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  • il y a 7 semaines

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00:0011h30, 13h, Christine Kelly sur Europe 1
00:03Alors nous avons Stephen, on va parler tout de suite de Benoît Payan, le maire de Marseille qui suspend le film Sacré-Cœur.
00:13Vous étiez venus tous les deux ici, Stéphane Benel et Sabrina.
00:17Vous êtes en couple et vous avez tous les deux réalisé...
00:20Je dis ça parce que s'il l'un appelle l'autre chérie, c'est pour qu'on puisse savoir où est-ce qu'on en est.
00:23Vous faites les plateaux de télé, c'est mon amour.
00:25Christine, vous appelez beaucoup de monde ma chérie.
00:26Nous sommes tous les deux en effet producteurs et réalisateurs du film Sacré-Cœur.
00:34Oui, et ce qui est intéressant, c'est que vous avez en général le sourire, mais là vous avez vraiment tapé du poids sur la table parce qu'il s'est passé quelque chose d'incroyable.
00:43Hier, le maire de Marseille a fait interdire le film Sacré-Cœur. Pourquoi ?
00:48Je demande pardon d'ailleurs d'avoir, de mettre un peu en portée ce matin chez Jean-Marc Morandini.
00:53Vous êtes pardonné.
00:54Parce que ça a commencé à me faire péter un câble en fait.
00:57Hier soir, on reçoit 1, 2, 5, 10, 20 messages.
01:01On se dit à un moment donné, c'est une blague, c'est pas possible.
01:03De personnes un peu insurgées qui se pointent à une projection du film au château dont j'ai oublié le nom.
01:08De la buzine.
01:09Voilà, au château de la buzine.
01:11Et qui nous disent, on se retrouve le bec dans l'eau.
01:13On a pris nos places sur internet.
01:17On se retrouve le bec dans l'eau à l'entrée.
01:19Ils interdisent la projection.
01:20On va avoir Claire tout de suite qui justement a été refoulée à l'entrée.
01:26Le bec dans l'eau, comme vous dites.
01:27Bonjour Claire.
01:29Bonjour.
01:29Donc nous, avec mon mari, nous sommes venus au château de la buzine pour voir le film.
01:37La séance était annoncée à 19h40.
01:39Donc on est venus vers 18h30, 7h45 pour être sûr d'avoir des places.
01:43Et en arrivant, en fait, on a croisé des spectateurs qui étaient venus aussi.
01:48Et qui étaient repartis très très mécontents en nous disant que la directrice était à l'entrée
01:53et expliquait que malheureusement, elle était très ennuyée d'ailleurs,
01:56le film était interdit de projection.
01:59Donc on est descendus pour avoir des explications nous aussi.
02:03Et elle nous a expliqué qu'elle avait reçu un courrier de la mairie
02:05demandant à ce que la projection soit annulée au nom de la laïcité.
02:12Donc voilà, on a pu discuter un petit peu avec elle.
02:16Et voilà, on est repartis donc bredouille et très déçus.
02:19Et vous étiez combien à peu près comme ça à l'entrée ?
02:22On était une vingtaine.
02:24Oui, bien avant le début de la projection et vous êtes repartis à Bordeaux.
02:28Oui, il y a plein d'autres qui sont arrivés après.
02:31Oui, donc au nom de la laïcité.
02:33Restez en ligne avec nous, on continue à parler effectivement de...
02:36Est-ce que vous comprenez Sabrina, vous qui avez porté ce film,
02:40est-ce que vous comprenez cette raison au nom de la laïcité ?
02:46Parce que ce que dit en fait Benoît Payan,
02:48il dit que ce film est trop religieux pour être dans un lieu public.
02:52Alors moi écoutez, je ne comprends pas, c'est un film en plus qui parle d'amour,
02:56qui parle justement d'unité, de belles choses, de belles valeurs.
03:01Là il s'agit quand même d'un cinéma, le Château de Buzine est un cinéma je crois,
03:05j'allais dire sponsorisé par l'État.
03:07Un municipal.
03:07C'est un cinéma municipal, payé par les impôts des Français.
