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  • il y a 4 semaines

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00:00Europe 1 Soir, 19h21, Pierre de Villeneuve.
00:04Avec pour ma compagnie dans cette deuxième heure, Vincent Roy, bonsoir.
00:08Bonsoir Pierre.
00:08Sébastien Lignier, bonsoir.
00:09Bonsoir Pierre.
00:10Chef du service politique de Valeurs Actuelles, notre invitée politique Valérie Boyer.
00:13Bonsoir Madame.
00:14Bonsoir.
00:15Merci d'être avec nous, sénatrice LR des Bouches du Rhône.
00:18Hier, comme je le disais tout à l'heure, ce film Sacré-Cœur qui traite des bienfaits
00:26de l'amour de Dieu sur la société en France, film produit, réalisé et qui devait être
00:33projeté hier au château de la Busine à Marseille.
00:36Une heure avant, le maire Benoît Payan, au nom, en invoquant le principe de laïcité,
00:43a interdit cette projection.
00:45On écoute Benoît Payan.
00:47Les services juridiques, les avocats, m'ont indiqué que ce film, s'il devait être diffusé,
00:52la ville serait dans l'illégalité.
00:54Et vous comprenez bien qu'au regard de tout ce qui est en train de se passer, moi, je
00:57tiens à respecter la loi.
00:59Qu'elle nous plaise ou qu'elle ne nous plaise pas.
01:01Sabrina Gunel, coréalétrice du film, appelle les Français à aller voir ce film Sacré-Cœur
01:07pour donner tort au maire de Marseille.
01:10Elle était l'invité de Christine Kelly ce matin sur Europe 1.
01:13On ne fera pas en effet d'action en justice, mais à nous, à la France, aux Français,
01:18de se lever et d'aller justement dans les salles, de montrer que ce film a de l'importance,
01:23que c'est notre histoire de France, que ça leur appartient, et c'est une façon
01:26en tout cas de montrer que ce maire a tort.
01:29Quelle est votre réaction quand vous avez appris ça, Valérie Boyer ?
01:33Écoutez, j'ai appris ça parce qu'il y a des habitants, moi je suis élue de ce secteur
01:37depuis un moment, j'en ai été le maire, le député, et je connais bien le château
01:41de la Buzine.
01:42Ça fait déjà un petit moment qu'il y a des difficultés avec ce magnifique établissement,
01:46puisque Benoît Payan en a chassé Marcel Pagnol.
01:49C'est-à-dire ?
01:50Déjà, c'est-à-dire que Marcel Pagnol, il y avait une très belle association
01:53qui s'occupait de la mémoire de Marcel Pagnol, parce que le château de la Buzine,
01:58peut-être que pour nos auditeurs nationaux, c'est le château de ma mère de Marcel Pagnol.
02:03C'est là où Augustine serrait contre son cœur les roses rouges du colonel,
02:07quand la petite famille Pagnol allait à la treille à pied en venant du centre-ville de Marseille.
02:13Donc c'est un endroit qui est chargé d'histoire et de mémoire.
02:15L'histoire du château de la Buzine, elle est magnifique.
02:18Marcel Pagnol achète, sans savoir que c'est le château de ma mère, ce château.
02:22Il y a quelqu'un qui achète ce château.
02:25Et quand il va sur place, il retrouve son enfance,
02:29il retrouve le bâtiment qu'il avait connu, le paysage qu'il avait connu,
02:34et c'est le château de ma mère.
02:36Et il écrira son magnifique livre à partir de là.
02:40Et donc, pour des raisons idéologiques, le maire de Marseille, quand il est non élu,
02:46après l'élection de Mme Rubirola, une fois qu'il a évincé Mme Rubirola,
02:51qui, elle, avait été élue par les Marseillais,
02:54il a fait en sorte que l'association, qui était présidée par le petit-fils de Marcel Pagnol,
03:01par Nicolas Pagnol, ne puisse plus être à la Buzine.
03:05Donc, il a chassé Marcel Pagnol du château de la Buzine.
