Passer au playerPasser au contenu principal
  • il y a 9 heures
70 000 tonnes de pesticides dispersées annuellement en France, un coût de dépollution de l'eau approchant le milliard d'euros, et une détection insuffisante des substances, Marc-André Selosse, dresse un état des lieux scientifique sans concession. Au-delà des impacts environnementaux, il révèle les conséquences sanitaires mesurées chez les agriculteurs eux-mêmes – augmentation significative de certains cancers et maladies neurodégénératives et les impasses économiques du modèle actuel qui impactent leur revenu.

Avec Marc-André Selosse, professeur du Muséum national d’Histoire naturelle

Suivez-nous sur :
Youtube : [https://www.youtube.com/c/lepoint/](https://www.youtube.com/c/lepoint/)
Facebook : [https://www.facebook.com/lepoint.fr/](https://www.facebook.com/lepoint.fr/)
Twitter : [https://twitter.com/LePoint](https://twitter.com/LePoint)
Instagram : [https://www.instagram.com/lepointfr](https://www.instagram.com/lepointfr)
Tik Tok : [https://www.tiktok.com/@lepointfr](https://www.tiktok.com/@lepointfr)
LinkedIn : [https://www.linkedin.com/company/le-point/posts/](https://www.linkedin.com/company/le-point/posts/)
Bluesky : [https://bsky.app/profile/lepoint.fr](https://bsky.app/profile/lepoint.fr)
Threads : [https://www.threads.net/@lepointfr](https://www.threads.net/@lepointfr)
WhatsApp : [https://www.whatsapp.com/channel/0029VaDv82FL2ATwZXFPAK3c](https://www.whatsapp.com/channel/0029VaDv82FL2ATwZXFPAK3c)
www.lepoint.fr

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00Pesticides, ce que dit la science ? 70 000 tonnes de pesticides, personnellement en France,
00:26c'est un coût de dépollution de l'eau approchant de milliards d'euros et une détection insuffisante des substances.
00:32Le congrès Célos traverse 20 séries de l'état des deux scientifiques sans concession.
00:36Au-delà de l'impact environnemental, vous allez révéler les conséquences sanitaires mesurées chez les agriculteurs eux-mêmes,
00:41comptations significatives de ces tailles, cancers et maladies neurodégénératives,
00:45et les impasses économiques des modèles actuelles qui impactent notre revenu face à ce constat.
00:50Il va éclairer les alternatives que proposent l'ébroécologie, ses preuves scientifiques et son potentiel de plus de protection.
00:5545 minutes pour comprendre ce que la science dit, vraiment des pesticides, envisager les voies de la répliqueur
01:00qui est considérée la santé des sols, celle des agriculteurs, celle des consommateurs.
01:04Je pense que c'est important, c'est 45 minutes pour nous en parler.
01:08Merci de votre introduction et merci au point de parler d'une chose qui nous concerne tous,
01:14jusque dans notre chair et dans la chair de notre chair, le monde que nous avons, les gays que nous avons.
01:19Bon, le premier point que je voudrais faire avec vous, après vous avoir dit que de pesticides portent la racine vers le teint,
01:28qu'elles dérées, tuées, c'est ce qui tue.
01:31Le premier point que je voudrais faire avec vous, c'est que les plantes sont les premières à utiliser les pesticides,
01:36naturellement, dans la révolution biologique, immobile qu'elles sont.
01:39Elles sont incapables de fuir face à l'attaque d'un microbe, champignons, bactéries, d'un insecte.
01:43Et puis encore, elles sont soumises à la concurrence des voisins qui emmêlent leurs racines dans les leurres
01:49et emmêlent les feuilles dans les leurres.
01:52En réalité, les plantes ont inventé dans la révolution biologique les pesticides,
01:56car sans pesticides, elles seraient la proie de ceux qui veulent les dévorer ou les concurrencer.
02:00Donc, de ce point de vue-là, elles ont commencé, et elles ont commencé bien avec une chimie puissante,
02:06car il y a des noms de molécules, ce sont des canins, des terpènes, des alcaloïdes, des composés cyanogéniques.
02:13qui font du cyanure, il y en a, c'est-à-dire le petit côté amande, amande amère, dans les amandes,
02:18il y en a pas beaucoup dans les amandes, mais c'est ça quand même, qui reste dans les amandes domestiquées.
02:23Et puis, c'est du composé soufrer de la fermicure, qui est du boisé, qui, tout, c'est composé,
02:29rendre les plantes incommestibles.
02:30Et elles expliquent, ces composés expliquent que dans la domestication des plantes,
02:36nous ayons eu à sélectionner des plantes qui contiennent au moins de ces produits-là,
02:41que si, que nous ayons développé des technologies qui retirent, c'est-à-dire les technologies,
02:45c'est le trempage, la fermentation, la choucroute, c'est juste une façon historiquement
02:50de rendre comestible un chou qui ne l'est pas.
02:54Mais aussi de la sélection naturelle pour que c'est pour que ça soit moins de ces composés.
02:57Parce que vous savez, à vrai dire, c'est pas nous anciens les repérés,
03:00que ces composés étaient aussi mauvais pour leur santé,
03:02c'est juste que nous avons été sélectionnés pour sentir ces composés comme amers.
03:06C'est-à-dire, c'est un peu comme un chou, il est bien souvent d'une façon fumitive.
03:13Donc, quand c'est n'importe c'est agréable à manger, on a sélectionné des plantes
03:15qui étaient plus agréables à manger.
03:17Et en sélectionnant des plantes qui, de façon plus comestibles pour nous,
03:20le chou d'aujourd'hui est comestible, quand le chou de l'origine ne l'était pas.
03:24En sélectionnant des plantes plus comestibles, nous les avons désarmé.
03:27Tiens, un exemple, les céréales, comme le blé, produisent des bases oxalocinoïdes.
03:32Alors les basoxazinoïdes, qui est-ce que c'est ? C'est des molécules, donc il faut s'entraîner pour penser le nom plusieurs fois, qui sont ségrédées par les racines et qui sont des herbicides puissants, qui interagissent avec l'épigénétique des blécosides.
03:47Et alors, il faut s'éteindre beaucoup, donc ça marche, et en sélectionnant des blés qui produisent beaucoup de grains, et on a surtout sélectionné des blés qui n'en font plus.
03:55Parce que du coup, ils sont plus étagés pour faire des grains.
03:58Donc en tout cas, ce qu'on a retiré parce que c'était dangereux pour nous, et ce qu'on a retiré parce que ça baissait le rendement, l'ajout du geste pesticides à l'homme est devenu inéluctable.
04:10Et comme les propos que je tiens lèvent souvent les commentaires de l'agro-industrie et d'un certain nombre de ses sectaires, je parle de sectaires car moi je pense qu'il est intéressant de le voir, je tiens à le répéter une deuxième fois.
04:25On. Ne. Se. Passera. Pas. Des. Pesticides.
04:32C'est pas la question. C'est pas la question. C'est tout la question de cette exposition.
04:36D'ailleurs, le guérin ne s'en passe pas. Il existe le guérin, c'est qu'il pose quelques problèmes.
04:40Actuellement, vous avez vu le poids viticulture, les réglantations évoluées.
04:43Quand ça a posé des problèmes, puis l'utilisation du guérin ou du petit guérin, et puis il tolère un certain nombre de pesticides.
04:48Il y en a fait l'inventaire. Mais on ne s'applique pas pesticides. Ce n'est pas possible. D'ailleurs, les plantes en nature elles-mêmes ne s'en souhaitent pas passer de pesticides.
04:56Je viens de terminer dans les temps mon premier point qui est le plus important.
05:00Qu'est-ce que les pesticides sont inscrits dans la biologie des plantes, et que nous ne nous inscrirons jamais hors de cette logique.
05:09On va enchaîner quand même un petit exemple.
05:13Avec le sorgho. Il y a des sorgho colorés qui sont pleins de phlobaphène, qui sont des molécules à la fois colorées, mais en même temps ils se retrouvent des molécules qui sont très toxiques pour ceux qui les mangent.
05:23Alors il y a certaines populations en Amérique du Sud qui cultivent des sorgho colorés parce qu'ils ont beaucoup plus de sanglots à manger.
05:32Ils ont aussi beaucoup plus de cancers du tube digestif. D'autres populations choisissent d'avoir des choses moins amères, des sorgho sans phlobaphène.
05:43Et ils ont moins de cancers du tube digestif, mais ils ont moins un enjeu.
05:48Bon, il y a là le début des discussions qu'il faut qu'on ait, mais reconnaissons-le.
05:54Les pesticides que nous avons ajoutés dans nos pratiques agricoles ont nourri le monde, et on doit le reconnaître face à la nature.
05:59Attention, il y a la quantité. On va revenir sur la qualité.
06:04Avant de passer justement au reste, j'aimerais vous convaincre que ce qui est exposé n'est pas basé sur une perspective d'agribachie.
06:12Pour une raison bien simple, les agriculteurs produisent ce qui se font.
06:18Et donc, si la responsabilité il y a du processus, elle est diluée entre ceux qui produisent et ceux qui font ça,
06:25pour ceux qui décident et ceux qui transforment.
06:27Si vous voulez instruire un procès à la suite de ce que j'aurai dit, c'est le procès, le problème systémique.
06:34Mais vous ne le comptez pas sur moi pour trouver un prix lycéen.
06:38Bien, les choses sont posées, arriveront dans le vif.
06:41Et le vif est à l'autre.
06:43Parce que, dans la deuxième partie, je voudrais faire le portrait de la toxicité des pesticides.
