean, I had a rookie of the year type season.
13:55Probably my best year in baseball.
13:59Being a 20-year-old, turning 21,
14:01I just put myself in a bad situation.
14:05I mean, I think when you're young
14:06and you're in a partying city,
14:08it's very easy to get in positions
14:11that, one, you're not familiar with,
14:14but two, thinking that it's okay.
14:22It makes you like,
14:25you feel like super ready.
14:27Well, at the start,
14:29I think it was like 100 bucks,
14:30100 bucks for maybe a gram of cocaine.
14:34and it will usually last for a couple of days.
14:40But as my habit got a lot more strong,
14:44a gram would probably last one day or one night.
14:48You get to the point where
14:49you're not only spending 100 bucks a night,
14:52but you're like spending,
14:53say, 9, 10, 100 bucks a night.
14:56I remember one day, in Montreal, as a matter of fact,
15:18I had it in just a little tube where I could load it up,
15:29and I could go out to the outfield,
15:30and I would act like I was sneezing,
15:33and I put a glove over my face,
15:35and it hit it.
15:37When I first thought about putting it in my back pocket,
15:40I ended up sliding to second base,
15:43and sort of hurt my butt,
15:45because the water was in my back pocket,
15:47so what I did was,
15:48I started going here first a lot more
15:50than I usually did for that reason.
15:56I asked the question,
15:58who did you really put the puck in your ear?
16:01Well, there was Andre Dawson.
16:03I kind of sensed that, well,
16:06you know, there's something a little bit different about him.
16:09He was still this happy-go-lucky self,
16:11but he seemed at times to be maybe sluggish, lethargic,
16:17maybe not quite as much enthusiasm.
16:20No, zéro, je n'ai rien vu.
16:23Naïf, ou je voulais pas voir, je le sais pas,
16:26mais non, le même gars, enthousiaste.
16:32Écoute, des fois, peut-être toi, enthousiaste,
16:35mais moi, non.
16:37Un changement dans sa personnalité, jamais.
16:41All I tried to do to help Tim with his battle
16:46was to keep him positive.
16:48People make mistakes in their life.
16:51You get, you know, caught up with the wrong crowd.
16:53It's very easy.
16:54He was young,
16:56and I can recall a comment his mother made
17:00when he broke spring training.
17:03In 1981, she said,
17:05y'all take care of my baby.
17:06Reigns a rencontré le président John McHale.
17:11John McHale, il a dit,
17:13si tu me promets que tu vas assister à des groupes
17:16qui transigent avec les problèmes de dépendance,
17:18tu sais, comme l'AA et le CA,
17:20je vais te permettre de terminer la saison avec nous,
17:22et après la saison,
17:23on ira faire une cure de désintoxication.
17:26Il a reine d'iceptique.
17:29Oh, and now, that's one time I cried.
17:32I'm telling you to God, I'm true.
17:34We went to Orange County, California,
17:38up there where he was in rehab,
17:40and we went to see him every night,
17:44and sometime during the day we visit him.
17:46It just broke my heart.
17:48It really did.
17:49And they would have these sessions with the parents,
17:53and we'd talk,
17:55and he was saying, you know,
17:57he was sorry,
17:58and, you know, what he did,
18:01and we just had to pray for him
18:03and hoping that he got well,
18:05and he did.
18:07Montreal was good enough to take him back,
18:10and, you know,
18:11and I was proud of that
18:13because I think that would have been worse on him
18:16if they hadn't have took him back,
18:18you know,
18:18because he loved that city,
18:20he loved the team,
18:21and, you know,
18:22and all the people out there in Montreal.
18:24I'd raised six children with my wife,
18:26and he was such a fine young man.
18:30We weren't going to let this thing go by
18:32and say years after that,
18:35I wish we had done something.
18:37I took him by the hand.
18:38I just made him do it,
18:40and I must say that Tim was very cooperative.
18:42he wanted to be saved.
18:44I think he's shown the world
18:45that you can fall and come back
18:48and be a great player.
18:49Hey, how are you, man?
18:51You have a good time here?
18:53God bless you.
18:54Les Expos, c'est une des organisations
18:56qui avait un suivi, là,
18:58écoute, là, impeccable envers ses joueurs,
19:00puis beaucoup de soutien de la direction,
19:03une direction indulgente envers les joueurs fautifs.