03:12Je trouve que c'est prendre vraiment les gens pour des imbéciles,
03:16pour ne pas dire autre chose.
03:17Vous parleriez de censure ?
03:18Oui, il prend les gens vraiment pour des imbéciles,
03:20sous prétexte que, soi-disant, en fait il veut téléguider,
03:23savoir ce que les gens ont le droit de voir ou pas voir.
03:25Les gens sont suffisamment libres de se dire
03:27j'ai envie d'aller voir ce film ou pas, et de faire leur avis.
03:29Je pense que ça ne s'est jamais vu dans le monde du cinéma,
03:32une telle censure pour un film, pour un docu-fiction.
03:35Je vais aller plus loin, moi, j'appelle ça de la christianophobie et de la persécution.
03:40Oui, christianophobie pour vous, de la persécution.
03:42Claire, qui est en ligne avec nous, vous confirmez.
03:44Pour vous aussi, c'est de la christianophobie, c'est de la persécution ?
03:48Vous qui étiez venu voir le film.
03:52Marseillaise.
03:53C'est vrai qu'il y a deux ans, on accueillait le pape,
03:56et là, le samedi arrive le Bel Espoir,
04:01avec des jeunes chrétiens, catholiques,
04:07qui ont parcouru la Méditerranée.
04:09Le bateau est accueilli en grande pompe.
04:10J'imagine qu'il y aura des Amériques, quoi.
04:12Enfin, mercredi, samedi, pardon, sur le je pas.
04:15Et donc, on tombe complètement dénus
04:17en voyant que l'Amérique peut aussi interdire.
04:20C'est complètement contradictoire.
04:21C'est ça, c'est ça.
04:22Et en effet, c'est de la censure.
04:24C'est de la censure.
04:24Merci, Claire, de nous avoir appelé,
04:26d'avoir témoigné de ce qui s'est passé hier soir,
04:28à l'entrée de cette projection.
04:30On a beaucoup d'appels en ligne.
04:31D'abord, peut-être un regard à Béryl Cluzel
04:34sur ce que vient de nous dire Claire,
04:36c'est-à-dire à la fois la mairie de Marseille
04:38accueillait le pape,
04:39et là, le maire de Marseille,
04:41il interdit carrément le film.
04:42Ensuite, on aura Éric Tegner sur Europe 1.
04:44Oui, peut-être que quand le pape est venu,
04:45il y avait une parcelle de gloire à récupérer,
04:47et là, le maire de Marseille n'a pas fait la fine bouche.
04:50Mais au-delà de ça, je suis quand même très étonnée.
04:52Il y a des tas de films sur la religion catholique.
04:56En général, quand les films la dénigrent,
04:59ça, ça se passe très bien,
05:00au nom de la rose, etc.
05:01Mais quand il y a eu la passion du crise de Matt Gibson,
05:04moi, je n'ai jamais vu aux personnes dire
05:06« Tiens, c'est une atteinte à la laïcité. »
05:07Enfin, ça fait partie de notre histoire,
05:09de notre culture,
05:10enfin, l'histoire du Sacré-Cœur.
05:11Ça paraît complètement fou.
05:13Ça paraît être une polémique surréaliste.
05:15Et je laisserai Éric Tegner s'exprimer
05:17par ailleurs sur la laïcité à double vitesse du maire.
05:21Ça, c'est un autre sujet.
05:23Avant d'avoir Apolline, qui est en ligne,
05:25Charles, qui nous a appelés également.
05:26D'abord, Éric Tegner,
05:28Benoît Payan, il interpelle quand même.
05:30Ah oui, parce que Benoît Payan,
05:31c'est la laïcité à géométrie variable.
05:33Parce que pour le coup,
05:34il y a une religion qui favorise
05:36et qui privilégie de façon quasiment outrancière,
05:39c'est l'islam aujourd'hui en France.
05:41Alors, il faut comprendre qu'à chaque fin de ramadan,
05:43il va dans les mosquées,
05:44et il y a une nouvelle habitude,
05:45c'est que chaque fin de ramadan,
05:46il promet également aux musulmans
05:48l'accession de nouveaux terrains.
