- il y a 9 heures
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NewsTranscription
00:009h35, la France au bout du fil.
00:02C'est vous, auditeurs, qu'on attend dans ce studio
00:040826 300 300.
00:06C'est le camarade Jamel à la réalisation
00:08qui s'agite et qui s'apprête à vous passer à l'antenne.
00:10Et c'est l'ami Aude qui est derrière ce standard
00:12et qui vous attend au 0826 300 300.
00:14Pourquoi ? Mais pour commenter l'actualité
00:16politique. Voyons, auditeurs de Sud Radio,
00:18vous n'avez pas vu, il y a de la fumée blanche
00:20à Matignon. C'est encore Sébastien Lecornu.
00:22L'Elysée l'affirme, il aura carte blanche.
00:24Est-ce que vous y croyez ? Est-ce qu'on a bien
00:26fait ? Est-ce qu'on fait bien de donner une deuxième
00:28chance à Sébastien Lecornu ? Après tout,
00:30il a fait un très bon JT. On dit que ça a signé des
00:32scores d'audience, des records d'audience.
00:34Il a même observé une petite montée
00:36dans les sondages parce qu'il a tendu la main,
00:38parce qu'il a négocié, parce qu'il a parlé avec tout le monde.
00:40Il a essayé d'organiser la fameuse rupture
00:42avec le président de la République, Sébastien
00:44Lecornu. Est-ce qu'on a bien fait ? De lui donner
00:46une deuxième chance. J'attends vos avis, vos analyses,
00:48vos commentaires, vos réactions. 0826
00:50300 300. Ou au contraire,
00:52vous êtes de la team Jordan Bardella. C'est une
00:54honte démocratique, a tweeté le président du RN.
00:56Venez commenter 0826
00:58300 300. Sud est votre radio
01:00et on vous attend. La France au bout du fil.
01:02C'est vous, Thomas. Bonjour.
01:05Oui, bonjour Maxime. Comment ça va ?
01:06Et vous-même ? Vous, comment ça va, mon cher Thomas ?
01:09Écoutez, super, super, super.
01:11On passe un petit matin en famille avec les
01:12enfants, ma femme, tout va bien.
01:14Mais ça, c'est des matins en famille extraordinaires que je ne connais pas.
01:16Mais ça a l'air d'être fantastique, mon cher Thomas.
01:18Comment vous observez, vous, ce spectacle politique ?
01:21Est-ce qu'on a bien fait de donner une seconde
01:22chance à Sébastien Lecornu ?
01:24Alors, juste avant de souffler
01:26sur cette fumée blanche dont vous évoquiez tout à l'heure,
01:29je voulais juste
01:30faire une petite parenthèse sur, si vous
01:32me le permettez, sur le fait qu'il y ait une libération
01:34d'otages aujourd'hui. C'est assez important,
01:37une libération d'otages donc israélien.
01:39Donc, c'est le retour à la maison pour beaucoup d'entre eux.
01:41Et malheureusement, c'est aussi
01:42un espoir qui s'est enterré pour ceux qui ne reviendront pas.
01:45Donc, une petite pensée pour ces femmes.
01:46Et on en a parlé tout au long de ces flashs d'informations.
01:49Vous avez raison, Thomas. Merci beaucoup.
01:50Et sur l'actualité française, qui est en effet
01:52parfois un peu plus déprimante que ce spectacle,
01:55comment vous regardez, vous, en tout cas,
01:56la nomination de Sébastien Lecornu ?
01:58Écoutez, là, pour moi,
02:00on n'est pas en train de faire...
02:02savoir s'il fallait lui donner une seconde chance à Sébastien.
02:05On n'est pas en train de savoir si
02:06Paul mérite une seconde chance, après avoir
02:08trompé Marie. C'est pas ça.
02:10Là, on parle de la France. On est quand même la
02:12septième puissance mondiale. Et donc, pour moi,
02:14c'est un mec qui a démissionné.
02:15Un mec qui doit construire une équipe pour voter un budget,
02:18pour construire un budget lundi.