19:06On cherche à les aider,
19:07et non à les punir.
19:08I kind of wish I had someone with me
19:11that could have told me that,
19:12but I didn't.
19:14I got caught up into a situation
19:16that I wasn't familiar with,
19:17and I got into it,
19:19and I think it's one of those situations
19:21where, you know,
19:23cocaine is probably one of the most addicting drugs
19:25that you can even think about taking.
19:29It didn't take that long for me
19:31to kind of realize that, you know,
19:33I'm about to lose everything
19:35that I've worked so hard for.
19:37And once I realized that,
19:40I wasn't going to let that happen.
19:44Looking back at that,
19:46seeing the big picture,
19:48it made me a better person.
19:50It made me a better father.
19:51It made me a better husband.
19:53It made me a better player.
19:55It made me become a man
19:58a lot faster.
20:08Mon père chante souvent dans la douche.
20:11C'est ce qu'il y a pour aller se laver.
20:13Il chante toujours dans la maison.
20:15C'est vraiment drôle.
20:17Mon père chante des fois,
20:18mais c'est gênant quand mes amis sont là,
20:20parce qu'ils chante,
20:21mais bizarre.
20:22Mes parents sont drôles,
20:26mais ça dépend quelle heure.
20:27Mais quand il est rendu comme 8 heures,
20:30les jokes, ça passe plus,
20:31c'est les dodo.
20:32Ah oui.
20:34Je m'appelle Lachy,
20:35que mon père travaille
20:35pour le groupe Lozon.
20:38Psst, Mathieu.
20:39Ah oui, toi.
20:41Tu sais qu'il y a peut-être plus
20:41que du petit chan
20:42caché dans ton sofa.
20:44S'il a été fabriqué au Canada
20:45entre 1999 et 2012,
20:47tu pourrais recevoir 20 piastres.
20:49Tu sais peut-être pas, là,
20:50mais un recours collectif
20:50a permis de récolter
20:5138 millions de dollars
20:52auprès des fabricants
20:53de mousse de polyuréthane
20:54à qui on reprochait
20:55d'avoir gonflé leur prix.
20:56Puis ça, mon cher Mathieu,
20:57c'est vrai pour les canapés,
20:58les matelas,
20:59les fauteuils
20:59ou les chaises de bureau rembourrés
21:00et les sous-tapis.
21:01Tu pourrais recevoir 20 piastres
21:03en prenant une photo
21:04de l'étiquette ou de la facture
21:05et en visitant
21:05moussespayants.com
21:07Notre rhum.
21:12Nos bars.
21:15Notre façon de dire
21:16bienvenue.
21:19Chez Appleton Estate,
21:20nous sommes des passionnés de rhum.
21:22Voici le nouveau
21:23King Bacon
21:24de Burger King.
21:25Deux délicieuses galettes
21:26de bœuf grillé
21:27sur le feu,
21:27du fromage fondu
21:28et six, oui,
21:29six belles tranches
21:30de bacon épaises.
21:31Le tout servis
21:31sur un pain aux graines
21:32de sésame.
21:33Le King Bacon.
21:34Trop de bacon?
21:35Ça se pue tout simplement pas.
21:36Seulement chez Burger King.
21:38Lorsque Brick a ouvert
21:39son premier magasin
21:40en 1971,
21:41nous ignorions
21:42l'importance
21:42que le Québec
21:43aurait pour nous
21:4445 ans plus tard.
21:45Alors,
21:45venez nous visiter
21:46et découvrez
21:47pourquoi
21:48plus d'économie
21:48pour les Québécois
21:49n'est pas qu'un slogan.
21:50C'est notre raison d'être.
21:53Hé, c'est fou
21:54le bois qu'on utilise
21:55pour construire une maison, hein?
21:56Ouais,
21:56on a dû en couper des arbres, hein?
21:58Euh, excusez.
22:00C'est vrai que pour construire
22:01des maisons,
22:01ça prend des arbres.
22:02Mais saviez-vous
22:03que le bois qu'on récolte
22:03emprisonne des tonnes
22:04de gaz à effet de serre
22:05et ça, c'est bon
22:06pour l'environnement.
22:07Puis, les arbres
22:07qui repoussent
22:08en magasinant
22:08leur tour le carbone
22:09et le cycle recommence.
22:11Ben oui,
22:11les arbres,
22:12ça repousse.
