- il y a 11 heures
Et si le vieillissement de la population était le véritable impensé politique de notre époque ? Derrière les chiffres et les discours compassés, on peut imaginer une réalité brutale et rapide, le verso du “Bien Vieillir” : EHPAD et hôpitaux saturés, aidants épuisés, parcours de soins labyrinthiques. Comment un système déjà sous tension va-t-il absorber des millions de patients supplémentaires ? Faut-il construire des centaines de milliers de places d'EHPAD supplémentaires ?
Le Pr Antoine Piau et le Dr Laurent Balardy confrontent l'urgence du réel à l'inertie collective, interrogeant ce qui ressemble - avec le changement climatique - à l’autre grand défi de notre civilisation.
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00:00...
00:00La population était le véritable impensé politique de notre époque.
00:25Derrière les chiffres et les discours qu'ont passé, on peut imaginer une réalité brutale et rapide, en quelque sorte le vaisseau du bien-vieillir et pas d'hôpitaux saturés et d'en épuisé parcours de soins labyrinthiques.
00:35Comment un système déjà sous tension ? Va-t-il absorber des millions de patients supplémentaires ? Vaut-il consulter des centaines de milliers de places d'EHPAD ?
00:42Là aussi supplémentaires, le professeur Antoine Pieux et le docteur Laurent Ballardy vont confronter l'urgence de l'inertie collective, interrogeant ce qui ressemble avec le changement climatique.
00:51Un autre grand défi de notre simulation, notre modératrice sera Philippe Lambert, journaliste au point. Le tout, bisous, vous êtes me disant.
01:01Bonjour à toutes et à tous. Pour commencer, je vais vous présenter rapidement.
01:07A ma gauche, professeur Antoine Pieux, vous êtes gériatre, professeur d'université et directeur médical du groupe Clarion, qui est partenaire de l'événement, mais aussi le vice-président de l'agence numérique de santé.
01:19Et à côté de vous, nous autres, professeur Laurent Ballardy, vous êtes gériatre au CHU de Troubouce et membre du comité exécutif de l'IHUSH.
01:27Alors notre titre est un brin provocateur, mais il a le mérite de poser cette question et de montrer que le vieillissement est aujourd'hui un défi majeur à relever pour notre société.
01:39Je voulais d'abord vous demander, on peut avoir une vision très sombre de ce vieillissement, mais est-ce qu'il faut vraiment s'inquiéter, quitte sur Antoine Pieux, ou est-ce qu'il faut relativiser à toute cette vision sombre qu'on a eue en l'introduction ?
01:56Ça qui est du vieillissement, non, c'est plutôt une réussite. Je pense que pas mal de pays du monde vous réveille le fait qu'on vit vieux.
02:04Mais bon, on pourra détailler plus tard. En revanche, ça va être le parallèle avec le réchauffement climatique assez bon.
02:10C'est-à-dire, ça fait des 10, 20, 30, 50 ans que les scientifiques, pour le coup, plutôt côté médecine, la disent, attention, il se passe quelque chose quand même, il faudrait qu'on réagisse.
02:19Et qu'en réalité, on se recoudre un peu des mesures à droite à gauche, on essaye de faire un peu différemment, mais toujours dans la même veine.
02:27Ça, on n'a pas vraiment mesuré à quel point il fallait changer de stratégie médicale, de santé, mais de fond, tant qu'on a le même modèle depuis l'après-guerre au Sando.
02:38Et on se dit, bon, mais un peu plus de ça, un peu plus de ci, non, c'est juste un autre modèle.
02:42Et c'est vrai que c'est compliqué à enclencher ça.
02:45D'accord, vas-y, et vous, Laurent, on va leur dire ce que ça fait.
02:48Vous le dites ?
02:49Alors, oui, c'est effectivement un phénomène très inquiétant.
02:54Il y a toujours une vraie mise en conscience collective et politique de ces enjeux.
02:59Puis, on a les pouvoirs politiques ont déployé un certain nombre de mesures qui vont permettre de commencer à porter des éléments de réponse à cette vague démographique sans précédent.
03:12On est au pied de la vague.
03:15Et l'ampleur de cette vague va provoquer des conséquences majeures sur notre système sanitaire,
03:22explosion des maladies chroniques, représentation très importante du nombre de patients, de sujets dépendants, des conséquences économiques considérables.
03:33Et donc, il s'étant d'importe quelle réponse, on va s'appuyer sur l'innovation.
03:38C'est la recherche, et pour l'occasion d'en donner, qui doit apporter des solutions concrètes pour essayer d'absorber un petit peu, de limiter ses conséquences du vieillissement démographique.
03:50Alors, votre titre est volontairement The Vocator, comme vous l'avez dit, est-il un membre en Asie de la République ?
03:58Mais à côté de ça, non, bien sûr, on ne suffit pas.
04:02Et au-delà de cette conférence, qui symbolise aussi l'intérêt que l'on peut avoir sur cette thématique,
04:08eh bien, en région Occitanie, et particulièrement à Toulouse, on est depuis plus longtemps très investi dans cette question stratégique.
04:16C'est d'ailleurs une des thématiques centrales de l'axe de recherche du centre, auquel j'ai la chance d'appartenir.
04:22L'axe de recherche qui a conduit à l'analysation récente, et dans l'occasion de vous parler d'une façon plus explicite,
04:28d'un institution universitaire détié à la thématique du système, qui est un prisme un peu plus peu différent,
04:36celui de la science, celui de la recherche et l'angeur de science.
04:40Donc, c'est une organe stratégie au niveau des économies, et sur laquelle il faudra s'appuyer, justement,
04:46pour apporter de l'innovation au service du vieillissement, du vieillissement santé.
04:51Merci beaucoup. Alors, peut-être, avant de rentrer dans les solutions concrètes et de nous apporter aux différents regards,
04:58je vais vous demander, est-ce que là, j'ai vraiment un critère déterminant ? Quels sont les critères qu'il faut regarder
05:04quand on est en visage de cette question du vieillissement ? Je ne sais pas, qui ferait de commencer, professeur ?
05:09Oui, comme tous les deux, je pense. Mais, effectivement, l'âge chronologique, donc l'âge de votre plan d'identité,
05:15n'a pas énormément de valeur. Et ça, c'est un grand combat de la gériatrie depuis plusieurs décès,
05:20y compris de vous faire comprendre aux autres médecins. Et typiquement, discriminer quelqu'un sur la base
05:26que l'âge d'être bien entré pour une chirurgie ou l'autre, c'est un peu pertinent.
05:29Mais ce n'est pas pertinent parce que ça fait bien de ne pas discriminer sur l'âge,
05:32c'est pas pertinent, parce que médicalement, ça n'est pas pertinent.
05:34C'est-à-dire, l'âge n'est pas un élément déterminant du risque de complication d'une chirurgie ou d'une réanimation.
05:40Ce qu'il faut regarder, c'est ce qu'on appelle l'âge biologique, l'âge physiologique, l'âge de vos organes, de vos cellules,
05:45et qui peut être différemment différemment d'une personne à l'autre.
05:48Même si vous avez deux personnes aux 80 ans, l'une peut avoir 20 ans de moins physiologiquement.
05:53Alors, ça prend partie liée au mode de l'IA. Et finalement, cet âge biologique, on ne sait pas bien le mesurer.
