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«On a massacré le système scolaire», clame S.Audugé face à une situation des écoles alarmante
Europe 1
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il y a 4 semaines
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00:00
La suite à 13h31 sur Europe 1 avec vous, Kelly Mathias, c'est autour de vous aujourd'hui en studio,
00:04
Georges Fenech, Jean-Claude Dacier et Sophie Audugé.
00:06
Sophie Audugé, on va écouter Edouard Geffray, j'en parlais dans le journal permanent,
00:09
il a dit que la situation de l'école était extrêmement inquiétante,
00:12
écoutez, il était sur France Inter ce matin.
00:15
Si on parle de l'état de l'école en général, évidemment que la situation est extrêmement inquiétante.
00:20
Elle est extrêmement inquiétante en termes de niveau,
00:22
elle est inquiétante en termes d'inégalités sociales et scolaires,
00:24
enfin plus à mon dit, inégalités scolaires adossées aux inégalités sociales,
00:27
elle est aussi extrêmement préoccupante en termes de santé physique et psychique des élèves.
00:31
Sur la très grande difficulté scolaire, il faut savoir qu'aujourd'hui,
00:33
15% des collèges concentrent 40% de la grande difficulté scolaire.
00:38
Soit on continue à saupoudrer, à vouloir faire la même chose partout, etc.
00:42
Soit on concentre des moyens supplémentaires, notamment avec la démographie,
00:46
et un effort pédagogique particulier sur ces 15% de collèges.
00:48
Et moi, c'est ce que je veux faire.
00:50
Alors le constat est clair, sans appel, il peut avoir le mérite de la lucidité,
00:54
mais il n'est pas du tout rassurant, notamment pour nos enfants,
00:56
et surtout maintenant qu'on a la situation en tête, c'est assez bien dit.
01:00
On fait quoi ?
01:01
Sophie Audigé, vous qui vous y connaissez en politique éducative,
01:04
comment vous avez pris cette interview ce matin ?
01:06
Alors il faut l'écouter en entier, parce qu'elle est pareille,
01:08
comme celle du ministre de l'Intérieur, elle est assez surréaliste.
01:13
Parce que bon, il faut être honnête, c'est quand même pas un scoop que l'école va mal.
01:17
On est dernier à peu près dans tous les classements,
01:19
depuis de très très nombreuses années,
01:21
et le ministre de l'Éducation nationale, qui fait mine de découvrir ce constat,
01:26
a été responsable des ressources humaines de l'Éducation nationale depuis 2017.
01:32
Ensuite, il a été directeur de la DGESCO,
01:34
c'est-à-dire que c'était le deuxième, le numéro 2,
01:36
de tous les ministres qui sont passés.
01:38
Donc ça veut dire qu'il était aux manettes depuis 2017 quand même.
01:41
Je veux dire, c'est important de bien l'avoir en tête.
01:43
Ensuite, la situation, elle est très simple,
01:47
c'est qu'on a absolument massacré le système scolaire
01:50
en faisant de l'école non plus un lieu d'instruction publique
01:55
payé par l'argent des Français pour élever chaque enfant
01:58
d'où qu'il vienne par une instruction exigeante et de haut niveau.
02:02
On en a fait un outil d'endoctrinement par une éducation
02:06
qui est prise en otage par les syndicats
02:10
et tout un ensemble d'idéologies.
02:12
On en reparlera parce qu'on doit évoquer...
02:14
Oui, mais vos mots sont durs, une école d'endoctrinement.
02:17
Mais évidemment, en fait, là quand il évoque
02:19
qu'il va mettre plus d'argent là où la situation est plus concentrée.
02:23
Oui, il dit 15% des collèges qui concentrent 40% des grandes difficultés scolaires.
02:26
Bien sûr, mais ça fait des décennies qu'on met de l'argent
02:31
dans les zones d'éducation prioritaire.
02:34
Et un rapport récent de la Cour des comptes
02:36
qui date de pas très longtemps, c'était en mai dernier,
02:39
montre qu'on met plus d'argent avec moins d'élèves dans les classes
02:42
pour moins de résultats.
