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##C_ÉTAIT_MIEUX_DEMAIN-2025-12-27##

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Transcription
00:00Alors je disais que je faisais souvent cette route à vélo de Bagnoules-sur-Mer jusqu'à Argelès-sur-Mer,
00:05ben on fonce à Argelès-sur-Mer. Florent est là, bonjour Florent.
00:10Oui bonjour, alors c'est pas Florent d'Argelès-sur-Mer, c'est Florent d'Argelès-sous-le-Eau, actuellement.
00:18Ah ouais, parce que le maire de Bagnoules-sur-Mer nous disait, bon il pleut beaucoup mais ça va se calmer,
00:24mais vous sentez quand même que les dégâts sont un peu costauds aussi, non ?
00:31Alors c'est un épisode, moi j'ai jamais connu ça à Argelès, ça fait une dizaine d'années que j'y suis,
00:36on a déjà connu des fortes précipitations avec des crues très importantes,
00:42des voitures qui étaient emportées par la Massane qui est le cours d'eau à Argelès,
00:48mais c'était très ponctuel. Là en fait on a quelque chose d'un peu nouveau,
00:51c'est beaucoup de pluie, c'est pas très très intense, même si on est à l'art orange,
00:55mais c'est surtout sur la durée. Donc à force d'avoir des pluies, on a des sols qui sont gorgés d'eau,
01:00des routes qui sont inondées, et concrètement ça se traduit par des routes qui sont barrées,
01:06moi j'ai vu des panneaux que j'avais jamais vus sur le côté de la route,
01:08il y a des routes dans les bois Argelès, un petit panneau que je ne connaissais pas,
01:11et d'un coup j'ai vu, ils l'ont mis perpendiculaire, et c'est route barrée pour cause d'inondation,
01:15c'est la première fois que je le vois, avec des cours d'eau qui débordent,
01:19des ruisseaux sur le côté qui débordent aussi sur les routes.
01:25Voilà, on a beaucoup de problèmes à circuler, en fait la pluie à Argelès,
01:29c'est un peu comme la neige à Paris, dès qu'on a un petit peu nous, c'est la panique.
01:32Ah joli pour le clin d'œil, je vous confirme Florent, je vous confirme.
01:36Est-ce que ce sont justement les routes de la côte ?
01:39Alors là, je parlais pour les grimpeurs, désolé, la passion du cyclisme,
01:43ça vous fait un homme, mais si on va de l'autre côté, vers Saint-Cyprien, le Canet, etc.,
01:49là, les inondations, ce que vous nous disiez, les routes barrées, c'est très présent,
01:55ou alors c'est plus vers le centre, vers les terres, vers Helnes, etc., etc. ?
02:01Alors je ne suis pas allé dans ces coins-là, je ne pourrais pas vous répondre.
02:04Ce que je sais, c'est que Argelès, les routes qui sont barrées,
02:07c'est celles qui sont près des cours d'eau, forcément.
02:08Et puis aussi, je vous parlais de routes dans les bois, un petit peu,
02:11donc là, il y a quand même pas mal de petits marécages secs,
02:15et qui là, sont saturés d'eau, et ça fait que les routes sont barrées.
02:20Comme le disait le maire de Bagnouls, effectivement,
02:23les promenades en bord de mer sont très compliquées aujourd'hui,
02:27avec une mer qui était un peu chaînée, qui déborde,
02:29donc on est juste de se promener, c'est dommage, c'est Noël,
02:33en famille, on aime bien faire ça.
02:35On passe souvent Noël au balcon, ben là, ça sera Noël plutôt au tison,
02:39et sans les balades au bord de mer, pour des questions de sécurité,
02:44comme l'a expliqué M. Solé de Bagnouls.
02:47De Bagnouls.
02:48Depuis ce matin, vous êtes assez nombreux à intervenir sur l'antenne de Sud Radio
02:52pour nous faire part de la situation.
02:56Ce qu'on ressent, Florent, vous, Argelès-sur-Mer,
02:58est-ce que vous le confirmez, c'est que quand même,
03:00cette pluie, même s'il y a des dégâts, qu'est-ce qu'elle est la bienvenue ?