06:49Une toxicité qui est largement avérée certifiquement, mais pas toujours reconnue, pas toujours reconnue,
06:55et souvent discutée sur la bazarcussie, dont j'ai peine à penser qu'elle soit sincère.
07:00Alors, je vais commencer en vous rappelant un petit détail.
07:05C'est un détail, mais il va être important pour ce qui suit.
07:07Vous êtes des animaux, certes, des animaux sachants, faisants, pour reprendre personne,
07:15mais il n'a pas que des animaux, et ce qui va tuer des animaux risque bien de s'abîmer.
07:20Et puis, vos plus proches parents dans l'évolution, vous savez, ce sont les champignons.
07:25Et c'est pour ça que c'est si difficile de traiter les champignons avec des décomprimés,
07:28qu'il faut survivre, l'état du foie et tout, c'est que, en fait, de notre âme commun,
07:32bien qu'il y a eu un milliard d'années, nous n'avons gardé aucune ressemblance,
07:35sauf quelques traits communs, en termes de métabolisme.
07:39Ce qui fait que ceux qui tuent les champignons n'est pas forcément loin de tuer des animaux,
07:43nos plus proches parents dans l'évolution, ce sont les champignons, ou, et donc nous.
07:48Donc, ce n'est pas aberrant, si vous voulez, si vous voyez comme vivant,
07:51avec votre position comme nom singulière dans le monde du vivant,
07:54que vous soyez éventuellement la cible du sang.
07:58Et alors, justement, à ce propos, j'aimerais vous dire que les ténarites dans la mine,
08:02les milliers se témoins de l'étoxicide et des pesticides,
08:05bien direz-vous que ce sont les agriculteurs, puisqu'ils sont explosés à de grandes doses de pesticides.
08:10Sur ma première diapositive, qui n'est pas tardé à apparaître,
08:13je voudrais vous proposer une étude, qui est une étude soutenue par l'Université Social Agricole,
08:19l'INSERM, la Faculté de Caen, et qui suit plus de 180 000 agriculteurs.
08:26Alors, là, l'étude agricant, elle a une particularité, c'est que, très souvent, on regarde le résultat,
08:32et on dit que tout cancer, compris les agriculteurs, par rapport à la population générale,
08:36eh bien, ils ont moins de constats pour les hommes, moins simple,
08:39ils ont moins de constats que la population générale.
08:41Et tout le monde s'arrête à la moyenne, donc que logique ?
08:44La moyenne ne compte pas.
08:46Ce qui compte, c'est la distribution autour de la moyenne.
08:49C'est le détail.
08:51Et si vous entendez lire que cette étude montre qu'il n'y a pas de problème avec les pesticides,
08:55vous y ferez le doigt dans l'œil, jusqu'aux côtes.
08:59En effet, si on regarde le détail, on s'aperçoit que ce n'est pas moins 5, moins 7, 200,
09:06mais que pour la plupart des cancers, on est à moins 20, à moins 50 % d'incidences
09:12par rapport à la population globale.
09:14Vivre à la campagne, c'est sain.
09:16Et la ligne de base est donc beaucoup plus bas que le reste de la population,
09:21car la vie est plus saine.
09:22Mais, il y a quelques cancers qui dépassent.
09:25Il y a notamment le cancer de la prostate.
09:29Les myéloges, je crois, plus 3 %, mais comme il est très fréquent,
09:32ça fait plusieurs milliers de malades.
09:34Les myéloges multiples, plus 1 %,
09:37les lymphomes du Notchkinien, pour parler funéralement,
09:41on est surtout plus de 70 %.
09:43On a donc quelque chose qui, en fait, par rapport à la ligne de base
09:47à tenu de post-raculteur, ce n'est pas simplement plus 20, plus 50,
09:51c'est plutôt plus 40 et plus 110 par rapport à l'attendu à l'école.
09:55Donc, on a des petits phénomènes qui sont tout à fait attendus.
09:59Je n'ai pas trop de dire que les pesticides provoquent tous les cancers du monde.
10:03Tout s'en provoque, certes.
10:05Et, effectivement, là, on a quelque chose qui est lié à la vie agricole.
10:09Alors, je ne suis pas naïf.
10:11Je sais, par exemple, que ça, c'est la vieille de l'air,
10:14ça, c'est la vieille de soleil.
10:16Bon, je ne sais pas.
10:17Mais il y a un certain nombre de cancers qu'on va retrouver,
10:19vous allez voir dans des situations, et vous, on va se dire,
10:21tiens, tiens, tiens.
10:23Peut-être que finalement, c'est plutôt les pesticides.
10:25Alors, cette étude-là est troublée par d'autres.
10:29Alors, je ne parle pas de l'étude agricole,
10:33qui est une étude plus large, qui est une étude plus européenne,
10:35parce que là, il y a des mélanges de populations
10:37qui ne sont pas identiques, mais on va retrouver
10:39et le cancer de la prostate,
10:41et certains lymphomes, et cette analyse,
10:43de toutes les populations européennes.
10:45Ce qui m'intéresse maintenant, surtout,
10:47ce dont je voudrais parler,
10:49c'est de tout ce que détectent aussi d'autres travaux de l'Inserm,
10:53comme les maladies neurodégénératives.
10:55À 55 ans, les agriculteurs, bien qu'ayant vécu,
10:59bien qu'ayant vécu plus tellement le reste de la population,
11:02ils sont soumis de plus de 13% par rapport à la population standard.
11:07Ils utilisent le problème des maladies neurodégénératives.
11:10Alors, les cancers de santé à l'écran et les maladies neurodégénératives,
11:14donc je parle, sont des maladies qu'on connaît bien aussi pour être celles
11:19qui, dans le scandale de le chlordécone,
11:21vous savez, ce pesticide, c'est un pesticide pour l'utiliser en prépaïbe,
11:26et bien c'est aussi toutes ces maladies, on les retrouve dans les populations
11:30qui ont manipulé le chlordécone et qui ont aussi été voisines du chlordécone.
11:36Alors, entre eux, il y a aussi une autre preuve,
11:40que certaines maladies sont liées aux pesticides,
11:44et cette preuve-là ne sont donnée par les gens qui mangent bio.
11:48Il y a un hoax qui circule,
11:51que l'alimentation bio n'aurait pas d'effet sur les cancers.
11:55C'est un hoax un jour.
11:57Voilà, parce qu'il y a plein de travaux qui ont été publiés,
11:59y compris certains d'ailleurs, grâce à vos impôts.
12:02Mais c'est compliqué comme question,
12:04parce que manger bio, c'est aussi des traits socio-culturels,
12:08des CSP différentes de celles qui ne mangent pas bio.
12:10Néanmoins, on a des chiffres.
12:13Alors, on a des chiffres, notamment en termes d'exposos,
12:17c'est-à-dire d'exposition.
12:19Sur la diapositive qui suit, vous allez voir la réduction d'exposition
12:22dans l'alimentation à tout un tas de molécules,
12:25sauf les pyrétridoïdes, qui eux, sont autorisés en bio,
12:29et entre nous, c'est pas génial.
12:31Pour tout le reste, vous avez tout un tas de molécules
12:34qui rentrent en main dans l'organisme des gens qui mangent bio.
12:37Et le résultat ne se fait pas à tout.
12:39Dans une étude portant une 70 000 personnes, publiée en 2018,
12:44on découvre, alors je remets mes lunettes pour vous donner l'épargine,
12:48que quand on compare le quart des gens qui mangent le plus de bio
12:52au quart des gens, le quart de la population qui mange le moins de bio,
12:56moins 25% de cancer.
12:58Mais alors, après une dispersion d'un cancer à l'autre énorme,
13:02moins 76% de lymphomes.
13:04Ha, bien voilà !
13:06Et moitié de 4% de cancer du plus sain pour les femmes.
13:10Je ne sais pas si ça, parce que biologiquement,
13:13les hommes, ils ont aussi des seins.
13:14Mais, pour eux, on ne voit pas des faits.
13:17Ils sont des seins biologiques, je ne le vois pas.
13:20Alors, en 2014, il y a eu aussi une autre grande étude,
13:22en Grande Bretagne, sur 500 000 femmes,
13:25qui montrait, moins 20% de la faune dans notre chiquitien,
13:28qui rabelette les mêmes pour celles qui mangeaient du bio par rapport aux autres.
13:36Donc, on a tout un tas de travaux qui montrent qu'effectivement, il y a des effets.
13:39Alors, évidemment, ces effets, elles sont mélangés avec des effets de CSP,
13:44de profils de vie, de lieu de vie, mais quand on essaie à les extirper,
13:48on n'explique pas complètement les faits.
13:51Ça y participe.
13:53Et je refuse de trouver normal que finalement, il y ait des gens qui sont plus exposés à des maladies,
13:57qui sont plus pauvres.
13:58Parce que le truc qu'il faut, c'est de dire,
14:00« Ah oui, mais c'est aussi les gens qui mangent du choc.
14:02Ils ont moins de cancer, c'est par ailleurs, ils vivent mieux. »
14:05Et puis, on laisse les pauvres crover.
14:07Ça, c'est bon.
14:08Non, ça paraît trop bizarre.
14:10De toute façon, il y a une chose qu'il faut prendre en main.
14:13Et une des choses que l'on peut prendre en main, même si ça n'explique pas tout ce que je viens de dire,
14:17c'est que l'exposition à certains pesticides tue aussi des consommateurs.
14:22Et puis, j'aimerais le dire, ça tue aussi des réfrains.
14:25Alors là, c'est important parce que ça tue, en tout cas,
14:29ça tue pas toujours.
14:31Mais qui les réfrains ?
14:32Alors, j'ai parlé de la Glordécone,
14:33et on découvre aujourd'hui que les femmes qui ont été exposées à la Glordécone sans l'avoir appliqué,
14:37mais dans le voisinage, celles qui ont eu des enfants,
14:40on n'a des chiffres que pour elles.
