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Sport
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00:00Sous-titrage MFP.
00:30Sous-titrage MFP.
01:00Ils ont bâti une patinoire avec de la glace naturelle.
01:04Et là, éventuellement, on a eu la NHA, National Hockey Association, suivie par la Ligue nationale de hockey en 1917.
01:12Et Ottawa était là pour toutes les incarnations.
01:16Ils ont vraiment pris partie dans la fondation du jeu organisé comme on le connaît aujourd'hui.
01:21Dans la Ligue nationale, les sénateurs ont remporté quatre Coupes Stanley.
01:25Alors, en 1920, 1921, 1923 et la dernière en 1927.
01:31Alors, on vient tout juste de célébrer 90 ans depuis la dernière Coupe Stanley à Ottawa.
01:37Originalement, l'équipe, c'était vraiment juste le Ottawa Hockey Club.
01:40Puis on les appelait les Ottawa's ou Ottawa, tout simplement.
01:43C'est les journalistes qui ont accordé ces noms-là.
01:45Un peu comme le Canadien, on connaît comme les Habs ou le Tricolore.
01:49Sénateurs, c'était ça aussi, les Senators anglais.
01:52Mais ils n'ont jamais officiellement été les Senators avant l'équipe existante.
01:57Il y avait beaucoup de scepticisme.
02:00L'histoire aussi était particulière.
02:02Tu sais, t'avais Bruce Firestone qui arrivait.
02:06Il a expliqué que, bon, une journée quand il roulait sur le Queensway,
02:09il s'était mis à avoir un flash.
02:11Il se disait, bon, qu'est-ce qui manque à ma ville?
02:13Qu'est-ce qui manque à Ottawa?
02:15Et puis, il est arrivé l'idée des sénateurs.
02:17Je jouais un jeu de hockey à l'ancienne Lyon.
02:22Je jouais avec mes collègues, Randy Sexton et Cyril Leder,
02:27qui sont aussi co-founders de l'Ottawa Centre, les Senators d'Ottawa.
02:31Et je disais à l'aujourd'hui, vous savez, hangz un petit peu.
02:34Vous savez, on va avoir un biais et on va parler.
02:36Et donc, après tout le monde a l'air, il y avait trois de nous dans le dressing-room.
02:40Et je disais à Randy et Cyril,
02:42je disais, vous savez, je pense que l'NHL va augmenter encore.
02:46Et ils disais, oh, c'est-ce que l'NHL va augmenter encore ?
02:49Et je disais, vous savez, je pense que l'Ottawa va augmenter à l'ancienne Lyon.
02:54Et ils disais, oh, c'est cool.
02:56Et puis j'ai dit, je pense que nous devons être les biais.
02:59Le 6 septembre 1989, on reçoit une invitation par télécopieur.
03:05Vous êtes invité à une conférence de presse au Château Laurier.
03:09Et on va parler d'un plan d'envergure impliquant la Ligue nationale de hockey.
03:14Alors, on y va parce qu'on va nous annoncer quelque chose, supposément,
03:21mais personne n'y croit.
03:22J'étais de ce groupe-là.
03:24Je regardais ça et je me disais, oui, c'est une ville qui pourrait avoir un club de la Ligue nationale,
03:28mais je n'y croyais pas vraiment.
03:29Je dis, mais comment est-ce qu'ils vont pouvoir rentabiliser une équipe de hockey
03:33avec 40, 45 événements ?
03:36Donc, c'était une compagnie de développement immobilier qui avait des terres dans le Far West d'Ottawa.
03:58Parce qu'à ce moment-là, Canada, c'était loin.
04:01Tu traversais des terres de culture, tu te rendais à l'autre bout du monde
04:04pour t'en aller à l'endroit où il voulait s'établir, où établir son équipe de hockey.
04:10Étant détenteur de tous ces terrains-là, obtenir une franchise de la Ligue nationale pour Bruce Firestone,
04:28ça représentait des millions de dollars, ça représentait la réussite de son entreprise.
04:34À l'époque d'Ottawa, le maire d'Ottawa s'appelle Jim Durrell.
04:38C'est un maniaque de sport.
04:39Lui va dire, moi, je vais essayer de vous aider.
04:41Je n'ai pas d'argent à vous donner, mais dites-moi ce que je peux faire pour vous aider, puis on va le faire.
04:47Par exemple, quand il y a des rencontres du Bureau des gouverneurs,
04:52allant jusqu'à la dernière où les centaures vont obtenir la franchise,
04:56la municipalité paye les pompiers qui jouent dans une fanfare,
05:01payent toutes leurs dépenses pour les amener en Floride,
05:04pour qu'ils créent de l'enthousiasme et de l'atmosphère là-bas.
05:11120 personnes d'Ottawa étaient là.
05:13Ils étaient tous là et ils étaient placer des stickers de bumbres partout.
05:18Chaque hôtel, chaque élevé, chaque taxicab a donné les centaures,
05:22en français et en anglais.
05:24Et à chaque fois que vous venez, vous pouvez voir des gens,
05:27vous pouvez voir les auto centres.
05:29Mais je suis encore en Ottawa,
05:30et ma wife était 9 mois pregnant avec notre jeune fille, Jessica.
05:34Et je disais à ma wife,
05:35je dois partir demain, tu dois avoir le bébé aujourd'hui.
05:39Et elle me regarde et me dit, vraiment ?
05:41Et à 2h00 en la matinée, elle me réveille,
05:45et elle me dit, je crois que je vais avoir le bébé.
05:46Donc j'ai pris elle à l'hôpital et nous avons notre bébé,
05:49une petite petite fille de roi par le nom de Jessica.
05:52Mais ce matin et dans l'après-midi,
05:55c'était une pluie d'eau.
05:58Et il n'y avait pas de vols.
05:59Nous devions aller vers la plage,
06:01vers les rencontres de l'hôpital,
06:02et faire une présentation,
06:05pour parler à la board de l'hôpital de l'hôpital de l'hôpital de l'hôpital de l'hôpital.
06:07Il y avait des rencontres de la plage de l'hôpital de l'hôpital de l'hôpital de l'hôpital de l'hôpital.
06:10Donc j'ai dit, je vais aller,
06:12nous avons l'hôpital de l'hôpital de l'hôpital.
06:13Et enfin, je ne me souviens pas,
06:14environ la région de l'hôpital,
06:15j'ai ouvert le reste de l'hôpital.
06:17Je suis allé à la plage de l'hôpital de l'hôpital de l'hôpital
06:18à 1h00 en la matinée.
