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Quels seraient les moyens à mettre en place pour lutter efficacement contre le narcotrafic à Marseille ?
Europe 1
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il y a 12 minutes
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00:00
Punchline, 18h-19h, Laurence Ferrari sur CNews et Europe 1.
00:11
18h17 de retour dans Punchline sur CNews et sur Europe 1, on évoquait le narcotrafic,
00:16
la lumière de ce détenu qui est détenu pour narcotrafic de Vendin-Leviel était en liberté.
00:23
Là, il y a la situation à Marseille. Sabrina Agresti-Hourbach, vous êtes avec nous.
00:27
Évidemment, vous êtes marseillaise, vous avez été ministre. Il y a des règlements de compte tous les jours.
00:34
Ma question est très simple. Est-ce que Marseille est tombée ? Est-ce que Marseille est aux mains de la mafia et des gangs de narcotrafiquants ?
00:40
Non, parce que si c'était le cas, personne n'aurait pu manifester. Vous n'auriez eu personne et vous n'auriez pas encore des jambes debout
00:48
pour se dresser contre ces assassins, ces criminels, contre la criminalité organisée, contre le narco.
00:55
Donc non. Mais 6000 personnes, vous n'espériez pas un peu plus de monde ? Les gens n'ont pas peur ? Ils ne sont pas juste terrorisés ?
01:02
Je pense... Alors, je vais vous dire une chose. Je pense qu'il y a plusieurs choses... Moi, j'ai connu mes premières manifestations.
01:09
Vous vous rappelez, je prends toujours cet exemple, mais il est tellement parlant.
01:11
Ibrahim Ali, 95. On sort dehors, on va manifester parce que c'était un crime raciste.
01:17
Ça a été jugé. Et je pense, jusqu'à 49 ans, j'appartiens à cette génération qui sortait, qui n'avait pas les réseaux sociaux.
01:24
N'oubliez pas le rôle des réseaux sociaux. Les gens, quand ils voient un tweet, ou qu'ils envoient un message par Messenger, comme on dit,
01:31
à la famille, ils ont l'impression d'avoir participé, d'avoir soutenu. Non, je pense que l'engagement a changé de forme.
01:37
En fait, ça a changé de forme. Donc ne vous focalisez pas, je pense, que sur le nombre.
01:40
Donc, il y a plusieurs manières de s'engager, et surtout maintenant, avec tous les outils qu'on a.
01:44
Ça, c'est la première chose.
01:45
Mais c'était une preuve de courage de manifester.
01:47
Non, mais j'étais avec la famille dès le lendemain, ou le surlendemain, quand ça s'est passé.
01:53
J'étais devant, à leur côté, et je voulais, comment dire, on ne les lâchera jamais.
01:58
Parce que ce que vit cette famille, il n'y a tellement pas de mots pour le décrire,
02:02
qu'à part être à côté d'eux et dire, comment je peux t'aider, qu'est-ce qu'il peut faire ?
02:07
On parle de la famille qui s'assit.
02:08
Maintenant, on va parler du narco.
02:11
Je l'avais dit, je pense quand même que nous, en France, on ne veut pas le dire, mais moi je le dis,
02:15
on a un pétard, pour ne pas dire autre chose, de sujet avec la consommation de drogue.
02:20
C'est tout, quand vous voyez que la cocaïne devient numéro un devant le cannabis,
02:24
il y a un sujet.
02:24
Les gens ne se droguent pas parce qu'ils vont bien, les gens se droguent parce qu'ils vont mal.
02:27
Les mêmes qui prennent aussi beaucoup de médocs, c'est exactement les mêmes mécanismes.
02:33
J'avais essayé de porter, j'avais porté, et comment dire, je suis partie,
02:38
beaucoup trop tôt, j'ai quitté mes fonctions, je n'ai pas eu le temps de finir mon travail,
02:41
parce que ce sont des politiques au long cours.
