- il y a 1 jour
A la une de cette édition, nous évoquerons l’échec des deux motions de censure votées cette semaine au Parlement européen, et qui visaient à renverser Ursula von der Leyen.
Et il sera également question d’Allemandes, de belles cylindrées avec l'automobile germanique en crise.
Et enfin, retour en France où la malbouffe envahit tout le territoire !
Et il sera également question d’Allemandes, de belles cylindrées avec l'automobile germanique en crise.
Et enfin, retour en France où la malbouffe envahit tout le territoire !
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00:00Générique
00:00Monsieur, bonsoir. A la une de cette édition, nous évoquerons l'échec des deux motions de censure votées cette semaine au Parlement européen
00:21et qui visaient à renverser Ursula von der Leyen.
00:24Il sera également question d'Allemande, de belles cylindrées avec l'automobile germanique en crise et enfin retour en France où la malbouffe envahit tout le territoire.
00:35A l'heure où nous enregistrons ce journal, nous ne savons toujours pas qui est le nouveau Premier ministre.
00:40Comme vous, nous trépignons d'impatience de savoir qui sera cette personnalité de qualité à n'en pas douter.
00:46En début d'après-midi, vendredi, le président recevait les représentants des partis politiques hors LFI et ARN qui n'ont pas tenu à participer à ces échanges.
00:55Les troupes mélenchonistes réclamant en effet le départ d'Emmanuel Macron quand Marine Le Pen pousse pour une dissolution, estimant que la farce a assez duré.
01:04La situation semble bloquée. Les exigences antagonistes des uns et des autres, tant idéologiques qu'en matière de gamelle, rendent délicate la nomination d'un nouveau chef de gouvernement.
01:15Lundi, un budget devra être présenté. Le guignol devrait encore durer quelques semaines.
01:20Et alors que les institutions flanchent un peu en France la machine bruxelloise, elle est en marche.
01:30Deux motions de censure visant Ursula von der Leyen ont encore échoué. Explication Nicolas de Lamberterie.
01:37Deux motions de censure pour absolument rien.
01:41Voilà comment pourrait se résumer la semaine de séance plénière du Parlement européen qui vient de s'achever à Strasbourg.
01:46Fait peu courant dans l'histoire du Parlement européen, c'est déjà la troisième motion de censure qui était soumise au vote des eurodéputés cette année.
01:55Mais au final, celle de juillet, initiée par l'eurodéputé roumain et avocat Georges Piperia, s'est avérée beaucoup plus embarrassante pour Ursula von der Leyen que les deux de cette semaine.
02:07En effet, la motion portée par Piperia émanait du groupe ECR et portée sur la politique d'achat de vaccins par la présidente de la Commission européenne,
02:17qui avait d'ailleurs largement esquivé ce débat.
02:19En revanche, les deux motions de cette semaine étaient portées par des groupes davantage marginalisés au sein du Parlement européen,
02:25en l'occurrence le groupe de la gauche et le groupe des Patriotes pour l'Europe,
02:29et avaient une connotation très française, puisque les motions étaient respectivement portées par Manon Aubry, eurodéputé LFI,
02:36et Jordan Bardella, eurodéputé Rassemblement National.
02:40La motion de censure portée par le groupe de la gauche concentrait ses attaques principalement sur les relations entre l'Union européenne et Israël,
02:48avec le reproche effectué à la Commission que cette dernière n'a pris aucune sanction contre Israël,
02:54au contraire de ce qui se fait avec la Russie.
02:56De façon plus marginale, Manon Aubry a également évoqué dans son discours le passage en force de la Commission européenne
03:02à propos de l'accord de libre-échange UE-Mercosur.
03:06Quant à la motion de censure déposée par le groupe Les Patriotes pour l'Europe,
03:10elle était principalement concentrée sur les accords commerciaux passés par Ursula von der Leyen au nom de l'Union européenne,
03:17avec les États-Unis d'Amérique et avec le Mercosur.
03:20Si aucune motion n'avait réellement de chances d'être adoptée,
03:23c'était malgré tout l'occasion de compter les troupes,
03:26notamment après la motion de censure de juillet,
03:29qui avait rassemblé 175 voix en sa faveur,
03:32été rejetée par 375 eurodéputés et 18 abstentions.
03:37Et étant donné que les deux groupes d'opposition,
03:39que sont la gauche et les Patriotes pour l'Europe,
03:41n'ont pas dénié voter favorablement à la motion de censure de l'autre,
03:45même ce comptage de troupes s'est avéré décevant.
