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Punchline - La vie politique au cœur des préoccupations des Français, une première
Europe 1
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il y a 2 jours
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00:00
Voilà, il est 18h02min20s, nous sommes en direct sur CNews et sur Europe 1 avec Eric Nolot, bonsoir Eric.
00:06
Bonsoir Laurence, bonsoir à tous.
00:07
Ravie de vous avoir à nos côtés, Catherine Nais en grande forme, bonsoir ma chère Catherine,
00:11
Médon Ragnel, Laetitia Guinan et Gauthier Lebrette qui arrive tout frais, évolue du plateau de Pascal Praud.
00:18
Absolument.
00:19
Sur Europe 1, il était en grande forme lui aussi.
00:21
Vous savez, il est dans une forme constante Pascal, il ne faiblit jamais.
00:24
Comme vous, on va parler de Noël tout à l'heure parce qu'il y a péril sur Noël, vous avez entendu mon petit édito Gauthier.
00:30
C'est chaque année la même chose de toute façon.
00:32
Chaque année la même chose mais ça empire un tout petit peu.
00:33
Mais avant cela, j'aimerais quand même vous attirer, attirer votre attention sur une étude du CEVIPOV,
00:39
c'est une étude vraiment très très conséquence, l'Observatoire de la société et de la consommation.
00:45
Pour la première fois, vous savez ce que c'est la première préoccupation des Français ?
00:49
Ce n'est pas le pouvoir d'achat, ce n'est pas la sécurité, c'est la déliquescence de la vie politique.
00:54
Et ça, c'est très nouveau et ça en dit long sur l'état d'esprit de nos compatriotes.
00:58
Explication Vincent Fahendez.
01:01
Un président qui n'écoute pas son peuple, dictature, le système est à bout de souffle.
01:06
Voici les expressions les plus régulières lorsque les Français sont interrogés sur la vie politique française.
01:12
L'instabilité actuelle provoque un certain ras-le-bol chez les électeurs.
01:16
De toute façon, la politique ne sert à rien.
01:18
Les politiques ont de moins en moins la cote et ont de moins de crédit dans la population.
01:22
Selon un dernier sondage pour le Cevipof, la vie politique représente la première préoccupation pour 30% des Français.
01:29
Suivent l'inflation et le pouvoir d'achat, la justice et la criminalité, le budget et l'immigration pour 20% des sondés.
01:38
Ce classement traduit une importante rupture de confiance envers les institutions.
01:41
Quand on ne s'y intéresse pas et on n'y passe pas toute notre journée, c'est compliqué de suivre.
01:47
Effectivement, je n'ai pas l'impression qu'on avance beaucoup en ce moment.
01:50
Je ne suis pas hyper dépaissie. Je pense qu'on va réussir à y avancer un jour.
01:54
Dans ce cas, cette étude sera complètement différente, comme tous les 5 ans.
01:58
Par exemple, en 2015, c'est le marché de l'emploi qui inquiétait 65% des personnes interrogées contre 7% aujourd'hui.
02:06
En 2020, crise sanitaire oblige, c'est bien la santé qui arrivait en tête pour 61% des Français.
02:14
Enfin, cette étude prouve le lien important entre les affinités politiques et les préoccupations.
02:20
L'immigration est par exemple citée par 60% des personnes se situant très à droite,
02:25
contre 5% pour les sympathisants de la gauche extrême.
02:28
La situation est grave, Gauthier Lebrecht, parce qu'on ne peut pas dire que l'inflation, le pouvoir d'achat,
02:32
la justice, la criminalité, l'immigration ne sont pas des sujets.
02:35
Mais là, ils se disent, mais en fait, on va dans le mur.
02:38
Notre classe politique nous emmène droit dans le mur en klaxonnant.
02:41
La faute à qui ? La faute à qui ?
02:43
Qui a fait une dissolution de manière totalement inconséquente,
02:45
provoquant le blocage de nos institutions et un enchaînement de premiers ministres
02:51
qui tombent les uns après les autres devant le Parlement ?
02:55
Nous vivons dans un pays où des chaînes de télé qui rencontrent un public,
03:00
un fort public, peuvent être fermées du jour au lendemain, je pense évidemment à ces 8.
03:03
Nous vivons dans un pays où la favorite de l'élection présidentielle va peut-être être empêchée définitivement
03:08
à la rentrée 2026 de se présenter au suffrage des Français, je pense bien sûr à Marine Le Pen.
03:14
Nous vivons dans un pays où le chef de l'État évoque des labels confiés à une officine d'extrême-gauche
03:19
pour mettre au pas les médias qui ne conviendraient pas à la présidence de la République et à l'Élysée.
03:25
Je peux continuer comme ça longtemps.