02:20On ne peut pas le renommer.
02:23Encore une fois,
02:23ça vous a choqué.
02:26Choqué, oui.
02:27C'est juste que je ne comprends pas du tout
02:28les décisions de notre président.
02:31Il est dans une logique que je n'arrive plus à suivre.
02:35Et je me dis, mais qu'est-ce que c'est la prochaine étape ?
02:37Parce que si Lecornu,
02:38il avait des menaces de censure de Tours,
02:41donc tout porte à croire
02:42que ces menaces de censure vont continuer.
02:44Je ne vois pas comment le gars
02:46va construire une équipe
02:47filable pour mener un projet
02:50qui s'appelle la France à bien.
02:53Et je ne sais pas
02:54du tout où on va aller.
02:56Mais alors, comment vous interprétez ce geste
02:58du chef de l'État, mon cher Thomas ?
03:00C'est quoi, c'est un coup de folie ?
03:02C'est une volonté de garder en main le pouvoir ?
03:05Non, écoutez,
03:06moi, ce chef de l'État-là,
03:08je ne le comprends plus.
03:08Je n'arrive plus du tout à...
03:10Vous êtes comme Gabriel Attal, mon cher Thomas.
03:11Vous êtes attaliste.
03:13Vous êtes attaliste.
03:14Vous ne comprenez plus le président de la République.
03:16Je ne vais pas dire que je suis attaliste.
03:17Non, non, je ne vais pas dire que je suis attaliste.
03:19Pour être honnête,
03:20les derniers votes que j'ai faits,
03:21c'était pour le Rassemblement National.
03:23Et donc, je pense que le chef de l'État
03:27aurait dû nommer un Premier ministre de la gauche
03:31parce que le premier groupe parlementaire à l'Assemblée,
03:35c'est le groupe populaire.
03:37Tout à fait.
03:38Et donc, il est évident pour moi
03:40qu'il faut respecter ce choix des Français.
03:42Il faut voir si ça fonctionne,
03:43si ça ne fonctionne pas.
03:44Et si ça ne fonctionne pas,
03:45on acquiert les conclusions,
03:46on fait une dissolution.
03:48Et on espère surtout
03:49qu'il y ait un autre résultat
03:53que ces trois groupes,
03:54que ces trois groupes qui se dégagent
03:56pour avoir quelque chose qui soit gouvernable
03:58et qu'on puisse avancer.
03:59Moi, vous savez, mais vous racontez.
04:01On doit faire des travaux importants à la maison.
04:03Mais ces travaux importants,
04:04on les décale, on ne les fait pas
04:05parce qu'on ne sait pas du tout
04:07où le pays va aller.
04:08On n'a aucune visibilité.
04:10En fait, vous faites partie vraiment des Français
04:11quand on dit que ça crée une inquiétude
04:13auprès de nos concitoyens.
04:14C'est ce que vous nous dites, Thomas.
04:15C'est-à-dire que même les travaux de la maison,
04:16vous ne les engagez pas
04:17parce qu'en réalité,
04:18on ne sait pas de quoi demain sera fait.
04:19Écoutez, moi, je ne vais pas engager
04:2050 000 ou 60 000 euros de fonds propres
04:24pour ma maison
04:24si, dans un an ou deux ans,
04:27le pays va à la ruine.
04:29Si on court la catastrophe,
04:30je préfère prendre ces 50 ou 60 000 euros
04:32pour construire quelque chose d'ailleurs.
04:33Mais quand vous parlez d'ailleurs,
04:35mon cher Thomas,
04:35et ce serait ma dernière question,
04:36est-ce que vous faites partie,
04:37c'est en tout cas ce que je comprends
04:38quand je vous entends,
04:39des Français qui aimeraient peut-être partir,
04:41quitter le pays
04:42quand vous voyez la situation économique,
04:43financière, politique ?
04:45Écoutez, c'est quelque chose,
04:47c'est quelque chose auquel on pense,
04:48avec ma France, tout à fait.