03:48Selon la même logique que l'on a souvent pu observer à l'Assemblée nationale française depuis 2022,
03:53les oppositions de gauche et de droite réchignent souvent à voter une motion proposée par l'autre camp.
03:59Pour la gauche, hors de question de voter une motion venant de la droite.
04:03Et pour l'opposition de droite, très largement acquise au soutien à Israël,
04:07pas question non plus de voter une motion de censure de gauche qui serait critique d'Israël.
04:11Au final, seul le petit groupe ESN,
04:14dans lequel on retrouve l'AFD allemande ou encore Sarah Knafo,
04:18a voté favorablement les deux motions de censure sur le principe de l'opposition à la commission von der Leyen.
04:24Résultat final, la motion de gauche a obtenu le résultat piteux de 133 voix en faveur de la censure,
04:31383 contre et 78 abstentions.
04:35Quant à la motion des Patriotes pour l'Europe,
04:37179 voix pour, 378 contre et 37 abstentions.
04:42On notera que la plupart des eurodéputés LR français ont voté en faveur de cette motion.
04:47179 pour la censure proposée par les Patriotes,
04:50c'est 4 de mieux que la motion portée par Georges Piperia en juillet,
04:55mais dans le cadre d'un débat qui au final n'a dérangé personne,
04:59et certainement pas Ursula von der Leyen,
05:01qui ressort renforcée de cet épisode,
05:03alors que celui de juillet l'avait quelque peu ébranlé.
05:06Et même si, avec ou sans von der Leyen,
05:09l'Union européenne est animée par des institutions
05:12et une logique intangible qui lui est propre,
05:15force est de constater que la surutilisation de l'arme de la censure,
05:19en dépit de la médiatisation que cela offre,
05:22a fini par enrayer cette arme.
05:24Et tant que ses oppositions continueront de jouer au jeu de la non-coordination
05:28et lui offriront sur un plateau d'argent l'occasion de rappeler
05:32qu'elle bénéficie toujours d'un large appui à Strasbourg,
05:35Ursula von der Leyen pourra continuer de remercier ses opposants
05:39et de dormir sur ses deux oreilles.
05:44Rien ne va plus pour l'industrie automobile allemande
05:47qui s'effondre sous les coups de boutoir de Donald Trump,
05:50désespéré.
05:51Le secteur fait pression pour que l'UE lève l'interdiction de vente
05:54des véhicules thermiques prévue pour 2035.
05:56Edouard Chano.
05:57Berlin en marche arrière.
05:59Freddy Schmers, le chancelier allemand,
06:01a réclamé la levée de l'interdiction de vente des véhicules thermiques
06:05dans l'Union européenne, prévue pour 2035
06:08et décidée en 2022 par la Commission européenne.
06:12Elle se voulait une mesure phare de lutte contre le réchauffement climatique.
06:17Bien sûr, la reculade allemande est synonyme de bonne nouvelle
06:20pour les consommateurs et les industries,
06:22mais elle dévoile l'absurdité des décisions d'Ursula von der Leyen,
06:26poussée d'ailleurs par le macroniste Stéphane Séjourné.
06:29Dans une interview à la chaîne NTV le 6 octobre,
06:32Merz a refusé que l'Allemagne soit l'un des pays soutenant cette mauvaise interdiction.
06:37Derrière lui, tout le lobby automobile allemand gagné par la panique.
06:42Car tout le secteur, emblème de la réussite industrielle germanique,
06:45qui pèse pour 5% du PIB du pays,
06:48est aux abois face au nouveau droit de douane de 15% de Donald Trump
06:52et face à la concurrence des voitures électriques chinoises.
06:56Il subit aussi les sanctions suicidaires contre la Russie,
07:00qui ont fermé un marché d'exportation et coupé le robinet du gaz à l'industrie allemande.
07:04Comme le rappelle le professeur Edouard Husson, spécialiste de l'Allemagne
07:08et directeur du Courrier des Stratèges, qui dénonce un véritable tabou.
07:12L'industrie automobile allemande est mal en point.
07:15La première cause, il faut le répéter, c'est la guerre contre la Russie,
07:20à laquelle l'Allemagne de Olaf Scholz puis de Friedrich Merz se sont associés.