14:42Donc, c'est des chiffres qu'ils aient par valeur inférieure.
14:45Et bien, on découvre qu'elles ont essayé beaucoup plus d'avoir des enfants que la moyenne,
14:51ou les thymides en voie de loup, et ils ont une fertilité diminue de 25%.
14:57Voilà.
15:00On s'aperçoit aussi que tout autant de problèmes, c'est Parkinson,
15:04il y a un cancer de post-articuléside, donc BDG soleil, RIR.
15:08Et une étude présente entre les herbes montre que la vie est très consommatrice de produits pesticides,
15:14parce que, entre l'oïdium, le mildiou, il y a beaucoup de maladies sur la vigne,
15:19une étude récente de l'internet montre que si vous avez 10% de vie en plus autour de chez vous,
15:24parce qu'il y en a un climat autour de chez vous, vous avez une probabilité accrue de 10% de l'infos.
15:30Alors, il y a de grosses discussions qui disent « Ouais, mais les statistiques ne sont pas bien faites ! »
15:36Excusez-moi, l'un d'un biologiste, qui sait qu'il y a des logiques qui possuient leurs statistiques,
15:40mais 10% ? Ça veut dire que je te souple.
15:43Il y a aussi, alors, des chiffres complètement effrayants qui sont passés assez inacassus.
15:48Qui a entendu parler de l'étude PESTIRIVE ?
15:52Ok, ben voilà. Alors ça, c'est une belle réussite, parce que vous avez mis des impôts là-dedans,
15:57mais vous avez été privé du résultat.
15:59PESTIRIVE s'intéresse aux riverains moins de 500 mètres des exploitations véticoles.
16:03Et donc, c'est un environnement de traitement.
16:05Dans 256 sites, c'est de 56 régions.
16:09On montre que dans les urines des gens...
16:11Là, je parle de l'exposition, je ne parle pas des maladies, je parle juste de l'exposition.
16:14Dans les urines des gens qui sont de cette région, par rapport aux gens qui sont à distance,
16:17à chaque fois il y a des couples par région, par possibilité d'étude,
16:21Eh bien...
16:23Euh...
16:25Moi, je ne sais pas trop les personnes.
16:28Je ne sais plus qu'ils sont soumis versus trop, mais qu'ils ne sont pas.
16:32Et on a 10 chiffres, donc dans les urines, de 15 à 45% de résidus de pesticides en plus.
16:38L'aise qui environne ces gens-là est toujours riche en pesticides et poussière,
16:44parce que poussière, c'est ce qui rentre, et puis ça ne sors pas.
16:47C'est le reste dans les poumons, les pas creuvages, les manges,
16:49ça, c'est la suprince, on libère sa charge.
16:51Dans les poussières, c'est 12 fois plus de pesticides que qu'on pouvait à distance.
16:55Donc, il y a réellement une exposition des voisins, avec des fois des effets gestaltés sur la santé,
16:59qui est inquiétante.
17:01Et puis, finalement, il y a l'exposition du rousse-matteur.
17:05On a vraiment les moindres, parce qu'on ne sait pas avoir récolte ou le verre.
17:08Et puis, en plus, le rousse-le-temps, il a appris à peler ses fruits et ses légumes.
17:12Ce qu'il tire, bêtise, à faire.
17:19Car vous vous privez de l'apport de microbes qui constituent votre microbiote.
17:23Et surtout, c'est là que sont massés les antioxydants.
17:27qui sont évidemment à la surface, parce que c'est l'acquérir de l'oxygène.
17:30C'est là que sont massés les oxydants, les antioxydants.
17:33One night all a day is keeping the doctor away.
17:35C'est un adage anglais qui dit que si on mange une pomme par jour, le docteur vient moins souvent.
17:39C'est montré statistiquement, bien robustement.
17:41Mais si vous pelez votre pomme, vous ne pouvez pas la manger après.
17:46Vous avez perdu les antioxydants sur le site de cet effet protecteur.
17:49Il nous a appris, tenez-vous bien, à utiliser de l'apport de microbes qui constituent notre microbiote et d'antioxydants
17:54pour enlever une partie, pas qu'il veut, des pesticides.
17:57C'est quelque chose de complètement excitant.
18:00Parce que c'est devenu un très complexe.
18:03Quand ça ne devrait pas l'être.
18:07Alors, j'en arrive maintenant dans cette partie où je décrive l'état de l'exposition des maladies.
18:14Un paradoxe.
18:20Parce que c'est bien l'histoire d'un paradoxe entre la première partie et la deuxième, n'est-ce pas ?
18:25Dans la première partie, j'ai dit il faut des pesticides.
18:28Sinon, la production baisse et puis moi, je ne sais pas bien.
18:32Et régulièrement, enfin moi, je ne sais pas régulièrement surtout quand il n'est pas.
18:35La deuxième partie, ils divise les pesticides, ils sont dangereux, ils tuent des gens, ils les rendent malades.
18:39Et vous savez, même si les gens ne meurent pas, le glycère, ce n'est pas un bon moment entre les.
18:49Alors, vous allez me dire aussi, c'est bizarre qu'on découvre.
18:52Là, je fais une incise avant de conclure ma partie.
18:55C'est bien qu'on découvre que ces molécules sont toxiques, après, ils ont mis ce marché.
18:58Qu'est-ce qui se passe ? C'est-à-dire une conspiration de l'industrie.
19:01Oh, c'est beaucoup plus simple.
19:04Ce qui permet de mettre sur le marché, c'est des tests de toxicité.
19:07Réalisés sur des souris ou des organismes qui, en plus, ne vivent pas longtemps.
19:11Mais qu'est-ce qu'on déteste de toxicité aiguë ? On sait que, si c'est de telle dose, il n'y a pas de mort.
19:15Il n'y a pas de symptômes.
19:17Et puis voilà.
19:19Mais la toxicité aiguë, c'est une chose.
19:21Le problème, c'est que nous, c'est la toxicité chronique à laquelle on est exposé.
19:25C'est-à-dire qu'il en vient à des quantités qui n'ont pas de toxicité nulle, mais régulièrement.
19:30Et c'est des vies qui sont plus longues que des vies qui sont et tout.
19:33Ce serait plus dur à tester.
19:35C'est seulement ça.
19:36Mais en plus, il y a un cocktail avec des effets éventuellement protecteurs, synergiques.
19:41Des effets qui font que le mélange n'a pas que les effets de la somme des effets élémentaires de chacun.
19:49Et c'est qu'en fait, les mises sur le marché ne testent pas la toxicité chronique.
19:59Et c'est ça qu'on découvre.
20:00Est-ce que vous attendez de la découvrir ?
20:02Et si vous trouvez qu'un certain nombre de lanceurs d'alerte qui exagèrent,
20:05viens vous donner le chiffre suivant.
20:06C'est en 2015 qu'on a acquis la certitude de mes statistiques.
20:10Ce genre qu'avant, on l'avait dit comme preuve.
20:12Mais on pouvait discuter les statistiques.
20:15Parce que le temps de corps a testé.
20:18Ok, mais alors, ah oui, il faudra les donner des bruits de socaïdriques.
20:24Bon.
20:26En 2015, on a appris que les gens avaient été exposés à une tirodité.
20:31Ils avaient quatre fois plus de cancer que les autres.
20:33C'est en 2015.
20:35On l'a su vraiment.
20:38On dirait ici, il y a quelques alertes moins statistiquement, c'est-à-dire,
20:43que des déterminants.
20:44Ce qui est dommage, c'est qu'il en reste encore, on peut trouver en moins dans votre sens,
20:47mais parce qu'il a une différence dans le regard de vie.
20:49Mais vous voyez, le truc, c'est qu'à un moment, il faut aussi, même si on vous dit molle,
20:54on l'assigne au souffle, l'élève, la statistique, la liste statistique,
20:58il faut aussi des questions.
21:00D'accord ?
21:01Je ne vais pas attendre.
21:02La classe d'alcool.
21:03Les deux séquences de la classe d'alcool en 2025.
21:05Il faut agir.
21:06Il faut agir.
21:07Il faut agir.
21:08Il faut agir.
21:09Il faut agir.
21:10Il faut agir.
21:11Il faut agir.
21:12Il faut agir.
21:13Bon.
21:14Alors, finalement, on vit à la fin entouré de ces pesticides.
21:17Et j'aimerais visibuler toute perspective.
21:20La personne décide de ces pesticides arrive dans votre alimentation.
21:22Bah oui, parce qu'il y a des restes de pesticides qui n'ont pas sa alimentation.
21:25Mais 7% des pesticides qui arrivent au sol finissent dans l'eau.
21:28Et ils arrivent aussi à vous par à la fois de l'eau.
21:30Or, on ne sait pas détecter.
21:31On sait détecter tous les pesticides.
21:32Mais on ne sait pas détecter tous leurs dérivés.
21:34Catastrophe.
21:3530% des Français ont bu pendant des années la dérivée du chlorothalonine, le R47-18-11,
21:43sans le savoir et sans qu'on le sait parce qu'on ne connaissait pas ce dérivé.
21:46On trouve l'inconnu et détecté que ça veut 60% dans nous, donc pour les Parisiens,
21:50en pluré.
21:51D'ailleurs, 50% des détectages ont été sur les pesticides qui ont sur l'un pour des zones
21:56pesticides.
21:57C'est un vrai problème pour la qualité de l'eau.
21:59C'est-à-dire qu'il y a des eaux qui sont irrécupérables et d'autres qui ne coûtent
22:02cher à récupérer.
22:03Et puis surtout, les pesticides viennent en l'air.