04:49C'est quelque chose auquel on pense
04:50parce qu'on se dit
04:51si la France court à la catastrophe,
04:53on a des enfants,
04:54on pense à eux,
04:55on dit mais on ne va pas...
04:56L'avenir sera peut-être un peu plus net ailleurs
04:58et l'horizon un peu plus dégagé.
04:59Et pourtant, Dieu sait que j'apprécie la France,
05:02que j'aime ce pays,
05:03que j'aime ces gens,
05:04que j'aime ce territoire et cette histoire.
05:09Mais aujourd'hui,
05:10on se pose réellement la question
05:11de savoir si on reste ou pas.
05:13Et puis honnêtement,
05:14on ne peut pas répondre
05:14parce qu'on est toujours...
05:15On ne peut pas répondre
05:16et surtout quand on voit
05:16l'état en effet du pays.
05:17Merci beaucoup, mon cher Thomas,
05:18d'avoir été avec nous ce matin.
05:190-826-300-300.
05:21Est-ce que vous êtes un peu
05:22comme Thomas,
05:22auditeur de Sud Radio,
05:23à penser en effet
05:24que c'est un scandale démocratique,
05:25qu'en réalité,
05:26le président n'a vraiment rien fait
05:28comme il fallait ?
05:29Est-ce que vous le pensez ?
05:29Au contraire,
05:30il faut une solution.
05:31Il faut un budget
05:32avant la fin de l'année.
05:33Donc, nous n'avons pas de choix.
05:34C'est l'heure des compromis
05:35que les politiques
05:36se mettent d'accord.
05:37Comment vous regardez les choses ?
05:380-826-300-300.
05:40Bonjour, mon cher Laurent.
05:42Bonjour, Maxime.
05:43Merci d'être avec nous ce matin.
05:44Comment allez-vous ?
05:45Impeccable.
05:47Tu sais,
05:48je veux te dire,
05:48nous, par rapport aux politiques,
05:50on est optimistes
05:51parce que tu as l'équipe
05:52du comité des fêtes de l'Irak,
05:53on prépare d'ores et déjà
05:55le Carnaval
05:55qui aura lieu
05:56le 1er juillet mars 2026.
06:00Voilà.
06:00Nous, on est optimistes,
06:01mais contrairement aux politiques,
06:04nous, on avance.
06:05Parce qu'on est devenu
06:06vraiment un port au pays.
06:08Alors,
06:09ça fait 8 ans que ça dure
06:10et il ne faut pas
06:12en reprendre pour 2 ans de plus.
06:13Ce que je veux dire,
06:14c'est que le cornu,
06:15bon, très bien,
06:16ce n'est pas forcément lui
06:17le responsable.
06:18Le problème,
06:19c'est Macron à l'heure actuelle.
06:21Si on veut que la France
06:22se relève,
06:23si on veut que la France
06:24se sorte,
06:24il n'y a pas d'autre choix.
06:25Il faut qu'il démissionne.
06:26Il a échoué,
06:27c'est un garçon qui a été échoué.
06:29Dans la vie,
06:30ça arrive,
06:30il n'y a pas de problème.
06:31Mais les gars,
06:32ils ont un égo
06:32tellement surdivisionné
06:34qu'ils ne veulent pas.
06:35Moi, je me rappelle
06:36son premier
06:37et sa campagne électorale,
06:39il disait
06:40pour la France,
06:41tu veux du bien
06:42pour la France
06:43par déclencheur
06:45des élections
06:45au mois d'avril,
06:46que tout le monde
06:46ait le temps
06:46de se préparer,
06:47après les municipales,
06:49on refera des législatives
06:50à ce que le président
06:51ou la présidente élu
06:53dissoutera l'Assemblée
06:54et en espérant
06:55qu'il y ait une majorité
06:56claire et nette
06:58qui se dessine
06:59dans ce pays
06:59pour qu'on avance.
07:01On ne peut plus rester
07:02comme ça.