06:20Nous avons fait une présentation,
06:22nous avons changé une conversation,
06:24je pense que nous avons fait un bon travail.
06:25et un des membres du N.H.L. de l'hôpital de l'hôpital
06:27de l'hôpital de l'hôpital de l'hôpital de l'hôpital
06:29et lui dit,
06:30«Mr. Farsson, il y a une chose que vous voulez vous savoir,
06:33juste une chose.
06:34Oui, monsieur, ce n'est pas ça?
06:36Vous n'allez jamais, jamais,
06:38jamais, jamais,
06:38ne vous auriez une france de l'hôpital de l'hôpital.
06:41Donc j'ai regardé à l'hôpital,
06:43le membre de l'hôpital de l'hôpital,
06:44je pense que vous avez fait un erreur.
06:45Je pense que l'Hôpital devrait donner des équipes
06:47aux villes et aux villes qui adorent l'hôpital
06:51et treasuret l'hôpital.
06:53Et vous nous donnez un franchise,
06:55nous allons treasure et nous allons prendre l'hôpital
06:57parce que nous amons l'hôpital.
06:58Les hôpitales représentent l'hôpital de l'hôpital.
07:01Oui !
07:02Oui !
07:05Oui !
07:08Oui !
07:10Oui !
07:11Oui !
07:13Oui !
07:14Oui !
07:15Oui !
07:16Oui !
07:17Et trois semaines après,
07:22j'ai appelé le membre de l'Hôpital
07:24qui m'a dit,
07:25qui m'a dit,
07:25vous n'avez jamais, jamais, jamais
07:27un franchise dans l'hôpital.
07:29Et il m'a dit,
07:29vous n'avez jamais eu l'hôpital de l'hôpital ?
07:32Je voulais juste vous savoir
07:33que moi et deux autres membres
07:34de l'Hôpital de l'Hôpital
07:35s'entendent,
07:36et nous avons décidé d'aller
07:37à chaque bidder
07:38et dire la même chose,
07:39vous n'avez jamais, jamais, jamais
07:40un franchise dans l'hôpital,
07:42et voir ce qui s'est passé.
07:45Parce qu'ils ne donnent pas
07:46franchises aux villes,
07:47ils les donnent aux gens.
07:50de l'hôpital
07:54Son objectif, donc,
07:56c'est de rentabiliser, donc,
07:58plusieurs parcelles de terrain
08:00qui sont situées totalement
08:01dans l'ouest d'Ottawa.
08:03Il n'y a pas de sortie d'autoroute pas loin,
08:05il n'y a rien là.
08:06Nous voulions que la province
08:07construire une interchange,
08:08le Palladium Interchange,
08:10et ça coûte 30 millions d'euros,
08:12donc nous voulions
08:13une infrastructure publique.
08:14Le féminisme était Bob Ray,
08:16et les néo-démocrates ne sont pas
08:18des gens qui sont très chauds
08:19face au sport professionnel.
08:21Pas question, nous, on n'aide pas
08:24des millionnaires à construire
08:26des sorties d'autoroutes,
08:27ils sont capables de se les payer
08:28s'ils veulent.
08:29À ce moment-là, je pense que
08:31le Palladium Drive Interchange
08:32est l'un seul interchange
08:33privé-sectorale
08:34fondée en Ontario.
08:37Un des joueurs les plus populaires
08:39du temps s'appelait Frank Nyberg.
08:41Il venait de Pembroke,
08:42qui n'est pas tellement loin d'Ottawa.
08:43C'était le premier joueur
08:46à recevoir le Trophée Art,
08:49ainsi que le Trophée Lady Bing.
08:53Alors, Nyberg, c'est sûrement
08:54un des premiers superstars.
08:56Quand on pense à l'histoire
08:59de la Ligue Nationale de Hockey,
09:00puis qu'on se dit,
09:01OK, c'est qui les meilleurs joueurs?
09:03C'est sûr que Gretzky sort,
09:05c'est sûr que Mario Lemieux sort.
09:07Chaque fois que moi, quelqu'un
09:08me pose cette question-là,
09:09pas loin en arrière de ces gars-là,
09:11je dis, il ne faudrait pas
09:13oublier Alexi Yashin.
09:15The Ottawa Senators
09:16selectent Alexi Yashin
09:20of Moscow Dynamo.
09:22Il était gros, il était grand, il était fort.
09:28Les joueurs des autres équipes,
09:29il y avait un joueur à surveiller
09:31chez les Senators dans ce temps-là,
09:32c'était Yashin.
09:33C'était à deux mains ses bâtons,
09:35il frappait sur lui de toutes les façons.
09:37Il y avait un joueur à Yashin,
09:40Yashin dans le Buffalo Lodge,
09:42il essaie de mettre les pieds
09:43dans ses bâtons,
09:44et c'est un joueur!
09:45Un gars quiet,
09:46avec incroyable strength.
09:49C'était l'un des choses
09:50que j'ai remarqué tout de suite.
09:52Chez le club de hockey,
09:54les Senators d'Ottawa.
09:56Le 8 octobre 1992,
10:06c'était le début du massacre pour les sédateurs.
10:10Tous les spécialistes étaient prononcés,
10:12c'était un mauvais club.
10:14Mal choisi par des gens
10:16qui étaient plus ou moins habiles
10:19à évaluer des joueurs de hockey.
10:22Honnêtement,
10:24il y avait beau avoir de l'armure
10:26et du clin-clan,
10:28mais il n'y a personne,
10:30il n'y a personne qui pouvait dire
10:32qu'ils ont des chances de gagner.
10:33Tout le monde était convaincu
10:34qu'ils s'en allaient direct à l'abattoir
10:36contre le Canadien de Montréal,
10:38premier match.
10:39Sans dire qu'on a pris les sénateurs à la légère,
10:41mais on savait que c'était un club de l'expansion.
10:42J'avais senti que l'organisation
10:44et le coaching staff étaient très, très nerveux.
10:47On ne voulait absolument pas perdre ce match-là.
10:50Et je me souviens surtout du premier but
10:52qui avait été marqué par Neil Brady.
10:55Et le but est marqué finalement par Neil Brady.
10:58On pensait que le toit pouvait exploser.
11:00On n'a jamais su répondre à ce but-là
11:02tout au long du match.
11:04Au-delà du miracle qui est arrivé
11:05dans la première partie,
11:07après ça, il ne se passait rien.
11:09C'est là que je voyais à quel point
11:10ce club-là était pas juste ordinaire,
11:13mais franchement mauvais.