22:04Il y en a l'air parce que les bandages se font par pulverisation et parce que des fois
22:07ils ressortent du sol.
22:08Ils n'aiment pas l'eau.
22:09Alors que quand l'eau ou deux puits remplissent le sol, souvent ils choisissent l'air.
22:12Et ils passent en l'air avec cette odeur qui est particulière d'après le puits,
22:16qui est pleine de pesticides.
22:17Et vous avez peut-être vu que c'était du rassin qui me dit qu'au-dessus du ciel de France,
22:20il y a en partie en permanence entre 6 et 140 tonnes.
22:24Alors ça ne va pas beaucoup paraître.
22:26De pesticides qui volent et qui tombent un petit peu.
22:28Parce que par contre, les groupes du plaies,
22:30tout les entraînent simplement pour un effet de souffle.
22:32Voilà.
22:33Donc, on se retrouve soulés avec ces toxicités.
22:36Et donc des coûts réduits énormes.
22:38Et j'aimerais terminer ma partie là-dessus parce que de la souffrance humaine, de la mort humaine,
22:41bon.
22:42Je pense que c'est grave, hein.
22:45Aujourd'hui, on se retrouve avec des alimentations qui se font au pays d'un euro.
22:49Un euro entraîne, selon la chaire UNESCO de l'alimentation de Montpellier,
22:55ou, c'est le même chiffre, l'étude de certaines associations,
22:59dont des associations, dont des mutuelles.
23:01L'injuste coût de l'alimentation, chaque fois qu'on paie un euro,
23:04c'est entre 1 et 2 euros qu'on paiera après,
23:07pour des frais de maladies, pour de la restauration du site,
23:10pour de la dépollution de l'eau.
23:13Il faut bien penser qu'on entreguer une dette de santé,
23:15mais aussi une dette financière absolument énorme.
23:17Et moi, je vous dis ça comme ça, mais j'ai peut-être un peu l'air d'être un activiste, là, dans ma partie 2.
23:23Mais, vous savez, il se trouve que, dans le genre activiste,
23:26la Cour Récompte a produit le 16 septembre dernier un rapport,
23:29tant qu'il y avait un ton, lisait un résumé, vous allez retrouver les mêmes chiffres,
23:33pas estimés de la même façon, et l'intérêt à cette idée que,
23:35chaque fois qu'on investit un euro dans la transition, c'est 3 euros qu'on économise à terme.
23:41Voilà.
23:42Donc, il y a aussi un problème budgétaire derrière, mais passons au reste.
23:48Les solutions.
23:49J'aimerais maintenant vous parler de la façon d'utiliser moins de pesticides.
23:52C'est le plus important, et c'est pour ça que je l'ai gardé pour la fin,
23:55car je ne suis pas un catastrophiste.
23:57Moi, je suis en train d'essayer de vous montrer les issues de secours.
24:00Et ce message que je vous ai, un message plein d'optimisme,
24:05qu'il existe des solutions, les doigts d'ailleurs, aux recherches de vos abos,
24:09pour supporter, pardon, financer.
24:12Et ces solutions, c'est ce qu'on peut appeler globalement la pro-écologie,
24:17c'est ce qu'on peut, en fait, on peut dire,
24:19c'est appliquer les connaissances que nous avons de l'écologie dans le contexte agricole
24:25et trouver des solutions basées sur le vivant.
24:28Ce qui consiste, jamais ces solutions ne seront des solutions
24:31qui n'empêcheront un peu de pesticides à un moment,
24:34le besoin de technologie par ailleurs,
24:36ce sont des solutions à penser en métissage, dans un cocktail,
24:39un cocktail qui aujourd'hui a un bizarre nombre de pesticides,
24:43comme on le sait, en fait, simplement parce qu'il n'est pas équilibré.
24:46Les solutions basées sur le vivant n'ont pas historiquement fait partie de nos options,
24:50et toutes elles sont absentes, tout se mélange.
24:52Il ne se passe jamais de pesticides, mais ne doit pas non plus se passer le bon sens.
24:56Le bon sens consiste à en mettre les moins possibles.
24:58Comment ?
25:00Première chose, séparer le conseil de la vente.
25:05C'est-à-dire que quand un médecin peut expliquer quelque chose,
25:08c'est pas lui qui prend le médicament, c'est un pharmacien.
25:10Ça évite qu'on s'en placerait un peu plus.
25:14C'est un truc de bon sens, hein ?
25:16Ben oui, mais c'est pas le cas, justement, pour les pesticides en France.
25:19Et ça explique une chose.
25:21Alors, je vais parler un peu de pesticides par hectare, je sais, c'est pas élégant,
25:24parce que c'est quand même un peu une unité ruste.
25:26Enfin, je vais parler de l'agriculture qui se ressemble.
25:28Ça explique en particulier, eh bien, en France,
25:32on utilise 3,4 kg de pesticides à hectare,
25:35on trouve des oeils 5, 3,1 ou 1,5,
25:38plus favorable à la maladie.
25:39Pourquoi il y a moins de vie ?
25:40Il y a un autre, on ne sait pas.
25:42Il y a un vrai problème.
25:43La loi La B, du Paris-Galigny-Otropa,
25:45avait institué une séparation du conseil
25:48et de la distribution des pesticides.
25:50C'était difficile de faire imager une profession de conseil,
25:52et alors même que j'ai émergé la loi du plomb.
25:55Et revenu en arrière,
25:57c'est une détoxité cachée la loi du plomb.
25:59Et comme cette toxicité est entraînée pour morts d'hommes,
26:02moi je l'ai appelé un meurtre.
26:03Si c'est pas vraiment vous appelez fou le truc
26:05qui va provoquer des morts d'hommes
26:07et qu'on fait alors qu'il s'en soutient,
26:08qu'on s'arrête à tuer des gens,
26:09si vous pouvez trouver une autre mot,
26:10vous pouvez cacher la loi du plomb.
26:12Moi, quand un homme meurt sur la décision d'un autre,
26:15il y a un commanditaire du meurtre.
26:17Et je vais maintenant reprendre les mots
26:19d'une personne que je vous citerai après,
26:21donc je vous dirai l'identité de plus près,
26:23et c'est pour vous montrer.
26:33Qu'on peut faire scientifique
26:35et dire les choses avec des mots
26:37qui sont les mots tous les jours.
26:41On arrête les gangsters,
26:43on tire sur les auteurs des hold-up,
26:45on guillotine et assassins,
26:47on fusille les despotes.
26:51Mais qui mettront en prison les employeurs publics,
26:53le style en chaque jour,
26:55les produits que la Chine de synthèse
26:57livre à leurs profits et leurs imprudentes ?
27:01Alors, moi je l'appelle, je fais ça personnellement,
27:03parce que je vais dire société systémique,
27:05donc je ne pointe pas du lois qu'un comportement de la société,
27:07mais qui a dit ça ?
27:09Rogeret, professeur de Nicologie au Muséum,
27:11directeur du Muséum,
27:13membre de l'Institut,
27:15résistant déporté,
27:17pour ses actes de résistance avant le reste de sa carrière,
27:19que je viens de vous dire, dans les années 70.
27:21Et il le dit notamment, même parce que c'est là,
27:23dans la preface qu'il y avait écrite,
27:25une version française de
27:27« Le Parton Silencieux » de Rachel Carson.
27:29Bon, ben voilà, ça veut dire qu'à un moment,
27:31quand on voit un crime, il faut le dire.
27:33Surtout que là, ce que je vois, moi,
27:35c'est un crime qu'on pourrait séparer en partie,
27:37car l'agroécologie nous donne des pistes.
27:39À moi, je viens de dire,
27:41séparation du conseiller de la vente,
27:43c'est une urgence.
27:45Un petit chiffre, quand même.
27:47Dans les exploitations déchies,
27:49accompagnées par l'INRAE,
27:51on peut réduire
27:53la consommation de pesticides d'un tiers
27:55à plus.
27:57Dans les exploitations,
27:5994% d'entre elles
28:01augmentent leur performance
28:03de production.
28:05Et 78%
28:07augmentent leur rentabilité.
28:09Le conseil
28:11est désintéressé.
28:13D'accord ?
28:14En gros, c'est une urgence
28:15qui montre qu'on peut réduire
28:17des pesticides d'un tiers,
28:18en gros,
28:19sans perte de revenus,
28:21dont 67% des exploitations.
28:27Ça ne veut pas dire partout.
28:29Ça veut dire qu'il y a des endroits
28:31où il y aura des pertes de revenus.
28:32Et donc, là, j'ai un petit truc
28:33qu'il faut que je l'aurai dans un coin.
28:34Il y a des coups.
28:35On va revenir à court.
28:36Maintenant, je sens,
28:38après cette histoire du conseil,
28:39donc ces options sur l'agroécologie
28:41elle-même.
28:42Les haies !
28:43Les haies, on les a retirées,
28:44à un moment, on avait des pesticides.
28:45On a oublié qu'elles étaient pesticides,
28:46qu'elles s'empêchaient
28:47les maladies de se propager.
28:48Une haie empêche le flux de pesticides.
28:50Elle diminue le flux
28:53de parasites d'éculture
28:55de 80% !
28:56Parce que c'est de l'oxygène physique,
28:58parce que ça abrite des chaussures
29:00et des oiseaux
29:01qui ont mangé des insectes.
29:03Voilà.
29:04Donc, si on remet des haies,
29:05on protège
29:06contre toutes les autres maladies.
29:07Bon, bien sûr,
29:08ça retire un peu de surface de l'agriculture.
29:09C'est vrai,
29:10c'est un coût.
29:11Toujours stylé du coup,
29:12là, on peut y venir,
29:13c'est trop de plus.
