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  • il y a 5 minutes
Alors que l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, gracié et libéré mercredi 12 novembre par l’Algérie après un an de détention, est de retour en France, Bruno Retailleau, président LR et sénateur, affirme : «On ne prend pas en otage la liberté».

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Transcription
00:00C'est une superbe nouvelle, bien sûr. Vous savez, Boilem sans salle, c'est un exemple, c'est même un modèle, parce qu'il n'est pas né sur notre sol français, mais il s'est reconnu dans notre langue.
00:12Il a adopté la France, la France l'a adoptée, non pas par le sang versé, mais par l'encre versée. C'est devenu sa patrie, la France, parce que la France a toujours été une grande patrie littéraire.
00:23Et en cela, c'est la raison pour laquelle moi et bien d'autres, d'ailleurs, je me suis battu pour Boilem, parce que pour moi, c'était un symbole.
00:29La littérature, c'est la liberté et on n'emprisonne pas, on ne prend pas en otage la liberté.
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