22:13C'est pas comme
22:14des cheveux, ça, mon chéri.
22:18Choisir le bois,
22:19s'est contribué
22:19à la loto-changement climatique.
22:21Le bois, s'est contribué
22:22à la loto-changement climatique.
22:23Sous-titrage Société Radio-Canada
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22:26Sous-titrage Société Radio-Canada
22:29Sous-titrage Société Radio-Canada
22:59de la communauté.
23:00Il y a tout.
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23:10INVolte, il y a tout.
23:2012 £2.
23:22Il est très laid-back, il était toujours un jeune, jeune-hearted personne.
23:35Et tous mes amis m'ont aimé être autour de lui, juste pour le fait que, vous savez, il était très jeune.
23:43Le Cité de Montréal, le mémoire de moi, je dirais que c'est le mascot.
23:48Je pensais qu'il était la meilleure personne. J'ai essayé de trouver où il était, j'ai essayé de trouver où il était.
23:55Il était à four-wheelers tout le temps, ou il a pop-out dans les stands, il a pop-out dans les doug-out.
24:02Quand j'ai finalement eu m'ai rencontré, j'ai j'ai pensé que c'était tellement cool.
24:08J'ai aimé être dans l'Olympique Stadium parce que c'était tellement grand et c'était un grand playground pour moi.
24:16Je me suis allé en route dans la club et différents joueurs me débrouillent dans la bâche de la pêche.
24:21Et me suis allé en route et me débrouiller, et je me suis allé en route.
24:25Et je me suis allé en route, en ma uniforme, jouant dans les jeux de l'enfant avec mon petit frère et tous les autres enfants.
24:33Je veux dire, les mémoires que j'ai de Montréal sont les plus grands.
24:37Le championnat des frappeurs, ça a été un moment fort dans la carrière de Reims et dans l'histoire des Expos.
24:53C'était le premier joueur produit par les Expos à gagner un championnat des frappeurs, qui est un exploit quand même remarquable.
25:02Surtout quand tu bats ton égouine.
25:05Parce que ton égouine, lui, il avait un abonnement à vie au championnat des frappeurs.
25:09Puis battre ton égouine, je pense qu'il en a rapporté 8.
25:12Puis il y a une couple de fois, il a fini 2 ou 3e.
25:14C'était comme battre Wayne Greski pour le championnat des compteurs dans l'île nationale.
25:18C'est à peu près ça.
25:19La saison 1986, ça avait été une des meilleures de la carrière de Tim Reims.
25:25Il avait volé des buts à profusion. Il avait produit des points.
25:28Et là, disons qu'il y avait des problèmes qui pointaient, parce que...
25:32...avec l'île de... génial en dis-le-mets, de se liguer contre les joueurs...
25:40...en ne leur offrant pas de contrat.
25:45Consensus.
25:47Bon, c'est assez. La flambée des salaires, il faut arrêter ça.
25:53Tim Reims a sûrement réalisé que ses jours étaient peut-être comptés avec les expos de Montréal,
26:00parce qu'il arrivait à un moment de sa carrière où il allait réclamer beaucoup d'argent.
26:05Moi, je n'en revenais pas.
26:07Tim Reims, qui est au sommet de sa carrière, n'a pas d'offre.
26:11Là, on disait...
26:15...alors qu'on savait très bien que 80% des équipes voulaient un Tim Reims.
26:21Tout le monde voulait un premier frappeur de ce calibre-là.
26:23C'était un des meilleurs dans la Ligue nationale, dans le baseball, tout court.
26:27Finalement, à contre-un-cœur, il a accepté l'offre des expos, comme d'autres joueurs autonomes qui sont tournés avec leurs anciens employeurs.
26:36Et puis, je me suis toujours posé la question dans un contexte normal.
26:42Est-ce que Tim Reims est venu à Montréal?
26:44Moi, je ne suis pas convaincu de ça.
27:06Il n'était pas difficile de laisser Tim Reims comme une équipe.
27:12Comme un ami, c'est ce que je savais que je n'allais pas.
27:16Tu sais, tu es très habitué à ce rire, à ce sourire.
27:20Mais tu sais quoi ?
27:21J'étais older et j'étais wiser.
27:24Et je savais que...
27:26Tu sais, ton téléphone est venu.
27:30La seule raison que j'ai choisi d'aller Free Agence
27:33c'est parce que j'ai juste envie de voir ce que j'ai payé.