29:14Mais,
29:15c'est en question que c'est beaucoup
29:16des pesticides,
29:17puisqu'on en a besoin de moins.
29:18Bon, par exemple,
29:19la haie,
29:20elle va aussi,
29:21ce qui s'entendent,
29:22de croire,
29:23par exemple,
29:24c'est pour le climat.
29:25Elle va empêcher l'érosion.
29:26Il ne sait pas mal
29:27parce que nous soyons
29:28à prendre l'érosion.
29:29Les racines vont structurer
29:30le sol profond,
29:31augmenter la capacité du sol
29:32pour stocker de l'eau pour l'été.
29:37par la quantité de pollinisateurs.
29:3960% des écosystèmes
29:42sont limités
29:43par la quantité de pollinisateurs.
29:45D'accord ?
29:46En Bourgogne,
29:47par exemple,
29:48dans les champs de cassis,
29:49vous réélevez
29:50des insectes pollinisateurs.
29:51Ils sont là,
29:5280% en une trentaine d'années.
29:55Donc, voilà,
29:56en 37 ans,
29:57donc,
29:58vous remettez
29:59des insectes pollinisateurs
30:00pour les utiliser.
30:01Je sais pas.
30:02J'ai une proposition ici.
30:03Il y a 4.
30:04Donc, avoir des haies,
30:05c'est en train de dire
30:06des pollinisateurs
30:07qui manquent
30:08à d'autres agriculteurs.
30:09Donc, ces haies,
30:10elles ont plein d'autres
30:11effets positifs,
30:12mais notamment,
30:13elles vont réduire
30:14la quantité de maladies.
30:15Deuxième aspect.
30:16Mélanger.
30:21Mélanger les cultures.
30:22Alors,
30:23mélanger les cultures,
30:24ça veut dire,
30:25avoir,
30:26une bande de choux,
30:27une bande doublée,
30:28une bande de choux,
30:29ça veut dire des mélanges.
30:30ça,
30:31ça va faire que,
30:32vous allez déjà,
30:33emmenercer les parasites
30:35qui n'ont pas arrivé
30:36à se transmettre
30:37bien d'une bande à l'autre.
30:38Voilà une météanalyse
30:39de 75 travaux.
30:4175,
30:4274 travaux,
30:43pardon,
30:44où est que,
30:45l'arrivée des maladies,
30:46elle évite de 40%.
30:47Et en plus,
30:48comme les plantes,
30:49tropicèles,
30:50n'utilisent pas les mêmes ressources
30:51de la quantité de phosphore utilisable,
30:53c'est augmenté de 94%,
30:54de potassium utilisable de 22%,
30:57d'azote nitrique de 31%.
30:59Oui,
31:00parce qu'en fait,
31:01vos plantes sont un peu en concurrence,
31:02mais pas complètement.
31:03Et ça,
31:04ça explique que quand vous mélangez
31:05plusieurs espèces dans une parcelle
31:06et que vous comparez à la surface
31:08qu'il vous faudrait pour produire autant
31:09si elles étaient séparées,
31:10et bien en fait,
31:11vous produisez autant sur un hectare de mélange
31:13que sur 1,3,
31:14en moyenne,
31:15hectares de cultures séparées
31:18qui gagne de la place.
31:20Et là, tu sais que ça rembourse un peu les coups.
31:22Après,
31:23c'est vrai que c'est pas le même.
31:24Et un petit air,
31:25c'est pour faire des parcelles.
31:26En même temps de mélanger
31:27avec une grande partielle du blé,
31:28il y a quand même des coups.
31:29Mais ce que je veux dire,
31:30c'est qu'en mélangeant mes espèces,
31:32je freine la propagation des maladies.
31:34C'est pas pour ça.
31:35Alors après,
31:36il y a aussi autre chose qu'on peut faire
31:37pour piger ou piger la propagation des maladies.
31:40C'est d'avoir des très longues rotations,
31:42c'est-à-dire d'y passer quelques années
31:43avant de revenir à la même culture.
31:45Alors évidemment,
31:46aujourd'hui,
31:47on peut tous du blé et des patates.
31:50Donc,
31:51c'est difficile
31:52de ne pas faire souvent de la patate
31:53ou souvent du blé.
31:54Mais en même temps,
31:55on s'aperçoit
31:56que notre rapport de fibres
31:57n'est pas assez diversifié
31:58pour entretenir nos microbes
31:59et que ça abîme notre microbiote
32:00et que c'est un des facteurs
32:01limitants de la santé des Français.
32:03Écoutez,
32:04ce que tu vas faire,
32:05c'est se dire,
32:06on va diversifier notre alimentation,
32:07on va remettre du pépinambour,
32:08on va remettre du rotabaga,
32:09en plus qu'on s'est bien businé,
32:10franchement c'est bon.
32:12Donc,
32:13ce qu'il faut effectivement,
32:14c'est aussi faire venir notre alimentation
32:16pour avoir des ventations plus longues
32:17parce qu'on n'utilisera pas toujours
32:18les mêmes petits tuits.
32:20Et ces rotations longues font que,
32:21si un parasite du blé est en 5 ans,
32:23que le blé revienne,
32:24il y a une mort d'ennui.
32:25Non,
32:26une mort d'ennui.
32:27Non,
32:28une mort de flou.
32:29Oui.
32:30Donc,
32:31ces cultures mélangées,
32:32moins 40%.
32:33Vous en voulez encore ?
32:34Tiens,
32:35pour les différentes espèces
32:36que je vais cultiver,
32:37je vais mettre carrément
32:38des variétés différentes.
32:39Attention,
32:40je vais faire ça bien.
32:41Je vais sélectionner différentes variétés
32:43qui auront les mêmes qualités
32:44technologiques,
32:45les mêmes dates de récolte,
32:46d'accord ?
32:47Parce qu'il faut quand même
32:48que ce soit raisonnable à tout ça.
32:49Ok,
32:50je ne parle pas de semences à l'ancienne.
32:51Moi,
32:52je ne parle pas du mélange.
32:53Je mélange ça,
32:54et je les choisis dans le sens
32:55qu'elles n'aient pas le même profit
32:56de sensibilité aux maladies.
32:57Eh bien,
32:58vous pouvez de nouveau réduire
32:59la propagation des maladies
33:00de 20 à 40%.
33:01Parce que,
33:02les maladies qui réussissent
33:03sur un pied,
33:04ne réussissent pas sur l'autre.
33:05Alors qu'aujourd'hui,
33:06on a des gens génétiquement identiques.
33:07Toutes les semences sont rendues
33:08par celui-là même
33:09qui donne le conseil
33:10et distribue les produits
33:11phytosanitaires.
33:12Mais aujourd'hui,
33:13on a des gens
33:14qui sont après un strike.
33:15Si jamais j'arrive
33:16à manger cet individu,
33:17comme les autres sont pareils,
33:19c'est le strike.
33:21Parrain financier,
33:22n'acceptons-là
33:23comme ceux
33:24que font tous les ans
33:25les agriculteurs
33:26qui sèment l'offre chaud.
33:27Bien.
33:28Alors là,
33:29j'ai réduit la propagation
33:30des pathogènes
33:31de plein de façons.
33:32Je les ai emmerdés
33:33autant possible.
33:34Puis finalement,
33:35une année,
33:36ils se développent.
33:37Qu'est-ce que c'est ?
33:38J'en sors la sulfateuse.
33:39Sauf que je ne vais pas
33:40en mettre beaucoup
33:41parce que,
33:42comme je le dis peu
33:43et moins souvent,
33:44les résistances
33:45ne sont pas aussi fortes.
33:46Je ne me fais pas
33:47passer des pesticides.
33:48J'ai fait un cocktail
33:49de ce genre.
33:50Je ne crois pas
33:51à la solution unique.
33:52je crois à l'habilité.
33:53Mais alors,
33:54surmonter les coûts.
33:55Comment faire ?
33:57Après vous avoir parlé
33:58de séparer le conseil
33:59et la vente.
34:00Après vous avoir parlé
34:01des aides
34:02que vous apportez
34:03pour l'écologie,
34:04j'aimerais dans une dernière
34:05question vous parler.
34:06vous êtes la solution
34:08pour lutter contre
34:09les pathogènes.
34:10Vous savez comment ?
34:11Ben,
34:12s'il y a des surcoûts.
34:14Vous les payez.
34:15Si vous avez
34:16une agriculteur
34:17qui va construire
34:18un paysage,
34:19construire une qualité
34:20de l'eau,
34:21construire une qualité
34:22de l'air,
34:23construire une santé,
34:24ça impérise ça.
34:25Vous les payez ?
34:26Ah oui,
34:27il n'y a pas beaucoup
34:28d'argent.
34:29C'est la fin
34:30de la deuxième période
34:31où je vous disais
34:32les coûts cachés
34:33qu'on paye après.
34:34Donc de toute façon,
34:35vous allez payer.
34:36La question c'est un peu
34:37maintenant,
34:38beaucoup plus tard.
34:39Vous savez,
34:40je vous touche la gorge.
34:41Ils vont passer à la caisse.
34:42Moi je préfère passer
34:43à la caisse maintenant,
34:44par le troisième sens suivant.
34:45C'est du inscrutable.
34:46Mais c'est moins cher.
34:47Alors,
34:48si vous avez déjà
34:49la caisse,
34:50vous savez,
34:51est-ce que vous avez l'idée
34:52de ce que vous payez
34:53chacun d'entre vous,
34:54vous l'auriez compris,
34:55pour la PAC ?
34:56Allez, un chiffre.
34:57Pardon.
34:59C'est bon.
35:00C'est bon.
35:01C'est bon plaisir.