02:43
Donc on peut continuer à mettre de l'argent dans le panier percé en permanence.
02:47
Mais donc il ne faut pas le faire ?
02:48
Il ne faut surtout pas continuer à faire n'importe quoi.
02:51
L'objectif de l'école, c'est d'instruire.
02:53
Il a une mission, le ministre de l'éducation nationale,
02:56
c'est de faire que chaque enfant qui sort du CM2
02:58
sache lire.
03:00
Tant qu'on n'est pas capable de faire ça,
03:02
tout le reste, ça ne sert à rien.
03:05
Un peu de bon sens dans cette grande maison
03:09
qu'est l'éducation nationale.
03:10
Madame, si j'osais, je vous féliciterais.
03:13
Un peu de bon sens, ça fait, quand même, ça fait,
03:16
je n'irai pas depuis la guerre, mais presque,
03:17
que les syndicats commandent l'éducation nationale.
03:20
Moi, je me souviens de mon ami Luc Ferry,
03:22
qui a été ministre un temps de l'éducation nationale.
03:26
En réalité, il n'avait que très, très peu de pouvoir.
03:29
Les syndicats commandent.
03:31
Et si j'avais des enfants en bas âge,
03:33
je les mettrais à l'école privée.
03:35
Mais je referme vite cette parenthèse.
03:37
En effet, le travail qui est à faire est gigantesque.
03:41
Il paraît presque hors de portée,
03:44
tellement ce qu'il faut faire est important.
03:47
Les moyens sont là, quand même, me semble-t-il.
03:50
Absolument.
03:51
Et contrairement à ce que disent la plupart des syndicats
03:53
se jettent en tête,
03:54
les moyens sont là.
03:56
Bien sûr.
03:57
Bon, alors, est-ce qu'il faut travailler davantage ?
03:59
Est-ce qu'il faut travailler autrement ?
04:00
Je me garderais bien de me risquer
04:02
dans un domaine qui n'est pas le mien.
04:05
Mais honnêtement,
04:06
on ne peut qu'être profondément déstabilisé,
04:10
inquiet des résultats que nous obtenons.
04:13
Enfin, écoutez, il y a 20 ou 30 ans,
04:15
on était encore, sinon en tête du peloton,
04:18
du moins pas mal.
04:19
Là, mais on...
04:20
Je ne sais plus.
04:21
Il faut dire aussi, quand même,
04:22
et je vais donner la parole et distribuer la parole
04:24
à tout le monde,
04:25
et notamment à Georges Fenech,
04:26
qu'on n'a pas encore entendu la question.
04:29
Il y a quand même eu 7 ministres
04:30
de l'éducation nationale en 3 ans.
04:32
Ça n'aide pas.
04:33
Donc, il faut le rappeler.
04:34
7 ministres avec des politiques radicalement différentes.
04:37
Ah ben oui !
04:38
Des profils radicalement différents.
04:39
Il y en a un qui arrivait,
04:40
l'autre il défais ce qu'avait fait l'autre, etc.
04:42
Oui, c'est effrayant.
04:43
Donc, ça s'appelle lui en même temps, je crois.
04:45
C'est ça la politique.
04:46
Non, non, mais...
04:47
Moi, je me préoccupe toujours aussi
04:49
de la question, évidemment,
04:50
de la sécurité au sein des établissements scolaires.
04:52
On le sait, c'est un vrai sujet.
04:54
Mais moi, ce qui m'interpelle surtout,
04:57
c'est ce que vient de dire Sophie,
04:59
à savoir l'enseignement endoctrinal.
05:03
Voilà, il y a une idéologie qui circule
05:05
et qui n'a rien à faire dans le milieu scolaire.
05:09
Je pense notamment à tout ce qui touche,
05:10
évidemment, la théorie du genre,
05:12
la sexualité.
05:12
J'aimerais bien avoir un peu plus de précision,
05:15
si je pouvais.
05:17
La part de Sophie, quoi.
05:19
Justement, à ce propos,
05:20
et vous y faisiez référent,
05:22
je ne sais pas si vous aviez vu
05:23
ce qui se passait en Vendée.