11:15Fait que c'était pas grave, on disait.
11:17C'est un processus qui va durer cinq ans,
11:19la construction de l'équipe.
11:21On avait convaincu les gens
11:23qu'on allait obtenir des bons choix repêchage
11:25et que l'avenir était promoteur quand même.
11:28Bruce Firestone va dire quelques paroles maladroites
11:34vers la fin de la saison,
11:36lors d'une rencontre avec des journalistes anglophones.
11:40Il fait référence au fait que les sénateurs
11:43auraient avantage à ne pas gagner les derniers matchs
11:46pour s'assurer du premier rang au repêchage
11:50de la Ligue nationale qui va suivre.
11:53La Ligue va réagir avec véhémence.
11:55Il va le mettre à l'amende.
11:58Il va quitter peu de temps après.
12:00De toute façon, son portefeuille était rendu trop mince.
12:03Il n'était plus l'homme de la situation
12:05d'un point de vue administratif.
12:08Il a été une génération, vraiment,
12:10depuis que quelqu'un a demandé cette question.
12:12Je ne pouvais pas dire ça à l'NHL.
12:14Je ne pouvais pas dire ça à mon auditeur,
12:16mon accountant, ma femme même.
12:18Personne ne savait ça, except moi.
12:20Parce que cette décision coste nous
12:2230 millions de dollars pour l'interchange
12:24et nous devions écrire la valeur de notre pays
12:26à 80 millions de dollars.
12:28Donc, notre compagnie a pris un coup d'110 millions de dollars.
12:30Rod Brydon a appris et a rempli cette gamme.
12:34Donc, c'était son tour dans la salle,
12:36et j'ai dû partir.
12:41J'imagine que monsieur a besoin d'un plus grand bateau.
12:44Il a tout compris le jeune.
12:46Sur auto-hebdo.net, il y a des bateaux, des autos, des motos.
12:50Un VR, peut-être?
12:51Je pense qu'il n'y a pas le livre.
12:53Visitez auto-hebdo.net aujourd'hui.
12:55Ben oui, ma soeur s'est fait un nouveau chum.
12:58Hé boy, tu devrais le voir, toi.
13:00Pas chic chic.
13:01Il s'en vient de bruncher.
13:03Hé méchant moineau.
13:07Josée, je te rappelle.
13:09Oh, il y a un petit froid.
13:14Ça sort donc, mais bon!
13:16Bon, mes petites saucisses cocktail.
13:18Pis j'ai amené un bon vin.
13:20C'était le Pro. Confort 360.
13:28Le WorkSac 6 est plus qu'un outil.
13:35En fait, c'est deux scies en une.
13:38Ce qui signifie que vous pouvez cliquer en mode héros en un instant
13:41pour s'attaquer aux tâches les plus difficiles.
13:45Et la pile de 20 volts fournit plus que suffisamment de puissance
13:49pour construire tout ce que vous pouvez imaginer.
13:52Le WorkSac 6.
13:54De toute beauté.
14:11Gaze Métro devient Énergir.
14:25Dans les premières années, j'exagère pas,
14:28les journalistes ont amené nos patins
14:30pis on patinait après les entraînements
14:32avec les joueurs et les entraîneurs.
14:34On trouvait ça drôle.
14:36Pierre Gauthier, en arrivant comme directeur général des Sénateurs d'Ottawa,
14:39a donné de la crédibilité à une équipe qui en avait pas pantoute.
14:43Ça, là, c'est le début des Sénateurs qu'on connaît aujourd'hui.
14:47Ce qui manque à ce club-là, c'est le titre de gagnant de la Coupe Stade.
14:52Les 25 condécédateurs, mercredi 20h30 sur RDS.
14:59En ce temps des fêtes, offrez un petit extra avec le baril double de PFK.
15:04C'est deux barils pour seulement 30 dollars.
15:06Bon à s'enlècher les doigts.
15:17Vous pourriez ne jamais pouvoir vous arrêter.
15:20Juste pour l'admirer.
15:23Vous n'aurez peut-être jamais la chance d'essayer la banquette arrière.
15:27Je pense bien que vous devriez.
15:42Les sénateurs avaient beaucoup de difficultés à attirer les francophones
15:45parce que le Canadien était déjà très populaire avec les Québécois à Hall, ainsi que les francophones à Ottawa.
15:54Alors, le seul temps qu'on pouvait attirer les francophones à Ottawa, c'était quand le Canadien visitait.
15:59Et là, tous les gens de Hall s'y rendaient pour aller au match.
16:02Le marché francophone va toujours être très, très difficile à percer pour les sénateurs.
16:08Moi, j'ai dit souvent que les sénateurs pourraient en faire davantage pour courtir leurs partisans,
16:13mais ils ne pourront probablement jamais en faire assez.
16:16La perception que la communauté avait, c'était que l'équipe était très anglophone.
16:23Elles ne connaissaient vraiment pas le marché francophone.
16:27Il y avait Enrico qui était là pour servir de lien entre les sénateurs et le marché, je dirais, corporatif de l'Outaouais québécois.
16:38J'ai dit, on va gagner leur cœur pour ensuite gagner leur portefeuille.
16:43Mais la personne qui a vraiment donné la bénédiction, c'était M. Brighton.
16:48Il a dit, Enrico, run with your plan.
16:51You ask for an office in Urua, find a good spot, let it set it up.
16:57Je me souviens d'Enrico comme si c'était hier, M. Poignet de main, M. Gentil, M. Sénateur.
17:03J'étais dans toutes les arenas, les clubs optimistes, la chambre de commerce.
17:08J'étais actif partout, vraiment omniprésent.
17:10La mission d'Enrico était impossible à réussir.
17:14Moi, j'ai laissé en 97, en juin 97.
17:18J'ai réalisé avec beaucoup de tristesse que le bureau a été fermé.
17:23Les quelques fois que je vais voir des matchs maintenant, puis quand il y a le Canadien ou les Leafs, ça me fait beaucoup de peine de voir que c'est pas le rouge des Sens qui prime, c'est soit le rouge du Canadien de Montréal ou le bleu des Maple Leafs.
17:41Puis ça me fait de la peine parce que je me demande quel avenir une franchise peut avoir si elle ne reflète pas sa communauté.
17:49Samy Godin, qui venait de Rockland, Ontario, qui est juste à l'est d'Ottawa, une communauté francophone, était le premier joueur francophone à patiner avec les sénateurs en 1927.
18:01Ils ont fait un gros show, ils ont même donné une montre en or avant le match aux joueurs pour célébrer l'événement, mais c'était un désastre.