27:37Et ce que j'ai payé, j'ai voulu les expos pour les matchs.
27:41Donc, ce n'était pas de sortir ou d'aller à l'hospital.
27:45J'ai voulu négocier avec les expos avec quelqu'un qui m'a offert.
27:49Et c'était mon objectif principal.
27:52Mais, malheureusement, les choses n'ont pas fonctionné.
27:57Alors, la bonne nouvelle, c'est que Reims était de retour.
27:59Et Reims était l'arme de cette équipe-là.
28:01Et là, il arrive, pas de camp d'entraînement.
28:03C'est entraîné chez eux, en Floride, à son école secondaire.
28:06Puis là, nous autres, on a dit, ben voyons donc, ça n'a pas de maudit bon sens.
28:09Le gars, il a pas joué.
28:11Il a pas joué une partie en concours. Zéro.
28:14On a dit, voyons, c'est ridicule.
28:16On a dit, les gars, c'est vrai.
28:17On avait pas peur qu'ils se plaisent, pis ça, pis ça.
28:19Tu sais, veux, veux pas.
28:20C'est le baseball de majeur, tu sais pas.
28:22C'est la ligue de garage du voisin, là.
28:24C'est tant de baseball de majeur.
28:26Ben, tabarouette, il a connu le match j'ai servi.
28:29Maintenant, of course, le retourne de Tim Rain.
28:32Et est-ce prêt ?
28:33Physiquement, j'étais prêt.
28:35Physiquement, j'étais prêt.
28:36Je ne suis pas sûr si j'étais prêt.
28:37Mais je me souviens, stepping up to the plate,
28:40ma première étape à l'arrière,
28:41against David Cohn.
28:43Threw me au fastball.
28:44J'ai coupé à la right-center-field wall.
28:47Et je pense que après j'ai coupé,
28:49j'ai coupé à la triple,
28:51c'est ouvert le floodgate.
28:53There goes Rain.
28:55My nervousness went away.
28:57I felt like I was right back to where
28:59I was supposed to be.
29:01Regardless of what had happened,
29:03I was ready to play the game again.
29:05Il va boucler ce match-là
29:07avec un grand chelaine en prolongation
29:09qui donne la victoire aux Expos.
29:10D'ailleurs, il avait dit après le match,
29:12c'est mon meilleur match depuis que je suis clean.
29:15Ça résumait bien son état d'esprit.
29:19Ça a été une performance inoubliable,
29:21une des grandes performances individuelles,
29:23en tout cas, dans toute l'histoire des Expos.
29:25What a way to break in!
29:28Moi, ça m'avait donné le goût
29:29de rembarquer dans tout ça
29:31puis de suivre Tim Raines.
29:32Et souvent, on aime une équipe en particulier,
29:34mais souvent, c'est un joueur
29:35qui me fait regarder, suivre de près une équipe.
29:39Tim Raines était celui-là.
29:40C'était celui-là.
29:48Vive la volonté de faire
29:50et le désir de travailler dur.
29:52De pousser plus fort.
29:54Plus loin.
29:56D'en prendre toujours plus.
29:59Et longue vie au MI,
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30:28la bravoure
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30:31des Canadiens
30:33qui ont combattu ensemble
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31:39amenez-en avec le F-150 les plus compétents à ce jour.
31:57Lorsque Tim Raines a quitté pour les White Sox de Chicago,
32:00son absence serait un grand vide chez les Expo.
32:03C'était un peu la fin d'une époque.
32:06Quand je me suis allé à Montréal,
32:08je me sentais que c'était l'heure.
32:10C'était l'heure de partir.
32:12C'était l'heure de partir.
32:13C'était l'heure de partir.
32:14C'était l'heure de partir les fans.
32:15C'était l'heure de partir.
32:16C'était l'heure de partir parce que j'étais en train de faire.
32:21C'était l'heure de partir.
32:22C'était l'heure de partir.
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32:30C'était l'heure de partir de partir.
32:31C'était l'heure de partir de partir.
32:32C'était l'heure de partir d'une finale.
32:34C'était l'heure où j'avais besoin d'être succès.
32:35À partir d'une finale ou d'une série ou de la World Series.
32:39C'était l'heure de partir.
32:41Il n'a pas eu l'impact chez les White Sox qu'on pensait qu'ils n'étaient pas à avoir. Vraiment pas.