07:27C'est ça qui a fait du mal à toute l'industrie allemande
07:30et qui a fait augmenter en particulier les prix de l'énergie de 25 à 30% selon les secteurs,
07:38mais qui a perturbé aussi toute la chaîne de production en particulier
07:41parce qu'il y avait la main d'oeuvre en Ukraine qui a été perdue.
07:45Alors après ça, vous pouvez invoquer une série de facteurs.
07:48La transition énergétique qui ne donne pas forcément tous ses résultats.
07:53Le Covid, un ralentissement économique plus général.
07:56Et puis il y a aussi une crise de, on va dire, de l'innovation dans l'industrie automobile
08:01qui s'est longtemps reposée sur ses lauriers.
08:04Mais le premier facteur, c'est la guerre d'Ukraine.
08:06Ce croyant en effet intouchable, les constructeurs et équipementiers allemands
08:11pensaient que les Chinois concurrenceraient surtout Renault ou Peugeot
08:14avant de constater avec stupeur que BYD ou Xpeng
08:18se sont attaqués aux gammes supérieures, spécialité germanique.
08:22Les exportations allemandes vers l'Asie se sont écroulées.
08:25Ces marques détenaient un quart du marché chinois en 2020
08:28et plus que 15% aujourd'hui.
08:31Et elles sont aussi menacées sur le marché européen.
08:34L'Empire Mercedes-Benz a subi une chute brutale de 68% de son bénéfice opérationnel
08:39au 1er septembre 2025 et Porsche, filiale de Volkswagen, 66%.
08:44Début septembre, Porsche a annoncé retarder le déploiement de ses véhicules électriques
08:49en cause une demande trop faible.
08:52Il est vrai, au premier semestre de l'année,
08:54seuls 15,6% des véhicules neufs vendus dans l'Union
08:57étaient des modèles 100% électriques contre 38% pour les motorisations thermiques
09:02et 43% pour les hybrides.
09:05Lors d'une réunion décisive à Bruxelles le 12 septembre,
09:08l'Association des constructeurs européens d'automobiles,
09:10présidée par le patron de Mercedes, Ola Calinus,
09:13a jugé l'objectif du tout électrique dans les boutiques en 2035 inatteignable.
09:18Les industriels allemands font valoir
09:20que la transition précipitée vers les véhicules électriques
09:23fragilisent toute la chaîne.
09:25La menace d'un effondrement si l'interdiction était maintenue
09:28est sur toutes les lèvres.
09:30La transformation vers l'électrification est en effet coûteuse.
09:33Les usines doivent être reconverties,
09:36les chaînes d'approvisionnement repensées
09:37et la dépendance vis-à-vis de l'Asie reste aussi écrasante
09:40puisque 90% des cellules de lithium sont importées.
09:44En conséquence, les marges se réduisent entre 2 et 3%
09:48au lieu de 4 et 5% par exemple pour Volkswagen
09:51au point de menacer les emplois.
09:53Le secteur, pour l'heure, emploie 780 000 personnes
09:56mais la filière en a perdu 50 000 depuis un an
09:59et 200 000 autres pourraient encore être détruits d'ici 2030
10:03selon la Fédération allemande de l'automobile.
10:06Alors les industriels négocient plus de flexibilité.
10:10Ils veulent notamment que les voitures hybrides
10:12soient exemptées de cette interdiction
10:14et la possibilité de développer des voitures électriques
10:17avec un prolongateur d'autonomie,
10:19c'est-à-dire avec un petit moteur à essence ou diesel
10:21pour recharger les batteries.
10:23Le chancelier allemand a par ailleurs exprimé l'espoir
10:25de voir des carburants synthétiques développés dans les années à venir.
10:29Carburants qui permettraient aux moteurs à combustion
10:31de fonctionner de manière respectueuse de l'environnement.
10:35Les industriels disent vouloir prolonger la vie des usines existantes
10:38et ainsi préserver les emplois liés à la voiture thermique.
10:41Des vœux pieux et des réponses encore fragmentaires
10:43face à une crise industrielle qui s'approfondit de jour en jour.
10:47Alors en dépit des protestations des écologistes,
10:50la présidente allemande de la Commission européenne,
10:52Ursula von der Leyen, a accepté d'accélérer l'examen
10:55de la clause de revoyure prévue dans le texte européen voté en 2022
10:59pour sauver ce qui peut encore l'être.
11:04Entre américanisation et africanisation,
11:07la restauration rapide envahit nos villes
11:09et même nos campagnes à table avec Renaud de Bourleuf.
