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  • il y a 3 mois

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00:00On va parler maintenant d'un groupe de musique qui s'appelle Knikap, il est originaire d'Irlande du Nord.
00:05C'est un trio qui affiche avec virulence des messages pro-Palestine et surtout anti-Israël depuis plusieurs mois.
00:11Ils sont sur le coup justement maintenant de poursuites judiciaires au Royaume-Uni.
00:16L'un de ces chanteurs a été entendu cet après-midi dans le cadre de poursuites pour Apologie du terrorisme,
00:21une audience qui pourrait déboucher sur un procès.
00:23En parallèle, ce groupe est très surveillé par les autorités françaises car il va se produire,
00:28figurez-vous d'ici quelques jours lors du festival Rockenstein à Saint-Cloud.
00:32Nous rappelons que la région Île-de-France ainsi que la commune de Saint-Cloud a immédiatement retiré cette subvention au festival
00:37pour ne pas financer ce groupe qui se produira malgré tout les précisions d'Alexis Prince.
00:42Un goût assumé de la provocation et un nom qui laisse songeur, ni cap ou coup dans la rotule en français
00:48et dans le viseur de la justice britannique.
00:51Son leader, Liam Oana, dit Mochara, a été entendu ce matin par le tribunal d'instance de Westminster.
00:56Une audience dont il est ressorti libre, le juge ayant ajourné sa décision au 26 septembre.
01:01Poursuivi pour Apologie du terrorisme, il est accusé d'avoir brandi un drapeau d'Huezbollah sur scène à Londres en novembre dernier.
01:08Trio de hip-hop nord-irlandais, ni cap porte l'activisme dans son ADN.
01:12Militant dans ses textes en gaélique pour la réunification de l'Irlande,
01:15le groupe se veut anti-impérialiste au sens large et clame ses revendications pro-palestiniennes depuis des mois,
01:21y compris tout à l'heure en sortie de tribunal par la voix de Mochara.
01:24« Nous savons que cette histoire me dépasse et va au-delà de Nicap.
01:28C'est l'histoire de la Palestine et nous ne sommes qu'une distraction de la véritable histoire.
01:32Nous savons que cet épisode va se retrouver dans les médias,
01:35alors même qu'Israël est en train de commettre un génocide. »
01:38En parallèle, Nicap attire également l'attention en France.
01:41Le groupe doit se produire au festival Rock en Seine, qui débute aujourd'hui.
01:45A cette occasion, la députée Caroline Yadant a demandé à Bruno Retailleau de scruter ses prestations en France,
01:50une requête à laquelle le ministre de l'Intérieur a accédé.
01:53« Tout débordement sera immédiatement judiciarisé et tout élément susceptible de constituer un trouble à l'ordre public
01:59donnera lieu à une interdiction de leur concert lors du festival de Rock en Seine. »
02:02Nicap sera sur scène dimanche, en clôture du festival.
02:06Sa présence a valu à l'événement la perte de ses subventions par la mairie, une première en 22 ans d'existence.
02:11« Alors je rappelle quand même que ce groupe est entendu pour apologie du terrorisme,
02:17qu'il y a aussi des accusations d'antisémitisme et des appels au meurtre.
02:20Mais Elisabeth Lévy, bienvenue à eux en France, ils pourront se produire à Rock en Seine. »
02:24Je rappelle que certains pays les ont interdits soit à des événements type festival, soit complètement interdits de territoire.
02:30Mais chez nous, ils peuvent venir, c'est pas grave.
02:32C'est de me répéter, et même de répéter, je crois, ce qu'a dit Julien, ce qui est encore plus facile,
02:37de répéter quelqu'un d'autre.
02:38Je veux dire, je crois que ça devient tendance, tendance partout.
02:43Ça devient tendance dans les cours d'école, ça devient tendance dans les parties,
02:46dans la grande partie des parties de gauche, sinon pas dans l'électorat certainement,
02:51mais dans une grande partie des parties de gauche.
02:54Ça devient tendance dans les facs, c'est tendance à Sciences Po, et c'est ça.