02:43
Moi, encore une fois, j'appartiens à une époque où on faisait de la prévention,
02:47
où on nous apprenait, entre guillemets, vous vous rappelez de ce clip,
02:49
la drogue c'est de la merde.
02:50
Vous voyez, on appartient tous au fait.
02:52
À un moment donné, on a oublié le mot prévention,
02:54
parce que dès que tu dis ça, tu es d'extrême gauche.
02:56
Ah non, non, non, la prévention, ça compte.
02:58
Dès que tu parles de lutte contre les conduites addictives,
03:00
pareil, on ne peut pas en parler.
03:01
Mais si, il faut en parler, parce qu'encore une fois,
03:04
ces gens, ces narcotrafiquants, ces criminels, c'est du business.
03:10
Si vous touchez à leurs intérêts financiers,
03:12
c'est là où vous les mettez en tension.
03:15
D'où les places net XXL, on savait qu'ils allaient avoir une réponse
03:17
très forte de leur côté.
03:19
Et vous savez, dans tous les combats,
03:21
il y a un engagement et donc un prix à payer.
03:24
Regardez Amine Kessassi et sa maman et sa famille,
03:26
et sa soeur, j'en profite ce soir pour les embrasser.
03:29
Mais la réalité, c'est que eux, nous, nous tous,
03:33
c'est le seul sujet qui peut faire, selon moi,
03:36
non seulement consensus, et c'est un sujet d'union nationale.
03:40
Et je parle de la lutte contre le narco.
03:41
Bien sûr. Gauthier Lebrecht.
03:42
On ne peut pas nier qu'il y avait de la peur.
03:44
Évidemment, sinon la manifestation aurait été,
03:47
à mon avis, plus importante,
03:48
qu'il n'y ait pas de grande personnalité marseillaise.
03:50
On a dit où sont les rappeurs marseillais,
03:52
où est Djoule, où est Soprano.
03:54
On ne peut pas nier la peur.
03:55
À partir du moment, et d'ailleurs, on peut l'entendre,
03:58
que les gens aient peur.
03:59
Il y a le frère d'un militant qui est très courageux,
04:03
qui a perdu son premier frère dans le coffre d'une voiture brûlée,
04:06
qui s'est fait abattre, qui s'est fait assassiner.
04:10
Évidemment qu'il y a de la peur.
04:11
Alors, vous nous dites, Marseille n'est pas tombée,
04:15
la ville n'est pas aux mains des narcotrafiquants.
04:18
Fort heureusement, il y a un maire, il y a un préfet,
04:21
il y a une agglomération.
04:23
Mais il y a un État fort ?
04:25
Ça, c'est la question.
04:26
Est-ce qu'il y a un État fort ?
04:26
Moi, l'État, à Marseille, ne me semble pas...
04:29
Parce que vous ne connaissez pas Marseille.
04:30
Alors, j'y suis allé plein de fois.
04:31
Vous n'y avez pas vécu, vous n'y êtes pas né.
04:33
Vous ne me faites pas l'offense de me dire que je connais Marseille.
04:35
Non, mais il y a des dizaines de milliards.
04:38
Il y a des dizaines...
04:38
Oui, d'accord, donc dans ce cas-là, on s'arrête de discuter.
04:40
Non.
04:40
Parce que je n'ai pas vécu à Marseille.
04:41
Il y a des dizaines de milliards qui ont été injectés dans cette ville,
04:43
notamment par le Président de la République,
04:45
qui a fait de cette...
04:45
Des dizaines de milliards.
04:46
Le plan Marseille-en-Grand, c'est 5 milliards.
04:47
Il y en a eu plusieurs, et il est allé...
04:50
Des plans Marseille-en-Grand ?
04:51
Non, mais il est allé plusieurs fois dans cette ville.
04:53
D'accord.
04:53
Excusez-moi, il n'y a pas...
04:54
D'accord, voilà.
04:55
Donc, je termine une phrase.