35:02Comment c'est que tu vois
35:03comment ça vous disait ?
35:04Bah, sans c'est ça.
35:05Sans.
35:06Sans.
35:07Sans en haut.
35:08Sans personne n'est pas.
35:10Sauf que vous ne regardez
35:11pas trop bien
35:12comment ça va.
35:13C'est surtout une prime
35:14à la surface.
35:15Comment ça va à l'agriculture.
35:16Et moi je pense que ça,
35:17c'est pas assez.
35:18On doit payer plus
35:19pour tous les autres services
35:20qu'on demande à l'agriculture.
35:21Vous voyez,
35:22on a pour le stockage du carbone,
35:24ça aussi c'est un truc,
35:25il faut s'équiper.
35:26Et puis,
35:27par contre,
35:28il y a un moment,
35:29il faut payer la transition
35:30et puis,
35:31il faut penser
35:32qu'ils font les coûts.
35:33Sachant que vous avez vu
35:34que j'avais des méthodes
35:35qui augmentaient la production
35:36donc quelquefois,
35:37c'est pas nécessaire
35:38d'augmenter les coûts.
35:39Mais quand,
35:40une fois-là,
35:41il faut que vous soyez là
35:42et que de votre carte bleue,
35:43et que de votre carte
35:45directeur
35:46vous souteniez
35:47à tel mouvement
35:48et vous pouvez
35:49non seulement
35:50le soutenir
35:51avec votre agent
35:52mais aussi avec votre façon
35:53de manger.
35:54J'aimerais maintenant
35:55apporter un deuxième point.
35:56Nous mangeons
35:57trois à cinq fois
35:58la dose maximale
35:59de gendre
36:00recommandée par l'OMS.
36:01J'en avais fait une chronique
36:02d'ailleurs
36:03dans mes chroniques au plan
36:04puisque d'autres
36:05j'avais fait une chronique là-dessus.
36:07Nous mangeons
36:08trois à quatre fois
36:09plus de viande
36:10omérissante
36:11autour de 100 kg
36:12par personne et par an
36:13au lieu de 25
36:14par personne et par an
36:15recommandée par l'OMS.
36:16Le bilan
36:17c'est que ça nous fait
36:18un excès de maladie cardiovasculaire
36:19un excès de cancer du tube digestif.
36:20Je ne suis pas en train
36:21de vous dire de parler
36:22moi j'ai une viande.
36:23D'ailleurs moi j'ai besoin
36:24des animaux
36:25parce que vous savez quoi,
36:26en terme d'herbicide
36:27c'est trop bien la vie.
36:29Allez ça tombe
36:30de qui est-ce qui ?
36:31Qu'est-ce qui vient
36:32d'un herbelement
36:33du vignoble néocéantais ?
36:35Les moutons
36:36qui étaient vraiment
36:37incongruables
36:38avant la sortie des feuilles.
36:39D'accord ?
36:40Donc moi j'ai besoin
36:41pour l'agroécologie
36:42j'ai besoin d'animaux
36:43en tout cas du fumier
36:44qui est un engrais
36:45j'en ai besoin.
36:46C'est bon ?
36:48Mais euh...
36:49c'est pas vraiment
36:50vous faire péter
36:51la lampe
36:52sans rendre malade
36:53vous ziac.
36:54Si vous consommez moins
36:55de viande alors
36:56vous allez résoudre
36:57un énorme problème de place.
36:5860% de la surface agricole
37:00sont aujourd'hui
37:01en Europe
37:03et c'est le même chiffre
37:04pour la France.
37:05C'est énorme !
37:06Si vous divisez ça
37:07par trois mettons
37:08vous allez récupérer
37:09énormément de surface
37:10pour faire des aliments
37:11pour l'homme
37:12directement
37:13et vous pourrez
37:14paisser le rendement
37:15sans
37:16avoir besoin de revenus
37:18pour les agriculteurs
37:19mais vous pourrez
37:21avoir une place
37:22pour paisser un peu
37:23le rendement
37:24et plus vous rembourserez
37:25fortement des coûts
37:26sur le fait de ne pas avoir
37:27des coûts de santé
37:28pour santé publique
37:29vous voyez
37:30il ne s'agit pas de dire
37:31pas de gens
37:32on a encore
37:33c'est encore
37:34comme tout le monde
37:35le pesticide
37:36c'est les questions
37:37des succes
37:38c'est fini ça
37:39c'est fini
37:40la synthèse
37:41c'est quelle viande
37:42surtout les viandes
37:43de pâturage
37:44que des gens
37:45peuvent faire
37:46d'agriculture
37:47et moins de viande
37:48pour la santé
37:49et pour voir
37:50qu'ils se placent
37:51pour faire nos besoignes
37:52végétales
37:53pour les hommes
37:54et les femmes
37:55pour les humains
37:56oui suivi
37:57c'est une solution
37:58et en plus
37:59ça coche
38:00comme souvent
38:01en agroécologie
38:02en écologie
38:03et en santé
38:04ça coche plus ou moins
38:0515 fois
38:06tout le monde
38:07au passage
38:08il y a moins de gens
38:09c'est pas trop
38:10moins de gens
38:11pour le jeter
38:12à l'autre côté
38:13de l'atlantique
38:14et j'aimerais vous parler
38:15de gloss
38:16miroir
38:17et de décision politique
38:18du côté du pays
38:19il y a des gens
38:20qui peuvent vous aider
38:22surtout
38:23il y a des gens
38:24qui peuvent vous aider
38:25là-dessus
38:26j'aimerais bien
38:27de s'en parler
38:28j'ai eu mon opinion
38:29de citoyen
38:30mais là je ne parle pas
38:31en citoyen
38:32je parle de mesures
38:33techniques
38:34pas en citoyen
38:35scientifiques
38:36j'ai apporté
38:37le maigre bagage
38:38que j'ai
38:39au discours
38:40ça s'y explique
38:41bon bah écoutez
38:42on a quand même pas mal avancé
38:43
38:44on a potentiellement
38:45refait le monde
38:50je me plaît
38:51la cour des comptes
38:52c'est cool quand même
38:53pour tout ça
38:54vu ça
38:55mais c'est vrai
38:56que vous pouvez
38:57faire ces aventures
38:58un peu au-delà
38:59de leur assiette
39:00et pour terminer
39:01je voudrais maintenant
39:02vous poser une conclusion
39:03un peu globale
39:04et un pas en arrière
39:05d'abord
39:06une récapitulation
39:07je vous ai dit que
39:08les pesticides sont inscrits
39:09dans nos biologiques
39:10des plantes
39:11il faut les défendre
39:12et ce qu'il faut
39:13c'est qu'on arrive
39:14à les défendre
39:15d'une façon
39:16qu'ils font
39:17qu'elles sont
39:18quand même
39:19encore rangeables
39:20pour nous
39:21par parenthèse
39:22on aurait pu parler
39:23ensemble
39:24aussi
39:25de la sélection
39:26réitale
39:27pour restaurer
39:28des défenses
39:29qui ne sont pas dangereuses
39:30pour nous
39:31c'est juste un exemple
39:32de ça
39:33parce que c'est une preuve
39:34du concept aussi
39:35c'est pas vraiment
39:36de l'agroécologie
39:37c'est la sélection réitale
39:38je voudrais quand même
39:39vous le dire
39:40c'est une preuve
39:41de l'hélicène
39:42et qui cumule plusieurs
39:43gènes de résistance
39:44au milieu et l'oïdium
39:45quand on plante ces cépages-là
39:46qui peinent encore
39:47à trouver un terroir
39:48où il s'exprime pleinement
39:49mais comme on en produit plein
39:50nul doute que ça arrivera
39:51et puis d'ailleurs la champagne
39:52est tombée amoureuse
39:53d'un d'entre eux
39:54il est en train d'être
39:56dans son âme
39:57dans son âme
39:58aussi
39:59dans son âme
40:00et puis
40:01il y a des fois
40:02ça marche quand même
40:03cette histoire-là
40:04mais ces cépages-là
40:05qui sont ici
40:06en milieu de l'hélicion
40:07dix à dix selon les régions
40:10mais ouais
40:12donc évidemment
40:14il y a des façons de retrouver
40:17de sélectionner une partie des défenses
40:20en la base aubée
40:21au moins
40:22plus celles qui ne sont pas dangereuses
40:23pour l'homme
40:24et en l'occurrence le vin fait
40:25à partir de restes durs
40:26ne tourent pas
40:27j'en ai quand même quelques litres
40:28un de coco
40:29pour en avoir goûté pas mal
40:30je vous assure
40:31quelques litres
40:32pour plusieurs
40:33cette année quand même
40:34mais je vous assure
40:35c'est pas ça qui m'aura tué
40:37mais
40:38je pense avoir un petit peu
40:40plus abîmé de connaître correct
40:41j'ai entendu un peu près
40:42des statistiques
40:43sur les articles sur les pesticides
40:45d'accord
40:46alors
40:47la première constatrice
40:48c'est que d'une façon générale
40:49il n'existe pas
40:51d'envie de panacées
40:52désolé
40:53là c'est un peu professionnel
40:54un peu général
40:55il n'y a pas de panacées
40:56il y a juste un cocktail de solutions
40:58qui au passage
40:59panache
41:00les problèmes
41:01de façon à ce qu'aucun problème
41:02ne devienne troupe et cul
41:04ça c'est
41:05mon avis
41:06une philosophie d'exigence générale
41:07et c'est celle que je propose
41:08un point de pesticides
41:09où les pesticides chimiques
41:10ont leur place
41:11et défendent les plantes
41:12en leur place
41:13et aussi
41:14l'agroécologie
41:15et les méthodes faciles
41:16c'est le vivant
41:17la dernière chose
41:18c'est que moi je fais des formations
41:19d'IVEA
41:20je ne sais pas si vous connaissez les formations d'IVEA
41:21c'est des formations d'agriculture
41:23non pas des agriculteurs
