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##LE_COUP_DE_PROJECTEUR_DES_VRAIES_VOIX-2025-10-06##

Catégorie

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News
Transcription
00:00Sébastien Lecornu a présenté sa démission, c'est le rebondissement de cette matinée.
00:06Emmanuel Macron a accepté le départ de son Premier ministre le lendemain de l'annonce du gouvernement.
00:11Mais sans doute le Premier ministre éphémère n'avait-il pas de marge de manœuvre.
00:15On n'est pas surpris que M. Lecornu échoue, on est un peu surpris par contre qu'il le fasse avant même son discours de politique générale.
00:23On va attendre une dissolution prochaine. En tout cas je l'espère.
00:26Est-ce que vous vous sentez responsable de la démission du gouvernement qui aura tenu seulement une douzaine d'heures ?
00:32Écoutez, pas du tout. Je vais vous expliquer comment les choses se sont passées.
00:35Hier, j'ai été reçu pendant une heure et demie par le Premier ministre.
00:39Jamais il ne m'a dit qu'il y aurait la nomination de Bruno Le Maire.
00:43Donc un problème de confiance. Quand on est dans une équipe, on a besoin de confiance.
00:48Il faut toujours préférer son pays à son parti.
00:51Il faut savoir écouter ses militants, mais toujours penser aux Françaises et aux Français.
00:56Merci à toutes et à tous. Je vous remercie.
00:59Les vraies voix Sud Radio
01:00Et je vais reprendre cette phrase de Sébastien Lecornu qui a dit ce matin sur le Perron de Matignon
01:07« Il faut toujours préférer son pays à son parti »
01:10et de dire aussi que ce sont les petits égaux des uns des autres qui ont fait que ça n'a pas fonctionné, Philippe Bilger.
01:17Je suis très favorablement impressionné par la réaction majoritaire des auditeurs de Sud Radio.
01:25Parce que j'aurais pensé l'inverse et qu'ils tomberaient dans le panneau habituel
01:29de critiquer la classe politique par le moyen le plus vulgaire qui soit.
01:35Je suis heureux de constater qu'en réalité, ils ne disent pas que les difficultés d'aujourd'hui sont liées à des querelles d'égo.
01:44Rappelez-vous ce que disait un grand écrivain, Henri de Monterland, il disait
01:49« Celui qui abaisse, c'est qui les bat ».
01:52Et en réalité, en politique, on a toujours tendance à user d'arguments vulgaires et étriqués
01:59pour expliquer des crises politiques.
02:02On n'a pas besoin de faire appel aux égaux pour expliquer ce qui se passe aujourd'hui.
02:07Moi, je crois que ce n'est pas un problème d'égo, c'est un problème de méthode
02:11et c'est un problème de casting qui a causé ce qui s'est passé aujourd'hui.
02:14Il y a quelques minutes, j'en ai mis une grosse couche sur Bruno Le Maire, je ne vais pas en rajouter.
02:19Mais mettre trois semaines pour faire la copie conforme du gouvernement Bayrou,
02:24mais désolé, c'était se moquer du monde.
02:26C'était se moquer du monde, surtout après avoir promis la rupture.
02:30Quand on promet la rupture, vous me passerez l'expression et on renverse la table.
02:33Et comme l'a dit Philippe Bilger, qui pour une fois a été perspicace en début d'émission,
02:39moins il y a de macronistes dans les urnes, plus il y en a dans le gouvernement.
02:43Mais il fallait être totalement inconscient pour faire ce gouvernement.
02:47La cause, ce n'est pas la présidentielle, ce n'est pas les égaux.
02:49Je suis d'accord avec les auditeurs de Sud Radio, c'est parce que ça a été fait en dépit du bon sens,
02:53ça a été tout et n'importe quoi.
02:54Sauf que le délai de Sébastien Lecornu n'a pas été pris pour composer le gouvernement,
03:02mais pour trouver un accord sur les programmes.
03:05Mais peut-être que ces gens, les hommes politiques, ont réagi avec honneur et pas égaux,
03:11en ayant honte de ce qu'on leur demandait de faire.
03:13Je me dis que peut-être que Lecornu a honte soudain de devoir remettre à des postes
03:17des gens dont les Français ne veulent plus, qui ont été désavoués,
03:20de faire passer de poste en poste.
03:22Peut-être qu'il y a eu une prise de conscience, et ce n'est pas de l'égo,
03:25un espèce de sursaut d'honneur pour dire mon honneur, ma ligne de conduite ne va pas aujourd'hui un poste.
03:30Ce n'est pas sur ça qu'on rebondit, c'est sur les négociations avec les différents partis.
03:35Peut-être que Rétaillot se dit que son honneur vaut plus qu'un poste de Premier ministre.
03:39Peut-être que dans ceux qui n'ont pas voulu y aller beaucoup, on refusait des postes, on a cité des noms.