11:12La gastronomie française remplacée par des burgers américains.
11:17C'est au pays du foie gras et du poulet basquets
11:19que le groupe industriel américain McDonald's
11:21a trouvé son terrain de prédilection.
11:23En effet, la France est le deuxième marché de l'enseigne
11:25après les Etats-Unis.
11:27Plus de 1560 établissements,
11:29connus sous l'anglicisme fast-food, restauration rapide.
11:32Mais il faut noter que le groupe McDonald's
11:33n'est pas rassasié par ses implantations en centre-ville.
11:36Son appétit glouton s'étend aux campagnes.
11:38Sur la seule année 2025,
11:41une cinquantaine de nouveaux établissements a ouvert,
11:43pour la plupart en zone rurale.
11:44La Châtaignerie, une commune de 2600 habitants en Vendée,
11:47Saint-Jeuniaise-de-Malgoire dans le Gard, 3000 habitants,
11:50ou encore Vivone dans la Vienne, 4000 habitants.
11:53Selon le directeur adjoint de McDonald's France,
11:55l'idée est que, je cite,
11:57« chaque Français ait droit à son McDo
11:59à moins de 20 minutes de chez lui ».
12:01Dommage que ce monsieur ne travaille pas
12:02au ministère de la Santé
12:03pour lutter contre les déserts médicaux.
12:05Et si les McDonald's se multiplient,
12:07c'est que les Français en redemandent.
12:09Selon une étude de l'Institut Montaigne
12:10publiée en octobre 2024,
12:1267% des 18-34 ans indiquent
12:14être des consommateurs réguliers de fast-food.
12:17Notons qu'avec ces 1560 établissements,
12:19McDonald's n'a pas le monopole de la restauration rapide.
12:21La France compte aussi 580 Burger King,
12:24400 Subway,
12:25ainsi que 350 KFC.
12:28D'une manière plus large,
12:29le secteur de la restauration rapide
12:30voit son chiffre d'affaires augmenter,
12:3130% supplémentaire entre 2019 et 2024.
12:35Et pendant ce temps,
12:36la restauration traditionnelle décline rapidement.
12:38En 2024,
12:39les cessations paiement de restaurants
12:40ont augmenté de 10% sur un an.
12:43Certains établissements ont eu du mal
12:44à se relever après les confinements successifs,
12:46mais ils continuent à en payer le prix aujourd'hui.
12:49Avec l'essor du télétravail,
12:50les salariés ont de moins en moins besoin
12:51d'un endroit pour déjeuner.
12:53Le secteur souffre aussi
12:54de la double hausse des prix,
12:56de l'énergie et, évidemment,
12:57de l'alimentation.
12:59De plus,
12:59face à une baisse généralisée du pouvoir d'achat,
13:02les Français sont plus facilement tentés
13:04par un fast-food coûtant 11 euros
13:05que par un véritable restaurant
13:07où il est rare de pouvoir se restaurer
13:09pour moins de 15 euros.
13:10Mais les restaurants traditionnels
13:11sont aussi affectés
13:12par une législation fiscale
13:14qui profite plus
13:16à la restauration rapide.
13:18Dans une tribune publiée
13:19dans le Figaro,
13:20Stéphane Manigold et Philippe Echebest,
13:22respectivement fondateurs du groupe
13:23Éclore et Chef étoilé au Guide Michelin,
13:25ont résumé ce paradoxe
13:26de la manière suivante,
13:27je cite
13:28« Une blanquette mijotée
13:30par un maître restaurateur
13:31est taxée au même taux
13:33qu'un burger industriel
13:34réchauffé sous plastique,
13:3510% pour les deux. »
13:37Une aberration
13:38qui ne doit pas faire l'impasse
13:39sur la tendance
13:40à l'industrialisation
13:41des restaurateurs classiques,
13:42souvent transformés
13:43en réchauffeurs
13:44de mauvais plats transformés.
13:45Reste à savoir
13:46si les dirigeants politiques,
13:47lorsqu'ils seront en mesure
13:48de voter un budget,
13:49penseront à riposter
13:50aux taxes américaines
13:51en attaquant sur ce terrain
13:52pour valoriser
13:53le patrimoine gastronomique français.
13:55L'actualité en bref
14:00en France.
14:04Mazan épilogue
14:04d'une pénible
14:05et étrange saga judiciaire.