03:26
On a dit que François Fillon avait été lui aussi foudroyé et que la présidentielle de 2017 avait été faussée.
03:33
Il y a plein d'exemples.
03:34
Et puis il y a ce Parlement qui est devenu évidemment une scène où on s'empoigne verbalement
03:40
et parfois même il y a eu des incidents physiques,
03:43
avec un groupe de la France insoumise dans son langage ultra-violent,
03:49
avec des profils sulfureux.
03:50
Raphaël Arnaud a été condamné définitivement pour violence en Réunion.
03:55
Donc tout cela évidemment fait partie d'un tout qui doit inquiéter les Français.
04:01
Et que le pouvoir d'achat soit rétrogradé comme ça à la deuxième place,
04:04
que l'insécurité passe après l'immigration également,
04:07
ça montre bien évidemment que ce spectacle que donne la classe politique,
04:11
que ce blocage auquel on assiste depuis la dissolution voulue par Emmanuel Macron,
04:17
tout ça évidemment est très inquiétant parce que rien ne bouge, rien ne change,
04:19
aucune réforme n'est possible.
04:20
Vous venez de nous faire un résumé impressionnant du tableau politique que nous avons, Catherine Ney.
04:27
Est-ce que ça n'a jamais été aussi déliquescent ?
04:31
Le Président a voulu donner la parole aux Français le soir des élections européennes,
04:36
où il venait quand même d'avoir passé le claque,
04:40
à la demande de Jordan Bardella, qui venait de gagner,
04:43
qui lui demandait d'organiser des élections législatives.
04:46
Les Français ont voté et le résultat, l'Assemblée, elle est formée des députés qu'ont élus, les Français.
04:55
Donc c'est trois tiers, à peu près, trois tiers, dont deux, enfin il y en a toujours deux pour être contre le troisième.
05:03
Donc c'est quelque chose, c'est un cas de figure unique, jamais, ça ne s'est jamais passé.
05:10
Et donc on n'arrive à rien.
05:11
Alors il y a un an, souvenez-vous, c'était Michel Barnier, qui était Premier ministre,
05:18
qui avait une certaine cote, parce qu'il avait de l'allure, mais vraiment il préparait un budget,
05:22
il était très pressé, il venait d'arriver, c'est très difficile.
05:24
Et il a été renversé, motion de censure, et donc faute de budget,
05:30
et bien c'est eux, il y a une loi sociale, une loi spéciale, qui a été votée en attendant le budget, un nouveau budget.
05:40
François Bayrou est arrivé.
05:41
Les Français ne font plus confiance à leur politique, c'est ce qu'ils nous disent, là ils sont inquiets.
05:44
Ils ne font plus confiance, mais ceux qui sont dans l'hémicycle, ce sont ceux qui ont voté, ils ont voté pour eux.
05:50
Donc il faut qu'ils s'en prennent aussi à leur choix, il faut être aussi responsable de temps en temps.
05:55
C'est vrai, bon, et là, François Bayrou a eu beaucoup de mal à faire voter un budget au début de cette année,
06:03
et puis il s'est vite tiré, fuite à Varennes, pas question de s'occuper du budget à 2026,
06:08
il a dit attention, vraiment la situation est catastrophique, la dette, soyez responsable, et puis...
06:15
Bon, et alors, le corne-mue arrive, et donc le troisième, et donc c'est un métier très périlleux d'ailleurs,
06:22
aujourd'hui Premier ministre, et qui dit, moi je vais inventer quelque chose,
06:26
et pour faire plaisir à la gauche, on n'obtient plus de 49,3.
06:30
Fini, j'en veux plus, j'en veux plus, tout le monde très content.
06:32
Et on discute, et les impôts, et ça tombe en rafale, moi je suis incapable de suivre ce qui se passe au Parlement.
06:38
Bon, en tous les cas, on arrive aujourd'hui, et on voit bien que ça ne plaît pas à tout le monde,
06:44
que le bloc central, amené, avec le Premier ministre, Edouard Philippe,
06:51
le Premier ministre qui ne veut pas voter, le Premier ministre qui voit un à un
06:56
tous les députés horizon pour essayer de les convaincre, mais s'ils ne votent pas...
07:01
Il déjeune trois fois par jour alors.
07:02
Oui, il les voit sûrement, mais si les députés horizon ne votent pas
07:06
parce qu'ils ne votent pas à voter avec les socialistes, parce que c'est ça,
07:08
c'est des mesures socialistes qu'on doit accepter,
07:10
comment Laurent Wauquiez va accepter de voter ce budget.
07:13
Donc c'est très très mal parti, et donc il n'y a qu'une solution.
07:16
Il faudrait que le 49-3 revienne.