04:57
Et rien n'a changé, rien n'a bougé.
05:00
On a eu un record d'homicides l'année dernière,
05:05
dans les règlements de comptes.
05:06
On a des jeunes filles qui meurent dans leur chambre
05:08
en train d'étudier leurs leçons.
05:10
Je pense à Sokaïna.
05:11
Et évidemment que les premières victimes, en plus,
05:13
c'est les classes populaires,
05:14
parce que c'est dans ces quartiers-là.
05:16
C'est qui qui est placé pour le savoir.
05:17
Oui, mais je n'ai pas dit le contraire.
05:18
Et que, donc, ce que je veux dire,
05:19
c'est que c'est en plus une thématique de gauche
05:21
et on n'entend pas la gauche sur ce sujet aussi.
05:23
Ah, de Sabrina.
05:24
C'est de la gauche.
05:24
Je ne vous dis pas que...
05:26
Et ils ont voté contre la loi narco.
05:28
Vous avez complètement raison.
05:29
Alors, la solution, c'est quoi ?
05:31
Sabrina, Sabrina, c'est quoi la solution ?
05:34
Attendez.
05:35
On va juste laisser la parole,
05:37
une demi-seconde sur les solutions.
05:38
Non, mais après,
05:38
comment on peut sauver Marseille ?
05:40
Vous savez, à force de faire tout le temps des raccourcis,
05:41
de dire n'importe quoi,
05:43
non, il n'y a pas eu des dizaines de milliards
05:44
investis à Marseille.
05:45
Ce n'est pas vrai.
05:46
Marseille a juste essayé,
05:47
avec le plan Marseille-en-Grand,
05:48
de rattraper un retard.
05:49
Sur les écoles,
05:50
vous connaissez mon école,
05:51
vous êtes venus à Marseille.
05:52
Sur l'école, je parle là où j'étais,
05:54
quand j'étais petite.
05:55
Les écoles, Marseille-en-Grand,
05:56
c'est un milliard.
05:57
Est-ce que c'était trop de mettre un milliard
05:59
pour rénover...
06:00
Et personne n'a dit ça ?
06:00
Voilà.
06:01
Personne n'a dit ça.
06:01
Vous savez fabriquer Gauthier Lebrette ?
06:03
Est-ce que vous savez fabriquer des...
06:04
Alors, je vous pose la question.
06:05
Je pose la question à tout le monde.
06:07
Tu sais me faire des écoles en un an ?
06:09
Sors-moi 188 écoles.
06:10
Si tu sais le faire,
06:11
on te prend tout de suite sur Marseille-en-Grand
06:12
et faut que...
06:13
Écoutez, tout va bien à Marseille.
06:14
Non, non, non.
06:14
Tout va bien à Marseille.
06:15
C'est formidable.
06:16
C'est formidable, Marseille.
06:18
Je veux pas que vous plaît.
06:19
Non, mais au bout d'un moment, ça va, quoi.
06:20
C'est formidable, Marseille.
06:21
Tout le monde a envie de vivre à Marseille.
06:23
Vous savez faire du logement social en un an ?
06:24
Vous savez faire du logement social en un an ?
06:24
Mais qui dit mon frère ?
06:26
On peut faire de ça.
06:27
Il y a des morts en permanence dans cette ville.
06:29
Enfin, il y a des morts très régulièrement.
06:30
Parce qu'il y a des gens qui consomment de la drogue
06:31
qui viennent acheter dans nos quartiers de la drogue.
06:33
Ça vous a échappé, ça aussi ?
06:35
Non.
06:35
Ça vous a pas échappé ?
06:35
C'est pas le seul sujet, le consommateur.
06:37
Ah, c'est quoi, alors ?
06:38
Non, mais c'est pas le seul sujet.
06:39
Je ne dis pas que c'est pas un sujet.
06:41
Alors, c'est lequel ?
06:41
Le narcotrafic, les tueurs,
06:44
c'est pas les consommateurs qui ont tué Médic et Sassi.