03:04C'est clair, c'est vrai que nous, on est traumatisés à de la sécheresse,
03:08dans les PO, il y a trois ans, il y a eu en situation d'ultra sécheresse,
03:13on vous en avait parlé avec les mesures qui étaient drastiques,
03:16on met toujours des seaux sous la douche pour récupérer l'eau,
03:20l'eau devenait une ressource très très précieuse,
03:22on s'en est vraiment rendu compte, on le savait déjà,
03:24mais vraiment lors de cet épisode de sécheresse,
03:27et nous ici, on est très contents finalement d'avoir de la pluie,
03:29alors évidemment, là, il y a des agréments,
03:30mais comme on l'a dit, ils ne sont pas majeurs,
03:33les poubelles ne sont pas ramassées dans certains quartiers,
03:35par exemple, on va faire avec,
03:37parce qu'on est tellement contents d'avoir de l'eau,
03:39d'avoir les nappes créatrices qui sont remplies à nouveau,
03:43c'est bon pour nous, c'est bon pour les agriculteurs,
03:45c'est bon aussi pour les taux d'eau cet été,
03:47moi j'ai une pharmacie, je suis pharmacien,
03:49alors je laisse sur mer,
03:50ma pharmacie, elle s'appelle la pharmacie du soleil,
03:52en ce moment, elle porte assez mal son nom,
03:54Je connais, je connais.
03:56Vous connaissez la pharmacie du soleil ?
03:58Oui, oui, oui, tout à fait.
04:00Vous serez bienvenue la prochaine fois,
04:02et on a un dégât des eaux actuellement,
04:04on a un dégât des eaux,
04:05donc il y a quelques gouttes qui tombent du plafond,
04:08parce qu'on ne l'a pas eu,
04:12on n'a pas eu autant d'eau depuis un moment,
04:13mais ce n'est pas grave,
04:14tout le monde le prend entre guillemets avec le sourire,
04:16c'est ça la tendance.
04:17Bienveillance cette pluie,
04:18comme il n'y a pas de dégâts, c'est bienveillance.
04:20Ça me permet de rebondir peut-être sur le pouvoir d'achat ?
04:23Oui, évidemment, vous êtes le bienvenu.
04:27Si vous souhaitez, Frédéric ?
04:28Bien sûr, bien sûr, Florent,
04:30parce qu'on va donner la parole aux auditeurs,
04:33laquelle des quatre principales préoccupations des Français
04:35vous semble-t-elle la plus urgente ?
04:37Alors, nous n'avons pas choisi arbitrairement ces quatre points,
04:40on se base sur un sondage qui est sorti
04:42chez nos confrères du Figaro,
04:43donc dans l'ordre, c'était le pouvoir d'achat,
04:45l'insécurité, l'immigration, la pauvreté.
04:47Sur le compte X de Sud Radio,
04:49vous êtes nombreux à réagir,
04:51c'est l'immigration à 50% qui, pour vous, est la plus urgente,
04:54devant à 21% l'insécurité,
04:56le pouvoir d'achat à 19%,
04:58la pauvreté à 10%.
05:00Vous, Florent, vous nous dites le pouvoir d'achat.
05:03Oui, alors, l'immigration,
05:06je laisse sur mer,
05:08on ne sait pas forcément ce que c'est,
05:10donc pour moi, ce n'est pas un problème,
05:12particulièrement, ce n'est pas une priorité.
05:14L'insécurité aussi,
05:15on ne sait pas trop ce que c'est,
05:16je ne vais pas caricaturer,
05:18mais vraiment, on a une ville qui est relativement sûre.
05:22Moi, j'ai habité en Seine-Saint-Denis.
05:24C'est sûr, ça change un petit peu, oui.
05:26Je ne me sens vraiment pas du tout en insécurité,
05:28mais jamais à Argelès-sur-Mer,
05:30quand je me promène à toute heure de la journée.
05:32Le pouvoir d'achat, je le vois à la pharmacie,
05:35mais aussi autour de moi,
05:36j'ai des amis restaurateurs, commerçants,
05:39et on se rend compte que c'est très compliqué
05:41pour les Français au niveau du pouvoir d'achat.
05:43Les restaurants font bien moins de couverts que précédemment.
05:49En fait, les gens, j'ai un ami qui a un snack,
05:52et lui, il est débordé.