07:18
C'est ce que demande François Hollande, alors que les socialistes disaient
07:21
on n'en veut plus. Et voilà M. Larcher qui dit mais oui, vive le 49-3.
07:25
Que va-t-il se passer ? Je n'en sais rien.
07:28
Vous nous donnez l'explication.
07:29
Mais c'est tout et n'importe quoi.
07:30
C'est tout et n'importe quoi.
07:32
Alors il est possible qu'il n'y ait pas de budget,
07:34
qu'on ait une nouvelle loi spéciale qui aura comme effet précis,
07:39
c'est qu'il y aura des augmentations,
07:41
il y aura des tas de choses qui seront revalorisées
07:43
à cause de la loi spéciale, voilà.
07:45
Et puis en janvier, on recommence, il faudra voter un budget,
07:48
le budget de 2026.
07:50
Eh bien c'est n'importe quoi, mais on est arrivé à démontrer
07:54
que la Ve République ne marche qu'avec une majorité
07:58
et que le parlementarisme, c'était pour la Ve République,
08:01
mais pas pour cette République.
08:03
Eric Noulot, je vous vois à la fois rire, mais rire jaune.
08:06
Oui, bien rire jaune parce qu'on ne peut pas rire franchement.
08:08
Mais non, mais notre démocratie est une démocratie représentative.
08:11
Or, tous les jours, les Français voient le spectacle
08:14
offert par leurs représentants.
08:15
Donc ils se disent, voilà, c'est la catastrophe.
08:17
Mais ça va quand même beaucoup plus loin que ça.
08:20
C'est-à-dire que normalement, la classe politique,
08:21
c'est elle qui doit porter la démocratie.
08:23
Et maintenant, elle est perçue, en tout cas,
08:25
moi c'est mon opinion, et c'était celle de quelqu'un
08:27
de beaucoup plus avisé et beaucoup plus célèbre que moi,
08:30
le général de Gaulle.
08:31
les partis sont devenus l'ennemi de la démocratie.
08:34
C'est-à-dire, ils bloquent tout, ils bloquent ce que veut le peuple,
08:37
ils bloquent maintenant même toutes les institutions.
08:39
Plus rien ne se passe parce que les intérêts de partis,
08:42
ils les placent au-dessus des intérêts de la France.
08:44
C'est ce que leur a reproché toute sa vie le général de Gaulle.
08:46
Mais quand il y avait le général de Gaulle,
08:47
il arrivait à forcer un peu la main des uns et des autres.
08:50
Là, il n'y a plus personne de son gabarit.
08:52
Laetitia Guinot, rapidement, et Louis aussi très rapidement.
08:55
Ça, je pense que c'était le plan de base
08:57
de la nouvelle, du nouveau gouvernement Lecornu,
08:59
c'était de pousser tout le monde à souhaiter ardemment
09:01
une clarification, donc une dissolution,
09:04
et de ne pas endosser.
09:05
C'est-à-dire que chacun va pouvoir endosser ça.
09:06
Parce qu'effectivement, aujourd'hui, personne,
09:08
même les analyses politiques, ne comprennent
09:10
quels seront les tenants et aboutissants de ce budget.
09:13
S'il va être voté, pas voté, personne n'y comprend rien.
09:16
Même quand on suit de près, franchement,
09:18
personne ne serait fichu de se dire
09:20
cette taxe-là, elle va être appliquée,
09:21
elle va être constitutionnelle.
09:23
Et en fait, cette espèce d'embrouille à mini,
09:25
cette confusion absolue, qui en fait explique aussi,
09:28
parce que les Français s'inquiètent de cette vie politique,
09:30
parce qu'en fait, ils s'inquiètent de savoir
09:32
si leur inflation, leur pouvoir d'achat, la justice,
09:34
la criminalité, le budget national
09:36
va aller dans le meilleur sens ou pas.
09:39
En fait, c'est complètement corrélé.
09:40
Mais là, plus personne n'y comprend rien.
09:42
Plus personne, enfin, tout le monde est au bord
09:43
de la crise de nerfs.
09:45
Effectivement, c'est exactement ce que voulait,
09:47
quelque part, je pense.
09:48
Moi, mon analyse, c'est ce que voulait Emmanuel Macron
09:50
par le truchement de M. Lecornu.
09:54
Et donc, il y a que chacun, finalement,
09:56
sorte de la séquence complètement éreinté,
09:58
complètement épuisé,
09:59
en applaudissant une dissolution
10:01
qui pourra probablement intervenir.
10:04
Et que, finalement, chacun porte le chapeau de ça,
10:06
que tout le monde soit discrédité.
10:08
Et voilà, pour arriver à quoi, on ne sait pas.
10:10
Mais en tout cas, c'est très réussi.
10:12
Ce plan-là est très, très réussi.