18:13Il y avait 2000 personnes dans les estrades, dans une aréna avec une capacité d'au-dessus de 6000.
18:19Alors, ils n'ont jamais pu attirer des francophones.
18:22Le premier choix dans le repêchage 1913, Alexandre...
18:34C'était le choix naturel, autant hockey que marketing, mais je crois firmement, la raison qui primait, c'était surtout au niveau marketing.
18:44Les services d'Alexandre Daigle sont à votre disposition pour jouer un rôle dans l'entreprise.
18:53Il est un rôle de la prochaine génération qui peut vous aider à créer un réel impact auprès de votre clientèle en se prêtant à des activités de promotion efficaces.
19:03C'est Hollywood qui arrivait, c'était la réponse au défi qu'on avait pour gagner les coeurs des francophones.
19:11Il a été présenté plus grand que nature parce qu'il y avait cet engouement-là au niveau marketing, parce qu'il y avait la production aussi dans les rangs juniors qui était phénoménale.
19:21Mais ce pauvre gars-là, il est arrivé avec une pression épouvantable et au-delà du fait qu'il a connu une bonne première année, il n'a jamais été en mesure de produire au niveau que les gens s'attendaient.
19:34Je suis convaincu aujourd'hui que les gens de hockey, Rick Bonas, Alain Vigneault, eux auraient aimé que ce gars-là ne commence pas dans la Ligue nationale de hockey. Il commence dans les mineurs.
19:44Brandi voulait qu'il joue sur la première ligne parce qu'à 12,5 millions, il fallait que ça importe.
19:51Les objectifs de n'importe quelle franchise, y compris celle-ci, sont de bâtir une équipe qui participera aux éliminatoires sur une base régulière.
20:04Ça, là, c'est le début, le vrai début des sénateurs qu'on connaît aujourd'hui.
20:10Pierre Gauthier, en arrivant comme directeur général des sénateurs d'Ottawa, a donné de la crédibilité à une équipe qui n'en manquait pas, qui n'en avait pas pantoute.
20:19Sur la route, là, dans les premières années, j'exagère pas, les journalistes, on amenait nos patins, puis on patinait après les entraînements avec les joueurs et les entraîneurs.
20:29On trouvait ça drôle. Il y a une familiarité qui s'est installée. On avait du fun avec eux autres, d'un bar, partout. C'était le fun.
20:36C'était des bons gars. Mais à un moment donné, il fallait mettre un peu de sérieux dans cette organisation-là, puis moi, je m'étais dit, là, ça va changer.
20:43Pierre Gauthier avait un plan, là. OK, j'ai pas de gardien, j'ai pas de coach. Il me manque du leadership, il me manque un tas d'affaires dans cette équipe-là.
20:51Je pense qu'un des plus gros faits d'armes, par la suite, a été définitivement l'embauche de Jean-Martin.
20:57Il va être intéressant d'essayer de prendre une situation qui est peut-être à nature négative et de la revirer sur le côté positif.
21:06Je me rappelle le premier matin, lorsque j'ai rencontré les joueurs avant la séance d'entraînement.
21:13Et voir les yeux des jeunes joueurs, que c'était grand comme des 30 sous, tu voyais qu'ils voulaient apprendre, qu'ils voulaient avoir une structure.
21:24C'est un entraîneur qui était de rigueur dans les entraînements, sur les micro-détails. C'était presque une certaine obsession à ce niveau-là.
21:33Alors, Jacques Martin, je pense, a été, il sera toujours, à mon avis, le meilleur coach de hockey de l'histoire des sénateurs d'Ottawa.
21:42On devait gagner le dernier match contre les sortes de Buffalo. Et puis, c'était un match extrêmement serré. Un match nul, ça ne nous donne rien. Donc, il fallait marquer dans ces dernières minutes-là.
21:57Yachim qui s'en va dans le coin. C'est un droitier, Yachim. Il revient un petit peu sur ses pas dans le secteur de mise en jeu. Il se lève la tête, passe la rondelle à Stéphane. Pas un gros lancé, mais la lumière rouge s'allume.
22:12Je suis certain que même les médias étaient contents pour nous. On est toujours neutres comme médias, mais je suis certain que c'était un moment très spécial pour eux aussi.
22:36On a beau pas être des membres de l'organisation, mais c'est pas vrai que dans le sport, t'as pas d'émotion, pis t'as pas de sentiment.
22:43Cette soir-là, c'était le party qui commençait.
22:45Je pense que c'est la première fois que je vois Pierre Gauthier, émotionnel et excité,
22:52comme je ne l'avais jamais vu auparavant, parce qu'il ne s'attendait pas à qu'on fasse les series.
23:09Septième match. Trois périodes réglementaires. C'est encore l'égalité.
23:14Et en prolongation. Je comprends toujours pas qu'est-ce qui s'est passé. Un tir de loin de Derek Plante.
23:20Ah ouais, sa mitaine par en haut tombe sur le dos. Mais la rondelle sort.
23:24Et les sénateurs sont éliminés.
23:26Plus de son, plus d'image. Il se passe rien. C'était fini.
23:31C'est fini.
23:38Je n'ai jamais su le super beurreur.
23:42J'ai vu ton son.
23:44J'ai été prévu.
23:46Maintenant, j'ai vu ton temps.
23:49Mais je sais que c'est toi.
23:54Et dans tes étoiles.
23:56DuPart d'éclare, tu rêves au roi.
24:00Sous-titrage Société Radio-Canada
24:30Sous-titrage Société Radio-Canada
25:00Sa formule sans eau de javel nettoie sans vapeur irritante et dégage un frais parfum de propreté.
25:07En fait, c'est le seul produit en son genre qui porte le saut environnemental de l'EPA.
25:12Il est donc plus sûr pour vous et votre famille.
25:15CLR pénètre en profondeur pour dissoudre les taches de moisissures sur presque toutes les surfaces,
25:20les laveuses à chargement frontal, les carreaux et le coulis.
25:23Le détachant contre les moisissures CLR nettoie vraiment les sous-sols où les taches de moisissures peuvent être tenaces.
25:29Le détachant contre les moisissures CLR.
25:32Enfin, un produit dur mais sûr qui respecte l'environnement.
25:35Dur contre la saleté, doux pour tout le reste.
25:38Le sandwich sérieusement poulet de McDonald's, c'est comme le bœuf Angus du poulet.
25:52Alors, est-ce qu'on serait pas mieux de le déguster dans un steakhouse?