32:59C'était à l'époque où les comparaisons que le Clint Anderson était très fort.
33:03Nous sommes dans la même division, nous jouons dans la même position.
33:07Je pense que c'est un grand rival, je pense.
33:11Je vais dire une affaire, à ce moment-là, Anderson est posé 1 000 en avant.
33:15C'était un gars, dès qu'il embarquait ses buts, lui-là, c'était le bras-de-bas de combat.
33:19C'était vraiment un joueur dominant. Par contre, Reigns est un meilleur joueur d'équipe que Ricky Anderson.
33:24Et pas mal moins arrogant.
33:27Anderson, c'était pas posant, ça-là.
33:30On dit qu'un quart-deux prenait de la place, Ricky Anderson en prenait deux fois plus.
33:34Il a gagné!
33:36Il a gagné!
33:38Il a gagné!
33:39Tu sais, quand il a gagné le fameux record de Bivoilé, là, puis...
33:42Il a pogné le coucheur, puis il a levé au bout de bras pour dire, I'm the greatest, là.
33:46Tim Raines n'aurait jamais fait ça.
33:48Jamais fait ça.
33:49Tim Raines...
33:50Il a été... Il s'est fait bien de...
33:52Il a vraiment...
33:54Il a...
33:55Il a...
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34:01Il a été le même métal West tiré, et ça il aдыevälltTA Fjoin.
34:04Il a dû beaucoup être plus déroulé, t'écouter aucool.
34:05Et dans deux fois, c'est en dalej.
34:07C'est le même métal de sitzt extrêmement inquiétant.
34:09Sous-titrage IR, %2, %2, %1,0,3,0,5,1,%2,%2,4,0,5,4,0.
34:12Montréal était plus bas, Chicago était en milieu.
34:18Mais c'est le marché du marché du baseball, parce que de la histoire.
34:25C'est tout ce qu'ils pensent, les champions de la France.
34:28La présence d'un gars comme Reigns dans cette équipe-là avait de l'importance.
34:34Parce que c'était un gars qui avait du vécu, c'était un gars qui avait passé à travers plusieurs difficultés,
34:40et c'était un gars qui avait gagné le championnat des frappeurs.
34:47Mais Reigns, à l'époque, était devenu un joueur de soutien, purement et simplement.
35:10Je suis le même joueur, mais je peux encore jouer, et je peux encore aider une équipe à gagner des matchs de baseball.
35:23À ce moment-là, j'ai réalisé que c'était probablement la façon dont nous allons passer pour le reste de ma carrière.
35:29Reigns était conscient de son rôle avec les Yankees, et ils l'ont gardé trois ans.
35:35Donc, tu sais, trois ans, puis un joueur en fin de carrière, il fallait que quelque part, il rende des services importants à l'équipe.
35:40Une autre chance de l'autre side.
35:45Pays-Race, les Yankees sont champions de baseball.
35:52Winning the World Series in 1996, c'était quelque chose que j'ai pensé sur, à l'époque, 17 ans.
35:58J'ai parti de Montréal, je suis allé à Chicago.
36:01Toutes ne se passaient pas comme je voudrais que ça se passait.
36:04Je suis allé à New York, mon premier année en New York.
36:07Et là, c'était.
36:08Le joye qui m'a pris mon cœur, j'ai donc, j'ai eu un peu pris un moment.
36:19Et c'était difficile de même décrire ce que ça s'est sent.
36:22Hey, je suis allé à New York.
36:24Let's talk to this, talk to this, Rob.
36:27On a la fin de voir.
36:29Il a vraiment, il a eu un moment et il a eu un moment.
36:33C'était quelque chose qu'il a toujours voului d'achieve, et il a enfin fait ça.
36:37et il s'envole que j'ai accompli tout ce que j'ai voulu et que j'ai ma famille qui me soutient ici.
36:47Les gens lui disent qu'il n'aurait jamais cherché ça.
36:51Et c'était quelque chose qu'il avait sur sa liste.
36:55Win la World Series et faire ça à la Halle de Fame.
36:58C'était la seule chose qu'il voulait.
36:59Sous-titrage Société Radio-Canada
37:29Sous-titrage Société Radio-Canada
37:59Oui, toi, tu sais qu'il y a peut-être plus que du petit change caché dans ton sofa.