05:59Donc, l'IHU est un point sur le sujet. Docteur Maladier, pour en parler, il n'y a pas mal d'instituts.
06:05Notamment par exemple, il vous propose de mesurer avec une crise de sang, c'est-à-dire le bidon.
06:09Mais en tout cas, je pense que, notamment grâce aux études menées par l'IHU de Cousain,
06:14on aura probablement l'âge biologique. On arrive à l'approcher cet âge biologique, mais pas de manière précise.
06:20On manque de biomarqueurs vraiment très fiers. Donc non, l'âge chronologique n'a aucune valeur, y compris en santé, y compris scientifique.
06:27Parfaitement, on est d'accord avec, je vais te dire, en trois. On a l'élise et son tétude. On va passer près de 30% de notre vie après 60 ans.
06:40Et au-delà du âge, ce qui est important, c'est la qualité en fin sec du vie.
06:47On voit qu'on a une autre condition de l'espérance de vie. Mais l'espérance de vie en santé n'augmente pas de façon aussi importante.
06:54Et donc, il y a un décrochage qui s'opère. Et donc, globalement, on a de plus en plus de sujets dépendants.
07:00La probabilité de durée de l'indépendant après 60 ans est de près de 25%.
07:04Et le terme passé moyen de l'indépendance, il est à peu près de 4.
07:07Le cours induit par cette indépendance, il est pharomalique, à peu près de 34 milliards, à quelques-ci points du PIB.
07:13Et les projections, elles montrent des chiffres qui vont exploser d'ici 1200 années.
07:18Et pourquoi ? Parce qu'on voit une augmentation très importante de la dépendance.
07:23Les projections de l'adresse, c'est-à-dire que c'est-à-dire que ce sont des sujets dépendants supplémentaires d'ici 2050.
07:30Donc, si on n'intilifie pas cette courbe, eh bien, on va devoir construire un nombre incalculable de maisons de retraite supplémentaires.
07:37Les projections sont plus de... une augmentation de plus de 50% du nombre du pas nécessaire,
07:41à condition d'hébergement identique, pour absorber cette vague du vie.
07:47Et donc, ce qui est important, c'est de concentrer nos efforts sur la qualité du vieillissement.
07:53C'est-à-dire essayer d'anticiper les pathologies, les risques d'émailler cette trajectoire.
07:58Et où il y a des pathologies ? C'est d'essayer aussi de maintenir la fonction.
08:03L'objectif, c'est ça. L'âge chronologique, c'est un élément.
08:06Mais on peut vivre longtemps, et c'est l'objectif du vieillissement de la santé du Bremesse,
08:10on peut vivre longtemps à condition d'avoir une capacité à se faire maintenue.
08:17Et c'est une fameuse capacité intrinsèque, qui est origine d'un programme,
08:21qui a été mis en place dans l'Organisation Mondiale de la Santé, qu'on appelle le programme ICOP,
08:26qui est un programme de soins intégrés pour les seniors à partir de 60 ans,
08:31et qui permet de mesurer ses fonctions essentielles dans l'intérêt de l'autonomie.
08:36Et donc, c'est un programme que l'on a décliné en territoire,
08:39auquel on peut largement contribuer également.
08:42Et c'est un élément qu'on partage, à la fois sur le sanitaire et sur le médico-socié.
08:47Et d'ailleurs, c'est important que t'en rappelais, la division de la santé selon l'OMS,
08:51c'est pas l'absence de maladie.
08:52Si on peut avoir une maladie, plusieurs maladies chroniques,
08:55mais qui ne retentissent pas sur nos fonctions, sur notre autonomie,
08:58c'est-à-dire que j'arrive toujours à faire ce que je valorise dans la vie, malgré toutes mes maladies,
09:01je suis donc en bonne santé.
09:03Et ça, c'est très important.
09:04Et finalement, nous, ce qu'on veut, c'est que les gens meurent en bonne santé.
09:07C'est provocateur, mais c'est vrai.
09:09C'est-à-dire, comprimer cette phase d'autonomie le plus possible.
09:12Et en fait, ce que vient de dire Laurent est très vrai.
09:14C'est-à-dire que l'espérance de vie sans incapacité,
09:18et je peux trouver une certaine depuis plusieurs décennies.
09:20Et après, c'est vrai qu'on valorise sans arrêt une médecine d'organes techniques,
09:24mais qui monte, c'est vite.
09:25Et cette médecine d'algebra est très active, en fait.
09:28C'est-à-dire que la médecine en France, elle est très curative.
09:31C'est-à-dire, c'est quand vraiment on est très malade, qu'on est très bon pour prendre mon soin.
09:35Mais on ne sait rien avant.
09:36Par contre ça, on fait moins de 3% des dépenses de santé pour la prévention.
09:39Il n'y a pas de prévention en France.
09:40C'est parce qu'il n'y en a pas assez, il n'y en a pas.
09:42Et d'ailleurs, quand on parle de prévention, on parle de diagnostic précoce.
09:45Le déficitalité comme ça, c'est du diagnostic précoce.
09:48Ce n'est pas la prévention.
09:49Donc ça n'existe pas.
09:50Donc on est très très bon pour vraiment, en fin de pouce, soigner les gens quand ils ont très mal.
09:55Et ça, ce n'est pas efficace.
09:57Et en tout cas, c'est efficace jusqu'à une certaine limite.
10:00Mais maintenant, ça fait plusieurs décennies qu'on a la deuxième limite.
10:03Il faut changer de stratégie.
10:05C'est ce qu'on disait au début, changer complètement le logiciel.
10:08Et l'exemplaire est comme moi je le trouve fabuleux.
10:11Et pour le coup, je suis très optimiste.
10:13Parce que c'est la première fois qu'on va faire un changement radical de vision.
10:17Parce que ça veut dire quoi ?
10:18Ça veut dire que si on veut réellement que les gens restent autonomes jusqu'à la fin de leur jour,
10:24et en bonne santé, selon moi, il faut s'occuper d'autres quand ils vont bien.
10:30Ça paraît une évidence.
10:31Mais donc suivre des rencontres de patients qui vont bien,
10:35et réagir dès qu'il y a un petit déclin insidieux,
10:38quand on ne le fait pas, on ne sait pas le faire.
10:40Et donc le seul exemple intéressant d'achat qu'on a, c'est à l'époque.
10:43C'est-à-dire que, par exemple, en Occitanie,
10:45je pense que vous n'êtes absolument personne actuellement,
10:47qui se suivent, qui vont bien, qui sont autonomes à la maison,
10:51qui ont plutôt une moyenne d'âge de 70 ans,
10:53et on les eut très régulièrement,
10:55et on va les voir, on leur dit venez nous vôtre.
10:57Alors, ils se plaignent de rien.
10:59Ce n'est pas que vous soyez aux urgences pour vous être facturé à l'école du feu,
11:02c'est que je vous viens, je vous demande de venir me voir,
11:04alors que vous vous plaignez de rien,
11:06que votre entourage n'a rien signé avec votre médecin généraliste,
11:09n'a rien vu.
11:10Donc ça, c'est révolutionnaire.
11:11Mais c'est le seul moyen de renverser la tendance.
11:14Sinon, on peut mettre autant d'argent qu'on veut dans les urgences,
11:16dans les salubles, dans les blocs opératoires,
11:18et donc, il n'y a rien à se passer.