25:55Non, ça va aller.
25:57Le sandwich sérieusement poulet, c'est du poulet assaisonné sérieusement bon.
26:03Voici le Works Pegasus.
26:05La nouvelle génération tout en a de table de travail et système de dérouillage.
26:08Pegasus demeure ajusté à tout angle.
26:11Le cadre d'acier rend Pegasus super robuste.
26:14Un espace de travail n'importe où.
26:16Works Pegasus.
26:19J'imagine que monsieur a besoin d'un plus grand bateau.
26:22Hé, t'as tout compris, jeune.
26:23Sur autowhebdo.net, il y a des bateaux, des autos, des motos.
26:27Un VR peut-être?
26:29Je pense qu'il n'y a pas de livre.
26:31Visitez autowhebdo.net aujourd'hui.
26:45Alexei Yashin, en 98-99, termine sixième marqueur de la Ligue nationale
26:51avec 94 points.
26:54C'est un des meilleurs joueurs de la Ligue nationale.
26:57Mais quand tu compares les salaires à celui de Yashin, ça ne faisait pas le cours.
27:03Et lui pensait qu'il y avait une meilleure valeur que l'argent qu'on lui donnait.
27:07Et comme toute personne qui revendique ses droits, il avait menacé de ne pas se présenter
27:13au camp d'entraînement, de faire la grève.
27:16Il n'y avait pas d'argent à lancer par les portes et les fenêtres du côté d'Ottawa.
27:20Fait que les sénateurs se sont dit, on va se rendre service,
27:23mais on va aussi rendre service à toute la Ligue nationale.
27:27On va tenir tête à notre joueur vedette.
27:30Être capable de tenir un bras de fer comme celui-là,
27:39aux yeux de la Ligue nationale, les sénateurs en crédibilité gagnaient beaucoup.
27:44Quand Yashin a été suspendu, ils ont promosé Daniel Alvardson
27:50pour être le prochain capitaine.
27:53Et il se trouve que c'est le capitaine de la Ligue nationale.
27:56Il a été vraiment un grand exemple pour tout le monde sur le team.
28:01Daniel Alvardson est un joueur qui a été repêché tard,
28:04un joueur qui a dû s'établir dans la Ligue nationale,
28:07un joueur qui a réussi à cause de sa persévérance.
28:12Je vais être prudent dans ce que je dis.
28:14Parce qu'évidemment, personne ne se compare à Jean Béliveau,
28:17mais au niveau de l'impact qu'il y a eu dans la communauté.
28:22Le développement d'une jeune franchise, ça s'apparente un petit peu.
28:26Il a apporté une certaine crédibilité à l'organisation
28:30qu'elle n'avait pas eue auparavant
28:31et qu'elle n'aurait peut-être jamais eue sans lui.
28:38You guys suck!
28:40C'est le début de la rivalité Toronto-Ontario.
28:44Lorsqu'on joue contre eux autres chez nous,
28:47ce n'est pas un environnement difficile pour eux autres de venir jouer à Ottawa.
28:51Ils ont quand même beaucoup de sport.
28:52Ce soir-là, les sénateurs viennent de perdre sur la route
28:55la deuxième rencontre de la série qu'onge l'Élipse.
28:58Je me rappelle Ty Dohomi,
28:59afin qu'il narguait tout le monde de mon équipe des sénateurs d'Ottawa.
29:03J'étais sur la galerie de presse, puis j'étais en beau fusil, je voulais embarquer.
29:06On est dans l'autobus, on attend avant de partir,
29:10et André Roy monte dans l'autobus.
29:12Jacques Martin a une face de carême.
29:15Il crie à voix haute.
29:17Hey, coach!
29:18Tu as besoin de moi.
29:19Moi, je n'ai pas aimé ce que j'ai vu.
29:21Je sais que ça a remis à toi la décision, mais je veux jouer.
29:24Je ne pouvais pas croire
29:25qu'André veut dire ça après une défaite.
29:30Mais c'était André Roy.
29:32André rentre dans l'alignement,
29:34puis je pense que c'est un élément qu'on veut avoir.
29:36C'est un élément à essayer de neutraliser les Darcy Tucker.
29:39Donc, lorsque tu as un joueur de son statut,
29:43tu espères pouvoir neutraliser cet élément-là
29:46avec une équipe comme les Leafs.
29:48Là, je disais à mes deux coéquipiers,
29:50je disais, mais attends, pas que dans le coin,
29:51dans le mien ou l'autre, je m'en viens, moi.
29:54Comme de fait, on dirait que je voulais donner le ton au match,
29:57mettre la foule dedans.
29:59Mais malheureusement, c'est une équipe
30:00qu'on a de la difficulté avec en série.
30:03Mais la deuxième série,
30:10il n'y avait pas loin de 20 points
30:11qui séparaient les deux équipes.
30:13Ottawa était nettement meilleure que Toronto.
30:16On a choqué, c'est le mot.
30:17On a choqué parce que moi, j'étais excité.
30:19Tout le monde était excité
30:20quand on a su qu'on affrontait Toronto.
30:22Les Leafs qui viennent de l'emporter
30:24en quatre matchs consécutifs,
30:26les négligés qui battent les favoris,
30:28c'est la première surprise des séries 2001-2001.
30:32Pour la première fois,
30:34le marché était insuppé
30:36la performance des sénateurs.
30:39Après cette défaite,
30:41il y a eu vraiment un recul,
30:43il y a eu vraiment une évaluation
30:45de notre personnel, de notre équipe.
30:48Ce que Yachin n'a jamais été capable
30:49de donner aux sénateurs comme joueurs,
30:52il leur a donné dans le cadre
30:55d'une des pires transactions
30:57de l'histoire de la Ligue nationale
30:58ou des meilleures citées du côté d'Ottawa.
31:00Les sénateurs d'Ottawa
31:02tradent Alexi Aschen
31:04aux Islènes New York
31:06en exchange pour
31:08Zidane O'Chara,
31:11Bill McCulte
31:11et le second overall pick
31:14dans cette défaite,
31:15le prochain pick.
31:17Les sénateurs d'Ottawa
31:18choisissent
31:18de Windsor's Flyers
31:20Jason Spezza.
31:22Vers la fin de la saison 2001-2002,
31:32je pense que c'est au moment
31:34d'où ce qu'on a appris
31:36que Roger Nilsson
31:37bataillait contre un cancer.
31:41C'est pas beaucoup différent
31:42que l'autre, vraiment.