38:04S'il a été fabriqué au Canada entre 1999 et 2012, tu pourrais recevoir 20 piastres.
38:09Tu sais peut-être pas, là, mais un recours collectif a permis de récolter 38 millions de dollars
38:13auprès des fabricants de mousse de pliurétane à qui on reprochait d'avoir gonflé leur prix.
38:17Pis ça, mon cher Mathieu, c'est vrai pour les canapés, les matelas, les fauteuils ou les chaises de bureau rembourrés et les sous-tapis.
38:22Tu pourrais recevoir 20 piastres en prenant une photo de l'étiquette ou de la facture et en visitant moussepayante.com.
38:29Et juste un peu plus de cornichons.
38:33Super. Vous pouvez l'emballer.
38:35Hey, tu aurais juste que tu mets ça dans un bol.
38:41Un bol?
38:42Voici le nouveau bol en folie de Harvey's.
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38:58Une fois qu'on a bâti la gamme de camions la plus vendue au pays depuis 51 ans,
39:02qu'est-ce qu'on peut faire encore pour se surpasser?
39:04Voici le nouveau F-150 2018, le plus compétent à ce jour.
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39:34Je n'ai vraiment pas envie de partir de New York.
39:41J'étais dans une position de New York pour gagner six World Championship.
39:45Et puis, ma carrière a-t-il un peu de limbo.
39:47Je me sens encore que j'avais quelques années à l'autre.
39:50Et j'étais capable de signer avec l'Oakland.
39:53Mais lorsqu'il s'est retrouvé avec les Ace Dalton,
39:58on ne s'en doutait pas, mais il y avait un mal qui minait Tim Reign.
40:03On allait apprendre vers le mois d'août, si je ne m'abuse,
40:07qu'il était atteint du lupus.
40:11Et le lupus est une maladie très grave.
40:12Et à ce moment-là, c'était la première fois que j'ai oublié de lupus.
40:22J'ai pensé que je n'avais pas lupus.
40:25J'ai dit, «Lupus?
40:26Je veux dire, ça veut dire que je ne vais pas vivre ?
40:29Je veux dire, c'est une maladie que tu ne peux pas s'éloigner ?
40:32Ou, qu'est-ce que c'est ?
40:33J'ai juste crash dans un endroit où je pense que j'étais en train.
40:42J'ai été en train de travailler.
40:45J'ai dû m'ébrouiller et j'ai dû figurener ce qu'il y avait.
40:50J'ai dit, «Mais, je peux m'ébrouiller ? »
40:53Elle dit, «He est en la hôpile.
40:55Il ne peut pas parler.
40:55Il a gagné 30 pounds de water.
40:59Je suis dit, «Mais, je n'ai besoin de la plane ticket.
41:03Je vais où il est. »
41:04Elle dit, «Allons, juste me savoir où il est. »
41:07Donc, c'était difficile.
41:09C'était vraiment difficile.
41:10Et je pensais que j'étais en train de perdre.
41:13J'ai juste ne sais ce qu'il y a pas.
41:19Je ne sais pas ce qu'il y a pas.
41:23J'ai pas peur.
41:24Je ne sais pas ce qu'il y a pas.
41:26J'ai pas peur de jouer.
41:27Et je ne sais pas ce qu'il y a pas.
41:30Je me souviens de jouer à l'équipe de l'équipe de l'équipe de l'équipe.
42:00Je me souviens de jouer à l'équipe de l'équipe de l'équipe.
42:30Je me souviens de jouer à l'équipe de l'équipe de l'équipe.
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44:28Je me souviens de jouer à l'équipe de l'équipe.
44:34Je me souviens de jouer à l'équipe de l'équipe.
44:40Je me souviens de jouer à l'équipe de l'équipe.
44:42Et les Expos de Montréal ont fait une faveur à Team Rains aujourd'hui.
44:44Avec la complicité des Auréoles de Baltimore qui ont acquis son contrat
44:47et donnant ainsi la chance de terminer sa carrière dans le même uniforme que son fils.
44:52Nous avons rêvé de jouer à l'équipe de l'équipe.
44:55Mais nous n'avons jamais rêvé de jouer à l'équipe de l'équipe.
44:58Et quand ils m'ont demandé une question, j'ai dit,
45:01«Hell, oui, c'est pas encore une question.