03:44Peut-être qu'ils se sont dit que leur honneur et leur ligne de conduite ne valaient pas un poste de ministre.
03:48Peut-être qu'il y a juste eu, de manière générale, une prise de conscience, et c'est ce que j'espère pour être positive,
03:54de se dire qu'on ne peut plus cautionner un président qui est enfermé chez lui,
03:58finalement c'est ça, qu'il n'écoute pas les Français, ou on change de gouvernement, une instabilité,
04:03et bien finalement on part.
04:04Rétaillot part, les LR ne veulent pas l'ailler, et tous ceux qui ont refusé, beaucoup de socialistes ont refusé aussi,
04:08on n'y va plus.
04:09Peut-être que c'est juste un baroud d'honneur, je crois, pour dire non à Emmanuel Macron.
04:12Je pense qu'il y a un peu de tout, c'est-à-dire moi j'ai du mal à ne pas considérer la question des égaux sur cette problématique,
04:18parce que ça fait un an qu'on vit au rythme des débats à l'Assemblée nationale, du moins de ce qu'il en reste,
04:24des tractations qu'il peut y avoir, et Dieu seul sait s'il y en a eu sur les présidences de commission et les vice-présidences.
04:28Mais je vous coupe, Olivier Faure qui demande à être Premier ministre depuis des semaines et des semaines et des semaines,
04:33il n'y a pas du tout d'égo pour vous ?
04:34C'est totalement de l'égo.
04:35Ah oui, d'accord.
04:36Alors après, je vais essayer de me faire...
04:37C'est ce qu'on appelle le tout à l'égo.
04:38Non, mais je vais essayer de me faire un peu l'avocat du diable pour les uns, pour les autres.
04:42Déjà, si on remet de l'ordre, ce qui met le feu aux poudres par rapport à la situation de ce matin,
04:47c'est la déclaration de Bruno Retailleau d'hier.
04:49Et là, je lui aurais répondu, indépendamment de Bruno Le Maire, ça c'est encore autre chose,
04:53mais un ministre, ça démissionne ou ça ferme sa gueule ?
04:56Donc là, il fallait démissionner.
04:57Et se taire.
04:58Ça, c'est le premier point, Philippe.
04:59Ah, pardon, pardon.
05:00Attendez, ça dépend. Vous en avez combien ?
05:03Le cinquième, c'est le combien ?
05:05Il y a ce premier point sur Retailleau qui fait quand même sauter un peu l'équilibre très précaire qu'il y avait.
05:13Donc à partir de là, pour moi, le corps nu, il acte.
05:15La seule décision qu'il peut acter, c'est se dire, je m'en vais.
05:18Après, sur la question des égaux, quand j'entends que plus ou moins tous les partis sont là à tenir le discours,
05:23nous, c'est le programme avec le programme, on verra ce qu'on peut faire sur des discussions, sur des négociations,
05:27mais rappelez-moi les équilibres à l'Assemblée nationale et les équilibres politiques.
05:32Comment est-il possible que les Républicains soient à ce point représentés dans un gouvernement avec 48 parlementaires ?
05:39Qu'est-ce qu'on fait du Rassemblement national ?
05:40Si vous voulez un gouvernement de cohésion, à un moment, il faut prendre en compte ce qui s'est passé dans cette Assemblée.
05:46Ça veut dire qu'il faut aussi mettre le RN devant le fait accompli.
05:49Vous faites partie de cette Assemblée.
05:51Et le troisième point ?
05:52Et le troisième point, je vous l'offre.
05:57Votre argument, mon cher Samuel, sur les Républicains ne me semble pas pertinent.
06:03Pourquoi ont-ils cette importance alors que, quantitativement, je vous rejoins, ils ne sont pas impressionnants ?
06:10C'est parce qu'ils étaient les seuls, par responsabilité, à vouloir travailler avec les macronistes.
06:17Le Parti Socialiste a aussi envoyé ce signal.
06:19Oui, mais vous n'avez jamais été attendus.
06:21On a eu, sur la dernière année, un ministre socialiste au temps que possible, c'est Didier Migaud.
06:28Mais il n'est pas resté longtemps, en plus.
06:30En fait, en moment, c'est d'accepter la réalité.
06:34Lombard.
06:35Oui, non.
06:36Lombard, vous ne pouvez pas me classer ça.
06:37Et Red Samen a compris, très vite, qu'il ne voulait plus en mettre.
06:42Red Samen ?
06:43Oui, Red Samen.
06:44Et il ne voulait plus en mettre.
06:45Mais je serais même pas fou.
06:46C'est quoi, aménagement des territoires ?
06:48Décentralisation et aménagement des territoires.
06:52Bon, voilà, on en a eu deux.
06:53La réalité, c'est qu'il en aurait fallu beaucoup plus.