41:24je rencontre des formations d'IVEA
41:25j'en fais une demi-douzaine par an
41:27et je rencontre des agriculteurs
41:28et on se bat pas hein
41:30parce qu'il y a certaines omerta
41:31ils ne parlent pas trop
41:32ils ne parlent pas trop
41:33mais l'idée d'avoir
41:34qu'il y a sur les produits
41:35qui s'épandent
41:36c'était d'être en combinaison
41:37de cosmonautes
41:38pour les manipuler
41:39ils ne sont pas cons
41:40que ça fasse
41:41ce chemin dans leur esprit
41:42et d'ailleurs
41:43nous dit un sondage
41:44zéolia
41:4562
41:4612 heures d'entre eux
41:47sont en faveur des mesures agri-environnementales
41:51qui ont été prises récemment
41:53on retrouve le même chiffre dans un sondage
41:55publié un jeune dernier par l'EFB
41:57mais 65% d'entre eux
42:00à la question
42:02est-ce que les mesures d'accompagnement sont adaptées
42:04répondent
42:05bon
42:06vas-y
42:07il faut payer
42:08donc
42:09mon point de vue
42:10n'est pas loin je pense
42:11d'être le point de vue
42:12de pas mal d'agriculteurs
42:13en tout cas
42:14ce que je rencontre
42:15je sais bien que ces rencontres
42:16sont une biaisée
42:17et d'autres
42:18peut-être
42:19peut-être
42:20bon
42:21l'autre chose
42:22c'est que je vous rappelle
42:23que le statut de la science
42:24qu'utilise la science
42:25pourquoi il dit ça la science
42:26pourquoi est-ce qu'on nous demande
42:27vous pouvez venir
42:28c'est
42:29parce que la science
42:30elle a envie de parler
42:32parce que c'est son rôle
42:34c'est son éthique
42:35la science est une fiche
42:37la fiche du haut
42:38du mât de une
42:39elle
42:40elle vous dit
42:41où sont les obstacles
42:42elle vous dit où sont les passes
42:43elle peut se tromper
42:44mais elle voit les obstacles
42:46désolée
42:47ce sont des interdits
42:48et elle voit les passes
42:49elle voit la terre au loin
42:51elle voit les directions de l'espoir
42:52elle peut se tromper aussi
42:54simplement
42:55pendant que les autres besognes
42:56à gérer les cordages
42:57à remonter des voiles à bord
42:59et bien
43:00chacun son boulot
43:01son boulot
43:02ben tout ne le concerne pas d'ailleurs
43:03la vie elle regarde de loin
43:05et quand on renverse la vie
43:06c'est rien moins que l'avenir
43:08qu'on renverse
43:10et la certitude qu'un écueil pourra nous avoir
43:13bréser les espoirs dans notre descendance
43:18vous savez
43:19je ne suis pas catastrophiste
43:20il y a bien une catastrophe quelque part
43:22il y a des issues de secours
43:24et j'aimerais vous remercier encore
43:25du fait que vos impôts les ont
43:27à financer à des personnes
43:29ces issues de secours
43:30et quelque part
43:32mon messager de la charge d'espoir
43:33ne lisez pas
43:34je vous en prie
43:36les marchands de doute
43:38déversés
43:39des ordures
43:41fustelles chimiques
43:43sur l'espoir
43:44je vous en prie
43:46vous le devez
43:48à vos vieux jours
43:49et vous le devez
43:50à vos enfants
43:51et nous le
43:53tout
43:54vous
43:55allez je suis sûr que vous êtes exposé à ce site des questions
43:57on va prendre des questions de l'installe n'hésitez pas
43:59oui monsieur
44:01ah
44:03ici
44:04verset
44:05monsieur
44:06moi
44:07bonjour
44:08merci beaucoup pour cette vision de cette très dynamique
44:10l'envers
44:11il est candidat de l'espoir
44:12et de l'espoir
44:13combien d'espoir les pesticides pour la peau de la bombe alors qu'elle part
44:16ça dépend
44:17si c'est une pomme bio
44:18il y a du cuir
44:19pas beaucoup mais là un peu
44:20et puis c'est une pomme pas bio
44:21la culture ne va pas jusqu'à la liste des noms
44:22mais là je l'appellerais quand même
44:24au grand regret
44:25qu'est ce que je pense
44:27c'est une pomme bio
44:28il y a du cuir
44:29pas beaucoup mais là un peu
44:30et puis si c'est une pomme pas bio
44:32la culture ne va pas jusqu'à la liste des noms
44:34mais là je l'appellerais quand même
44:36au grand regret
44:38qu'est ce que je pense
44:39c'est une grande force
44:40c'est que eux ils peuvent justement
44:42et je vous parlais deux secondes de l'ordre de l'enceur
44:43à Strasbourg
44:45vous connaissez peut-être
44:46quand une femme tombe enceur
44:47c'est une grande force
44:48c'est que
44:49eux ils peuvent justement
44:50et je vous parlais deux secondes
44:51de l'ordre de l'enceur
44:52à Strasbourg
44:53vous connaissez peut-être
44:54quand une femme tombe enceinte
44:55elle reçoit des bons d'achat
44:57ce qui permet au fœtus
44:58de ne pas choisir
44:59entre toxiques et pas toxiques
45:00pour acheter du haut et au cal
45:02pour la ville
45:03pour la communauté de commune
45:04ça ne compte pas cher
45:05parce que ça fixe
45:06des agriculteurs bio
45:07qui font de la vie économique
45:09et payent des taxes
45:10et finalement au bilan
45:11ce n'est pas très cher
45:12vous êtes monsieur Potaxi
45:14vous êtes élu
45:15monsieur
45:16à Dubourg
45:17on va l'espérer
45:18si vous m'avez écouté
45:19vous êtes monsieur
45:20l'espoir de ça
45:21et parce qu'en plus
45:22ça paye légalement
45:23la classique de l'environnement
45:24c'est un truc
45:25on est propriétaire du résultat
45:27on va passerai je crois
45:29monsieur
45:31bonjour
45:32il y a plusieurs solutions
45:36qui sont proposées
45:37il y a des arguments
45:39de manière individuelle
45:40donc toujours
45:41les agriculteurs
45:42les consommateurs
45:43les pouvoirs publics
45:44ce sont des règles
45:45parce qu'ils sont individuels
45:46tout le monde
45:47c'est une coopération
45:48deux solutions
45:49et j'ai l'impression
45:50qu'aujourd'hui
45:51le problème
45:52c'est de coordonner
45:53l'ensemble
45:54de ces solutions
45:55puisqu'il faut convaincre
45:56l'ensemble de ces acteurs-là
45:57et que c'est pas si évident
45:59alors comment justement
46:01établir cette coordination
46:03et comment arriver
46:04à convaincre
46:05sur l'ensemble
46:06de ces solutions-là
46:07je vous montre le livre
46:09parce que le livre
46:10se termine
46:11sur un plot-puit
46:12pour la fédération
46:13bio-g
46:14bi-o-g-e-e-e
46:15que je préside
46:16et qui regroupe
46:17le muséum
46:18des sociétés scientifiques
46:20des associations citoyennes
46:21des fédérations d'entreprises
46:22des fondations d'entreprises
46:23nous sommes 80
46:24à vouloir
46:25à nous penser
46:26à nous prétendre la voie
46:27des sciences de l'environnement
46:28et de la santé
46:29en France
46:30et nous nous battons
46:31pour augmenter
46:32l'enseignement des sciences suivantes
46:33et de l'environnement
46:34aux sciences suivantes
46:35puisque les proies à cela
46:36c'est comme une vraie connaissance
46:37mais comme un mythe
46:38pour agir
46:39parce que ce n'est pas régulier
46:40par semaine
46:41qu'on peut être aussi fort
46:42qu'on est fort
46:43à calculer
46:44oui, dans les fondamentaux
46:45mais l'exposition
46:46dans le monde
46:47avec Eric Orsona
46:48il y a deux ans
46:49le savoir-vivre
46:50c'est partie des fondamentaux
46:51et d'ailleurs
46:52on le dit justement
46:53on déroule très rapidement
46:54on disait
46:55du coup il faut savoir lire
46:56et raconter
46:57mais tant qu'on n'a pas mis
46:58le savoir-vivre
46:59ce que c'est qu'être vivant
47:00ce que ça permet
47:01ce qu'est le vivant
47:02ce qu'on dit
47:03tant qu'on n'est pas
47:04capable de savoir
47:05on n'est pas capable
47:06de vivre
47:07c'est ce qui nous est arrivé
47:08et les crises sanitaires
47:09et orientales
47:10qui nous avons créées
47:11elles le sont
47:12par un défaut de formation
47:13et une vête en chaoung
47:14une vision du monde
47:15qui n'est pas adaptée
47:16à ce que nous sommes
47:17donc déjà
47:18formez mieux la jeunesse
47:19et à dire
47:20répéter
47:21expliquer
47:22inlassablement
47:23ceci est la 360ème
47:25de France
47:26cette année
47:27pour moi
47:28et si on a d'autres questions
47:31dans le public
47:32monsieur
47:33je voudrais revenir
47:34sur votre solution
47:35concernant
47:36le fait de mixer
47:37les cultures
47:38dans le même champ
47:39je pose la question
47:40s'il y avait aujourd'hui
47:41des solutions mécaniques
47:42qui permettaient
47:43avec des haies
47:44avec cette multiplicité
47:45de cultures
47:46d'avoir
47:47les mêmes volumes
47:48les mêmes rendements
47:49ce qui permettrait
47:51de passer à l'échelle
47:52alors il y a deux types
47:54de mélanges
47:55il y a le mélange pied à pied
47:56en céréales légumineuses
47:57on sait faire