45:03Ils m'ont juste dit, «Où est-ce qu'ils vont ? »
45:05«Où est-ce qu'ils vont ? »
45:09«The cool thing about it all, though,
45:11was he didn't have any idea of them even suggesting me play in Baltimore.
45:19When I got the call, I got on a plane
45:23and got to Baltimore right around game time.
45:27I'm up to bat, and all of a sudden I look in the dugout
45:30and I see somebody who looks like my dad in a uniform.
45:35I said, «There's just no way that's my dad.
45:37Like, there's an issue here.
45:39Something's going on.
45:40So, needless to say, I think I see him, so I strike out.
45:44But I'm not even caring about the strikeout at this point.
45:48I'm walking back and I'm just staring.
45:50I'm like, «Who ? »
45:51I said, «What ? »
45:52I said, «That is him. »
45:54I go up to him, I don't even care about striking out.
45:56I said, «What are you doing here, man ? »
45:58«What's going on ? »
45:59«What's up, son ? »
46:01And he looked at me and probably like he saw a ghost.
46:07That was a moment that you can't even,
46:13you can't even dream or think about things like that.
46:16I mean, that's something that, you know, as a player,
46:20you know, you hope your kids become major league players,
46:23but to have him come major league player and then have an opportunity to play with him,
46:29there's nothing finer than that.
46:33The feelings that I felt when that happened and the feelings that he felt,
46:40just the way that it went, I just felt them just now telling the story.
46:45I mean, it was, I just had shivers go through my body.
46:49It's so tough when things like that significant happen,
46:53because there's no way that I can express it to anyone.
46:56You know, there's ways I can try to use words,
46:59and I can say what he said to me or what I said to him,
47:03but the emotions and just the feeling that you have,
47:09when something that significant happens, you can't put words on it.
47:14There's no way for it to be described.
47:18It's an incredible, incredible moment that will never ever be forgotten.
47:24Pendant la vente etiquette jaune, obtenez jusqu'à 2000 dollars de rabais
47:35sur une dure journée de loisirs.
47:37Jusqu'au 31 octobre, un monde d'économie s'offre à vous
47:40grâce aux offres sur les modèles Can-Am 2017 sélectionnés.
47:43Seulement chez votre concessionnaire, Can-Am.
47:54Rêve est grand avec l'Automax.
48:17Y'a rien comme un ram pour sortir du lot,
48:21pour sortir l'ouvrage,
48:23sortir de la ville,
48:25puis sortir un job tous les jours, tout le temps.
48:28Surtout aujourd'hui, pendant la liquidation totale.
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48:37ce qui représente jusqu'à 17 600 dollars en rabais.
48:40Tout doit sortir pendant l'événement Liquidation totale.
48:44Détails au liquidationtotalram.com
48:47Psst, Mathieu.
48:48Ben oui, toi.
48:49Tu sais qu'il y a peut-être plus que du petit change caché dans ton sofa.
48:52S'il a été fabriqué au Canada entre 1999 et 2012,
48:55tu pourrais recevoir 20 piastres.
48:57Tu sais peut-être pas, là,
48:58mais un recours collectif a permis de récolter 38 millions de dollars
49:01auprès des fabricants de mousse de polyurétane
49:03à qui on reprochait d'avoir gonflé leur prix.
49:05Pis ça, mon cher Mathieu, c'est vrai pour les canapés,
49:07les matelas, les fauteuils ou les chaises de bureau rembourrés
49:09et les sous-tapis.
49:10Tu pourrais recevoir 20 piastres en prenant une photo de l'étiquette
49:13ou de la facture et en visitant moussespayante.com.
49:17Pendant la vente étiquette jaune,
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49:22Jusqu'au 31 octobre, un monde d'économie s'offre à vous
49:25grâce aux offres sur les modèles Can-Am 2017 sélectionnés.
49:28Seulement chez votre concessionnaire Can-Am.
49:38Quand j'ai été inducté dans le Hall of Fame en 2010,
49:41je me souviens de mon discours de Hall of Fame
49:43qui mentionnait qu'un jour Tim va m'y rejoindre ici sur cette scène.
49:49Tim Raines devrait être ici aussi.
49:53Raines est comme un frère à moi.
49:57Tim Raines, le temps de la renommée, non, pas encore.
50:00Non, et l'os, le temps presse.
50:02Parce que vous avez 10 occasions de vous faire une place au temps de la renommée
50:06et Tim Raines était éligible pour une neuvième fois
50:09depuis qu'il a pris sa retraite.