05:50Donc, le 11 juillet dernier, par exemple,
05:52il est venu dans une mosquée
05:53et il leur a promis la parcelle
05:54de 4880 m²
05:56dans le quartier de Frévalon.
05:58C'est la troisième mosquée
05:59qui va naître dans ce quartier.
06:01Il n'y a aucun problème.
06:02Et qu'est-ce qu'il leur dit ?
06:02Question, lorsqu'il est sur place,
06:04il n'est pas dans un lieu public.
06:05Je me mets...
06:06Voilà, je me fais la vocale du diable.
06:08J'ai envie de vous dire,
06:08il fait construire tellement de mosquées aujourd'hui
06:10de toute façon à Marseille
06:11qu'il n'y a pas besoin d'aller
06:13dans les lieux publics.
06:13Il y a suffisamment d'endroits
06:15pour que les musulmans se réunissent.
06:17Et surtout, il prend partie
06:18parce que, pardonnez-moi,
06:19quand ils se rendent fin de ramadan,
06:20moi j'ai des citations,
06:22il dit par exemple,
06:23sans les musulmans,
06:24Marseille ne serait pas Marseille.
06:25J'aimerais bien qu'il dise ça sur les catholiques
06:27si vraiment il voulait rééquilibrer.
06:29Et surtout, il leur dit quoi ?
06:30Il leur dit,
06:30vous m'avez demandé de céder un terrain,
06:32c'est ce que j'ai décidé de faire.
06:34Vous n'avez pas à me dire merci
06:35parce qu'on vous le doit.
06:36Il est totalement dans une allégeance.
06:38Alors, on pourrait dire,
06:39oui, mais c'est pour favoriser
06:40le culte des musulmans, etc.
06:41Sauf qu'il en vient même
06:42à soutenir parfois
06:43des lieux liés aux fréris,
06:45quand même.
06:45C'est-à-dire qu'en 2023,
06:47par exemple, moi j'ai retrouvé,
06:48il s'est rendu dans un lycée,
06:50lycée privé Kaldoun,
06:51dirigé par N'Gazou.
06:52N'Gazou, c'est une figure proche
06:53des frères musulmans,
06:54à tel point qu'à la suite
06:55d'un rapport deux ans plus tard,
06:57la région PACA de Renaud-Museli
06:58a choisi de supprimer
07:00ses subventions pour ce lycée.
07:03Mais Benoît Païdan,
07:04il continue à les soutenir.
07:05Et je ne vous parle même pas
07:06des fêtes de l'Aïd,
07:07où il met à disposition
07:08tout ce qu'il peut donner
07:09aux musulmans.
07:11Donc pour vous,
07:11c'est absolument hallucinant
07:12quand on regarde
07:13ce point de vue-là
07:13de se dire que pour ce film,
07:15dans un cinéma,
07:16il décide de le censurer.
07:17Eric Tegner sur Europe 1.
07:18Bonjour Apolline,
07:19vous nous appelez Normandie,
07:20vous êtes choquée pour vous,
07:21c'est un scandale ?
07:23Bonjour à toute l'équipe,
07:24moi je ne comprends pas en fait,
07:26parce que j'ai l'impression
07:26qu'il y a un acharnement
07:27contre les catholiques.
07:29Oui, Christiane de Foubi,
07:30persécution,
07:31comme disait le réalisateur
07:32Stéphane Gunel
07:33qui est en studio ?
07:34Oui, moi je compléterais
07:36peut-être un peu,
07:36parce que j'avoue
07:37qu'on connaît un prêtre
07:38qui est au Burkina Faso
07:39et c'est un pays
07:40qui connaît des persécutions
07:42vraiment atroces, physiques.
07:44Je dirais peut-être
07:44persécutions culturelles,
07:46voilà, je compléterais peut-être.
07:48Je suis...
07:49Il est d'accord avec vous.
07:50Je ne comprends pas, parce qu'en plus,
07:51le Christ, en fait,
07:52il porte un message d'amour
07:53et je ne comprends pas du coup
07:55pourquoi tant de haine
07:56envers les chrétiens.