14:07Dans l'affaire des viols de Mazan,
14:08Uma Setindogan,
14:09seul accusé
14:10à avoir maintenu son appel,
14:12a été condamné
14:12à 10 ans de prison jeudi.
14:14En première instance,
14:15il avait été copé de 9 ans
14:16alors que 12 ans
14:17avaient été requis.
14:18Après 2h30 de délibéré,
14:20la cour d'appel
14:20a alourdi sa peine.
14:22L'avocat général Dominique Siey,
14:23qui avait requis 12 ans,
14:24a qualifié Dogan
14:25de totalement responsable,
14:27soulignant qu'il avait
14:27dénié l'humanité
14:28de Gisèle Pellicot,
14:29victime d'une oeuvre
14:30de destruction massive.
14:32Gisèle Pellicot,
14:32nouvelle icône des féministes,
14:34va pouvoir se consacrer
14:35à la rédaction de livres
14:36et pourquoi pas
14:37une série Netflix.
14:39Votre argent
14:40toujours bien utilisé
14:41par les ARS.
14:42L'agence régionale
14:43de santé Auvergne-Rhône-Alpes
14:44a inauguré mercredi
14:45la maison aux punaises
14:46dans le 8e arrondissement
14:48de Lyon
14:48pour sensibiliser
14:49contre les punaises de lits.
14:51Ce lieu,
14:51géré avec l'entreprise solidaire
14:52sentit pleine action,
14:54propose conseils,
14:55prévention et matériel
14:56à prix solidaire,
14:57nettoyer vapeur,
14:59piège,
14:59housse.
15:00Entre 2017 et 2023,
15:02un Français sur dix
15:03a été infesté
15:03avec une hausse notable
15:04en zones urbaines denses
15:05comme Lyon
15:05où les budgets de traitement
15:06des bailleurs sociaux
15:07ont doublé de 2020 à 2023.
15:09La prolifération
15:10serait liée au voyage,
15:11notamment aux migrations
15:12et au marché de seconde main.
15:13D'autres maisons
15:14ouvriront bientôt
15:14dans le Cantal
15:15et en Savoie.
15:17Ils ont joué
15:17à gagner de l'argent
15:18illégalement
15:18et ils ont perdu.
15:19Jeudi,
15:20deux hommes soupçonnés
15:21d'avoir exploité
15:21un immense réseau
15:22de casinos en ligne
15:23illégaux
15:23générant près d'un milliard
15:25d'euros depuis 2021
15:26ont été mis en examen.
15:27Ils sont poursuivis pour
15:28organisation d'opérations
15:30de jeux d'argent
15:30prohibées en bande organisée,
15:32blanchiment,
15:33offres illicites
15:33de jeux en ligne
15:34et publicité illégale.
15:35Ces infractions
15:36peuvent conduire
15:36jusqu'à dix ans
15:37d'emprisonnement
15:37et de fortes amendes.
15:39La bonne mère,
15:40bientôt couronnée,
15:41vendredi 17 octobre
15:42à Marseille,
15:43la statue de la Vierge
15:44qui surplombe la ville
15:45depuis la basilique
15:45Notre-Dame de la Garde
15:46va retrouver sa couronne.
15:47C'est une couronne
15:48de 150 cm de diamètre
15:50et de 150 kg
15:51qui a été restaurée
15:52par un compagnon
15:53chaudronnier ex-sois.
15:54A partir de ce vendredi,
15:55la couronne est de nouveau
15:56dans la basilique
15:57avant d'être redorée
15:58par les artisans
15:59des ateliers Gohar.
16:00Le public pourra assister
16:01à ce travail
16:01entre les 13 et 15 octobre.
16:03Enfin, vendredi 17,
16:04la couronne sera placée
16:06sur la statue
16:06par un hélicoptère.
16:11L'actualité internationale
16:12en bref.
16:13La diversité en Belgique
16:18fait des dégâts.
16:19Jeudi,
16:19trois individus
16:20ont été arrêtés
16:21à Anvers,
16:22soupçonnés
16:23de préparer
16:23un attentat terroriste
16:25d'inspiration djihadiste
16:26à l'encontre
16:27d'hommes politiques.
16:28Plus précisément,
16:29c'était le Premier ministre
16:30Barter Wever
16:31à la tête du gouvernement
16:32depuis février dernier
16:33qui était visé.