05:25
Une professeure de collège
05:26
a tenté d'imposer,
05:27
je dis à tenter parce que ça n'est pas passé,
05:29
l'étude du livre d'Assa Traoré
05:31
qui est la sœur d'Adama Traoré.
05:35
Et dans une lettre adressée aux parents d'élèves,
05:37
la professeure de français
05:38
a dit vouloir faire étudier,
05:41
lire et étudier cette année
05:42
à ses élèves ce livre.
05:45
Alors je rappelle qu'Assa Traoré
05:46
est donc la sœur d'Adama Traoré
05:48
et que c'est une militante d'extrême-gauche
05:49
connue pour son discours très virulent
05:51
à l'égard des forces de l'ordre.
05:52
Dans son livre,
05:53
elle affirme que la police
05:54
ne garantit pas la sécurité
05:55
des personnes issues de l'immigration,
05:57
mais il la met plutôt en danger.
05:59
Combien de temps la domination violente
06:00
des Blancs sur les Noirs
06:01
continuera de régner ?
06:02
S'interroge-t-elle également ?
06:04
Écoutez ce qu'a dit
06:05
un parent d'élèves de ce collège.
06:07
Séverine Dumini,
06:08
la coordinatrice nationale
06:09
de l'Association des parents
06:10
vigilants de l'association.
06:11
Elle était sur CNews ce matin.
06:13
Ce parent est très en colère
06:16
parce qu'il refuse.
06:17
Nous, il nous a dit
06:17
je ne veux pas acheter ce livre.
06:19
On se demande si la motivation
06:20
de l'enseignante
06:21
n'est pas d'abord
06:23
de faire passer des idées
06:24
qui sont les siennes
06:25
plutôt que de faire
06:27
des cours vraiment de français.
06:29
C'est ce à quoi vous faisiez référence
06:30
quand vous parliez d'endoctrinement,
06:32
de politisation peut-être même
06:33
des professeurs ?
06:34
Mais bien sûr.
06:34
C'est évident.
06:35
Ce genre d'exemple ?
06:36
Évidemment, c'est un exemple,
06:37
mais parmi d'autres.
06:38
Je veux dire,
06:39
il y en a des dizaines
06:40
et des dizaines de milliers
06:41
tous les ans.
06:42
Donc là, évidemment,
06:43
on est dans une professeure
06:45
de français quand même.
06:46
Ce n'est pas neutre.
06:47
Pour une classe,
06:48
sauf erreur de ma part,
06:49
de troisième.
06:50
Oui, de troisième, c'est ça.
06:51
qui dit en plus qu'ils vont étudier,
06:53
votre collègue a été professeur
06:55
donc elle pourra confirmer,
06:57
qui dit que dans toute une année
06:59
de troisième,
06:59
elle va étudier deux livres.
07:01
Je ne sais pas si vous imaginez
07:02
en troisième étudier deux livres
07:04
dans l'année.
07:04
Quand vous êtes en français,
07:06
c'est quand même un peu très faible,
07:07
on va être honnête.
07:09
Et parmi ces deux livres,
07:11
elle ne trouve rien de mieux
07:12
qu'à faire un livre
07:13
qui est la propagande
07:15
pour leur...
07:17
qui fait croire
07:17
qu'il y a un racisme systémique
07:19
en France,
07:19
qui était entre nous
07:20
le propos du ministre
07:22
de l'Éducation nationale,
07:24
Papé Ndiaye,
07:24
puisque une semaine après
07:25
sa nomination,
07:27
il partait aux Etats-Unis
07:28
faire une conférence
07:29
pour dire qu'il y avait
07:30
un racisme systémique en France
07:32
alors qu'il venait d'être nommé
07:33
à la plus belle fonction
07:35
qu'on puisse avoir,
07:36
c'est-à-dire ministre
07:36
de l'Éducation nationale,
07:37
c'est-à-dire de l'avenir
07:38
de la jeunesse.
07:39
Je veux dire,
07:39
comme pays qui serait victime
07:42
d'un racisme systémique,
07:43
on fait quand même mieux
07:44
comme démonstration.