11:20Justement, est-ce que vous pouvez nous expliquer concrètement,
11:22pour les personnes qui attendraient la cinquantaine,
11:26comment ça se passe la prévention,
11:28comment ça se passe l'intégration au programme ICOP ?
11:30Est-ce que vous pouvez nous donner des éléments très concrets
11:32pour qu'on puisse se rendre compte,
11:33ce qui se passe pour la personne,
11:35qui n'est peut-être pas encore malade,
11:37mais qui va commencer à être suivie en tout cas ?
11:39Bien sûr.
11:40Après ça, on va peut-être rappeler ce qu'a dit toi,
11:42qui a pas raison.
11:44La prévention, ça ne doit pas rester incontré à toi.
11:47Éventuellement, il y a trois personnes des dépenses,
11:49comme il l'a dit, qui sont allouées à la prévention.
11:51Donc, c'est simple de cette partie,
11:53c'est une partie des dépenses allouées à la prévention.
11:55Contre la perte d'autonomie, la dépense.
11:58Il y a quand même des signaux positifs,
12:00notamment la loi bienveillière,
12:02qui a inscrit des consultations de prévention.
12:04On ne sait pas trop comment elles vont se décliner sur le territoire,
12:07mais ce que c'est à nous, à la différence de propositions,
12:09et on a des propositions notamment
12:11de l'église de l'angélité en santé dont on pourra reparler.
12:14L'autre élément positif, c'est justement,
12:16qu'il faut créer des espaces, des structures de recherche
12:20qui permettent d'apporter une innovation au service
12:22d'une future patient,
12:24en tout cas pour éviter que ces patients,
12:26ou ces sujets plutôt, ne deviennent des sujets d'épendance.
12:29Et ça, c'est le rôle, comme on l'a dit, de l'IHU.
12:32Alors qu'ils trouvent la France, et en tout cas que les acteurs de la recherche,
12:36investissent massivement la thématique de la génoscience.
12:41La génoscience, je ne sais pas si on sait exactement ce qu'on sait,
12:45mais la génoscience, c'est une nouvelle dynamique dans la recherche,
12:51qui est transdisciplinaire, qui est un sociétal biologiste,
12:55qui est tout un traitateur de la recherche,
12:58et qui essaie d'expliquer les mécanismes biologiques du vieillissement
13:04qui conduisent à l'apparition des principales maladies liées à l'âge.
13:07Ce qu'il ne faut pas oublier, c'est que les maladies liées à l'âge,
13:11le principal vecteur, c'est le vieillissement biologique lui-même.
13:16Et donc cette génoscience, elle doit nous permettre de déterminer
13:20de nouveaux outils diagnostiques, en amont souvent des pathologies
13:26avant même qu'elles soient installées, et doit nous ouvrir la voie
13:29vers de nouvelles stratégies parapétiques.
13:32Et si je dis ça, c'est important parce que ça va changer notre vision
13:36d'appréhender les pathologies.
13:38Actuellement, tous les soins, tous les financements qui accompagnent
13:42sont consacrés sur les parties curatives.
13:45Il le faut, bien entendu, à partir du moment où vous avez les symptômes de la maladie.
13:49Mais on va faire différemment dans quelques temps.
13:52Et on pourra anticiper, une partie importante,
13:55l'apparition de ces mêmes maladies.
13:57Donc la génoscience, c'est un investissement majeur comme ça,
14:00ça mobilise l'ensemble des chercheurs de très haut niveau
14:05internationales, il y a des structures aux Etats-Unis,
14:08nationalistes, le Viking, la Mayo Clinic, le Saint-Gardine,
14:12aux Pays-Bas, et en France, on a la chance d'avoir cette structure
14:17des universités dédiées à cette pratique.
14:19Et au-delà des recherches que j'ai fini dans les états géosciences,
14:22l'objectif, c'est de faire converger cette recherche au prix de la clinique.
14:28C'est pour ça que cette axe-là, c'est la recherche translationnelle,
14:31c'est de la preuve au service du patient et du sujet.
14:36Et ça aussi, c'est une vision un peu différente et qui a émané
14:41de l'éclorement des IH, favoriser la recherche translationnelle
14:45dans une thématique pour apporter des solutions concrètes à nos patients.
14:49Et de l'appréhension, ça peut faire l'éclosion pour la faire,
14:52mais si on n'a pas les outils pour la faire, si on n'intéresse pas
14:55sur une nouvelle stratégie diagnostique, de nouveaux outils de suivi,
14:59alors on aura du mal à absorber cette vague, à utiliser le sujet pour actuellement
15:05et à utiliser que pour commencer.
15:07J'entre un peu plus dieu colorant sur les consultations de prévention.
15:10Pour moi, c'est l'exemple typique de ce qu'on fait, ça marche pas avant,
15:13on l'en fait un peu plus.
15:14C'est-à-dire, clairement, il y a un problème des 3 premiers en France.
15:19La durée moyenne de la consultation de médecine générale, c'est 14-15 minutes.
15:24Tous les 3, 6, c'est impossible de faire de la prévention,
15:29de la prise en charge dans la durée comme ça, c'est pas possible.
15:32Donc bien, je vais rajouter 3 consultations de 45 minutes dans votre vie,
15:35je ne vois pas ce que c'est que j'en ai, je suis prêt à être mal coupé,
15:39et que ça aura zéro impact.
15:41En revanche, la juroscience, encore une fois, là, c'est une autre vision.
15:45C'est-à-dire, le constat, c'est que la médecine d'organes a rendu des services spectaculaires,
15:50mais là, elle a plein de formes.
15:53En revanche, chaque pathologie d'organes a un point commun,
15:56c'est qu'elle impacte les fonctions, la mobilité, la nutrition, le sensoriel,
16:02la timide morale, la cognition, la mémoire.
16:05Et en fait, si on suit ces fonctions de manière transversale et très précoce,
16:10non seulement on peut prédire une paraissime de ces maladies,
16:13donc il y a vraiment une prévention primaire, mais en plus les inflégir.
16:17C'est-à-dire, en renforçant notre capacité à maintenir la cognition,
16:21à maintenir une humeur stable, à maintenir une force musculaire,
16:27c'est-à-dire une mobilité plutôt qu'elle est intéressée à l'arthrose du genou,
16:31les hauts systèmes nerveux périgériques de manière complètement silotée et déstructurée.
16:36Si on a une approche propre, plus globale et beaucoup plus précoce,
16:39c'est bien on a démontré, non seulement qu'on pourrait prédire l'apparition des maladies,
16:43mais même infléchir, ralentir leur apparition et infléchir leur évolution.
16:48Et la géroscience, c'est exactement ça.
16:50C'est une approche transversale de la biologie du vieillissement avant l'apparition des maladies.
16:55Et en fait, le travail qu'on est en train de faire, c'est ce qu'on fait du cardiologue il y a des décennies.
16:59C'est-à-dire, avant, les cardiologues, ils prenaient en soin des gens comme une insuffisance cardiale terminale
17:05qui moussaient dès qu'ils mangeaient une huile.
17:07Maintenant, ils s'occupent de la tension artérielle, de la sédentarité, de notre cholestérol,
17:14de la mobilité des astères, etc.
17:16Donc ils sont désormais sur les facteurs de risque de développer une maladie qui peut devenir terminale.
17:21Mais nous, les gériates, c'est ce qu'on est en train de faire.
