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  • il y a 5 minutes
Gilles-William Goldnadel : «Je ne veux pas sous-estimer les dangers des réseaux sociaux, mais je connais les dangers de la presse normale. Je remercie les réseaux sociaux d'avoir brisé le mur de l'occultation.»

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Transcription
00:00Moi, je ne veux pas sous-estimer les dangers des réseaux sociaux,
00:04tels que présentés de manière un peu apocalyptique par mon voisin de gauche,
00:09mais moi, je connais les dangers de la presse normale.
00:12Je les connais.
00:13Et je sais que cette presse-là...
00:14Une célèbre radio.
00:16Et notamment du...
00:17Qu'il vous arrive d'écouter de temps en temps.
00:19Je ne veux pas être dans le dénigrement.
00:23Non, mais...
00:23C'est pas votre genre.
00:25Mais ce que je veux dire...
00:26Non, mais vous avez raison.
00:27Et puis, je remercie, je ségrée aux réseaux sociaux dont je connais les torts
00:34d'avoir brisé le mur de l'occultation.
00:39À cause des réseaux sociaux, de ce que j'appelle notamment la fâcheuse sphère,
00:43la presse normale ne peut plus cacher les choses qui la gênent.
00:50Donc, rien que pour ça...
00:51Vous voyez, je me suis méfiant.
00:52Je suis méfiant par rapport...
00:54Je vois de tous côtés une tentative, de toute manière, de pouvoir fermer, si c'est possible,
01:03la bouche des gens.
01:04Je suis très méfiant.
01:05Je fais une sorte de procès d'intention.
01:07Que ça devrait être une sorte de procès d'intention?
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