31:44Chaque, ils ont dit
31:45qu'il devait avoir 5 ans,
31:47donc j'ai pensé que c'est 10 ans.
31:48C'est assez bon.
31:49Roger Nilsson avait été
31:51entraîneur-chef
31:52pour 998 matchs
31:53dans la Ligue nationale.
31:55Donc, c'est à ce moment-là
31:57que Marshall et moi
31:59décidons de ramener
32:01Roger Nilsson
32:02comme coach
32:03pour les deux dernières
32:04parties de la saison
32:05pour qu'il puisse
32:06atteindre la marque
32:08de 1000 matchs
32:09comme aide-coach
32:10dans la Ligue nationale.
32:11Incroyable gesture
32:12par Jacques et le club.
32:14You know, Roger,
32:15you know,
32:16he didn't care much
32:18for the limelight,
32:19but, you know,
32:22I'm sure deep down,
32:23he was very honoured
32:25by getting that opportunity
32:27to have.
32:28Ça démontrait
32:28la grande classe
32:29de l'organisation
32:29des sénateurs,
32:31le grand respect
32:32que Jacques Martin avait
32:33pour Roger Nilsson
32:34et surtout,
32:36ça venait mettre
32:37en valeur
32:39un homme qui a trop souvent
32:41travaillé dans l'ombre.
32:44J'aimerais ça dire
32:45« bête noire »,
32:46mais ça c'est de banaliser
32:47la chose.
32:48Moi, je pense que
32:49les sénateurs
32:50étaient habités
32:51par des démons
32:52aussitôt que c'était
32:52Leaves de Toronto
32:53au séminatoire.
32:54C'est trop intense.
32:55Ils sont intense.
32:56La rivalité Ottawa-Toronto
32:59doit beaucoup,
33:01beaucoup ressembler
33:01à la rivalité
33:02qui existait
33:04entre le Canadien
33:05de Montréal
33:05et les Nordiques
33:06de Québec
33:06dans le sens où
33:08dans les deux rivalités,
33:10t'as une petite ville,
33:11une petite capitale
33:12qui vit parfois
33:14dans l'ombre
33:15de sa voisine,
33:16la grosse métropole.
33:17Tu penses que
33:18je pourrais te dire
33:18« go, Sens, go » ?
33:20Oh, it's funny
33:22you got in your pocket.
33:23Toronto a toujours
33:24regardé sur Ottawa
33:25comme les plus petits
33:28qu'eux autres.
33:29Les gars qui étaient
33:29là auparavant
33:30qui avaient vécu
33:31l'échec de perte
33:32contre les livres
33:32de Toronto.
33:33Je le sentais
33:34un peu le stress.
33:35Game 5,
33:36we won
33:37with a controversial
33:38play
33:39where Elphi
33:40took out
33:42Darcy Tucker
33:43with
33:44some would argue
33:46not a clean hit.
34:00Mais dans la victoire,
34:02on apprend une bien
34:02mauvaise nouvelle
34:03après le match.
34:05Le cœur
34:05de cette équipe-là
34:06au niveau physique
34:07contre les puissants
34:08livres de Toronto,
34:10Mike Fisher
34:10et Zdeno Shara
34:12était blessée
34:13et allait manquer
34:14l'appel
34:14pour les prochains
34:15matchs
34:16de cette série-là.
34:17C'est sûr
34:17lorsque tu reviens
34:19à la maison
34:19pour le sixième match
34:21tu penses
34:22pouvoir
34:23le remporter.
34:30Hadley
34:31a fini
34:31de obtenir
34:32une pénalte de 5 minutes
34:32de 5 minutes
34:34et
34:34ils ont gagné
34:35deux balles de play
34:36et ils ont gagné
34:37ça
34:37et ils ont pris
34:38le 7 de la maison
34:39mais
34:40c'est certain
34:41un de ces années
34:41qu'il était
34:43à nos pieds
34:44et nous ne pouvons
34:45pas faire
34:45le travail.
34:57Vous ne pourriez jamais
34:58pouvoir vous arrêter
34:59juste pour l'admirer.
35:04Vous n'aurez peut-être
35:04jamais la chance
35:05d'essayer
35:06la banque derrière.
35:07je pense bien
35:09que vous devriez.
35:21Voici la perceuse
35:22avancée
35:23intelligente
35:23de WORX
35:24une évolution
35:25en technologie
35:26d'outils
35:26avec trois nouvelles
35:28fonctionnalités étonnantes
35:29qui simplifient
35:30percer,
35:31visser
35:31et changer
35:32de douille à jamais.
35:33La perceuse AI
35:34vous savez
35:36je recherche toujours
35:39de nouvelles
35:39sensations fortes
35:41des façons
35:42de mettre
35:45un peu
35:45de piquant
35:46d'ajouter
35:48du potch
35:50C'est les pires
35:53C'est quand vous voulez
35:54faire pour la source
35:56ultime
35:56d'adrénaline
35:57Ça demeure
36:00mon chauffe-eau
36:00de dix ans
36:01qui peut péter
36:02n'importe quand
36:03Avant que votre chauffe-eau
36:05pète
36:05appelez-nous
36:06C'est qu'on a
47:07et cela n'a jamais été en mesure de compétitionner à ce moment-là.
47:10Le trio de Heathley, Spetsa, Alfredson,
47:13qui avait été si dominant dans les trois premières rondes,
47:17a rencontré son Waterloo.
47:19Et puis, on a vu l'émergence de jeunes vedettes à ce moment-là,
47:24Brian Getslaff et puis Corey Perry,
47:27puis surtout un vétéran en arène, en Timo Célanie.
47:31On se sentait comme s'il n'y avait rien à faire.
47:34Il était trop fort.
47:36On donnait tout ce qu'on avait, puis ça ne fonctionnait pas.
47:41Donc, c'était frustrant, c'était décourageant,
47:44puis c'est un peu le souvenir qui me reste de cette série-là.
47:52Après une longue carrière, et je me regarde,
47:56je cherchais l'expérience que j'ai eu,
48:00ce qui a terminé de faire trois vins pour nous.
48:02Je me souviens, après ce match-là, on était à Nîmes.
48:05Alfredson multipliait les entrevues.
48:08Et puis, il finit ses entrevues, puis il vient me voir,
48:10puis il dit, j'y pensais vraiment.
48:13Je pensais vraiment qu'on l'aurait.
48:15Puis là, tu as vu le feeling d'essoufflement,
48:19puis de se rendre compte que tu es passé si proche,
48:21mais que dans le fond, tu es si loin.