47:58en fait du long temps
47:59et du coup
48:00ça c'est un des cas
48:01où justement
48:02sur un hectare
48:03on va produire
48:05des semoires
48:07et surtout
48:08des outils de récoltes
48:09en particulier
48:10mais on va produire
48:12sur un hectare
48:13ce qui sera produit
48:14par les deux
48:15sur 1,4 hectare
48:16céréales légumineuses
48:17c'est 1,4
48:18c'est l'équivalent
48:19en surface séparée
48:20et ça c'est pas routinier
48:22mais ça se fait maintenant
48:23beaucoup
48:24céréales légumineuses
48:25il y a une synergie
48:26prodigieuse
48:27à cause de la fixation
48:28d'azote par les légumineuses
48:29et à cause
48:30de l'immobilisation
48:31du fède par les céréales
48:32qui fait que les deux
48:33quand on récupère
48:34on a plus d'azote
48:35et pour se faire
48:36on commence à booster
48:37la production
48:38donc ça
48:39c'est plutôt routinier
48:40ce qui l'est loin
48:41c'est les mélanges
48:42de bandes
48:43de cultures différentes
48:44alors c'est dommage
48:45parce que
48:46parce que
48:47du trou de maraîchers
48:48font ça
48:49mais sur des grandes surfaces
48:51c'est un peu plus difficile à faire
48:52c'est dommage
48:53et je veux vous dire
48:54il y a un exemple
48:55typique
48:56je suis obligé de vous le dire
48:57mais c'est le moment
48:58de se rattraper
48:59là c'est pas maitrite
49:00vous savez
49:01il arrive
49:02à pousser sur les muscles
49:03de la vetrave
49:04qui transmettent la maladie
49:05de l'exodice
49:06le muscleon c'est pas grave
49:07mais il transmet un virus
49:08à la vetrave
49:09et les médicaments
49:10peuvent baisser de 30%
49:12c'est presque
49:14le même niveau de baisse
49:15que les courses
49:16pour le cas où ils ne saurient pas
49:18pour la vetrave
49:19les courses entre 24 et 25
49:21par contre entre 23 et 24
49:23ils avaient baissé 20%
49:24donc le problème de la vetrave
49:25c'était le pire
49:26d'achat
49:27je me suis dit d'achat
49:28parce qu'il ne faut pas
49:29avoir une autre chose
49:30l'église
49:31dans ce point
49:32et la mairie
49:33au milieu du village
49:34donc
49:36vous pouvez en faisant
49:38des bandes d'orge régulièrement
49:40vous pouvez réduire
49:42de 67%
49:43la quantité
49:44de puceau fond
49:45que la cétamidride
49:46ne réduit que de
49:47500%
49:48voilà voilà
49:49Est-ce qu'on a une autre question ?
49:50Il y a des questions multi
49:51alors on prend une question multi
49:52les surfaces d'exploitation
49:53entre les méthodes de permaculture
49:54et ou d'arroforesterie
49:55et les méthodes
49:56des méthodes
49:57des fermes
49:58et des méthodes
49:59des fermes
50:00et des fermes
50:01et des fermes
50:02et des fermes
50:03et des fermes
50:04et des fermes
50:05et des fermes
50:06et des fermes
50:07et des fermes
50:08et des fermes
50:09et des méthodes
50:10agro-inflacielles
50:11donnent-elles des rendements similaires ?
50:13D'accord
50:14c'est une question compliquée
50:16parce qu'il y a plusieurs
50:17conceptualités mélangées
50:18On va dire que
50:19quand on passe
50:20à des méthodes
50:21passées sur l'écologie
50:22on peut aller
50:23du scénario catastrophe
50:24c'est la culture bio
50:25vous êtes à moins de 30%
50:26de rendement
50:27Voilà
50:28Alors attention
50:29avec des variétés
50:30qui sont monogénétiques
50:31donc homogènes
50:32par par évortance
50:34ce qui se passe si on mélangeait
50:35les variétés
50:36Actuellement il y a que
50:371 % de la surface
50:38des mélanges des variétés pour justement limiter la propagation des maladies.
50:42Donc en variétés homogènes, vous baissez votre vendement en bio de 10%.
50:45Maintenant, quand vous faites des mélanges, c'est là le légumineux,
50:49vous produisez sur un hectare, ce serait 24 hectares pour produire sinon
50:52et leur sucif sur 2,4. On le retrouve, figurez-vous, pour l'agroforesterie.
50:57Avant, on ne mange pas le bois. Sauf que vous prenez du vilegre qui peut être du vilegre
51:02à extraire en fermentation du bois, mais bon, on ne mange pas le bois.
51:06Mais sauf qu'on sait très bien, si votre ressent d'Ukraine,
51:09vous n'oubliez que quand vous avez un état d'agroforesterie,
51:12céréaliculture publiée, dans le cas qu'il y a étudié sur une douzaine d'années,
51:16vous produisez autant que sur 0,8 hectares de céréales et 0,6 hectares de forêt pure,
51:22soit 2,4 au total. Donc il y a des fois, vous produisez plus.
51:25Et donc, la question, c'est beaucoup partout.
51:28Et c'est une exploitation devant une diastole, qui fait que entre ce qui produit moins,
51:32ce qui produit plus, il faut compenser, surtout qu'en plus,
51:34ce qui compte pour l'exploitance, ce n'est pas les kilos, c'est les euros,
51:39qui joutaient au rendement les agriculteurs, qui étaient au quintal.
51:44Mais à la fin, c'est des manques d'euros qu'ils meurent,
51:47et ils meurent puisqu'ils se suicident.
51:49Mais il y a cinq fois plus qu'à la moyenne nationale.
51:51Donc, il y a deux questions. Il y a comment on nourrira la population,
51:55et l'un dans l'autre, on doit y arriver, surtout si on mange moins de grandes.
51:58La deuxième question, c'est comment on nourrira les agriculteurs.
52:00Pour l'instant, on n'y arrive pas.
52:01Ce qu'il faut observer, on y arrivera peut-être si on essaie un petit peu à faire mieux,
52:05mieux, notamment pour nous.
52:06Et puis, il reste plus d'autres questions.
52:09Non, mais la dernière question qu'on va prendre, vous avez partiellement répondu,
52:14qu'est-ce que faire dans la filière noisette ?
52:16On peut dire qu'il y a des pétrages qui sont sans solution,
52:19sans acètes habituées, qui risquent économiquement de pétrages.
52:22Vous avez répondu que c'était plus un problème économique pour la pétrages,
52:25mais pas de la noisette.
52:26Quand j'ai fait la matière de l'enfance culture sur une loi du plomb,
52:29il y avait un nuciculteur qui faisait donc des noisettes plus.
52:35Et en gros, il nous a dit qu'en allusion,
52:37bah, moi, je vais résonner la porte.
52:40Bon, j'étais très ému,
52:42mais il y avait même un moment où je ne pouvais pas répondre,
52:44parce que dès qu'il suis moi qui gagne mon salaire tous les mois,
52:47je vais donner une leçon à un type qui va être la clé sous la porte.
52:50Tout le monde a échangé après.
52:52J'étais fou et on a parlé.
52:54Et bien, il va très bien, vous savez pourquoi ?
52:56Bah, parce qu'il est sorti de l'affaire de provisagement de la société.
53:00Qui fait une patate.
53:03Ok ?
53:05Et il quitte à ses prix.
53:07Et il est basé sur du marché de proximité.
53:10Et ça va, c'est valieux.
53:12Son problème était un problème en partie de débouchés et de valorisation.
53:17Et ça, ça me fait penser à un truc.
53:18Il y a peut-être un chrono à prendre.
53:20C'est de faire de la qualité sanitaire de nos produits.
53:24Un porte-es-endard d'une agriculture qui serait concurrentiel.
53:27Un peu, vous savez, comme quand il y a un drapeau de vie sur un produit, on se dit, oula, ça peut être du solide.
53:32Mais s'il y avait un tempo bleu blanc rouge sur les produits qui se mangeaient, on savait que c'était du bon pour la santé.
53:36Les gens s'en devraient payer un petit peu plus.
53:39De toute façon, nous, on pourrait payer un peu plus parce qu'on perd un peu moins par ailleurs.
53:42Je pense qu'à un moment, il va falloir qu'on pense aussi la fierté nationale, l'identité du drapeau, en termes de qu'est-ce que ça s'imisit sur un produit alimentaire.
53:52Peut-être que ça, c'est aussi une partie de la solution, mais elle échappe à un professeur du Muséum.
53:56Elle ne peut pas vous échapper à ça.
53:59Autant que c'est quoi.
54:01Aux armes, professeur Sébastien.
54:03On vous applaudit à nouveau, chaleureusement.
54:05Et pour poursuivre à l'échange, le professeur Sébastien dédicace tout de suite certains de ses ouvrages.
54:12Jamais seul, c'est les microbes qui construisent les plantes, les animaux et les civilisations,
54:16qui utilisent l'histoire naturelle, qui produisent de la Terre au carré et où des liens.
54:20Alors eux, ça parle en même temps que j'aime.
54:22Naturellité jugée, convier l'humanité dans l'histoire naturelle.
54:25Et elle s'y trouve dans quelques minutes pour parler souveraineté numérique en France.
54:28Place à l'action.
54:35Sous-titrage Société Radio-Canada
Écris le tout premier commentaire
Ajoute ton commentaire

Recommandations