03:09Et maintenant, le film Sacré-Cœur, à la surprise générale,
03:13parce que ce lieu, c'est aussi la cinémathèque de Marseille,
03:17telle que, justement, Pagnol l'avait imaginé.
03:20Donc, c'est vraiment bien triste,
03:24parce que, même si ce film est diffusé dans une autre salle dans Marseille,
03:28c'était plein ce soir, et puis les gens sont retournés, particulièrement frustrés,
03:33et ne comprenant pas cette interprétation absolument, j'allais dire, particulièrement sévère.
03:40Est-ce que vous comprenez l'explication de Benoît Payan,
03:42qui dit, voilà, j'en ai parlé avec les avocats,
03:44qui m'ont dit que la ville aurait des problèmes si je diffusais ce film au château de la Buzine ?
03:48Je ne le crois pas, parce que, d'abord, Marseille, c'est la ville qui a accueilli le pape,
03:55et on ne peut pas dire que Benoît Pagnol se soit caché.
03:57Benoît Payan, c'est un actus révélateur, Valérie, voyez.
04:01Que Benoît Payan, pardon, se soit caché quand le pape est venu.
04:05On se demandait même si ce n'était pas lui qui allait officier, qui allait dire la messe.
04:09Il était présent en permanence, à juste titre, c'est un événement historique pour la ville.
04:15Le pape n'était pas venu depuis plusieurs siècles.
04:17Donc, effectivement, tout le monde, tous les Marseillais étaient très heureux d'avoir cette visite du pape.
04:27Il s'est précipité en Corse pour aussi rencontrer encore le pape.
04:31Donc, de ce côté-là, ça allait bien.
04:33Mais ce film, je ne sais pas pourquoi...
04:35Au nom de la laïcité ?
04:36Au nom de la laïcité, non.
04:37La laïcité, ce n'est pas interdire, la laïcité, ce n'est pas exclure.
04:41Et non, je pense que c'est une interprétation qui est particulièrement abusive de la laïcité.
04:50Sébastien Ligné.
04:51Écoutez, moi, je pense que Benoît Payan est peut-être l'homme sur cette planète
04:55qui est le moins bien placé pour parler de laïcité.
05:00Qu'est-ce qui se passe, Célpierre ?
05:01C'est l'autre micro.
05:02Je pense que vous serez ému.
05:04Voilà.
05:05Et là, on a l'impression que vous faites un discours politique.
05:07Allez-y.
05:08C'est les joies du direct.
05:09Non, je disais, Benoît Payan, il ne faut quand même pas oublier pour nos auditeurs
05:13que c'est un homme qui, à la tête de Marseille, a plusieurs reprises cédé,
05:17notamment des terrains qui appartiennent à la ville, à des mosquées,
05:22notamment pour agrandir certaines mosquées.
05:24C'est un homme qui a dit, sans les musulmans, Marseille ne serait pas Marseille.
05:28Exactement.
05:29Qui s'est rendu au printemps dernier dans une mosquée marseillaise
05:34et qui a vanté les sourates du Coran et qui a encouragé les gens à lire les sourates du Coran
05:41parce qu'il expliquait que les sourates nous permettaient d'éclairer sur ce qu'il se passe dans le monde.
05:46Donc là, avec ce que vous dites, on est en train d'exploser la laïcité.
05:49Exactement. Donc en fait, la laïcité, c'est quand ça lui arrange.
05:52J'ai envie de vous dire, la laïcité, c'est quand ça arrange tout le monde, en réalité.
05:56Parce que quand à Strasbourg, il y a quelques mois, la maire écologiste de la ville
06:01nous explique qu'on a le droit de faire finalement la promotion du voile sur des affiches municipales
06:07pour célébrer le vivre ensemble, mais qu'en même temps, on n'a pas le droit de faire la promotion de ce film-là.
06:12On se rend bien compte qu'aujourd'hui, la laïcité est utilisée contre les chrétiens, notamment,
06:18parce que oui, les chrétiens, ils ne disent jamais rien.