07:02Merci beaucoup Laurent
07:04d'avoir été avec nous
07:05ce matin sur Sud Radio
07:060826 300 300
07:08et on l'entend
07:08cette petite musique
07:09qui montre aussi
07:10la volonté de faire démissionner
07:11le président de la République.
07:12Mais vous,
07:13auditeurs de Sud Radio
07:14ce matin,
07:14nous sommes en direct
07:15jusqu'à 10h,
07:16qu'est-ce que vous pensez
07:17de cette situation politique ?
07:18Est-ce qu'on a bien fait ?
07:19Est-ce que le président
07:19de la République
07:20a bien fait de faire confiance
07:21à Sébastien Lecornu
07:22une deuxième fois ?
07:23Toute une petite musique
07:24estime que oui,
07:25bien sûr,
07:25il fallait quelqu'un
07:26pour négocier,
07:28pour tendre la main,
07:28pour parler à tout le monde
07:29et c'est visiblement
07:30la mission de Sébastien Lecornu.
07:32Sébastien Lecornu
07:33mérite-t-il
07:33cette deuxième chance ?
07:35Vous êtes nombreux
07:36à nous appeler,
07:36à réagir.
07:37Nous sommes ensemble
07:38jusqu'à 10h,
07:38n'hésitez pas,
07:39par exemple,
07:40sur les réseaux sociaux,
07:40l'application Sud Radio
07:41et le site sudradio.fr.
07:44Il y a Patrick
07:45qui nous dit
07:45toute cette agitation,
07:46pour ça,
07:46les Français méritent-ils
07:47ce cirque ?
07:48Évidemment,
07:49question légitime
07:50qu'on peut se poser.
07:51Franck Albert nous dit
07:51tout simplement
07:52Macron démission
07:53et White Pearl
07:54qui nous dit,
07:54par exemple,
07:55une seule solution,
07:56il faut absolument
07:57que Macron
07:58parte au plus vite
07:59avec tous les pantins,
08:00que ce soit de la gauche
08:01jusqu'au LR,
08:02qui sont en réalité
08:03responsables du déclin
08:04de la France.
08:05Dans quel team
08:05vous situez-vous ?
08:06Le président du Rassemblement
08:07National,
08:08par exemple,
08:08Jordan Bardella,
08:09a dit que c'était
08:09une honte démocratique
08:10ce qui se passait.
08:11Vous pensez un peu
08:12comme Jordan Bardella,
08:13vous voulez nous le dire
08:14ce matin sur Sud Radio,
08:15vous êtes agacé,
08:16inquiet,
08:16à l'instant comme Thomas
08:17qui hésitait à faire
08:18des travaux dans cette maison.
08:19Jusqu'à 10h,
08:20le standard vous appartient,
08:22c'est l'ami Aude
08:22qui va vous accueillir.
08:230826 300 300,
08:26je le répète,
08:260826 300 300,
08:28on est en direct
08:29jusqu'à 10h,
08:30il est 9h43,
08:31à tout de suite
08:31sur Sud Radio.
08:33Sud Radio,
08:34le grand matin week-end,
08:356h-10h,
08:37Maxime Liedot.
08:38Et de retour
08:39sur Sud Radio
08:39avec Maxime Liedot
08:41qui va arriver
08:41dans quelques instants
08:42et tout de suite
08:42on accueille Benoît
08:43de Limoges
08:44qui veut réagir
08:45à la nomination,
08:46la re-nomination
08:47du Premier ministre
08:48Sébastien Lecornu.
08:49Bonjour Benoît.
08:50Bonjour.
08:51Alors qu'est-ce que
08:52vous pensez
08:52de cette nouvelle nomination
08:54pour Sébastien Lecornu ?
08:57Vous dites que
08:57c'est une honte démocratique.
08:59Ah oui,
09:00moi je suis sur cette ligne-là,
09:01c'est une honte démocratique.
09:04Le premier groupe politique
09:06arrivé,
09:07il y avait l'UDSP,
09:08donc je vais nommer
09:09un ministre,
09:10un Premier ministre,
09:11ça devrait être
09:12soit quelqu'un
09:14de ce bord-là.