03:00Avant, dans les années où on pensait que l'antisémitisme,
03:05la raison d'ailleurs où l'antisémitisme était essentiellement niché à l'extrême droite,
03:11les antisémites avaient honte.
03:12Ils se cachaient, ils n'arboraient pas tous les symboles possibles,
03:18ils se cachaient et ils niaient le fait, en réalité.
03:22Il n'assumait pas, évidemment, et heureusement.
03:25Il n'assumait pas, et heureusement.
03:27Oui, mais c'est là où on bascule.
03:30À partir du moment où cette haine des juifs est acclimatée,
03:34que ce soit par le biais de Gaza, il n'y aurait pas Gaza,
03:36ou Israël, il trouverait d'ailleurs autre chose, maintenant,
03:39où elle est acclimatée de mille façons,
03:43j'ai l'impression qu'on est en train de perdre cette bataille, en fait.
03:46Oui, et puis ce qui est aussi assez inquiétant, Grégory Geron,
03:49sur ce sujet de CNICAP, c'est que je vous disais,
03:52certains ont pris la décision d'anticiper et de l'annuler.
03:55Nous, on a plutôt le ministre de l'Intérieur, Bruno Rotailleau,
03:57qui dit qu'en cas de débordement, évidemment, il y aura des poursuites,
04:00mais ça veut dire que c'est une fois de plus les forces de l'ordre
04:02qui vont être envoyées là-bas à un concert de personnes
04:05qui font l'apologie du terrorisme et qui sont antisémites,
04:07a priori pas des amis des forces de l'ordre dans ce public.
04:10Et vous allez devoir sécuriser cet événement.
04:12– Oui, alors après ça, j'ai envie de dire…
04:16– Ça devient habituel.
04:17– Oui, une, ça devient habituel, deux, ça fait partie du job,
04:20donc on a chacun notre conscience citoyenne, etc.
04:24Après, ça fait partie du boulot.
04:26Quand on encadre des manifestations d'ultra-gauche,
04:30quand on encadre des manifestations dans lesquelles, en plus,
04:35on se fait insulter copieusement pendant des heures,
04:38malheureusement, encore une fois, ça fait partie du boulot,
04:40donc les collègues feront le boulot, si malheureusement,
04:41il y a des débordements, eh bien, ils traiteront les débordements
04:44et on mettra à disposition de la justice
04:45ceux qui sont adonnés à ces débordements, sans aucun état d'âme.
04:50– Et puis justement, parce que, je le disais,
04:52les subventions ont été retirées de la région Île-de-France
04:55et de la ville de Saint-Cloud, mais peu importe,
04:57parce que Mathieu Pigas est celui qui dirige désormais Rock-en-Seine.
05:02Inutile de rappeler qu'il a évidemment les moyens
05:05de rallonger le chèque quand c'est nécessaire.
05:07Alors on va d'abord voir ce qu'il avait dit.
05:09Il a racheté un certain nombre de médias
05:11et il disait que le but de ces médias,
05:13il y a un combat majeur à mener,
05:15il se présente avec des moyens inégaux.
05:17« Je veux mettre les médias que je contrôle dans ce combat
05:19au service d'une conception ouverte du monde et progressive. »
05:22Il s'expliquait que notamment,
05:23il voulait lutter contre la droite et l'extrême droite
05:25avec le festival, entre autres, et d'autres médias.
05:28Et quand il est interrogé justement sur
05:30pourquoi n'a-t-il pas interdit tout simplement
05:32ce groupe de se produire,
05:34alors je vous lis la justification,
05:35je vous promets que ça n'est pas une blague,
05:36« Ça commence par Fritz Corleone,
05:39puis Knikap,
05:40et ils finiront par interdire des artistes
05:41parce qu'ils ont telle origine. »
05:43Donc là, Julien Drey, on est en train...
05:45Oui, je le relis.
05:46Vous avez raison pour les auditeurs,
05:47je vais le relire une deuxième fois.