48:23Trouvez le cadeau parfait chez votre concessionnaire Chrysler Dodge Jeep et Ram.
48:33Pas d'instructions compliquées.
48:34Et tous nos cadeaux sont déjà assemblés.
48:36Comme ce Ram 1500 qui vous offre jusqu'à 12 000 $ en rabais des fêtes,
48:40plus aucun paiement pour 90 jours.
48:43Vous n'êtes pas certain de la grandeur?
48:44La Dodge Grand Caravan offre de l'espace pour toute la famille.
48:47obtenu jusqu'à 12 000 $ en rabais des fêtes
48:50et aucun paiement pendant 90 jours.
48:53Pas besoin de l'emballer.
48:54Cette année, offrez-vous le cadeau parfait pour les fêtes.
48:57Le Works Axis est plus qu'un outil.
49:01En fait, c'est deux-ci en une.
49:04Et la pile de 20 volts fournit plus que suffisamment de puissance
49:07pour construire tout ce que vous pouvez imaginer.
49:10Le Works Axis.
49:11De toute beauté.
49:20Quand on s'y met tous ensemble,
49:22l'ordinaire peut devenir extraordinaire.
49:27Comme les lattés mocha à la menthe de T-Martin.
49:35Préparé à la main et bon à savourer entre amis ou en famille
49:38pendant les fêtes.
49:42Un cadeau mérite parfois d'être déballé d'avance,
49:45surtout s'il va si bien.
49:47Jusqu'à dimanche, chez Moors,
49:48profitez de 60 % de rabais sur certains complets de marques,
49:50chandails, vêtements d'extérieur et accessoires d'hiver
49:53et de l'offre 2 pour 1 sur certains articles.
49:55Taillez pour les fêtes, taillez pour vous.
49:58Depuis 8 ans, Slogar a remis à 1 694 clients
50:01la somme de 29 670 000 $
50:04récupérés en invalidité CNESST, SAQ et autres.
50:08Les enfants de M. Réjean-des-Prés, 73 ans de Québec,
50:11ont regagné 109 283 $ de la CNESST.
50:15Cause amiantose professionnelle.
50:17Chez Slogar, nous vous aidons à récupérer votre dû.
50:19La référence partout au Québec, sans frais pour l'étude préliminaire du dossier.
50:23Slogar. Visitez slogar.ca
50:27Quand vous n'avez pas de temps à perdre,
50:29utilisez le Rockwell Sonic Rafter F80.
50:32À deux modes.
50:34Mode 1, pour la pleine puissance.
50:36Mode 2, pour la précision et le contrôle.
50:38Le Rockwell Sonic Rafter F80.
50:40Quand laisser tomber n'est pas une option.
50:42Le Sierra de GMC.
50:46Grande puissance, grande robustesse, grande classe.
50:50Pendant le solde des fêtes,
50:52louez le Sierra édition élévation
50:53pour l'équivalent de 99 $ par semaine.
50:57Proud d'annoncer que les Ottawa centres
51:00s'électent avec leur première sélection
51:01Eric Carlson de Ferlanda, Suède.
51:05C'était mon premier repéchange en tant que dépistage chef
51:09chez les Sainteurs d'Ottawa.
51:10On visait Eric Carlson et Brian Mezzi.
51:13Est-ce que tu es sûr de prendre un petit suédois?
51:16J'ai dit oui, il va comme un long temps de travail pour moi.
51:18J'ai dit plusieurs années,
51:20mais je sais que c'est le bon choix pour l'organisation.
51:22To have the privilege to be drafted
51:24by Ottawa here in Ottawa
51:26in the first round
51:27was something at the moment
51:29I didn't really realize how important
51:32and how big it really was.
51:34Fortunate enough to be able to stay
51:36with Alfie and his family
51:38in my early days.
51:39to get a hold of things
51:41and just getting him
51:42to make me realize
51:44what's important,
51:46what you need to do
51:47to be successful here
51:48and just being around him,
51:49seeing how he interacted with people,
51:51how he behaved himself
51:52and what he did off the ice
51:54and on the ice
51:55to be successful.
51:55and, you know,
51:56I kind of just try and, you know,
51:59follow him behind him somehow.
52:00Ceux qui ont vécu la rivalité canadien-nordique
52:07ont longtemps inspiré,
52:10après le départ des Nordiques de Québec,
52:12que les sénateurs puissent nous amener ça.
52:14Puis on disait,
52:14tout le temps, il va falloir un affrontement à la Syrie
52:17et 2013, il nous offre ce premier affrontement.
52:23Il fallait ramer fort comme journaliste
52:25pour trouver quelque chose,
52:26de rendre ça intéressant.
52:28premier match arrive.
52:40C'est pas été une belle situation,
52:42mais ça a été tout de même
52:43un élément déclencheur
52:44qu'a développé cette fameuse
52:47relation à Mont-Reyn
52:49entre ces deux franchises.
52:52Ça a vraiment changé
52:53le cours de cette série-là.
52:56Souviens-toi, dans les propos d'après-match,
52:59Paul McCain a ridiculisé la situation.
53:01C'était à l'instant,
53:01le 61, là, avec le 14, là.
53:03J'ai pensé que le joueur 61,
53:05si j'ai dit que l'Elder a été coupé,
53:08je suis vraiment froid
53:09sur le joueur 61,
53:10qui est-ce qu'il est.
53:11Ça n'apprend beaucoup
53:12pour rentrer dans la peau de Michel Therrien, là.
53:15C'est la première fois que j'ai senti,
53:17à quelque part,
53:17qu'il avait été déstabilisé
53:19par un élément qu'on ne connaissait pas
53:20de Paul McCain.
53:2217 secondes et 8 dixièmes à faire.
53:25Je suis convaincu
53:26que Paul McCain savait exactement
53:28ce qu'il faisait
53:29quand il a fait ça.
53:31Il savait exactement ce qu'il faisait
53:32quand il a pris un temps d'arrêt
53:33en fin de partie
53:33pour déstabiliser Michel Therrien.
53:36En tant qu'entraîneur,
53:37tu ne veux jamais humilier
53:38l'autre équipe.
53:40C'est exactement ça
53:41que McCain a voulu faire.
53:44C'est un...
53:45Pour moi, c'est un manque
53:46de classe totale.
53:48On est tombé dans un mind game.
53:50Écoute, les gueules
53:52se faisaient envoyer
53:52d'un côté comme de l'autre.
53:54Nous n'avons pas vraiment
53:54de l'autre.
53:56Nous n'avons pas
53:56de l'autre.