16:35Chez les suspects,
16:36les enquêteurs
16:36ont trouvé un engin
16:37improvisé,
16:38potentiellement explosif,
16:40mais pas encore opérationnel.
16:41Un sac contenant
16:43des billes de métal
16:43ainsi qu'une imprimante 3D
16:45dont on peut soupçonner
16:47qu'elle devait servir
16:47à fabriquer des pièces utiles
16:49à la commission
16:50d'un attentat.
16:52Nouveau bras de fer
16:53entre Trump
16:53et la justice.
16:55Une juge fédérale
16:56a suspendu
16:56le 9 octobre
16:57le déploiement
16:58de la garde nationale
16:59à Chicago
17:00ordonné par le président
17:01Donald Trump.
17:03Elle a estimé
17:03qu'aucune preuve crédible
17:04de rébellion
17:05ne justifiait
17:06cette mesure.
17:07Saisi par le gouverneur
17:08démocrate de l'Illinois
17:09J.B. Pritzker
17:10et la mairie de Chicago
17:11la juge April Perry
17:13a critiqué
17:14les allégations
17:15non fiables
17:15du ministère
17:16de la Sécurité Intérieure
17:17soulignant
17:18que les militaires
17:19performés
17:19au maintien de l'ordre
17:20risquaient
17:21d'aggraver
17:22les tensions.
17:22Le gouverneur
17:23a dénoncé
17:23une tentative
17:24d'occupation militaire.
17:26Cette décision
17:27intervient
17:27après des manifestations
17:29contre la police
17:30de l'immigration
17:30marquées par un incident
17:32où des agents
17:32ont tiré
17:33un projectile
17:33sur un pasteur.
17:34Trump qui veut
17:35nettoyer Chicago
17:36troisième ville
17:37du pays
17:37de l'immigration
17:38clandestine
17:39et de 110 000
17:40membres de gangs
17:41a déployé
17:42des centaines
17:42de gardes nationaux
17:43malgré l'opposition
17:44des autorités
17:45locales démocrates.
17:47Moscou
17:48admet sa responsabilité
17:49dans le crash
17:49de l'avion
17:50de l'Azerbaïdjan Airlines
17:51survenu le 25 septembre
17:532024
17:54près d'Acto
17:55au Kazakhstan.
17:56Le président russe
17:57Vladimir Poutine
17:58a reconnu
17:58jeudi à Douchambé
17:59au Tadjikistan
18:00la responsabilité
18:01de la Russie
18:02dans le crash
18:03de l'Embraher 190
18:04reliant Bakou
18:05à Grozny
18:06avec 67 personnes
18:07à son bord
18:07dont 38 ont péri.
18:09Poutine a expliqué
18:10que des missiles
18:11anti-aériens russes
18:12tirés contre des drones
18:13ukrainiens
18:13au-dessus de Grozny
18:14ont explosé
18:15à proximité
18:16à environ 10 mètres
18:17projetant des débris
18:18qui auraient endommagé
18:19l'avion
18:19sans impact direct.
18:21La diplomatie azérie
18:22poussait depuis
18:23de nombreux mois
18:24pour une reconnaissance
18:25de culpabilité russe
18:26et Bakou avait même
18:27menacé de poursuites
18:28internationales
18:30alors que des fermetures
18:31de médias russes
18:31en Azerbaïdjan
18:32et des arrestations
18:33croisées avaient marqué
18:34un pic dans le refroidissement
18:35des relations
18:36entre les deux pays.
18:37Reste à voir
18:38si cette première rencontre
18:39post-catastrophe
18:40va apaiser
18:41les frictions caucasiennes
18:42et surtout si Moscou
18:43ne gardera pas
18:44la dent dure
18:45contre le dictateur
18:46préféré de Bruxelles.
18:47La présidente péruvienne
18:50Dina Boulouarté
18:51destituée
18:51c'est dans la nuit
18:52du 9 au 10 octobre
18:54et par un vote
18:54majoritaire du Parlement
18:55après plusieurs tentatives
18:57infructueuses
18:58que les principales
18:59forces politiques
19:00invoquant une incapacité
19:01morale permanente
19:02ont approuvé
19:03quatre des cinq motions
19:04de destitution
19:05déposées.
19:07José Géry
19:07président du Parlement
19:08a accepté
19:09la présidence
19:10en vertu de la constitution
19:11promettant
19:12un gouvernement
19:12de transition.