06:55C'est-à-dire, à un moment, il fallait trouver un équilibre entre des ministres LR, des ministres PS et des ministres ensemble.
07:01C'est ce qui n'a pas été fait.
07:02Sans vous dire, il faut mettre un PS ou un mec de gauche.
07:04Mais Samuel, ils ont peut-être proposé, il y a peut-être des refus aussi.
07:08À quel niveau ?
07:09De poste de ministre sur cette dernière séquence.
07:13Oui, mais en même temps, qui serait assez bête, à part Bruno Le Maire, pour devenir ministre d'un gouvernement qui était condamné à mourir mercredi ?
07:20Non, mais même les gouvernements précédents, il n'y a pas eu...
07:22Sur les gouvernements précédents, vous avez eu le gouvernement Bayrou, je n'ai pas eu le sentiment que Bayrou ait ouvert plus que ça les portes à la gauche.
07:27D'ailleurs, les discussions qu'il a menées, avec Ford, Hollande et Vallaud à l'époque, sur justement les présidences de commissions et autres,
07:35ce n'étaient pas des discussions à ne pas.
07:37Ça a été très dur.
07:38Allez au bout de votre propos, vous voulez Lucie Castet comme premier ministre.
07:43Je ne vous ai jamais caché que moi, au sortir de la première dissolution, je l'aurais appelé à Matignon pour qu'elle se fasse censurer deux semaines après.
07:50Ça nous aurait évité tout le blabla idéologique sur la question du NFP et sur la question Lucie Castet.
07:55Mais moi, je crois qu'il y a un point sur lequel le Cornu a dit une chose intéressante.
07:58Déjà, les égaux et les appétits partisans.
08:02Il y a une réaction qui m'a amusé.
08:04Moi, c'est celle de Pierre Jouvet, qui est secrétaire général du PS quand même, qui a dit, je cite,
08:10« Nous n'appelons ni à la dissolution ni au départ du chef de l'État, nous appelons à des solutions.
08:15Et je me demande, sur les arrières-pensées, s'il y a des sondages qui tombent,
08:19qui mettent Boris Vallaud perdant dans sa circonscription des Landes face au RN,
08:23qui mettent Philippe Brun perdant dans sa circonscription de l'heure face au RN,
08:27si les ténors du PS, voyons, qui risquent perdre leur mandat en cas de dissolution,
08:33ne vont pas penser à la présidentielle, mais surtout à ne pas avoir de législative.
08:37Moi, c'est ce que ça m'a mis à l'heure.
08:38Les sondages, ils te mettent aussi Glucksmann à 2% du deuxième tour pour 2027.
08:42Oui, c'est vrai.
08:43Donc, pour le coup, tu vois.
08:44Mais il y a une différence, c'est que si tu dissous, les élections ont lieu tout de suite,
08:482027, c'est dans un an et demi.
08:50Ça change tout.
08:51Franchement, vous avez des analyses, vous êtes petits.
08:55Mais là, c'est la poêche qui se fout du chaudron, excusez-moi.
08:58Tout à l'heure, vous avez osé dire que mon idée n'était pas pertinente.
09:03Regardez comme vous réduisez les socialistes à presque rien.
09:06Non, mais c'est parce que je vous chambrais, mon cher Philippe.
09:09Oui, mais quand vous chambriez, vous dites la vérité.
09:11Alors, faisons une synthèse.
09:16Non, pas une synthèse.
09:17Une digression.
09:17Une projection, voilà.
09:18J'allais chercher les mots.
09:20Vous avez une nouvelle, là ?
09:21Nous vous annonçons.
09:22Non, mais pas du tout.
09:22Pour l'instant, tout va bien.
09:24Qui, alors, Premier ministre ?
09:26Demain, on mettrait qui ?
09:27Un nom que j'ai déjà soufflé sur le plateau des vraies voix à ma reprise.
09:30Non, Arnaud Montebourg.
09:33Arnaud Montebourg, aujourd'hui, si tu veux mettre une personnalité de gauche
09:37qui suscite un minimum d'adhésion chez LR, chez Ensemble.
09:41Et au PS, c'est Arnaud Montebourg.
09:44Tous te diront que le bilan qu'il a eu n'était plutôt pas mauvais.
09:47Il s'est retiré de la vie politique.
09:49Il n'a plus vraiment d'enjeux.
09:50Il sait ce que c'est l'entrepreneuriat aujourd'hui.
09:52Mais attention, je te parle de ça dans une configuration d'affaires courantes.
09:56Et puis personne n'en veut.
09:57Moi, je l'adore, mais Emmanuel Macron n'en voudrait jamais.
10:02L'expérience, Arnaud Montebourg, il était apiculteur.
10:05Il a fait la promotion des marinières.
10:06Il a tenu sa boîte deux ans.