05:53En fait, on se rend compte que les Français et les touristes
05:56préfèrent aller maintenant prendre un petit sandwich
05:58qui est moins cher qu'aller au restaurant.
06:00Les petites dépenses, on voit bien,
06:02c'est le succès aussi de Chine.
06:04C'est typiquement ce genre de conséquences.
06:08C'est ça, voilà, on va vers le moins cher,
06:11quitte à avoir un peu moins de qualité
06:13ou un peu moins de quantité.
06:15À la pharmacie, ça se traduit par,
06:17lorsque j'ai quelqu'un qui a des maux de gorge,
06:20il faut prendre un collutoire et des pastilles.
06:23La plupart, c'est ce qui est nécessaire
06:25pour traiter une origine virale.
06:28Par contre, aujourd'hui,
06:29les gens vont prendre que l'un ou l'autre.
06:32Oui, parce que ce n'est pas remboursé
06:33par la sécurité sociale.
06:35Tout à fait, tout à fait.
06:36Et donc, quand c'est viral,
06:38ce n'est pas remboursé.
06:39Quand c'est bactérien,
06:39on peut faire un test
06:40et préférer un antibiotique.
06:42Donc là, ça sera pris en charge à 100%.
06:43Mais dans ce cas-là,
06:44ou quand on ne s'est pas pris en charge,
06:45on se rend compte que les gens, finalement,
06:47ne prennent plus qu'un des deux produits,
06:49quitte à ce qu'ils aient mal un peu plus longtemps.
06:51Et voilà, et ça, c'est dommage.
06:52Je trouve que c'est pour ça
06:54que ça devrait être une priorité
06:55au niveau des Français,
06:55le pouvoir d'achat.
06:56Maintenant, les quatre sont importants.
06:57Vous me parlez de la pauvreté, évidemment.
06:59Comment ne pas dire que la priorité,
07:00ce n'est pas une priorité.
07:02D'ailleurs, le terme de précarité
07:04est associé à pauvreté
07:05dans le fameux sondage.
07:07Alors, vous savez ce qu'on va faire, Florent ?
07:09Je vais vous laisser le micro
07:10parce que vous êtes intervenant
07:11sur nos trois gros sujets,
07:14c'est-à-dire la météo
07:15dans les Pyrénées-Orientales,
07:17la grippe,
07:18parce que vous pouvez aussi,
07:19vous êtes pharmacien.
07:21Et donc, cette question,
07:22laquelle de ces quatre
07:23principales préoccupations des Français
07:25vous semble-t-elle la plus urgente ?
07:27Merci, cher Florent.
07:28Je vais prendre votre place, Frédéric, attention.
07:29Allez, prenez-la, prenez-la.
07:31Je vous la laisse avec plaisir.
07:32Merci et plein de bonnes choses
07:34dans ce si beau Argelès-sur-Mer
07:36qui me rappelle mes amours de jeunesse.
07:39Voilà.
07:40Au plaisir de vous recevoir.
07:41Avec grand plaisir.
07:43Bonne journée.
07:440826.
07:45300.
07:46300.
07:47Aude vous accueille.
07:48Ah ben, écoutez,
07:49c'est hommage aux Pyrénées-Orientales
07:51puisqu'on va à Perpignan.
07:53C'est Simon.
07:54Simon.
07:55Bonjour.
07:56Bonjour.
07:56Bonjour, Frédéric.
07:57C'est spécial 66 aujourd'hui.
07:59À peu près, oui.
08:01Mais il y a des raisons quand même.
08:02Oui, il y a des raisons.
08:03C'est normal.
08:04Bon, alors vous,
08:05pouvoir d'achat, insécurité,
08:06immigration ou la pauvreté,
08:08c'est quoi le plus urgent ?
08:09Insécurité.
08:10Mais d'abord,
08:11je voulais,
08:11si je peux me permettre,
08:12porter une petite réponse
08:13concernant la question
08:14que vous avez posée sur elle
08:15concernant les inondations.
08:16Ah oui ?
08:17Je suis passé hier.
08:18Non, non,
08:18il n'y a absolument rien.
08:20Argelès,
08:20si je suis passé,
08:21effectivement,
08:22c'est les passages à guillet
08:25comme on en a beaucoup
08:25ici dans le secteur
08:26qui sont effectivement
08:28impraticables.