09:15Bon, c'est compliqué
09:16parce qu'ils ne sont pas
09:17capables de se mettre d'accord.
09:18Sinon,
09:18le seul vrai groupe
09:20qui est majoritaire
09:21à l'Assemblée,
09:22enfin ceux qui ont
09:23le plus de députés,
09:24c'est l'ERN,
09:24donc éventuellement
09:25ça pourrait être
09:26de ce bord-là,
09:29bien que ça ne soit pas
09:30forcément ma tasse de thé,
09:31mais quand même.
09:32Donc,
09:33je pense que
09:34M. Macron
09:35est le seul
09:36à avoir
09:36le grand perdant
09:37des dernières législatives
09:39suite à une dissolution
09:40qu'il a lui-même voulu.
09:42Et donc,
09:42je suis tout à fait d'accord
09:43avec l'auditeur juste précédent.
09:46La seule chose
09:46qu'il lui reste à faire,
09:47c'est de démissionner.
09:48Ça serait
09:49prendre ses responsabilités.
09:51Alors bon,
09:51je pense qu'on est
09:52tous conscients
09:53qu'il ne le fera jamais.
09:55Donc vous faites partie,
09:56Benoît,
09:57réellement,
09:57des gens un peu
09:57comme Édouard Philippe
09:58qui disent au bout d'un moment
09:59quand bien même
10:00on n'est pas hostile
10:01à tout le système,
10:02le président de la République
10:03doit partir à un moment.
10:05Ah ben oui,
10:06mais il y a des grands hommes
10:07comme M. De Gaulle
10:08qui l'avait fait avant lui.
10:11Est-ce que vous l'en pensez
10:12capable en réalité,
10:13Benoît ?
10:14Ah non,
10:15non,
10:15je ne pense pas
10:15qu'il soit capable de le faire.
10:16Il a trop d'égo
10:17et il est trop hautain
10:18pour pouvoir dire
10:19j'ai échoué.
10:20Je pense que pour lui,
10:21il a tout bien fait.
10:23C'est juste les Français
10:23qui ne comprennent pas
10:24et c'est ça qui est dommage.
10:26Et voilà,
10:27parce qu'on parle de dissolution,
10:28le problème d'une dissolution,
10:30c'est que dans le pire des cas,
10:32certains groupes
10:32vont perdre des places,
10:34d'autres vont en gagner.
10:35Ça m'étonnerait
10:36qu'il y ait une majorité
10:37de toute manière.
10:39Certainement que l'ERN
10:40en prendra plus
10:42de sièges.
10:44Et donc voilà,
10:46et on se retrouverait
10:47exactement dans la même
10:48configuration.
10:50Je me permets
10:51de vous poser une question.
10:52Quand on regarde
10:53l'actualité,
10:54il y a 8h tout à l'heure,
10:55Frédéric Dabin nous le disait,
10:56il évoquait cette volonté
10:57de plus en plus d'électeurs,
10:59en tout cas,
10:59de faire une union des droites.
11:00Est-ce que vous,
11:01c'est quelque chose
11:01que vous regardez
11:02avec un certain intérêt ?
11:03Est-ce que vous sentez
11:04en effet qu'il serait plutôt,
11:05oui, positif,
11:07nécessaire de faire
11:08une union des droites ?
11:10Je ne sais pas exactement.
11:12De toute façon,
11:13c'est la même tambouille politique.
11:15La plupart des politiques,
11:17que ce soit à gauche
11:18ou à droite,
11:18ne voient pas
11:19l'intérêt de la France,
11:20ils voient le leur,
11:21en fait.
11:22C'est comme ça
11:23que vous le voyez.
11:24Oui,
11:24et puis,
11:25c'est ce que je disais,
11:26ce sont des gens
11:27quand même
11:27qui font partie,
11:28les députés,
11:29c'est quand même
11:29les députés,
11:30les ministres,
11:30les sénateurs,
11:31c'est quand même
11:32des gens qui vont
11:32faire partie
11:33des 3 à 5%
11:35des gens
11:35les plus aisés
11:36de France
11:37et qui vont voter
11:38des lois
11:38qui concernent
11:39l'ensemble des Français.