19:14Boulouarté
19:1463 ans
19:15abandonné
19:16par ses alliés
19:16de droite
19:17perd son immunité
19:18et risque
19:19des poursuites judiciaires.
19:21Son mandat
19:21marqué par le scandale
19:22du Rolex Gate
19:23et une rhinoplastie secrète
19:25a amplifié
19:26son impopularité.
19:27Le Pérou
19:28en proie
19:28à une instabilité
19:29politique chronique
19:31a vu six présidents
19:32se succéder
19:33en neuf ans.
19:34Des manifestations
19:34à Lima
19:35exacerbées
19:36par la violence
19:36et le crime organisé
19:37ont célébré
19:38cette destitution.
19:43Cet été
19:44la censure bancaire
19:45dont nous avons été
19:46les victimes
19:47voulaient faire
19:47disparaître
19:48TV Liberté
19:49grâce à votre soutien
19:50et votre générosité
19:52nous avons tenu
19:53bon et riposté.
19:54Aujourd'hui
19:55TVL se dote
19:56d'une arme importante
19:57pour son indépendance
19:58et son avenir
19:59le leg
20:00explication en vidéo.
20:07En douze années
20:08TVL s'est imposée
20:10comme un rempart
20:11face à la pensée unique.
20:12Elle a créé
20:13une formidable dynamique
20:15celle de la presse
20:16alternative
20:17dont le succès
20:18est patent.
20:19Fidèle à sa mission
20:20TVL défend
20:21l'esprit français
20:22la civilisation européenne
20:24et nos valeurs essentielles
20:25la famille
20:26les libertés
20:27l'identité
20:28et la souveraineté.
20:30Nous offrons
20:30une information libre
20:32affranchie des dictates
20:33et nous anticipons
20:34les grands bouleversements
20:35du monde.
20:36TVL dit la vérité
20:38sans concession.
20:39Mais pour que cette œuvre
20:40demeure
20:41il faut garantir
20:42la pérennité
20:43de l'édifice
20:44alors nous faisons appel
20:46à votre soutien
20:47par le biais d'un leg
20:48afin que TVL
20:49poursuive sa mission
20:50pour les générations futures.
20:53J'ai rédigé mon testament
20:54en faveur du fonds
20:56de dotation
20:56Média Liberté
20:57en précisant
20:58que mes biens
20:59sont destinés
21:00à TV Liberté.
21:02Vous voyez ce studio
21:03il existe grâce à un leg
21:05celui de Florence Drillon
21:06de nouvelles émissions
21:07y sont tournées
21:08et cela permet
21:10à de jeunes journalistes
21:11de travailler
21:12et de poursuivre
21:13ce combat.
21:14Au service de TV Liberté
21:15le fonds de dotation
21:17Média Liberté
21:18vous donne la possibilité
21:19de laisser votre empreinte.
21:21Par votre leg
21:21vous investissez
21:22dans l'avenir
21:23en offrant à TVL
21:24les moyens
21:25de remplacer
21:26les médias du système
21:27qui minent
21:28notre concorde national.
21:29Avec vous
21:29TVL pourra imposer
21:31sa mission de réinformation.
21:33Organiser sa succession
21:34est un acte
21:35de prévoyance
21:36et de responsabilité.
21:37Il garantit
21:37la protection
21:38de ce que l'on aime
21:39et le respect
21:40de ses dernières volontés.
21:42Vous pouvez faire confiance
21:43au fonds de dotation
21:44Média Liberté
21:45qui veille
21:45à ce que votre engagement
21:47soit pleinement réalisé.
21:48Ce soir, tête à clash
22:02et pour le samedi politique
22:03Élise Blaise reçoit
22:04le géopolitologue spécialiste
22:06de la Russie
22:06David Terti
22:08pour peindre
22:09une situation objective
22:10du pays
22:10après plus de trois ans
22:12de guerre
22:12avec l'Ukraine.
22:13Dimanche,
22:14Openbox TV
22:15et Terre de Mission.
22:16Enfin, lundi,
22:17dès 7h,
22:18vous pourrez retrouver
22:18un Zoom
22:19avec Samy Biasoni
22:21diplômé en sciences cognitives
22:22qui dénonce
22:23les nouveaux dogmes
22:24de la dictature linguistique.
22:26C'est la fin de cette édition.
22:27Merci de votre fidélité.
22:29Bonne fin de semaine
22:30à tous.
22:30Sous-titrage Société Radio-Canada
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