07:58Oui, c'est ça.
07:58Je pense complètement à la personne,
08:00on est issus en plus.
08:02Alors, je sais que le mot
08:03identité est un peu
08:05un mot qui crée des tensions
08:07en ce moment,
08:08mais il y a une réalité.
08:09En France, il y a
08:10et l'identité chrétienne
08:11et la foi chrétienne
08:12pour ceux, après,
08:13qui font le choix
08:14d'être chrétiens,
08:15catholiques, protestants
08:16ou autres.
08:17Merci.
08:17Et moi, je ne comprends pas,
08:18je ne comprends vraiment pas
08:19cet acharnement, en fait.
08:20Merci beaucoup, Apolline.
08:21Vous ne comprenez pas
08:22cet acharnement.
08:23Merci de nous avoir appelés.
08:24Dans un instant,
08:24on aura Charles en ligne.
08:26C'est Vangunel.
08:27Je bénis puissamment
08:29et remercie inconditionnellement
08:31tous les messages,
08:32toutes les personnes
08:33qu'on reçoit.
08:34Tous les musulmans de France,
08:35tous les juifs,
08:36les non-croyants
08:37qui ont vu ce truc
08:38et qui ne supportent plus
08:40qu'en France,
08:41on tape sur les chrétiens
08:42et qui, en solidarité,
08:43vont voir le film.
08:44Et on reçoit
08:45des avalanches de messages.
08:47Et c'est là qu'on voit
08:47la puissance du Christ,
08:48justement,
08:49qui fait cette unité
08:50dans la diversité.
08:50Vous êtes à combien d'entrées
08:51aujourd'hui ?
08:52200 000 entrées.
08:53Mais cet épiphénomène
08:56qui se passe à Marseille,
08:57en fait,
08:58Sabrina,
08:58réalisatrice du film,
09:00Sacré Coeur.
09:01Et j'ai à dire,
09:01c'est un petit peu
09:02le sommet de l'iceberg
09:04que l'on voit
09:04parce que,
09:05par exemple,
09:05en Ariège,
09:06le film n'est pas diffusé du tout
09:08et les gens sont obligés
09:09d'aller jusqu'à Toulouse.
09:10Il y a pour l'endroit,
09:11effectivement,
09:12où le film n'est pas diffusé.
09:12On marque une pause,
09:13on revient,
09:13on aura Charles en ligne
09:14pour réagir.
09:16Et vous aussi réagissez
09:16comme Charles au 0,
09:171, 80, 20, 39, 21,
09:1912h42.
09:19A tout de suite
09:20avec Christine Kelly
09:20sur Europe 1.
09:23Europe 1,
09:24Christine Kelly.
09:2512h46 sur Europe 1,
09:26Christine Kelly,
09:27vous dernière partie
09:28avant d'accueillir
09:29votre prochaine invitée,
09:30chère Christine,
09:31Jean-Claude Bouillon-Baker.
09:32Vous,
09:32vous savez,
09:33vous êtes les réalisateurs
09:34du film Sacré Coeur,
09:35le film qui a été suspendu
09:37par le maire de Marseille
09:38au nom de la laïcité,
09:40Steven et Sabrina Gunel.
09:41Oui,
09:42Steven et Sabrina Gunel,
09:43avant de vous donner
09:43le mot de la fin
09:44sur ce sujet,
09:45même si on aurait pu
09:45en parler pendant des heures,
09:46je veux entendre Charles
09:47qui nous appelle de l'orne.
09:48Bonjour Charles.
09:49Et vous dites que
09:50cette notion de la laïcité
09:51à géométrie variable
09:53vous ennuie un peu.
09:55Bonjour Christine,
09:56bon établissement déjà.
09:57Bonjour à tous.
09:58Merci,
09:58je crois que je vais faire
09:59un bon grog au Rome.
10:01Avec l'église.
10:02Avec l'église de la Sion.
10:03Et voilà.
10:04Moi,
10:04je vous le ferai au calva.
10:06Un verre à la fois.
