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La dissolution du gouvernement comme seule solution ? «Aujourd'hui la situation est bloquée, donc oui il le faut»
Europe 1
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il y a 3 mois
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00:01
Europe 1, Christine Kelly et vous.
00:03
Christine Kelly et vous sur Europe 1, la suite il est 12h44, vous pouvez nous appeler bien sûr un peu, réagir au 01-80-20-39-21.
00:11
Christine, nous nous accueillons votre nouvel invité.
00:14
Oui, Emmanuel est en ligne, on a notre nouvel invité, il est bronzé, le porte-parole du Rassemblement National.
00:21
Il prend des vacances sur le dos des Français, c'est ça en fait, non ?
00:26
Alexandre Nikolic, vous êtes porte-parole du Rassemblement National.
00:30
Je vais d'abord vous faire écouter ce que disait Gérald Darmanin ce matin sur France.
00:34
Ça marche.
00:35
A partir du président de la République, c'est son pouvoir propre de le faire.
00:38
Il est certain que lorsqu'il y a un conflit extrêmement important entre le pouvoir législatif, l'Assemblée Nationale et l'exécutif,
00:46
le général de Gaulle et la République avant a imaginé la dissolution pour trancher le nœud gordien.
00:52
Évidemment, je pense qu'il vaut mieux pouvoir trouver un compromis avec les groupes politiques à l'Assemblée.
00:57
La dissolution coûte cher, coûte cher à la France, bien sûr, mais il ne faut pas écarter cette hypothèse.
01:02
Il ne faut pas écarter cette hypothèse, il n'y a qu'une dissolution qui peut nous faire sortir de cet impasse,
01:06
de cette crise de régime, crise politique qui nous attend ?
01:08
Écoutez, la situation, elle est bloquée.
01:11
Oui, il faut évidemment une dissolution.
01:12
Je pense qu'aujourd'hui, les Français ont tiré des leçons de ce qu'ils ont appelé le Front Républicain la dernière fois
01:19
et qui a bloqué le premier parti de ce pays, c'est-à-dire le Rassemblement National.
01:23
Je pense que les Français, les électeurs ont compris qu'aujourd'hui, il faut dégager une majorité.
01:26
Est-ce que c'était de la faute des Français ?
01:27
Les Français, ils ont voté Rassemblement National ?
01:30
En premier, effectivement.
01:32
Et ensuite, sur le...
01:35
Ils n'ont pas été écoutés, les Français ?
01:36
Les Français n'ont pas été écoutés.
01:37
11 millions de Français qui ont voté pour le Rassemblement National,
01:40
c'est-à-dire le parti qui suscite le plus de scrutins...
01:43
Donc, qui doit prendre conscience aujourd'hui ?
01:44
Pardonnez-moi, je vous interromps.
01:45
Qui agrège le plus de scrutins en Europe ?
01:47
Parce qu'il n'y a pas un autre parti qui, aujourd'hui, a des taux entre 30 et 35%,
01:50
ce qui est à peu près le score qui est donné dans tous les sondages pour le Rassemblement National.
01:56
Eh bien, notre parti, aujourd'hui, malheureusement, ne peut pas avoir cette majorité
02:00
qui permet d'appliquer ses idées.
02:02
C'est pour ça que nous, d'ailleurs, si on parle de situation bloquée,
02:04
il y a une solution qui peut débloquer absolument tout.
02:08
C'est le mode de scrutin, c'est-à-dire qu'on passe à une proportionnelle
02:10
avec une prime majoritaire, comme dans toutes les régions, dans toutes les communes de France.
02:14
C'est-à-dire que vous prenez 25% de plus, par exemple, pour la liste qui arrive en tête,
02:17
eh bien, vous avez une majorité.
02:18
Dans toutes les collectivités de France, il y a des majorités qui se dégagent.
02:21
Au sommet de l'État, pour dicter le futur de la nation,
02:25
on a aujourd'hui un blocage.
02:27
Donc, ça permettrait assurément de sortir de cette impasse
02:29
quand vous avez trois blocs, comme c'est le cas actuellement.
02:31
Mais je pense que même si on garde, évidemment, le mode de scrutin
02:34
et s'il y a une dissolution, oui, le Rassemblement national
02:37
arrivera à avoir une majorité de députés.
02:39
Là, Alexandre Nikolic, on est en train de parler de plusieurs étapes
02:41
qui sont difficilement atteignables.
02:43
Là, maintenant, on a Emmanuel, qui nous appelle la loi,
02:45
qui est en train de nous dire qu'elle a trois enfants,
02:47
qui travaille énormément,
02:49
qu'elle ne voit pas de solution au quotidien
02:51
pour voir faire face à la crise économique
02:54
qu'elle vit, que ses enfants vivent.
02:56
C'est bien ça, Emmanuel. Je traduis bien votre pensée.
02:58
C'est tout à fait ça. J'ai mon autre fille qui avait monté
03:01
son propre cabinet de diététicienne.
03:03
Elle a été obligée de le fermer.
03:05
Et on l'a tellement écrasé de charge.