08:28Il y a des barrières âgées
08:29qui sont prévues,
08:30qui ne sont jamais utilisées,
08:32mais qui sont maintenant mis,
08:33qui sont mis de telle manière
08:35à empêcher le passage.
08:37Bon, les passages à guillet,
08:38je ne sais pas si tout le monde
08:39sait ce que c'est.
08:40C'est des passages définitifs
08:41à fleur de l'eau.
08:42Et si, effectivement,
08:43il y a trop d'eau,
08:44on ne peut plus l'entretenir.
08:45Ça s'y prête.
08:46Bon, vous rentrez dans la caste...
08:47Je me permets de préciser la chose.
08:49Simon, vous rentrez dans la caste
08:50des auditeurs polyvalents
08:52de ce matin,
08:53capables d'intervenir
08:54sur tous les sujets.
08:55Alors, revenons.
08:56Donc, vous,
08:57vous optez sur la question
08:58de l'insécurité.
08:59Pour vous,
09:00c'est le plus important.
09:01Tout à fait.
09:02Bon, également,
09:03je vais apporter une petite réponse
09:04à notre amie pharmacienne
09:05d'Argelès,
09:06que je dois reconnaître sûrement.
09:08Voilà, concernant l'insécurité,
09:10je l'invite fortement
09:11à l'Argelès
09:12au mois de juillet et août.
09:14Oui, j'allais faire
09:15le clin d'œil.
09:15Oui, effectivement.
09:17Oui, oui.
09:18Notamment au mois d'août.
09:19Encore un peu plus au mois d'août.
09:20Oui, c'est un peu tendu.
09:22Un peu tendu.
09:22Voilà, et je pense
09:23qu'il va vite
09:23à Saint-Génavis.
09:24Évidemment,
09:24la Seine-Saint-Denis,
09:25que je connais également,
09:26pour y avoir travaillé
09:27très longtemps,
09:28j'imagine que le choc
09:30est quand même différent.
09:31Voilà.
09:31Enfin bon,
09:32vous habitez au Rinci,
09:34en Seine-Saint-Denis,
09:35c'est très calme aussi.
09:36Enfin bon, bref.
09:36Alors, vous, insécurité.
09:38Le village volois,
09:39oui, ça marche,
09:39mais pas longtemps.
09:42Allez-y, Simon.
09:43Bon, l'insécurité,
09:44bon, comme on ne cesse
09:45d'en parler,
09:46que ce soit
09:47tous les faits de société
09:49qui sont toujours
09:50reclassés en faits divers,
09:52de telle manière
09:52à minimiser l'impact.
09:55Le sentiment d'insécurité
09:56de M. Dupond-Moretti,
09:58bon, je pense qu'il doit vivre
10:00dans un arrondissement
10:01très protégé
10:02et dans un monde
10:03de bisounours.
10:05Donc voilà,
10:05c'est tous ces choses-là,
10:07le gouvernement
10:07ne s'y intéresse pas.
10:09C'est même de toute façon
10:10inquiétant
10:11de voir qu'un gouvernement
10:12n'est pas capable
10:13de trouver des solutions.
10:15Les émeutes,
10:15les émeutes,
10:16de toute façon,
10:16il n'y a pas 36 000 solutions.
10:19Au lieu d'avoir peur
10:20de la lacasse
10:20et peur d'avoir
10:22des dommages collatéraux
10:24et qui peuvent être
10:25des dommages humains,
10:26à un moment donné,
10:26de toute façon,
10:27il faudra faire ce choix-là.
10:28Il n'y a pas
10:29d'autre possibilité.
10:31Il faut de toute façon,
10:32il faut utiliser
10:33quasiment les mêmes armes
10:34pour pouvoir
10:35de toute façon
10:36arriver
10:37à remettre
10:38de l'autorité.
10:39Il faut protéger
10:40la police,
10:40il faut obliger
10:41les juges
10:42à prendre
10:43leur responsabilité
10:44d'être sanctionnés
10:45dans les cas
10:46de, je veux dire,
10:47de décisions
10:48complètement absurdes.
10:49Même si, Simon,
10:51les juges
10:52appliquent les lois
10:53donc chargent
10:53aussi aux députés
10:55de voter des lois
10:56qui inciteront
10:57les juges
10:58à sanctionner
10:59différemment.