06:20Il n'y a pas d'association de chrétiens aujourd'hui en France qui viennent sur les plateaux pour dire
06:24« bon, peut-être qu'il faudrait qu'on arrête de se faire marcher dessus ».
06:26Donc, tant que les chrétiens, notamment français, ne se réveilleront pas,
06:30on continuera à abuser de la laïcité pour les écraser.
06:33Valérie Bonnet.
06:34C'est sûr qu'il y a un climat parfois de christianophobie, même si je n'aime pas ce terme,
06:39parce que ça veut dire qu'on a peur des chrétiens.
06:41Je pense qu'on n'en a pas peur, on les méprise.
06:42Je dirais que c'est plutôt du christianomépris que de la christianophobie dans notre pays.
06:47Quand on voit des associations qui passent leur temps, payées par de l'argent public,
06:52à faire en sorte qu'il n'y ait pas de crèche dans les mairies, dans les espaces publics,
06:56alors que ça fait partie de notre culture.
06:57Bonnes vacances d'hiver.
06:58Voilà, bonnes vacances d'hiver, qu'on nous empêche de mettre joyeux Noël plutôt que bonnes fêtes.
07:05Enfin, c'est absolument ridicule qu'on souhaite enlever les seins de nos quartiers ou de nos rues.
07:11Donc, ça ne peut pas s'appeler la rue Saint-Pierre.
07:12Il faudrait que ça s'appelle la rue Pierre, etc.
07:14Donc, il y a des gens qui ont ça dans la tête.
07:16La rue Monsieur Pierre.
07:17Et c'est vraiment consternant.
07:22Parce que, en fait, l'objet, c'est de nous couper de nos racines,
07:25c'est de nous couper de ce qui nous relie, de nous couper de ce qui nous a construit.
07:29Moi, je trouve qu'on a beaucoup de chance d'être dans un pays comme le nôtre.
07:33Mais on voit bien que notre histoire nous porte aussi.
07:36Et c'est particulièrement difficile.
07:39Donc, à Marseille, vous savez, il y a quelque chose qui a été créé il y a plusieurs années par Jean-Claude Godin,
07:46qui s'appelait Marseille-Espérance.
07:49C'est quelque chose qui avait été imaginé par le maire Vigourou et qui a été mis en œuvre par Jean-Claude Godin,
07:54qui réunit toutes les religions et notamment quand il y a des moments difficiles, etc.
07:58Là, je dirais plutôt qu'on est dans Marseille fracturée,
08:02parce qu'on a des difficultés, effectivement, avec cette mairie.
08:05On l'a vu, après les événements du 7 octobre, ça a été extrêmement difficile.
08:10Je regrette que le maire de Marseille ne se soit pas rendu au CRIF.
08:14Je regrette qu'il n'ait pas été là, à la grande synagogue,
08:17lorsqu'on a fêté tous ensemble la libération des derniers otages.
08:21Je regrette un certain nombre de choses qui ne vont pas dans le sens des communautés
08:28apaisées et surtout dans ce qu'on avait connu avec ce Marseille-Espérance.
08:32Et là, je trouve qu'on a Marseille fracturée par ces gestes qui sont de la maladresse
08:38et puis parfois du sectarisme.
08:40Vincent Roy.
08:41Monsieur Payan n'est jamais en retard lorsqu'il s'agit d'aller fêter le Ramadan, par exemple.
08:46Lorsqu'il va justement fêter le Ramadan auprès des musulmans
08:52et qu'on lui demande un terrain pour une nouvelle mosquée,
08:55il dit aux musulmans, non seulement je vais vous donner le terrain,
08:59mais en plus on vous le doit.
09:03Monsieur Payan a la laïcité alternative, c'est quand ça l'arrange.
09:07Alors là, évidemment, il s'agit d'un film autour des chrétiens, des catholiques,
09:14pour montrer l'impact sur notre société, ça lui est tout simplement insupportable.