05:49« Ça commence par Fritz Corleone,
05:50puis Knikap,
05:51et ils finiront par interdire des artistes
05:52parce qu'ils ont telle origine. »
05:54Ils sont irlandais,
05:55c'est pas franchement ça le problème, Julien Drey.
05:56« D'abord, ça me fait de la peine
05:58parce que Roc-en-Seine,
05:59c'est la région Île-de-France qui l'a créée.
06:01C'était Jean-Paul Huchon et moi-même,
06:02j'ai été un de mes diriger.
06:04Et si j'avais été vice-president de la région
06:05comme je l'étais à l'époque chargé de Roc-en-Seine,
06:08j'aurais interdit la production de ce groupe.
06:10C'est très facile à faire.
06:11Alors là maintenant,
06:12Mathieu Pilias a racheté avec son argent personnel
06:15qu'il a gagné par de diverses opérations.
06:18J'ai quelques camarades qui pourraient lui rappeler
06:20qu'il n'a largement pas forcément gagné ça,
06:22je dirais avec son talent.
06:24– Oui. – J'en resterai là.
06:26– Il a effectivement la carrière
06:28et l'argent qui va avec tout ce qu'il dénonce.
06:30Mais allons-y, c'est un autre sujet.
06:31– Bon, c'est un autre sujet.
06:32– Il sait ce que c'est que le capital.
06:35– Ça s'appelle la gauche-capitale.
06:36– Voilà, c'est la gauche-capitale.
06:39Plus le caviar.
06:40– C'est ça le dessus encore.
06:41– La gauche-capitale, c'est bien.
06:43– Non, Elisabeth, c'est pas le sujet.
06:44Julien, continue.
06:45– Non, je dirais, c'est attristant
06:48parce que Roc-en-Seine est une belle manifestation,
06:50une manifestation où je pense que d'ailleurs
06:52la plupart des jeunes qui sont là
06:53ne sont pas du tout politisés dans ce sens-là, etc.
06:57Ils se retrouvent pris en otage d'un certain point de vue
06:59par ce type de groupe.
07:01Alors après, je ne sais pas bien comment la police
07:04peut intervenir dans le cadre d'un festival
07:06s'il s'adhérape.
07:07La seule chose qu'il peut faire,
07:09que peut faire l'organisateur, c'est couper le son.
07:11Mais je peux vous dire que couper le son…
07:13– Et puis oui, l'organisateur,
07:14une fois que le grand patron vous dit que c'est autorisé,
07:17qui va se dire, moi je décide que je le coupe ?
07:19– Donc il y aura, j'en suis à peu près certain,
07:21il y aura des débordements,
07:22ils vont se laisser aller.
07:23Et ça me permet juste de faire une petite liaison avec l'histoire
07:25concernant les Irlandais, les Écossais et l'Angleterre.
07:29Bon, moi je vois bien qu'elle donne des leçons
07:30sur les droits de l'homme, la Palestine, etc.
07:34Mais je ne suis pas convaincu que quand on va regarder l'histoire,
07:37et pour vous faire une confidence,
07:38je suis en train de travailler là-dessus,
07:39sur la Deuxième Guerre mondiale,
07:41les Anglais n'ont pas été forcément terribles
07:42sur la question de la Shoah.
07:43– Et malheureusement, et on voit comment aujourd'hui
07:47on en arrive justement là-dessus.
07:48Je voudrais qu'on regarde aussi une autre information,
07:51parce qu'on va voir qu'il y a un peu, comme on dit
07:52dans le langage courant, deux salles, deux ambiances.
07:54Donc Mathieu Pigas, c'est un homme qui vient de la gauche,
07:56qui veut combattre l'extrême droite,
07:57et donc qui peut produire un groupe accusé d'apologie,
08:00de terrorisme, parce qu'il veut défendre la liberté d'expression.
08:03De l'autre côté, regardez ce qui se passe.
08:04C'est une dizaine de communes qui avaient reçu le label
08:08« Les plus belles fêtes de France »
08:10et qui se retirent du label.
08:11Pourquoi ? Parce que, selon certains médias,
08:14il y aurait une part de financement venant de Pierre-Édouard Sterrin,
08:17ce milliardaire conservateur.