11:00Aussi, rappelons-le.
11:01Je l'entends.
11:03Légiférer,
11:03c'est une chose,
11:05mais légiférer
11:05en interdisant
11:06l'interprétation
11:07des lois
11:07ou en annulant
11:09les lois intérieures
11:11de telle manière
11:12qu'on ne puisse pas
11:13rebondir
11:13sur quelque chose
11:15de plus favorable
11:15pour les mises en cause,
11:17c'est des choses
11:17très importantes.
11:18Pourquoi on fait
11:19un millefeuille de loi ?
11:21Pourquoi aux Etats-Unis,
11:23on ne travaille
11:23que par amendements ?
11:25Amendements,
11:25tout en plus larges,
11:26qui permettent
11:27à un moment donné
11:28de prendre
11:28une décision radicale.
11:30Nous, non,
11:30on trouve toujours
11:31des excuses.
11:32On est dans la société
11:34des excuses.
11:35La société n'est pas
11:36responsable
11:37de gens qui sont déviants
11:38ou n'ont pas
11:39une responsabilité absolue.
11:41Les gens déviants
11:41sont des gens déviants,
11:43qu'ils soient français
11:44ou d'origine étrangère,
11:45étranger.
11:46De toute façon,
11:47la sanction
11:47doit être là.
11:48Elle doit être appliquée.
11:50Un juge des libertés
11:51qui décide de libérer
11:53parce qu'il a vu
11:53un dossier
11:54et qu'il a vu
11:55un gentil mouton
11:55qui se tenait un carreau
11:56dans sa petite cellule,
11:58alors qu'il a complètement
12:00occulté les faits
12:01qui l'ont amené
12:02à être en prison,
12:03c'est un juge
12:03qui est inadapté.
12:05C'est un axe
12:05effectivement.
12:06C'est un axe
12:07de réflexion.
12:08Et vous rappeliez
12:09l'insécurité.
12:11On peut aussi dire
12:12qu'à travers les émeutes,
12:14par exemple,
12:14l'insécurité coûte cher.
12:16Il y a beaucoup
12:16de dégradations.
12:18Et du coup,
12:18on a l'impression
12:19à chaque fois
12:19de devoir payer.
12:21Alors,
12:21c'est un million par-ci,
12:23un million par-là.
12:24Mais quelque part,
12:24on va arriver aussi
12:25à un déficit
12:27qui est creusé.
12:27Merci beaucoup, Simon.
12:28Je vous souhaite
12:29une bonne fête
12:30de fin d'année.
12:30Merci de m'avoir.
12:31Merci de m'avoir.
12:32Allez, on a eu beaucoup
12:34quand même nos amis
12:35des Pyrénées-Orientales.
12:37On va remonter
12:37vers la capitale.
12:38Claire est là
12:39depuis Paris.
12:40Bonjour.
12:41Moi, la journée
12:42démarre bien.
12:43Merci beaucoup.
12:44Alors, comme a dit
12:45votre charmante collaboratrice.
12:47Donc, vous parlez d'Aude
12:48au standard.
12:51Oui, je suis fidèle auditrice
12:53et je laisse souvent
12:54des messages.
12:54Alors, il y a donc
12:56ces quatre possibilités.
12:58Le pouvoir d'achat,
12:59l'insécurité,
13:00l'immigration
13:00ou la pauvreté.
13:01Pour vous,
13:01qu'est-ce qui est le plus urgent ?
13:03Alors, en premier,
13:04l'insécurité.
13:05L'insécurité qui crée
13:07cette ambiance délétère
13:09qui malheureusement
13:10a grandi depuis 2017.
13:14Et là, hier,
13:16ce qui s'est passé
13:17dans le métro,
13:18moi, je suis en colère.
13:21Voilà.
13:21Donc, on rappelle,
13:22ligne 3 du métro,
13:233 femmes ont été agressées
13:25par un même auteur
13:27qui a été arrêté.
13:28Un homme de 25 ans
13:29en situation irrégulière
13:31arrêté à Sarcelles.
13:32Voilà.
13:33Voilà.
13:34Alors, moi, je vais dire
13:35qu'ont-ils fait de notre pays ?
13:39Alors, je n'entends jamais
13:42des anciens premiers ministres,
13:44des anciens ministres de l'Intérieur
13:46nous demander pardon.