10:07Je crois qu'il n'y a pas d'hommes prévidentiels, puisqu'il y a tout.
10:10Le seul, c'est Lysnard, vous l'avez oublié.
10:12Mais Lysnard n'a pas envie d'y aller non plus.
10:14Et je me dis que peut-être qu'il faut une dissolution.
10:15En revanche, pas une dissolution, pour le coup, d'ego qu'a fait Emmanuel Macron
10:19un dimanche soir vexé avec une campagne en 15 jours
10:22qui n'a pas permis de faire une vraie campagne.
10:24Et là, une vraie campagne.
10:26Moi, je sais, j'ai été candidate aux législatives
10:28où on n'a pas eu le temps.
10:29Et seuls les partis qui étaient organisés avaient des fonds, bien sûr.
10:33Six et demi à faire mes affiches toutes seules.
10:35Mais j'ai été remboursée.
10:37J'ai été remboursée à six et demi.
10:38Vous êtes fière d'avoir fait ma campagne ?
10:39Je suis fière d'avoir fait ma campagne, de m'être présentée.
10:41Prise entre LFI et le RN, j'ai fait mes petits six et demi
10:44pour avoir une troisième voie.
10:45Mais ce que je veux dire, c'est qu'une campagne en 15 jours,
10:47on n'a pas le temps d'apprendre, de s'organiser,
10:49on n'a le temps de rien faire.
10:49Et c'est pour ça aussi que ces législatives, elles ont été compliquées.
10:52Parce que seuls les partis qui étaient constitués en place avec de l'argent,
10:55puis y aller.
10:56Prévoyons des vraies élections avec des vrais débats.
10:59Il n'y a pas eu de débats à la dernière liste.
11:00Vous n'avez pas le temps.
11:01Des débats, des débats publics.
11:03Parlons à l'électeur de manière intelligente.
11:05Et peut-être que l'Assemblée ira mieux aussi.
11:07Alors, il y a une chose, je crois, sur laquelle il ne faut surtout pas compter.
11:09Parce que ce n'est pas la culture politique française.
11:11C'est le gouvernement d'Union Nationale.
11:13Vous savez, comme font les Allemands, les Ampel Koalition,
11:15comme ça s'appelle, les coalitions des Foutry-Colors, Ampel Koalition.
11:20Il y a un rôle.
11:20Fravaux des Minibouzes.
11:21Entre Minibouzes, enfin, je l'ai prononcé à l'Allemande, excusez-moi,
11:24avec les Verts, le Orange, les Libéraux, le Rouge, le SPD.
11:29En France, ça n'existera pas.
11:30Mais est-ce que vous avez conscience que c'est la seule finalité acceptable
11:32en l'état actuel des choses ?
11:35C'est-à-dire que c'est le seul salut qu'on peut avoir.
11:37Donc, soit ils se décident à bosser,
11:39soit tous, autant qu'on est autour de la table, ceux qui sont là...
11:41J'ai l'impression que tout le monde veut travailler,
11:42mais personne ne veut travailler avec l'autre.
11:43C'est la culture française.
11:47La culture politique française est une culture de l'affrontement.
11:50La culture politique allemande est une culture de coalition.
11:53C'est toute la différence.
11:54Mais la culture politique française,
11:56elle date de la Révolution de 1789,
11:58où c'était l'affrontement,
12:00carrément sanglant à l'époque.
12:02Donc, tant qu'on n'aura pas fait notre aggiornamento
12:04au niveau de la pensée politique,
12:06on sera dans l'état où on est.
12:07Voilà, suite au prochain épisode,
12:09si j'ai envie de dire ça comme ça.
12:11Merci beaucoup, en tout cas, Philippe Bilger.
12:12C'est déjà fini, ma chère Louis.
12:14C'est déjà fini, oui.
12:15Je suis en train de faire de ma voix, tiens.
12:17C'est terrible, ça.
12:17Tu n'as pas fait une vitesse vertigineuse.
12:19C'est l'émotion, je pense.
12:21Merci beaucoup, Samuel Beton.
12:22Merci beaucoup, Bérangère Dubu.
12:24Merci beaucoup, Philippe David.
12:26Vous restez avec moi, Philippe.
12:27Dans un instant, on va vous parler d'un sujet important,
12:29puisque vous savez que c'est le mois,
12:31en tout cas, du cancer du sein.
12:34Octobre rose.
12:35Et on va vous parler, bien entendu,
12:38de prévention, d'information,
12:40de reconstruire des choses aussi positives,
12:43parce que c'est important aussi de le dire.
12:47Merci beaucoup.
12:47On fait une petite pause.
12:48On revient dans un instant
12:49et on sera ensemble jusqu'à 20h.
12:50Sud Radio
12:52Parlons Vrai
12:53Sud Radio
12:54Parlons Vrai
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