10:07Ah,
10:08je veux bien,
10:08un verre à la fois.
10:09Dites-nous tout,
10:09mon cher Charles.
10:11Je pense qu'il serait temps
10:12de remettre la fille aînée
10:13de l'église
10:14au milieu du village.
10:15Oui.
10:16Aujourd'hui,
10:17enfin,
10:17la France est considérée
10:19comme catholique
10:20depuis 496,
10:22avec Clovis Ier
10:24qui a été baptisée.
10:27Et aujourd'hui,
10:28tout ce qui est lié
10:29à la chrétienté,
10:31au catholicisme,
10:32est sabré,
10:34moqué,
10:34raillé,
10:35tout ce que vous voulez.
10:36a contrario,
10:39d'autres religions
10:40sont complètement mises en avant
10:42et il y a vraiment
10:43une forme de censure
10:45d'État,
10:46je pense.
10:47Oui,
10:48vous employez...
10:48Pour la laïcité.
10:49Oui, c'est ça,
10:49vous employez le mot censure.
10:51Charles ne m'en voulez pas,
10:52mais on ne peut pas rester
10:52très longtemps.
10:53Je vous remercie infiniment
10:54de nous avoir appelés
10:55et je vous conseille
10:57pour prendre soin de moi.
10:59Un dernier mot peut-être
11:00par rapport à ce que vient
11:01de dire Charles,
11:02il parle de mots censure,
11:03Charles,
11:04qui nous a appelé Delorne.
11:05Est-ce que vous allez
11:06porter plainte ?
11:07Quelle sera votre action ?
11:09Est-ce qu'il y aura
11:09des suites judiciaires ?
11:11Stéphane Gunel
11:11et Sabrina,
11:12réalisateurs du film
11:13Sacré-Cœur.
11:14On n'a vraiment pas
11:15que ça à foutre
11:15de partir en justice là-dedans.
11:17Et puis la justice va mal,
11:18donc on ne va pas
11:19non plus les encharger.
11:20On prépare déjà
11:21le prochain film,
11:22on est déjà...
11:23C'est un renoncement,
11:24vous baissez les bras,
11:25c'est ça.
11:25On continue de voir...
11:26Non, on ne laisse pas les bras,
11:27mais on l'a, on a...
11:28Non, on était triste
11:29vraiment pour ces spectateurs.
11:30Plus que triste.
11:31Vous étiez révoltés.
11:32Oui, révoltés et tristes
11:33pour ces spectateurs.
11:33Vous avez même appelé les chrétiens
11:33à se bouger un peu.
11:34C'est vrai, justement.
11:35Absolument.
11:36Justement, le pouvoir
11:37est dans les mains
11:39des spectateurs.
11:40Et c'est vrai qu'on ne fera pas
11:41en effet d'action en justice,
11:43mais à nous, à la France,
11:45aux Français,
11:46de se lever
11:47et d'aller justement
11:48dans les salles,
11:49de montrer que ce film
11:50a de l'importance,
11:51que c'est notre histoire de France,
11:52que ça leur appartient
11:53et c'est une façon
11:54en tout cas de montrer
11:55que ce maire a tort.
11:56Voilà, et puis un petit message
11:57à Benoît,
11:58Jésus t'aime,
11:59n'aie pas peur.
11:59Oui, à Benoît Payan,
12:02maire de Barseille
12:03qui a interdit le film
12:04Sacré-Cœur.
12:05Et qu'il aille le voir.
12:05Merci beaucoup.
12:06J'ai un beau créneau en plus.
12:08Et bénédictin.
12:09De la somme
12:10qu'on n'a pas pu avoir en ligne.
12:12On vous embrasse, Emmanuel,
12:12pardonnez-moi,
12:13on a un peu de temps,
12:14on a tellement de sujets,
12:15tellement de personnes
12:15qui vont aller réagir.
12:16Je vous prie de bien vouloir
12:17m'excuser vraiment platement.
12:19J'espère qu'on vous aura
12:19la semaine prochaine en ligne tous.
12:21Merci encore d'être venus.
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