08:19Et donc, il y a environ 60 villes qui ont été labellisées,
08:22une dizaine, et des associations aussi de Bretagne,
08:25Pays Basque et Gironde, qui se désengagent
08:27parce qu'elles ne veulent pas justement de cette influence.
08:31Elisabeth Lévy, à gauche, tout est permis, à droite, rien du tout.
08:33– Non mais l'argent aurait donc une odeur ?
08:37– Oui.
08:37– Non mais, d'abord, je ne connais pas cette manifestation.
08:41– Le but, c'était d'aider à financer des fêtes
08:44un petit peu partout, conviviales, etc.,
08:46et de mettre un peu de moyens pour qu'il y ait des fêtes
08:47qui reviennent dans des communes où, aujourd'hui, on ne le fait plus.
08:50– Oui, et je ne la connais pas,
08:53mais elles ne semblent pas particulièrement idéologiques, politiques.
08:55– Alors, il n'y a pas de terroristes dedans, déjà.
08:57– Non, mais elles ne semblent pas non plus faites
08:59pour défendre les idées de M. Sterrin,
09:02qui a parfaitement le droit de les avoir.
09:03Ce qui est extraordinaire, c'est que, dans un cas,
09:06si vous voulez, quand vous avez, par exemple,
09:07Mathieu Pigasse, qui finance,
09:09Roc-en-Seine, ça, c'est bien, c'est merveilleux,
09:12si vous voulez.
09:13Et si M. Sterrin veut financer une manifestation
09:16qui est un peu différente,
09:17qui est d'ailleurs, j'en profite pour dire,
09:19dans le Sud, les gens sont très attachés
09:21à leurs fêtes de village.
09:22– C'est précisément ça.
09:23– Il y a des fêtes qui existent, déjà.
09:25– Il y a des fêtes qui se passent paisiblement.
09:28– Je dirais, deux secondes.
09:29– Julien Dré.
09:30– Il ne finance pas Roc-en-Seine.
09:31Il fait des affaires avec Roc-en-Seine.
09:33– D'accord.
09:34– Parce que Roc-en-Seine ne perd pas d'argent.
09:35– D'accord, OK.
09:36– Donc quand il a racheté Roc-en-Seine,
09:39il ne l'a pas fait par mécénat.
09:41– Il l'a fait par intérêt financier.
09:42– Par intérêt financier,
09:44et il sait rentabiliser cette affaire-là.
09:46Donc ce n'est pas un généreux mécène
09:48qui soutient le Roc-en-Seine.
09:49– Moi, j'ai toujours été pour que la gauche
09:50se réconcilie avec le capitalisme,
09:52alors vous savez.
09:53– Oui.
09:54– Non mais c'est intéressant,
09:55tous les cas, dans un cas,
09:56personne ne va rien dire à M. Pégasse,
09:59à part vous, chère Élodie,
10:00et nous avec vous.
10:01– Oui, je ne sais pas ça.
10:02– Et dans l'autre,
10:03dès que Sterrin ou à M. Soros,
10:05parce qu'on a le droit de critiquer Soros,
10:08on le fait,
10:08on a le droit de critiquer Sterrin
10:10quand il fait des engagements,
10:11ou en tous les cas,
10:12de dire qu'on est contre ces engagements.
10:14Mais là, si vous voulez,
10:16ça semble quand même,
10:17on semble assez loin de campagne politique.
10:20– Ah oui, ce sont des faits,
10:21je le redis pour les auditeurs
10:23et téléspectateurs qui ne connaissent pas,
10:24des faits, comme vous le disiez,
10:25notamment de villages un peu typiques
10:27et où il faut mettre un petit peu d'argent
10:29pour aider à ce qu'elles continuent à exister.
10:31On n'est pas sur une invention
10:32de quoi que ce soit.
10:33Elliot Mamane, c'est ça qui choque à chaque fois ?
10:35C'est qu'on a l'impression qu'à gauche,
10:37tout passe.