09:18Et puis la ville, je n'oublie pas que la ville de Marseille est la première ville
09:22qui a été consacrée au Sacré-Cœur après la grande fesse de 1763
09:27et que Mgr de Bellezince est sur la place Jean-Paul II
09:32qui est devant la cathédrale de Marseille.
09:34Donc, il y a la mer autour de lui et cette magnifique cathédrale.
09:39Et tous les ans, les échevins, c'est-à-dire la Chambre de Commerce, les élus, etc.,
09:48le président de la Chambre de Commerce offre un très gros cierge
09:53aux prêtres du Sacré-Cœur de Marseille
09:57qui se trouve à Menü-du-Pradeau,
09:59qui est une église qui a été construite après cette fesse.
10:03Donc, la consécration de Marseille au Sacré-Cœur est extrêmement importante
10:06et moi, je regrette que, justement, ce film n'ait pas été là
10:10pour faire le lien entre Marseille et son histoire
10:14parce que c'est une belle histoire.
10:15Alors, heureusement, comme vous l'avez dit,
10:16ce film est projeté dans d'autres lieux de Marseille,
10:18dans d'autres cinémas de Marseille.
10:19Est-ce que vous diriez, tout à l'heure, vous avez parlé de christianophobie,
10:22de christiano-mépris, je reprends vos mots, Valérie Boyer,
10:24est-ce que vous diriez qu'il y a une tentative d'effacement,
10:29vous l'avez plus ou moins dit, aussi en filigrane,
10:31de l'histoire de France, de l'histoire chrétienne de France
10:34et quand, aujourd'hui, Philippe Devilliers publie Populicide,
10:39est-ce que M. Payan, indirectement, participe au Populicide ?
10:45Écoutez, là, ce qui s'est passé est vraiment regrettable
10:49parce que c'est une interprétation disproportionnée de la laïcité,
10:52d'autant que ce film a énormément de succès.
10:54Je veux que vous êtes prudente sur vos propos.
10:57Il se réfugiait, parce qu'on l'a vu lors de l'avenue du pape,
11:01tout à l'heure, dans son interview à Christine Kelly,
11:04il disait, je suis le fruit des évangiles,
11:08je n'ai jamais été dans une école publique.
11:12Bon, franchement, moi, je ne veux pas aller là-dedans.
11:15Ce qui m'intéresse, c'est qu'aujourd'hui,
11:18ce film est un grand succès qu'on doit saluer.
11:21J'espère qu'il pourra être diffusé dans plusieurs salles à Marseille
11:25et qu'on pourra en faire une promotion,
11:28parce que c'est un événement,
11:29alors que ce film a été rejeté.
11:32Mais ces polémiques qui ne sont pas de bon niveau
11:35servent ce film, parce qu'on en parle.
11:38Et je crois que tous ceux qui voulaient taire ce succès du film
11:42n'ont fait qu'une chose, c'est en parler.
11:44Et je crois que ça heurte énormément aussi les Français et les Marseillais
11:48de voir comment on traite leurs racines.
11:53Et ça, je trouve ça bien triste.
11:54Un petit mot, je...
11:56Comment dirais-je ?
11:58Vous êtes là et j'en profite, voilà.
12:00Je cherchais ce mot-là.
12:01Je profite de votre présence, Valérie Boyer,
12:03sénatrice LR des Bouches-du-Rhône.
12:05Comment ça va dans votre parti ?
12:08Très bonne question, Pierre.
12:11Eh bien, écoutez, nous faisons en sorte
12:13qu'on puisse peser sur ce débat
12:17qui est particulièrement douloureux et difficile du budget
12:20et surtout que l'espérance qui avait pu être...
12:25qui a été la nôtre
12:26et qui a été celle de beaucoup de Français
12:28lorsque Brune Retailleau a gagné la présidence du parti
12:32et était ministre de l'Intérieur
12:35puisse de nouveau revenir.
12:39Parce que je crois qu'aujourd'hui, on est dans une forme...