53:57Nous n'avons pas
53:58de ce qu'il a dit
53:58ce qu'il a dit
53:59ce qu'il a dit.
54:01Alors,
54:02«Bug-eyed »,
54:03je n'ai jamais été appelé
54:04à ça avant.
54:05C'est un nouveau.
54:08« Walrus »,
54:08c'est trop facile.
54:10Mais je vais vous dire
54:11une chose,
54:11je ne suis pas fat.
54:12Alors,
54:14tu vois que lui,
54:15il avait réussi son coup
54:17en faisant ça.
54:18Moi,
54:18j'étais présent
54:19au troisième match.
54:20Dès qu'il y avait
54:21des chants de « Go,
54:22Abs, Go »
54:22qui commençaient,
54:23le DJ montait le volume
54:25tout de suite.
54:26L'atmosphère va être
54:27sénateur.
54:27« This is our house ».
54:29Les sénateurs,
54:31on ne se le cachera pas.
54:33On a complètement
54:34étampé les Canadiens.
54:35Les buts rentraient.
54:42Les claques rentraient.
54:49Le « Hat-trick » de Pajot.
54:54L'aréna s'est mis
54:55à moquer les Canadiens
54:57en chantant « Pajot,
54:59Pajot, Pajot, Pajot ».
55:00Comme première expérience
55:01en série,
55:03de scorer trois buts
55:04contre le Canadien.
55:05C'est certain que c'est un moment
55:06que je vais me rappeler
55:07très longtemps.
55:08Les sénateurs d'Ottawa
55:09accèlent
55:10à 12h00 de Pajot
55:12et l'encontre
55:13tous ces matchs
55:15contre le Canadien.
55:17Je crois que c'est d'amore
55:18un des beaux succès
55:20de cette organisation-là
55:21parce qu'ils ont éliminé
55:22une équipe
55:23d'un gros marché,
55:24un rival naturel,
55:25ce qu'ils n'avaient jamais
55:26réussi à faire auparavant.
55:31Pour moi, Daniel
55:33va toujours être
55:34le visage
55:35des sénateurs.
55:36C'est parmi les meilleurs joueurs
55:37de la Ligue.
55:38C'est quelqu'un
55:39qui a une éthique
55:40de travail incroyable.
55:41C'est quelqu'un
55:42qui joue chaque match
55:43à pleine capacité.
55:44C'est un des meilleurs joueurs
55:45avec qui j'ai eu la chance
55:46d'évoluer
55:47dans la Ligue nationale.
55:49Je pense que c'est le joueur
55:50qui nous a probablement
55:51fait vivre
55:51le plus d'émotions
55:52à Ottawa.
55:53Daniel Alfredson,
55:54pour moi,
55:56c'était le respect,
55:57le bonjour en français
55:59régulièrement.
56:01Pour moi,
56:01c'était un bon leader
56:02avec les médias
56:03parce que
56:04quand il y avait
56:05des moments difficiles,
56:06si on a eu
56:07une mauvaise défaite,
56:08je savais
56:09qu'on pourrait aller
56:09dans le vestiaire
56:10ou que les Ours
56:11se changeaient
56:12et on regardait
56:12Daniel,
56:13il se levait la tête
56:14et il nous disait
56:16«Sing, je m'en viens »
56:17parce qu'il savait
56:18que c'était son rôle.
56:19Si il ne l'a pas fait,
56:20il ne pouvait pas
56:20demander à quelqu'un
56:21d'autre pour le faire
56:21et il ne devait pas
56:22demander à quelqu'un
56:22d'autre pour le faire,
56:23il avait juste fait.
56:24Et tout le monde
56:25a juste suivi.
56:27Je pense que c'est quelqu'un
56:28qui reconnaît
56:29que moi,
56:30j'ai besoin de lui
56:31pour performer,
56:32lui a besoin
56:33de ses teammates
56:33pour performer
56:34et je pense que
56:35c'est une de ses grandes qualités.
56:37J'espère que
56:37il a laissé ça
56:38à Eric Carlson
56:39parce que c'est lui
56:39le capitaine des sénateurs
56:40maintenant
56:40et je pense qu'il l'a fait.
56:42Je ne vais pas dire
56:42que je suis le même
56:43type de leader
56:44que il est
56:45parce que je ne suis pas.
56:46J'ai appris beaucoup
56:47de lui
56:47et l'une chose
56:48c'est qu'il a toujours
56:49de l'exemple
56:50et je pense que
56:51ça a aidé
56:53pas seulement
56:54à croire
56:54comme un hockey
56:55mais à croire
56:55comme une personne
56:56et je pense
56:56que ses manières
56:58surtout sur les yeux
57:00et comment
57:01il se conduit
57:02c'est l'un des
57:04les plus
57:05que j'ai rencontré.
57:07Est-ce que
57:08les sénateurs
57:09c'est une histoire
57:09inéchevée?
57:11L'histoire
57:11va continuer
57:12de s'écrire.
57:13Quand il y a un sénateur
57:14qu'il va avoir
57:14une équipe
57:14des ligues majeures
57:16dans un marché
57:17des ligues mineures
57:18il va y avoir
57:19des citoyens intéressantes
57:19qui vont s'écrire.
57:20Ce qui manque
57:21à ce club-là
57:22c'est
57:23le titre
57:24de gagnant
57:25de la Coupe Stade
57:26pour
57:28tenter
57:29d'effacer
57:29un peu
57:30la partisanerie
57:31du Canadien
57:32et des livres
57:33de Toronto
57:34qui ont toujours
57:35priorité
57:36dans leur marché
57:37malgré
57:39l'existence
57:40de cette franchise-là.
57:41Je voudrais
57:42que ça se réalise
57:42ce rêve-là
57:43pas pour juste
57:44pour moi
57:45mais pour tous
57:46les gens
57:46qui se sont investis
57:47les fans
57:48les partisans
57:50pourquoi on parle
57:51encore des anciens
57:52au début
57:54du 20e siècle?
57:56Il y avait créé
57:56quelque chose.
57:57Si les sénateurs
57:58partaient aujourd'hui
57:59qu'est-ce qui resterait?
58:02Est-ce que
58:02une coupe Stanley
58:04permettrait
58:05de tout effacer
58:08puis de dire
58:08c'est plus juste
58:09les anciens
58:09anciens sénateurs
58:10c'est les nouveaux
58:11sénateurs
58:11qui l'ont?
58:12je ne sais pas
58:13mais ils vont venir
58:15venir nous dire
58:15s'ils vont réussir.
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