17:23C'est-à-dire, jusque-là, on prenait en soin 10% des personnes à plus de 75 ans,
17:27les dépendants, parce qu'on a très peu finalement 1,5-1,5%.
17:30Je ne pense pas trop que ça.
17:32Mais ça demande une énergie folle, une énergie humaine, financière.
17:35On est en train de remonter, remonter, remonter.
17:37On dit non, non, nous, on ne veut plus voir les gens à 85,
17:39on veut les voir à 50, 60 ans.
17:41C'est là qu'on est efficace.
17:42Et on pourrait se comparer aussi en cancérologie.
17:44On veut arrêter de soigner des cancers métastasés.
17:47Ils veulent empêcher les gens de fumer.
17:49On veut arrêter de soigner des cirrhoses du foie.
17:51On veut, pour aux gens, pour l'alcool, c'est sympa,
17:54mais en réalité, c'est un toxique, une chronotique.
17:56On veut juste faire ce travail qui a été fait par d'autres spécialités,
17:59mais avec une approche beaucoup plus transversale,
18:02parce que le vieillissement et connaissance sans baisse,
18:05c'est un polypathologique qui est complexe.
18:07Et donc, pour revenir sur les gyrosciences,
18:10qu'est-ce qu'il y a comme outils qui ont vraiment existé aujourd'hui dans les cas cliniques ?
18:16Est-ce que vous pourriez peut-être vous expliquer deux ou trois petites choses concrètes sur ces gyrosciences ?
18:20Comment c'est utilisé ?
18:22Il y a plusieurs réponses.
18:26D'abord, comme l'a dit Antoine, il y a tout à fait raison.
18:30On a une vision cloisonnée de la prévention,
18:33et on doit aller de plus en plus sur la vision transversale.
18:36Et notre système sanitaire n'a pas à date de structures qui permettent de voir un nom dédié ou une espèce dédiée à la prévention.
18:46Cette prévention, elle reporte beaucoup, soit sur les spécialistes d'organes avec une vision,
18:52un silo, soit sur les médecins de premier cours, qui sont volontaires,
18:57mais qui sont souvent dépassés par l'ampleur de la tâche,
19:01et qui n'ont pas non plus d'outils de faire une fondation spécifique sur la prévention,
19:06et qui n'ont pas non plus de structure d'appui sur laquelle ça s'est appuyé,
19:10justement, pour permettre ces bilans de prévention.
19:14Donc, on en revient à l'axe de la recherche.
19:17L'objectif, on sait qu'il y a aussi sur la clinique,
19:20elle est en train de modéliser avec l'Académie nationale de médecine
19:24une belle clinique de la logéité en santé.
19:27Alors, qu'est-ce que c'est la clinique de la logéité en santé ?
19:29C'est ce que je viens de dire.
19:31Entre ces déclics de la logéité en santé,
19:33il y en a un peu partout dans le monde.
19:35Elles se développent en lien, bien sûr, avec la dynamique de la science,
19:39depuis des années d'années.
19:41Ça reste des structures autrement hétérogènes,
19:44avec des structures qui sont souvent très académiques,
19:47d'autres qui sont des structures privées,
19:49avec une approche rationnelle, scientifique,
19:51et un peu plus discutable.
19:53mais toutes investissent le champ du glévier de la longévité en santé
19:57en s'appuyant sur sa vision transversale
20:00et sur les fruits issus de la recherche dans la recherche en sciences.
20:04Alors nous, il nous est apparu important d'essayer de modéliser
20:09une clinique de la longévité qui soit transposable dans notre modèle sanitaire,
20:14en éducation avec le programme École qui est en train d'être déployé,
20:18en réponse aussi à la loi, bien dit hier,
20:22et les fameuses configurations de manque de prévention.
20:24Et cette fameuse clinique de la longévité en santé,
20:28eh bien, doit s'appuyer sur deux éléments essentiels,
20:32que sont le maintien de la fonction au champ de paradis,
20:38et donc l'évaluation de tous les éléments qui composent l'autonomie,
20:42cette fameuse capacité intrinsèque,
20:45et, en ailleurs, quand même,
20:48parce qu'on est des médecins,
20:50et que c'est complémentaire,
20:52une vision un peu systématique
20:54de l'ensemble des domaines qui sont impliqués
20:57ou impactés par les potentiels maladies du vis,
21:00ou perdu basculaire, métabolique,
21:02risque de cancer, risque de patrouille,
21:04dégénérative, etc.,
21:06en s'appuyant sur les recommandations des sociétés savantes,
21:09et ouvrant, dans mon âne,
21:12les compétences pour évaluer l'ensemble de ces problèmes,
21:15et pour proposer, derrière,
21:17un plan d'intervention
21:19qui doit être individualisé,
21:21qui doit être ciblé sur le profil de risque du patient,
21:25et c'est en ce sens que la géroscience va nous aider,
21:28parce que la géroscience,
21:29elle va nous apporter,
21:30dans quelques temps,
21:31et ça commence à le faire,
21:32il y a déjà des soucis qui apparaissent,
21:34des fameuses horloges biologiques,
21:36qui vont permettre,
21:37non pas de déterminer l'âge biologique,
21:39mais qui vont permettre de déterminer, justement,
21:41les heures fonctionnelles.
21:42Voilà, vous avez un âge de 60 ans,
21:45et votre âge biologique, lui,
21:47il est plus jeune, plus vieux,
21:48parce qu'il peut recevoir une trajectoire de vieillissement,
21:50et bien qu'il peut être accéléré,
21:52ou au contraire ralenti.
21:54L'entreprise de recherche,
21:56c'est aussi,
21:57donc je l'envoie,
21:58quelques nouveaux biomarqueurs
22:00de vieillissement d'organes possibles,
22:02ou de nouveaux biomarqueurs de pathologie.
22:05Si on prend les opatrômes,
22:07par exemple, une maladie d'Alzheimer,
22:09la maladie d'Alzheimer,
22:10c'est plus de 200 000,
22:11on ne peut pas le prendre en France.
22:12Cette maladie,
22:13elle a fait l'objet de recherches majeures
22:15sur la physiopathologie,
22:17et on a développé tout plein d'outils,
22:20et on comprend beaucoup mieux les mécanismes
22:22pour user l'émergence de cette pathologie,
22:24donc de génération.
22:25De sorte que maintenant,
22:26on a à disposition des biomarqueurs,
22:29qui prend des biomarqueurs asthmatiques
22:31et de la maladie,
22:32qui, par une certaine double,
22:34se laissant,
22:35amènent,
22:36et on voit,
22:37aussi les risques dans l'individu,
22:38avant même d'avoir les premiers symptômes
22:40de la maladie.
22:41Donc ça pose d'autres questions,
22:42mais ça nous permettra surtout
22:44de cibler les patients
22:45et de cibler à des traitements spécifiques,
22:46et d'avoir de meilleures efficacités sur cet état,
22:49qui est également l'exemple de la maladie des ailleurs,
22:51on pourra l'appuyer dans d'autres domaines.
22:53Donc il faut qu'il entre en clinique
22:55et qu'elle s'appuie
22:56sur les domaines de la gérosciences,
22:58donc si j'ai tout à fait.