06:47
D'accord.
06:47
Est-ce que vous connaissez l'histoire de Médic...
06:49
Est-ce que vous connaissez la famille Kassassi ?
06:50
Est-ce que vous connaissez son histoire ?
06:52
Mais si je connais l'histoire du...
06:54
Enfin, c'est quoi ce sujet ?
06:55
Non, s'il vous plaît, là, on ne va pas juste faire un duel.
06:57
J'arrête.
06:58
Non, non, ce que je veux dire,
06:59
ce que je veux dire, c'est que les politiques publiques,
07:02
et vous ne me ferez pas...
07:03
Franchement, ne m'offensez pas sur ça,
07:05
les politiques publiques, c'est des années,
07:08
c'est des politiques au long cours.
07:10
Tant qu'on sera sur le temps court, on échouera.
07:13
Point.
07:13
Il faut accepter que ce sont des politiques à 10, 15, 20 ans.
07:16
Il faut avoir de la vision, donner de la perspective.
07:19
Et entre-temps, il y a des combats à mener,
07:21
on les mène, on est...
07:22
Moi, en tout cas, je suis tout le temps sur le terrain.
07:24
Vous savez, je ne suis plus ministre, plus rien.
07:27
Le samedi, c'est moi qui représentais
07:29
et le président de la République et le gouvernement.
07:31
Vous voyez, donc, moi, je m'engage.
07:34
Et tout ce que je fais, je ne viens pas dire sur les plateaux.
07:36
J'ai fait toute la journée, je suis avec le collectif des familles
07:39
à essayer d'aider, de reloger.
07:40
Donc, ce que je veux dire, c'est que si on m'explique toute la journée
07:43
que tout est pourri, tout est foutu,
07:45
et que Marseille, c'est fini, et que la France est foutue,
07:47
honnêtement, on n'y arrivera pas.
07:48
On va quitter le plateau et partir.
07:48
Non, moi, j'ai de l'espoir, moi, je pense qu'il faut continuer à se battre.
07:51
Et au contraire, essayer de trouver...
07:53
Un sujet, c'est celui-là.
07:55
La lutte contre le narco, vraiment,
07:57
c'est le sujet sur lequel on devrait essayer de tout s'entendre.
08:00
Et Rachel.
08:01
Et on avance, et on écoutera la maman des gaz.
08:04
Moi, ce que je regrette vraiment,
08:06
c'est que malheureusement, il n'y a pas de consensus politique sur le narco.
08:08
Pour l'instant, vous avez raison.
08:10
Et même parmi les gens qui étaient,
08:12
les élus qui étaient à la manifestation,
08:13
qui étaient en tête de cortège, comme on dit,
08:16
il y en a plein qui n'ont pas voté la loi narcotrafic,
08:19
qui en réalité disent vouloir combattre le fléau,
08:22
mais sont ouverts à un débat sur la dépénalisation du cannabis.
08:25
La France insoumise, par exemple ?
08:26
La France insoumise, par exemple, et d'autres.
08:28
Écologistes.
08:29
C'est la jule candidat de la France insoumise.
08:31
Mais on est ouverts à un débat sur la légalisation du cannabis
08:33
ou la dépénalisation.
08:35
La Maroc.
08:35
Et donc, en fait, je trouve qu'il y a aussi le bal des tartuffes sur cette question-là.
08:40
Et il y a plein de gens qui s'affichent au moment de la mort dramatique de quelqu'un.
08:43
Et derrière, en catimini, ils votent le contraire de ce qu'ils disent.
08:46
Et c'est ça que les Français...
08:48
En fait, c'est pour ça qu'on n'avance pas.
08:49
Et c'est ça que les Français veulent plus voir.
08:51
Mais parce qu'il y a un agenda électoral,
08:52
cette histoire de dépénalisation du cannabis,
08:55
c'est la grande marotte des élections municipales
08:57
ou présidentielles ou législatives.