10:13
Parce qu'aujourd'hui, c'est le plan du chaos.
10:14
Aujourd'hui, on est terrain.
10:15
C'est le chaos.
10:16
Louis, qui est Catherine ?
10:17
Pendant des années, on a pensé ou on a cru,
10:19
on a dit que les Français étaient nombrilistes.
10:21
Et en réalité, je pense qu'ils sont tout simplement inquiets.
10:23
Au-delà de la vie politique,
10:24
ils sont inquiets pour leur pays.
10:25
Ils se disent qu'ils voient le sentiment de déclassement,
10:28
ils voient l'insécurité,
10:28
ils voient cet ensemble de choses négatives.
10:31
Et quand ils voient le spectacle
10:33
qui est offert par la vie politique,
10:35
ils sont encore plus désespérés.
10:36
Parce que la vie politique, en réalité,
10:37
est là aussi pour donner de l'espoir
10:39
quand tout est foutu.
10:41
Et donc, je crois vraiment que
10:42
derrière cette question-là,
10:44
ça dépasse très largement la question de la vie politique.
10:47
Simplement des gens qui sont tristes pour leur pays.
10:49
Oui, Catherine.
10:50
Non, non, mais c'est un grand malheur.
10:51
Franchement, on se dit,
10:52
il y a un grand désordre.
10:54
Ces gens sont fous.
10:55
D'ailleurs, on les déteste tous.
10:56
Au point...
10:57
Non, mais c'est vrai.
10:58
On les déteste tous.
10:58
Mais vous, Catherine.
10:59
Mais moi, oui.
11:00
Et vraiment, je zappe...
11:01
Excusez-moi, je zappe sur les chaînes.
11:03
Et quand je...
11:03
Voilà, il y en a que je ne peux plus entendre.
11:05
Oui, d'accord.
11:06
Des chaînes, vous lire.
11:07
Oui.
11:09
Non, je blague.
11:09
Oui, non, mais c'est vrai.
11:11
D'ailleurs, je pense que les Français aussi
11:12
les détestent tous.
11:13
Et il va y avoir des élections.
11:15
Il va y avoir des élections municipales.
11:16
Il va y avoir...
11:17
Et je veux dire,
11:18
s'il n'y a pas de résultat,
11:21
je veux dire que...
11:22
Et comme rien ne marche,
11:24
l'angoisse va s'amplifier
11:27
parce qu'à qui faire confiance ?
11:29
Exactement.
11:29
À qui donner sa voix ?
11:31
Qui va nous sortir de cette folie ?
11:35
Et bien là, pour l'instant,
11:36
les choses sont à claires.
11:37
Gauthier, quel monde allons-nous laisser
11:39
à nos enfants ?
11:39
À votre petit Marcel ?
11:40
Je me pose la question tous les jours
11:42
au-dessus du berceau,
11:43
chère Laurence.
11:44
Les Français les détestent tous.
11:46
C'est Jean-Luc Mélenchon
11:47
qui est le plus détesté
11:48
dans les baromètres d'opinion.
11:50
forcés de constater qu'il y a quand même
11:52
Marine Le Pen et Jordan Bardella,
11:55
si j'en crois, ne serait-ce que les baromètres d'opinion,
11:58
qui ne recueillent pas la même détestation
11:59
que tous les autres.
12:01
Donc quand on dit
12:01
qui va prendre la place
12:05
du potentiel recours,
12:08
quand on voit les sondages même de second tour
12:10
où Jordan Bardella bat l'entièreté
12:13
des potentiels rivaux
12:15
qu'il aura face à lui
12:16
s'il arrive au second tour
12:17
et si l'un des autres se qualifie,
12:20
il les bat tous systématiquement.
12:21
Donc on voit bien que
12:23
chez les Français,
12:24
le RN monte
12:25
et qu'à chaque fois,
12:26
en fait, c'est la même musique.
12:27
C'est-à-dire,
12:27
on ne les a pas essayés.
12:29
On ne les a pas essayés.
12:30
Donc on a essayé tous les autres,
12:31
on a essayé les socialistes,
12:32
on a essayé LR, UMP,
12:34
les centristes.
12:35
Mais ça vaut pour LFI aussi,
12:35
pour votre analyse ?
12:37
C'est-à-dire que LFI,
12:38
je vous dis,
12:39
non, ça ne vaut pas
12:39
parce que Jean-Luc Mélenchon
12:41
déjà se fait massacrer
12:42
au second tour
12:43
face à Jordan Bardella
12:43
à plus de 70%
12:45
pour le leader
12:46
du Rassemblement National
12:48
et Jean-Luc Mélenchon
12:49
est aujourd'hui
12:49
la personnalité politique
12:50
la plus détestée
12:52
par les Français.
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