23:00Il faut peut-être,
23:01pour être plus visu,
23:03identifier mieux,
23:04comme on pourrait être,
23:05un système de santé plus efficient
23:06pour la prévision
23:07de la période d'autonomie
23:08à l'âge.
23:09Première chose,
23:10je l'ai dit,
23:11c'est un changement de point de vue,
23:12c'est-à-dire,
23:13je suis des gens qui vivent,
23:14donc je n'arrive pas
23:15qu'il ait nos urgences,
23:16je n'attends pas qu'ils aillent
23:17pour leur médecin
23:18parce qu'on a un symptôme,
23:19c'est trop tard.
23:21Donc comment je vais poursuivre
23:22ce qu'on a de personnes possibles ?
23:24Je ne peux pas faire physiquement,
23:25c'est mathématiquement impossible.
23:27Je collecte des informations clés
23:29à distance,
23:30donc ça vient de la télémédie,
23:32télémédie à distance médie.
23:34Donc ça c'est du télésubi,
23:36c'est-à-dire,
23:37je demande aux personnes,
23:38alors là en locule
23:39c'est tous les 6 mois,
23:40de répondre à un questionnaire
23:41qui est mis en casier,
23:42deux ou deux fois,
23:43peut-être que c'est de la maison
23:44où on voit exactement
23:45et je récupère ces informations
23:47dans une personne.
23:48Deuxièmement,
23:49il faut qu'il y ait quelqu'un
23:50derrière l'écran,
23:51d'accord ?
23:52Ça ne peut pas être un médecin.
23:53Et,
23:54à mon avis,
23:55c'est que ça ne peut pas
23:56être une affaire,
23:57pour l'instant ça va,
23:58mais c'est des ressources trop rares.
23:59Et,
24:00c'est comme au salut,
24:01qu'on appelle le cas,
24:02ce n'est pas un réanimateur
24:03qui nous parle,
24:04ce n'est pas possible,
24:05c'est un non-professionnel de santé.
24:06Donc à mon avis,
24:07il faut des nouveaux métiers
24:08qui délèguent ce suivi,
24:09qui relancent les gens,
24:10qui regardent quand il y a
24:11un petit déclin,
24:12qui ne va pas,
24:13et en coordination
24:14professionnelle de santé,
24:15comme au salut.
24:16Sinon,
24:17ce n'est pas viable économiquement,
24:18il y aura de moins en reste,
24:19professionnelle,
24:20de plus en plus,
24:21de patience épargne.
24:22Ça, c'est le troisième point,
24:23des technologies,
24:24de communication,
24:25de l'information,
24:26des nouveaux métiers,
24:27il y a très fort,
24:28il y a des débats
24:29détroyés sur tout le territoire.
24:30Donc,
24:31ici,
24:32c'est un peu biaisé,
24:33parce qu'on a l'IH,
24:34qui est hyper dynamique,
24:35toujours dans l'innovation
24:36et hyper moderne,
24:37mais comment on fait ?
24:38Ça existe partout en France,
24:39dans la fosse,
24:40dans notre Pas-de-Calais,
24:41il faut absolument
24:42situer sur les ressources existantes,
24:44et ne pas refaire
24:45l'énième erreur
24:46à l'eau française,
24:47ou je vais donc remettre
24:48une prochaine administrative.
24:49C'est-à-dire qu'en France,
24:50on fait un truc en plus,
24:51un qui est bien ça,
24:52un c'est pas ça,
24:53une CPTS,
24:54une MSP,
24:55un grade,
24:56je pense que c'était 50,
24:57il y a des trucs qui marchent,
24:58des trucs qui marchent pareil.
24:59On a tout ce qu'il faut
25:00sur le territoire.
25:01On a une des plus fortes dépenses
25:03sur le CDE en santé,
25:05on a tout ce qu'il faut
25:06pour juste les utiliser.
25:08Et typiquement,
25:09c'est juste par exemple
25:10sur la Haute-Garde,
25:12c'est parfaitement géré
25:14par le CHU.
25:16Par contre,
25:17il y a des départements
25:18plus gros,
25:19plus isolés.
25:20Par exemple, l'Aude,
25:21il ne se passe pas grand-chose.
25:22Mais là,
25:23ça se trouve qu'on a des cliniques
25:25psyllées
25:26qui peuvent être le relais
25:28de ce programme iCorp.
25:29Mais il faut leur demander
25:30de le faire.
25:31Là, il n'y a pas de raison
25:32que le privé ne soit pas un relais
25:33de santé publique.
25:34Donc, dans un territoire donné,
25:36on regarde ce qu'on a.
25:37On a des médecins,
25:38on a des médecins spécialistes,
25:39on a des psychos,
25:40on a des esgos,
25:41on a des kinés,
25:42on a des EAPA.
25:43Il faut les utiliser.
25:44Donc, ça nécessite aussi,
25:46territoire par territoire,
25:48de faire de la montagne
25:49des forces en présence.
25:50Mais effectivement,
25:51aller demander
25:52qu'ils privaient le job
25:53en décorant,
25:54ça n'a aucun sens.
25:55Il y a quelque chose
25:56juste à côté.
25:57Mais il y a des zones
25:58où les ressources
25:59sont exploitées.
26:00Exploiter pas l'ancienne,
26:01c'est-à-dire la filière classique,
26:02je passe par l'hôpital,
26:03je vais en SMR,
26:04je rentre à la maison.
26:05Et d'accord,
26:06ça c'est très bien,
26:07on ne peut pas se contenter
26:08de faire ça.
26:09Professeur Ballardi,
26:10vous êtes d'accord
26:11avec cette nécessaire
26:12meilleure organisation,
26:13meilleure articulation
26:14qui ne passe pas forcément
26:15par en rajouter une bouche
26:16comme on peut essayer,
26:17parce qu'il n'existe pas
26:18forcément,
26:19il faut que les acteurs
26:20s'éloignent entre eux.
26:21Ah oui,
26:22entièrement convaincule
26:23et tout ça,
26:24comme dit Antoine,
26:25on a beaucoup de ressources
26:26pour les équipements
26:27et tout,
26:28très bien.
26:29Et justement,
26:30l'avantage d'un programme
26:31comme celui d'ICOP,
26:32c'est de mettre un peu
26:33tous les acteurs
26:34autour de la table
26:35et donc partager
26:36des outils
26:37et des solutions
26:38pour se réaliser
26:39ce que l'on doit.
26:40Et chacun peut trouver
26:41sa place.
26:42Les acteurs de premier recours
26:43de cette démarche
26:44sur les infirmiers,
26:45les médecins traitants,
26:46on leur donne
26:47des outils simples
26:49qui peuvent
26:50s'appuyer
26:51les patients
26:52eux-mêmes,
26:53qui doivent définir
26:54les sujets plutôt,
26:55qui doivent être acteurs
26:56de leur propos de santé.
26:57déterminants,
26:58par exemple,
26:59cette prise en charge,
27:00car il faut sensibiliser
27:01le public
27:02sur la mesure
27:03de suivre justement
27:04ces paramètres
27:05de la fabrication
27:07de capacités
27:08extrasec,
27:09avec des outils
27:10hyper-accessibles,
27:11hyper-accessibles.
27:12Il y a une application
27:13qui a été mise en place
27:14qui s'appuie
27:15quelques clics
27:16pour se reproduire
27:17et faire suivi
27:18paramétrique
27:19dans les six mois.