07:45
Donc effectivement,
07:46
c'est ça.
07:47
Nous, l'année dernière,
07:47
on s'est opposé
07:48
à un livre
07:49
qui faisait partie
07:50
du concours
07:51
du concours des lycéens
07:52
qui avait été donné à lire
07:53
à tout un ensemble
07:54
de classes de seconde
07:55
qui était le livre
07:56
Le Club des enfants perdus
07:57
de Rebecca Ligueri
07:59
qui était un livre
08:00
pornographique,
08:03
je dis bien pornographique,
08:04
qui détaillait
08:05
de manière extrêmement crue,
08:08
honnêtement,
08:09
quasiment insoutenable
08:10
à lire.
08:10
Moi, je l'ai lu entièrement
08:11
donc je peux vous le dire.
08:12
C'était un exemple de passage.
08:14
Donc,
08:14
des pratiques sexuelles
08:16
de jeunes mineurs
08:18
d'inceste
08:20
et ensuite
08:21
de suicide,
08:23
je veux dire,
08:23
il faut quand même
08:24
être quand même
08:25
pas bien dans sa tête
08:25
pour donner des choses
08:26
à lire comme ça.
08:27
des livres,
08:27
mais je n'ai pas d'enfants
08:28
qui sont en troisième
08:30
actuellement,
08:30
il n'y a pas des programmes
08:31
imposés,
08:32
des livres imposés,
08:34
je ne sais pas moi,
08:35
un balzac...
08:37
Vous avez raison,
08:37
plusieurs éléments de réponse.
08:40
Un,
08:40
vous n'avez pas de livres imposés,
08:42
vous avez des listes conseillées.
08:44
Et après,
08:45
chaque professeur
08:46
peut choisir
08:47
dans cette liste.
08:48
Et là,
08:48
vous vous confrontez
08:49
à une problématique majeure
08:51
qui peut d'ailleurs
08:52
être un sujet de travail
08:53
pour nos députés,
08:54
qui est la fameuse
08:56
liberté d'enseignement
08:57
qui permet tout.
09:00
C'est-à-dire qu'à partir du moment,
09:01
le syndicat vous dit
09:01
écoutez,
09:02
c'est son choix,
09:04
elle l'utilise.
09:05
Nous,
09:05
on a justement
09:06
cette question de livres
09:07
à caractère résolument pornographique.
09:09
On a d'autres parents
09:09
en seconde
09:10
qui nous ont contactés
09:11
parce qu'on donnait
09:12
à lire à leurs enfants
09:13
King Kong Théorier
09:14
de Virginie Despentes.
09:15
Pareil,
09:15
qui fait quelque part
09:16
la promotion
09:17
de la prostitution
09:18
à une période
09:19
où on sait
09:19
qu'il y a une recrudescence
09:20
de prostitution
09:22
chez les mineurs.
09:23
On donne ça à lire.
09:24
Les parents,
09:24
se sont offusqués
09:25
et on leur a répondu
09:26
non mais la professeure
09:27
de français
09:27
va justement
09:29
montrer
09:30
qu'on peut avoir
09:30
un point de vue positif
09:31
sur la prostitution
09:32
mais qui peut être débattu,
09:33
etc.
09:34
Et là,
09:34
c'est la liberté d'enseignement
09:35
qui va prévaloir.
09:37
Je voulais juste apporter
09:38
une précision
09:38
pour en revenir
09:39
au livre
09:40
Imposé à la lecture
09:41
de Mme Traoré.
09:43
C'est que
09:43
ce fameux
09:45
pseudo-racisme
09:47
systémique,
09:48
je veux simplement rappeler
09:49
que l'affaire Traoré
09:51
a donné lieu
09:52
à un non-lieu
09:53
que tous les gendarmes
09:54
ont été blanchis
09:55
dans cette affaire
09:56
qu'il n'y avait pas
09:56
donc de racisme.
09:58
C'est quand même,
09:58
je voulais apporter
09:59
ce point d'orgue.
09:59
Non, non, vous avez bien fait.