11:41Et alors que ces gens-là,
11:41ils sont complètement hors sol,
11:42ils sont complètement déconnectés,
11:44M. Macron largement au-dessus,
11:48lui,
11:48alors lui,
11:49je pense qu'il atteint
11:50des strates infinies,
11:53donc voilà,
11:54c'est juste plus possible.
11:56C'est plus possible,
11:57on l'a bien entendu.
11:58Merci beaucoup.
11:59Je suis atterré
11:59de la pauvresse politique
12:00et je pense que
12:01s'il y a de plus en plus
12:02d'abstention,
12:03ce n'est pas pour rien.
12:04Merci beaucoup,
12:05ça c'est sûr.
12:05Merci beaucoup Benoît
12:06de nous avoir appelé
12:07au 0826 300 300.
12:09Vous êtes nombreux
12:10à nous appeler
12:10au 0826 300 300
12:12notamment pour répondre
12:13à ces questions
12:14qu'on vous pose ce matin
12:15sur le site,
12:16sur l'application
12:16et les réseaux sociaux
12:17de radio.
12:18Est-ce qu'il fallait
12:19donner une deuxième chance
12:20à Sébastien Lecornu ?
12:21On parle de sondage en hausse,
12:23on parle de bonne audience
12:23quand il s'exprime,
12:24on parle tout d'un coup
12:25d'une stature
12:29Lecornu,
12:29on a dit qu'il pensait
12:30à la France,
12:31qu'il allait peut-être
12:31faire quelque chose
12:33d'important.
12:33Bonjour Olivier.
12:34Bonjour.
12:35Comment allez-vous ce matin
12:36en ce samedi ?
12:37Moi, ça va très bien
12:38et alors je ne suis pas
12:40surpris du tout
12:41parce que j'avais prévu
12:43déjà que Lecornu
12:45succéderait à Lecornu.
12:47Ah oui,
12:47vous l'aviez prévu,
12:48vous l'aviez anticipé,
12:49ça se sentait selon vous ?
12:51Je me mets à la place
12:52de Macron
12:52et j'essaie de réfléchir
12:53comme lui.
12:54Alors expliquez-nous
12:55parce que notre camarade
12:55Jamel qui est à la réalisation
12:57était là ce matin
12:57mais je ne comprends pas
12:58comment tout le monde
12:59pouvait être sûr
13:00que ce soit Lecornu.
13:01Alors Olivier,
13:02expliquez-nous votre instinct.
13:05Monsieur Macron,
13:06il veut rester
13:06le plus tard possible.
13:07Il ne veut pas partir.
13:09Donc il va employer
13:09tous les moyens nécessaires
13:11mis à sa disposition
13:12pour rester.
13:14Donc on a eu Bérou,
13:17on a Lecornu,
13:18on a un gouvernement
13:19parce qu'entre la nomination
13:20du Premier ministre
13:22et la nomination
13:22du gouvernement,
13:23il se passe
13:24des fois deux,
13:26trois semaines,
13:26c'est long.
13:26et là,
13:28donc il va remettre
13:29un nouveau gouvernement.
13:31Je pense que
13:31Monsieur Lecornu
13:32était d'accord avec lui,
13:33il avait prévu,
13:34ils ne vont pas remettre
13:34les mêmes ministres.
13:36Ils ne vont pas remettre
13:37les mêmes ministres
13:37mais ça n'irra pas du tout
13:39parce que pour sortir
13:40de cette situation,
13:41c'est très très très compliqué.
13:43C'est pour ça que
13:44même s'il avait nommé
13:45Bardella,
13:46je crois qu'il ne serait pas allé
13:46parce qu'il faut être maso
13:48pour prendre ça.
13:50Il faut qu'il y ait
13:51des présidentielles
13:52pour tout modifier.