27:20Comme l'a dit Amtoile,
27:22à un pied,
27:23nous, on a essayé
27:24de proposer un modèle.
27:25Le modèle,
27:26c'est le parcours
27:27à l'écorpe
27:28tel que nous
27:29on le voit dans l'idéal.
27:30Les acteurs
27:31du premier recours
27:32mobilisés,
27:33une sensibilisation
27:34et l'information
27:35de ces acteurs,
27:36une sensibilisation
27:37de la population
27:38sur la nécessité
27:39d'adhérer
27:40à ce programme,
27:41une base de données
27:43qui permet
27:44de colliger
27:45l'ensemble
27:46des éléments recueillis,
27:47une plateforme
27:48avec, pour le coup,
27:49des infirmières,
27:50qui sont expérimentés
27:51et qui suivent
27:52les alertes,
27:53et en cas d'alerte,
27:54qui peuvent déclencher
27:55une intervention
27:56auprès
27:57de l'acteur
27:58et du médecin traitant
27:59ou de l'infirmière
28:00de proximité.
28:01Tout ça, c'est
28:02l'écosystème
28:03qui s'est créé
28:04autour des COOP,
28:05qui, à mon avis,
28:06fonctionne très très bien.
28:07Effectivement,
28:08je pense qu'il faudra
28:09créer de nouveaux métiers
28:10et l'image
28:11délibérateur
28:12est très proche.
28:13Effectivement,
28:14c'est la bonne.
28:15Je pense qu'on ne comprend
28:16pas pour ça,
28:17après du temps
28:18d'infirmiers,
28:19ceux qui sont aussi
28:20d'infirmières,
28:21mais par contre,
28:22c'est une question
28:23de créer
28:24le meilleur métier
28:25d'infirmières,
28:26par exemple,
28:27des partenaires.
28:28Je vous cite un exemple.
28:29Vous avez donc
28:30le centre
28:31LightCorp Toulousain
28:32qui a vraiment créé
28:33le concept,
28:34qui le déploie,
28:35et un peu partout en France,
28:36vous avez ce qu'on appelle
28:37des articles secundaires,
28:38des expérimentations
28:39régionales
28:40où ils essayent
28:41de le déployer.
28:42j'ai fait ma petite enquête
28:43téléphonique,
28:44on a par les coordinateurs,
28:45ils me disaient,
28:46écoutez,
28:47nous,
28:48ça marche bien,
28:49mais quand on a un déclin
28:50au niveau de la mémoire,
28:51on n'a personne qui peut
28:52faire une évaluation
28:53en profite de la mémoire.
28:54Les neurologues du CHU,
28:55ils sont trop loin,
28:56mais je leur dis,
28:57vous avez une maison de retraite,
28:58il n'y a qu'un mètre,
28:59c'est un coordonnateur
29:00qui est formel gériatrique
29:01qui s'éjeuille
29:02et il n'y a pas lieu à son mémoire.
29:03Il y a souvent,
29:04oui,
29:05on voudrait trouver
29:06une psychologue,
29:07mais il n'y en a pas en libéral,
29:08mais,
29:09d'un juste côté,
29:10vous avez une psychologue
29:11et des psychologues
29:12et des psychiatres
29:13qui trouvent des sollicités.
29:14Vous voyez,
29:15votre avant,
29:16il y a une méconnaissance
29:17du territoire
29:18et des barrières
29:19complètement artificielles
29:20entre le public,
29:22l'associatif,
29:24le privé duratif
29:25ou le privé duratif
29:26qui fait que les ressources
29:28sont de fait mal utilisées.
29:29Et je pense que,
29:30c'est honnêtement,
29:31c'est dans l'association
29:32qui s'avent
29:33que les autorités
29:34septembre
29:35devaient être
29:36un peu plus contraignantes
29:37et un peu plus réalistes
29:38dans leur approche
29:39de challenge
29:40parce que si on n'utilise
29:41pas les ressources
29:42sur place,
29:43il ne va rien se passer.
29:44Donc on peut faire mieux
29:45sans dépenser
29:46forcément beaucoup plus,
29:47c'est ce qu'est votre message ?
29:48Absolument,
29:49mais on a des exemples
29:50clients,
29:51alors nous on est
29:52un groupe européen,
29:53vous voyez,
29:54on l'ordre,
29:55c'est efficace.
29:56Mais par contre,
29:57il y a des faits arbitrages
29:58qui sont faits.
29:59Par exemple,
30:00de la même manière,
30:01on retrouve une séparation nette
30:03en France entre les sanitaires,
30:04le médico-social,
30:05ce qui est moins là-bas,
30:06et ils mettent 50% de plus d'argent
30:08que nous dans les EHPAD,
30:09dans l'équivalent de nos EHPAD.
30:10mais en revanche,
30:12ils réduisent
30:14le taux d'hospitalisation
30:15et ils mettent moins d'argent
30:16à l'hôpital.
30:17Mais avant de faire accepter ça
30:19en France,
30:20je souhaite ton courage.
30:21À un moment,
30:22je pense que
30:23à volume financier égal,
30:25il faut faire des arbitrages,
30:26on ne peut pas faire autrement.
30:27Et ça implique des décisions,
30:29on ne peut pas tout avoir
30:30en même temps.
30:31Effectivement,
30:32il y a des pays d'Europe
30:33qui font très bien
30:34ou ils ont une meilleure
30:35espérance de vie sans incapacité.
30:36Parfois, c'est quand ils sont
30:37jusqu'au bout,
30:38ce n'est pas le détaillé.
30:39Mais par contre,
30:40ils prennent des décisions fortes.
30:41Mais ce n'est pas vrai
30:42que pour le sanitaire,
30:43le médico-social,
30:44ce n'est pas vrai
30:45pour la santé publique.
30:46On a des plus forts taux
30:47de tabagisme
30:48de l'OCDE,
30:49on boit plus que les voisins,
30:50voilà.
30:51Je pense qu'on faisait aller
30:52en semaine,
30:53s'ils voulaient acheter
30:54de l'alcool pour le Montréal,
30:55il faut que j'en prenne
30:56le vendredi,
30:57parce que vendredi,
30:58on est assez faible
31:00dans les décisions
31:01de santé publique,
31:02mais on le paye
31:03d'un point de vue humain
31:04sur les chiffres durs
31:06de la médecine,
31:07on le paye d'un point de vue
31:08financier.
31:09Merci à tous les deux,
31:10on va maintenant passer
31:11aux questions du public.
31:12Pardon,
31:13si je vous ai fait peur,
31:14c'est que j'ai eu lieu
31:15un peu plus tôt,
31:16parce qu'on s'en doutait
31:17là aussi,
31:18c'est parce que je fais
31:19qui suscite
31:20dans vos questions.
31:21On va commencer au micro,
31:22j'en avais beaucoup
31:23par Menti,
31:24vous avez été très proactifs
31:25et si vous avez une question,
31:26on va poser en direct.
31:27Alors on commence.
31:28Allez-y.
31:31Non, non, non,
31:32on va, on va,
31:33on va passer au micro.
31:34Allez-y.
31:39On parlait de financement
31:41et aussi d'arbitrage,
31:43il y a eu notamment
31:44par exemple l'arbitrage
31:45des dernières années
31:46à tout l'impulatoire,
31:47il y a eu le nombre
31:48de lits dans les hôpitaux.