03:08
Pourquoi elle a fermé ? Trop de charge.
03:08
Parce qu'il y a plusieurs solutions.
03:10
Enfin, il y a plusieurs choses.
03:11
Il y a le fait qu'énormément de gens s'installent sur Internet
03:16
se disant, coach de santé, je ne sais trop quoi,
03:19
puisque rien n'est réglementé en France.
03:21
Vous pouvez vous installer, vous faites un cabinet,
03:22
vous n'avez pas de diplôme, mais ce n'est pas grave.
03:24
Elle, elle a monté, elle a tous ses diplômes.
03:26
Elle a un BTS de diététique, elle travaille.
03:29
Et en fait, à côté de ça, vous avez des gens,
03:30
moi, je vais me mettre coach en nutrition.
03:33
Donc, ça a fleuri sur Lyon.
03:34
Elle était sur Lyon.
03:35
Donc, elle a fermé.
03:36
Et là, ce n'est pas vieux, c'est le mois de janvier.
03:38
Elle a reçu un rappel de charge énorme.
03:42
Bon, là, pour le coup, on l'a aidée,
03:43
parce qu'il n'y avait pas d'autre choix.
03:44
Et d'autre part, donc maintenant,
03:46
elle a retrouvé du travail.
03:48
Mais si vous voulez, tout est comme ça.
03:49
Et à côté de ça, elle a des amis, je ne veux rien dire,
03:53
enfin, ou des gens qu'elle connaît,
03:54
qui, en ne travaillant pas, je suis désolée,
03:57
Gagneux leur dit que...
03:58
C'est ça, c'est ça.
03:59
Il faut quand même voir les choses.
04:00
Moi, écoutez, j'ai travaillé jusqu'à 68 ans.
04:03
Oui.
04:04
Entre-temps, je me suis arrêtée,
04:05
parce que ma situation familiale a fait que j'ai beaucoup déménagé.
04:09
Donc, j'ai travaillé jusqu'à 68 ans.
04:11
Vous savez combien j'ai de retraite ?
04:12
Je vais quand même vous le dire.
04:13
Dites-moi.
04:14
Et j'ai eu trois enfants.
04:14
Eh bien, j'ai 800 euros de retraite.
04:17
Oh là là.
04:18
Voilà.
04:18
Oh là là.
04:19
Voilà la réalité.
04:20
Vous voyez ?
04:20
Donc, il faut quand même voir les choses.
04:22
Mon mari...
04:23
Et les retraités sont ciblés par François Véliot.
04:26
Et avec ça, on va vous dire encore que...
04:30
Maintenant, la pension de reversion va plus marcher.
04:32
Je ne sais plus ce qu'il y a prévu dans les tuyaux.
04:35
Notre épargne va être prise.
04:37
Et on va encore nous augmenter.
04:39
Je veux dire, il y a un moment...
04:40
Je ne sais pas jusqu'à quand les Français vont rester tranquilles.
04:43
Moi, je me pose la question.
04:43
Emmanuel, pour votre cri du cœur.
04:46
Je ne sais pas, justement, jusqu'à quand les Français vont rester tranquilles.
04:50
Merci beaucoup pour votre appel.
04:52
Johan nous appelle de l'ISER.
04:54
Il a attendu depuis un moment.
04:57
Il y a beaucoup d'appels au standard Europe 1 0182 39 21.
05:00
Johan, vous vous dites que les Français sont des pigeons.
05:02
Vous aussi, coup de poing, vous avez envie de pousser un coup de gueule ?
05:06
Oui, tout à fait.
05:06
Bonjour à tous.
05:07
Voilà, moi, je vous appelle parce que je trouve ce gouvernement et cette situation française aberrante.
05:16
Vous voyez, moi, j'ai travaillé dans un ministère.
05:19
Et quand on arrivait en fin d'année, par exemple, on venait me voir en me disant, écoute, il y a 20 000 euros à cramer.
05:25
Non.
05:26
Parce que c'est des budgets qu'on donne à chaque bureau.
05:29
Et en fait, il fallait cramer 20 000 euros.
05:32
Voilà la réalité.
05:34
Voilà, voilà la réalité.
05:35
Donc, si on ne cramait pas les...
05:37
Les politiques, c'est...
05:38
Couper dans le budget des politiques, c'est deux symboles.
05:41
Non, c'est aussi une réalité, ça.
05:43
Bien sûr, dans toutes les administrations que vous avez en France,
05:47
à chaque fois, les budgets sont votés.
05:49
Quand on arrive en fin d'année et qu'on n'a pas cramé le budget, il faut le cramer.
05:52
Et vous dépensiez comment ce budget, du coup ?
05:54
Eh bien, on achetait des trucs, des trucs super chers.
05:58
Des petites fêtes ?
06:00
Comment ?
06:00
Vous faisiez des petites fêtes ?
06:02
Non, non, non, pas ça.
06:03
On achetait du matériel, par exemple, de bureau.
06:05
On achetait des stylos à 7 euros, 8 euros.
06:08
On en avait des tiroirs pleins.
06:10
J'ai un petit lit à 10 centimes.