10:00
Je crois qu'il y a un pourvoi
10:01
en question.
10:01
Oui, il y a un pourvoi en question
10:02
mais il y a eu un non-lieu
10:03
qui a été confirmé en appel.
10:05
Oui, oui, bien sûr.
10:06
Vous avez raison de dire Jean-Claude Dacier.
10:07
La progression des idées
10:09
je dirais à la mode,
10:11
le wokisme
10:12
puisqu'il faut l'appeler
10:13
par son nom,
10:15
est-ce que c'est quelque chose
10:16
que vous voyez progresser,
10:18
que vous voyez séduire
10:19
un nombre accru
10:20
de fonctionnaires
10:23
de l'éducation nationale
10:24
ou est-ce qu'on fait
10:26
passer les idées
10:27
à la mode ?
10:28
On va en revenir,
10:29
espérons-le le plus vite possible,
10:31
à des choses
10:32
qui soient un peu plus sensées
10:33
ou est-ce que vraiment
10:34
le phénomène du wokisme
10:36
vous inquiète ?
10:37
Bien sûr qu'il est
10:38
extrêmement inquiétant
10:39
et il est très présent.
10:40
Je veux dire,
10:41
on a des parents
10:41
qui nous ont contactés
10:42
parce qu'une professeure
10:43
avait demandé
10:43
une minute de silence
10:44
pour le génocide palestinien
10:45
en cours de cinquième
10:46
si vous voulez par exemple.
10:48
Enfin, je veux dire,
10:48
des choses comme ça,
10:49
il y en a eu énormément
10:50
depuis un an
10:51
ou un an et demi.
10:52
On voit qu'il y a
10:53
une progression
10:53
très importante.
10:55
Là, en ce moment,
10:56
avec la valse des ministres
10:57
et avec un système politique
10:59
qui est quand même
11:00
très bring-ballon
11:01
où tout le monde
11:01
se préoccupe que d'une chose,
11:02
c'est de faire voter le budget,
11:04
on voit bien
11:05
que ces idées-là,
11:06
elles sont en train
11:06
d'avancer
11:08
sans faire trop de bruit.
11:09
Mais enfin,
11:09
heureusement que les parents
11:10
sont vigilants
11:10
et c'est vrai que pour...
11:12
Bon, c'est un sujet
11:12
qui mériterait
11:13
de passer beaucoup plus de temps
11:14
mais si on veut donner
11:14
un conseil aux parents,
11:15
je suis désolée de le dire
11:16
mais l'important
11:19
pour nous ici,
11:20
c'est pas de défendre
11:22
des professeurs
11:23
qui agissent mal.
11:24
C'est de protéger les enfants
11:26
des conséquences
11:26
de ces agissements.
11:27
Donc en gros,
11:27
regardez ce que lisent
11:28
vos enfants.
11:29
Vous regardez ce que lisent
11:30
vos enfants
11:31
et vous le lisez.
11:33
Si vous ne connaissez pas
11:33
le livre,
11:34
vous le lisez.
11:35
C'est important.
11:36
On va marquer une courte pause.
11:38
On va continuer
11:39
à parler de l'école
11:40
mais alors peut-être
11:41
même plus de l'université
11:42
cette fois
11:42
avec ce rassemblement
11:44
au Roland antisémite
11:46
qui est intervenu
11:48
à l'université Paris 8.
11:49
C'était la semaine dernière
11:51
et les mots
11:52
que je viens de citer
11:53
sont ceux de Philippe Baptiste,
11:54
le ministre
11:54
de l'enseignement supérieur.
11:55
On en parlera.
11:56
Et puis tiens,
11:56
cette question aussi,
11:57
c'est faut-il supprimer
11:58
la mention du sexe
11:59
sur la carte d'identité
12:00
homme, femme, hein ?
12:02
Je vous laisse répondre,
12:02
je vous vois dubitatif.
12:03
C'est une proposition
12:05
portée par le groupe insoumis
12:06
à l'Assemblée Nationale.
12:07
A tout de suite.
12:07
13h14, vous écoutez
12:09
Clélie Mathias sur...
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