13:48Voilà.
13:49Et cette insécurité,
13:53crée une ambiance
13:55de...
13:57Les gens n'ont pas trop envie...
13:59Ça donne moins envie même
14:00d'acheter,
14:02de consommer.
14:03On parle le matin,
14:04on se dit
14:04qu'est-ce qui va arriver ?
14:06Là, je trouve ça très grave.
14:10C'est révélateur.
14:11Et en plus, là,
14:12ce sont des femmes.
14:13Une fois de plus.
14:14Alors, on ne peut plus sortir
14:15comme on veut.
14:17Si on veut sortir le soir
14:18et on est une femme seule,
14:19on est obligé de s'organiser
14:20ou alors on est obligé
14:21de rentrer plus tôt.
14:21Ce n'est pas normal.
14:24Voilà.
14:24Alors, cela a un coût,
14:26un coût humain.
14:27Moi, je pense à tous ces policiers
14:29qui ont fait un travail hier encore
14:30pour retrouver cet individu.
14:33Oui, ça a été très rapide.
14:35Et ces policiers qui vont être
14:36hyper sollicités
14:37parce qu'il y a la nuit
14:38de la Saint-Sylvestre qui arrive
14:39et que ça va être encore,
14:41pour eux,
14:42très, très, très tendu.
14:44Et comme disait
14:45votre confrère sympathique,
14:48Philippe David,
14:49on va encore dénombrer
14:51le nombre de centaines
14:51de voitures brûlées ?
14:52Oui, oui, oui.
14:53Et en plus,
14:54cette insécurité,
14:56même pour des investisseurs,
14:59ils disent,
14:59mais la France devient quoi ?
15:00Alors, moi aussi,
15:01il y a aussi une chose
15:02qui me...
15:03Alors, les gens ont peur.
15:04Du coup,
15:05les gens interviennent moins.
15:09Non, c'est plus possible.
15:11Oui, et d'autant clair,
15:13intervenir,
15:15on essaye d'intervenir
15:16et imaginons qu'on blesse
15:18la personne qui a agressé.
15:20Moi, j'ai des cas de figure.
15:21J'ai un ami chauffeur de taxi
15:23qui est intervenu.
15:26Donc, pour défendre la personne,
15:29il a dû blesser l'agresseur
15:32et l'agresseur a porté plainte.
15:33Eh oui.
15:34Alors, moi,
15:35ce que je propose,
15:37mais ça ne va peut-être
15:38pas être possible,
15:40malheureusement,
15:41des manifestations pacifiques,
15:46des rassemblements pacifiques
15:47devant ou les préfectures
15:49ou les mairies.
15:50Voilà.
15:51Et je voudrais que les Français
15:52ouvrent les yeux.
15:53Et moi, je dis toujours
15:54qu'ont-ils fait de notre pays ?
15:57Voilà.
15:57La France est un pays merveilleux.
15:59Il y a tout pour réussir.
16:01Et là,
16:01par une minorité
16:02de gens
16:04qu'on n'a pas accueillis
16:06et qui embêtent
16:07le quotidien de la France
16:08qui bouge,
16:09qui travaille,
16:10qui se démène,
16:10vous en parlez assez
16:11des petits artisans,
16:13des commerçants,
16:14ils n'en peuvent plus
16:14les commerçants,
16:15des médecins,
16:17des professeurs.
16:18Mais comment redresser
16:19tout ça ?
16:20Et là, je pense,
16:20malheureusement,
16:22les gens vont réagir
16:25au municipal.
16:26Là, ce n'est pas possible.
16:26ça va être effectivement
16:27un premier grand test.
16:31Merci, Claire.
16:32Vous nous appeliez de Paris
16:34dans un contexte particulier
16:35après l'agression d'hier
16:37dans le métro.
16:38Et votre témoignage
16:39était donc très important.
16:41Merci d'avoir été nombreux
16:42à réagir sur le compte
16:43X de Sud Radio
16:44au 0826 300 300.
16:47Et on espère, bien sûr,
16:48qu'en 2026,
16:49on ait quatre autres préoccupations.
16:51Peut-être un peu plus
16:52comme l'enseignement,
16:55l'emploi,
16:56ça serait tellement bien.
16:57Bon, on a gagné des places.
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