31:50Alors je ne sais pas
31:51ce qui est positif
31:52et ce qui est moins,
31:53mais comment faire accepter
31:55à l'opinion public
31:56et qu'il y a beaucoup,
31:57j'imagine,
31:58en théorie,
31:59d'une joie politique historique
32:02pour leur faire accepter
32:04qu'il ne faut pas
32:05forcément plus les pensées
32:06mais peut-être faire des choix,
32:08je ne sais pas,
32:09des entrages
32:10plus efficaces.
32:11C'est un sujet sur lequel
32:12je suis assez à l'aise
32:13parce que quand je travaillais
32:14à l'hôpital,
32:15j'ai beaucoup travaillé
32:16sur les durées de séjour,
32:17etc.
32:18Donc le phénage ambulatoire,
32:19il y a un rationnel
32:20très solide.
32:21Ben, on laisse de côté
32:23un côté économique
32:24ce qu'on appelle
32:25la technologie atrophogène.
32:26C'est vrai que souvent
32:27les aides en domicile,
32:28les EHPAD nous disaient
32:29mais il faut nous renvoyer
32:30les patients plus mal
32:31qu'on était à l'hôpital.
32:32Et c'est vrai que le fait
32:33d'être hospitalisé peut être
32:34délétable.
32:35Vous connaissez les maladies
32:36de l'hôpital,
32:37mais il n'y a pas que ça.
32:38C'est-à-dire qu'on perd
32:39de l'autonomie à l'hôpital.
32:40Donc, par ça,
32:41concernant les durées
32:42d'hospitalisation,
32:43il y a eu plein de bonnes
32:44raisons pour le faire.
32:45Le problème qu'on a aujourd'hui,
32:47c'est qu'on a les 3 premiers
32:48qui sont sous-chargés,
32:49les médecins généralistes
32:50et les hôpitaux
32:51et les cliniques
32:52qui sont sous-chargés.
32:53On a les hôpitaux
32:54et les cliniques
32:55qui sont sous-chargés
32:56qui sont sous-chargés.
32:57Les médecins généralistes
32:58et les hôpitaux
32:59et les cliniques
33:00qui sont sous-chargés.
33:01On a les hôpitaux
33:02et les cliniques
33:03qui sont sous-chargés
33:04pour sa spécialisée
33:05d'orienter de plus à plus courte.
33:06Parce que le virage ambulatoire
33:07qui, c'est honnêtement
33:08d'un point de vue médical purin,
33:09était tout à fait souhaitable.
33:10Je ne sais pas ce que
33:11tu en penses,
33:12mais de mon point de vue
33:13je l'assume.
33:14Mais le problème,
33:15c'est qu'il n'y a rien
33:16entre les deux.
33:17Il n'y a plus le temps long
33:18et l'espoir que justement
33:19entre eux
33:20devraient réinvestir
33:21centre de réhabilitation, etc.
33:25Pour le temps long,
33:26c'est-à-dire les gens
33:28un peu plus complexes,
33:29plus fragiles,
33:30plus polypathologiques
33:31qui n'ont pas besoin
33:32d'une prise en charge
33:33ultra spécialisée d'organe
33:34qui est très chère
33:35et qui n'est pas forcément nécessaire.
33:36C'est-à-dire,
33:37dès qu'ils sortent de l'hôpital
33:38c'est très bien qu'ils sortent vite.
33:39À la maison,
33:40des fois c'est un peu compliqué,
33:41mais cette zone tampon
33:43qui prend soin
33:44les gens polypathologiques
33:46fragiles,
33:47que ça soit jeune ou vieux d'ailleurs,
33:49dans le temps long,
33:50c'est un peu ça
33:51qu'il faut renforcer aujourd'hui.
33:52En fait,
33:53c'est l'objectif
33:54à mon avis.
33:55Donc,
33:56je protège
33:57l'avis d'Antoine.
33:58Donc,
33:59on a vécu la même chose
34:00à Toulouse
34:01dans la même école gériatrique
34:03de Toulouse,
34:04au sein du CHU.
34:05Puis,
34:06on a vu se construire
34:08tout un tas
34:09de services,
34:10d'unités
34:11de gériatrie
34:12en réponse
34:13à ce besoin
34:14de grandissement
34:15de la population.
34:16Et,
34:17notamment,
34:18on a vu le constat
34:19qu'on allait construire
34:21et construire
34:22et qu'il y avait peut-être
34:23notre approche à proposer.
34:24Et notre approche,
34:25c'est qu'effectivement,
34:26toute part,
34:27le virage
34:28de la Troyes
34:29pour partie,
34:30et c'est aussi
34:31un meilleur
34:32acheminement des patients
34:34dans le bon service
34:35et au bon moment.
34:36Ça veut réinterroger
34:37notre faculté
34:38à répondre
34:39aux besoins
34:40de nos hommes
34:41tels
34:42d'aujourd'hui
34:43du territoire
34:44et notamment
34:45les acteurs
34:46de première
34:47qui se passent,
34:48c'est que,
34:49par des jours,
34:50souvent,
34:51les personnes âgées,
34:52eh bien,
34:53ils vont cultiver
34:54le risque
34:55de finir
34:56dans un service
34:57surgence.
34:58Et donc,
34:59il faut qu'on propose
35:00des alternatives,
35:01parce que ce passage,
35:02on a très bien dit,
35:03indépendamment
35:04des compétences
35:05du médecin
35:06qui est prêt
35:07en charge,
35:08mais une personne âgée
35:09va se retrouver
35:10au milieu
35:11de tout autant
35:12d'autres patients,
35:13souvent plus jeunes,
35:14ils vont rester
35:15sur un bancard
35:16le temps qu'on arrive
35:17à trouver
35:18un guide dédié,
35:19et souvent,
35:20c'est le secteur
35:21d'une perte d'automne,
35:22souvent,
35:23illéductible.
35:24Donc,
35:25on se tape progressivement
35:27de nos erreurs
35:28et maintenant,
35:29on s'appuie
35:30sur des structures
35:31un petit peu différentes,
35:32qui sont en place,
35:33je le sais,
35:34je trouve,
35:35une hotline gériatrique
35:36qui est une réponse
35:37à la filière
35:38et aux besoins
35:39des acteurs
35:40de premier cours.
35:41Et lorsque le médecin
35:42traite en difficulté
35:43avec un patient âgé,
35:45et bien,
35:46plutôt que d'éviter,
35:48pour éviter
35:49le passage
35:50de souffrance
35:51et d'opinée,
35:52et bien,
35:53on a une réponse
35:54étudiante
35:55avec un médecin senior
35:56qui prend acte
35:57de la situation
35:58du patient
35:59et qui s'est délocalité
36:00au lieu,
36:01dans une consultation
36:02de l'hospitalisation
36:03que je trouve,
36:04et quand il y a
36:05véritablement besoin
36:06d'une hospitalisation,
36:07il est en condition
36:08en décidant chaque fois
36:09que possible
36:10le message
36:11aujourd'hui.
36:12Donc, on a,
36:13effectivement, progressé,
36:14on a appris
36:15d'autres ans.
36:16si on mène 18 ans,
36:17quel est le rôle
36:18de l'alimentation ?
36:19Si on en agère aussi,
36:20on peut continuer
36:21à s'alimenter ?
36:22De la même manière,
36:23oui, il faut rester
36:24en bonne santé.