12:42Mais quand Laurent Wauquiez dit aujourd'hui
12:43que les décisions se prennent de manière collégiale ?
12:46Qu'est-ce que vous lui répondez ?
12:47Oui, les décisions se prennent en bureau politique, bien évidemment.
12:50Il y a un chef de parti.
12:51Il y a un chef de parti, mais les décisions se prennent ensemble.
12:54Et Bruno Retailleau a fait son rôle de patron du parti.
13:00Hier, nous avions une réunion
13:02et nous avons décidé d'un certain nombre de choses
13:04dans un moment qui est très douloureux pour nous
13:05parce que je n'oublie pas que Nicolas Sarkozy,
13:09qui a été quand même notre président,
13:10vit aujourd'hui un moment absolument inédit.
13:14Ça, c'est le premier point.
13:15Le deuxième point, je dirais que localement,
13:17aussi, beaucoup de Républicains sont engagés
13:21dans les élections municipales
13:23qui vont arriver à un moment particulièrement important
13:26pour notre pays.
13:28Et je crois que localement aussi,
13:30nous allons pouvoir redonner de l'espoir aux Français
13:32et leur apporter des réponses.
13:33En tout cas, à Marseille, c'est ce qu'on s'attache à faire
13:35avec Martine Vassal et un certain nombre de personnes
13:38pour que, justement, on puisse reconquérir cette mairie
13:41et apporter des solutions aux Français et aux Marseillais qui souffrent.
13:44Vous avez un patron du parti
13:48et un patron du groupe à l'Assemblée nationale
13:50qui se détestent cordialement.
13:52C'est-à-dire M. Retailleau et M. Wauquiez.
13:55Vraiment, ils veulent se pulvériser l'un l'autre
13:57ou plutôt M. Wauquiez voudrait bien pulvériser M. Retailleau.
13:59C'est l'histoire d'Isno-good.
14:00Comment vous allez régler ce conflit
14:04qui, finalement, vous entrave ?
14:06Puisqu'aussi bien, vous ne pouvez pas parler d'une seule voix.
14:12Moi, je ne veux pas rentrer dans ces querelles-là
14:14parce que ça ne m'intéresse pas.
14:16Vous me posez des questions,
14:17mais je vais vous apporter la réponse.
14:19Tout ce qui m'intéresse aujourd'hui,
14:24c'est faire en sorte que la droite
14:27qui est représentée par les Républicains
14:30arrive à faire avancer un certain nombre de sujets.
14:33On va s'attacher à le faire au Sénat
14:35et à l'Assemblée nationale aussi.
14:37Vous savez, on ne peut pas ne pas être à ce rendez-vous-là.
14:40On aura eu dix ans difficiles avec...
14:43Et aujourd'hui, on ne peut pas non plus être noyé
14:47dans le chantage que le Parti Socialiste fait au gouvernement.
14:50Voilà.
14:51Pendant combien de temps les Républicains vont accepter
14:54de participer à un bloc central,
14:57gouvernement, vous appelez ça comme vous voulez,
14:59qui propose des surtaxes sur les grandes entreprises,
15:02qui propose de suspendre la réforme des retraites,
15:05qui propose une taxation sur les holdings ?
15:09Ma question faite à elle est simple,
15:10c'est quand est-ce que les Républicains
15:11vont redevenir des vrais libéraux ?
15:14Je pense qu'on va apporter une partie des réponses
15:16dans le vote du budget,
15:17que ce soit à l'Assemblée nationale ou au Sénat,
15:19où justement, nous, on avait...
15:23On compte sur les sénateurs,
15:24on compte aussi sur les parlementaires,
15:26parce qu'on a aussi des...
15:28Bien sûr, sur les amendements,
15:29mais on a aussi des députés,
15:33comme des sénateurs,
15:34qui ne veulent pas qu'on soit
15:36dans le concours l'épine de la taxe
15:38et de la dégradation de notre pays.
15:41Merci beaucoup Valérie Boyer
15:42d'avoir répondu à nos questions,
15:43y compris politiques.
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