08:59
alors même qu'on a l'impression qu'on n'a pas un état des lieux construit
09:03
pour pouvoir agir.
09:05
Et évidemment, sans responsabilité politique,
09:07
c'est-à-dire sans le fait de faire un consensus.
09:10
On n'analyse pas assez, à mon sens, aujourd'hui.
09:13
D'où toute la trame entre narcotrafic, terrorisme,
09:17
chute de l'école, ce qui se passe au niveau des clubs.
09:20
La responsabilité des parents quand on parle de l'éducation.
09:23
Toute cette chaîne.
09:24
Ce qui se passe au sein des clubs sportifs aussi.
09:27
Moi, je suis quand même...
09:29
Exactement.
09:30
Rapidement, Jean-Sébastien.
09:32
Oui, mais il y a eu cette déclaration que je trouve incroyable
09:34
du candidat de la France Insoumise à Grenoble
09:36
qui dit « nous ne ferons pas la chasse aux dealers ».
09:38
Donc on voit bien qu'il y a une partie de la classe politique,
09:40
effectivement, en France,
09:41
qui vit très bien pour des raisons électoralistes aussi.
09:45
Parce qu'il faut bien que ces quartiers-là vivent.
09:47
Ce qui est un raisonnement, on peut l'entendre,
09:49
au sens où oui, ça représente des revenus pour les gens,
09:52
mais c'est totalement absurde.
09:53
Mais dans ce cas-là, on n'a qu'à dire
09:54
qu'il y a des gens qui vivent des revenus de la prostitution,
09:56
il y a des gens qui vivent du trafic humain,
09:58
il y a des gens qui vivent du travail des enfants,
10:00
mais dans ce cas-là, ils n'ont qu'à tolérer Chine,
10:01
ou tous les autres combats qu'ils mettent en permanence,
10:05
ils n'ont qu'à en tirer les mêmes comptes.
10:09
Je ne sais pas, c'est ce qu'on a.
10:09
Et encore, cette déclaration est une déclaration d'autre,
10:11
parce que normalement,
10:12
c'est souvent, c'est parfois des députés de la France Insoumise
10:15
qui, avec des fonds publics,
10:17
achètent à des mineurs de la drogue.
10:19
Et qui se font le porte-parole de ça.
10:21
Quand ils ne sont pas dealers.
10:21
Quand ils ne sont pas dealers.
10:23
Le ancien dealer.
10:24
Vous le voyez encore une fois.
10:25
Vous avez raison, c'est un fait.
10:28
Ils ont été élus, vous avez raison.
10:31
Complètement raison.
10:32
Ils ont été élus.
10:33
Ça renvoie, vous avez raison, à une responsabilité des Français.
10:35
Mais il y a quand même à Marseille,
10:36
peut-être quelque chose de spécifique,
10:37
où la mairie, depuis des décennies,
10:39
a laissé, parce que les écoles sont dans l'état dans lequel elles sont,
10:41
elles ne sont pas dans le même état à Lyon, à Lille,
10:43
où il y a quand même une responsabilité des élus marseillais.
10:46
Finalement, ce n'est pas si bien que ça, les amateurs.
10:49
Je voudrais juste qu'on évoque.
10:51
Vous avez raison,
10:52
et s'il y a peut-être une leçon à retenir,
10:55
c'est celle-là.
10:56
C'est dur de mener des politiques publiques,
10:57
et c'est dur de mettre les mains vraiment dans le cambouis,
11:00
dans le mécano administratif,
11:01
parce qu'il ne faut pas oublier qu'on est un pays suradministré
11:04
qui nous a bien aidé pendant le Covid.
11:05
Ça nous a bien arrangé d'être suradministré pendant le Covid.
11:07
Et sauf qu'on ne sait pas absolument pas.
11:09
On n'a pas réussi.
11:10
Merci, merci.
11:12
Merci.
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il y a 2 heures
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