36:25de l'hospitalisation.
36:26Donc, le rôle de l'alimentation
36:29capitale,
36:30en fait,
36:31la masse musculaire
36:32est capitale,
36:33et c'est l'activité physique
36:34et l'alimentation,
36:35l'un ne va jamais
36:36sans l'autre.
36:37Effectivement,
36:38plus on avance son âge
36:40et plus on va commencer
36:41à vous dire un peu l'inverse
36:42de ce que vous disiez
36:43quand vous étiez plus jeune,
36:44c'est-à-dire,
36:45vous mangez
36:46un peu plus de protéines
36:47alors que les zones
36:48que vous trouverez
36:49aujourd'hui,
36:50les personnages
36:52et les personnes
36:53plus tolérantes,
36:54on va dire aux jambés
36:56qu'on va être grignotés
36:57entre les repas
36:58pour ne pas perdre
36:59de masse musculaire,
37:00parce que c'est vrai
37:01que le grignotage
37:02on prend plus
37:03en quantité dans la journée
37:04qu'on grignote,
37:05alors qu'en fait,
37:06il inverse à vous,
37:07etc.
37:08Donc, effectivement,
37:09alors même si j'ai
37:10pas donné une limite
37:11d'âge phonologique
37:12parce qu'on a vu
37:13que ça n'avait pas forcément
37:14le sens,
37:15mais au-delà de 70 ans,
37:16je dirais,
37:17à changer un peu
37:18le logiciel
37:19au niveau de l'alimentation,
37:20même si, bien entendu,
37:21c'est trop capital
37:22d'un objet des fibres,
37:23des fibres,
37:24des téléproduces,
37:25des transformés,
37:26etc.,
37:27ça persiste,
37:28mais effectivement,
37:29on peut avoir
37:30des essais un peu
37:31contre-intuitifs.
37:32Une question technique,
37:33est-ce que la comète
37:34d'infos pour la gérontologie
37:35est coincée
37:36avec d'autres
37:37grandes enquêtes
37:38comme les trinettes ?
37:39On n'aime rien,
37:40pas à l'inconnaissance.
37:41D'accord.
37:42Une question,
37:43là aussi,
37:44mais vu ce que vous expliquez
37:45sur la géronscience,
37:46on parle de gériatrie.
37:47Alors,
37:48on parle de gériatrie,
37:52même si les gériates
37:54comme nous sommes
37:55sont des acteurs
37:56divulgés
37:57de répondre à cette nouvelle
37:58dynamique.
37:59malgré la culture
38:00de l'épendance,
38:01eh bien,
38:02il n'y a pas d'essence
38:03si possible
38:04de la prévenir
38:05et nous doit être acteur
38:06de cette dynamique
38:07de la géronscience.
38:08Mais cette géronscience,
38:09elle est trouvée
38:10dans d'autres disciplines,
38:11et c'est d'ailleurs
38:12ce qui se passe
38:13sur l'IHU.
38:14Il y a un nombre
38:15de acteurs
38:16de la recherche
38:17issus de la discipline
38:19qui viennent
38:20participer à cette recherche.
38:22Question délicate,
38:24comment garantir
38:25que les gens
38:26meurent en bonne santé
38:27à tant d'intérêts
38:28après un certain âge
38:29à empêcher
38:30les causes de mort
38:31rapides et semblables.
38:32Ben non,
38:34on a rien contre l'avant,
38:35on va réussir.
38:36Non, non,
38:37notre objectif,
38:38je pense qu'on est cohérents là,
38:39c'est de dire
38:40nous on cherche pas
38:41à augmenter l'espérance
38:42de vie absolue.
38:43On cherche
38:44à augmenter l'espérance
38:45de vie en bonne santé.
38:46Donc les gens
38:47ont peur qu'ils n'ont pas
38:48rien.
38:49On n'est pas du tout
38:50dans un délire
38:51de longévité infinie
38:52ou de trésorerie
38:53s'évaluant du réalisme
38:54US qui...
38:56Voilà,
38:57si vous avez bien écouté,
38:58c'est pas du tout l'idée.
38:59C'est vraiment
39:00jusqu'à la fin.
39:01Je fais ce que je valorise.
39:03Donc si j'aime faire mon jardin,
39:04je vais pousser un balin.
39:05Si j'aime lire,
39:06je ne veux pas
39:07continuer à lire etc.
39:08Sauf que le transhumanisme
39:09tu penses pas
39:10tirer des financements
39:11qui n'ont pas été
39:12dans le reste
39:13les mots
39:14pour avoir des financements
39:15mais c'est tout.
39:16Très d'accord et effectivement
39:19c'est important
39:20d'apporter cette précision
39:21qui paraissait assez
39:22évidente.
39:23La longévité
39:24n'a pas de sens
39:26ce qui est important
39:27c'est la congélité
39:28en santé un petit
39:29peu
39:31mieux, mais surtout que l'automatisation sur la matière de notre famille, continuons
39:35à faire ce que l'on peut faire en traiteur pour la société, ça c'est l'essentiel
39:39et c'est l'épiose que nous portons dans ce projet-là, qui attire quand même les
39:44investisseurs.
39:45Il n'y a pas que les investisseurs, il n'y a pas que les investisseurs qui attirent
39:47des investisseurs.
39:48On peut compléter sur les mots un peu sexistes, c'est-à-dire technologie, intelligence
39:52artificielle, pour le coup on en utilise, mais pas parce que c'est sexiste, parce
39:56qu'on ne peut pas faire ça, donc collecter des informations dans des rencontres, on
40:00peut pas faire ça, les outils télésuvis, donc, et traiter des données massives bientôt,
40:05on ne va pas faire ça en intelligence artificielle.
40:07Donc c'est pas l'utiliser parce que c'est francis, etc., c'est on l'utilise parce qu'on
40:11ne peut pas faire autrement.
40:12Dernière question, peut-être pour vous Antoine, quel serait l'intérêt dans le privé
40:17au fait de l'adjection ?
40:18Alors c'est honnêtement un court terme aucun, et donc c'est typiquement moi qui évolue dans
40:25un court civil européen, c'est à force de persuasion que je dois dire aux gens, écoutez,
40:30c'est pas notable voir si c'est à test, à court, moyen terme, mais je pense que vous
40:35seriez bien avisé de penser à long terme.
40:37Mais je donnerais le même conseil aux politiques, le temps politique est complètement incompatible
40:41avec l'État de médecine.
40:42Je ne sais pas combien on a dit, c'est à Santé, là.
40:44C'est 8 ou 9 semaines.
40:46J'imaginais si le PDG derrière lui ça avait changé tous les 8 mois.
40:49Je ne pense pas qu'il se met au top.
40:51Donc effectivement, il y a un problème d'échelle de temps,
40:54de la échelle de temps médicale et du long terme, et Dieu merci.
40:57On est encore relativement écoutés, mais parfois je pense qu'il faudrait
41:01s'accorder un peu plus sur l'échelle qu'on adopte.
41:05Merci à tous les deux, on vous a dit, c'était fort intéressant.
41:08Merci à tous les deux.
41:09Alors, on vous retrouve avec plaisir à 14h avec un sujet
41:14comment je vais arrêter de culpabiliser et appris avec l'IA qui ment pour moi.
41:18Avec Jean-François Bonnefou à tout à l'heure, ici 14h.
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