50:11Ça prend 75% des votes pour obtenir la clé de Cooperstown.
50:16J'ai reçu à lui en janvier.
50:19J'ai dit que j'ai fait ce téléphone pour les dernières années
50:22et, vous savez, nous avons tous été désapporté.
50:26Vous savez, il n'y a pas de doute dans ma tête
50:28que c'est votre année.
50:30C'était la première fois en 10 ans
50:32que j'ai installé une chaise et une caméra.
50:38Hello?
50:39Juste en casse.
50:40You know?
50:41My phone started ringing.
50:43I started getting nervous.
50:45Hey Rock, this is Jack O'Connor
50:47with the Baseball Writers Association in New York.
50:50Yes.
50:51And I'm calling to tell you
50:52that the writers have elected you to the Hall of Fame.
50:54Congratulations, Rocko.
50:58Thank you so much.
51:00You may not remember, but when the hall got in,
51:02I was sitting behind you in the crowd
51:05and I told you you were going to get here
51:06and I just screamed and it takes so long.
51:08Oh, thank you so much, man.
51:10I really appreciate that.
51:12I said, thank you, Jesus.
51:15I was so excited.
51:18And my granddaughter, she came over that evening
51:21and she said, what y'all all smiling about?
51:25I said, can't tell you.
51:28And she said, something going on.
51:30And then when she found out, that's what it was.
51:34I told her, you told me to tell nobody.
51:36I couldn't tell you.
51:38But it was so exciting.
51:43He was so exciting when he called me.
51:46And that made it more exciting, you know,
51:48because he was so glad.
51:49I finally made it.
51:50I said, yeah, you found it.
51:52He said, this would be my last chance.
51:54If I didn't make it this time, I wouldn't have made it.
51:56I said, God is good, boy.
51:58God is good.
51:59I said, God is good.
52:04It was so exciting.
52:05To my opinion, he would have been a couple of years before.
52:08You know, at a moment, it was clear that he deserved it.
52:11I had no doubt in my mind.
52:13I didn't vote for him during the first three years
52:16where he was admissible.
52:17Because I said, you have to wait a little.
52:20Because at Baysmore, it's like that.
52:21It's the culture of the Panthéon.
52:23It's wanting to say, don't go to the Panthéon who wants.
52:26And it's correct.
52:27Because in some sports, there's always a game.
52:30For baseball, wait for your turn.
52:33One of the biggest, if not the biggest moment of my baseball career,
52:38but to do it 15 years after the last time I played,
52:43being recognized as one of the best players that ever played a game
52:47is something that no one could ever take away.
52:50I gave him about three days.
52:53You know, that thing settled out a little bit.
52:55And when I did call him, he said, homie, he said, I'm tired.
52:59I said, yeah, yeah, I know.
53:00I said, I know.
53:01I said, start working on your speech.
53:04I said, because the sun was going to fly.
53:07I said, you're going to be real busy.
53:08Because it's going to be quite the ride.
53:10Ladies and gentlemen, number 30, Tim Riggs.
53:23Ladies and gentlemen, the number 30, The Rock, Tim Riggs.
53:29I have Jackie here.
53:34Yes.
53:35Eh?
53:36Yes.
53:37And I have the Pope to take over.
53:39So now where are you going to put me?
53:41You guys approve for me?
53:43Do you want to come to the office?
53:46Do you want to be the mayor?
53:47No.
53:48That's your job.
53:54Tell me something.
53:55Love is...
53:57Je t'aime?
53:58Oui.
53:59Je t'aime.
54:00Je t'aime.
54:01Je t'aime.
54:02OK.
54:03I have to make sure I did this right.
54:04Yeah.
54:05OK.
54:06OK.
54:07OK.
54:08Let's go.
54:09Tim.
54:10Rock.
54:11Riggs.
54:12Rock.
54:23This is your time.
54:24This has been pretty emotional for me.
54:29You know I love this town.
54:36And there was no question in my mind when the Hall called and said what hat I was going to wear in the Hall of Fame.
54:47There was no question.
54:49That it was going to be Montreal.
54:57I love you guys.
54:58This is Tim.
54:59Montreal.
55:00Thank you very much.
55:01It's been a great six months.
55:02You know when we first got that call.
55:03You know when we first got that call.