10:37Quand même, le cas de Knikap,
10:38c'est absolument incroyable.
10:40C'est-à-dire que certains n'auraient jamais pensé
10:41qu'il puisse véritablement aller jusqu'au bout.
10:43Il y va, il l'assume.
10:44Et en plus, il dit que le problème,
10:45ce sont les origines.
10:47Alors une fois de plus,
10:47je ne sais pas s'il y a beaucoup de racisme
10:49contre l'Irlande.
10:49Je ne suis pas sûre que ce soit le sujet,
10:50en tout cas.
10:51Mais par contre, on voit qu'à droite,
10:53quand il y a la volonté justement
10:54d'aider des faits,
10:56là, ça ne peut pas passer
10:57et c'est des cris d'orfraie
10:58qui sont poussés.
10:59Mais surtout qu'en l'occurrence,
11:00ce label-là a pour objet
11:02de préserver une espèce de folklore politique
11:05au sein des villages,
11:07ce qui vraisemblablement n'est pas non plus
11:08l'enjeu le plus politisé.
11:11Ce qui n'est pas vraiment un projet de société.
11:13Mais c'est trop français.
11:14C'est trop français.
11:16Oui, alors il y a peut-être une dimension
11:17un peu de cet ordre-là.
11:19Et ce qui est vraiment épouvantable
11:20avec Nikap,
11:21c'est qu'on se retrouve quand même
11:23avec un milliardaire de gauche
11:25qui entend mettre ses convictions politiques
11:27au profit.
11:27D'abord un milliardaire.
11:29Certes, mais...
11:30Virgule de gauche, Julien.
11:31On est obligé de le dire.
11:32Il estime que ses convictions politiques
11:33doivent être...
11:34que son argent doit être remis
11:35au profit de ses convictions politiques,
11:37ce qui est tout à fait légitime.
11:39Mais il pourrait donc
11:39un tout petit peu mieux choisir
11:40ses interlocuteurs
11:41parce que Nikap est tout de même
11:43le pire des avocats
11:45pour la partie palestinienne.
11:46Il y a plein d'autres groupes,
11:46je pense, qu'on pourrait mettre à l'antenne.
11:48Il n'y a strictement aucun mal,
11:49naturellement,
11:49à exprimer sa sympathie
11:51avec les Palestiniens.
11:52En revanche, il vaudrait peut-être mieux
11:53pour les Palestiniens en premier lieu
11:55de ne pas le faire
11:55par l'entremise de groupes terroristes.
11:57En l'occurrence, il y a donc des liens
11:58entre le Hezbollah et Nikap.
12:00Et le chanteur principal de Nikap
12:02s'est écrié sur scène
12:04il y a un peu moins d'un an
12:04« Vive le Hamas, vive le Hezbollah ! »
12:06Ce qui vraisemblablement
12:08n'est pas exactement...
12:08Avec un drapeau du Hezbollah, notamment.
12:09Exactement.
12:10Il n'est pas exactement
12:10un appel à la paix.
12:12Hezbollah qui, simplement,
12:12on le rappellera,
12:13en plus d'asservir les Libanais
12:15très directement,
12:15s'immiscent bien régulièrement
12:18dans le conflit
12:19à l'encontre d'Israël
12:20en envoyant directement
12:21des armes contre Israël.
12:23Donc, c'est tout de même
12:23un peu dommage
12:24de ne pas préférer
12:25mettre en avant
12:26à la limite des artistes
12:27qui ont véritablement
12:28une réflexion
12:28sur la question palestinienne,
12:30quitte à ce que cela se fasse
12:31avec un regard critique
12:32sur le gouvernement israélien,
12:33mais de leur préférer
12:34des artistes
12:34qui sont simplement
12:35très directement
12:36des soutiens
12:37d'organisations terroristes
12:38qui font très directement
12:40souffrir la population palestinienne.
12:41Et c'était le mot de la fin.
12:43Merci beaucoup à tous les quatre
12:44d'avoir été les invités
12:45de Punchline
12:46sur CNews
12:47et sur Europe 1.
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