13:53Donc là,
13:54dans un premier temps,
13:55c'est re-lecornu,
13:57un nouveau gouvernement,
13:59puis une dissolution,
14:02puis on va renomper
14:04des gens,
14:05sûrement que le RN
14:06va passer devant,
14:08ça ne va pas le faire,
14:09il ne pourra pas
14:09redissoudre,
14:11mais il nommera
14:11un nouveau ministre
14:13avec un nouveau...
14:15On va se retrouver
14:15modifié.
14:16Et en fait,
14:16ce sera absolument
14:17un fonctionnement infini,
14:18c'est ça en fait,
14:19quand on vous entend
14:20Monsieur Olivier.
14:20Mais c'est ça,
14:21on ne sait pas
14:23où on va
14:23et lui,
14:24il le sait
14:25parce qu'il calcule
14:26tout à l'avance,
14:26il est intelligent
14:27quand même,
14:27Monsieur Macron.
14:28Moi,
14:29à sa place,
14:29je vais renommer
14:30Bardella.
14:31Comme ça,
14:31Bardella,
14:31il ne s'en sort pas
14:32et le RN...
14:33Mais vous savez
14:33qu'entre nous,
14:34c'était apparemment
14:35un peu l'idée
14:36en coulisses,
14:36mon cher Olivier,
14:37d'organiser une dissolution
14:38pour laisser s'implanter
14:39le RN
14:40et une fois au pouvoir
14:41de dire,
14:41regardez,
14:42je vous avais dit
14:42qu'ils étaient nuls,
14:43je vous avais dit
14:43qu'ils allaient se planter.
14:45Oui,
14:45mais pourquoi
14:45il ne l'a pas nommé
14:46maintenant ?
14:46C'est pour gagner
14:47encore.
14:47Ah oui,
14:48vous auriez aimé
14:48vraiment qu'il aille
14:49le chercher,
14:50qu'il le nomme ?
14:51Oui,
14:51parce que moi,
14:52il me propose
14:53la place de Premier ministre,
14:54je lui dis non.
14:55Il faut être malade
14:56pour prendre la place
14:57de Premier ministre.
14:58Dans la situation actuelle,
15:00les gens,
15:01les retraites,
15:02on voit n'importe quoi,
15:04Born qui impose
15:05le 49-3
15:06par le 49-3
15:07à la retraite.
15:08Et qui après
15:08revient dessus cette semaine,
15:09c'est plus clair.
15:10Oui,
15:11mais parce qu'ils ne veulent pas...
15:13Vous savez,
15:13ça me prend la tête
15:15la politique.
15:16Alors,
15:16je prends ma calculette
15:17et je calcule.
15:18Et puis,
15:18j'ai dit,
15:19tiens,
15:20depuis quand la dette
15:22est énorme ?
15:23Donc,
15:23j'ai cherché,
15:23avant la retraite
15:24à 60 ans
15:25et les 35 heures,
15:26on était à 700 milliards
15:28par les socialistes
15:31qui voudraient revenir
15:32au pouvoir.
15:33Et maintenant,
15:34leur connerie,
15:35parce que moi,
15:35j'appelle une connerie,
15:36avoir de 65 à 60
15:39et puis de 40
15:41à 35 heures,
15:42la dette est passée
15:43à 3500 milliards.
15:45C'est ça,
15:45ce sont les derniers chiffres
15:46de la dette
15:46et c'est sûr que la dette
15:48et ce sujet préoccupant
15:49va devoir y faire attention
15:50et c'est pour ça aussi
15:51qu'il y a un tel esprit
15:52de responsabilité
15:53sur les forces politiques
15:54parce que c'est un sujet
15:55qui préoccupe
15:56de plus en plus
15:56les Français.
15:58Frédéric Daby
15:58qui était avec nous
15:59à 8 heures
15:59nous le rappelait.
16:00Merci beaucoup,
16:00mon cher Olivier,
16:01d'avoir été avec nous
16:01en ce samedi matin
16:03et d'avoir appelé
16:030826 300 300.
16:05Il est 9h50
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