06:12
Si on ne cramait pas les 20 000 euros qui restaient,
06:16
le budget qui était revoté, on nous enlevait 20 000 euros.
06:19
Incroyable, incroyable, incroyable.
06:20
Et ça, multiplier ça par toutes les administrations et ministères.
06:25
Et autre chose aussi, regardez, nous on bosse, on travaille, on paye les impôts.
06:30
Et le jour où on a un problème, on demande au gouvernement ou aux impôts.
06:35
Personne ne nous aide, on se retrouve en Banque de France,
06:37
on nous prend nos maisons et tout.
06:39
Et quand vous voyez tous ceux qui sont RFA et qui vivent sur le dos de la France,
06:43
eux, ils ont tout.
06:44
On leur paye tout et ils ne font pas progresser la France.
06:47
Je ne comprends pas.
06:48
On entend effectivement cette colère.
06:50
Alexander Nikolic, vous êtes porte-parole du Rassemblement National.
06:53
Est-ce que vous entendez cette colère ?
06:55
Et si là, maintenant, il y a 10 solutions, comme c'est probable,
06:58
est-ce que le RN est capable de répondre à cette colère des Français ?
07:01
C'est intéressant son témoignage parce qu'il dit, justement,
07:03
nous, quand on dépense et tout, après, on a du mal à obtenir des crédits ou autre.
07:07
Et il peut avoir cette frustration légitime de se dire qu'aujourd'hui,
07:12
l'argent public, lui, est souvent dépensé sans regarder
07:15
parce que ça ne concerne pas ceux qui le dépensent.
07:18
C'est de l'argent, du fruit du travail des Français, des contribuables,
07:21
juste quelques chiffres pour qu'on se rende compte de quoi on parle.
07:24
Vous savez, la dépense publique en France, c'est 57% du PIB.
07:27
La Chine communiste, c'est 33%.
07:29
Même le Venezuela de Chavez, c'était 38%.
07:32
À quel niveau les dépenses publiques peuvent être importantes dans ce pays ?
07:35
Et la solution, c'est toujours d'augmenter les impôts,
07:38
ce qui pénalise, en réalité, notre économie.
07:40
Alors, on a déjà démontré qu'on peut baisser les impôts
07:43
et améliorer la situation économique.
07:45
On voit bien que les augmenter constamment, ça ne marche pas.
07:47
En 1975, là aussi, désolé de sortir quelques chiffres,
07:50
les prélèvements obligatoires, c'était 34% du PIB.
07:52
Aujourd'hui, on est à 46%.
07:54
On n'a fait qu'augmenter les prélèvements obligatoires
07:56
et la part dans le PIB français.
07:59
Et ça ne fonctionne pas parce que ça tue des entreprises.
08:02
On n'a jamais eu autant de PME qui ferment.
08:03
L'année dernière, il y en a eu plus de 5 000 des PME qui ont fermé.
08:06
C'est deux fois plus, par exemple, qu'il y a 10 ans.
08:09
Ça, c'est la conséquence d'augmentation de la fiscalité, par exemple.
08:12
On parle souvent de déficit commercial.
08:13
Il y a 25 ans, on avait un excédent commercial.
08:15
Aujourd'hui, on a un déficit commercial de plus de 80 milliards d'euros.
08:18
Ce déficit commercial, c'est la conséquence d'un prix de l'énergie
08:21
qui a augmenté parce qu'on a fait des mauvais choix énergétiques
08:24
que, d'ailleurs, ce gouvernement voulait poursuivre.
08:26
Par exemple, en misant sur l'éolien et le photovoltaïque,
08:28
c'est la conséquence d'impôts de production.
08:30
Tous les pays du monde essaient de réindustrialiser.
08:31
Nous, on nous met des bâtons dans les roues
08:33
en créant la CFE, la CVAE, des taxes de production
08:35
qui pénalisent notre industrie.
08:36
Oui, non.
08:37
Est-ce que le RN est prêt à prendre le pouvoir, là, maintenant, s'il y a des solutions ?
08:40
Mais bien sûr qu'on est prêt et on a une vision sur tous ces sujets
08:43
où il y a une vraie attente.
08:43
Toutes nos idées, aujourd'hui, sont majoritaires dans l'opinion publique.
08:47
Le coût que peut représenter l'immigration,
08:49
tout le monde s'accorde aujourd'hui à dire
08:50
qu'il est d'environ 40 milliards par an.
08:53
Ça, c'est évidemment une somme qu'il faut aller chercher
08:56
parce que ce n'est pas normal qu'aujourd'hui,
08:58
quand on parle de dépenses sociales,
09:00
vous avez une surreprésentation des immigrés, aujourd'hui,
09:02
dans les dépenses sociales,
09:04
avec, justement, un sentiment d'injustice pour beaucoup de gens
09:08
de se dire que des gens arrivent et bénéficient
09:10
du fruit du travail des Français, de la fiscalité,
09:12
en touchant tout de suite des aides sociales.
09:17
Oui, des aides sociales sans avoir contribué.
09:19
Sans avoir contribué, en l'en touchant beaucoup plus.
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